Corrigés
Corrigés
Corrigés
1)
Années 1 2à5
Chiffre d'affaires HT 900 1200
Charges d'exploitation variables 360 450
Charges d'exploitation fixes (hors
amts) 300 300
Dotations aux amortissements 180 180
Résultat avant impôt 60 270
Résultat net 40 180
Flux nets de liquidités 220 360
2)
−1 −2 −3 −4 −5
VAN = 220(1. 08 ) +360(1 . 08) +360(1. 08 ) +360(1. 08) +(360+10)(1 .08 )
– 900
VAN = 414.55
TIR :
900=220(1+ x )−1 +360(1+x )−2 +360(1+ x )−3 +360 (1+x )−4 +(360+10 )(1+x )−5
TIR = 22.95 %
On voit que le délai de récupération est compris entre 3 et 4 ans. Une interpolation est
nécessaire pour trouver un résultat précis.
DR = 3 ans 4 mois et 17 jours
La VAN est largement positive et le TIR est très au-dessus du taux de rentabilité exigé
par l’entreprise ; le projet est rentable.
Le délai de récupération doit être comparé à une durée maximum fixée par l’entreprise.
EXERCICE 6 :
1)
Années 1 2 3 4 5
EBE 75000 75000 90000 90000 75000
Dotations 60000 60000 60000 60000 60000
Résultat brut d'exploitation 15000 15000 30000 30000 15000
IS 5000 5000 10000 10000 5000
Résultat net 10000 10000 20000 20000 10000
Dotations 60000 60000 60000 60000 60000
Flux nets d'exploitation 70000 70000 80000 80000 70000
2)
On estime qu’il y a création de valeur si la VAN actualisée au coût du capital est positive.
Dans ce cas, la société couvre le coût du financement, récupère le montant investi et
dégage un surplus qui peut être considéré comme un enrichissement.
−1 −2 −3 −4
VAN = 70000(1.054 ) +70000 (1 .054 ) +80000(1 . 054 ) +80000(1 . 054 )
+70000(1 .054 )−5 −300000
= 16384.65
La VAN est positive, mais d’un montant faible comparé au montant investi.
Compte tenu de l’imprécision attachée aux prévisions, on ne peut affirmer que ce projet
sera créateur de valeur pour la société.
EXERCICE 3 :
1)
−1 −2 −3
I1 : VAN = 90(1 .08 ) +20 (1. 08) +20(1 .08 ) −100=16 .36
−1 −2 −3
100 = 90(1+x ) +20(1+ x ) +20(1+x ) ⇒ x ≈ 20 % (TIR)
−1 −2 −3
I2 : VAN = 10(1. 08 ) +20(1 . 08) +130(1.08 ) −100=29 .61
−1 −2 −3
100 = 10(1+x ) +20 (1+x ) +130(1+x ) ⇒ x ≈ 19 % (TIR)
2)
3)
Ce taux n’est autre que le taux de rentabilité interne. En effet, si l’on a VAN = 0,
c’est-à-dire ∑ C p (1+t )− p−I =0 équations par lesquelles se définit
on a donc aussi : I=∑ Cp(1+t ) −p
le TIR
EXERCICE 4 :
D’où C = 320949.51
I = 1156951.16
EXERCICE 5 :
1)
0 1 2 3 4 5
380 C 1.2 C (1.2)2C (1.2)3C (1.2)4C
1
[ C(1 . 06)−1 +1.2C (1. 06 )−2 +. ..+(1. 2) 4 C (1. 06 )−5 ]
IP = 380
5 −5
1 (1 .2) (1 .06 ) −1
C(1 .06)−1 =1 .130812
IP = 380 (1.2)(1 .06 )−1
(1 . 2)(1. 06 )−1
1. 130812×380 (1 . 06)
D’où C = (1. 2)5 (1. 06 )−5 −1
C = 70
On a donc la série :
C1 = 70 ; C2 = 84 ; C3 = 100.8 ; C4 = 120.96 ; C5 = 145.152
2)
1
[ 70(1+t )−1 +84 (1+t )−2 +. ..+145 . 152(1+t )−5 ]=1
380
ou :
70(1+t )−1 +84 (1+t )−2 +. ..+145 . 152(1+t )−5=380
t = 10.14 %