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Travail demandé :
Présenté par :
ZAIDI sarra
BELHADJ Mohammed Souheyb
MOULAY OMAR Mohamed Slimane
1.1.2. Le solaire
Au sein de l’énergie solaire, il faut différencier le solaire photovoltaïque et le solaire thermique.
Le premier génère de l’électricité grâce à la conversion de la lumière du jour. Ce sont les
photons, des composants de cette lumière, qui libèrent les électrons des cellules photovoltaïques
présentes sur les panneaux solaires. Ces cellules sont constituées de matériaux semi-conducteurs
dont le plus communément utilisé est le silicium. Le courant continu ainsi produit est transformé
ensuite en courant alternatif grâce à un onduleur. Quant à lui, le solaire thermique permet la
production d’eau chaude grâce à des capteurs solaires. Il existe également des centrales
électriques solaires, qui utilisent un procédé thermique à très haute température, ce qui induit la
transformation de l’eau en vapeur pour alimenter une turbine et produire in fine de l’électricité.
[3]
1.1.3. L’hydraulique
L’énergie hydraulique utilise la force du courant qui passe à travers une centrale afin de faire
tourner une turbine qui entraîne à son tour un générateur électrique qui injecte de l’électricité sur
le réseau. Contrairement à l’éolien et au solaire, l’énergie hydroélectrique est relativement peu
dépendante des conditions climatiques. Selon les saisons, les débits enregistrés au niveau des
centrales sont toutefois fort différents. [4]
1.1.4. La géothermie
La géothermie utilise la chaleur naturelle émanant des nappes aquifères présentes dans le sol
pour fournir un système durable de chauffage pour les bâtiments (habitations, commerces, etc.).
Si cette énergie géothermique peut être à l’origine de chaleur, elle permet également de produire
de l’électricité, moyennant l’utilisation de turbines. Une vingtaine de pays produisent de
l’électricité géothermique, essentiellement en Amérique du Nord et en Asie. [5]
Pour ce qui est du volet thermique, l’eau chaude qui émane du sol est utilisée pour alimenter un
système de chauffage en circuit fermé. C’est une source d’énergie qui ne dépend pas des aléas
climatiques, mais qui requiert un potentiel géologique favorable.
L’investissement est toutefois conséquent, ce qui implique que la rentabilité d’une telle
infrastructure doit être optimale, ce qui n’est pas géologiquement le cas partout.
La géothermie peut également exploiter des eaux situées à moindre profondeur (entre 10 et 400
mètres sous la surface du sol), ce qui implique une température également moins élevée, sous les
30°C. Ce procédé est utilisé pour le chauffage ou la climatisation grâce à une pompe à chaleur
qui permet d’augmenter la température de l’eau extraite. Il trouve également des applications
dans le secteur de l’agriculture et de l’horticulture (chauffage et ventilation dans des serres). [6]
1.1.5. La biomasse
La biomasse concerne toutes les matières organiques qui peuvent produire de l’énergie suite à
leur combustion ou à toute autre opération de transformation. Elle englobe ainsi tout ce qui se
rapporte à la combustion directe du bois sous toutes ses formes (bûches, granulés, etc.) et de ses
dérivés (déchets de l’exploitation forestière ou issus des scieries et des industries de
transformation du bois telles que les menuiseries et les fabricants de parquets, meubles, etc.).
Mais elle vise également le traitement des déchets de l’industrie agroalimentaire, ceux issus de
l’agriculture, ainsi que les ordures ménagères. En effet, le biogaz est obtenu grâce à la
fermentation des déchets organiques et sa combustion produit de la chaleur ainsi que de
l’électricité grâce à la cogénération. [7]
Si l’éolien et le solaire s’invitent régulièrement dans les médias, c’est pourtant la moins célèbre
filière de la biomasse qui constitue la source la plus importante d’énergie renouvelable, que ce
soit pour l’électricité, la chaleur ou le carburant. La raison principale qui explique l’importance
de la biomasse à l’échelle mondiale est qu’une partie non négligeable de la planète utilise encore
le bois pour se chauffer ou pour cuisiner. [8]
Selon l’APERE, la biomasse (en ce compris les déchets organiques) a par ailleurs couvert en
2011 pas moins de 68,0 % de la consommation d’énergies renouvelables au sein de l’Union
européenne. La plus grande partie de cette bioénergie provient de la combustion ou du traitement
du bois (47,8 %). [9]
1.1.6. La cogénération
La cogénération est un cas particulier, dans le sens où il s’agit d’une énergie verte, mais pas
d’une énergie renouvelable puisqu’elle ne se régénère pas de manière systématique. Il s’agit
d’une technologie permettant de produire simultanément de la chaleur et de l’électricité (« co »
pour « ensemble », et « génération » pour « production »). La transformation d’énergies fossiles,
de biogaz ou de biomasse (cogénération à partir de bois) pour produire de l’électricité est un
processus qui produit de la chaleur, laquelle, grâce à la mise en place d’un système de
cogénération, peut être utilisée pour divers usages au lieu d’être perdue (alimentation en eau
chaude ou en chauffage, conversion en énergie frigorifique, etc.). Souvent utilisée par les
entreprises, la cogénération, sous forme de « micro cogénération », s’invite depuis quelques
années chez les particuliers. Le transport de la chaleur n’est pas chose aisée, contrairement à
l’électricité. Dès lors, l’unité de cogénération s’installe de préférence sur le site qui bénéficiera
de la production d’énergie thermique. [10]
Les panneaux solaires thermiques contiennent des fluides caloporteurs. Une fois qu’ils sont
chauffés par le soleil, les fluides commencent à chauffer le ballon d’eau chaude.
Un chauffage solaire ;
Un chauffe-eau ;
Une cuisinière.
Elle ne produit pas d’électricité mais bien de la chaleur. Elle peut être utile dans certains usages
industriels pour remplacer une partie des usages d’énergie fossile.
L’énergie solaire thermodynamique est produite via des centrales solaires à concentration. Il
s’agit d’un assemblage de miroirs contenant des fluides caloporteurs, couplés à un générateur
d’électricité solaire.
À l’image des panneaux solaires thermiques, ce sont les miroirs qui transforment l’énergie
collectée par les rayons du soleil, en chaleur. Cette chaleur a une température très élevée. Bien
supérieure à la température à laquelle elle a été collectée. Elle peut aller de 250 à 800 degrés
selon la technique employée.
Cette chaleur sera convertie en électricité au moyen d’une turbine et d’un alternateur comme
dans une centrale thermique.
L'irrégularité propre à l'énergie solaire peut être contournée, soit en stockant la chaleur (avec un
réservoir de fluide chaud), soit en hybridant les concentrateurs solaires avec une centrale
thermique classique (la chaudière et la chaleur solaire nourrissant la même turbine à vapeur).
Un moteur Stirling relié à une génératrice peut aussi bien utiliser un système de concentrateurs
paraboliques ou des capteurs plats à fluide caloporteur, selon son gradient thermique de
fonctionnement.
2- Gisement solaire en Algérie
Le gisement solaire est un ensemble de données décrivant l’évolution du rayonnement solaire
disponible au cours d’une période donnée. Il est utilisé pour simuler le fonctionnement d’un
système énergétique solaire et faire un dimensionnement le plus exact possible compte tenu
de la demande à satisfaire [1].
De par sa situation géographique, l'Algérie possède les gisements solaires les plus riches du
monde, au monde comme le montre la figure II.1.
La durée d'insolation sur la quasi-totalité du territoire national dépasse les 2000 heures
annuellement et peut atteindre les 3900 heures (hauts plateaux et Sahara). L'énergie reçue
quotidiennement sur une surface horizontale de 1 m2 est de l'ordre de 5 KWh sur la majeure
partie du territoire national, soit près de 1700 KWh/m2/an au Nord et 2263 kwh/m2/an au Sud
du pays, Ce gisement solaire dépasse les 5 milliards de GWh [2].
Dans le cadre de la recherche, il existe de nombreuses institutions en Algérie qui ont été
créées dans le but de stimuler et d'accélérer le rythme de la technologie. Le gouvernement a
pris des mesures concrètes par la promulgation des lois pour développer et améliorer
l'efficacité énergétique et couvrir les coûts résultant du système de tarification appliqué à
l'électricité.
Figure 2: Moyenne annuelle de l’irradiation globale reçue sur une surface horizontale Cas
d’un ciel totalement clair [5]
Figure 3: Moyenne des sommes annuelles d'irradiation globale inclinée [4]
L'application la plus souvent utilisée, dans cette configuration du système photovoltaïque, est
l'irrigation des cultures ou l'approvisionnement en eau potable dans les régions où le réseau
électrique est absent.
Le pompage au fil du soleil est bien souvent la solution la plus évidente. L'évolution
progressive, depuis 20 ans, des matériels et des gammes de performances permet aujourd'hui de
considérer le pompage solaire comme une technologie mature.
Une installation Photovoltaïque (PV) est dite autonome ou isolée quand elle n'est pas
reliée à un réseau de distribution électrique.
Le système PV autonome permet de fournir du Courant électrique à des endroits où il
n'y a pas de réseau.
Il se révèle particulièrement adapté pour des applications comme :
Une alimentation d'une maison en compagne ou aux régions isolées du sud algérien,
L’éclairage en zone isolée (éclairages publique),
L’alimentation de bornes téléphoniques le long de l'autoroute, etc.
Pour ces applications, il n'est pas toujours possible de mettre en place un réseau
d'alimentation classique, soit à cause des contraintes techniques, soit pour des raisons
économiques.
Le système autonome doit être capable de fournir du courant aux consommateurs, pendant
la période de l'année de moindre irradiation lumineuse.
Si on a besoin du courant toute l'année, la période de moindre irradiation est l'hiver.
Pendant cette période, il faudra plus de panneaux pour couvrir les mêmes besoins qu'en
été.
Les batteries donnent une autonomie au système pour des applications nocturnes ou quand
les panneaux ne fournissent pas assez de courant.
Ce système peut délivrer du courant continu uniquement pour alimenter des charges qui
fonctionne avec cette nature de courant (souvent adapté pour les petites puissances), ou
bien du courant alternatif si on complète avec un onduleur photovoltaïque autonome (pour
l'alimentation des appareils domestique tel qu'un téléviseur, un réfrigérateur...etc.).
Sinon, on peut avoir les deux natures de courant (courant alternatif et continu) comme le
montre l'image.
Le Photovoltaïque, ainsi que les autres technologies des énergies renouvelables, peuvent
significativement contribuer au développement économique et social. Aujourd'hui, près de
1,5 milliard de personnes dans le monde, dont bon nombre vivent dans des régions isolées,
n'ont toujours pas accès à l'électricité, à l'eau potable, à des soins de santé de base, à
l'éducation et à d'autres services essentiels.
Du fait de l'éloignement du site, des difficultés d'approvisionnement en carburant, de
l'augmentation du coût de celui-ci et de l'accroissement de la population, les besoins en
électricité deviennent indispensables.
La solution la plus adaptée, dans ce cas, est une centrale photovoltaïque hybride où elle
associe un champ photovoltaïque ainsi qu'un groupe électrogène pour l'appoint (pic) de
consommation; elle peut ainsi contenir une autre source renouvelable telle que l'éolienne,
l'hydraulique, etc.
L'avantage de ce système est la marge importante de puissance que l'on peut assurer
grâce au groupe électrogène qui intervient seulement pour les pics de puissances ou bien
pour charger les batteries lors d'un climat défavorable.
Constitution du système hybride
Sources d'énergies :
1. Champs photovoltaïque.
2. Groupe électrogène.
Conversion et contrôle d'énergie :
5. Ensemble de batteries
d'accumulateurs (parc de
batteries).
Figure 11: Système autonome hybride
4- L’efficacité énergétique
4-1 Définition
L’efficacité énergétique est rapidement devenue l’un des grands enjeux de notre époque et les
bâtiments en sont une des composantes majeures. Ils consomment plus d’énergie que tout
autre secteur et contribuent donc dans une large mesure au changement climatique », souligne
Björn Stigson, président du WBCSD (World Business Council for Sustainable Development,
WBCSD). « Sans mesures immédiates, des milliers de nouveaux bâtiments seront construits
sans aucune considération pour l’efficacité énergétique et des millions de bâtiments existants
consommant plus d’énergie que nécessaire seront toujours présents en 2050. Agir maintenant
implique de réduire leur consommation énergétique et de faire de réels progrès en faveur de la
lutte contre le changement climatique ». « Le marché ne pourra pas à lui seul introduire les
changements nécessaires. La plupart des propriétaires et occupants de bâtiments ne sont pas
assez informés sur la consommation d’énergie et ne s’en soucient pas suffisamment. Cette
inertie est renforcée par les affirmations selon lesquelles les coûts sont trop élevés et les
économies trop faibles. C’est pourquoi nous appelons à fournir un effort important, coordonné
et mondial. Si nous pouvons faire cela, nous réduirons les émissions de gaz à effet de serre et
stimulerons parallèlement la croissance économique.
L’Algérie est un pays qui jouit d’une position relativement enviable en matière énergétique.
Les réserves en hydrocarbures dont il dispose et les niveaux actuels de consommation
nécessaires à la couverture de ses besoins propres lui permettent de rester serein pour
quelques temps encore. Dans l’immédiat, le problème énergétique de l’Algérie est un
problème qui se pose en terme de stratégie de valorisation de ses ressources pour les besoins
du développement du pays, de choix d’une véritable politique énergétique à long terme et de
définition immédiate d’un modèle cohérent de consommation énergétique couvrant le court et
le moyen terme, avant la date fatidique de l’épuisement de ces ressources fossiles
stratégiques. Dans ce contexte, la loi algérienne sur la maîtrise de l’énergie (20) et les
nouveaux textes réglementaires mis en place récemment (21-22) sont venus fixer
le modèle de consommation énergétique national et définir le cadre général des différentes
actions à mener pour parvenir le plus rapidement possible à une rationalisation de l’emploi
des énergies disponibles et à une meilleure maîtrise de la consommation énergétique. Outre la
nécessaire diversification énergétique qui vise essentiellement une rapide intégration des
énergies renouvelables (solaire photovoltaïque et thermique, éolienne, géothermique,
biomasse) (figure 13) dont dispose en abondance l’Algérie, le développement des économies
d’énergie est un axe très important de la démarche préconisée par cette loi.
Le certificat énergétique est un document officiel portant sur la performance énergétique d’un
bâtiment (délivré en Europe mais pas encore en Algérie). Il est exprimé sous forme d’une
quantité de kWh par m2 par an (la consommation du bâtiment est exprimée en kilowattheure
par mètre carré par an). Ce chiffre est complété d’un label, afin de visualiser facilement cette
performance
Figure 13 : Différentes sources d’énergie renouvelable
Le certificat énergétique est un document officiel portant sur la performance énergétique d’un
bâtiment (délivré en Europe mais pas encore en Algérie). Il est exprimé sous forme d’une
quantité de kWh par m2 par an (la consommation du bâtiment est exprimée en kilowattheure
par mètre carré par an). Ce chiffre est complété d’un label, afin de visualiser facilement cette
performance.
Avec une valeur de Econs= 156,36 kWh/m².an, l’habitat est classé à la D (voir schéma du
label européen), moyen mais reste énergivore, des solutions existent pour élever le niveau
énergétique.
En moyenne, l’habitat en Algérie se situe à la D voir (figure 15), en consommant plus que 151
kWh/an pour le chauffage, climatisation, eau chaude sanitaire et éclairage (23).
Figure 15 : Label énergétique européen
Aujourd’hui, les bâtiments jouent un rôle très important dans la dépense énergétique. Pour
cela nous devons réfléchir aux procédés qui permettront la réduction de cette dépense
énergétique. Plusieurs paramètres agissent sur le comportement thermique du bâtiment dont la
forme, l’orientation, ses éléments constructifs et les aménagements intérieurs.
Pour plus de confort, on a recours à une surconsommation d’énergie, donc il faudrait d’abord
améliorer le bâtiment afin de réduire la demande en chauffage et en rafraichissement puis bien
réfléchir sur la composition des parois de l’enveloppe, la compacité du volume chauffé,
l’emplacement, l’orientation et le type de vitrages.
Des solutions existent pour aboutir à un habitat basse consommation énergétique. En guise
d’illustration, on peut citer :
- Meilleure isolation de l’enveloppe qui fera diminuer la dépense énergétique de chauffage et
de rafraîchissement,
- Utilisation des énergies renouvelables dans les équipements de chauffage et de
rafraichissement des bâtiments.
C’est donc naturellement que les autorités et les gouvernements ont fait de la réduction de la
consommation des bâtiments un de leur axe stratégique. Ce terme revient sur la notion de
développement durable, sur la place du bâtiment et de l’efficacité énergétique.
Pour répondre aux enjeux du développement durable, de nombreux efforts sont entrepris dans
le secteur du bâtiment pour améliorer la gestion de l’énergie. C’est ainsi que la notion
d’efficacité énergétique des bâtiments est devenue l’un des sujets stratégiques les plus
importants du moment. [24]
Les projets menés ont notamment pour objectif d’optimiser la performance thermique et la
consommation énergétique en répondant aux enjeux suivants :
• L’enveloppe du bâtiment (isolation thermique notamment) ;
• Les cinq usages (chaleur, eau chaude sanitaire, ventilation, climatisation, éclairage) ;
• La gestion automatisée de l’énergie ;
• L’intégration des énergies renouvelables.
L’isolation doit en effet être très efficace mais cela ne doit pas être fait au détriment de la
qualité de l’air intérieur de l’habitation.
La ventilation joue un rôle très important dans le confort, La ventilation de la maison permet
de renouveler l’air intérieur grâce à différents moyens. Parfois, l’air qui circule dans un
logement est plus pollué que celui de l’extérieur, il est donc essentiel de le renouveler. Que ce
soit pour chasser l’air vicié, évacuer les polluants ou encore pour réguler l’humidité, la
ventilation de la maison est primordiale.
6- Etude de cas
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:16
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Project summary
Geographical Site Situation Project settings
Village Espagnol Latitude 35.74 °N Albedo 0.20
Algeria Longitude 0.54 °E
Altitude 70 m
Time zone UTC+1
Meteo data
Relizane
PVGIS api TMY
System summary
PVsyst TRIAL
Standalone system Standalone system with batteries
System information
PV Array Battery pack
Nb. of modules 57 units Technology Lead-acid, sealed, Gel
Pnom total 19.38 kWp Nb. of units 66 units
Voltage 24 V
Capacity 6600 Ah
PVsyst TRIAL
Results summary
Available Energy 32745 kWh/year Specific production 1690 kWh/kWp/year Perf. Ratio PR 64.97 %
Used Energy 25657 kWh/year Solar Fraction SF 97.63 %
Table of contents
Project and results summary 2
General parameters, PV Array Characteristics, System losses 3
Main results 5
Loss diagram 6
Predef. graphs 7
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 2/7
Project: Relizane
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:16
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Main results
System Production
Available Energy 32745 kWh/year Performance Ratio PR 64.97 %
Used Energy 25657 kWh/year Solar Fraction SF 97.63 %
Excess (unused) 6092 kWh/year
Loss of Load Battery aging (State of Wear)
Time Fraction 2.4 % Cycles SOW 90.4 %
Missing Energy 623 kWh/year Static SOW 91.7 %
Battery lifetime 10.4 years
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
Balances and main results
PVsyst TRIAL
November 82.3 130.1 2206 263.2 159.1 2001 2160 0.926
December 71.9 125.1 2154 41.8 325.0 1907 2232 0.854
Year 1886.7 1994.5 32745 6091.9 622.6 25657 26280 0.976
Legends
GlobHor Global horizontal irradiation E_User Energy supplied to the user
GlobEff Effective Global, corr. for IAM and shadings E_Load Energy need of the user (Load)
E_Avail Available Solar Energy SolFrac Solar fraction (EUsed / ELoad)
EUnused Unused energy (battery full)
E_Miss Missing energy
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 5/7
Project: Relizane
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:16
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Loss diagram
1887 kWh/m² Global horizontal irradiation
+8.0% Global incident in coll. plane
+0.37%
-1.40%
-1.98%
PV loss due to temperature
PVsyst TRIAL
-0.48% Converter Loss over nominal conv. power
-0.01% Converter Loss due to power threshold
0.00% Converter Loss over nominal conv. voltage
0.00% Converter Loss due to voltage threshold
26653 kWh Converter losses (effic, overload)
Direct use Stored Battery Storage
Missing 31.1% 68.9%
+0.16% Battery Stored Energy balance
energy
2.37%
-2.80% Battery efficiency loss
622.6 kWh
-1.96% Charge/Disch. Current Efficiency Loss
-0.23% Gassing Current (electrolyte dissociation)
-0.22% Battery Self-discharge Current
26280 kWh
Energy supplied to the user
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 6/7
Project: Relizane
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:16
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Predef. graphs
Daily Input/Output diagram
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 7/7
Project: New Project
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:14
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Project summary
Geographical Site Situation Project settings
Village Espagnol Latitude 35.74 °N Albedo 0.20
Algeria Longitude 0.54 °E
Altitude 70 m
Time zone UTC+1
Meteo data
Relizane
PVGIS api TMY
System summary
PVsyst TRIAL
Grid-Connected System No 3D scene defined, no shadings
System information
PV Array Inverters
Nb. of modules 9 units Nb. of units 9 units
Pnom total 2700 Wp Pnom total 2700 W
Pnom ratio 1.000
Results summary
Produced Energy 4616 kWh/year Specific production 1709 kWh/kWp/year Perf. Ratio PR 83.88 %
PVsyst TRIAL
Project and results summary
Main results
Loss diagram
Predef. graphs
Table of contents
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 2/7
Project: New Project
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:14
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Main results
System Production
Produced Energy 4616 kWh/year Specific production 1709 kWh/kWp/year
Performance Ratio PR 83.88 %
PVsyst TRIAL
Balances and main results
PVsyst TRIAL
February 122.7 33.56 10.40 189.8 186.7 459.4 441.7 0.862
March 134.1 62.36 13.97 154.7 151.0 378.7 363.8 0.871
April 170.8 67.78 16.57 164.3 159.6 394.0 378.3 0.853
May 225.1 70.58 22.37 185.7 178.9 428.5 411.5 0.821
June 239.2 73.31 23.97 181.8 174.3 418.4 401.9 0.819
July 235.5 72.34 26.73 185.6 178.3 422.2 405.6 0.809
August 220.0 62.53 30.33 201.5 195.1 445.7 428.4 0.787
September 171.9 56.38 24.90 191.2 186.5 435.5 418.7 0.811
October 129.1 43.35 22.63 178.4 175.2 412.8 397.1 0.824
November 82.3 36.77 13.79 131.6 129.4 324.5 311.7 0.877
December 71.9 34.35 11.35 126.4 124.4 317.4 305.1 0.894
Year 1886.7 647.40 19.00 2037.9 1983.8 4802.8 4615.5 0.839
PVsyst TRIAL
Legends
GlobHor Global horizontal irradiation EArray Effective energy at the output of the array
DiffHor Horizontal diffuse irradiation E_Grid Energy injected into grid
T_Amb Ambient Temperature PR Performance Ratio
GlobInc Global incident in coll. plane
GlobEff Effective Global, corr. for IAM and shadings
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 4/7
Project: New Project
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:14
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Loss diagram
1887 kWh/m² Global horizontal irradiation
+8.0% Global incident in coll. plane
-0.10%
-1.16%
-10.30% PV loss due to temperature
PVsyst TRIAL
0.00% Inverter Loss due to power threshold
0.00% Inverter Loss due to voltage threshold
4616 kWh Available Energy at Inverter Output
4616 kWh Energy injected into grid
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 5/7
Project: New Project
Variant: New simulation variant
PVsyst V7.3.1
VC0, Simulation date:
26/01/23 20:14
PVsyst TRIAL
with v7.3.1
Predef. graphs
Daily Input/Output diagram
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
PVsyst TRIAL
26/01/23 PVsyst Evaluation mode Page 6/7
6 Conclusion
Pour réaliser l’efficacité énergétique, il faut bien attient les objectifs d’une maison à énergie
positive alors les caractéristiques de cette maison, basées sur l’utilisation de technologies déjà
commercialisées, sont :
• Une orientation et un agencement adéquats pour profiter au maximum des apports solaires
en hiver ;
Pour réaliser l’efficacité énergétique, il faut bien attient les objectifs d’une maison à énergie
positive alors les caractéristiques de cette maison, basées sur l’utilisation de technologies déjà
commercialisées, sont :
• Une orientation et un agencement adéquats pour profiter au maximum des apports solaires
en hiver ;
[4]Et ce, même si ce secteur bénéficie également des avancées de la recherche (avec
notamment les hydrocarbures non conventionnels, dont le gaz de schiste).
[12] - Liman Amine et Soukane Samir « Etude et modélisation d’un système photovoltaïque
[14]http://tpe-energie-solaire.e-monsite.com/pages/science-et-technique/l-
energiephotovoltaïque/
avantages-et-inconvenients-du-photovoltaique.html
[19] Atlas solaire Algérien publiée par le CDER, site : www.CDER.dz, Consulté en Février
2018.
[20] Journal Officiel de République Algérienne, ‘Loi N°99-09 du 28 Juillet 1999 Relative à la
Maîtrise de l’Energie’, J.O.R.A., N°51, 2 Août 1999, Alger, Algérie.
[21] Journal Officiel de République Algérienne, ‘Décret exécutif N°2000-90 du 24 Avril
2000 Portant Réglementation Thermique dans les Bâtiments Neufs’, J.O.R.A., N°25, 30 Avril
2000, Alger, Algérie.
[22] Ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, Commission Technique Permanente,
‘Réglementation Thermique des Bâtiments d’Habitation et Règles de Calcul des Déperditions
Calorifiques’, Document Technique Réglementaire, CNERIB, Décembre 1997, Alger,
Algérie.
[23] R.Kharchi, « Etude énergétique de Chauffage,Rafraîchissement et Eau Chaude Sanitaire
d’une Maison Type en Algérie », thèse de doctorat (juillet2013).
[24] Efficacité énergétique dans le bâtiment, Présentation des projets du CEA-Liten à l’Ines,
Dossier de presse,5 juillet 2016.