Methodologie L1
Methodologie L1
Methodologie L1
A- Une démarche scientifique, est une procédures caractérisés par les sciences naturelles, depuis le
17èS, consistent en l'observation systématique la mesure, l'expérimentation et en la formulation le texte et la
modification des hypothèses.
L'empirisme : la psychologie est une science empirique, qui repose essentiellement sur l'expérience,
sur les données en excluant les systèmes à priori. En confrontant aux faits, recours à la preuve empirique.
La démarche scientifique est caractérisée par une dépendance à l'égard des procédures empirique,
plutôt que de l'intuition.
Mesure et l'objectivisme : mesurer le phénomène le plus précisément possible (mesure physique et
psychologique. L'objectivité et impartialité implique que les observations ne dépendent pas du seul point de vu
d'un observateur singulier ou d'observateur qui serait soumis à des conditions qui limiteraient leurs
indépendance (conflit d'intérêt teste de médicament par un employé du labo qui fabrique ces médocs).
Une représentation graphique en nuage de point permet de mettre en évidence la relation entre 2
variables. La droite c'est l'ajustement linéaire, c'est la droite qui permet de résumer au mieux l'allure générale
de la distribution. La corrélation c'est la liaison linéaire entre 2 séries de données (quand il y a un lien), signifie
que les 2 séries de données varies ensembles, soit dans le même sens = corré positive, soit dans le sens inverse
= corré négative. Cas particulier : Lorsque 2 variables diminuent ensembles, elles vont dans le même sens
c'est une corrélation positive.
Le coefficient de corrélation (r) :
il est tjrs compris entre -1 et 1 (pas de signe c'est que c'est positif) et s'il est précédé du signe –
c'est négatif (sens opposé).
r = +1 corrélation positive parfaite
r = -1 corrélation négative parfaite
r = 0 abs totale de corrélation, ne signifie pas abs de lien entre les 2 variables. Il peut exister une
relation nn linéaire entres elles.
L'ajustement à une droite (ajustement linéaire) est le + fréquemment utiliser, cependant il existe d'autre
types d'ajustements (courbes).
Le coef de corré est un indicateur de la force de lien entre 2 variables, en générale en psychologie =
référence de cohen
si r > ou égale 0.5 ou .50 = corré forte
si r < ou égale 0.1 ou .10 = corré faible
si r est autour de 0.3 ou .30 corré modéré
La méthode expérimentale est une méthode dans laquelle le chercheur attribue au hasard les
participants à des conditions différentes et s'assure que ses conditions sont identiques sauf pour la variable
indépendante, seules supposés avoir un effet causal sur la VD.
Les principaux outils en recherche :
* l'observation, l'entretien, le questionnaire, tests standardisées, l'étude de cas, &
l'expérimentation.
L'observation c'est un enregistrement systématique de certain cpt ou événements. L'observateur à un
but précis une hypothèses théoriques qui va guidée son observation.
L'observation directe : L'observateur est directement confronter à l'événement ou le cpt étudier. Il
enregistre le cpt au moment et à l'endroit ou il se produit (grille d'observation).
L'observation indirect : Exploitation des données issues d'observation faites par autrui (analyse
d'archive), ces données n'ont pas été à la base recueilli pour ça, mais elles sont réutilisé pour la recherche
(observation des traces).
L'observation participante : l'observateur est acteur, il participe à l'événement (plus adapté aux
milieux clos et peu accessible, ex : étude des sectes). Le chercheur devient un élément à part entière du gpe
qu'il étudie. Les données récoltés sont plutôt de nature qualitative (le chercheur décrit simplement ses
impressions comme dans l'étude de Wheeler). Les observateurs participants s'efforcent le plus souvent de
réunir autant d'info et de détail que possible. Attention : Il ne faut pas confondre une étude sur le terrain est
une vraie expérience (les conditions antécédentes sont réellement manipulées par le chercheur) qui est faite
hors du labo.
L'observation non participante : l'observation est témoins (+ de neutralité), elle peut être en milieu
naturel de l'individu ou en labo.
C) LE QUESTIONNAIRE D'ENQUÊTE
Outils le plus répandu, le Q°re est un suite de Q°standardisé (les ind., répondent tous au même Q°)
destinées ) planifier et à faciliter le recueille de données, témoignage verbaux. Les réponses sont généralement
contrainte par un format fixé à l'avance (échelle bi-polaire, QCM ouvert ou non ouvert). L'échelle est quand
les réponses doivent être évaluer de tt à fait d'accord à pas du tout d'accord). Les items sont l'ensemble des Q°,
ex, 10 Q° à 10 modalités de la réponse. La forme de Q°re la plus connue est le sondage d'opinion (enquête
socio-éco, politique, étude de marché). Ils sont faiblement structurée au niveau théoriques et présentent de nbx
biais, bref ils sont conçu pour servir des objectifs très éloignés de ceux de la recherche.
D) LE QESTIONNAIRE DE RECHERCHE
Est en premier lieu déterminé par l'hypothèse de la recherche, il doit respecter une certains nbre de
règles concernant :
- format des items (Q° + réponses)
- l'ordre des items (organisation globale) très important
- l’ergonomie cognitive (consigne claire, typographie adaptée)
- Le contexte de passation (environnement), mode d'administration auto ou hétéro administré
(soit c'est la pers., qui répond seul, soit c'est l'interviewer qui note les réponses) et la population interrogée.
L'élaboration d'un Q°re nécessite une formation et un entraînement permettant de limiter les nbx biais
méthodologique inhérent au Q°re (désirabilité sociale).
L'avantage du Q°re de par sa structuration est qu'il facilite l'exploration statistique des données. Ainsi
que pour les tests standardisés.
F) L'ETUDE DE CAS
C'est une description et approfondie d'un ind., particulier (ou des cas + rare d'un événement particulier).
Ce qui implique une analyse de l'histoire de l'individu (cas historique, anamnèse). D'autres outils (Q°re,
entretien, tests, ect..), peuvent être utilisés au sein d'une étude de cas. On rencontre plus souvent l'étude de cas
en psychologie clinique ou en neuropsychologie et dans les études descriptives, mais d'autres combinaisons
sont possibles.
Elle est souvent utile pour l'étude d'un phénomène unique (ou extrêmement rare), comme pour
certaines pathologie (la mnémoniste, cas de M.S, décrit par luria 1968). Utile aussi pour décrire finement des
cas typiques (symptôme typique de l'hystérie). L'étude de cas va permettre de recueillir des infos de façon
approfondie pouvant conduire à confronter une théorie existante ou à élaborer de news hypothèses théoriques.
INCONVINIENTS : - absence de gpe contrôle
- difficulté de généralisation des conclusions à d'autre ind.,
- risque de biais de la part de l'ind., étudier (biais de mémoire) comme
du chercheur (manque d'objectivité).
L'expérimentation est une méthode scientifique qui consiste à tester par des expériences répétées, la
validité d'une hypothèse et à obtenir des données quantitatives permettant de l'affiner. Elle est pratiquée par
un ou des chercheurs mettant en œuvre des méthodes expérimentales. Là encore au sein même d'une
expérimentation d'autre outils peuvent être utilisées (Q°re, observation).
Tous ces outils ont tous des avantages et des inconvénients, limite : il présente tous des risques, des
biais, pouvant rendre les données moins valides. Il convient donc de bien connaître ces biais et les techniques
permettant d'annuler (ou au moins de limiter) leurs effets. Attention, les outils ne sont pas parfaitement
identique selon qu'ils sont utilisés à des fins de recherche ou d'autre objectifs (thérapeutique, diagnostique).
G- LES ÉTAPES DE LA DÉMARCHE DE RECHERCHE
1) Question de recherche : la problématique
Le problème que je souhaite une question que je me pose, elle peut venir de :
* un intérêt personnelle
* un intérêt théorique
* une demande institutionnelle (appel d'offre)
* une opportunité d'accès à une population spécifique
La question de départ de ma recherche doit être adossée à la théorie. A partir de la question initiale de
cette première piste, il est indispensable de rechercher ce qui à été fait sur ce sujet dans la littérature
scientifique. Cette revue de la littérature amène à bien souvent à modifier et surtout à préciser la question. La
réponse à ma Q° existe peut être déjà, étude inutile, redondante). La Q° à peut être déjà fait l'objet d'une ou de
plusieurs études similaire = piste pour mener ma propre études et affiner ma Q°.
2) hypothèses
L'hypothèse est la réponse à la Q° de départ, il n'y a pas de recherche sans hypothèse.
Une hypothèse est une proposition conditionnelle sur l'existence d'un lien entre au moins 2 variables.
Attention l'hypothèse n'est pas une question, elle est sous forme affirmative, c'est une prédiction + ou –
précise des résultats attendus qui doit être :
* Vraisemblables qu'elles tiennes compte des connaissances scientifique déjà établit, par rapport
au cadre théorique.
* Elle doit être vérifiable, on doit pouvoir la confronter au fait, donc elle doit être opérationnelle
(passer de l'abstrait au concret).
* Elle doit être réfutable : elle doit pouvoir être invalidé et non seulement validé par les faits,
toute hypothèse scientifique doit s'exposer au risque d'être invalidé, réfuter.
* On ne peut tester qu'une différence entre 2 gpe de donnés. Il n'y a jamais d'hypo nulle. Et on
ne peut tester une égalité, difficulté de montrer que 2 chose soit égale.
* L'absence d'effet, de difficile, entre 2 conditions expérimentale, est impossible à interpréter.
On peut distinguer 3 niveaux d'hypothèses :
1) l'hypothèse théorique ou générale : degré très élevé de généralité, elle s'applique à tout un
ensemble de cpt, de situation (les gens sont plus joyeux quand ils ont un bon sommeil), comment peut-on
mesurer un cpt abstrait qui m'intéresse ? C'est donner : une hypothèse opérationnelle, c'est traduire le concept
en l'opérationnalisant : ex qu'est-ce qu' un bon sommeil ? Quel est le bon nb d'heure de sommeil ? Soit par des
déclarations des participants ou par des mesures physiologiques.
H- ETHIQUE ET DEONTONLOGIQUE
La déontologie c'est la science des devoirs, ensembles des droits et devoirs qui régisse une profession.
Étymologie : du grec : deon-ontos = ce qu'il faut faire et logos : discours. Toute profession possède un code de
déontologie.
L'éthique (du grec) : la science morale et lieu de vie (habitude, mœurs) = une discipline pratique et
normative qui se donne pour but de dire comment les êtres doivent se comporter.
Code de déontologie des psychologues (1996) : c'est un ensembles de règles destiné aux psy praticien
ainsi qu'aux enseignants et chercheur en psychologie. L'objectif de ce code est de protéger le public et les psy
contre l'usage et les mésusages de la psychologie et contre l'usage des méthodes et technique se réclame
abusivement de la psychologie.
Les 7 grands principes du code de déontologie française :
1) Respect des droits de la personnes
2) Compétence (à mettre à jrs, théories)
3) La responsabilité (choix des méthodes et techniques mise en œuvre)
4) Probité (honnêteté, droiture), respect des droits déontologiques.
5) Qualité scientifique = justification de façon théorique
6) Respect du but assigné (on ne mélange pas recherche et la clinique, praticien).
7) Indépendance prof.,(seul à décider des modes d'intervention)
+ une clause de conscience, quand il ne peut pas respecter ces principes, il est en droit de faire jouer
cette clause.
Ι- LA METHODE EXPERIMENTALE
DEF : l'objectif est de mettre en évidence une relation de cause à effet entre 2 phénomènes. Elle
procède par comparaison : Pour comprendre le phénomène, le chercheur va comparer ce qui se passe en
présence du phénomène, par rapport à ce qui se passe en son absence.
Les phénomènes qui se présentent en milieu naturelles, ne peut pas être utilisés, car on ne peut pas
contrôler tous les biais. On va utiliser, créer des situations et on les contrôle, je manipule seulement l'effet que
je cherche à vérifier.
Ex : hypothèse : { le matin = cause = moment de la journée} on retient {moins bien les informations = effet pb
mnésique }
Création de 2 conditions selon le moment de la journée : 1er gp = 8h
2èm gpe = 20h
1) notion de variables
Def : Une dimension qui est caractéristique de l'environnement physique ou sociale, dimension d'un ou
plusieurs cpts, dont les manifestations peuvent être classées en catégories ou mesurées et prendre plusieurs
valeurs ou états différents.
Les variables sont utilisés pour données une dimension, une mesure quantifiable concrète à des
concepts, des dysfonctionnements psychologique (la langage, la mémorisation, la dépression). Le passage d'un
concept générale à une variable concrète est la phase d'opérationnalisation (ex : le nb de mot correctement
rappelées sera plus facile à 8h qu'a 20 h)
Les VI sont des variables qui intéressent le chercheur, parce que c'est pour ses variables qu'il formule
des hypothèses, car il cherche à étudier leurs influences et leurs impacts. Les VI se sont les variables que le
chercheur manipule de façon volontaire.
NORME DE PRESENTATION :
Heure d'évaluation M 2 (nom de l'expérience tte lettre sauf le S) et 2 (nb de modalité)
- m1 : 8h
- m2 : 20h
autre plan d'expérience
Nature de l'info à mémoriser E2
- e1 : mots
- e2 : chiffres
Dans une expérience on peut manipuler plusieurs VI (ex : nature de l'info à mémoriser = mots, chiffres). Le
nom de la VI est un choix perso., sauf le S.
2-1 STATUT DES VI
C = f ( S , P )
Comportement = fonction de changement à la Situation ou à la Personne. 2 types de VI :
VI INVOQUER :
Extraites (issus) des caractéristiques des participants (genre = H vs F ; âge = jeune vs vieux ; niveau
d'anxiété = faible vs élévé). En générale elles sont difficiles à maîtriser de façon réelles, car elles font parties
intégrante des participants. L'expérimentateur n'a pas d'autre choix de sélectionner les modalités qui l'intéresse
(H vs F) . On est plus dans l'expérimentation strict, mais dans la quasi-expé (avec des VI que le chercheur ne
peut pas manipuler).
VI PROVOQUER :
Manipulées par l'expérimentateur et elles correspondent aux caractéristiques de la situation (variable
situationnelle = caractéristiques de l'épreuve ; variables environnementale = physique = luminosité, bruit)
Quand on fait une expérience, on s'attend à une modification du cpt, on va définir un aspect de ce cpt
qui est supposé varié en fonction des chgts de l'environnement que l'on a pris en compte ou manipulé (VI)
c'est que l'on va mesurer, c'est la VD. On va considérer le nb ou % de mot rappellé, ou le nb d'erreur, le tps qui
est pris pour apprendre des mots, pour un même cpt, on peut avoir plusieurs VD, le chercheur choisi sa VD.
La VD est un indicateur du cpt parmi d'autre, c'est une mesure (on peut en avoir plusieurs), elle
correspond à la réponse du participant. Réponse ou mesure de la réponse du participant soumis à une
expérience, cette réponse est dépendante de la situation expérimentale créer par l'expérimentateur.
L'intérêt d'avoir plusieurs VD est de vérifier que l'effet observé est bon.
2-4-1 L’ÉCHANTILLONNAGE
1er étape : Définir la population parente (infirmière, étudiants, ouvrier...).
a) L’échantillonnage probabiliste strict
Tirage au sort des individus parmi l'ensemble de la population parente : liste au hasard ou par intervalle
régulier.
Inconvénient : avoir une liste exhaustive de la population parente (plus ou moins facile).
b) L'échantillonnage non probabiliste
Il s'agit de respecter les proportions des participants en fonction des caractéristiques de la population
parente (caractéristique qui peut influencer les résultats). Un échantillon est représentatif s'il respecte les
proportions de chaque caractéristique de la population parente.
Ex : méthode des quotas :
1000 étudiants échantillon 50 étudiants
75% de femmes même proportion 75% de femmes
80% de 18 ans 80% de 18 ans
3- LE PLAN D'EXPERIENCE
C'est une façon de résumer les VI de l'expérience et la façon dont les participants se répartissent dans
les gpes (conditions).
PLAN CROISE : S 40 * E 2
3) 2 VI emboîtés uniquement (1 seule modalité pour chaque VI), plan à gpe indépendant
S 10 < B2 * E3 >
5- CONCLUSION
Intérêt de la méthode expérimentale :
* Permet de déterminer la cause d'un phénomène
* Permet de contrôler des VP potentiellement qui peut biaiser les résultats
* Permet d'isoler un phénomène particulier pour l'étudier de façon « pur »
Inconvénient :
* Pb de validité écologique (dans la vie réelle, naturellement)
* Pas tjrs possible (déontologie)
Ne pas oublier de donnée le titre celui de l'hypothèse opérationnelle, au dessus du tableau et au dessous
du graphique. Dans le graphique d'hypothèse on ne gradue pas les axes, ni les résultats, on trace les hypothèses
opérationnelle, sans oublier le titre.
Description étape indispensable à toute recherche, avant d'expliquer un phénomène il faut pouvoir
savoir ce qu'il est c'est-à-dire : le décrire.
Observation aspect fondamentale de toute démarche scientifique lorsqu'elle est systématisée,
l'observation constitue la méthode d base de toute recherche scientifique.
L'observation naïve (ou libre) : l'observateur n'a pas de but précis, il n'a pas forcément prévu
d'observer ce qu'il observe. Elle n'a aucune validité scientifique mais peut ouvrir à de news idées de recherche
(si capacité d'étonnement).
L'observation scientifique ou systématique : enregistrement systématique de certains cpts ou
événements, cette observation est :
- Préméditée : l'obserteur à un but précis, une hypothèse qui va guider son observat°.
- Éclairée : guidée par un cadre théorique.
2) Il est impossible de tout observer, il n'existe pas d'observateur qui soit un décalque exacte et complet
de la réalité. Observer c'est choisir, les choix se font en fonction de l'hypothèse de la recherche, avec des
objectifs méthodologique important :
- Décrire les données en les classifiant afin de rendre leur description cohérente et systématique.
- Enregistrer des données de telles sorte qu'elle puissent donner lieu à un traitement quantitatif.
En psychologie on observe le cpt. Qu'est qu'un cpt ? C'est toute activité d'un organisme vivant
possédant un système nerveux individuel qui entraîne des modifications spatio-temporelle observable (raber
1988). Au sens strict, la notion de cpt exclue donc tte activité interne (processus cognitif, neurophysiologique,
affectif), concept général qui recouvre plusieurs niveau (du moléculaire au molaire).
On distingue plusieurs niveau de cpt :
1) Les composants neurologique ou physiologique (ex : rougisst, transpirat°). 2)
Composante motrice (lever un bras, baisser la tête).
3) Actes ind., enchaînement de plusieurs unité motrice (marcher, sauter).
4) Echange ind., avec l'envt physique (ex:fermer une porte, faire du vélo)
5) Echange entre 2 ou plusieurs ind. (= interact° sociale), ex : répondre a autrui, lui tendre un objet.
6) Cpt de gpe entiers (ex : organisat° hierarchique ds 1 gpe).
7) Cpts de populat° entières (ex : migrat°).
Pour REUCHLIN 1977, c'est quand on se situe aux niveaux les plus élémentaires du cpt qu'il sera le +
aisé de fournir des descriptions et des exples vérifiables.
Unité élémentaires : risque d'avoir 1 significat° faible 1 fois sorties de leurs contexte (lever le bras
droit).
Inversement un enregistrement des unités plus large et peut conduire à une perte de sensibilité de la
mesure et laisser une part trop importante aux inférences (interprétat°).
Le chercher doit situer ses observations au niveau qui sera le plus adapté à l'objectif de la recherche,
c'est-à-dire à un niveau qui intègre l'organisat° et la finalité des cpts => on parle généralement de conduite.
Conduite de Reuchlin = ensemble d'actes (de réponses au sens behavioriste), caractérisé par l'organisat°
que leur impose la fin poursuivie consciemment ou non, rationnellement ou non par l'organisme.
Attention !! a la culture, l'interprétation des conduites est facilitées lorsque l'observateur et l'observé
partagent une même culture. Un cpt peut avoir des significat° différentes. Comment observer ?
1) Les étapes de l'observat° + hypothèse
2) Sélection du ou des sites d'observation
Labo ou naturel ? Il faut circonscrire à l'avance les lieux d'observat° (tournée de recnce du milieu),
choix en fonct° de la littérature, de l'hypothèse et de contrainte de terrains.
1) Déterminer les obj. De l'obs. + hypothèse
2) Select° du ou des sites d'obs.
3) Choix de l'échantillon de pop. (qui vais-je étudier ?)
4) Def. De la séquence d'obs. (technique d'échantillonnage)
5) Elaboration d'une grille d'obs.
6) Obs. Personnelle (aller sur le terrain)
7) ttt des données
8) Interprétation
Anticipation, préparation, Ketele 1987. La grille d'observat° est un système d'obs., qui est
systématique, attributive, allospective (des autres). Elle visent a recueillir des faits (et non des représentations).
Elle est mener par un ou + observateur indépendant.
- ces procédures de sélection, de provocation, d'enregistrement et de codage des attributs à obs.,
sont déterminer le + rigoureusement possible, ainsi il faut aussi spécifier le but de l'obs.
- tte obs., se fait avec un objectif précis qui détermine la grille d'observat°.
Il existe des grilles validées qui peuvent être utilisées directement ou adaptées (grille de Bales, agitat°
behavior Mapping instrument ou ABMI, cohen Mansfeild werner et Marx 1989), plusieurs phases sont
nécessaire pour son élaboration.
Phase 1 : l'observat° libre est une investigation peu structuré. L'objectif est de décrire de la façon la +
exhaustive possible le répertoire cptle d'intérêt, noter le max de données cptle (pas définit avant), multiplier les
contextes physiques et sociaux d'observat° (le moment, les lieux). De multiplier le nbre d'ind obs., et multiplier
le temps d'observat°.
Phase 2 : Chois des unités de cpt (élaboration des catégories de cpts). A partir de la liste retenue il faut faire
des regroupements des différents éléments entre eux. Les catégories (plusieurs éléments de la liste), peuvent
être crées en fonction de plusieurs dimensions :
-homogène
- exhaustive
- explicite (nom de la catégorie)
Phase 3 : définir des unités de mesures, une fois choisie les unités de cpt, ils doivent être définie à l'aide de
critères de mesures précis.
Phase 4 : pré-tests : La 1er version de la grille ainsi obtenue doit être pré-testé sur le terrain par plusieurs
observateurs qui vont évaluer les différences rencontrés pour ensuite ajuster la grille. Autant pré-test que
nécessaire, jusqu'a l'obtention d'une grille qualifié de fiables par l'équipe de recherche (et grâce un des
indicateurs statistiques).
Les biais d'observation, c'est-à-dire des erreurs type qui sont relativement systématiques et qui risquent
d'altérer la validité de l'obs. Certain de ces biais sont particulièrement important dans le cadre de l'observat° :
- effet d'intrusion de l'observateur
- effet d'attente
- constance des instruments
Ils sont non intentionnels, ces biais n'en sont pas – réels. Il convient donc de les connaître afin de les
éviter.
Risque : - on peut se fatiguer, penser à autre chose, avoir une attent° diminué.
- devenir de + en + précis dans son codage au cours des différentes obs.
Dans tout les cas : la stabilité ds le tps entre plus ; obs. Réalisé par un même obs., doit être évaluer =
fidélité intra et inter-observateur (k de KAPPA-COHEN).
AVANTAGE PRINCIPAUX DE L'OBSERVAT° :
- permet d'étudier des populat° difficile à interroger (animaux, bébé..)
- permet d'étudier des cpts réels, manifeste et non simplement des déclarat° de cpts (comme
dans le questionnaire).
- permet l'accée à certains cpts dont l'ind n'a pas conscience (qi ne peuvent pas être reportée par
un entretien ou un Q°re)
- technique non intrusive.
INCONVINIENTS :
- technique très coûteuse en tps de préparation et d'analyse de données.
- Mais inconvénient est très réduit lorsque l'obs., est circonscrite à qque cpt spécifique et dans
un tps limité.
- Pas accès aux processus interne (cognit°, émot°) ou bien uniquement par inférence (déduct°).
- Étude cptle de Baumeister, Vohs et Funder 2007.
LE QUESTIONNAIRE
INTRO : Technique de recueille de données, sont utilisation est très répandue (sondage..). Le
questionnaire peut être utilisé avec n'importe quelle méthode de recherche (descriptive, corrélationnelle ou
expérimentale. Si les échelles sont très standardisées, elles contiennent souvent des Questionnaires, celle-ci ont
été soumise à des exigences de validité conceptuelle et empirique très stricts ? Ns ne les considérons pas ici,
comme questionnaire.
- L'élaboration d'un questionnaire est bcp plus complexe qu'il n'y paraît.
- Il permet de fournir des données directement exploitable statistiquement.
- Il permet d'obtenir des infos, des opinions, les préférences, les cpts des ind., simplement en
leur demandant (ce qui suppose que les ind., veulent et peuvent répondre).
- Dans le cadre de la recherche, le questionnaire est d'abord guidé par l'objectif de la recherche
et respecte certains critères methodologiques.
- Il peut néanmoins être utilisé à différents desseins (objectif).
Il arrive que l'enquête soit basé sur un modèle théorique spécifique, dans ce cas, les variables en jeu
sont pré-déterminé par le modèle. Le questionnaire vise à opérationnaliser ces variables à travers différents
questionnaires.
Le questionnaire dans la psychologie expérimentale est un outils utile pour recueillir des données.
Plusieurs type de mesures peuvent être opérationnalisé par des questionnaires (stéréotypes, cnces, jugements),
mesures des concepts.
Les questionnaires sont liées à la mesure souhaité, on ne recherche pas l'exhaustivité de la mesure, mais
ce qui permettra de validé ou non l'hypothèse. Le questionnaire en tant que VD peut être administré avant, pdt
et/ou aprés l'introduction des VI.
3) Provoquer des différentes VI, plus rarement le Q°re peut être un moyen de provoquer des
différences entre 2 gps de participants, afin d'en étudier les effets sur une même mesure. Il peut s'agir de
formulation différentes des Q°re (ex : évaluat° des risques pour soi VS pour son meilleurs amis VS un
inconnu, la VI est opérationnalisé par le Qre°). Ou bien il peut s'agir d'un questionnaire qui va produire une
modification transitoire (attitude, des représentations de soi, de l'environnement), dont les effets seront évalués
après, sur la VD menace su stéréotype.
1°) Q° semi-ouverte : qui appel des réponses libres (souvent courte), suite à une liste. Elles
permettent de prendre en compte des réponses non prévu par le chercheur (autre préciser lequel?)
2°) Q° ouverte : de format texte = 1 réponse ss forme de texte, o peut utiliser des catégories.
Avantage : réponse + riche, pas d'influence sur les réponses des modalités proposées. Inconvénients : difficulté
d'exploitation des données (analyse du contenu + difficile et plus long à traiter) et l'absence de cadre peut
troubler des personnes ayant des difficultés d'expression écrite ou orale (a éviter absolument en début de
Q°re).
3°) Q° fermé : toute les modalités de réponses possible sont fixé à l'avance ; le répondant n'a
plus qu'a choisir la réponse qui lui convient.
4°) Q° unique ou simple (ou échelle catégorielle) : qui appel à une réponse unique (oui non,
vrai faux).
5°) Q° filtre ou branchement ou corrélationnelle : permet de conduire les répondants à une
partie du Q°re en fonction de leurs réponses à la question (si oui passer à la q° suivante).
6°) Q° à choix multiple (QCM) : offre plusieurs modalités de réponse il faut impérativement
indiquer à une ou plusieurs réponses sont possibles (parmi d'autre vraisemblables, aucun indice ne doit
distingué les réponses : longueur, formulation). Pour les QCM à réponse unique les modalités des réponses
proposées doivent être :
* Mutuellement exclusive : le choix de l'une des modalités exclut toute les autres.
* Exhaustive : Elles doivent recourir à toutes les réponses possibles (pas tjrs facile en cas
de doute ajouter la catégorie autre)
* Pas de bonne ou mauvaise réponse : à indiquer (Q° d'opinion, de croyance)
7°) Q° ordonné, de classement : permet aux répondants d'établir un ordre de préférences parmi
plusieurs propositions
* Echelle : nbx type les + répandu sont :