Amfori BSCI Code of Conduct - French - December 2021
Amfori BSCI Code of Conduct - French - December 2021
Amfori BSCI Code of Conduct - French - December 2021
Code de conduite
I. Introduction
Le Code de conduite d’amfori BSCI est un document qui engage les membres
d’amfori et leurs partenaires commerciaux à exercer une diligence raisonnable en
matière de droits de l’homme et de protection de l’environnement dans leurs chaînes
d’approvisionnement mondiales conformément à des principes internationalement
reconnus. Ce document oriente les membres d’amfori et leurs partenaires commerciaux
pour qu’ils mènent des activités responsables, et pour identifier, prévenir, atténuer,
tenir compte de, et remédier aux, impacts négatifs sur les droits de l’homme, ainsi
que sur l’environnement, dans leurs chaînes d’approvisionnement. Il est soutenu et
complété par le Manuel du système amfori BSCI, le Programme d’engagement des
membres d’amfori et la Plateforme de durabilité d’amfori. Le présent document, avec
tous les documents justificatifs et complémentaires, intègre les caractéristiques de
la diligence raisonnable telles qu’énumérées par l’Organisation de coopération et de
développement économiques (OCDE).
Les membres d’amfori et leurs partenaires commerciaux, y compris les producteurs
en amont et en aval, les intermédiaires et les personnes impliquées dans les processus
de recrutement des travailleurs, peuvent devenir signataires du Code de conduite
d’amfori BSCI. Dans l’ensemble de ce document, le terme « signataires » sera utilisé
pour désigner les membres d’amfori et leurs partenaires commerciaux.
Cette version du Code de conduite d’amfori BSCI a été approuvée par amfori et annule
toutes les versions précédentes du Code de conduite d’amfori BSCI dans toutes ses
traductions. La version anglaise du présent document est la version juridiquement
contraignante.
Le Code de conduite d’amfori BSCI v.2021 entre en vigueur le 1er janvier 2023 . La
responsabilité d’intégrer ce Code de conduite dans leurs opérations, et de mettre en
œuvre la diligence raisonnable, incombe aux signataires.
En signant le Code de conduite d’amfori BSCI, les signataires confirment que leur engagement respectera les valeurs ci-
dessous :
• Amélioration continue : les signataires s’engagent à mettre en œuvre le Code de conduite d’amfori BSCI dans une
approche holistique, intégrée à leurs systèmes de gestion et à la culture de l’entreprise, afin de garantir l’amélioration
continue de la diligence raisonnable au sein de leurs organisations et chaînes d’approvisionnement de manière
progressive.
• Coopération : les signataires auront un plus grand impact sur, et de meilleures chances d’identifier, prévenir,
atténuer et corriger, les violations des droits de l’Homme et infractions environnementales dans leurs organisations
et chaînes d’approvisionnement en travaillant ensemble et en adoptant une approche holistique de la diligence
raisonnable. L’esprit de coopération joue un rôle crucial dans l’engagement entre les signataires et les parties
prenantes à différents niveaux, en particulier pour créer un effet de levier. amfori soutient les signataires en créant
des partenariats pertinents et significatifs.
• Autonomisation : l’objectif central d’amfori est de permettre à ses signataires de développer leurs organisations et
d’autonomiser les chaînes d’approvisionnement d’une manière respectueuse des droits de l’Homme et permettant
une amélioration continue. amfori fournit les outils nécessaires à cette fin et attend de ses signataires qu’ils utilisent
et répercutent ces outils au sein de leurs organisations et chaînes d’approvisionnement.
• Respect du code : respecter la législation nationale est la première obligation des entreprises. Dans les pays où la
législation nationale définit une norme de protection différente de celle du Code de conduite d’amfori BSCI et de ses
références, les signataires doivent respecter les principes qui fournissent la plus haute protection aux travailleurs et
à l’environnement, sans contredire le cadre juridique du pays.
• Protection des personnes vulnérables : les signataires s’engagent à protéger et responsabiliser les personnes
vulnérables, ainsi que les membres des groupes et communautés vulnérables, au mieux de leur influence. Les
signataires comprennent que la vulnérabilité peut dépendre du contexte et que certaines personnes, certains
groupes et certaines communautés peuvent être vulnérables à plus d’un titre.
• Transparence : les signataires s’engagent à faire preuve de transparence :
{ l’un avec l’autre, avec amfori et avec tout tiers impliqué, le cas échéant (par ex., auditeurs, partenaires qualité),
et dans le contexte de l’identification, de la prévention et de la correction des impacts négatifs sur les droits de
l’Homme et sur l’environnement. Les signataires s’informent activement les uns les autres et informent amfori
de tout incident critique, ainsi que de l’efficacité des réponses à un impact négatif sur les valeurs et les principes
du Code de conduite d’amfori BSCI.
{ par une divulgation raisonnable aux actionnaires, parties prenantes et gouvernements concernant leur impact
sur la chaîne d’approvisionnement et les communautés environnantes, conformément aux exigences de la
législation nationale, le cas échéant.
• adopter et communiquer publiquement une déclaration écrite de politique relative aux droits de l’Homme,
conformément à la complexité et à la taille des opérations, approuvée au niveau le plus élevé ;
• mettre en œuvre un système de gestion de la diligence raisonnable basé sur les processus et les risques dans
leurs pratiques commerciales, conformément aux UNGP, et adapté au modèle commercial de l’entreprise.
Les attentes définies dans le présent Code de conduite doivent être intégrées au système ;
• communiquer activement leur acceptation du Code de conduite d’amfori BSCI dans toutes les fonctions de
leur entreprise, ainsi que dans celles de leurs partenaires commerciaux et parties prenantes concernés ;
• former et motiver tous les services et personnes concernés d’une manière qui leur permet d’intégrer des
principes commerciaux et pratiques d’achat responsables et tenant compte des questions de genre dans la
culture de l’entreprise, et de les transmettre à leurs partenaires commerciaux ;
• exiger de leurs partenaires commerciaux qu’ils transmettent les informations aux partenaires commerciaux
et parties prenantes concernés dans la chaîne d’approvisionnement ;
• exiger de leurs partenaires commerciaux qu’ils œuvrent au respect total du Code de conduite d’amfori
BSCI dans la sphère de leur influence, y compris auprès des intermédiaires impliqués dans le processus de
recrutement des travailleurs, tels que les courtiers, les recruteurs et les agences de recrutement, et vérifier
qu’ils le font ;
• inclure tous les travailleurs dans leur processus de diligence raisonnable, en particulier les parties vulnérables
de leur chaîne d’approvisionnement telles que les travailleurs à domicile, les petits exploitants, ainsi que les
travailleurs temporaires et migrants ; identifier les défis à ces niveaux et s’associer avec amfori et d’autres
parties prenantes pertinentes pour permettre des améliorations ;
• disposer des ressources suffisantes et mettre en place la stratégie et les processus nécessaires pour
assumer les responsabilités liées au Code de conduite d’amfori BSCI et s’assurer qu’il y a une amélioration
continue dans leur mise en œuvre ;
• appliquer des pratiques d’achat responsables et tenant compte des questions de genre, et éviter de mettre
leurs partenaires commerciaux dans une position qui les empêche d’adhérer au Code de conduite d’amfori
BSCI.
• établir des pratiques de gestion responsables et tenant compte des questions de genre qui impliquent tous
les travailleurs et leurs représentants dans un échange d’informations sain sur le processus de diligence
raisonnable ;
• définir des objectifs de protection des travailleurs à long terme conformément aux aspirations du Code de
conduite d’amfori BSCI ;
• prendre des mesures spécifiques, telles que des formations, pour sensibiliser les travailleurs à leurs droits
et responsabilités, en accordant une attention particulière aux personnes vulnérables. Le cas échéant, les
intermédiaires tels que les courtiers, les recruteurs et les agences de recrutement doivent jouer un rôle actif
dans la réalisation de ces étapes ;
• développer des compétences suffisantes chez les responsables, les travailleurs et les représentants des
travailleurs au sein de leur entreprise, ainsi que dans la chaîne d’approvisionnement, pour intégrer le Code
• respecter le droit des travailleurs à former des syndicats et à y adhérer, ou à s’abstenir de le faire, et à négocier
collectivement, de manière libre et démocratique, sans distinction de quelque nature que ce soit et indépendamment
du sexe ;
• garantir une représentation adéquate de tous les travailleurs, sans distinction de quelque nature que ce soit et
indépendamment du sexe ;
• ne pas faire preuve de discrimination envers des travailleurs en raison de leur adhésion à un syndicat ;
• ne pas empêcher les représentants et recruteurs des travailleurs d’avoir accès aux travailleurs sur le lieu de travail
ou d’interagir avec eux ;
• respecter ce principe en permettant aux travailleurs d’élire librement leurs propres représentants avec lesquels
l’entreprise peut engager un dialogue sur les questions relatives au lieu de travail, lorsqu’ils opèrent dans des pays
où l’activité syndicale est illégale ou lorsque l’activité syndicale libre et démocratique n’est pas autorisée.
• respecter, au minimum, les salaires imposés par la législation gouvernementale sur les salaires minima, ou les
normes de l’industrie approuvées sur la base de la négociation collective, le montant le plus élevé étant retenu. Les
salaires doivent faire référence aux heures de travail standard ;
• payer les salaires en temps opportun, régulièrement, sûrement et entièrement en monnaie ayant cours légal. Le
paiement partiel sous forme d’indemnité « en nature » n’est accepté que conformément aux spécifications de l’OIT ;
• évaluer l’écart de salaire avec précision, et œuvrer progressivement au paiement d’un salaire vital suffisant pour
assurer un niveau de vie décent aux travailleurs et à leurs familles ;
• refléter les compétences, la responsabilité, l’ancienneté et l’éducation des travailleurs dans leur niveau de salaire ;
• lorsqu’un taux de rémunération pour la production, le quota ou le travail à la pièce existe, permettre aux travailleurs
de gagner au moins un salaire qui égale ou dépasse respectivement les salaires minima légaux applicables, les
normes de l’industrie ou les conventions collectives (le cas échéant) dans les heures de travail standard ;
• s’assurer que les travailleurs de tout sexe et de toutes catégories, tels que les migrants et les travailleurs locaux,
reçoivent la même rémunération à emploi et qualification égaux ;
• mettre en œuvre des déductions uniquement dans les conditions et dans la mesure permise par la loi ou fixée par
convention collective ;
• fournir aux travailleurs les avantages sociaux qui sont légalement accordés, par exemple sans impact négatif sur
leur salaire, leur niveau d’ancienneté, leur poste ou leurs perspectives de promotion.
• s’assurer que les travailleurs ne sont pas tenus de travailler plus de 48 heures standard par semaine, sans préjudice
des attentes spécifiques énoncées ci-dessous. Les exceptions spécifiées par l’OIT sont reconnues ;
• interpréter la législation nationale applicable, les normes de référence de l’industrie ou les conventions collectives
dans le cadre international défini par l’OIT, et promouvoir des pratiques d’horaires de travail qui permettent aux
travailleurs de maintenir un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée ;
• dépasser uniquement la limite d’heures décrite ci-dessus conformément aux cas exceptionnels définis par l’OIT,
auquel cas les heures supplémentaires sont autorisées ;
• avoir recours aux heures supplémentaires en tant que pratique exceptionnelle et volontaire, payée à un taux
majoré d’au moins 125 % du taux standard. Les heures supplémentaires ne doivent pas présenter une probabilité
significativement plus élevée de dangers professionnels, et elles ne doivent en aucun cas dépasser les limites
définies par la législation nationale ;
• accorder à leurs travailleurs le droit de faire des pauses chaque jour ouvrable et le droit d’avoir au moins un jour de
congé tous les sept jours, sauf si des exceptions définies par des conventions collectives s’appliquent.
• respecter le droit des travailleurs et des communautés locales à un travail et à des conditions de vie sains, sans
préjudice des attentes spécifiques énoncées ci-dessous. Les personnes vulnérables, telles que, mais sans s’y limiter,
les jeunes travailleurs, les jeunes mères et femmes enceintes et les personnes handicapées, doivent bénéficier d’une
protection spéciale ;
• se conformer à la législation nationale sur la santé et la sécurité au travail, ou aux normes internationales lorsque la
législation nationale est faible ou mal appliquée ;
• s’assurer qu’il existe des systèmes pour évaluer, identifier, prévenir et atténuer les menaces potentielles et réelles
pour la santé et la sécurité des travailleurs ;
• ne pas employer, directement ou indirectement, d’enfants en dessous de l’âge minimum d’achèvement de la scolarité
obligatoire, tel que défini par la loi, qui ne doit pas être inférieur à 15 ans, à moins que les exceptions reconnues par
l’OIT ne s’appliquent ;
• protéger les enfants contre toute forme d’exploitation ;
• intégrer au processus de recrutement des mécanismes de vérification de l’âge solides et qui ne doivent en aucune
façon être dégradants ou irrespectueux pour le travailleur ;
• prendre des précautions particulières et identifier les mesures de manière proactive en cas de licenciement et de
retrait d’enfants, afin d’assurer la protection des enfants concernés.
• s’assurer que les jeunes ne travaillent pas la nuit et qu’ils sont protégés contre les conditions de travail qui sont
préjudiciables à leur santé, leur sécurité, leur moralité et leur développement, sans préjudice des attentes spécifiques
énoncées dans ce principe ;
• retirer immédiatement les jeunes travailleurs de tout travail dangereux ou source de danger lorsque de tels cas sont
identifiés, et redéfinir le champ d’application de leur travail sans perte de revenu ;
• s’assurer que (a) le type de travail n’est pas susceptible d’être préjudiciable à la santé ou au développement des
jeunes travailleurs ; (b) leurs heures de travail autorisent leur présence à l’école, leur participation à l’orientation
professionnelle approuvée par l’autorité compétente ou leur capacité à bénéficier de programmes de formation ou
d’enseignement ;
• définir les mécanismes nécessaires pour prévenir, identifier et atténuer les préjudices aux jeunes travailleurs,
en accordant une attention particulière à la fourniture et à l’accès des jeunes travailleurs à des mécanismes de
réclamation opérationnels efficaces et aux plans et programmes de formation sur la santé et la sécurité au travail
spécifiques aux besoins des jeunes travailleurs.
• s’assurer que leur processus de recrutement et leurs relations d’emploi ne sont pas cause d’insécurité et de
vulnérabilité sociale ou économique pour leurs travailleurs ;
• s’assurer que le travail est effectué sur la base d’une relation d’emploi reconnue et documentée, établie conformément
aux législations nationales, à la coutume ou aux pratiques pertinentes, et aux normes internationales du travail,
selon ce qui offre la meilleure protection ;
• avant le début de l’emploi, à fournir aux travailleurs des informations compréhensibles dans leur propre langue et à
s’assurer qu’ils sont informés de leurs droits, responsabilités et conditions d’emploi, y compris les heures de travail,
la rémunération et les conditions de paiement, dans leur propre langue ;
• s’efforcer de fournir des conditions de travail décentes, et le cas échéant, flexibles, qui soutiennent également les
travailleurs, quel que soit leur sexe, dans leur rôle de parents ou d’aidants, y compris les travailleurs migrants et
saisonniers dont les enfants peuvent être laissés dans leur ville natale ;
• ne pas avoir recours à des dispositifs en matière d’emploi avec la volonté de contourner délibérément le véritable
objectif de la législation. Cela comprend, mais sans s’y limiter, (a) l’apprentissage ou les programmes de formation
lorsqu’il n’y a pas d’intention de transmettre des compétences ou de fournir un emploi régulier, (b) le travail
saisonnier ou d’urgence lorsqu’il est utilisé pour compromettre la protection des travailleurs, (c) la sous-traitance
de main-d’œuvre uniquement, et d) la substitution de contrat ;
• ne pas utiliser la sous-traitance d’une manière qui compromet les droits des travailleurs.
• ne pas s’impliquer dans, ou à ne pas être complice de, par l’intermédiaire de partenaires commerciaux, toute forme
de servitude, de travail forcé, d’asservissement, de servage, de trafic ou de travail non volontaire, y compris le travail
forcé imposé par l’État ;
• adhérer aux principes internationaux du recrutement responsable, y compris le principe de paiement par l’employeur,
et à exiger la même chose de leurs partenaires de recrutement lorsqu’ils engagent et recrutent tous les travailleurs,
directement ou indirectement, en particulier les membres de groupes vulnérables tels que les travailleurs temporaires
et migrants. Cela inclut au minimum :
Protection de l’environnement
Les signataires s’engagent à :
• mettre en œuvre un système de gestion de la diligence raisonnable basé sur les processus et les risques dans leurs
pratiques commerciales, et adapté au modèle commercial de l’entreprise. Cela peut également être intégré au
système global de gestion de la diligence raisonnable ;
• se conformer à la législation nationale sur l’environnement, ou aux normes internationales lorsque la législation
nationale est faible ou mal appliquée ;
• identifier les impacts environnementaux de leurs opérations et mettre en œuvre des mesures adéquates pour
prévenir, atténuer et corriger les impacts négatifs sur les communautés environnantes, les ressources naturelles,
le climat et l’environnement global.
• ne prendre part à aucun acte de corruption, d’extorsion ou de détournement de fonds, ni à aucune forme de
corruption, y compris, mais sans s’y limiter, la promesse, l’offre, le don ou l’acceptation de toute incitation monétaire
ou autre indue ;
• développer et adopter des contrôles, programmes ou mesures internes adéquats pour prévenir et détecter
la corruption, l’extorsion, le détournement de fonds ou toute forme de corruption, développés sur la base d’une
évaluation des risques spécifique à l’entreprise ;
• conserver des informations exactes concernant leurs activités, leur structure et leurs performances, et les divulguer
conformément aux réglementations applicables et aux pratiques de référence de l’industrie afin d’améliorer la
transparence de leurs activités ;
• s’abstenir de falsifier ou de participer à la falsification d’informations ou à tout acte de fausse déclaration dans la
chaîne d’approvisionnement ;
• sensibiliser les travailleurs aux politiques, contrôles, programmes et mesures contre les comportements contraires
à l’éthique, et à promouvoir la conformité au sein de l’entreprise par le biais de formations et de communications ;
• collecter, utiliser et traiter autrement les informations personnelles (y compris celles des travailleurs, des partenaires
commerciaux, des clients et des consommateurs dans leur sphère d’influence) avec un soin raisonnable. La collecte,
l’utilisation et le traitement des informations personnelles doivent être conformes aux lois sur la confidentialité et la
sécurité des informations et aux exigences réglementaires.
• Avant le début d’une relation commerciale, cartographier et comprendre les risques potentiels et réels pour les
droits de l’Homme.
• Pendant la relation commerciale, adopter une activité responsable et accompagner et soutenir leurs partenaires
commerciaux dans l’amélioration continue.
• À la fin de la relation commerciale, assurer une transition responsable au partenaire commercial.
{ donner un accès complet aux installations comme demandé par les personnes menant l’activité, y compris les
parties qui n’ont peut-être pas été initialement indiquées dans le champ d’application de l’activité ;
{ donner accès aux données à caractère personnel de leurs employés, et permettre aux personnes physiques de
recueillir des données pertinentes à des fins de déclaration, tant que cela est conforme à la législation nationale
et au RGPD de l’UE ;
{ permettre aux personnes de rassembler les preuves documentaires nécessaires pertinentes à l’activité, y
compris, mais sans s’y limiter, les documents commerciaux, licences, certifications et images ;
{ permettre aux personnes de mener des entretiens sur site et hors site avec les travailleurs en toute confidentialité,
sans influence ou représailles de la part de la direction.
V. Glossaire
Nom Adresse