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Mémoire
présenté
à
l'Institut National de la Recherche Scientifique
INRS-Eau
par
Marie-Emmanuelle Quentin
B.Sc. Mathématiques-Informatique
Mai 1990
REMERCIEMENTS
i
RÉSUMÉ
ii
TABLE DES MATIÈRES
REMERCIEMENTS . i
RÉSUMÉ ii
INTRODUCTION 1
CONCLUSION 96
BIBLIOGRAPHIE . . 97
iii
ANNEXE A: CARTES . . . . · . . · · · · · · · · · · · 102
ANNEXE C: MACRO-COMMANDES
· · · · · · · · · · · 121
GLOSSAIRE . . .
ANNEXE F:
· . . · · · · · · . · · · · · · · · 133
iv
LISTE DES FIGURES
v
LISTE DES TABLEAUX
vi
LISTE DES CARTES
vii
1
INTRODUCTION
1.1 origine
1.1.1 cartographie
Historigue
2) Types de carte
On distingue d'abord les cartes topographiques, sur lesquelles on
peut retrouver: - le relief du terrain
- les objets qui s'y trouvent en permanence.
A partir du XVlème siècle, on voit apparaître les cartes
thématiques qui présentent un sujet bien précis (régions
administratives, forêts, routes, ... ) sur un fond repère. Ce type
de carte connaît un essor considérable au XIXème siècle avec les
cartes géologiques, politiques et économiques. Il est intéressant
de constater que la carte a été la première forme graphique de
représentation de données statistiques, les courbes ou diagrammes
n'ayant été introduits qu'à la fin du XVlllème siècle.
5
1.1.2 Mathématiques
Comme les capacités des SIG seront étudiées plus loin, les
principaux domaines mathématiques auxquels les SIG font appel ne
sont que brièvement rappelés ici.
La géométrie, qui a connu son essor dans la Grèce antique, est un
outil de base pour tout ce qui concerne le graphisme, que ce soit
pour des représentations planes d'objets à 2 dimensions tels que
les frontières d'un territoire ou à 3 dimensions comme le relief
d'un terrain (qui est du ressort de la géométrie projective).
Le développement récent de l'analyse statistique (avant 1900, la
statistique restait purement descriptive) permet le traitement de
gros volumes de données. De nombreuses méthodes statistiques font
appel aux notions déjà bien établies d'algèbre linéaire (matrices).
Conjointement, bien que développées à partir du XVIIème siècle pour
l'étude des jeux de hasard, les probabilités se sont introduites
dans les divers domaines scientifiques comme outil de prévision et
d'analyse d'erreur.
L'utilisation de modèles mathématiques s'accroît avec la naissance
du concept d'optimisation, lui-même issu de l'avènement du calcul
différentiel au XVIIème siècle. L'analyse numérique apporte des
méthodes de résolution et d'approximation, mais faute de moyens de
calculs efficaces, l'intérêt pour ce domaine décline vers la fin
du XIXème siècle et ne resurgira qu'avec l'apparition des
ordinateurs.
1.1.3 Acquisition des données
Données cartoqrap
En ce domaine, les techniques efficaces sont récentes. En effet,
pour complêter les traditionnels levés sur le terrain (arpentage),
iI faut attendre ltapparition des moyens de transport aériens au
début de ce siècle. Crest alors que la têlêdétection prend son
essor:
- tout drabord avec les photographies aêriennes. En particulier,
iI faut noter ltutilisation des films infrarougre couleurs (IRC)
adaptés pour lrétude de la pollution de lreau, pour les études
hydrographiques et hydrologiques. Les techniques de photo-
interprétation, dont la photogramnêtrie, auçlmentent Ia précision
des cartes topographiques et Ie nombre de terres cartoqraphiées.
- à partir de L972, date du lancement du premier satellite Landsat
destiné à la téIédétection des ressources terrestres, les images
satellites vont srimposer. Ces documents possèdent deux
caractéristiques fondamentales pour le sujet qui nous intéresse:
* une image satellite est constituée de pixels et se prête
donc bien au traitement matriciel,
* les données sont disponibles sous forme numérigue, ce qui
les rend directement utitisables pour 1e traitement informatique.
11 est à noter guê, à cause de la grande quantité de données rendue
ainsi disponible et de la cornplexité de leur interprétation,
Itexploitation de ces images en est encore à ses balbutiements.
La recherche sur les méthodes et techniques permettant
Itutilisation rapide et efficace des données spatiales (Landsat,
SPOT depuis 1986, êt 1e satellite canadien Radarsat qui doit être
lancé dans 1es années à venir) est encore en plein développernent.
Données statistiq
1.1.4 Informatique
Matérie1 ( tthardwarett )
CIés de ltutilisation croissante de lrinformatique dans 1es mi-Lieux
scientifiques, 1â vitesse de traitement et la capacité de mémoire
I
Loqiciel (rrsoftwarett)
Outre I'application de méthodes mathématiques coûteuses en temps
de ca1cul (statistique, calcul numérique), des spécialisations
surgissent:
lrinfographie ou graphisme assisté par ordinateur:
Les premiers systèmes graphiques (années 50) doivent leur création
aux investissements dtorganismes militaires (systène américain SAGE
de défense et de contrôte aérien) et de manufacturiers d'avi-ons et
drautornobiles. Avec la baisse des prix du matériel- graphique
(années 7O), Ie marché du logiciel graphique va progresser.
Mentionnons ici deux applications importantes de f infographie:
* Ia conception assistée par ordinateur (cAo) qui comprend
les logiciels permettant de calculer et de visualiser des
formes graphiques à 2 ou 3 dimensions. La cAo est utilisée
principalement dans les dornaines de lrautomobile, de
Iraéronautique, de la mécanique et de Itélectronique, le plus
connu de ce type de logiciel étant sans doute AutoCAD;
* la visualisation de nodèles numériques d'altitude (MNA).
le traitement dr images nunêriques
Ce domaine est né avec le programme drexploration planétaire de 1a
NASA au milieu des années 60. De I'analyse des images d'objets
célestes à ltétude des images obtenues par les satellites
dtobservation terrestre (Seasat, GOES, Landsat,... ), 1e pas a été
9
vite franchi.
Une image nurnérique est une matrice constituée de pixels (picture
element) dont la valeur est une intensité numérique. A noter,
entre autres, la technj-que drobtention drune image multispectrale
par superposition de ses composantes spectrales.
problème
le du stockage et du traitement de gros volumes de
donnêes - problème particulièrement aigu dans la plupart des
entreprises et dans les instituts statistiques - a donné naissance
aux systèmes de gestion de bases ôe données (SGBD) à partir du
milieu des années 60. Les SGBD de deuxiène génération, basés sur
le modèIe relationnel et développés depuis L97O, nront commencé à
être commercialisés qurau début des années 80. Cette branche de
la bureautique est donc encore en pleine évolution. De plus en
plus, les bases de données sont orqanisées en banques de données
accessibles par modem.
- à la fin des années 60, le scientifique français Bernard
Dubuisson propose un nouveau terme pour désigner les méthodes et
techniques touchant aux systèmes de collecte, manipulation,
affichage et diffusion des données nurnériques à référence
géographique: Ia géonatique. on y retrouve:
* Ia cartomatique, appelée tout dtabord cartographie
automatique (ce terme étant toutefoi-s moins approprié puisque
Itj-ntervention humaine reste nécessaire pour bien des étapes
de la cartographie); ce domaine a par la suite été qualifié
de cartographie assistée par ordinateur avant la création du
mot cartonatique. Ce type de logiciel sera discuté plus en
détail dans 1e cadre de I'application concrète étudiée plus
1oin.
* les systèmes drinformation gêographique.
Face à Ia nultiplication des marques drordinateurs, frein majeur
à 1'ernploi de 1a technologie informati"que, lrinconpatibilité entre
1es divers systèmes d'exploitation, tend à disparaître: 1a
portabilité des programmes est devenue fondarnentale dans Ie dornaine
de la micro.
l-o
les SIG cornmerciaux, qui bien souvent nront pas encore les
capacités dravant-garde qui rendent Ia technologie des SIG
prometteuse,
les SIG de recherche, développés dans les universités, dont la
convivialit.é laisse à désirer.
Terminoloqie
n n l r A n
\Jl I tt \t\t
gestion sortie
analyse
1,4
types ae matArief s
1) Structures de données
La spécificité des données géographiques a nécessité la mise au
point de structures de données particulières. Basées sur Ie type
drencodage de lraspect spatial des données (on se réfère ici à Ia
structure de la géobase et non de la base des données-attributs),
on distingue deux structures possibles:
* structure natricielle ('rrasterrr)
Lrespace géographique considéré est divisé en cellules de
superficie égale. Lrunité homogène est la ce1lu1e et sa dimension
donne Ia résolution. Ltattribut non spatial (variable) est 1e
nombre associé à Ia cellu1e considérée. La topologie est
implicite. Puisqutune matrice ou couche (ttlayerrt) correspond en
fait à une carte thérnatique sur laquelle ne figure qu'un thème (ou
variable) bien défini, tous les éIéments drune carte classique (sur
papier) devront souvent être représentés par plusieurs matrices.
A partj-r de ces concepts de base, lom1in (1983) identifie trois
façons de structurer les données qui se différencient par le niveau
draccès auquel est situé chaque facette drune donnée géographique.
Ces trois méthodes sont illustrées à 1a Figure 1.3.
La structure matricj-e1Ie réduit considérablement 1e temps de
certains traitements mais peut être coûteuse en espace rnémoire.
Certaines méthodes de
compacti-on perrnettent de réduire cet
inconvénient (rrrun length coderr, rrguadtreerr) .
16
F i g u r e 1 . 2 2 C o m p o s a n t e sd ' u n S I G a u n i v e a u m a t é r i e l
e c r an
clavier u n i t éc e n t r a l e imprirnante
de traitement
n u m é irs e u r traçeur
lt vn unr vi rnv i rau l q
ENTREE S O R TEI
disque
disquette
b a n d em e g n é t i q u e
STOOKAGE
T7
UdI LU
a n - * n
UdI ttj c a rt e
IV
point
I
d";rrÀ\
+ V
I
,/--7
v___/ 1J
point
t t
L-J
/-7 ri".qrcà
\:__-/
p o in t
18
* structure vectorielle
Lrunité homogène est le point, Ia ligne (ensemble de points) ou Ie
polygone (Iigne fermée). on enregistre les coordonnées des points
par rapport à un système de référence fixé. La résolution dépend
alors de lrespace mémoire alloué pour une coordonnée. A chacune
des entités vectorielles est associé un attribut non spatial. La
topologie étant explicite (noeuds et arcs), cette structure est
idêale pour les analyses de grraphes (réseaux). Par contre, elle
devient inefficace pour les algorithmes faisant appel au principe
de recouvrement (rroverlaytt) .
Le Tableau 1.1- résume Ia comparaison entre ces deux modèles.
11 faut remarquer que jusqurà présent, la dimension temps ajoutant
à la complexité du traitement drune donnée géographique, el1e nra
pas encore été intégrée dans les SIG de façon explicite.
Reprêsen-
tation
rrrFTT / nEâLrlE \i"""'
ffi/*/
I { \xrtr
^ Ç
\ \charp)
\
*tua
F i g u r e 1 . 4 : A p p r o c h e sp o s s i b l e s p o u r l a c o n c e p t i o n d ' u n S I G
logiciel de
SGBD
g€stion des
pour r€s
données attributs
spatialês
fichier d€
base dê donné€s bas€ de données
données spatiales
spatiales attri buts
et attributs
ex{enstons SGBD
au SGBDpout gérer
les donné€sspatiales conÇupour
SIG
[ s o u r c e :A r o n o f f( 1 9 8 9 ) ]
2L
Particularités de
ttri ts non
on et mise our
- requêtes
(pour plus de détails, se référer aux SGBDclassiques)
CARTE
DIUTILISATION t r R A S T E RSIA T I O N I I UTILISATION
DU SOL DU SOL
CARTE ilRASÏERISATION'I
---------|>
DES SOLS TYPEDE SOL
CARTE I I R A S T EIRS A TI O N t r
I OUE
TOPOGRAPH TOPOGRAPH
IE
RÉSUITATSDE
RÉALITÉ L ' ANALYSE
Cette partie vise à situer jusqu'à quel point Les capacités SIG
sont présentement utilisées, en particulier pour ce qui concerne
1a ressource eau. Bien que freins à lravancée des SIG, l-es
problèmes organisationnels qurengendrent I'introduction de cette
technologie dans une institution nrentrent pas dans Ie cadre de
cette étude.
Historique
. la spécialisation:
Tout drabord, ltéleveur se différencie du cultivateur. L'élevage
est alors dit rrhors solrr puisque Ia superficie de terre nécessaire
est réduite à lrespace occupé par les installations, Ia nourriture
des anirnaux étant achetée et non produite sur place. Une
conséquence importante de ce phénornène est la rupture de
complémentarité entre 1es productions animales et végétales.
Drun autre côté, 1a spécialisation concerne aussi Itespèce
produite: lréleveur se consacre à Ia production drun seul type
dfanimal, êt même dans le cas du porc, oD peut distinguer:
* Ie producteur-naisseur (truies et porcelets)
* le producteur-engraisseur.
. la concentration:
Drune part, âu niveau régional, Ia concentration srest effectuée
suivant 1a proximité des marchés de consonrmation. Quatre bassins
de drainage (Figure 2.L) regroupent à eux seuls 6 A e od e l ' é l e v a g e
porcin [Bouchard et a1., 1-987]:
bassin de la rivière Yamaska : 3 0 â
bassin de la rivière Chaudière z L7Z
bassin de la rivière LrAssornption i 9eo
bassin de la rivière Saint-François z 7eo
Drautre part, oD a assisté à une concentration au niveau des fermes
elle-mêmes: diminution du nombre de fermes avec augimentation du
nombre de têtes par ferme, on parle alors d'élevage intensif.
Le Tableau 2.1- résume en chiffres cette évolution de la structure
de ltélevage porcin entre les années 50 et les années 80.
I1 faut noter en particulier lraugTmentation de 2 886 Z de la
quantité de déjections produites par ferme; étant donné la
concentration des fermes, leur nombre a effectivement diminué de
90 Z, cela signi-f ie une augTmentation considérabl,e de 1a quantité
de lisier de porc par unité de surface.
34
DEsELEvAGEs
ton. DEcoNcENTRATIoN
f
( 1 ) C a n t o n s - d e[ -r E s t
( Y a m a s k aS , t-François)
(2) Région de ta Beauce
(Chaudière)
100 km (3) Nord de Montréat
(L'Assomption)
35
Variation
1951-t_9s5 1961-1965 L97L-t975 198r--1982 entre
L956-L982
Nombre de
têtes par an 1 605 1 810 2 337 5 tL2 + 2L9 z
(x looo)
Variation
1951 1961 L97L r_981 entre
1951_-t_981-
Nombre de
têtes L2.5 L9.2 79.4 4 3 0 .0 + 3 3 4 0 2
par ferme
Part des
1 9 5 1 - r - 9 5 5 1 9 6 l _ - L 9 6 5 L971-1,97 5 1 _ 9 8 0 - l - 9 8 1 _ p o r c s ( * )
s1-55 I er-gz
I
Déjections
porcines 1 698 r_ 889 2 40L 5 253 7 z 2 3 2
(x 1000 rn3)
1 9 5 1 _ - 1 9 5 5 l - 9 8t _ - r - 9 8 2 Variation
Nombre de
fermes 78 422 7 993 9 0 2
Déj ections
par ferme_ 22 657 + 2 8 8 6 2
par an (n")
Valeur du lisier
Composition
La composition du lisier de porc brut varie en fonction:
. de la qrosseur et de lrâge de lranimal
. de la ration alimentaire; celle-ci comprend en généraI:
hydrates de carbone (sucres, amidons, cel1ulosês), protéines,
graisses, macronutriments (azote, phosphore, potassium),
micronutrirnents et additifs alimentaires (antibiotiques, cuivre,
arsenic, qrès et sables). Une part relativement importante de ces
éIérnents se retrouve dans les déjections porcines.
Par la suite, le mode de manutention peut affecter de façon
significative les caractéristiques du lisier: présence de litière
(dans la partie mise-bas drune porcherie de maternité) et de
déchets de nourriture, ajout de désinfectants, effet de dilution
dû aux eaux de lavage.
Le Tableau 2.2 permet dravoir une idée approximative de 1a
proportion des divers constituants du lisier.
ouantité produite
De même que pour Ia composition, la quantité de lisier produite
par animal est variable.
Dans le but de calculer le volume drentreposage journalier à
prévoir, 1e Ministère de lrEnvironnement du Québec (MEN/IQ)
considère Ies chiffres suivants:
- pour une cuve permettant un entreposage de 2OO jours:
8. l- litres/porc/jour 23 . 5 litres/truie/ jour
- pour une cuve permettant un entreposage de 3oO jours:
6.95 litres/pore/jour 20.L5 litres/truie/jour
I M A P A Q ,1 9 8 9 ] .
Valeur aqricole
Traditionnellernent, le lisier était utilisé pour redonner à la
terre que cultivait 1'éleveur les éléments nutriti-fs assi-milés par
37
Propriétés phvsi(rues
Masse volumique 1. 01 à 1.03 kq/L
Humidité 9 2 2
pH 6.e7 (t .6s)
l[atières sèches 56 slL (t 18)
Matières volatiles 77 Z (t 3) des matières sèches
Conductivité 19 393 umhos (L4 200 à 30 oo0)
Alcalinité (cAcos) 9 e4O (3 2OOà L9 sOO)
Propriétês biochimicrues
DCO 52.4 glL (37.6 à 80.o)
DBOE Le.8 glL (r,3.4 à 35.o)
Itat-ière organique 6 9 o
coT 24.7 qlL
Matière inorganique 2 z
Propriétés chimicrues
Elêneatç maieurs
Azote total (N) 6.L qlL (t 1.3)
Azote ammoniacal (NH3) 3 .e s l L ( 3 . 1 à 6 )
Phosphore total (P) 1 .e s / L ( t . 5 )
Potassium (K) 4 r - k g l t . m . ( 1 r - 4. 3 )
Calcium (Ca) 50 kglt.n. (t 2L.5)
Magnésium (Mg) 2L.4 kglt.n. (t 8.e)
Soufre (S) o.6 glI
Sodiurn (Na) o.5 glI
Eléments mineurs
Fer (Fe) 2 . 67 kglt . r n. ( 0 . L 7 à e . 6 4 )
ZLne (zn) o.L glL
Bore (B) 0.04 g/L
Manganèse (Mn) o.o2 glL
Cuivre (Cu) 0.007 qlL
O.L g/1 s i a d d i t i o n d e 1 ? 5 n S|/ d a n s [ ' a I i m e n t a t i o n
Arsenic (Às) o.l-6 à 1.s8 mg/l
Séléniun (Se) 0.06 à o.L1 nq/l
Cadmium (cd) 0.04 rng/f
Mercure (Hg) 0. oo71 ng/1
Propriétés bactérioloqiques
Coliformes totaux 7 . 8 x r - o :i n d / l o o c c ( . 2 4 à 2 4 )
Coliformes fécaux o . 8 x 1 - 0 "j - n d / l - o o c c ( . o 9 2 à 2 4 )
Streptocoques 4 . 2 6 x t O oi n d / 1 o o c c ( . 0 4 à e . 1 )
N 46.2 z 5 0 à 7 0 2 2 0 à s 0 z
P 23.7 Z 6 0 à 8 0 8 2 5 à 8 0 2
K 46.0 z 9 0 à 1 0 0 2 4 5 à 9 0 2
Potentiel polluant
Situation actuefle
Production porcine
La production du porc constitue la deuxième activité agro-
alimentaire en importance au Québec après la production laitière;
elle représentait 18.5 Z des recettes agricoles totales en l-985,
soit 567 rnillj-ons de dollars IMAPAQ,CPAQ,1-987J.
Bien que ltapogée de la croissance de ltindustrie du porc ait été
atteinte en 1981- (3 150 nilliers de têtes au ler janvier l-981), le
nombre de porcs dans les fermes au I-er janvier l-989 était de 3 050
millj-ers de têtes [Bureau de Ia statistique du Québec, 1989]. Pour
clarifier la compréhension des chiffres sur le nombre de porcs, i1
faut préciser que le temps de séjour moyen drun porc dans un
établissement d'engraissement est de 90 jours; on doit donc faire
1a distinction entre Ie nombre de têtes en production (i.e.
engraissement ou maternité) à un instant donné et le nombre de
43
Oualité de lreau
11 est clair que depuis quelques années, oh a vu se détériorer la
qualité de lreau que drainent des bassins à vocati-on agricole. or
la pollution agricole est principalement diffuse, ce qui complique
lt identification des sources potentielles parmj- lesquelles
figurent, êr plus du lisier de porc, 1es furniers des autres types
drélevage (bovins, volailles), les eaux usées de Laiterie de ferme,
lrérosion hydrique, les aménagements hydro-agricoles, 1es
pesticides, 1es boues résiduaires épandues. Même si la part de
chacune de ces causes de poJ-1utj.on nrest pas facile à évaluer, des
études ont perrnis de mettre en évidence lteffet de ltélevage sur
la pollution dans les rivières de lrAssomption, Yamaska et
45
Moaes a'Cpanaage u
2- pédologiques Epaisseur et
honogénéité du soI
- Hydrornorphie du so1
- Pente
C o m p o s i t i o n
granulométrique
5- nuisances O d e u r s
(particulièrement pour
1es épandages en été
par aéro-aspersion)
*
Quantité à épandre 1- réglementaires Article 40
2 - agronomiques C o n n a i s s a n c e s
suffisantes de:
. contenu en éléments
nutritifs dans Ie
lisier
. efficaci-té
. besoj-n des plantes
. fertilité des sols
. complément en
éléments minéraux
3- humains Sensibilisation et
i n f o r m a t i o n
approfondie de la
profession agri-co1e
*
Règlement sur la prévention de Ia pollution des eaux par les
établissements de production animale IMENVIQ, ]-9851
Clinat
- précipitation:
. forme (pluie, neige)
. intensité
. temps entre deux précipitations
- évapotranspiration
Topographie
- pente (inclinaison et longueur)
Tvpe de sol
épaisseur
- texture: granulométrie (::) perrnéabifit,é)
- nature chimique (=:> capacité de rétention de lreau)
Utilisation du sol
- couverture végéta1e
. type
. densité
. état de croissance
- pratiques agricoles
. machinerie utilisée
. irrigation
. drainage artificiel
. ajout dréIéments (fertitisants, pesticides)
50
z. g Rêglenentation gouvernementale
Normes dtentrepos
Mais
Jachère (1ère année) L70
Pornmesde terre
Choux, Tomates t_35
Fraises L25
Prairie, Pâturage
Friche herbacée 1-t-o
Orge 80
SeigIe 73
Tabac à pipe
Tabac à cigare 65
Pommiers 55
Haricots (fourragés) 50
Tabac à ciqarettes 30
Sarrazi-n 22
Soja, Lin
Pois (fourragés) 20
Paramètres inorganiques
Bore (B) 5 ng/t .01 s
Cadrniurn (Cd) 5 pslL L s
Chlorures (Cf) 2s0 ng/l 250 E
Cuivre (Cu) 1 ng/l l- E
Fer (re) 0.3 ng/I .05 E
Manganèse (!4n) o.05 ng/l E
Matières solides dissoutes 5oo ng/1 :ot E
Mercure (Hg) L ttglT .2 S
Nitrates (NO3, NOr) 10 m9/1 .001 S
Nitrites (No2 ) 1 n9/1 .001 s
pH 6.5 à 8.5 E
Sélénium (Se) 0. 01 rng/I . oo2 s
Sulfates (s) 500 mg/l r-50 s&E
Sulfures (en H"s) 0.5 ng/t .05 E
Zine (Zn) 5 ng/I 5 E
Paramètres organiques
Trihalométhanes 0.3s ng/l .0005
Paramètres physiques
Couleur l_5 E
Goût inoffensi f E
Odeur i noffens i ve E
Température rslc E
Turbidité 5 UNT S&E
Paranètres microbiologiques
Microorganismes:
a) aucun échantillon ne devrait contenir plus de l-o coliformes par
l - O Om 1
b) au moins 90 Z des échantill-ons prélevés durant une période de
30 jours doivent être exempts de coliformes
c) pas plus de deux échantillons prélevés consécutivement au rnême
endroit ne doivent contenir de coliformes
d) aucun des coliformes décelés ne doit être de type coliforme
fécal
3. 1. 1 l{icro-informatLcrue
EégenÈation
lustitlcation au c
3.1.2 Logiciels
Caractéristiques de pMAP
Issu du ttMap Analysis Packagett (MAP) , ensemble de programmes
constituant une partie de Ia thèse de doctorat de Tom1in (L983),
pMAP en emprunte la majorité des concepts et algorithmes.
MAP a été proqrammé en FORTRAN IV sur gros ordinateur IBM. Les
fonctions qui y ont été développées visent à répondre à des besoins
de traitement de données géographiques dans 1e domaine de la
planif ication
environnementale.
Les concepteurs de pMAP justifient la créati-on de leur logiciel
par le constat des inconvénients des SIG cornmercialisés avant pMAP
bl Structure j-nterne
Afin de pouvoir traiter à lrexterne des données enregistrées ou
crées avec pUÀP, il peut être intéressant de connaltre dans quel
format elles sont placées en mémoire. Une base de données implique
lrexistence de 5 fichiers distincts dont le contenu et lrespace
rnémoire occupé est présenté dans 1e Tableau 3.1. Les données y
sont encodées en format interne, donc seules les commandes pMAP en
permettent lraccès et la transformation en formats utilisables par
un nombre encore timité drautres logiciels (divers forrnats ASCII,
Surfer).
. TÀB Paramètres de 90
Ia base de données
d/ Fonctions disponibles
Dans Ia dernière version de pllAP (version 2.6r, le langage de
comnande comprenait 62 commandes, dont 4 ntétaient pas encore
opérationnelles. La liste en est donnée au Tableau 3.2.
Si on srattarde sur les opérations analytiques, ce sont celIes qui
figurent rarement dans les sIG commerciaux qui retiennent
l t attention.
Les opêrations ôe voisinage évaluent les caractéristiques drune
surface entourant un lieu donné. Ce type de fonction nécessite
trois spécifications:
le lieu cible (une ou plusieurs cellules),
Ies limites de la surface entourant Ie lieu cible (fenêtre),
Itopération à être effectuée sur les ce11ules de cette
fenêtre.
Mentionnons tout spécialement Ia commande PROFILE qui peut sravérer
utile dans 1a localisation de dépressions topographiques.
Les opêrations de connexité accumulent des valeurs sur la surface
traversée. Pour ce faire, il est essentiel de connaitre:
la façon dont les éIéments sont interconnectés (réseau),
lrensemble des règles spécifiant le mouvernent permis dans
ce réseau,
lrunité de mesure.
Mj-s au point par Tomlin (1983), lralgorithme d e l a c o m r n a n d eS P R E A D
figure parmi 1es plus complexes: il tient compte à Ia foj-s de Ia
variabilité spatiale et de lreffet cumulatif de la variabilité
spatiale. Pour chaque cellule, la valeur reflétant sa distance par
rapport à des cellules-cibles est calculée. L' image-résul-tat
donne ce quron appelle une surface draccurnulation ou de friction.
Les contraintes sur le mouvement sont introduites par l-a notj-on de
barrière, absolue si e1le stoppe le mouvement, relative si e1le ne
fait quraug:nenter plus fortement 1a valeur draccumulation.
63
Reclassification (5)
CLITMP diffêrencie les sous-régions non contiguës
(CONFIGIIRE) donne aux régrions Ia valeur caractérisant leur forme
RENITI{BER donne de nouvelles valeurs à des attributs
sïzE donne aux régions Ia valeur de leur superficie
SLICE divise lrintervalle des valeurs en sous-intervalles
Recouvrement (5)
ÀVERAGE moyenne des valeurs de plusieurs images
COUPUTE opérations élémentaires sur plusieurs images
COI{POSITE statistiques descriptives des valeurs drune image pour
chaque rêgion drune autre irnage
COVER superposition de plusieurs irnages
INTERSECT intersection de deux irnages
Justification du choix
Encore une fois, une étude comparative de logiciels ne figurait
pas dans 1a liste des objectifs du projet présenté ici. Le choix
66
2l Loqiciels cornnlémentaires
pMAP nrétant pas un SIG complet tel que défini dans 1e Chapitre 1,
il a fallu faire appel à drautres logiciels pour en combler 1es
manques.
e/ Cartonaticrue: ATLAS*GRAPHICS
Logiciel complérnentaire à ÀTLAS'IDRA!{, ATLAS*GRAPHICS permet 1a
représentation cartoqraphique de données statistiques: on obtient
des cartes thématiques. Les principales fonctions accessibles par
menu sont listées ci-dessous:
entrée des données statistiques (directement ou importation de
fichier) ,
- détermination des types dtentités géographiques devant figurer
sur 1a carte (régions, lignes, points, cercles),
- coloriage de la carte: le codage des intervalles de données
statistiques peut se faire par la couleur ou par l-e type de
coloriage (hachures, points avec densité variable),
- habillage de 1a carte (titres, légende, commentaires, ...) ,
impression de 1a carte sur support papier (imprimante, traceur
traçante) .
Prérequis essenti-el à lrutilisation de ces divers logiciels, la
possibilité de transfert des données dfun système à lrautre est
schématisée à la Figure 3.1.
69
F i g u r e 3 . 1: I n t e r fa c e s e n t r e l e s l o g i c i e l s u t i l i s é s
données c a rt e s
statistiques
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Y v v v v e c t o ri e l ) isolignes 3-D m a tr i c i e l )
70
Description du bassin
Situé au nord des lles de Montréa1 et de Lava1, dans le bassin
versant de la rivière lrAssomption, le bassin du Ruisseau-des-Anges
couvre une superficie totale de 3 70o ha répartie sur les
nunicipalités de Saint-Roch-Ouest (66 7), Saint-Lin (31 ?) et
Saint-Henri de Mascouche (3 ?). Les eaux ainsi drainées par Ie
Ruisseau-des-Anges se déversent dans Ia rivière lrAchigan, eIle-
même tributaire de la rivière lrAssomption (Figure 3.2).
1-) Vocatj-on
Ce bassin est essentiellement à vocation agricole, les herbages,
céréales et maïs occupant plus de 5O 3 de sa surface (Tableau 3.3
et Carte 5).
Selon les certificats dtautorisation, Ies porcheries pouvaient
accueillir en 1989 une population porcine de 5738.35 unités
animales (UA) soit 27673 porcs et 815 truies. Cela représente
environ 2.3 UA par hectare de terre cultivable (ce chiffre ne
comptabilise pas les autres types d'élevage tels que bovins et
volailles présents sur le bassin et fournisseurs eux-aussi de
déjections dont il faut disposer).
PROVI}ICE
DE oUÉBEc
72
TOTAL 3 696.6 1 0 0 .o
Justification du choix
Afin dratteindre dans un temps lirnité les objectifs du travail
présenté ici, et mis à part Ia nécessité évidente de choisir un
bassin en zone drélevage porcin intensif reconnu comme étant
critique en matière de pollution diffuse, le critère fondamental
a été la possibilité d'avoir accès aux données essentielles sans
recourir à une campagne sur le terrain.
or, en l-986, dans le cadre drun ttprojet spécial d'interventions
environnementalesrr mené conjointement par le ministère de
lrEnvironnement et le ministère de ltAgriculture, des Pêcheries et
de ItAlimentation du Québec, 1e bassin du Ruisseau-des-Anges a fait
1'objet drune étude visant à évaluer ltefficacité de certaines
mesures de contrôle de la pollution agricole. A cette occasion,
74
Données disponibles
1) Cartes
a/ Carte topographique
La carte topographique sur laquelle on retrouve le bassin du
Ruisseau-des-Ànges est celle de Saint-Roch-de-lrAchigan établie
par le Ministère de ltsnergie et des Ressources du Québec (servj-ce
de la cartographie). Révisée à partir de photographies aériennes
d'octobre L9A2, elle est disponible à ltéchelle Lz2O OOOsuivant
la projection Mercator transverse rnodifiée, fuseau 8. On y trouve:
- des courbes de niveau aux 5 mètres et des points cotés,
Ie réseau hydrographique,
Ie réseau routJ-er,
- des structures fixes (habitations, cuves à fumier, . . .) .
Crest sur cette carte quront été localisés les producteurs porcins
du Ruisseau-des-Anges par une reconnaissance sur Ie terrain.
bl Carte cadastrale
Disponible sous forme dtacétate translucide, cette carte du
Ministère de I'Energie et des Ressources du Québec permet de
localiser, à 1téchelle Lz20 OOO, la linite des lots cadastraux
ainsi que 1es numéros qui 1es identifient de façon unique pour
chaque municipalit,é. Elle fournit par 1a même occasion 1es llmites
des nunicipalités.
Le cadastre au 1:1-0 o0o sur support papier a permis de clarifier
certaines informations des cartes à échelIe plus petite (en
particulier, certaines portions du réseau hydrographique) .
77
2) Données statistiques
Le choix des données à la fois disponibles et utiles à la
problématique en question srest fait conjointement avec les
intervenants du MENVIQ au niveau de 1a Direction de
l tAssainissernent Agrj-cole et de son bureau régi-onal de
I I Assomption.
7a
1) Cartes
Dans un premier temps, les cartes ont été numérisées en mode
vectoriel avec ATLAS'IDRAW. Etant donné Ia dimension restreinte du
bassin et 1a restriction de 1tétude à cette portion géographique,
on nra pas jugé nécessaire d'utiliser une projection particuiière:
le point de coordonnêes (0,0) a été posé de façon purement
arbitraire (au sud-ouest du bassin). Dans lroptique d'intégrer ces
données numérisées à pMAP, chacun des 9 fichiers créés ne conti-ent
que les entités propres à un thème particulier. La li-ste de ces
couches thématiques se retrouve sur Ia Figure 4.L. De plus, comme
80
CARTES l.1^t
\-/vu
tr\Lt { E a
\-/l LU
tÆ
rtcHttrÊs
nE p^aE T HE M A T I Q U E S D'ATTRIBUTS
!z_t___124\2_L
a lt i t u d e s
hydrographie
p o r c h e ri e s n u m é r od u c r r n o r f Ii rnv ir av
e v v v r
n r nv rv l r r n i a r r r
vr
porcs t r u i e s d'épandage
numéro
À a
U IJ
n , r ' , a
I/LJ V\' n r nvrvl .
F/r / o l u m et y p e d e c u v e
c a rt e numéro I producteur
cadastrale c a d a st r e de lot l"épandeur"
c a rt e rype
des sols p é d oo
l gie de sol g r o u p e t e xt u r e o r a tn a g e
c a rt e t y p e l d o s e s l d o s e s
d'utilisation utilisation d ' u t i l i s a t i oIn p e r m i s e s I r e c o r n m a n d é e
du sol ou sol du sol | ( M E N V I O I) (CPVO)
8l-
2) Données statistiques
Puisque Ie tableur de ATLAS'IGRAPHICdonne la possibilit,é drexporter
les données selon 1es formats les plus courants (vers des bases de
données ou des logiciels statistiques) , crest dans cet
environnement qutelles ont été saisies.
Associés à une carte, 1es 6 fichiers créés sont aussi listés dans
1a Figure 4.1,.
Le principal problème recontré lors de 1tétablissement drune
structure de données concerne 1es données sur 1répandage du lisier
de porc. 11 stagit de représenter la rnultiplicité des relations
pouvant exister entre les lots et les éleveurs porci-ns: un éleveur
82
CMD: INFORITi
Mode drutilisatio
Présentation crit
F i g u r e 4 . 3 : M é t h o d e s d ' o b t e n t i o nd e s r é s ul t a t s
@_1-fem\
\"*:P*j9l
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/-61olffi^-\,
ên règle )
Y*.rr_,/
( ) Production totalô
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( )-. su niwau du bâssin a
(chiffresougrâphiques)\ proportionde
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( ) Ptoductours
an règle
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rocarisation
ooses
pe.mrsês
(pa. champ)
quantité d€ lisisr
pouvânt ètrê épandw
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86
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4 oui Oui
5 Oui Oui
6 oui Oui
7 Non 2
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10 Non ?
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L3 Non oui-
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1_5 Non ?
16 oui Oui
t7 oui ,
18 oui Oui
L9 Non ,
20 oui ,
F i g u r e 4 . 4 : G r a p h i q u es t a t i s t i q u es u r l e s p r o d u c t e u r s
porcins du bassindu Ruisseau-des-Anges
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Volufra d'ant,apotaga
[=]t n.utf f.rnt Unag laÂ.n l.lt.
88
Etant donné 1es lirnites de pMAP, détaiIIées plus loin, Ies modèles
utilisés pour l'obtention des images désirées ont une structure
relativement simple. Bien que cela réduise la qualité des images
91
Critiques de ATLAS*GRAPHICS
Contrairement à la plupart des logiciels de cartographie thérnatique
assistée par ordinateur, ne permet pas Itutilisation
ATLAS*'GRÀPHICS
de symboles proportionnels (cette absence a été contournée en
utilisant des cercles).
Le traitement des points et des lignes est très limité: on ne peut
leur associer un attribut qui sera traité au même titre çlue les
attributs des régions. Ce logiciel est donc inapproprié pour ce
qui concerne les réseaux.
Les procédures de calculs géonétriques sont peu nombreuses. Les
projections disponibles se linitent à trois, êt seules certaines
mesures de superficie et de distance sont disponibles dans
ATLASIIDRAW.
Le lien entre le module de numérisation ATLAS*DRÀW et 1e module de
cartographie ATLAS,TGRAPHICS entraine certaines incohérences:
ainsi, dans ATLAS*GRAPHICS, l'écheIle nrest plus spécifiée; de
plus, une modification effectuée grâce à ATLAS'IDRAWne se répercute
pas sur le fichier de données statistiques du tableur
ATLAS:IGRAPHICS.
Ce type de problèrne d'intégration ne devrait pas se retrouver dans
1es SIc.
Critiques de pMAP
On ne srattardera pas sur les erreurs de détail que 1es concepteurs
peuvent facilement corriger: valeurs de défaut impossibles à
rnodifier, problème de qualité graphique des sorties sur papier,
93
CONCLUSION
BIBI,IOGRÀPUIE
ARNOLDU. & ORLOB G.T., L989, Decision Support for Estuarine lriater
Ouality Managernent, Journal of Water Resources Planning and
Managernent, Vol.l-1-5 No.6, Nov. l-989
RHEi{ R. & HARo R.J., oct. L987, A spatial and systematic approach
to acrricultural nonpoint source pollution analysis, paper submitted
to US EPA
T O ! ù N S H EA
D. R . , R E I C H E R TK . A . e t N O D W E L LS . H . , L969, tnlater pollution
control facilities for farm animal wates in the province of
ontario, Cornell Agr. Waste Management Conf., Syracuse, New-York
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6.2 2831 o B
7.O 266 B
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9.0 l-153 o B
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t2.o L27L B
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L4.L 667 o B
L4.2 L329 o B
14.3 2L58 o B
L4.4 1,366 B
L6. t_ 1998 B
L6.2 483 B
L7.L 1,75L
3,7.2 2380
18. 1- 779 B
L8.2 251"4 B
1 9 .O 2882 o B
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20.2 t-600 o B
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18 LL.64 5 64 2L.2L 3
19 5. 10 6 69 26.26 13
20 7.54 6 70 L3.72 1_1
2L 6.86 l- 73- 20.22 1L
22 28.94 3 72 L4.L3 13
23 t_o.95 5 73 L4.40 L2 L8
24 10.16 5 80 2L.77 6
25 23.68 5 82 20.88 7 5
26 25.27 5 84 22.56 5 6
27 26.35 5 85 2L.85 6 5
28 L7.49 2 86 22.LO 5
29 37. OO 5 89 32.7L 4
33 23.17 8 90 20.57 1
34 20.45 9 9l- 31.49 1_
35 30.64 10 92 22.16 l_
37 L7.85 t_l- 95 2L.99 6
38 1l-.85 L2 96 20.24 6
39 l_l_.40 L2 99 27.L9 t-8
4L L6.67 L2 1_Ot- 24.73 18
43 45.28 L2 LO2 20.L7 l_8
45 l-8. 56 T4 105 L4.87 t_8
46 7.77 15 LO7 16.90 t-8
47 L4.84 L7 L22 24.96 L9
52 3 l _. 9 8 1_6 L28 4.1,8 20
53 22.55 3 237 0.80 17
54 28.58 L7 238 o. 56 17
55 42.80 L7 239 1 . 7t L7
FICHIER DES
l_ 7 0 0 .o o 4 7 2
2 225.60 4 t_0 3
3 82.98 3 3 2
4 27.22 2 9 1
5 2 6 L . 70 3 6 3
6 2L6.90 l_ 2 1_
7 407.90 4 10 2
I 86.7 6 5 L2 5
9 577.80 3 1 3
l_o s75. 10 3 2 3
l_l_ 32.54 3 4 3
L2 365.50 4 5 2
l_3 L 76 . 4 0 5 I 4
I4 1_6.86 6 11 5
l-l_8
Type de sol
l--Ac 8-Marécages
2 - A n 9 - R
3 - B d 1 0 - R l
4 - B t 1 1 - R s
5 - C v L 2 S
6 -Do l-3-V
7 - J L 4 - X I
Groupe
L - brun forestier
2 - brun podzolique
3 - gleysolique gris foncé
4-podzolàgley
5 - gley tourbeux
6 indéterminé
Texture
Drainage
1 - b o n
2 - irnparfait
3 - mauvais
4 - très mauvais
5 indéterni-né
119
1-O 112.10 o
20 579.50 1l_o 82
2L 15.13 110 82
30 455 .7 0 80 45
31 26.32 80 45
32 25.35 22
33 7.72 20
34 7.96 80 45
40 730.40 t70 85
4L 4. 08 1,70 85
50 5L.24 1-t-o
51- L72.70 110
52 48.L4 110
53 1 - 2. 6 5 110
54 1_38.20 135 68
55 0.89 110 55
56 9.46 L10
57 lL.23 t_35 68
58 L.92 1l_o
59 L2.3L l-35 68
60 0.95 L25
61 t-0.48 65
62 5.54 l_10
63 6.96 L7A
64 1. 50 L70
70 63.60 11_O 82
7L 1 " 6. 7 0 o
72 7.2L o
73 0.39 1-l-o 82
74 ]-7.71, 1Lo 82
75 6.94 1_10 82
80 o.75 1-10
81 1102.00 o
82 9.53 0
83 3.87 o
84 5.36 o
85 8.84 t-10
90 5.27 o
L20
ANNEXE C: IIACRO-COUUAITDES
ASSTGNTNG 7 TO 82 /
ASSTGNTNG s TO 84 |
ASSIGNING 6 TO 85 /
ASSTGNING 5 TO 86 /
ASSTGNTNG 4 TO 89 |
ASSIGNING 1 TO 90 /
ASSTGNTNG 1 TO 9r- |
ASSTGNTNG 1 TO 92 /
ASSTGNTNG 6 TO 9s I
ASSTGNTNG 6 TO 96 |
ASSIGNING 18 TO 99 |
ASSIGNING 18 TO 101 /
ASSTGNTNG 18 TO LOz /
ASSTGNTNG r-8 TO 106 /
ASSTGNTNG r-8 TO LO7 |
ÀssrGNrNG 19 TO L22 /
ASSTGNTNG20 TO L28 /
A S S T G N T N GL 7 T O 2 3 7 /
ASSTGNTNG17 TO 238 /
ASSIGNTNG L7 TO 23e I
FOR Ep-prod
NOTE
NOTE Reclassification des lots sans épandage
RENIJI.{BEREp-prod /
ASSTGNTNGO TO 21 THRU 255 /
FOR Ep-prod
L23
UATERIEIT
Micro-ordinateur:
rBM/PC-AT
- Processeur Intel 80286 / Co-processeur math. Intel 80287
- Mémoire vive de 64oK avec extension possible de 384K
- Disque dur de 3O Megabytes
2 lecteurs de disquette (L.2 Meg / 36OK)
- Moniteur couleur
Carte graphique EGA (256K)
2 ports / 1 port parallèle
série1s
Système drexploitation IBM-DOS version 3.1-0
Tablette numéri-sante :
- CalComp DrawingBoard, modèle 23L2O
Surface de travail: 297 mm x 297. mn / 305 mrn x 305 mm
- Précision: .635 mm
- Résolution: jusqu'à 40 lignes/nrn
Traceur vectoriel:
- HP 74754
- Formats de papier: 8.5 x 11 pouces / 1-L x t7 pouces
- Carrousel pouvant contenir 6 plurnes
- Résolution de lradressage drune plume: .O25 mm
13 r_
I,OGICIEIJS
Statistiques:
STATGRAPHICS, version 3.0, STSC Inc. & Statistical Graphics
Corporation
Cartomatique:
- Numérisation: ATLAS*DRAW(AD), version 2.03, Strategic Loeations
Planning Inc.
Cartographie: A T L A S * G R A P H I C S( A c ) , version 2.L, STSC fnc.
Numérisation
Desktop Digitizing Package (DDP), version 2.4, Center for Remote
Sensing and Mapping Science (CRMS-UGA), R-!{EL fnc.
Sourcqs cartoqraphiques
OU.EBEC:
Carte de base, carte topographique:
Ministère de lrEnergie et des Ressources du Québec, Service de l a
cartographie
Carte pédoloqique:
Ministère de ltÀgriculture du Québec, Service de la recherche
soI
Bassin hydroqraphique :
Ministère de lrEnvironnernent du Québec
CANADA:
Utilisation du territoire:
Environnement Canada
Sources statisticrues
Statistiques diverses :
Bureau de la statistique du Québec
Statistique Canada
Données météorolosiques :
Service de météorologie du Québec
Données hvdrométriques:
Mini-stère de lrEnvironnement du Québec, Service drhydrométrie
l-33
ANNEXE F3 GTOSSAIRE
algorithne
ensemble fini de règles déterminées servant à résoudre un
problène au moyen drun nombre fini dfopérations
bureautique
apptication de lrinformatique et de la télématique aux travaux
de bureau
cAo
conception assistée par ordinateur
cOUChe (= ttoverlay")
couche dt inforrnation thérnatique
cPvQ
Conseil des Productions Végétales du Québec
dêjections animales
En agriculture, or distingue IMAPAQ, CPVQ, L982)z
funier : excréments dranimaux contenant approximativement 2/3
drexcrément et un peu plus de L/3 de litière et qui ont subi
des fermentations plus ou moins avancées à lrétable ou en tas
lisier (appelé aussi fumier liquiôe) : excréments bruts
draninaux solides et liquides conservés dans des fosses
idéalement étanches fumier seni-liquiôe ou pâteux : partie du
fumier accumulé sur le pourtour des plates-formes à furnier, qui
nra Ia consistance ni du fumier liquide ni du fumier solide
purin : partie liquide des fumiers: lrurine et partie des eaux
de plui-es accumulées sur le pourtour des plates-formes et/ou
dans une fosse
géobase
ensemble organisé des données relatives à la localisation, la
délinitation et I'identification des unités spatiales
image (: ttmaptt)
matrice bidimensionnelle de données thématiques localisées,
traitées par le logiciel pMAP
UAPAQ
ltinistère de 1'Àgriculture, des Pêcheries et de 1'Àlimentation
du Québec
UENVTQ
Xinistère de lrEnvironnement du Québec
UERQ
I.linistère de 1r Energie et des Ressources du Québec
L34
modem
appareil comprenant un modulateur et un démodulateur utilisé
dans le traiternent à distance de lrinformation
multispectral
se dit de photographies du nême lieu prises simultanément,
chacune correspondant à des bandes du spectre électromagnétique
différentes
rroverlayrl
1) opération de recouvrement
2') couche thénatique = couche de données localisées sur laquelle
ne figure gurun seul attribut; elle peut être directement
utilisée dans les opérations de recouwrement
résoLution
aptitude à rendre distinct deux points voisj-ns sur une image
SGBD
système de gestion de base de ôonnées
SIG
systèrne d' information géographique
Systèrne drlnformation (à Référence) | spatiale (SIRS)
I géographique
systèrne informatique intégré permettant de collecter, gérer,
analyser et présenter des données géographiques
SIURS
système drinformation urbaine à référence spatiale
SIc conçu spécifiquement pour traiter les données géographiques
que doit gérer une municipalité
I'À
unité animale (unité de référence)