Master Patrimoine Et Musées - Parcours Médiations Culturelles Numérique - Questionnaire Spécifique - 2023-2024 - Obligatoire

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NOM COMPLET 

: Fragne
PRENOM(S) : Inès
DATE DE NAISSANCE : 22/01/2000

FACULTÉ DES LETTRES


ET CIVILISATIONS

MASTER PATRIMOINE ET MUSEES MENTION


MEDIATIONS CULTURELLES & NUMERIQUES
FORMULAIRE D’IDENTIFICATION DU CANDIDAT

Voir pages suivantes.


Détaillez votre projet professionnel envisagé dans le domaine de la médiation culturelle,
de la muséographie, dans les domaines patrimoniaux, culturels.
Soyez précis et argumentez vos propos en indiquant notamment le métier et le domaine visé, les
compétences nécessaires pour y exercer, vos atouts actuels et les lacunes à combler pour y parvenir, etc.
(Min. ½ page tapuscrite, max. 1 page manuscrite)

J’ambitionne de passer le concours pour être médiatrice culturelle notamment dans le


domaine de l’art ou bien plus globalement dans le domaine historique. Selon moi, un(e)
médiateur/médiatrice culturel(le) est une personne qui transmet un savoir, valorise notre
patrimoine et sensibilise son public. Pour cela, il est important de disposer d’une bonne
culture générale que j’ai pu acquérir au cours de ma licence d’Histoire. J’ai aussi pu
travailler mon aisance à l’oral au cours de mes études mais aussi lors de mes expériences
professionnelles. En effet, étant dans le monde professionnel dès mes 16 ans, j’ai pu
apprendre à m’exprimer clairement et avec fluidité notamment lors de mon alternance
lorsque j’étais en BTS technico-commercial. Le sens de créativité et d’ouverture d’esprit
est tout aussi important. Adepte de cinéma, de musées, de jeux et de livres, cela m’a
permis de faire travailler mon imagination. Mon expérience au musée des Beaux-Arts peut
en témoigner, lors d’un travail de recherche en groupe (Collège Lettres et Histoire) que j’ai
effectué en deuxième année de licence, nous devions valoriser notre travail de recherche.
Nous l’avons fait au musée en créant une sorte d’« escape Game » dans lequel le public
devait résoudre des énigmes que nous avions inventées. Pour animer cette activité nous
avons jouer des rôles et écrit nos propres scriptes. Bien sûr cette expérience m’a appris à
être organisée, savoir travailler en groupe et résister au stress et à la fatigue, qui sont des
qualités à avoir pour être médiatrice culturelle. Le point important est aussi l’interaction
avec le public car il ne s’agit pas de faire un monologue mais aussi de faire, parfois,
intervenir le public pour que ce soit plus attractif. Lors de mon stage au musée de la
Résistance et de la Déportation de l’Ain, cela a été mon point faible sur lequel je dois
travailler. Et je le ferai lors de mon stage au château Champchevrier cet été.

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Expliquez votre motivation (prévoir des arguments plus concrets, plus précis que ceux utilisés dans
la lettre de motivation), précisez votre choix pour le parcours Médiations culturelles & Numérique,
vos hésitations et/ou votre choix pour le parcours muséographie.
Soyez précis et argumentez vos propos en articulant votre projet et votre parcours antérieur aux spécificités
de cette formation en particulier (par rapport à d’autres dans le domaine muséographique ou de la
médiation). (Max. ½ page tapuscrite)

Passionnée d’art et de culture, j’ai toujours eu à cœur de partager cet intérêt avec le plus
grand nombre. De ce trait de caractère sont nées des ambitions professionnelles plus
concrètes qui m’ont finalement poussé à faire des études en Histoire. J’ai décidé de
postuler pour le parcours Médiations culturelles et Numériques car touchée par ces outils
numériques qui prennent de plus en plus de place dans nos vies et peuvent entraîner des
conséquences perverses et creuser des inégalités entre ceux qui y ont accès et ceux qui n’y
ont pas accès. Il est donc important pour moi d’allier cet aspect avec le domaine de
l’histoire qui me passionne pour les utiliser à bonne escient. Ce métier me permettrait
d’allier mon sens de créativité tout en sensibilisant le public. Dans mon parcours
professionnel, j’ai pu aborder de nombreux domaines comme celui du cinéma en assistant à
l’atelier du cinéma lors de ma deuxième année de licence où j’ai réalisé un court-métrage,
ce qui m’a permis de toucher le monde du numérique pour filmer et appréhender le
montage d’une vidéo. Cependant, je ne souhaite pas me limiter à un seul champ d’action
et je suis ouverte à d’autres domaines autre comme l’organisation d’événements culturels
ou la stratégie de communication. En effet, pendant mon BTS technico-commercial en
alternance, je me suis trouvée un attrait pour organiser des événements avec les clients
professionnels mais aussi les particuliers. Cela m’a appris à être plus pointilleuse dans mon
organisation, plus que je ne l’étais déjà, mais aussi d’être inventive et imaginative sur les
différents types projets. Ce domaine reste, selon moi, dans le domaine de la valorisation
du patrimoine mais c’est aussi un moyen de transmettre et de toucher les générations
futures, ce qui me tient à cœur.

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Question de réflexion sur le champ des médiations culturelles, de la muséographie :
Proposez non pas une définition, mais votre vision de la médiation (en quelques mots clé).
Comment différenciez-vous la/les médiation(s) culturelle(s), de la communication culturelle (en
quelques mots clé) ?
Proposez un exemple de médiation numérique et de médiation matérielle. Commentez-les en mobilisant
quelques éléments parmi vos connaissances actuelles, vos expériences, vos lectures. (Max ½ page tapuscrite)

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Selon moi, la vision de la médiation c’est une personne qui intervient pour transmettre quelque
chose accessible au public que l’on vise. Tout en étant pédagogue, explicite et ludique (selon
les sujets). Comme un professeur, le/la médiateur/médiatrice ne doit pas prendre partie et
doit rester impartial(e).

La médiation culturelle, c’est le lien entre les institutions (ou les artistes) et le public dans le
secteur de la culture. La communication culturelle a pour objectif d’élargir son public ou de
toucher un public ciblé en adoptant des stratégies de communication. Les deux sont souvent
indissociable car lors de la création d’un projet de médiation culturelle, il faut faire la
promotion de celui-ci.

Un exemple de médiation numérique, la visite virtuelle sur le plateau de Gizeh, en Egypte,


organisée à Lyon (Confluence) jusqu’au 31 mai 2023. Il s’agit d’une immersion pour parcourir la
grande pyramide en taille réelle, on assiste aussi à une mise en sarcophage. C’est une
immersion incroyable qui nous permet de voir les choses en réel et de voir le tout à 360°. Bien
sûr, un guide conférencier nous accompagne pour commenter et apporter des informations.
Cette visite nous coupe de la réalité et percute peut-être plus le visiteur car il a la sensation
de s’être réellement rendu sur le lieu.

La médiation matérielle regroupe des outils comme des objets ou des jeux pour appuyer notre
propos. Lors de mon stage au musée de la Résistance et de la Déportation de l’Ain, je me suis
servie d’un jeu de plateau crée par le musée pour aider les élèves à comprendre la situation
quotidienne des habitants de l’Ain pendant la Seconde Guerre mondiale.

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