Chapitre 3. Fonctions Numériques - TSE-2
Chapitre 3. Fonctions Numériques - TSE-2
Chapitre 3. Fonctions Numériques - TSE-2
Fonction numérique
d’une variable réelle
LIMITES – CONTINUITE
OBJECTIFS :
Ce chapitre vise à :
• Complète l’étude de la limite d’une fonction engagée en classe de première par :
- L’introduction de la limite d’une fonction composée ;
- La limite d’une fonction monotone sur un intervalle ouvert.
• Introduire la continuité d’une fonction sur un intervalle et utiliser quelques théorèmes usuels
liés à la continuité de cette fonction.
Commentaires
La plupart des propriétés ont été abordées en classe de première. Ces propriétés, tout comme
les techniques de calcul pour lever une indétermination, ne doivent pas faire l’objet d’un
traitement théorique. Elles seront mises assez rapidement en œuvre dans des exercices dont le
niveau de technicité et l’abondance doivent rester très raisonnable car elles seront réinvesties
tout au long de l’année dans les études de fonctions. La propriété sur la limite d’une fonction
monotone sur un intervalle ouvert sera utilisée dans les suites et les fonctions définies par
intégrales.
Les asymptotes à une courbe (horizontale, verticale et oblique) ont été abordées en Première.
L’étude générale des branches infinies est hors programme. Les branches paraboliques selon
les axes de coordonnées sont les seules directions asymptotes à connaître. Dans le cas d’une
asymptote oblique, une équation est fournie à l’élève.
On introduira la continuité d’une fonction sur un intervalle. Cette définition permet l’usage de
deux théorèmes importants concernant l’existence d’une bijection réciproque et la propriété des
"valeurs intermédiaires ". Notons que la forme générale de cette dernière propriété est hors
programme. On se limitera au cas d’une fonction continue et strictement monotone sur un
intervalle.
Les propriétés concernant les opérations sur les fonctions continues sur un intervalle sont
admises. On n’exigera pas de l’élève la justification de la continuité sur un intervalle lors d’une
évaluation.
On habituera les élèves à Donne une valeur approchée d’une solution d’une équation.
SAVOIRS SAVOIR-FAIRE
• Limites • Détermine la limite d’une fonction :
- Limite d’une fonction - en utilisant les limites de référence ou une expression
composée. conjuguée ;
- Limite d’une fonction - en ayant recours à la définition d’un nombre dérivé.
monotone sur un • Détermine la limite d’une fonction composée.
intervalle ouvert
• interprète graphiquement :
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
lim = 0, lim = +∞ (resp. −∞)
• Branches paraboliques de 𝑥𝑥→+∞ 𝑥𝑥 𝑥𝑥→+∞ 𝑥𝑥
direction (OI) et (OJ) dans un
repère (O, I, J). 𝑓𝑓(𝑥𝑥) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
lim = 0 et lim = +∞ (resp. −∞)
𝑥𝑥→−∞ 𝑥𝑥 x→−∞ 𝑥𝑥
• Continuité sur un intervalle :
- Opérations, composée • Démontre qu’une courbe admet une branche parabolique de
(propriétés admises). direction (OI)(resp. (OJ) )
- Image d’un intervalle.
• Détermine l’image d’un intervalle par une fonction continue :
• Fonction continue et - en utilisant le tableau de variations ;
strictement monotone sur un - en utilisant une méthode algébrique.
intervalle : • Démontre qu’une fonction réalise une bijection d’un intervalle I
Théorie 1 : si f est une fonction sur un intervalle J dans le cas où f est donnée par une formule
explicite, Détermine f −1 (x).
continue et strictement
monotone sur un intervalle I,
alors f est une bijection de I sur
f(I). sa bijection réciproque
𝑓𝑓 −1 est continue et de même
sens de variation que la
fonction f
• Fonctions du type :
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Chapitre 3. Fonctions numériques. Page 129
Fonctions numériques
n
−x ↦ √x , (n𝜖𝜖 IR ∗)
-x ↦ x r (r 𝜖𝜖 Q, x ∉ IR+*).
p
Définitions ; notons x �q
Propriétés des puissances
d’exposants rationnels
Remarques et suggestions
Dans la détermination des limites, on veillera à ce que l’élève sache identifier une forme
indéterminée sans forcement en faire état par écrit.
Pour Détermine la limite d’une fonction composée on peut utiliser un changement de variable.
On n’abusera pas des fonctions définies par raccordement.
Sur des exemples, introduire les branches paraboliques de direction (OI) et (OJ).
Pour Détermine l’image d’un intervalle par une fonction continue, on privilégiera l’utilisation
du tableau de variations, l’utilisation d’une méthode algébrique n’étant proposée qu’à travers
des exercices guidés.
On peut avec profit Vérifie les pré requis de la classe de Première et les théorèmes concernant
la continuité à travers des études de fonctions.
On habituera les élèves à Donne une valeur approchée d’une solution.
DERIVATION
OBJECTIFS :
Ce chapitre vise à :
• consolider les notions abordées en classe de première telles que la détermination du sens de
variation d’une fonction et la recherche de tangentes à une courbe en des points donnés ;
• consolider la notion de dérivé et l’étendre à la composée de deux fonctions dérivables ;
• Complète les théorèmes concernant la dérivabilité par les notions de dérivabilité à gauche et
de dérivabilité à droite ;
• utiliser des propriétés des fonctions dérivables pour Démontre des inégalités ou établir des
encadrements.
Commentaires
La définition d’une fonction dérivable en un point ou sur un intervalle reste la même que celle
introduite en Première. On la complète par la dérivabilité d’une fonction sur un intervalle
fermé et par la dérivabilité à droite et à gauche. On définira la notion de demi-tangente à une
courbe. Le vocabulaire « point d’inflexion » est hors programme. Cependant on pourra étudier
la position d’une tangente par rapport à une courbe.
La différentiabilité ou toute autre forme s’y rattachant est hors programme, de même que
l’approximation affine d’une fonction.
La dérivée d’une fonction composée et la dérivée d’une fonction réciproque sont des
compléments apportés en Terminale. Ces fonctions doivent garder une place raisonnable et être
considérées comme des outils pour l’étude de fonctions nouvelles : des fonctions avec
radicaux, des fonctions racines nième , les fonctions logarithmes et exponentielles.
Dans le cas où une fonction est définie par raccordement, on se ramène alors à une étude
portant sur chacun des intervalles. Il est bien entendu que ces cas doivent être considérés
comme exceptionnels et leur étude doit être largement guidée.
Les fonctions qu’on peut étudier dans ce chapitre sont en nombre infini. Il sera bon de bien
sélectionner celles qui seront étudiées pour obtenir un éventail aussi complet que possible de
situations différentes.
SAVOIRS SAVOIR-FAIRE
• Dérivées successives ; nouvelle notations. • Démontre qu’une fonction composée est
df d2 f dérivable en un point et savoir Calcule le
; nombre dérivé en ce point.
dx dx 2
• Si une fonction est dérivable sur un intervalle, • Préciser l’ensemble des éléments où la
alors elle continue sur cet intervalle. fonction réciproque d’une fonction donnée est
• Dérivée d’une fonction composée (admise) ; dérivable.
application à la dérivation des fonctions de la • Détermine le nombre dérivé de la fonction
forme : un (n ϵℤ ∗), √u réciproque en un point x0
•Utiliser l’inégalité des accroissements finis
• Existence de la dérivée d’une fonction pour :
réciproque (admise), formule de la dérivée de - Démontre une inégalité ;
la fonction réciproque.
• Dérivée des fonctions puissances d’exposants
- établir un encadrement.
rationnels.
• Etudie la dérivabilité d’une fonction définie
• Inégalité des accroissements finis (2 formes)
par intervalles en un point de raccordement.
• nombre dérivé à droite (à gauche) d’une
• Interprète graphiquement la dérivabilité à
fonction en un point.
droite (resp. à gauche) d’une fonction en un
• Demi-tangente
point x0.
Remarques et suggestions
On ne demandera pas de justifier la dérivabilité d’une fonction sur un intervalle lors d’une
évaluation.
La dérivée d’une fonction de la forme un (n 𝜖𝜖 ℤ ∗) doit être traité comme application de la
dérivée d’une fonction composée.
Les dérivées de la forme uα (𝛼𝛼ϵ IR*) seront abordées dans les chapitres sur les fonctions
puissances.
Le programme signale que l’existence de la dérivée d’une fonction réciproque doit être
admise.
On se limitera à l’utilisation de la formule donnant la dérivée d’une fonction réciproque
uniquement en un point x0 et cela pour des exemples ne présentant pas de difficulté
particulière
b- Produit :
c- Quotient :
𝑓𝑓 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
∀ 𝑥𝑥 ∈D𝑓𝑓 ∩D𝑔𝑔 et 𝑔𝑔(𝑥𝑥) ≠ 0 𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜𝑜 ∶ � � (𝑥𝑥) =
𝑔𝑔 𝑔𝑔(𝑥𝑥)
II- Limites
1) Propriétés sur les limites :
a) Propriété 1
b) Propriété 2
1 1 1 𝑘𝑘
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 3 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑛𝑛 = 0 (𝑘𝑘 ∈ ℝ)
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1 1 1 𝑘𝑘
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 3 = 0 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑛𝑛 = 0 ( 𝑘𝑘 ∈ℝ)
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
a) Somme :
𝑓𝑓 𝑙𝑙 𝑙𝑙 +∞ −∞ +∞
𝑔𝑔 𝑙𝑙’ +∞ ou − ∞ +∞ −∞ −∞
𝑓𝑓 + 𝑔𝑔 𝑙𝑙 + 𝑙𝑙’ +∞ ou −∞ +∞ −∞ Forme
indéterminée
b) Produit :
𝑓𝑓 𝑙𝑙 𝑙𝑙 0 ∞
𝑔𝑔 𝑙𝑙’ ∞ ∞ ∞
c) Quotient:
𝑓𝑓 𝑙𝑙 𝑙𝑙 0 𝑙𝑙 ∞ ∞
𝑔𝑔 𝑙𝑙’ ≠ 0 𝑙𝑙’= 0 0 ∞ 𝑙𝑙 ∞
On remarque ainsi que l’on a quatre (4) formes indéterminées qui sont :
0 ∞
−∞ + ∞ ; 0× ∞ ; ; .
0 ∞
Soient 𝑓𝑓 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑔𝑔 deux fonctions et 𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓 leur composée définie sur un intervalle I contenant « 𝒂𝒂 »
où 𝒂𝒂 est une borne de I.
Si : 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙’ 𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙’
𝑥𝑥 → 𝑎𝑎 𝑥𝑥 → 𝑙𝑙 𝑥𝑥 → 𝑎𝑎
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =1 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =1
𝑥𝑥 𝑎𝑎𝑎𝑎
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
On appelle limite à gauche d’un réel 𝑥𝑥 o d’une fonction 𝑓𝑓, la limite lors qu’elle existe quand 𝑥𝑥
tend vers 𝑥𝑥 o par valeurs inferieures on note : 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝒇𝒇(𝒙𝒙).
𝒙𝒙 → 𝒙𝒙𝟎𝟎 −
b) Limite à droite de 𝒙𝒙o
On appelle limite à droite d’un réel 𝑥𝑥 o en une 𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓𝑓 𝑓𝑓, la limite lors qu’elle existe quand 𝑥𝑥
tend vers 𝑥𝑥 o par valeurs supérieures on note : 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝒇𝒇(𝒙𝒙).
𝒙𝒙 → 𝒙𝒙𝟎𝟎 +
NB :
Une fonction admet une limite en un point 𝑥𝑥 o si sa limite à gauche est égale à sa limite à droite.
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
𝑥𝑥 → 𝑥𝑥0 - 𝑥𝑥 → 𝑥𝑥0 +
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie sur un intervalle I tel qu’on ait l’encadrement suivant :
𝐴𝐴(𝑥𝑥) ≤ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) ≤ 𝐵𝐵(𝑥𝑥)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝐴𝐴(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙
⎧
⎪ 𝑥𝑥 → ∞
𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙
𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑥𝑥→∞
⎨𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝐵𝐵(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙
⎪
⎩ 𝑥𝑥 → ∞
Soit 𝑓𝑓 une fonction et 𝐶𝐶𝐶𝐶 sa courbe représentative dans le repère orthonormé (𝑜𝑜 ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗)
Si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙 ou 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
y
4
asymptote horizontale 1
y=l
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7x
-1
-2
-3
-4
y
4
3
asymptote verticale x = a
2
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7x
-1
-2
-3
-4
𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 [ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) – (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) ] = 0 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 [ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) ] = 0
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → −∞
Alors la droite d’équation 𝒚𝒚 = 𝒂𝒂 𝒙𝒙 + 𝒃𝒃 est asymptote oblique à la courbe 𝐶𝐶𝐶𝐶.
y
4
3
asymptote oblique y = ax + b
2
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 x
-1
-2
-3
-4
III- Continuité
1) Définition
Remarque : les fonctions non continues en 𝒙𝒙𝟎𝟎 sont les fonctions non définies en 𝒙𝒙𝟎𝟎 et les
fonctions n’admettant pas de limite en 𝒙𝒙𝟎𝟎
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie sur un intervalle 𝐼𝐼 = [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏] ou 𝐼𝐼 = ] 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 [ . On dit que 𝑓𝑓 est
continue sur I si et seulement si 𝑓𝑓 est continue en tout point de I.
b) Continuité à droite :
Une fonction 𝑓𝑓 est continue à droit de 𝑥𝑥 o si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(𝑥𝑥0 )
𝑥𝑥 → 𝑥𝑥0 +
NB : Une fonction est continue en un point de 𝑥𝑥 o si elle est gauche et à droite de 𝒙𝒙o
Soit 𝑓𝑓 une fonction numérique non définie en 𝒙𝒙𝟎𝟎 ; mais admettant une limite 𝒍𝒍 en ce point. La
𝒇𝒇(𝒙𝒙) 𝒔𝒔𝒔𝒔 𝒙𝒙 ≠ 𝒙𝒙𝟎𝟎
fonction 𝑔𝑔 définie par : 𝒈𝒈(𝒙𝒙)= � est appelée le prolongement de la fonction 𝑓𝑓
𝒍𝒍 𝒔𝒔𝒔𝒔 𝒙𝒙 = 𝒙𝒙𝟎𝟎
par continuité au point 𝒙𝒙𝟎𝟎
N B : Si 𝒇𝒇 n’est pas définie en 𝒙𝒙𝟎𝟎 mais admet une limite en ce point, alors on dit que 𝒇𝒇 est
prolongeable par continuité au point 𝒙𝒙𝟎𝟎 .
IV- Dérivation :
1) Nombre dérivé en un point 𝒙𝒙o :
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie sur un intervalle ouvert contenant 𝑥𝑥 o.
𝒇𝒇(𝒙𝒙) − 𝒇𝒇(𝒙𝒙𝒐𝒐 )
On dit que f est dérivable en 𝑥𝑥 o si et seulement si la quantité admet une limite
𝒙𝒙 − 𝒙𝒙𝒐𝒐
finie quand 𝑥𝑥 tend vers 𝑥𝑥 o. Cette limite est appelée nombre dérivé en 𝑥𝑥 o et est noté 𝒇𝒇 ’(𝑥𝑥𝑜𝑜).
𝒇𝒇(𝒙𝒙) − 𝒇𝒇(𝒙𝒙𝒐𝒐)
C'est-à-dire : 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 = 𝒇𝒇′(𝒙𝒙𝒐𝒐 )
𝒙𝒙 − 𝒙𝒙𝒐𝒐
𝑥𝑥 → 𝑥𝑥0
𝒇𝒇(𝒙𝒙) − 𝒇𝒇(𝒙𝒙𝒐𝒐)
𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 existe et est finie, alors on dit que 𝑓𝑓 est dérivable à gauche en 𝑥𝑥 o.
𝒙𝒙 − 𝒙𝒙𝒐𝒐
𝒙𝒙 → 𝒙𝒙𝟎𝟎 −
𝒇𝒇(𝒙𝒙) − 𝒇𝒇(𝒙𝒙𝒐𝒐)
𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 existe et est finie, alors on dit que 𝑓𝑓 est dérivable à droite en 𝑥𝑥 o.
𝒙𝒙 − 𝒙𝒙𝒐𝒐
𝒙𝒙 → 𝒙𝒙𝒐𝒐 +
Théorème :
𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑓𝑓 est dérivable à gauche et à droite en 𝑥𝑥 o et si les deux nombres dérivés sont égaux alors
𝐶𝐶𝐶𝐶
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 𝑀𝑀 �𝑦𝑦𝑥𝑥 �
0 𝑥𝑥0 𝑥𝑥 x
NB :
Si le nombre dérivé à gauche et le nombre dérivé à droite existent et sont différents, alors la
courbe admet deux demi – tangentes en Mo de coefficients directeur respectifs : les nombres
dérivés à gauche et à droite de 𝑥𝑥 0 en faisant un angle en ce point.
- La courbe (𝑪𝑪𝑪𝑪) passe par le point 𝑨𝑨 �𝒚𝒚𝒙𝒙𝟎𝟎 � si et seulement 𝒇𝒇(𝒙𝒙𝟎𝟎 ) = 𝒚𝒚𝟎𝟎 .
𝟎𝟎
- La courbe (𝑪𝑪𝑪𝑪) admet au point 𝑨𝑨 �𝒙𝒙𝒚𝒚𝟎𝟎 � une tangente parallèle à l’axe des abscisses c'est-à-
𝟎𝟎
dire l’axe o𝑥𝑥 si et seulement si 𝒇𝒇′(𝒙𝒙𝟎𝟎 ) = 𝟎𝟎.
- La courbe (𝑪𝑪𝑪𝑪) admet au point 𝑨𝑨 �𝒙𝒙𝒚𝒚𝟎𝟎 � une tangente parallèle à la droite (D) d’équation :
𝟎𝟎
𝒚𝒚 = 𝒂𝒂𝒂𝒂 + 𝒃𝒃 si et seulement si 𝒇𝒇′(𝒙𝒙𝟎𝟎 ) = 𝒂𝒂.
- La courbe (𝑪𝑪𝑪𝑪) admet au point 𝑨𝑨 �𝒙𝒙𝒚𝒚𝟎𝟎 � une tangente de coefficient directeur 𝒌𝒌 si et
𝟎𝟎
seulement si 𝒇𝒇′(𝒙𝒙𝟎𝟎 ) = 𝒌𝒌.
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie et dérivable sur un intervalle 𝐼𝐼. La fonction 𝑓𝑓′ qui à tout 𝑥𝑥 ∈ 𝐼𝐼 fait
correspondre le nombre dérivé de 𝑓𝑓 en 𝑥𝑥 que l’on note par 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) est appelé fonction dérivée
première de 𝑓𝑓. Ainsi si 𝑓𝑓 ; 𝑢𝑢 et 𝑣𝑣 sont des fonctions dérivables en un point 𝑥𝑥 ∈ 𝐼𝐼 alors on a le
tableau des dérivées suivants :
Théorème :
Soit 𝑓𝑓 une fonction dérivable sur un intervalle I. On retient que les variations d’une fonction
dépendent du signe de sa dérivée. Ainsi :
8) Extremum relatif:
Théorème 1
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie sur un intervalle ]𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏[ ouvert contenant 𝑥𝑥0 . Si 𝑓𝑓 ′(𝑥𝑥) s’annule en
𝑥𝑥0 et en changeant de signe, alors 𝑓𝑓 admet un extremum au point d’abscisse 𝑥𝑥0 .
Théorème 2
Si 𝑓𝑓 admet un extremum relatif d’abscisse 𝑥𝑥0 , alors 𝑓𝑓′( 𝑥𝑥0 ) = 0 ou encore on dira que 𝑓𝑓 n’est
pas dérivable au point d’abscisse 𝑥𝑥0 .
Si 𝑓𝑓 ’(𝑥𝑥) passe du signe négatif au signe positif on dit que 𝑓𝑓 présente un minimum
y
Maximum
𝑓𝑓(𝑥𝑥0 )
0 𝑥𝑥0 x
a- Point d’inflexion:
Théorème
Soit 𝑓𝑓 une fonction définie sur un intervalle ]𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏[ ouvert contenant 𝑥𝑥0 . Si 𝑓𝑓′ ′(𝑥𝑥) s’annule en
𝑥𝑥0 changeant de signe, alors 𝑓𝑓 admet un point d’inflexion au point d’abscisse 𝑥𝑥0 .
b- Points anguleux:
Soit 𝑓𝑓 une fonction admettant au point d’abscisse 𝑥𝑥0 un nombre dérivé à gauche 𝑙𝑙(𝑙𝑙 ∈ ℝ) et un
nombre dérivé à droite 𝑙𝑙 ′ (𝑙𝑙′ ∈ ℝ). On dit que la courbe (𝐶𝐶) de 𝑓𝑓 admet au point d’abscisse 𝑥𝑥0
un point anguleux si et seulement 𝑓𝑓 n’est pas dérivable en 𝑥𝑥0 et si 𝑙𝑙 ≠ 𝑙𝑙′.
0 𝑥𝑥0 x
c- Points de rebroussement:
y
Point de remboursement de 1ière espèce
y
Point de remboursement de 2ième espèce
Première forme :
Soit 𝑎𝑎 et 𝑏𝑏 deux réels tels que 𝑎𝑎 ≤ 𝑏𝑏 et 𝑚𝑚 et 𝑀𝑀 sont tels que si 𝑥𝑥 ∈ [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏] et 𝑚𝑚 ≤ 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) ≤ 𝑀𝑀
alors on a : 𝑚𝑚(𝑏𝑏 − 𝑎𝑎) ≤ 𝑓𝑓(𝑏𝑏) − 𝑓𝑓(𝑎𝑎) ≤ 𝑀𝑀(𝑏𝑏 − 𝑎𝑎)
Deuxième forme :
Si 𝑘𝑘 est un réel tel que : ∀𝑥𝑥 ∈ 𝐼𝐼 = [𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏], si |𝑓𝑓′(𝑥𝑥)| ≤ 𝑘𝑘 alors |𝑓𝑓(𝑏𝑏) − 𝑓𝑓(𝑎𝑎)| ≤ 𝑘𝑘|𝑏𝑏 − 𝑎𝑎|
V- Etude de fonctions :
b- Fonction impaire :
NB :
- La fonction 𝑥𝑥 ↦ 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 est paire car 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(−𝑥𝑥) = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐
NB :
2𝜋𝜋
- La fonction 𝑥𝑥 ↦ 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) est périodique et de période 𝑇𝑇 =
|𝑎𝑎|
2𝜋𝜋
- La fonction 𝑥𝑥 ↦ 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠(𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) est périodique et de période 𝑇𝑇 =
|𝑎𝑎|
𝜋𝜋
- La fonction 𝑥𝑥 ↦ 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡(𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) est périodique et de période 𝑇𝑇 =
|𝑎𝑎|
- Les fonctions 𝑥𝑥 ↦ 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 et 𝑥𝑥 ↦ 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 sont toutes deux périodiques et de période
𝑇𝑇 = 2𝜋𝜋
3) Courbes symétriques :
a) Axe de symétrie :
b) Centre de symétrie :
Le point I�𝒂𝒂𝒃𝒃� est dit centre de symétrie pour la courbe (𝐶𝐶𝐶𝐶) de 𝑓𝑓 si
𝑓𝑓(2𝑎𝑎 – 𝑥𝑥) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2𝑏𝑏 ou 𝑓𝑓(𝑎𝑎 + 𝑥𝑥) – 𝑏𝑏 est paire ou 𝑓𝑓(𝑎𝑎 + 𝑥𝑥) + 𝑓𝑓(𝑎𝑎 – 𝑥𝑥) = 2𝑏𝑏
N.B :
- Toute fonction paire admet l’axe (𝑦𝑦’ 𝑜𝑜 𝑦𝑦) comme axe de symétrie.
- Toute fonction impaire admet le point 𝑂𝑂 �00� (origine du repère) comme centre de symétrie.
Centre de symétrie :
𝑎𝑎𝑎𝑎2+ 𝑏𝑏𝑏𝑏+𝑐𝑐
Soit 𝑓𝑓 une fonction rationnelle définie par : 𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = et ( C ) sa courbe
𝛾𝛾𝛾𝛾+ 𝛽𝛽
représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑖𝑖⃗ ) où : 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 ; 𝛾𝛾 ; 𝛽𝛽 sont tous des réels
avec : 𝑎𝑎 ≠ 0 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝛾𝛾𝛾𝛾 + 𝛽𝛽 ≠ 0.
𝑐𝑐′
Si 𝑓𝑓 peux ce mettre sous la forme : 𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑎𝑎′𝑥𝑥 + 𝑏𝑏′ +
𝛾𝛾𝛾𝛾 + 𝛽𝛽
− 𝜷𝜷
𝒙𝒙𝟎𝟎 =
Alors le centre de symétrie à la courbe ( 𝐶𝐶 ) de 𝑓𝑓 à pour coordonnée : I� 𝜸𝜸 �
𝒚𝒚𝟎𝟎 = 𝒂𝒂′𝒙𝒙𝟎𝟎 + 𝒃𝒃′
- Axe de symétrie :
Soit 𝑓𝑓 une fonction polynôme du second degré définie par : 𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
avec ( 𝑎𝑎 ≠ 0 )
2
𝑏𝑏 2 𝑏𝑏 − 4𝑎𝑎𝑎𝑎
Si 𝑓𝑓 peux ce mettre sous la forme : 𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑎𝑎 ��𝑥𝑥 + � − �
2𝑎𝑎 4𝑎𝑎2
𝑏𝑏
Alors l’axe de symétrie à la courbe ( 𝐶𝐶 ) de f à pour équation 𝒙𝒙 = − .
2𝑎𝑎
Représentation
Symétrie de la y
3
y
3
1 1
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
-1 -1
-2
Symétrie de la -2
courbe 𝐶𝐶𝐶𝐶 par
-3 l’origine O -3
Ici l’axe (𝑦𝑦′𝑜𝑜𝑜𝑜) est axe de symétrie Ici l’origine O du repère est centre de symétrie
3) Fonction réciproque
Bijection :
Une fonction 𝑓𝑓 de E vers F est dite bijective si tout élément de l’ensemble d’arrivé F admet un
et un seul antécédent dans l’ensemble de départ E.
- En Pratique :
Une application 𝑓𝑓 est bijective si et seulement si ∀𝑦𝑦 ∈ 𝐹𝐹 ∃! 𝑥𝑥 ∈ 𝐸𝐸 on a : 𝒇𝒇(𝒙𝒙) = 𝒚𝒚
- Graphiquement
Les courbes représentatives d’une fonction et celle de sa fonction réciproque sont symétriques
par rapport à la première bissectrice( ∆ ) d’équation 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥.
y ∆
𝐶𝐶 − 1
3
𝐶𝐶
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
Théorème :
Si 𝑓𝑓 est une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I, alors 𝑓𝑓 est une
bijection de I sur 𝒇𝒇(𝑰𝑰). et admet une bijection 𝒓𝒓é𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄 𝒇𝒇−𝟏𝟏 de 𝒇𝒇 (𝑰𝑰 ) sur I ayant même
sens de variation que 𝒇𝒇
Les courbes 𝑪𝑪𝒇𝒇 et 𝑪𝑪𝒇𝒇-1 sont symétriques par rapport à la première bissectrice ∆ : 𝒚𝒚 = 𝒙𝒙
Si M (𝑥𝑥 ; 𝑦𝑦) ∈ 𝐶𝐶𝑓𝑓 alors M(𝑦𝑦 ; 𝑥𝑥 ) ∈ 𝐶𝐶𝑓𝑓-1
Si 𝑥𝑥 = 𝑎𝑎 est asymptote à Cf alors 𝑦𝑦 = a devient asymptote pour 𝐶𝐶𝑓𝑓-1
Théorème 1 :
L’image d’un intervalle par une fonction continue est un intervalle.
Soit 𝑓𝑓 une fonction de ℝ → ℝ et soit 𝐷𝐷𝑓𝑓 son ensemble de définition. Soit I = [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ] ou
I = ] 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 [ un intervalle de 𝐷𝐷𝑓𝑓 . Si 𝑓𝑓 est continue sur I alors 𝑓𝑓(𝐼𝐼) est aussi un intervalle
Théorème 2:
L’image d’un intervalle fermé par une fonction continue est un intervalle fermé.
1ère forme :
Soit 𝑓𝑓 une fonction de ℝ→ ℝ et soit Df son ensemble de définition. Soit I = [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ] ou
I = ] 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 [ un intervalle de . Si 𝑓𝑓 est continue sur I alors 𝑓𝑓 (𝐼𝐼) est aussi un intervalle.
2ème forme :
Si 𝑓𝑓 est continue sur I et que 𝑓𝑓(𝑎𝑎) × 𝑓𝑓(𝑏𝑏) < 0, alors il existe un réel α ∈ I tel que 𝒇𝒇(𝜶𝜶) = 𝟎𝟎
𝑓𝑓(𝑎𝑎)
𝑓𝑓(𝑏𝑏)
0 𝑎𝑎 x
𝑏𝑏
1ère forme : Si 𝑓𝑓 est une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ]
et si 𝑓𝑓(𝑎𝑎) et 𝑓𝑓(𝑏𝑏) sont de signes contraires alors il existe un unique point 𝑥𝑥 0 élément de ]𝑎𝑎; 𝑏𝑏[
tel que 𝑓𝑓(𝑥𝑥 0) = 0
2ème forme : Si 𝑓𝑓 est une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle[ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ]
et si : 𝑓𝑓 (𝑎𝑎) × 𝑓𝑓 (𝑏𝑏) ≤ 0 alors l’équation 𝑓𝑓 (𝑥𝑥) = 0 admet une unique solution α ∈ [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ]
a- Méthode de dichotomie :
Soit 𝑔𝑔 une fonction définie sur un intervalle [ 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ] tel que 𝑔𝑔(𝑎𝑎) × 𝑔𝑔(𝑏𝑏) < 0.
Posons 𝑎𝑎0 = 𝑏𝑏 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑏𝑏0 = 𝑏𝑏.
g(b)
a α
0 b x
g(a)
Ainsi on a deux suites numériques de termes généraux 𝑎𝑎𝑛𝑛 et 𝑏𝑏𝑛𝑛 tel que α ∈ [ 𝑎𝑎𝑛𝑛 ; 𝑏𝑏𝑛𝑛 ].
𝑎𝑎𝑛𝑛 + 𝑏𝑏𝑛𝑛
On calcule 𝑔𝑔 � �.
2
g(a)
b
a α 0 x
g(b)
Ainsi on a deux suites numériques de termes généraux 𝑎𝑎𝑛𝑛 et 𝑏𝑏𝑛𝑛 tel que α ∈ [ 𝑎𝑎𝑛𝑛 ; 𝑏𝑏𝑛𝑛 ].
𝑎𝑎𝑛𝑛 + 𝑏𝑏𝑛𝑛
On calcule 𝑔𝑔 � �.
2
C’est une méthode qui consiste à déterminée une approximation de α à partir d’un tableau de
valeur. Ainsi la valeur de α est obtenue en encadrant la valeur de 𝑥𝑥 à partir du changement de
signe obtenue entre l’antécédent positif et négatif.
𝑥𝑥 5 + 𝑥𝑥 6
Si par exemple 𝑓𝑓(𝑥𝑥5 ) × 𝑓𝑓(𝑥𝑥6 ) < 0 alors α ∈ [ 𝑥𝑥5 ; 𝑥𝑥6 ] et par conséquent α =
2
Notion d’asymptotes :
y
5
2
Asymptote horizontale 𝑦𝑦 = 𝑙𝑙
1
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
3
Asymptote verticale 𝑥𝑥 = 𝑎𝑎
2
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 [ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) – (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) ] = 0 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 [ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) ] = 0
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → −∞
y
5
2
Asymptote oblique 𝑦𝑦 = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
1
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5x
-1
-2
-3
-4
Recherche d’asymptote oblique :
Il est évident de dire que si : 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)= ± ∞ , alors on a une possibilité d’asymptote oblique.
𝑥𝑥 → ± ∞
Ainsi pour chercher l’asymptote oblique, on procède comme suite :
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−Si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑎𝑎 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)– 𝑎𝑎𝑎𝑎 = 𝑏𝑏
𝑥𝑥
𝑥𝑥 → ± ∞ 𝑥𝑥 → ± ∞
Alors la droite d’équation 𝒚𝒚 = 𝒂𝒂𝒂𝒂 + 𝒃𝒃 est Asymptote oblique à la courbe (C) de 𝒇𝒇.
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−Si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑎𝑎 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) – 𝑎𝑎𝑎𝑎 = 0 ou ∞
𝑥𝑥
𝑥𝑥 → ± ∞ 𝑥𝑥 → ± ∞
Alors la droite d’équation 𝒚𝒚 = 𝒂𝒂𝒂𝒂 est Asymptote oblique à la courbe (C) de 𝒇𝒇.
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−Si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =±∞
𝑥𝑥
𝑥𝑥 → ± ∞
N.B :
Si 𝑓𝑓 est une fonction rationnelle dont le degré du numérateur est supérieur au degré du
dénominateur d’une seule unité, alors on peut écrire 𝑓𝑓(𝑥𝑥) sous la forme :
𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅 𝑅𝑅
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = quotient + = 𝑞𝑞(𝑥𝑥) +
𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷 𝐷𝐷(𝑥𝑥)
𝑅𝑅
Si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 0. Alors la droite d’équation 𝑦𝑦 = 𝑞𝑞(𝑥𝑥)est appelée Asymptote oblique.
𝐷𝐷(𝑥𝑥)
𝑥𝑥 → ∞
Pour Détermine la position relative d’une courbe (C𝑓𝑓) et de son asymptote oblique (Δ), on
étudie le signe de : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) – 𝑦𝑦. Ainsi :
Exercices
Limites
Limites en un point 𝒙𝒙𝟎𝟎
𝑥𝑥2 − 𝑥𝑥 − 6 𝑥𝑥2 − 1
e- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ; 𝑓𝑓- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
√𝑥𝑥 − �3 − 𝑥𝑥2− 3𝑥𝑥+4
𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → −1+
Limites à l’infinie
4 𝑥𝑥 +3 1 3𝑥𝑥 – | 𝑥𝑥 |
e- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ; f- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ; g- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
�4𝑥𝑥2 +𝑥𝑥 −5 � 1 − √𝑥𝑥��1 + √𝑥𝑥� 2𝑥𝑥 − 2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
2 + 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
h- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 ; 𝑖𝑖- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( 𝑡𝑡ℎé𝑜𝑜𝑜𝑜è𝑚𝑚𝑚𝑚 𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔)
𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
Limites et asymptotes
4 Calcule les limites aux bornes de l’ensemble de définition de chacune des fonctions
ci-dessous (on Donnera ci-possible les éventuelles asymptotes ou possibilité d’asymptotes)
9 Dans chacun des cas suivants, préciser l’ensemble de définition de la fonction 𝑓𝑓 et Détermine
(s’il existe) le prolongement par continuité de cette fonction en 𝑥𝑥 o.
𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
a) � √𝑥𝑥 ; b) � 𝑥𝑥
𝑥𝑥0 = 0 𝑥𝑥0 = 0
a- Détermine les ensembles de définitions D𝑓𝑓 et D𝑔𝑔 respectivement des fonctions 𝑓𝑓 et 𝑔𝑔.
11 √2𝑥𝑥 −2
On considère la fonction 𝑔𝑔 de la variable réelle 𝑥𝑥 définie par 𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 − 2
1) Détermine son ensemble de définition D𝑔𝑔.
2) Montre que 𝑔𝑔 admet en 2 un prolongement par continuité que l’on notera par ℎ.
3) Montre que ℎ est dérivable en 2 puis Donne l’équation de la tangente à la courbe( C )
de ℎ au point d’abscisse 2.
Dérivabilité
Dérivabilité en un point 𝒙𝒙𝟎𝟎
13 Détermine les réels 𝑎𝑎 et 𝑏𝑏 pour que 𝑓𝑓 soit continue et dérivable aux points 𝑥𝑥0 = 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 − 3 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
� 2𝑥𝑥 + 𝑏𝑏
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
𝑥𝑥
Application de la dérivée
15 Détermine une équation de la tangente en 𝑀𝑀o( 𝑥𝑥o ; 𝑓𝑓(𝑥𝑥o)) à la courbe (C) de 𝑓𝑓 dans les cas
suivants :
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
𝑎𝑎) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 3+ 2𝑥𝑥 2− 5𝑥𝑥 + 3 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑥𝑥 o = −2 ; 𝑏𝑏)𝑓𝑓(𝑥𝑥) = et 𝑥𝑥 o = 1
𝑥𝑥 + 1
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡
c) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = et 𝑥𝑥 o = 0
𝑥𝑥
16 Détermine la fonction dérivée 𝑓𝑓’ de la fonction 𝑓𝑓 dans chacun des cas suivants :
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
𝑎𝑎) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 3 – 2𝑥𝑥 2 + 5𝑥𝑥 + 3 ; 𝑏𝑏) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = ; c) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = (−𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 )3
𝑥𝑥 + 1
Etudes de fonctions
Analyse et interprétation d’un tableau de variation.
18 Analyse puis interprète chacun des tableaux de variations suivants afin de préciser :
a- les domaines de définition.
b- les limites aux bornes du domaine de définition tout en mettant en évidence les éventuelles
asymptotes et possibilités d’asymptotes.
c- Donne l’allure de la courbe ( C𝑓𝑓 ) dans chaque cas.
1) 𝒇𝒇 est la fonction donnée par son tableau de variation ci-dessous :
𝑥𝑥 −∞ +∞
𝑓𝑓 ’(𝑥𝑥) +
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞
De plus :
- La courbe ( C𝑓𝑓 ) admet l’origine du repère comme centre de symétrie.
- La courbe ( C𝑓𝑓 ) admet l’ axe (𝑦𝑦’𝑂𝑂𝑂𝑂) comme branche parabolique.
2) Pour 𝒈𝒈 :
5
𝑔𝑔 est définie sur ]− ∞ ; 0 ] ∪ � ; + ∞ � et admet des demi tangentes verticales aux
2
5
points d’abscisses 0 et
2
𝑔𝑔 est strictement décroissante sur son ensemble de dérivabilité.
la droite y = − 𝑥𝑥 est à la fois asymptote oblique en − ∞ et + ∞
5
les points de coordonnées (0 ; −3 ) et � ; 1� sont sur la courbe de 𝑔𝑔.
2
3) Pour 𝒉𝒉 :
ℎ est dérivable sur ℝ− {0 ; 2 } et continue sur ℝ.
le point de coordonnées (0,3 ; 0,4 ) est l’extremum maximum absolue de la courbe (𝐶𝐶ℎ)
et ℎ est croissante sur [ 0 ; 0,3 ] ∪ [ 2 ; + ∞[
les droites d’équations 𝑦𝑦 = − 1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑦𝑦 = − 2𝑥𝑥 + 1 sont asymptotes de (𝐶𝐶ℎ)
respectivement en − ∞ et + ∞
les points de coordonnées (0 ; 0 ) ;(1 ; 0 ); et (2 ; −2 )appartiennent à (𝐶𝐶ℎ)
1) 𝑓𝑓 est la fonction dont la courbe est donnée ci-dessous par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑥𝑥 3 + 𝑏𝑏𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑
y
6
E1 2
-8 -7 -6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1 E2
-2
-3
-4
-5
-6
−1 32
De plus : E1� ; � et E2( 1 ; 0) sont les sommets de la courbe (Cf)
3 27
𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
2) La fonction donnée est 𝑔𝑔 telle que : 𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑐𝑐𝑐𝑐 2 + 𝑑𝑑
y
4
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5x
-1
-2
-3
-4
-5
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
3) La fonction donnée est ℎ telle que : ℎ(𝑥𝑥) =
𝑑𝑑𝑑𝑑 + 𝑒𝑒
y
5
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
-4
Fonctions d’initialisations.
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
21 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 + 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Détermine l’ensemble de définition D𝑓𝑓.
2) Calcule les limites aux bornes de D𝑓𝑓.
𝑐𝑐
3) Détermine les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑐𝑐 tel que 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 +
𝑥𝑥 + 1
4) a- Montre que la droite ( D ) d’équation 𝑦𝑦 = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 est asymptote à la courbe C𝑓𝑓 .
b- Détermine la position de la courbe C𝑓𝑓 et de la droite ( D ).
5) Montre que le point I�−01� est centre de symétrie pour la courbe C𝑓𝑓.
6) Détermine une équation de la tangente à la courbe C𝑓𝑓 au point d’abscisse – 2
7) Calcule la dérivée 𝑓𝑓’ de la fonction 𝑓𝑓 puis Dresse le tableau de variation de 𝑓𝑓.
8) Construire la courbe C𝑓𝑓 et la droite ( D ) dans le même repère.
𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
22 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Détermine les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 tel que :
a- La courbe C𝑓𝑓 admet comme asymptote les droites 𝑥𝑥 = 2 et 𝑥𝑥 = −1.
b- La courbe C𝑓𝑓 passe par le point A�−12� et admet en ce point une tangente de
coefficient directeur − 5.
2) Etudie la fonction 𝑓𝑓 puis représente sa courbe C𝑓𝑓 dans le repère.
23 𝑥𝑥 3 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑚𝑚𝑚𝑚 2 + 𝑛𝑛𝑛𝑛 + 𝑝𝑝
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
Détermine les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 𝑐𝑐 ; 𝑚𝑚 ; 𝑛𝑛 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑝𝑝 tel que :
a- La courbe C𝑓𝑓 admet comme asymptote les droites 𝑥𝑥 = 2 et 𝑥𝑥 = −1.
1
b- La courbe C𝑓𝑓 passe par les points A�−1 � et B� 03� et admet au point B� 03� une
tangente de coefficient directeur − 3.
𝑥𝑥 3 − 9𝑥𝑥
24 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2(𝑥𝑥 2 − 1 )
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Etudie les variations de 𝑓𝑓.
2) Préciser les asymptotes à la courbe C𝑓𝑓.
3) Soit ∆ l'asymptote non parallèle aux axes de coordonnées, Détermine la position de
C𝑓𝑓 par rapport à Δ dans l’intervalle �– 1 ; 1 �.
4) Construire C𝑓𝑓.
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 4
25 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2𝑥𝑥
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Etudie et construire la courbe représentative de 𝑓𝑓 dans un repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
2) Montre que le point d'intersection des asymptotes est un centre de symétrie de (Cf)
3) Discute graphiquement suivant les valeurs de 𝑚𝑚 l'existence et le signe des racines de
l'équation : 𝑥𝑥 2 + 2(1 – 𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 4 = 0
4) Montre que la restriction ℎ de 𝑓𝑓 à l'intervalle I = [ 2 ; + ∞ [ est une bijection de I sur un
intervalle J que l'on précisera.
5) Construire la courbe représentative de la fonction réciproque ℎ− 1 de ℎ dans le même
repère que (Cf).
Fonctions biologiques.
c- En déduis à partir de quel jour la population de bactéries sera égal à 52.000 individus.
5) a- Quelle est la limite de 𝑓𝑓 en + ∞ ?
b- En déduis une interprétation quant à la population de bactéries.
6) Trace la courbe ( 𝐶𝐶𝐶𝐶 ) de 𝑓𝑓 dans un repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
Echelle : 1 𝑐𝑐𝑐𝑐 → 10 ans sur l’axe (𝑜𝑜𝑜𝑜) et 1 𝑐𝑐𝑐𝑐 → 10.000 individus sur l’axe (𝑜𝑜𝑜𝑜).
28 Une culture de bactéries a un rythme de croissance (𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒é 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑚𝑚𝑚𝑚/𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗)et modélisé par la
3000
fonction 𝐶𝐶(𝑥𝑥) = où 𝑥𝑥 ∈ [0 ; +∞[ est le temps écoulé en jours.
1 + 0,25𝑥𝑥
29 Un malade contracte une fièvre dont la température en degré est modélisée par la fonction 𝑡𝑡
définie sur l’intervalle [0 ; +∞[ par 𝑡𝑡(𝑥𝑥) = −𝑥𝑥 2 + 1,5𝑥𝑥 + 1. Où : 𝑥𝑥 est le temps écoulé
exprimé en seconde et 𝑡𝑡(𝑥𝑥) est la température de la fièvre exprimé en degré.
1) Quelle est la température du malade à : 0 s ? ; 1s ? et 2s ?
2) La fonction 𝑡𝑡 est représentée par la courbe ci-dessous :
y
2
1,5 ̅
I I I
-1 −0,5 0 0,5 1 1,5 2 x
-1
a. Indiquer à qu’elle instant la fièvre atteint sa température maximale.
b. Donne les intervalles respectifs de montée et de descente de la fièvre.
3) On désigne par T une primitive de la fonction 𝑡𝑡 définie sur l’intervalle [0 ; 2].
a. Calcule T.
Fonctions circulaires.
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3𝑥𝑥
30 Soit 𝑓𝑓 la fonction définie sur �− ; � par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2 2 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Montre que l’ensemble de définition D𝑓𝑓 peut se réduit
2) Etudie la parité et la périodicité de 𝑓𝑓 puis en déduis un intervalle d'étude DE.
3𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶2𝑥𝑥
3) Montre que ∀ 𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = puis Dresse le tableau de variation de 𝑓𝑓.
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
𝜋𝜋 𝜋𝜋
4) En déduis le tracé de (C𝑓𝑓) sur �− ; � par symétrie.
2 2
5) Détermine les coordonnées des points d'intersections de la courbe (C) avec l'axe des
abscisses.
Fonctions paramétriques.
33 Soit 𝑓𝑓𝑚𝑚 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = (2𝑚𝑚 – 1) 𝑥𝑥 4 – (𝑚𝑚 + 4) 𝑥𝑥 2 – 𝑚𝑚 + 5.
Où 𝑥𝑥 est la variable et 𝑚𝑚 est un paramètre réel.
Soit (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Montre que toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par deux points fixes dont on Déterminera les
coordonnées.
2) Etudie la fonction 𝑓𝑓0 puis représente sa courbe (𝐶𝐶0 ) dans le repère orthonormé.
2) Détermine 𝑚𝑚 pour que le point d'intersection I de (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) et l'asymptote parallèle à (𝑥𝑥′𝑜𝑜𝑜𝑜) ait
3
pour abscisse .
2
3) Etudie les fonctions 𝑓𝑓0 et 𝑓𝑓1 puis représente leur courbe respectives courbe (𝐶𝐶0 ) et (𝐶𝐶1 ).
𝑥𝑥2− 𝑚𝑚𝑚𝑚
35 Soit 𝑓𝑓𝑚𝑚 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = 2 .
𝑥𝑥 − 1
Où 𝑥𝑥 est la variable et 𝑚𝑚 est un paramètre réel différent de 1.
Soit (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Donne le tableau de variation de la fonction 𝑓𝑓𝑚𝑚 suivant les valeurs de 𝑚𝑚.
( On distinguera les cas où 𝑚𝑚 = −2 ; 𝑚𝑚 = 2).
2) Comparer 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) et 𝑓𝑓−𝑚𝑚 (−𝑥𝑥) puis Donne la position relative des courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) et (𝐶𝐶−𝑚𝑚 ).
3) Montre que toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par un même point fixe dont on Déterminera les
coordonnées..
4) Représente leur courbe respectives (𝐶𝐶−2 ) et (𝐶𝐶2 ).
Fonctions auxiliaires.
�𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥�+ 1
41 Soit 𝑓𝑓 la fonction définie par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
|𝑥𝑥| + 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Détermine le domaine de définition de f et écrire 𝑓𝑓(𝑥𝑥) sans les symboles "valeur absolue"
2) Etudie la dérivabilité de 𝑓𝑓 en −1 et en 0, puis interprète géométriquement les résultats
3) Etudie les variations de 𝑓𝑓
4) Montre que les droites d'équations 𝑦𝑦 = −𝑥𝑥 – 2 et 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 sont asymptotes à la courbe
(C) et 𝑓𝑓
5) Trace (C)
4) Montre que la courbe (C) de 𝑓𝑓 admet une asymptote oblique (∆) au voisinage de −∞ et
une asymptote oblique (D) au voisinage de +∞.
5) Dresse son tableau de variation
6) Trace dans un repère orthonormé la courbe (C) de 𝑓𝑓.
𝑥𝑥
43 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie de ℝ vers ℝ par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = |𝑥𝑥|� 𝑥𝑥 − 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Détermine l'ensemble de définition D𝑓𝑓 de 𝑓𝑓
2) a) Etudie la dérivabilité de 𝑓𝑓 au point 𝑥𝑥0 = 0, en déduis l'ensemble de dérivabilité de 𝑓𝑓.
b) Calcule 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) pour 𝑥𝑥 élément des intervalles de dérivabilité.
c) Calcule les limites de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) aux bornes de D𝑓𝑓 et préciser les équations des asymptotes à
la courbe (C) de 𝑓𝑓.
d) Dresse le tableau de variation de 𝑓𝑓.
3) Trace la courbe (C) de 𝑓𝑓.
44 On considère, dans le plan (𝑃𝑃) rapporté à un repère orthonormal ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ), le cercle ( Γ ) de
centre O et de rayon 1.
Soit 𝐴𝐴 le point de coordonnées ( 1 ; 0 ) et 𝐴𝐴’ le point de coordonnées ( −1 ; 0 ) .
1) Pour tout point H du segment[ 𝐴𝐴𝐴𝐴′ ], distinct de 𝐴𝐴 et 𝐴𝐴’, on mène la perpendiculaire
( Δ ) à la droite (𝐴𝐴𝐴𝐴′ ). La droite ( Δ ) coupe le cercle ( Γ ) en 𝑀𝑀 et 𝑀𝑀’.
���� = 𝑥𝑥. Calcule en fonction de 𝑥𝑥 l’aire du triangle 𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴’.
On pose 𝑂𝑂𝑂𝑂
2) Soit 𝑓𝑓 la fonction définie sur ]−1 ; 1 [ par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = ( 1 − 𝑥𝑥 )√ 1 − 𝑥𝑥 2 .
a- Etudie les variations de f.
b- Montre que le triangle 𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴’ d’aire maximale est équilatéral.
Problèmes
45 La fonction 𝑓𝑓 de ℝ dans ℝ est donnée par une partie de son tableau de variation.
On sait de plus que la droite d'équation 𝑥𝑥 = 2 est axe de symétrie pour la courbe C de 𝑓𝑓.
𝑥𝑥 −∞ 2 4 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) − −
1 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ 3
1) Trace la courbe 𝐶𝐶 de 𝑓𝑓
2) Complète le tableau de variation de 𝑓𝑓
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
3) On suppose que 𝑓𝑓(𝑥𝑥) est de la forme 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 + 𝛽𝛽𝛽𝛽 + 𝛼𝛼
a- Détermine les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 ; β 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝛼𝛼
e- Discute graphiquement suivant les valeurs du paramètre 𝑚𝑚, du nombre et des signes des
solutions de 𝑙𝑙′é𝑞𝑞𝑞𝑞𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎 (3 − 𝑚𝑚)𝑥𝑥 2 – (12 – 4𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 8 = 0
46 On donne la figure ci-dessous qui représente une partie de la courbe d'une fonction 𝑔𝑔.
y
4
3
2
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
-1
-2
-3
-4
1) Complète la courbe de la fonction 𝑔𝑔 sachant que 𝑔𝑔 est impaire.
47 𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
Soit 𝑓𝑓 la fonction numérique définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = où 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 et 𝑑𝑑 sont des réels
𝑥𝑥+𝑑𝑑
et (C𝑓𝑓) sa courbe représentative dans le plan muni d'un repère orthonormé (𝑜𝑜; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗)
1) Trouve les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 sachant que la droite d'équation 𝑥𝑥 = 3 est asymptote et
(C𝑓𝑓) passe par les points 𝐴𝐴( 2 ; 3 ) , 𝐵𝐵( 4 ; 7 ) et admet au point d'abscisse 2 une tangente
horizontale.
2) Dans la suite du problème on prendra 𝑎𝑎 = 1 ; 𝑏𝑏 = −1 ; 𝑐𝑐 = −5 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 = −3
a- Etudie la fonction 𝑓𝑓
1
48 Partie A : Soit 𝑓𝑓 la fonction numérique définie sur D𝑓𝑓 = ] 1 ; +∞[ par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = − √𝑥𝑥
𝑥𝑥−1
1) Montre que la dérivée de f garde un signe constant sur D𝑓𝑓.
2) Etudie les variations de 𝑓𝑓 (limite et sens de variation)
3) En déduis que l'équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet une solution unique dans l'intervalle ] 1 ; 2[
1
49 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = et (C) sa courbe.
𝑥𝑥 + 1
1) a- Démontre que la courbe représentative de la fonction 𝑓𝑓 sur l'intervalle [ 0 ; +∞[est au
dessus de sa tangente en tout point.
1
b- En déduis que∀ 𝛼𝛼 ∈ [ 0 ; +∞[ , on a : ≥ 1 − 𝛼𝛼 (1).
𝛼𝛼 + 1
2) Soit la fonction 𝑔𝑔 définie sur [ 0 ; +∞[ ; par 𝑔𝑔 (𝑥𝑥) = √𝑥𝑥 + 1 et soit 𝑘𝑘 un réel strictement
positif.
a- Détermine la dérivée première et seconde de 𝑔𝑔 sur [ 0 ; +∞[
1 1
b- Vérifie que : ∀ 𝑥𝑥 ∈ [ 0 ; 𝑘𝑘[ on a : ≤ 𝑔𝑔′ (𝑥𝑥) ≤
2√1 + 𝑘𝑘 2
c- En utilisant le théorème de l'inégalité des accroissements finis à la fonction 𝑔𝑔 sur
𝑘𝑘 𝑘𝑘
l'intervalle [ 0 ; 𝑘𝑘 ] , Démontre que : 1 + ≤ √1 + 𝑘𝑘 ≤ 1 + (2)
2√1 + 𝑘𝑘 2
d- Déduisez des relations (1) et (2) que : ∀ 𝛼𝛼 ∈ [ 0 ; +∞[ , on a :
𝑘𝑘 𝑘𝑘 2 𝑘𝑘
1+ − ≤ √1 + 𝑘𝑘 ≤ 1 +
2 4 2
e- Etablis alors l'inégalité suivante : 1,0475 ≤ √1,1 ≤ 1,05
𝑓𝑓- En déduisez une valeur approchée de √1,1 tout en précisant la marge d'incertitude.
√𝑥𝑥 −3 √9 − 3 3− 3 0
b- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑥𝑥 − 9 9− 9 9− 9 0
𝑥𝑥 → 9
2
( )2
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥𝑥𝑥 −− 93 × √√𝑥𝑥𝑥𝑥 ++ 33 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �√(𝑥𝑥𝑥𝑥 −− 93)���√𝑥𝑥 + 3�
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
√𝑥𝑥 − 3
𝑥𝑥 − 9 √𝑥𝑥 + 3�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 (𝑥𝑥�√−𝑥𝑥9� )�−√𝑥𝑥3+ 3�
𝑥𝑥 → 9 𝑥𝑥 → 9 𝑥𝑥 → 9 𝑥𝑥 → 9
𝑥𝑥 − 9 1 1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = =
𝑥𝑥 − 9)�√𝑥𝑥 + 3� √𝑥𝑥 + 3 √9 + 3 3 + 3 6
𝑥𝑥 → 9 𝑥𝑥 → 9
2𝑥𝑥 + 5 2(2) + 5 9
c- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = ( )2 ( ) = − = −∞
𝑥𝑥2 − 𝑥𝑥− 2 2 − 2− 2 0
𝑥𝑥 → 2−
�𝑥𝑥2 + 1 − 1 �0+ 1 − 1 0
d- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑥𝑥 0 0
𝑥𝑥 → 0
2
�𝑥𝑥2 + 1 − 1 �𝑥𝑥2 + 1 +
1 ��𝑥𝑥2 + 1 − 1���𝑥𝑥2 + 1 + 1� ��𝑥𝑥2 + 1 � − (1)2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 × 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 �𝑥𝑥 + 1 + 1 (𝑥𝑥)��𝑥𝑥2 + 1 + 1� (𝑥𝑥)��𝑥𝑥2 + 1 + 1�
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
2
��𝑥𝑥 2 + 1 � − (1)2 𝑥𝑥 2 + 1 − 1 𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 0
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = 0.
(𝑥𝑥)��𝑥𝑥 2 + 1 + 1� (𝑥𝑥)��𝑥𝑥 2 + 1 + 1� (𝑥𝑥)��𝑥𝑥 2 + 1 + 1� �𝑥𝑥 2 + 1 + 1 2
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑥𝑥2 − 𝑥𝑥 − 6 9−3−6 0
e-𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
√𝑥𝑥 − 3� √3 − √3 0
𝑥𝑥 → 3
𝑥𝑥2 − 𝑥𝑥 − 6 √𝑥𝑥 + �3 �𝑥𝑥2 − 𝑥𝑥 − 6��√𝑥𝑥 + �3� ( 𝑥𝑥 + 2)( 𝑥𝑥 − 3)�√𝑥𝑥 + �3�
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 × = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 2 =
√𝑥𝑥 − 3� √𝑥𝑥 + 3
� �√𝑥𝑥 − 3��√𝑥𝑥 + 3�
� �
�√𝑥𝑥 � − ��3�
𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3
Cos2𝑥𝑥 Cos π −1
b- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = =∞
1 − 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 1 − 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 𝜋𝜋 0
2
𝜋𝜋
𝑥𝑥 →
2
𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆5𝑥𝑥 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 0 0
c- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 0 = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆3𝑥𝑥 0
𝑥𝑥 → 0
5𝑥𝑥
5𝑥𝑥
×𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 5𝑥𝑥 5𝑥𝑥×𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠5𝑥𝑥
5𝑥𝑥
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠5𝑥𝑥
5𝑥𝑥 5𝑥𝑥 5𝑥𝑥
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠5𝑥𝑥
5 1 5 5
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 3𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 × = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 × = × =
×𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3𝑥𝑥 3𝑥𝑥×𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥
3𝑥𝑥 3𝑥𝑥
3𝑥𝑥 3
3𝑥𝑥
1 3 3
3𝑥𝑥
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 0
d- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝜋𝜋 − 𝑥𝑥
= 𝜋𝜋𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
− 𝜋𝜋
= 0
(Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑥𝑥 → 𝜋𝜋
𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝜋𝜋𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑋𝑋+𝜋𝜋
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑋𝑋+𝜋𝜋 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 𝑋𝑋 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
( ) ( ) ( )
Donc 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =1
𝜋𝜋 − 𝑥𝑥 − (𝑋𝑋+𝜋𝜋) 𝜋𝜋 – 𝑋𝑋− 𝜋𝜋 𝑋𝑋 – 𝑋𝑋
𝑥𝑥 → 𝜋𝜋 𝑋𝑋 → 0 𝑋𝑋 → 0 𝑋𝑋 → 0 𝑋𝑋 → 0
4𝑥𝑥
4𝑥𝑥
×𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 4𝑥𝑥 4𝑥𝑥×𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠4𝑥𝑥
4𝑥𝑥
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠4𝑥𝑥
4𝑥𝑥 4𝑥𝑥 5𝑥𝑥
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠5𝑥𝑥
1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 × = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 ×4 = ×4=4
𝑥𝑥
×𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 𝑥𝑥 𝑥𝑥×𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡
𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 1
3𝑥𝑥
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
Limites à l’infinie
2𝑥𝑥2 + 2 2 2
c- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 2 =
5𝑥𝑥 − 𝑥𝑥 5𝑥𝑥 5
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1 1 1
�𝑥𝑥2 + 1 −
�𝑥𝑥 2 �1− 2 � − 1 |𝑥𝑥|�1− 2 − 1 −𝑥𝑥�1− 2 − 1
1 𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
d- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑥𝑥�−�1− 12 − 1𝑥𝑥� 1 1
𝑥𝑥 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −�1 − 𝑥𝑥2
− = −1 car 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 = 0 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
=0
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1 1 1
f- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
� 1 − √𝑥𝑥��1 + √𝑥𝑥�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1−1 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −1 𝑥𝑥 = = 0.
(1)2 − �√𝑥𝑥� +∞
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
3𝑥𝑥 – | 𝑥𝑥 | 4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 3𝑥𝑥2𝑥𝑥–−−𝑥𝑥2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥
3𝑥𝑥 + 𝑥𝑥
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥4𝑥𝑥− 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥
4𝑥𝑥
( )
g-𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
2𝑥𝑥 − 2 − 2
=2 =2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1 1
h- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + �𝑥𝑥 2 �1 + + �
𝑥𝑥 𝑥𝑥2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1 1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + |𝑥𝑥|�1 + + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + 𝑥𝑥�1 + + 2 = −∞ + ∞
𝑥𝑥 𝑥𝑥2 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
(Forme indéterminée)
Levons l’indétermination:
1− 𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 1 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �1 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1� ×
1− 𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2
�1− 𝑥𝑥 +�𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 ��1− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 � (1− 𝑥𝑥 )2 − ��𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 �
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
1− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 1− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2
(1− 𝑥𝑥 )2 − ��𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1 � �𝑥𝑥2 − 2𝑥𝑥 + 1�− �𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
1− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 1− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2 + 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
𝑖𝑖- 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( 𝑡𝑡ℎé𝑜𝑜𝑜𝑜è𝑚𝑚𝑚𝑚 𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔𝑔)
𝑥𝑥+ 1
𝑥𝑥 → +∞
On sait que : − 1 ≤ 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 ≤ 1
En ajoutons 2 à chaque membre de l’inégalité, on a :
1 ≤ 2 + 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 ≤ 3
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Chapitre 3. Fonctions numériques. Page 173
Fonctions numériques
1 2+𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3
En divisant chaque membre de l’inégalité par 𝑥𝑥 + 1, on a :
𝑥𝑥+1
≤ 𝑥𝑥+1
≤ 𝑥𝑥+1
En appliquant la limite à chaque membre de l’inégalité, on a :
1 2+𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥+1
≤ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥+1
≤ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞
1
⎧𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥+1 = 0
⎪ 𝑥𝑥 → +∞
2+𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
Or 𝑒𝑒𝑒𝑒 Alors d’après le théorème des Gendarmes, on a : 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 0
⎨ 3 𝑥𝑥+1
⎪𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥+1 = 0 𝑥𝑥 → +∞
⎩ 𝑥𝑥 → +∞
Limites et asymptotes
4 Calculons les limites aux bornes de l’ensemble de définition de chacune des fonctions
ci-dessous ( on Donnea ci-possible les éventuelles asymptotes ou possibilité d’asymptotes )
𝑥𝑥2 + 5
a- 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝐷𝐷𝑓𝑓 = ℝ − {2} = ]−∞ ; 2[ ∪ ]2 ; +∞[
– 𝑥𝑥 + 2
𝑥𝑥 2 + 5 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥 = +∞
– 𝑥𝑥 + 2 – 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
𝑥𝑥 2 + 5 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥 = −∞
– 𝑥𝑥 + 2 – 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞
9
Alors la droite d’équation 𝑦𝑦 = −𝑥𝑥 − 2 est asymptote oblique car 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =0
– 𝑥𝑥 + 2
𝑥𝑥 → ∞
(2)2 + 5 9
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = =+∞
– (2) + 2 0+
Alors la droite d’équation
𝑥𝑥 → 2−
𝑥𝑥 = 2 est asymptote verticale
(2)2 + 5 9
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = −=−∞
– (2) + 2 0
𝑥𝑥 → 2+
−𝑥𝑥2 + 5
b- 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝐷𝐷𝑓𝑓 = ℝ − {−6 ; 1} = ]−∞ ; −6[ ∪ ]−6 ; +∞[
𝑥𝑥2 + 5𝑥𝑥 −6
−𝑥𝑥 2 + 5 − 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = −1
𝑥𝑥 2 + 5𝑥𝑥 −6 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ Alors la droite d’équation 𝑦𝑦 = −1
est asymptote horizontale
−𝑥𝑥 2 + 5 − 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = −1
𝑥𝑥 2 + 5𝑥𝑥 −6 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞
−(−6)2 + 5 −31
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = + =−∞
(−6)2 + 5(−6) −6 0
Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = −6
𝑥𝑥 → −6−
est asymptote verticale
−(−6)2 + 5 −31
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2 = − =+∞
(−6) + 5(−6) −6 0
𝑥𝑥 → −6+
−(1)2 + 5 4
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = =−∞
(1)2 + 5(1) −6 0−
𝑥𝑥 → 1− Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = 1 est
−(1)2 + 5 4
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = =+∞ asymptote verticale
(1)2 + 5(1) −6 0+
𝑥𝑥 → 1+
1 1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥�1 + + − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥 ��1 + + 2 + 1�= −(−∞)(2) = +∞
𝑥𝑥 𝑥𝑥2 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
Alors la courbe (C𝑓𝑓) n’admet pas une asymptote horizontale en − ∞, mais on a une possibilité
d’asymptote oblique − ∞.
1 1 1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �𝑥𝑥 2 �1 + + � − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 |𝑥𝑥|�1 + + 2 − 𝑥𝑥
𝑥𝑥 𝑥𝑥2 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞
1 1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥�1 + + − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 ��1 + + 2 − 1� = + ∞ × 0 = (Forme indéterminée)
𝑥𝑥 𝑥𝑥2 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞
Levons l’indétermination:
− 𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �−𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1� ×
− 𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2
�− 𝑥𝑥 + �𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 ��− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 � (− 𝑥𝑥 )2 − ��𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 �
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 − 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2
(− 𝑥𝑥 )2 − ��𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1 � 𝑥𝑥2 − �𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
− 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 − 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
– 𝑥𝑥 − 1 – 𝑥𝑥 − 1 − 𝑥𝑥 −1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =
− 𝑥𝑥 − 𝑥𝑥
| | − 𝑥𝑥 − 𝑥𝑥 − 2𝑥𝑥 −2 2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1
Alors la courbe (C𝑓𝑓) admet une asymptote horizontale en + ∞ d’équation 𝑦𝑦 =
2
1
2) Démontrons que la droite (Δ) d’équation 𝑦𝑦 = −2𝑥𝑥 − est asymptote à (C𝑓𝑓) en −∞ .
2
1
La droite (Δ) d’équation 𝑦𝑦 = −2𝑥𝑥 − est asymptote à (C𝑓𝑓) en −∞ si et seulement si :
2
1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ��√𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 − 𝑥𝑥 � − �−2𝑥𝑥 − ��
2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 − 𝑥𝑥 + 2𝑥𝑥 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 + 𝑥𝑥 +
2 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1
1 𝑥𝑥 + − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
2
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �𝑥𝑥 + + √𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1� × 1
2 𝑥𝑥 + − √𝑥𝑥 2 +𝑥𝑥+1
2
𝑥𝑥 → −∞
1 1 2 2
�𝑥𝑥 + 2 + �𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1 ��𝑥𝑥 + 12 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 � �𝑥𝑥 + 2 � − ��𝑥𝑥2 +𝑥𝑥+1 �
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 + 12 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 𝑥𝑥 + 12 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Chapitre 3. Fonctions numériques. Page 176
Fonctions numériques
2
𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 14 − ��𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1 � 𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 14 − �𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 + 1�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 + 12 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1 𝑥𝑥 + 12 − �𝑥𝑥2+𝑥𝑥+1
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
− 34 3
4 −34 −3 −3 −3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 8(−∞) = −∞ = 0
2𝑥𝑥 + 12 2𝑥𝑥 2𝑥𝑥 8𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1
D’où la droite (Δ) d’équation 𝑦𝑦 = −2𝑥𝑥 − est asymptote oblique à (C𝑓𝑓) en −∞
2
Continuités
Continuité en un point 𝒙𝒙𝟎𝟎
( 𝑥𝑥 − 2 )2 ( 𝑥𝑥 − 2 )2 𝑥𝑥 − 2 2− 2 0
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =5 =0
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 − 6 (𝑥𝑥 − 2)(𝑥𝑥 + 3) 𝑥𝑥 + 3 2+ 3
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
|𝑥𝑥 − 1| + 2
𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
b- � 𝑥𝑥 + 3 ; 𝑥𝑥 o = 1
𝑓𝑓(1) = 5
Posons 𝑥𝑥 − 1 = 0 = > 𝑥𝑥 = 1
𝑥𝑥 −∞ 1 +∞
𝑥𝑥 − 1 − +
|𝑥𝑥 − 1|
0
−𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 − 1
( − 𝑥𝑥 + 1)+2
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] − ∞ ; 1 ]
𝑥𝑥 + 3
=>� 𝑒𝑒𝑒𝑒
( 𝑥𝑥 − 1 ) + 2
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] 1 ; + ∞ [
𝑥𝑥 + 3
− 𝑥𝑥 + 3
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] − ∞ ; 1 ]
𝑥𝑥 + 3
=>� 𝑒𝑒𝑒𝑒
𝑥𝑥 + 1
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] 1 ; + ∞ [
𝑥𝑥 + 3
Continuité à droite :
𝑥𝑥 + 1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓( 𝑥𝑥 )= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =
𝑥𝑥 + 3 2
𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1−
1
Puis que 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(1) =
2
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1+
3 − �2𝑥𝑥 + 5 3 − √2×2 + 5 3 − 3 0
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = = (Forme indéterminée)
𝑥𝑥 − 2 2−2 2−2 0
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
Levons l’indétermination:
2
3 − �2𝑥𝑥 + 5 3+ √2𝑥𝑥 + 5 �3 − √2𝑥𝑥 + 5��3+ √2𝑥𝑥 + 5� (3)2 − �√2𝑥𝑥 + 5�
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 2
×3 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 (𝑥𝑥 − 2)�3 + √2𝑥𝑥 + 5�
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 − 2)�3 +
√2𝑥𝑥 +5 √2𝑥𝑥 + 5�
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
2
(3)2 − ��2𝑥𝑥 + 5� 9 − 2𝑥𝑥 − 5 4 − 2𝑥𝑥
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙( = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙(
(𝑥𝑥 − 2)�3 + �2𝑥𝑥 + 5� 𝑥𝑥 − 2)�3 + �2𝑥𝑥 + 5� 𝑥𝑥 − 2)�3 + �2𝑥𝑥 + 5�
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
−2(𝑥𝑥 − 2) −2 −2 −2 −2 −2 −1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 3+ = = 3+3 = =
(𝑥𝑥 − 2)�3 + �2𝑥𝑥 + 5� 3 + �2𝑥𝑥 + 5 √2×2 + 5 3 + √9 6 3
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
−1
Alors 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(2) =
3
𝑥𝑥 → 2
−1 −1
Or 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(2) = 𝑎𝑎 𝑎𝑎 = . D’où 𝑎𝑎 =
3 3
𝑥𝑥 → 2
- Ensemble de definition:
𝑥𝑥0 = 0 ∉ ]0 ; +∞[ . Alors 𝑓𝑓 peut être prolongée par continuité au point 𝑥𝑥0 = 0
𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 0
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
√𝑥𝑥 0
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑥𝑥 − √𝑥𝑥
𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ]0 ; +∞[
� √𝑥𝑥 ou 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = √𝑥𝑥 − 1
𝑔𝑔(0) = −1 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 = 0
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡
𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
b) � 𝑥𝑥
𝑥𝑥0 = 0
- Ensemble de definition:
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 0
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑥𝑥 0
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 1 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 × = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 × =1
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 1
�Car 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 1 et 𝑙𝑙𝑖𝑖𝑖𝑖 = 1�
𝑥𝑥 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡 𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ℝ − �− + 2𝑘𝑘𝑘𝑘 ; + 2𝑘𝑘𝑘𝑘 ; 0 �
� 𝑥𝑥 2 2
𝑔𝑔(0) = 1 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 = 0
√2𝑥𝑥 −2
11 On considère la fonction 𝑔𝑔 de la variable réelle 𝑥𝑥 définie par 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 − 2
1) Déterminons son ensemble de définition D𝑔𝑔.
D𝑔𝑔 = {𝑥𝑥/ 𝑥𝑥 ∈ 2𝑥𝑥 ≥ 0 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑥𝑥 − 2 ≠ 0} => D𝑔𝑔 = [0 ; 2[ ∪ ]2 ; +∞[
2) Montrons que 𝑔𝑔 admet en 2 un prolongement par continuité que l’on notera par ℎ.
𝑥𝑥0 = 2 ∉ [0 ; 2[ ∪ ]2 ; +∞[. Alors 𝑔𝑔 peut être prolongée par continuité au point 𝑥𝑥0 = 2
√2𝑥𝑥 −2 0
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = (Forme indéterminée) et levons l’indétermination:
𝑥𝑥 − 2 0
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Chapitre 3. Fonctions numériques. Page 181
Fonctions numériques
2 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 =
�2𝑥𝑥 +2 2
𝑥𝑥 → 2
�2𝑥𝑥 −2
ℎ(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ [0 ; 2[ ∪ ]2 ; +∞[
� 𝑥𝑥 − 2
1
ℎ(2) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 = 2
2
ℎ(𝑥𝑥) −ℎ(2)
ℎ est dérivable en 2 si et seulement si : 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = ℎ′ (2) = 𝑙𝑙 ∈ ℝ
𝑥𝑥 − 2
𝑥𝑥 → 2
√2𝑥𝑥 −2 1 2�√2𝑥𝑥 −2� − (𝑥𝑥 − 2)
ℎ(𝑥𝑥) −ℎ(2) � 𝑥𝑥 − 2 � − �2� 2��2𝑥𝑥 −2� − (𝑥𝑥 − 2)
2(𝑥𝑥 − 2)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 − 2 2(𝑥𝑥 − 2)2
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
2�2𝑥𝑥 − 4 − 𝑥𝑥 + 2 2�2𝑥𝑥 − 𝑥𝑥 − 2 2�2𝑥𝑥 –(𝑥𝑥 +2)
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( =>
2(𝑥𝑥 − 2)2 2 𝑥𝑥 − 2)2 2 𝑥𝑥 − 2)2
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
2
ℎ(𝑥𝑥) −ℎ(2) �2�2𝑥𝑥 –(𝑥𝑥 +2)��2�2𝑥𝑥 +(𝑥𝑥 +2)� �2�2𝑥𝑥 � − (𝑥𝑥 +2)2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 2 2(𝑥𝑥 − 2)2�2�2𝑥𝑥 +(𝑥𝑥 +2)� 2(𝑥𝑥 − 2)2�2�2𝑥𝑥 +(𝑥𝑥 +2)�
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
−1 1 −1 −2 1 −1 3 −1 3
=> 𝑦𝑦 = (𝑥𝑥 − 2) + = 𝑥𝑥 + + = 𝑥𝑥 + => 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 +
16 2 16 16 2 16 8 16 8
Dérivabilité
Dérivabilité en un point 𝒙𝒙𝟎𝟎
( 𝑥𝑥 − 2 )2
𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
a) � 𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 − 6 et 𝑥𝑥0 = 2
𝑓𝑓(2) = 0
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(2)
𝑓𝑓 est dérivable en 2 si et seulement si : 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑓𝑓 ′ (2) = 𝑙𝑙 ∈ ℝ
𝑥𝑥 − 2
𝑥𝑥 → 2
( 𝑥𝑥 − 2 )2 ( 𝑥𝑥 − 2 )2
� �−0 � (𝑥𝑥 + 3)(𝑥𝑥 − 2) �
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(2) 𝑥𝑥2 + 𝑥𝑥 − 6 ( 𝑥𝑥 − 2 )2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 (
𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 2 )2
𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2 𝑥𝑥 → 2
1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( =5 ∈ ℝ
𝑥𝑥 + 3)
𝑥𝑥 → 2
1
D’où 𝑓𝑓 est dérivable en 2 et son nombre dérivé est : 𝑓𝑓 ′ (2) =
5
|𝑥𝑥−1|+2
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥0 = 1
𝑥𝑥+3
b)� 1
𝑓𝑓(1) =
2
Ecrivons 𝑓𝑓 sans le symbole de la valeur absolue :
Posons 𝑥𝑥 − 1 = 0 = > 𝑥𝑥 = 1
Puis étudions le signe de tableau de si 𝑥𝑥 − 1 dans un tableau.
𝑥𝑥 −∞ 1 +∞
𝑥𝑥 − 1 − 0 +
|𝑥𝑥 − 1| −𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 − 1
( − 𝑥𝑥 + 1)+2
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] − ∞ ; 1 ]
𝑥𝑥 + 3
=> � 𝑒𝑒𝑒𝑒
( 𝑥𝑥 − 1 ) + 2
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] 1 ; + ∞ [
𝑥𝑥 + 3
− 𝑥𝑥 + 3
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] − ∞ ; 1 ]
𝑥𝑥 + 3
=> � 𝑒𝑒𝑒𝑒
𝑥𝑥 + 1
𝑓𝑓( 𝑥𝑥 ) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ∈ ] 1 ; + ∞ [
𝑥𝑥 + 3
Etude de la dérivabilité de 𝑓𝑓
𝑓𝑓 est dérivable en 𝑥𝑥0 = 1 si sa dérivabilité à gauche est égale à sa dérivabilité à droite,
Dérivabilité à gauche :
− 𝑥𝑥 + 3 1 2(−𝑥𝑥 + 3) – (𝑥𝑥 + 3)
� �−2 � �
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(1) 2(𝑥𝑥 + 3) −2𝑥𝑥 + 6 – 𝑥𝑥 − 3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 + 3 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 2(𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 1)
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1−
−3𝑥𝑥 + 3 −3(𝑥𝑥 − 1) −3 −3 −3
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( = = ∈ℝ
2(𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 1) 2 𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 1) 2 𝑥𝑥 + 3) 2(1 + 3) 8
− − −
𝑥𝑥 → 1 𝑥𝑥 → 1 𝑥𝑥 → 1
Dérivabilité à droite :
𝑥𝑥 + 1 1 2(𝑥𝑥 + 1) – (𝑥𝑥 + 3)
� 𝑥𝑥 + 3 � − 2 � �
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(1) 2(𝑥𝑥 + 3) 2𝑥𝑥 + 2 – 𝑥𝑥 − 3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 − 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
2(𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 1)
𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1+
𝑥𝑥 − 1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( = ∈ℝ
2(𝑥𝑥 + 3)( 𝑥𝑥 − 1) 2 𝑥𝑥 + 3) 8
𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1+
13 Déterminons les réels 𝑎𝑎 et 𝑏𝑏 pour que 𝑓𝑓 soit continue et dérivable aux points 𝑥𝑥0 = 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 − 3 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
� 2𝑥𝑥 + 𝑏𝑏
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
𝑥𝑥
- Continuité :
2𝑥𝑥 + 𝑏𝑏
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 − 3 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑎𝑎 − 1 = 2 + 𝑏𝑏 𝑎𝑎 − 𝑏𝑏 = 3 (1)
𝑥𝑥
− +
𝑥𝑥 → 1 𝑥𝑥 → 1
- Dérivabilité :
2𝑥𝑥 + 𝑏𝑏
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(1) �2𝑥𝑥2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎−3 � −(𝑎𝑎−1) � � −(2+𝑏𝑏)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1 +
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1+
2𝑥𝑥 + 𝑏𝑏
�2𝑥𝑥2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎−3 � −(𝑎𝑎−1) � 𝑥𝑥 � − 2+𝑏𝑏
( ) 2𝑥𝑥2+ 𝑎𝑎𝑎𝑎−3 – 𝑎𝑎+1 𝑏𝑏 − 𝑏𝑏𝑏𝑏
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1+
𝑎𝑎 − 𝑏𝑏 = 3 (𝟏𝟏) 1 7
� La résolution de ce système donne : 𝑎𝑎 = − et 𝑏𝑏 = −
𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = −4 (𝟐𝟐) 2 2
𝑥𝑥( 𝑥𝑥 + 1 )
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = ( 𝑥𝑥 + 2 )2
𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≥ −1
14 Soit 𝑓𝑓 la fonction de ℝ vers ℝ définie par : �
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2𝑥𝑥 + 𝑎𝑎 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 < −1
𝑥𝑥( 𝑥𝑥 + 1 )
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 + 𝑎𝑎 0 = −2 + 𝑎𝑎 𝑎𝑎 = 2
( 𝑥𝑥 + 2 )2
𝑥𝑥 → −1− 𝑥𝑥 → −1+
𝑥𝑥 𝑥𝑥 + 1
( )
� � −(0)
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(−1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(−1) )2 (2𝑥𝑥 + 2 ) −(−2 + 2)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 + 2
(
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 → −1− 𝑥𝑥 → −1+ 𝑥𝑥 → −1− 𝑥𝑥 → −1+
𝑥𝑥( 𝑥𝑥 + 1 ) 2(𝑥𝑥 + 1 ) 𝑥𝑥
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙( = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙( = 2 −1 = 2 (absurde)
𝑥𝑥 + 1 )( 𝑥𝑥 + 2 )2 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 2 )2
𝑥𝑥 → −1− 𝑥𝑥 → −1+ 𝑥𝑥 → −1−
Application de la dérivée
15 Déterminons une équation de la tangente en 𝑀𝑀o( 𝑥𝑥o ; 𝑓𝑓(𝑥𝑥o)) à la courbe (C) de 𝑓𝑓 dans les cas
suivants :
L’équation de la tangente à la courbe au (C) de 𝑓𝑓 point 𝑥𝑥0 est donnée par la formule suivante :
𝑦𝑦 = 𝑓𝑓′(𝑥𝑥0 )(𝑥𝑥 − 𝑥𝑥0 ) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥0 )
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2 3 7
b) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = et 𝑥𝑥 o = 1 => 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓′(1)(𝑥𝑥 − 1) + 𝑓𝑓(1) => 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 +
𝑥𝑥 + 1 4 4
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋 �3 9 + 𝜋𝜋�3
c) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 2 𝑥𝑥 et 𝑥𝑥 o = => 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓′ � � �𝑥𝑥 − � + 𝑓𝑓 � � => 𝑦𝑦 = − 𝑥𝑥 +
6 6 6 6 2 12
16 Déterminons la fonction dérivée 𝑓𝑓’ de la fonction 𝑓𝑓 dans chacun des cas suivants :
𝑎𝑎) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥3 – 2𝑥𝑥 2 + 5𝑥𝑥 + 3 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = 3𝑥𝑥2 – 4𝑥𝑥 + 5
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
𝑏𝑏) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = . Posons 𝑢𝑢 = 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2 => 𝑢𝑢′ = 2𝑥𝑥 + 2 et 𝑣𝑣 = 𝑥𝑥 + 1 => 𝑣𝑣′ = 1
𝑥𝑥 + 1
𝑢𝑢 ′ 𝑣𝑣 − 𝑣𝑣′𝑢𝑢 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
𝑣𝑣 2 (𝑥𝑥 + 1)2
d) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = √ 2𝑥𝑥 3 − 4𝑥𝑥 2 + 1 . Posons 𝑢𝑢 = 2𝑥𝑥 3 − 4𝑥𝑥 2 + 1 => 𝑢𝑢′ = 6𝑥𝑥 2 − 8𝑥𝑥
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = 𝑢𝑢′ 𝑣𝑣 + 𝑣𝑣′𝑢𝑢 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (−6𝑥𝑥)(−𝑥𝑥 2 + 1) + (−2𝑥𝑥)(1 − 3𝑥𝑥 2 ) = 12𝑥𝑥 3 − 8𝑥𝑥
g) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = (𝑥𝑥 − 1) √ 𝑥𝑥 3 − 𝑥𝑥 2
3𝑥𝑥2 − 2𝑥𝑥
Posons 𝑢𝑢 = 𝑥𝑥 − 1 => 𝑢𝑢′ = 1 et 𝑣𝑣 = √ 𝑥𝑥 3 − 𝑥𝑥 2 => 𝑣𝑣 ′ =
2�𝑥𝑥3 − 𝑥𝑥2
3𝑥𝑥2− 2𝑥𝑥
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = 𝑢𝑢′ 𝑣𝑣 + 𝑣𝑣′𝑢𝑢 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (1)�√ 𝑥𝑥 3 − 𝑥𝑥 2 � + � � (𝑥𝑥 − 1)
2�𝑥𝑥3 − 𝑥𝑥2
h) 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = Sin( 3𝑥𝑥 − 1)4 . Posons 𝑢𝑢 = ( 3𝑥𝑥 − 1)4 => 𝑢𝑢′ = 4(3)(3𝑥𝑥 − 1)3 = 12(3𝑥𝑥 − 1)3
𝑥𝑥 −∞ −1 3 +∞
𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 + 0 − 0 +
|𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 | 𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 −𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 3 𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 − 3 = −1 − 3 = −4
𝑥𝑥 → −1−
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 + 3 = 4
𝑥𝑥 → −1+
Ainsi on dira que 𝑓𝑓 n’est pas dérivable à gauche et à droite de 𝑥𝑥 o = −1, mais elle admet deux
demi-tangentes respectivement à gauche et à droite de 𝑥𝑥 o = −1 dont les coefficients directeurs
sont : 𝑓𝑓′(−1) = −4 et 𝑓𝑓 ′ (−1) = 4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 −𝑥𝑥 − 1 = −3 − 1 = −4
𝑥𝑥 → 3−
= 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 𝑥𝑥 + 1 = 3 + 1 = 4
𝑥𝑥 → 3+
Ainsi on dira que 𝑓𝑓 n’est pas dérivable à gauche et à droite de 𝑥𝑥 o = 3, mais elle admet deux
demi-tangentes respectivement à gauche et à droite de 𝑥𝑥 o = 3 dont les coefficients directeurs
sont : 𝑓𝑓′(3) = −4 et 𝑓𝑓 ′ (3) = 4
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) − − 0 + +
+∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) − + 0 − +
4
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
Ainsi l’intersection de ces deux tableaux donnent celui de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) sur l’intervalle ]−∞ ; +∞[
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) − + 0 − +
+∞ 4 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
Etudes de fonctions
Analyse et interprétation d’un tableau de variation.
18 Analysons puis interprète chacun des tableaux de variations suivants afin de préciser :
1) a- Domaine de définition.
D𝑓𝑓 = ℝ = ]−∞ ; +∞[
b- Limites aux bornes du domaine de définition tout en mettant en évidence les éventuelles
asymptotes ou possibilités d’asymptotes.
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
La courbe (C𝑓𝑓) admet l’axe (𝑦𝑦’𝑂𝑂𝑂𝑂) comme branche parabolique.
2) a- Domaine de définition.
D𝑔𝑔 = ℝ = ]−∞ ; +∞[
b- Limites aux bornes du domaine de définition tout en mettant en évidence les éventuelles
asymptotes ou possibilités d’asymptotes.
3) a- Domaine de définition.
Dℎ = ℝ−{−2 ; 2} = ]−∞ ; −2[ ∪ ]−2 ; 2[ ∪ ]2 ; +∞[
b- Limites aux bornes du domaine de définition tout en mettant en évidence les éventuelles
asymptotes ou possibilités d’asymptotes.
4) a- Domaine de définition.
D𝑝𝑝 = ℝ−{0} = ]−∞ ; 0[ ∪ ]0 ; +∞[
b- Limites aux bornes du domaine de définition tout en mettant en évidence les éventuelles
asymptotes ou possibilités d’asymptotes.
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑝𝑝(𝑥𝑥) = 2 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑝𝑝(𝑥𝑥) = 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑝𝑝(𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑝𝑝(𝑥𝑥)= +∞. Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = 0 est asymptote Verticale
𝑥𝑥 → 0− 𝑥𝑥 → 0+
𝑥𝑥 5
−∞ −1 +∞
2
𝑓𝑓 ’(𝑥𝑥) − 0 + 0 −
−2 4
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
5
− 3
2
2) Pour 𝑔𝑔 :
5
𝑔𝑔 est définie sur ]− ∞ ; 0 ] ∪ � ; + ∞ � et admet des demi tangentes verticales aux
2
5
points d’abscisses 0 et
2
𝑔𝑔 est strictement décroissante sur son ensemble de dérivabilité.
la droite 𝑦𝑦 = − 𝑥𝑥 est à la fois asymptote oblique en − ∞ et + ∞
5
les points de coordonnées (0 ; −3 ) et � ; 1� sont sur la courbe de g.
2
𝑥𝑥 5
−∞ −1 +∞
2
𝑔𝑔 ’(𝑥𝑥) + 0 +0 +
−3 +∞
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
−∞ 1
3) Pour ℎ :
ℎ est dérivable sur ℝ− {0 ; 2 } et continue sur ℝ.
le point de coordonnées (0,3 ; 0,4 ) est l’extremum maximum absolue de la courbe (Ch)
et ℎ est croissante sur [ 0 ; 0,3 ] ∪ [ 2 ; + ∞[
Les droites d’équations 𝑦𝑦 = − 1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑦𝑦 = − 2𝑥𝑥 + 1 sont asymptotes de (Ch)
respectivement en − ∞ et + ∞
𝑥𝑥 −∞ 0 0,3 2 +∞
𝑓𝑓 ’(𝑥𝑥) − + 0 − +
−1 0,4 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ − ∞ − ∞ −∞
20 1) 𝑓𝑓 est la fonction dont la courbe est donnée ci-dessous par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑥𝑥 3 + 𝑏𝑏𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑
a- Analysons chacune des courbes représentatives données dans un repère orthonormé du plan
afin d’établir son tableau de variation.
D𝑓𝑓 = ℝ= ]−∞ ; +∞[
−∞ 0
b- Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 et 𝑑𝑑 en utilisant le graphique.
On sait que la formule explicite de 𝑓𝑓 est le suivant : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑥𝑥 3 + 𝑏𝑏𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑
−1 32
D’après le graphique, la courbe ( 𝐶𝐶 ) passe par les points E1� ; � et E2( 1 ; 0)
3 27
−1 32
𝑓𝑓 � �= et 𝑓𝑓(1)=0
3 27
−1 32
De même, la courbe ( 𝐶𝐶 ) admet les points E1� ; � et E2( 1 ; 0)comme extremum
3 27
−1
𝑓𝑓′ � � = 0 et 𝑓𝑓′(1)= 0
3
−1 32
⎧𝑓𝑓 � 3 � = 27 −a + 3b − 9c + 27d = 32 (1)
⎪ 𝑓𝑓(1) = 0
a+b+c+d=0 (3)
−1
� (2)
⎨ 𝑓𝑓 � � = 0
′ a − 2b + 3c = 0
⎪ 3 3a + 2b + c = 0 (4)
⎩ 𝑓𝑓′(1) = 0
𝑏𝑏 − 2𝑐𝑐 + 7𝑑𝑑 = 8
�−3𝑏𝑏 + 2𝑐𝑐 − 𝑑𝑑 = 0
−𝑏𝑏 − 2𝑐𝑐 − 3𝑑𝑑 = 0
D’où 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 3 − 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1
𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
2) La fonction donnée est 𝑔𝑔 telle que : 𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑐𝑐𝑐𝑐 2 + 𝑑𝑑
a- Analysons chacune des courbes représentatives données dans un repère orthonormé du plan
afin d’établir son tableau de variation.
y
4
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5x
-1
-2
-3
-4
-5
𝑥𝑥 −∞ −1 0 1 +∞
𝑔𝑔 ’(𝑥𝑥) + + 0 − −
+∞ −1 +∞
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
0 −∞ −∞ 0
b- Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 et 𝑑𝑑 en utilisant le graphique.
𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
Soit 𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑐𝑐𝑐𝑐 2 + 𝑑𝑑
Puis que 𝑔𝑔 admet les droites 𝑥𝑥 = −1 et 𝑥𝑥 = 1 comme asymptote verticale, alors on a :
𝑐𝑐𝑐𝑐 2 + 𝑑𝑑 = (𝑥𝑥 − 1)(𝑥𝑥 + 1)𝑐𝑐𝑐𝑐 2 + 𝑑𝑑 = 𝑥𝑥 2 − 1 et par identification on a : 𝑐𝑐 = 1 et 𝑑𝑑 = −1
𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
=>𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 − 1
𝑏𝑏
De même la courbe passe par le point (0 ; −1) =>𝑔𝑔(0) = −1 = −1 =>𝑏𝑏 = 1
−1
𝑎𝑎𝑎𝑎 + 1
=>𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 − 1
−3𝑎𝑎 +1 1
De même la courbe passe par le point (−3 ; 0) =>𝑔𝑔(−3) = 0 = 0 =>𝑎𝑎 =
8 3
1
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 3
D’où 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 3 𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 − 1 3(𝑥𝑥 2 − 1)
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
3) La fonction donnée est ℎ telle que : ℎ(𝑥𝑥) =
𝑑𝑑𝑑𝑑 + 𝑒𝑒
y
5
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
-4
a- Analysons chacune des courbes représentatives données dans un repère orthonormé du plan
afin d’établir son tableau de variation.
−𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 0 𝑎𝑎 = 1
� � D’où 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 1 est asymptote oblique à la courbe ( C ).
𝑏𝑏 = 1 𝑏𝑏 = 1
𝑥𝑥 −∞ −2 −1 0 +∞
ℎ ’(𝑥𝑥) + 0 − − 0 +
−2 +∞ +∞
ℎ(𝑥𝑥)
−∞ −∞ 2
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
ℎ(𝑥𝑥) =
𝑑𝑑𝑑𝑑 + 𝑒𝑒
Puis que ℎ admet la droite 𝑥𝑥 = −1comme asymptote verticale, alors on a : 𝑑𝑑𝑑𝑑 + 𝑒𝑒 = 𝑥𝑥 + 1 et par
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
identification on a : 𝑑𝑑 = 1 et 𝑒𝑒 = 1=>ℎ(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 + 1
La courbe ( C ) passe par les points (−2 ; −2) 𝑒𝑒𝑒𝑒 (0 ; 2)=>ℎ(−2) = −2 et ℎ(0) = 2
Fonctions d’initialisations.
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
21 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 + 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Déterminons l’ensemble de définition D𝑓𝑓.
Df = ℝ− {− 1 } = ]− ∞ ; −1 [ ∪ ]− 1 ; + ∞ [
𝑥𝑥2+ 2𝑥𝑥 + 2 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = − ∞
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
𝑥𝑥2+ 2𝑥𝑥 + 2 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = + ∞
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → + ∞
𝑥𝑥2+ 2𝑥𝑥 + 2 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = −∞
𝑥𝑥 + 1 0−
𝑥𝑥 → − 1− 𝑥𝑥 → − 1−
𝑥𝑥2+ 2𝑥𝑥 + 2 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = + = +∞
𝑥𝑥 + 1 0
𝑥𝑥 → − 1+ 𝑥𝑥 → − 1+
𝑐𝑐
3) Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑐𝑐 tel que 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 +
𝑥𝑥 + 1
1 𝑐𝑐
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 + 1 + et par identification avec 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 + , on a :
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 1
𝑎𝑎 = 1 ; 𝑏𝑏 = 1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑐𝑐 = 1
4) a- Montrons que la droite (D) d’équation 𝑦𝑦 = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 est asymptote à la courbe C𝑓𝑓 .
La droite (D) d’équation 𝑦𝑦 = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 𝑥𝑥 + 1 est asymptote à la courbe C𝑓𝑓 si :
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 = 0.
𝑥𝑥 → ∞
1 1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �𝑥𝑥 + 1 + � − (𝑥𝑥 + 1 ) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 0
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → ∞ 𝑥𝑥 → ∞ 𝑥𝑥 → ∞ 𝑥𝑥 → ∞
Posons 𝑥𝑥 + 1 = 0 => 𝑥𝑥 = −1
𝑥𝑥 −∞ −1 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 − 0 +
∀𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; −1[ , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 < 0. Alors ∀𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; −1[ , (C) est en dessous de (D).
∀𝑥𝑥 ∈ ]−1 ; +∞[ , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 > 0. Alors ∀𝑥𝑥 ∈ ]−1 ; +∞[ , (C) est au dessus de (D).
4) Montrons que le point I�−01� est centre de symétrie pour la courbe C𝑓𝑓.
Le point 𝐼𝐼�−01� est dit centre de symétrie si 𝑓𝑓(2( −1 ) – 𝑥𝑥) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2(0)
𝑓𝑓( – 2 − 𝑥𝑥 ) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0
(− 2−𝑥𝑥 )2 + 2(− 2−𝑥𝑥 ) +2 4 + 4𝑥𝑥 + 𝑥𝑥 2 – 4 − 2𝑥𝑥 + 2 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥
𝑓𝑓( – 𝑥𝑥 – 2 ) = = =
(− 2−𝑥𝑥 ) +1 −2− 𝑥𝑥+1 − 𝑥𝑥 −1
Or ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, (𝑥𝑥 + 1)2 > 0 alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend donc du signe du
Numérateur 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥.
𝑥𝑥 −∞ −2 −1 0 +∞
𝑓𝑓’(𝑥𝑥) + 0 − − 0 +
−2 +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ −∞ 2
7) Construisons la courbe C𝑓𝑓et la droite (D) dans le même repère.
y
5
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
22 𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 tel que :
a- La courbe C𝑓𝑓 admet comme asymptote les droites 𝑥𝑥 = 2 et 𝑥𝑥 = −1.
Alors 𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑 = (𝑥𝑥 − 2)(𝑥𝑥 + 1) 𝑥𝑥 2 + 𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑑𝑑 = 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2
𝑥𝑥 2 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
Par identification, on a : 𝑐𝑐 = −1 et 𝑑𝑑 = −2 => 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2
1 + 𝑎𝑎 + 𝑏𝑏
b- La courbe C𝑓𝑓 passe par le point A�−12�,
Alors 𝑓𝑓(1) = −2 = −2
− 2
1 + 𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 4 => 𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 3 (1)
C𝑓𝑓 admet au point A�−12� une tangente de coefficient directeur – 5 => 𝑓𝑓′(1) = −5 avec
𝑥𝑥 2 (−𝑎𝑎−1) + 𝑥𝑥(−4−2𝑏𝑏) + 𝑏𝑏−2𝑎𝑎 −3𝑎𝑎 – 𝑏𝑏 − 5
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = alors 𝑓𝑓′(1) = −5 = −5
(𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2)2 4
3𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 15 (2)
𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 3
Formons ainsi le système avec les équations (1) et (2) => �
3𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 15
−𝑎𝑎 − 𝑏𝑏 = −3
�
3𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 = 15
𝑥𝑥 2 + 6𝑥𝑥 −3
2𝑎𝑎 = 12 => 𝑎𝑎 = 6 et 𝑏𝑏 = −3. D’où 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞. Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = −1 est asymptote
𝑥𝑥 → −1− 𝑥𝑥 → −1+
Verticale
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞. Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = 2 est asymptote
𝑥𝑥 → 2− 𝑥𝑥 → 2+ Verticale
Or ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, (𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2)2 > 0 alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend donc du signe du
numérateur −7𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 − 15. Posons −7𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 − 15 = 0 = > ∆= −416 => ∆< 0
Alors ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) à même signe que 𝑎𝑎 = −7. Donc 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) < 0
𝑥𝑥 −∞ −1 2 +∞
𝑓𝑓’(𝑥𝑥) − − −
1 +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ −∞ 1
3 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
23 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥
𝑚𝑚𝑚𝑚 2 + 𝑛𝑛𝑛𝑛 + 𝑝𝑝
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 𝑐𝑐 ; 𝑚𝑚 ; 𝑛𝑛 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑝𝑝 tel que :
a- La courbe C𝑓𝑓 admet comme asymptote les droites 𝑥𝑥 = 2 et 𝑥𝑥 = −1.
Alors 𝑚𝑚𝑚𝑚 2 + 𝑛𝑛𝑛𝑛 + 𝑝𝑝 = (𝑥𝑥 − 2)(𝑥𝑥 + 1) 𝑚𝑚𝑚𝑚 2 + 𝑛𝑛𝑛𝑛 + 𝑝𝑝 = 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2 par identifications, on
𝑥𝑥 3 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
a : 𝑚𝑚 = 1 ; 𝑛𝑛 = −1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑝𝑝 = −2 => 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 – 𝑥𝑥 − 2
1 𝑐𝑐
b- La courbe C𝑓𝑓 passe par les points A�−1 � et B� 03�, alors 𝑓𝑓(0) = 3 = 3 => 𝑐𝑐 = −6
−2
𝑥𝑥 3 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 − 6
=> 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 – 𝑥𝑥 − 2
La courbe C𝑓𝑓 admet au point A� 03�, une tangente de coefficient −3 alors 𝑓𝑓′(0) = −3 avec
𝑥𝑥 4 − 2𝑥𝑥 3 + 𝑥𝑥 2 (−𝑎𝑎 − 𝑏𝑏 − 6) + 𝑥𝑥(− 4𝑎𝑎 + 12𝑏𝑏) − 2𝑏𝑏 − 6
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = .
(𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 2)2
− 2𝑏𝑏 − 6
Alors 𝑓𝑓′(0) = −3 = −3 − 2𝑏𝑏 − 6 = −12 => 𝑏𝑏 = 3
4
𝑥𝑥 3 + 𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 3𝑥𝑥 − 6
D’où 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 – 𝑥𝑥 − 2
1 1 + 𝑎𝑎 + 3 − 6
La courbe C𝑓𝑓 admet au point A�−1 � Alors 𝑓𝑓′(1) = −1 = −1 𝑎𝑎 − 2 = 2
1 –1−2
=> 𝑎𝑎 = 4
𝑥𝑥 3 + 4𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 − 6
D’où 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 – 𝑥𝑥 − 2
𝑥𝑥 3 − 9𝑥𝑥
24 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2(𝑥𝑥 2 − 1 )
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Etudions les variations de 𝑓𝑓 puis précisons les asymptotes à la courbe C𝑓𝑓.
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞. Alors on a une possibilité d’asymptote oblique.
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
1
La recherche de l’asymptote oblique nous conduit à 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥
2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞. Alors la droite d’équation 𝑥𝑥 = 1 est asymptote
𝑥𝑥 → 1− 𝑥𝑥 → 1+ Verticale
𝑥𝑥 3 − 9𝑥𝑥 𝑥𝑥 4 + 6𝑥𝑥 2 + 9
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
2(𝑥𝑥 2 − 1 ) [2(𝑥𝑥 2 − 1 )]2
Or ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, [2(𝑥𝑥 2 − 1 )]2 > 0 alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend donc du signe du
numérateur 𝑥𝑥 4 + 6𝑥𝑥 2 + 9. Alors effectuons un changement de variable en posant 𝑋𝑋 = 𝑥𝑥 2 .
Alors 𝑥𝑥 4 + 6𝑥𝑥 2 + 9 dévient : 𝑋𝑋 2 + 6𝑋𝑋 + 9 = (𝑋𝑋 + 3)2 > 0
D’où ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) > 0
Conclusion : ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, la fonction 𝑓𝑓 est strictement croissante.
1
2) Soit ∆ l'asymptote non parallèle aux axes de coordonnées, c’est-à-dire = 𝑥𝑥.
2
Déterminons la position de C𝑓𝑓 par rapport à Δ dans l’intervalle �– 1 ; 1 �.
−4𝑥𝑥
Pour ce la étudions le signe de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦. Posons 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 = 0 = 0.
𝑥𝑥 2 − 1
2 2
Etudions le signe de −4𝑥𝑥 et 𝑥𝑥 − 1. Posons −4𝑥𝑥 = 0 et 𝑥𝑥 − 1 = 0 => 𝑥𝑥 = 0 et 𝑥𝑥 = −1
ou 𝑥𝑥 = 1
𝑥𝑥 −1 0 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 − 0 +
D’après le tableau de signe de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦, on a :
∀𝑥𝑥 ∈ ]−1 ; 0[ , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 < 0. Alors ∀𝑥𝑥 ∈ ]−1 ; 0[ , (C) est en dessous de (D).
4) Construisons C𝑓𝑓.
y
5
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
-1
-2
-3
-4
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 4
25 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2𝑥𝑥
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé (O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗).
1) Etudions et construisons la courbe représentative de 𝑓𝑓 dans un repère orthonormé (O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗).
Déterminons l’ensemble de définition D𝑓𝑓.
Df = ℝ− {0 } = ]− ∞ ; 0 [ ∪ ]0 ; + ∞ [
𝑥𝑥2 + 2𝑥𝑥 + 4 𝑥𝑥 2 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = − ∞
2𝑥𝑥 2𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
𝑥𝑥2 + 2𝑥𝑥 + 4 𝑥𝑥 2 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = + ∞
2𝑥𝑥 2𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → + ∞
𝑥𝑥2 + 2𝑥𝑥 + 4 4
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = − = −∞
2𝑥𝑥 0
𝑥𝑥 → 0− 𝑥𝑥 → 0−
𝑥𝑥2 + 2𝑥𝑥 + 4 4
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = +∞
2𝑥𝑥 0+
+ +
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 4 2𝑥𝑥 2 − 8
𝑓𝑓(𝑥𝑥)= => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
2𝑥𝑥 (2𝑥𝑥)2
𝑥𝑥 −∞ −2 0 2 +∞
𝑓𝑓’(𝑥𝑥) + 0 − − 0 +
−1 +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ −∞ 3
Construisons la courbe ( C ).
- 𝑥𝑥 = 0 est asymptote verticale.
1
- 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 1 est asymptote oblique.
2
y
6
5 𝐶𝐶ℎ−1
4 C𝑓𝑓
3
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
2) Montrons que le point d'intersection des asymptotes est un centre de symétrie de (Cf)
Cherchons d’abords le point d’intersection des deux asymptotes. Pour cela formons le système
1
avec les deux asymptotes ( = 0 asymptote verticale ) et ( 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 1 asymptote oblique)
2
𝑥𝑥 = 0 𝑥𝑥 = 0
=> � 1 => � .Ainsi le point ( 0 ; 1) est centre de symétrie pour la
𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 1 𝑦𝑦 = 1
2
courbe ( C ) de 𝑓𝑓 si et seulement si : 𝑓𝑓(2(0) – 𝑥𝑥) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2(1) 𝑓𝑓( – 𝑥𝑥) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2
En faisant glisser une règle du bas vers le haut tout le long du graphique, on remarque que :
- ∀ 𝑚𝑚 ∈ ]−∞ ; −1[coupe deux fois la courbe et par conséquent l’équation
𝑥𝑥 2 + 2(1 – 𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 4 = 0 admet deux solutions distinctes négatives.
- ∀ 𝑚𝑚 ∈ ]3 ; +∞[ , la règle coupe deux fois la courbe et par conséquent l’équation
𝑥𝑥 2 + 2(1 – 𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 4 = 0 admet deux solutions distinctes positives.
- ∀ 𝑚𝑚 ∈ ]−1 ; 3[, la règle ne coupe pas la courbe et par conséquent l’équation
𝑥𝑥 2 + 2(1 – 𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 4 = 0 n’admet pas de solution.
Fonctions biologiques.
60×5 + 40
- La population au bout de 5 jours est : 𝑓𝑓(5) = = 22,66 ≈ 23 jours
5 + 10
60×21 + 40
- La population au bout de 21 jours est : 𝑓𝑓(21) = = 41,93 ≈ 42 jours
21 + 10
𝑏𝑏
2) Déterminons les réels 𝑎𝑎 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑏𝑏 tels que 𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝑎𝑎 + pour 𝑡𝑡 ∈ [ 0 ; + ∞ [.
𝑡𝑡 + 10
60𝑡𝑡 + 40
𝑓𝑓(𝑡𝑡) = . La divisions Euclidienne de (60𝑡𝑡 + 40) par (𝑡𝑡 + 10) donne pour quotient
𝑡𝑡 + 10
𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅𝑅
𝑞𝑞 = 60 et pour reste 𝑅𝑅 = −560. Alors 𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞 +
𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷𝐷
−560
=>𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 60 +
𝑡𝑡 + 10
𝑏𝑏
et par comparaisons avec 𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝑎𝑎 + , on a : 𝑎𝑎 = 60 et 𝑏𝑏 = −560
𝑡𝑡 + 10
60𝑡𝑡 + 40 560
𝑓𝑓(𝑡𝑡) = =>𝑓𝑓′(𝑡𝑡) = .
𝑡𝑡 + 10 (𝑡𝑡 + 10)2
b- En déduisons le nombre de jours à partir du quel la population de cette culture sera égale à
52.000 individus.
D’après la question : b), la population de cette culture sera égale à 52.000 individus au bout de
60000 jours.
5) a- Déterminons la limite de 𝑓𝑓 en + ∞
60𝑡𝑡 + 40 60𝑡𝑡
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑡𝑡) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 60
𝑡𝑡 + 10 𝑡𝑡
𝑡𝑡 → + ∞ 𝑡𝑡 → + ∞ 𝑡𝑡 → + ∞
y
60
50
40
30
20
10
0 10 20 30 40 50 60 70 80 t
𝑡𝑡 1 10 30
𝑓𝑓′(𝑡𝑡) + 0 −
D’après le tableau :
- Il y a contagion entre le 1er et 10ième jour
- Il y a non contagion entre le 10ième et 30ième jour
15
3) On désigne par S = ∫10 𝑓𝑓(𝑡𝑡)𝑑𝑑𝑑𝑑 , l’aire en 𝑚𝑚2 de la zone contaminée par la virus.
Déterminons cette aire
15 15
S = ∫10 𝑓𝑓(𝑡𝑡)𝑑𝑑𝑑𝑑 => S = ∫10 (0,02𝑡𝑡 3 − 1,4𝑡𝑡 2 + 22𝑡𝑡 + 640)𝑑𝑑𝑑𝑑
15
0,02 4 1,4 3 22 2
=> S = � 𝑡𝑡 − 𝑡𝑡 + 𝑡𝑡 + 640𝑡𝑡 � = 3685,625 𝑚𝑚2 = 3685,625 𝑚𝑚2
4 3 2 10
0,25
= 12000 × (
1 + 0,25𝑥𝑥)2
D’où
0,25 0,25 −1
𝑝𝑝(𝑥𝑥) = ∫ 𝐶𝐶(𝑥𝑥) 𝑑𝑑𝑑𝑑 = ∫ 12000 × ( 𝑑𝑑𝑑𝑑 = 12000 ∫ ( 𝑑𝑑𝑑𝑑 = + 𝑘𝑘
1 + 0,25𝑥𝑥)2 1 + 0,25𝑥𝑥)2 1 + 0,25𝑥𝑥
−1 250,25𝑥𝑥 + 1000
D’où 𝑝𝑝(𝑥𝑥) = + 1001 =
1 + 0,25𝑥𝑥 1 + 0,25𝑥𝑥
b- Evaluons le nombre de bactérie ainsi que leur rythme de croissance au bout de 3 jours.
250,25(3) + 1000
-Le nombre de bactérie au bout de 3 jours est : 𝑝𝑝(3) = ≈ 1000 individus.
1 + 0,25(3)
3000
-Leur rythme de croissance au bout de 3 jours est : 𝐶𝐶(3) = ( ≈ 980𝑚𝑚𝑚𝑚/𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗𝑗
1 + 0,25×3)2
250,25𝑥𝑥 + 1000
𝑝𝑝(𝑥𝑥) = 1500 = 1500 −124,75𝑥𝑥 = 500 => 𝑥𝑥 ≈ −4
1 + 0,25𝑥𝑥
29 Un malade contracte une fièvre dont la température en degré est modélisée par la fonction 𝑡𝑡
définie sur l’intervalle [0 ; +∞[ par 𝑡𝑡(𝑥𝑥) = −𝑥𝑥 2 + 1,5𝑥𝑥 + 1. Où : 𝑥𝑥 est le temps écoulé
exprimé en seconde et 𝑡𝑡(𝑥𝑥) est la température de la fièvre exprimé en degré.
1) Déterminons la température du malade à : 0 s ; 1s et 2s
- A 0s, la température du malade est : 𝑡𝑡(0) = −(0)2 + 1,5(0) + 1 = 1 degré
- A 1s, la température du malade est : 𝑡𝑡(1) = −(1)2 + 1,5(1) + 1 = 1,5 degré
- A 2s, la température du malade est : 𝑡𝑡(2) = −(2)2 + 1,5(2) + 1 = 0 degré
y
2
1,5 ̅
I I I
-1 −0,5 0 0,5 1 1,5 2 x
-1
a. Indiquons à qu’elle instant la fièvre atteint sa température maximale.
D’après le graphique ci-dessus, la courbe atteint son maximum à 0,75 s. Par
conséquent la fièvre atteint sa température maximale à 0,75 s.
Fonctions circulaires.
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3𝑥𝑥
30 Soit 𝑓𝑓 la fonction définie sur �− ; � par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
2 2 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
- Parité :
Alors 𝑓𝑓 est impaire et admet donc l’origine O(0 ; 0) du repère comme centre de symétrie.
- Périodicité :
2𝜋𝜋
NB : Les fonctions Cos (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) et Sin (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) sont périodique et de période T =
|𝑎𝑎|
2𝜋𝜋 2𝜋𝜋
Pour 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥, on a : T1 = et pour 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 3 𝑥𝑥, on a : T2 = = 2π = > 𝑇𝑇 = T1 ∩ T2 = 2π
3 1
𝑇𝑇 𝑇𝑇 2𝜋𝜋 2𝜋𝜋
Alors l’étude peut donc se fait sur le domaine �− ; � => DE = �− ; � = [−𝜋𝜋 ; 𝜋𝜋 ]
2 2 2 2
De plus la fonction est paire alors nous pouvons résumer le domaine d’étude à 0 ; 𝜋𝜋 ]
[
D’où DE = [ 0 ; 𝜋𝜋 ]
3𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶2𝑥𝑥
3) Montrons que ∀ 𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = puis dressons le tableau de variation de 𝑓𝑓.
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆 3𝑥𝑥
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = . ( 𝑢𝑢 = 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 => 𝑢𝑢′ = 3𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 ; 𝑣𝑣 = 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 => 𝑣𝑣 ′ = −3𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥 )
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
(3𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 3𝑥𝑥 )�𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 � − �−3𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥�(𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 3𝑥𝑥 ) 3𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 3𝑥𝑥×𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 +3𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥×𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 3𝑥𝑥
=> 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = =
(𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥)2 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 6 𝑥𝑥
3𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥(𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 3𝑥𝑥•𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 3𝑥𝑥•𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 3𝑥𝑥)
=> 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = Or 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 • 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 • 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐2𝑥𝑥
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 6 𝑥𝑥
Car 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 • 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 • 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(𝑎𝑎 − 𝑏𝑏) et en simplifiant la fraction par 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥, on a :
3𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶2𝑥𝑥
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (ce qu’il fallait Démontre)
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
∀𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend de celui du numérateur 3𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶2𝑥𝑥
𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝑥𝑥 = + 𝑘𝑘𝑘𝑘 ou 𝑥𝑥 = − + 𝑘𝑘𝑘𝑘
4 4
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
En utilisant le cercle trigonométrique ; ∀𝑥𝑥 ∈ �0 ; � 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) > 0 et ∀𝑥𝑥 ∈ � ; � 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) < 0
4 4 2
𝑥𝑥 𝜋𝜋 𝜋𝜋
0 𝜋𝜋
4 2
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) + 0 − −
1
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 4
0 −∞ 0
y
4
-3 -2 -1 0 1 2 3x
-1
-2
1 + 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶3𝑥𝑥
31 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Déterminons l'ensemble de définition D𝑓𝑓.
D𝑓𝑓 = {𝑥𝑥 / 𝑥𝑥 ∈ ℝ ; 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 ≠ 0}
𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 ≠ 0 <=> 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 ≠ 0 <=> 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 ≠ 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 <=> 𝑥𝑥 ≠ + 2𝑘𝑘𝝅𝝅 ou
2 2
𝜋𝜋
𝑥𝑥 ≠ − + 2𝑘𝑘𝑘𝑘
2
𝜋𝜋 𝜋𝜋
=>𝐷𝐷𝑓𝑓 = �− ∞ ; − + 2𝑘𝑘𝑘𝑘� ∪ � + 2𝑘𝑘𝑘𝑘 ; + ∞ �
2 2
2) Etudions la parité et la périodicité de 𝑓𝑓 puis en déduisons un intervalle d'étude DE.
- Parité :
1 + 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶(−3𝑥𝑥) 1 + 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶3𝑥𝑥
𝑓𝑓(−𝑥𝑥) = = = 𝑓𝑓(𝑥𝑥) ( car 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(−𝛼𝛼) = 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 )
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 (−𝑥𝑥) 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
Alors 𝑓𝑓 est paire et admet donc l’axe 𝑦𝑦’𝑜𝑜𝑜𝑜 comme axe de symétrie.
- Périodicité :
2∏
NB : Les fonctions Cos (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) et Sin (𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏) sont périodique et de période T =
|𝑎𝑎|
2𝜋𝜋 2𝜋𝜋
Pour 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥, on a : T1 = et pour 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 3 𝑥𝑥, on a : T2 = = > 𝑇𝑇 = T1 ∩ T2 = 2π
3 1
𝑇𝑇 𝑇𝑇 2𝜋𝜋 2𝜋𝜋
Alors l’étude peut donc se fait sur le domaine �− ; � => DE = �− ; � = [−𝜋𝜋 ; 𝜋𝜋 ]
2 2 2 2
Et puisque la fonction est paire alors nous pouvons résumer le domaine d’étude à [ 0 ; 𝜋𝜋 ]
D’où DE = [ 0 ; 𝜋𝜋 ]
3( 1− 2𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 )𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
3) Montrons que ∀ 𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
1 + 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶3𝑥𝑥
𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥
Posons 𝑢𝑢(𝑥𝑥) = 1 + 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 => 𝑢𝑢′(𝑥𝑥) = −3𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠3𝑥𝑥
𝑣𝑣(𝑥𝑥) = 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 3 𝑥𝑥 => 𝑣𝑣′(𝑥𝑥) = −3𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑥𝑥
3[𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 (𝑥𝑥 − 3𝑥𝑥) + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 ] 3[𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 ( − 2𝑥𝑥) + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 ] 3(−𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 2𝑥𝑥 + 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 )
= = =
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
3( 1− 2𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 )𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆𝑆
D’où 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 4 𝑥𝑥
𝑥𝑥 𝜋𝜋 𝜋𝜋
0 𝜋𝜋
3 2
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) − 0 + +
2 +∞ 0
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 −∞
5) Détermine les coordonnées des points d'intersections de la courbe (C) avec l'axe des
abscisses.
- (C)∩ (𝑜𝑜𝑜𝑜) => 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 1 + 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 = 0 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 = − 1 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐3𝑥𝑥 = Cos 𝜋𝜋
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
3𝑥𝑥 = 𝜋𝜋 ou 3𝑥𝑥 = − 𝜋𝜋 => − ou . Donc (C) coupe l’axe (𝑜𝑜𝑜𝑜) en − ou
3 3 3 3
- (C) ∩ (𝑜𝑜𝑜𝑜) => 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓(0) = 2 . Donc (C) coupe l’axe 𝑜𝑜𝑜𝑜 en 2
-3 -2 -1 0 1 2 3x
-1
-2
𝑓𝑓(𝑥𝑥 + 𝑇𝑇) = 𝑓𝑓(𝑥𝑥 + 2𝜋𝜋) = 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠2(𝑥𝑥 + 2𝜋𝜋)𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(𝑥𝑥 + 2𝜋𝜋) = 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠(2𝑥𝑥 + 4𝜋𝜋)𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(𝑥𝑥 + 2𝜋𝜋)
= 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠(2𝑥𝑥)𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(𝑥𝑥) = 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
D’où 𝑓𝑓 est périodique et de période 𝑇𝑇 = 𝜋𝜋
b- Justifions que l’on peut étudier 𝑓𝑓 sur DE = [ 0 ; 𝜋𝜋 ] puis décrivons les étapes à suivre
𝜋𝜋 𝜋𝜋
pour avoir la courbe C𝑓𝑓 sur �− ; �.
2 2
𝑇𝑇 𝑇𝑇 𝜋𝜋 𝜋𝜋
DE = �− ; � => DE = �− ; �
2 2 2 2
𝜋𝜋
D’autre part la fonction est paire alors nous pouvons résumer le domaine d’étude à � 0 ; �
2
𝜋𝜋
D’où DE = � 0 ; �
2
2) a- Déterminons 𝑓𝑓’(𝑥𝑥) et justifions que 𝑓𝑓’(𝑥𝑥) = 2𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐(3𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 2 𝑥𝑥 − 2) pour tout 𝑥𝑥 ∈ DE
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠2𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥. 𝒖𝒖 = 𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔 => 𝒖𝒖′ = 𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐 ; 𝒗𝒗 = 𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄 => 𝒗𝒗′ = −𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔
-2 -1 0 1 2x
-1
Fonctions paramétriques.
33 Soit 𝑓𝑓𝑚𝑚 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = (2𝑚𝑚 – 1)𝑥𝑥 4 – (𝑚𝑚 + 4)𝑥𝑥 2 – 𝑚𝑚 + 5.
Où 𝑥𝑥 est la variable et 𝑚𝑚 est un paramètre réel.
Soit (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Montre que toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par deux points fixes dont on Déterminera les
coordonnées.
Toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par deux points fixes si et seulement si 𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥)
Soient 𝐴𝐴 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐵𝐵 ces deux points.
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥) −𝑥𝑥 4 − 4𝑥𝑥 2 + 5 = 𝑥𝑥 4 − 5𝑥𝑥 2 + 4 −2𝑥𝑥 4 + 𝑥𝑥 2 + 1 = 0
Cette équation étant bicarrée, effectuons un changement de variable en posant 𝑋𝑋 = 𝑥𝑥 2 =>
1
2𝑋𝑋 4 + 𝑋𝑋 + 1 = 0 => 𝑋𝑋1 = 1 et 𝑋𝑋2 = −
2
− Si 𝑋𝑋 = 1 𝑥𝑥 2 = 1 𝑥𝑥1 = −1 ou 𝑥𝑥2 = 1
Par conséquent : pour 𝑥𝑥1 = −1, on a : 𝑦𝑦1 = 𝑓𝑓0 (−1) = 0. D’où 𝐴𝐴(−1 ; 0)
pour 𝑥𝑥2 = 1, on a : 𝑦𝑦2 = 𝑓𝑓0 (1) = 0. D’où 𝐵𝐵(1 ; 0)
1
− Si = − , on a une absurdité car si 𝑥𝑥 2 = −1, l’équation n’a pas de solution.
2
2) Etudie les fonctions 𝑓𝑓0 et 𝑓𝑓1 puis représente leur courbe respectives (𝐶𝐶0 ) et (𝐶𝐶1 ).
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = −𝑥𝑥 4 − 4𝑥𝑥 2 + 5 et 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 4 − 5𝑥𝑥 2 + 4
Etude de la fonction 𝑓𝑓0 puis représentation de sa courbe (𝐶𝐶0 )
D𝑓𝑓0 = ℝ = ]−∞ ; +∞[
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = −∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = −∞
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = −𝑥𝑥 4 − 4𝑥𝑥 2 + 5 => 𝑓𝑓′0 (𝑥𝑥) = −4𝑥𝑥 3 − 8𝑥𝑥 = −4𝑥𝑥(𝑥𝑥 2 + 2)
∀𝑥𝑥D𝑓𝑓0 ; (𝑥𝑥 2 + 2) > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′0 (𝑥𝑥) dépend du signe de −4𝑥𝑥. Posons −4𝑥𝑥 = 0
=> 𝑥𝑥 = 0
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓0 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ 0 +∞
𝑓𝑓′0 (𝑥𝑥) + 0 −
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) 5
−∞ −∞
y
6
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
𝑓𝑓1 (𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 4 − 5𝑥𝑥 2 + 4 => 𝑓𝑓′1 (𝑥𝑥) = 4𝑥𝑥 3 − 10𝑥𝑥 = 2𝑥𝑥(2𝑥𝑥 2 − 5). Posons 𝑓𝑓′1 (𝑥𝑥) = 0
5 5
2𝑥𝑥(2𝑥𝑥 2 − 5) = 0 => 𝑥𝑥 = 0 ou 2𝑥𝑥 2 − 5 => 𝑥𝑥 = −� ou 𝑥𝑥 = �
2 2
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓1 est le suivant :
𝑥𝑥 5 5
−∞ −� 0 � +∞
2 2
𝑓𝑓′1 (𝑥𝑥) − 0 + − 0 +
+∞ 4 +∞
𝑓𝑓1 (𝑥𝑥)
111 111
− −∞ −
16 16
y
6
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4𝑚𝑚
34 Soit 𝑓𝑓𝑚𝑚 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = .
𝑥𝑥 2 + ( 5𝑚𝑚 + 1 )𝑥𝑥 + 3
Où 𝑥𝑥 est la variable et 𝑚𝑚 est un paramètre réel.
Soit (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Montrons que toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par trois points fixes dont on Déterminera les
coordonnées.
Toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par trois points fixes si et seulement si 𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥)
Soient 𝐴𝐴; 𝐵𝐵 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐶𝐶 ces trois points.
𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥) 2 = 2
𝑥𝑥 + 𝑥𝑥 + 3 𝑥𝑥 + 6𝑥𝑥 + 3
(𝑥𝑥 + 3𝑥𝑥)(𝑥𝑥 2 + 6𝑥𝑥 + 3) = (𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 3)(𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4)
2
𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4𝑚𝑚 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 1 => 𝑦𝑦 = 1 est asymptote horizontale.
𝑥𝑥 2 + ( 5𝑚𝑚 + 1 )𝑥𝑥 + 3 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → ∞ 𝑥𝑥 → ∞ 𝑥𝑥 → ∞
𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4𝑚𝑚
𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = 1 = 1 𝑥𝑥 2 + 3𝑥𝑥 + 4𝑚𝑚 = 𝑥𝑥 2 + ( 5𝑚𝑚 + 1 )𝑥𝑥 + 3
𝑥𝑥 2 + ( 5𝑚𝑚 + 1 )𝑥𝑥 + 3
3
2𝑥𝑥 − 3 3 2�2 � − 3 0
𝑚𝑚 = . Or l’abscisse en ce point est 𝑥𝑥 = => 𝑚𝑚 = 3 = 7 =0
5𝑥𝑥 − 4 2 5� � − 4
2 2
D’où 𝑚𝑚 = 0
Or ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝑓𝑓0 , (𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 3)2 > 0 alors le signe de 𝑓𝑓0 ′(𝑥𝑥) dépend donc du signe du
Numérateur −2𝑥𝑥 2 + 6𝑥𝑥 − 9. Posons −2𝑥𝑥 2 + 6𝑥𝑥 − 9 = 0 = > ∆= 108
3 + 3√3 3− 3√3
=> 𝑥𝑥1 = ≈ 4 et 𝑥𝑥2 = ≈ −1
2 2
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ −1 4 +∞
𝑓𝑓0 ’(𝑥𝑥) − 0 + 0 −
28
1
3
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥)
2
− 1
3
Traçons ( C )
y
4
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
𝑥𝑥 2 − 𝑚𝑚𝑚𝑚
35 Soit 𝑓𝑓𝑚𝑚 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = .
𝑥𝑥 2 − 1
−∞ −∞ 1
𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥
2ième cas : 𝒎𝒎 = 𝟐𝟐 . Alors 𝑓𝑓2 (𝑥𝑥) = 2 .
𝑥𝑥 − 1
D𝑓𝑓2 = ℝ −{−1 ; 1} = ]−∞ ; −1[ ∪ ]−1 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓2 (𝑥𝑥) = 1 et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓2 (𝑥𝑥) = 1.
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 2�𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1�
𝑓𝑓2 (𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′2 (𝑥𝑥) = >0
𝑥𝑥 2 − 1 (𝑥𝑥 2 − 1)2
2) Comparons 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) et 𝑓𝑓−𝑚𝑚 (−𝑥𝑥) puis donnons la position relative des courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) et
(𝐶𝐶−𝑚𝑚 ).
𝑥𝑥 2 − 𝑚𝑚𝑚𝑚 (−𝑥𝑥)2 − (−𝑚𝑚 )(−𝑥𝑥) 𝑥𝑥 2 − 𝑚𝑚𝑚𝑚
𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓−𝑚𝑚 (−𝑥𝑥) = = = 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥)
𝑥𝑥 2 − 1 (−𝑥𝑥)2 − 1 𝑥𝑥 2 − 1
D’où 𝑓𝑓−𝑚𝑚 (−𝑥𝑥) = 𝑓𝑓𝑚𝑚 (𝑥𝑥)
4) Montrons que toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par un même point fixe dont on Déterminera
les coordonnées.
Toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par un même point fixe si et seulement si 𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥)
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥
𝑓𝑓0 (𝑥𝑥) = 𝑓𝑓1 (𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 2 = 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 −𝑥𝑥 = 0 => 𝑥𝑥 = 0 et 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓1 (0) =>
𝑥𝑥 2 − 1 𝑥𝑥 2 − 1
0
𝑦𝑦 = = 0. Alors toutes les courbes (𝐶𝐶𝑚𝑚 ) passent par le point 𝐴𝐴(0 ; 0), origine du repère.
− 1
5) Représentons les courbes (𝐶𝐶−2 ) et (𝐶𝐶2 ).
5y
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
-5
NB : la courbe (𝐶𝐶−2 ) est représentée en gras celle de la courbe (𝐶𝐶2 ) est représentée en fin.
Fonctions auxiliaires.
𝑃𝑃(𝑥𝑥) = 2𝑥𝑥 3 – 3𝑥𝑥 2 – 1 => 𝑃𝑃′(𝑥𝑥) = 6𝑥𝑥 2 −6𝑥𝑥. Posons 𝑃𝑃′(𝑥𝑥) = 0 6𝑥𝑥 2 −6𝑥𝑥 = 0
6𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1) = 0 => 𝑥𝑥 = 0 ou 𝑥𝑥 = 1
2) Démontrons que l'équation 𝑃𝑃(𝑥𝑥) = 0 a une solution unique 𝛼𝛼 dans l’intervalle]1,6 ; 1,7 [.
1 − 𝑥𝑥
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = . Posons 𝑢𝑢 = 1 − 𝑥𝑥 => 𝑢𝑢′ = −1 et 𝑣𝑣 = 1 + 𝑥𝑥 3 => 𝑣𝑣′ = 3𝑥𝑥 2
1 + 𝑥𝑥 3
𝑥𝑥 −1 𝛼𝛼 2 +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − 0 +
+∞ 0
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 1
−
9
𝑓𝑓(𝛼𝛼)
y
6
-1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
-3
-4
𝑥𝑥 2 = 1 => 𝑥𝑥 = −1 ou 𝑥𝑥 = 1
2) Montrons que l'équation 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 0 admet une solution unique α et que 2,19 < 𝛼𝛼 < 2,20.
3) Etudions le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) et en déduisons les variations de 𝑓𝑓 puis son tableau de variation
de la fonction 𝑓𝑓.
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; + ∞ [ , (𝑥𝑥 2 − 1)2 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend de celui de 𝑥𝑥 × 𝑔𝑔(𝑥𝑥).
Or d’après la partie A) 3), on a :
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; 𝛼𝛼[ , 𝑔𝑔(𝑥𝑥) < 0 et ∀ 𝑥𝑥 ∈ ]𝛼𝛼 ; +∞[ , 𝑔𝑔(𝑥𝑥) > 0.
D’autre part, ∀𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; 0[, 𝑥𝑥 < 0 et ∀𝑥𝑥 ∈ ]0 ; +∞[, 𝑥𝑥 > 0
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ −1 0 1 𝛼𝛼 +∞
𝑥𝑥 − − 0 + + 0 +
𝑔𝑔(𝑥𝑥) − − − − +
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) + + − − +
+∞ 0 +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ −∞ −∞ 𝑓𝑓(𝛼𝛼)
4) Montrons que la droite (D) d'équation 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 2 est une asymptote oblique à la courbe
C𝑓𝑓 .
La droite (D) d'équation 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 2 est asymptote oblique à la courbe C𝑓𝑓 si et seulement si
y
6
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
-1
-2
-3
-4
-5
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 + 1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − �𝑥𝑥 2 � 1 + � = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − |𝑥𝑥|�1 +
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − (−𝑥𝑥)�1 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 + 𝑥𝑥�1 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 �2 + �1 + �
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
= (−∞)(2 + 1) = (−∞)(3) = −∞
1
𝑙𝑙𝑖𝑖𝑖𝑖 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 + 1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − �𝑥𝑥 2 � 1 + � =
𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − |𝑥𝑥|�1 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − (𝑥𝑥)�1 + = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥 − 𝑥𝑥�1 +
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 �2 − �1 + � = (+∞)(2 − 1) = (+∞)(1) = +∞
𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → +∞
2𝑥𝑥 𝑥𝑥 2 �𝑥𝑥 2 +1 − 𝑥𝑥
𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 2𝑥𝑥 − √𝑥𝑥 2 + 1 => 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) = 2 − =2 − =
2 �𝑥𝑥 2 +1 �𝑥𝑥 2 +1 �𝑥𝑥 2 +1
2
Posons 2√𝑥𝑥 2 + 1 – 𝑥𝑥 > 0 2√𝑥𝑥 2 + 1 > 𝑥𝑥 �2√𝑥𝑥 2 + 1� > 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 −∞ 𝛼𝛼 +∞
𝑔𝑔′ (𝑥𝑥) 0 +
+∞
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
−∞
b- Montrons que 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 0 admet une solution unique α que l'on Déterminera.
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2√𝑥𝑥 2 + 1 − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2|𝑥𝑥|�1 + − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 2𝑥𝑥�1 + − 𝑥𝑥
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 �2�1 + + 1� = −(−∞)(2 + 1) = (+∞)(3) = +∞
𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2√𝑥𝑥 2 + 1 − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2|𝑥𝑥|�1 + − 𝑥𝑥 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 2𝑥𝑥�1 + − 𝑥𝑥
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 �2�1 + − 1� = (+∞)(2 − 1) = (+∞)(1) = +∞
𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → +∞
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
b- Montrons que ∀ 𝑥𝑥 ∈ ℝ ; 𝑓𝑓 ′(𝑥𝑥) =
�𝑥𝑥 2 +1
2𝑥𝑥 2𝑥𝑥 2𝑥𝑥 − �𝑥𝑥 2 +1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 2√𝑥𝑥 2 + 1 − 𝑥𝑥 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = 2× −1= −1=
2 �𝑥𝑥 2 +1 �𝑥𝑥 2 +1 �𝑥𝑥 2 +1
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
=> 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) =
�𝑥𝑥 2 +1
𝑥𝑥 −∞ 𝛼𝛼 +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − 0 +
+∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
𝑓𝑓(𝛼𝛼)
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
2 2 2 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = =0
1 −𝑥𝑥(1 + 1) −2𝑥𝑥 −𝑥𝑥 +∞
−𝑥𝑥��1 + 2 + 1�
𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
2 2 2 1 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 = =0
1 𝑥𝑥(1 + 1) 2𝑥𝑥 𝑥𝑥 +∞
𝑥𝑥��1 + 2 + 1�
𝑥𝑥
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
Conséquence graphique : la droite d’équation 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 est asymptote oblique à la courbe
( C ) de 𝑓𝑓 en +∞ car : 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑚𝑚 𝑓𝑓(𝑥𝑥) – (𝑥𝑥) = 0
𝑥𝑥 → +∞
f- Etudions la position de (C) par rapport aux deux droites (D) et (D').
Pour cela, étudions le signe de (−3𝑥𝑥) − (𝑥𝑥). Posons (−3𝑥𝑥) − (𝑥𝑥) = 0 −3𝑥𝑥 + 𝑥𝑥 = 0
−2𝑥𝑥 = 0 => 𝑥𝑥 = 0 et le tableau de signe de (−3𝑥𝑥) − (𝑥𝑥) est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ 0 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑥𝑥 + 0 −
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ , (−3𝑥𝑥) − (𝑥𝑥) < 0. Alors ∀ 𝑥𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ , (D) est en dessous de (D’)
y
6
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
1 + 𝑥𝑥
D𝑓𝑓 = �𝑥𝑥/𝑥𝑥 ∈ ℝ, ≥ 0 𝑒𝑒𝑒𝑒 1 − 𝑥𝑥 ≠ 0�
1 − 𝑥𝑥
1 + 𝑥𝑥 1 + 𝑥𝑥 1 + 𝑥𝑥
(1) ≥ 0 . Résolvons l’inéquation ≥ 0 en étudiant le signe de .
1 − 𝑥𝑥 1 − 𝑥𝑥 1 − 𝑥𝑥
𝑥𝑥 −∞ −1 1 +∞
1 + 𝑥𝑥 0 +
1 − 𝑥𝑥 + 0
1 + 𝑥𝑥
0 + 0
1 − 𝑥𝑥
1 + 𝑥𝑥
Ainsi l’ensemble solution correspondant à l’inéquation ≥ 0 est �– 1 ; 1�
1 − 𝑥𝑥
D’autre part (2) 1 − 𝑥𝑥 ≠ 0 => 𝑥𝑥 ≠ 1
2) Etudions les variations de 𝑓𝑓, puis traçons avec soins sa courbe représentative dans un repère
1 − √5 1 − √5
orthonormé. On donne : ≈ −0,6 et 𝑓𝑓 � � = −0,3
2 2
-1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
b) Etudions les limites de 𝑓𝑓 aux bornes de D𝑓𝑓 puis en déduisons que la courbe (C) de 𝑓𝑓 admet
une asymptote horizontale dont on précisera une équation.
D𝑓𝑓 = ℝ = ]−∞ ; +∞[
8
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 + √𝑥𝑥 2 + 8 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 + �𝑥𝑥 2 �1 + �
𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
8 8 8
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 + |𝑥𝑥|��1 + � = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 − 𝑥𝑥��1 + � = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥 �1 + ��1 + ��
𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
4 4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =0
𝑥𝑥 +∞
𝑥𝑥 → +∞
8 8 8
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 8
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 8
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 8
|𝑥𝑥|��1+ 2 � − 𝑥𝑥 −𝑥𝑥��1+ 2 � − 𝑥𝑥 −𝑥𝑥���1+ 2 � + 1�
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
8 8 4 4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =0
−𝑥𝑥(2) −2𝑥𝑥 −𝑥𝑥 +∞
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
−�𝑥𝑥 2 + 8 + 𝑥𝑥 𝑥𝑥 − �𝑥𝑥 2 + 8
=> 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = =
�𝑥𝑥 2 + 8 �𝑥𝑥 2 + 8
∀𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓 , √𝑥𝑥 2 + 8 > 0 . Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe du numérateur
𝑥𝑥 −∞ +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) −
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
2
41 Soit 𝑓𝑓 la fonction définie par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = �𝑥𝑥 |𝑥𝑥|+ +𝑥𝑥�+1 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Déterminons le domaine de définition de 𝑓𝑓 .
Posons 𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 = 0 => 𝑥𝑥 = −1 ou 𝑥𝑥 = 0
𝑥𝑥 −∞ −1 0 +∞
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 0 − 0 +
|𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥| 𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 −𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 + 𝑥𝑥
𝑥𝑥 − − 0 +
|𝑥𝑥| −𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; −1] , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
−𝑥𝑥 + 1
−𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ [−1 ; 0] , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
−𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ [0 ; +∞[ , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 + 1
1
−2𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1 −2�𝑥𝑥 − 2 �( 𝑥𝑥+ 1) −2𝑥𝑥 +1 3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =
−2(𝑥𝑥 −1)( 𝑥𝑥+ 1) −2(𝑥𝑥 −1)( 𝑥𝑥+ 1) −2𝑥𝑥 + 2 4
− −
𝑥𝑥 → −1 𝑥𝑥 → −1 𝑥𝑥 → −1−
Alors 𝑓𝑓 n’est pas dérivable à gauche et à droite de 𝑥𝑥0 = −1, mais elle admet deux
1 3
demi-tangentes de coefficients directeurs respectives 𝑓𝑓 ′ (−1) = − et 𝑓𝑓 ′ (−1) =
4 4
- Etude de la dérivabilité de 𝒇𝒇 en 𝟎𝟎
Dérivabilité à droite :
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 �𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1�− (𝑥𝑥 + 1)
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(0) � �−1 � (𝑥𝑥 + 1)
� 𝑥𝑥 2 𝑥𝑥
𝑥𝑥 + 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =0
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥(𝑥𝑥 + 1) 𝑥𝑥 + 1
+ + + +
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0+
Alors 𝑓𝑓 est dérivable à gauche et à droite de 𝑥𝑥0 = 0, et son nombre dérivée 𝑓𝑓 ′ (0) = 0
3) Etudions les variations de 𝑓𝑓.
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; −1] , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
−𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 2 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥 = +∞ et 𝑓𝑓(−1) =
−𝑥𝑥 + 1 −𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 −𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (−𝑥𝑥 + 1)2
−𝑥𝑥 + 1
∀𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, (−𝑥𝑥 + 1)2 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe de −𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2.
Posons −𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 2 = 0 => 𝑥𝑥1 = 1 − √3 ∈ ]−∞ ; −1] ou 𝑥𝑥1 = 1 + √3 ∈ ]−∞ ; −1]
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ −1
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) −
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
1
2
−𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ [−1 ; 0] , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
−𝑥𝑥 + 1
1
𝑓𝑓(−1) = et 𝑓𝑓(0) = 1
2
−𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (−𝑥𝑥
−𝑥𝑥 + 1 + 1)2
∀𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, (−𝑥𝑥 + 1)2 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe de 𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥.
Posons 𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 = 0 => 𝑥𝑥1 = 0 ∈ [−1 ; 0] ou 𝑥𝑥1 = 2 ∈ [−1 ; 0]
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ −1
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) +
1
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
1
2
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1
∀ 𝑥𝑥 ∈ [0 ; +∞[ , 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = +∞ et 𝑓𝑓(0) = 1
𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (𝑥𝑥
𝑥𝑥 + 1 + 1)2
∀𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, (𝑥𝑥 + 1)2 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe de 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥.
Posons 𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 = 0 => 𝑥𝑥1 = 0 ∈ [0 ; +∞[ ou 𝑥𝑥1 = −2 ∈ [0 ; +∞[
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ −1
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) +
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
1
𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 𝑥𝑥 2 + 𝑥𝑥 + 1 3
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑦𝑦 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − (−𝑥𝑥 − 2) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 + 𝑥𝑥 + 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
−𝑥𝑥 + 1 −𝑥𝑥 + 1 −𝑥𝑥 + 1
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
3 3
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =0
−𝑥𝑥 +∞
𝑥𝑥 → −∞
5) Traçons (C)
y
6
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
-4
-5
Dérivabilité à gauche :
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(3) �−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3 − 0 �−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3 −(𝑥𝑥 + 1)(𝑥𝑥 − 3)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥 − 3 (𝑥𝑥 − 3)�−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3
− − − −
𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3
−𝑥𝑥 −1 −4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =∞
�−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3 0
−
𝑥𝑥 → 3
Alors 𝑓𝑓 n’est pas dérivable en 𝑥𝑥0 = 3 à gauche
Dérivabilité à droite :
𝑓𝑓(𝑥𝑥) −𝑓𝑓(3) �𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥−3 − 0 �𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥−3 (𝑥𝑥 + 1)(𝑥𝑥 − 3)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥 − 3 (𝑥𝑥 − 3)�𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥−3
− −
𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3− 𝑥𝑥 → 3−
𝑥𝑥 + 1 4
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = =∞
�𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 0
𝑥𝑥 → 3−
Alors 𝑓𝑓 n’est pas dérivable en 𝑥𝑥0 = 3 à droite
Conclusion : 𝑓𝑓 n’est pas dérivable à gauche et à droite de 3.
4) Montrons que la courbe (C) de 𝑓𝑓 admet une asymptote oblique (∆) au voisinage de −∞ et
une asymptote oblique (D) au voisinage de +∞.
NB : Toutes fonctions de la forme : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = �|𝑎𝑎𝑎𝑎 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐| ( avec 𝑎𝑎 ≠ 0 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑎𝑎 > 0),
admet deux asymptotes :
𝑏𝑏
- L’une en − ∞ d’équation : 𝑦𝑦 = − √𝑎𝑎 � 𝑥𝑥 + �
𝑎𝑎
𝑏𝑏
- L’une en + ∞ d’équation : 𝑦𝑦 = √𝑎𝑎 � 𝑥𝑥 + �
𝑎𝑎
Alors 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = �|𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3| admet deux asymptotes :
−2
- L’une en − ∞ d’équation (∆) : 𝑦𝑦 = − √1 � 𝑥𝑥 + � = −( 𝑥𝑥 − 2 ) = −𝑥𝑥 + 2
1
−2
- L’une en + ∞ d’équation (𝐷𝐷) : 𝑦𝑦 = √1 � 𝑥𝑥 + �= ( 𝑥𝑥 − 2) = 𝑥𝑥 − 2
1
6) Dressons son tableau de variation.
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 |𝑥𝑥| = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 −𝑥𝑥 = +∞
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 √𝑥𝑥 2 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 |𝑥𝑥| = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = +∞
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑓𝑓(−1) = 0 et 𝑓𝑓(3) = 0
2𝑥𝑥 − 2 𝑥𝑥 − 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = √𝑥𝑥 2 − 2𝑥𝑥 − 3 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = =
2 �𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥−3 �𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥−3
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − − 0 + +
+∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
𝑓𝑓(−1) = 0 et 𝑓𝑓(3) = 0
−2𝑥𝑥 + 2 −𝑥𝑥 + 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = √−𝑥𝑥 2 + 2𝑥𝑥 + 3 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = =
2 �−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3 �−𝑥𝑥 2 +2𝑥𝑥+3
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) + + 0 − −
2
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
𝑥𝑥 −∞ −1 1 3 +∞
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − 0 + 0 − 0 +
+∞ 2 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0 0
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 x
-1
-2
𝑥𝑥
43 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie de ℝ vers ℝ par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = |𝑥𝑥|� 𝑥𝑥 − 1
Soit C𝑓𝑓 sa courbe représentative dans le repère orthonormé ( O ; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗ ).
1) Déterminons l'ensemble de définition D𝑓𝑓 de 𝑓𝑓
𝑥𝑥
D𝑓𝑓 = �𝑥𝑥 /𝑥𝑥 ∈ ℝ; > 0 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑥𝑥 − 1 ≠ 0�
𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
(1) ≥ 0 . Résolvons l’inéquation ≥ 0 en étudiant le signe de .
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥 − 1
Posons 𝑥𝑥 = 0 et 𝑥𝑥 − 1 = 0 => 𝑥𝑥 = 1.
𝑥𝑥
D’où le tableau de signe de est le suivant :
𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥 −∞ 0 1 +∞
𝑥𝑥 − 0 + +
𝑥𝑥 − 1 − − 0 +
𝑥𝑥
+ − +
𝑥𝑥−1
𝑥𝑥
Ainsi l’ensemble solution correspondant à l’inéquation ≥ 0 est ]−∞ ; 0] ∪ [1 ; +∞[
𝑥𝑥 − 1
D’autre part (2) : 𝑥𝑥 − 1 ≠ 0 => 𝑥𝑥 ≠ 1
Alors la réunion de ces deux ensembles donne : D𝑓𝑓 = ]−∞ ; 0] ∪ ]1 ; +∞[
𝑥𝑥
𝑥𝑥 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 − 1
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = −1
𝑥𝑥 𝑥𝑥( 𝑥𝑥−1) 𝑥𝑥−1
𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0 𝑥𝑥 → 0
D’où 𝑓𝑓 est dérivable en 𝑥𝑥0 = 0 et son nombre dérivé est : 𝑓𝑓 ′ (0) = −1 et l'ensemble de
dérivabilité de 𝑓𝑓 est D𝑓𝑓′ = ]−∞ ; 0[ ∪ ]1 ; +∞[
𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(2𝑥𝑥− 3)
- Pour 𝑥𝑥 ∈ [1 ; +∞[ ; 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = .
2(𝑥𝑥 − 1)2 �𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥
c) Calculons les limites de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) aux bornes de D𝑓𝑓 et précisons les équations des asymptotes à
la courbe (C) de 𝑓𝑓.
𝑥𝑥
- Pour 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; 0] ; 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −𝑥𝑥�
𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥
- Pour 𝑥𝑥 ∈ [0 ; +∞[ ; 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥�
𝑥𝑥 − 1
𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥� = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥� = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − 𝑥𝑥√1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 – 𝑥𝑥 = +∞
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → −∞
𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥� = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥� = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥√1 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = +∞
𝑥𝑥 − 1 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → +∞
𝑥𝑥 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥� = = +∞ et 𝑓𝑓(0) = 0
𝑥𝑥 − 1 0+
𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → 1+
∀ 𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 2(𝑥𝑥 − 1)2 √𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe du numérateur :
3
𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(−2𝑥𝑥 + 3). Posons 𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(−2𝑥𝑥 + 3) = 0 => 𝑥𝑥 = 0 ou 𝑥𝑥 = 1 ou 𝑥𝑥 =
2
𝑥𝑥 −∞ 0
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) −
+∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
0
𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(2𝑥𝑥− 3)
- Pour 𝑥𝑥 ∈ [0 ; +∞[ ; 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = .
2(𝑥𝑥 − 1)2 �𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥
∀ 𝑥𝑥 ∈ D𝑓𝑓, 2(𝑥𝑥 − 1)2 √𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 > 0. Alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend du signe du numérateur :
3
𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(2𝑥𝑥 − 3). Posons 𝑥𝑥(𝑥𝑥 − 1)(2𝑥𝑥 − 3) = 0 => 𝑥𝑥 = 0 ou 𝑥𝑥 = 1 ou 𝑥𝑥 =
2
3
𝑥𝑥 1 +∞
2
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − +
+∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
3
2
√3
3
𝑥𝑥 1 0 1 +∞
2
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) − − +
+∞ +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
3
0
2
√3
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x
-1
-2
-3
𝑀𝑀 (𝛤𝛤)
𝑗𝑗⃗
𝐴𝐴′ 𝐻𝐻 𝐴𝐴
0 𝑖𝑖⃗ x
(∆)
𝑀𝑀′
1
𝑥𝑥 −1 − 1
2
′
𝑓𝑓 (𝑥𝑥) + 0 −
3√3
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 4
Problèmes
45 La fonction 𝑓𝑓 de ℝ dans ℝ est donnée par une partie de son tableau de variation.
On sait de plus que la droite d'équation 𝑥𝑥 = 2 est axe de symétrie pour la courbe C de 𝑓𝑓.
𝑥𝑥 −∞ 2 4 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) 0 − −
1 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
−∞ 3
De ces renseignements nous obtenons une partie de la courbe qui est le suivant :
2
Axe de symétrie
1
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
𝑥𝑥 −∞ 0 2 4 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) + + 0 − −
+∞ 1 +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥)
3 −∞ −∞ 3
2
Axe de symétrie
1
-5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
-1
-2
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
3) On suppose que 𝑓𝑓(𝑥𝑥) est de la forme 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 + 𝛽𝛽𝛽𝛽 + 𝛼𝛼
a- Déterminons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 ; β 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝛼𝛼
- D𝑓𝑓 = ℝ−{0 ; 4} => 𝑥𝑥 + 𝛽𝛽𝛽𝛽 + 𝛼𝛼 = (𝑥𝑥 − 0)(𝑥𝑥 − 4) 𝑥𝑥 2 + 𝛽𝛽𝛽𝛽 + 𝛼𝛼 = 𝑥𝑥 2 − 4𝑥𝑥
2
𝑦𝑦 = [𝑔𝑔−1 (𝑥𝑥0 )]′ (𝑥𝑥 − 𝑥𝑥0 ) + 𝑔𝑔−1 (𝑥𝑥0 ). Or 𝑥𝑥0 = 1 => = [𝑔𝑔−1 (1)]′ (𝑥𝑥 − 1) + 𝑔𝑔−1 (1).
Idrissa DEMBELE. PESG. ECICA. Chapitre 3. Fonctions numériques. Page 246
Fonctions numériques
1 1
=> [𝑔𝑔−1 (1)]′ = = et 𝑔𝑔−1 (1) = 2
𝑔𝑔′ (2) 2
1 1 3
=> 𝑦𝑦 = (𝑥𝑥 − 1) + 2 => 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 +
2 2 2
d- Traçons C′
e- Discutons graphiquement suivant les valeurs du paramètre 𝑚𝑚, du nombre et des signes des
solutions de 𝑙𝑙′é𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞 (3 − 𝑚𝑚)𝑥𝑥 2 – (12 – 4𝑚𝑚)𝑥𝑥 + 8 = 0
En faisant glisser une règle du bas vers le haut tout le long du graphique, on remarque :
46 On donne la figure ci-dessous qui représente une partie de la courbe d'une fonction 𝑔𝑔.
y
5
1
3
2
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
-4
NB : toute fonction paire admet l’axe (𝑦𝑦′𝑂𝑂𝑂𝑂) comme axe de symétrie. D’où le
complément de la courbe est le suivant :
y
5
1
3 3
−
2 2
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
-4
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
47 Soit 𝑓𝑓 la fonction numérique définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = où 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 et 𝑑𝑑 sont des réels et
𝑥𝑥 + 𝑑𝑑
(C𝑓𝑓) sa courbe représentative dans le plan muni d'un repère orthonormé (𝑜𝑜; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗)
1) Trouvons les réels 𝑎𝑎 ; 𝑏𝑏 ; 𝑐𝑐 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 sachant que la droite d'équation 𝑥𝑥 = 3 est asymptote et
(C𝑓𝑓) passe par les points A( 2 ; 3 ) et B( 4 ; 7 ) puis admet au point d'abscisse 2 une tangente
horizontale.
- La droite d'équation 𝑥𝑥 = 3 est asymptote => 𝑥𝑥 + 𝑑𝑑 = 𝑥𝑥 − 3 => 𝑑𝑑 = −3
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 + 𝑏𝑏𝑏𝑏 + 𝑐𝑐
=> 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 − 3
- La courbe (C𝑓𝑓) passe par les points A( 2 ; 3 ) et B( 4 ; 7 ) => 𝑓𝑓(2) = 3 et 𝑓𝑓(4) = 7
𝑓𝑓(2) = 3 4𝑎𝑎 + 2𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = −3
=> � � (𝟏𝟏)
𝑓𝑓(4) = 7 16𝑎𝑎 + 4𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = 7 (𝟐𝟐)
- La courbe (C𝑓𝑓) admet au point d'abscisse 2 une tangente horizontale =>𝑓𝑓′(2) = 0
𝑎𝑎𝑥𝑥 2 − 6𝑎𝑎𝑎𝑎 −3𝑏𝑏− 𝑐𝑐
Avec 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (𝑥𝑥 − 3)2
. Alors 𝑓𝑓′(2) = 0 8𝑎𝑎 + 3𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = 0 (𝟑𝟑)
Ainsi formons le système avec les équations (𝟏𝟏) ; (𝟐𝟐) et (𝟑𝟑). Ce qui donne :
4𝑎𝑎 + 2𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = −3 (𝟏𝟏)
� 16𝑎𝑎 + 4𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = 7 (𝟐𝟐)
8𝑎𝑎 + 3𝑏𝑏 + 𝑐𝑐 = 0 (𝟑𝟑)
Par la méthode du pivot de Gauss, la résolution de ce système donne :
𝑎𝑎 = 1 ; 𝑏𝑏 = −1 ; 𝑐𝑐 = −5
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5
D’où 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 − 3
2) Dans la suite du problème on prendra 𝑎𝑎 = 1 ; 𝑏𝑏 = −1 ; 𝑐𝑐 = −5 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑑𝑑 = −3
a- Etudions la fonction 𝑓𝑓
Déterminons l’ensemble de définition D𝑓𝑓.
Df = ℝ− {3 } = ]− ∞ ; 3 [ ∪ ]3 ; + ∞ [
2) Calculons les limites aux bornes de D𝑓𝑓.
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = − ∞
𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞ 𝑥𝑥 → − ∞
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 𝑥𝑥 2
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑥𝑥 = + ∞
𝑥𝑥 − 3 𝑥𝑥
𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → + ∞ 𝑥𝑥 → +∞ 𝑥𝑥 → + ∞
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = = −∞
𝑥𝑥 − 3 0−
𝑥𝑥 → 3− 𝑥𝑥 → 3−
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 = + = +∞
𝑥𝑥 − 3 0
+ +
𝑥𝑥 → 3 𝑥𝑥 → 3
Calculons la dérivée 𝑓𝑓’ de la fonction 𝑓𝑓 puis dressons le tableau de variation de 𝑓𝑓.
Posons 𝑢𝑢 = 𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 => 𝑢𝑢′ = 2𝑥𝑥 − 1 et 𝑣𝑣 = 𝑥𝑥 − 3 => 𝑣𝑣′ = 1
𝑢𝑢′×𝑣𝑣 – 𝑣𝑣′×𝑢𝑢 (2𝑥𝑥 −1)(𝑥𝑥− 3) − (1)�𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5� 𝑥𝑥 2 − 6𝑥𝑥 + 8
= > 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) = (𝑣𝑣)2
= (𝑥𝑥 − 3)2
= > 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = (𝑥𝑥 − 3)2
Or ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝐷𝐷, (𝑥𝑥 − 3)2 > 0 alors le signe de 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) dépend donc du signe du
Numérateur 𝑥𝑥 2 − 6𝑥𝑥 + 8.
Posons 𝑥𝑥 2 − 6𝑥𝑥 + 8= 0 = > 𝑥𝑥 = 2 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝑥𝑥 = 4
D’où le tableau de variation de 𝑓𝑓 est le suivant :
𝑥𝑥 −∞ 𝛼𝛼 2 𝛽𝛽 3 4 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) + − − +
3 +∞ +∞
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 0 0
−∞ −∞ 7
𝑥𝑥 = 3
Pour obtenir leur point d’intersection, on résous le système suivant �
𝑦𝑦 = 𝑥𝑥 + 2
𝑥𝑥 = 3
� => I(3 ; 5) est le centre de symétrie.
𝑦𝑦 = 5
4) Montrons que l'équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet exactement deux solutions 𝛼𝛼 et 𝛽𝛽
D’après le tableau de variation, ∀ 𝑥𝑥 ∈ ]−∞ ; 2[ , 𝑓𝑓 est définie, continue et strictement
croissante de ]−∞ ; 2[ Vers ]−∞ ; 3[.Alors l’équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet une première
solution 𝛼𝛼 tel que 𝑓𝑓(𝛼𝛼) = 0.
De même, D’après le tableau, ∀ 𝑥𝑥 ∈ ] 2 ; 3[ , 𝑓𝑓 est définie, continue et strictement décroissante
de ] 2 ; 3[ Vers ]−∞ ; 3[Alors l’équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet une deuxième solution 𝛽𝛽 tel
que 𝑓𝑓(𝛽𝛽) = 0.
Conclusion : l'équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet exactement deux solutions 𝛼𝛼 ∈ ]−∞ ; 2[ et β
∈ ] 2 ; 3[ tel que 𝑓𝑓(𝛼𝛼) = 𝑓𝑓(𝛽𝛽) = 0.
3
5) a- Montrons que ∀𝑥𝑥 ∈ [4 ; 5], on a : |𝑓𝑓′(𝑥𝑥)| ≤
4
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 − 5 𝑥𝑥 2 − 6𝑥𝑥 + 8
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = = >𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) = ( 𝑥𝑥 − 3 )2
𝑥𝑥 − 3
Or 𝑥𝑥 ∈ [ 4 ; 5 ] <=> 4 ≤ 𝑥𝑥 ≤ 5
En appliquant la fonction dérivée 𝑓𝑓′ à l’inégalité, on a :
3
Or 𝑓𝑓 ′ (4 ) = 0 et 𝑓𝑓 ′ (5 ) =
4
3
=> 0 ≤ 𝑓𝑓 ′ ( 𝑥𝑥 ) ≤
4
En appliquant la valeur absolue à l’inégalité, on a :
3
=>|0| ≤ �𝑓𝑓 ′ ( 𝑥𝑥 )� ≤ � �
4
3
=> 0 ≤ �𝑓𝑓 ′ ( 𝑥𝑥 )� ≤
4
3
D’où ∀ 𝑥𝑥 ∈[4 ; 5]| , 𝑓𝑓′( 𝑥𝑥 )| ≤
4
15 3
b- En déduisons que ∀ 𝑥𝑥 ∈ [4 ; 5] , on a : � 𝑓𝑓(𝑥𝑥) − �≤ | 𝑥𝑥 − 5|
2 4
3
D’après la question a) , on a : ∀𝑥𝑥 ∈ [4 ; 5]| , 𝑓𝑓′( 𝑥𝑥 )| ≤
4
Or si |𝑓𝑓′( 𝑥𝑥 )| ≤ 𝑘𝑘, on a : d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis
|𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑓𝑓( 𝑎𝑎 ) | ≤ k |𝑥𝑥 − 𝑎𝑎|
3
Ainsi puisque|𝑓𝑓′( 𝑥𝑥 )| ≤ , alors d’après le théorème de l’inégalité des accroissements
4
3 3
finis on a : |𝑓𝑓(𝑥𝑥) − 𝑓𝑓( 5 ) | ≤ |𝑥𝑥 − 5 | . Avec 𝑘𝑘 = et 𝑎𝑎 = 5
4 4
15 15 3
Or 𝑓𝑓( 5 ) = = >�𝑓𝑓(𝑥𝑥) − �≤ |𝑥𝑥 − 5 |
2 2 4
15 3
D’où ∀ 𝑥𝑥 ∈ [4 ; 5] , on a : �𝑓𝑓(𝑥𝑥) − � ≤ |𝑥𝑥 − 5 |
2 4
6) Traçons (C𝑓𝑓) dans le repère (𝑜𝑜; 𝑖𝑖⃗ ; 𝑗𝑗⃗) ainsi que (C𝑔𝑔−1 ) la courbe de 𝑔𝑔−1 .
y
12
11
10
9
8
7
6
5
4
3
2
1
-10 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10x
-6-5-4-3-2-1
-2
-3
-4
-5
1 1 1 1 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥) = − √𝑥𝑥 => 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = − (𝑥𝑥 − = − �(𝑥𝑥 + �<0
𝑥𝑥−1 −1)2 2√𝑥𝑥 −1)2 2√𝑥𝑥
D𝑓𝑓 = ] 1 ; +∞[
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞ et 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞
𝑥𝑥 → 1+ 𝑥𝑥 → +∞
1 1
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) = − �(𝑥𝑥−1)2 + � < 0. Alors 𝑓𝑓 est strictement décroissante sur D𝑓𝑓 = ] 1 ; +∞[.
2√𝑥𝑥
𝑥𝑥 1 𝛼𝛼 2 +∞
𝑓𝑓′(𝑥𝑥) −
+∞ 0
𝑓𝑓(𝑥𝑥) 1 − √2
−∞
En déduisons que l'équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼𝛼 dans l'intervalle ] 1 ; 2[
α 2
- D’après le tableau de variation de 𝑓𝑓, ∀ 𝑥𝑥 ∈ ] 1 ; +∞[ , 𝑓𝑓 est définie, continue et
strictement croissante de ] 1 ; +∞[ vers ]−∞ ; +∞[ . Alors l'équation 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 0 admet
une solution unique 𝛼𝛼 telle que 𝑓𝑓(𝛼𝛼) = 0
- De plus 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = +∞ et 𝑓𝑓(2) = −0,41 .
𝑥𝑥 → 1+
Alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires, 𝛼𝛼 ∈ ] 1 ; 2[
1 < 𝑥𝑥 < 2 𝑔𝑔(2) < 𝑔𝑔(𝑥𝑥) < 𝑔𝑔(1) 1,7 < 𝑔𝑔(𝑥𝑥) < 2 𝑔𝑔(𝑥𝑥) ∈ ] 1,7 ; 2[ .
Or ] 1 ; 2[ ⊂ ] 1,7 ; 2[. D’où si 𝑥𝑥 est élément de ] 1 ; 2[ alors 𝑔𝑔(𝑥𝑥) est aussi élément de
] 1 ; 2[
b- Justifions la dérivabilité de 𝑔𝑔 sur[ 0 ; +∞[.
- 𝑥𝑥 est une fonction définie et dérivable sur [ 0 ; +∞[.
- √𝑥𝑥 est une fonction définie et dérivable sur [ 0 ; +∞[.
1
Par conséquent 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 1 + est une fonction définie et dérivable sur [ 0 ; +∞[.
√𝑥𝑥
Calculons la dérivée de 𝑔𝑔
1 1
𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 1 + => 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) = −
√𝑥𝑥 2𝑥𝑥√𝑥𝑥
1
Montrons que pour tout 𝑥𝑥 ∈ [1 ; 2], on a : |𝑔𝑔′(𝑥𝑥)| ≤
2
1
𝑔𝑔′(𝑥𝑥) = − . Donnons un encadrement de 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) sur [1 ; 2].
2𝑥𝑥√𝑥𝑥
On sait que : 1 ≤ 𝑥𝑥 ≤ 2 1 ≤ √𝑥𝑥 ≤ √2 (𝟏𝟏)
De même : 1 ≤ 𝑥𝑥 ≤ 2 2 ≤ 2𝑥𝑥 ≤ 4 (𝟐𝟐)
En effectuant le produit des équations (𝟏𝟏) et (𝟐𝟐), on obtient :
1 1
2 ≤ 2𝑥𝑥 √𝑥𝑥 ≤ 4√2 . Alors l’inverse de cette nouvelle inégalité donne : ≤ 2𝑥𝑥 √𝑥𝑥 ≤
4√2 2
1 1 1
En multipliant cette inégalité par le signe(−), on obtient : − ≤ − ≤−
2 2𝑥𝑥√𝑥𝑥 4√2
1 1
− ≤ 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) ≤ − En appliquant la valeur absolue à chaque membre de cette inégalité, on
2 4√2
1 1 1 1 1
obtient : �− � ≤ |𝑔𝑔′(𝑥𝑥)| ≤ �− � ≤ |𝑔𝑔′(𝑥𝑥)| ≤ => |𝑔𝑔′(𝑥𝑥)| ≤
4√2 2 4√2 2 2
1
c- En déduisons que pour tout 𝑥𝑥 de [1 ; 2], on a : |𝑔𝑔(𝑥𝑥) − 𝛼𝛼 | ≤ |𝑥𝑥 − 𝛼𝛼|
2
1
Puis que |𝑔𝑔′(𝑥𝑥)| ≤ . Alors d’après le théorème de l’inégalité des accroissements finis, on a :
2
1 1
|𝑔𝑔(𝑥𝑥) − 𝑔𝑔(𝛼𝛼 ) | ≤ |𝑥𝑥 − 𝛼𝛼| Or (𝛼𝛼) = 𝛼𝛼 . D’où |𝑔𝑔(𝑥𝑥) − 𝛼𝛼 | ≤ |𝑥𝑥 − 𝛼𝛼| .
2 2
0 1 2 3 4 5 6x
-1
-2
-3
1
49 Soit la fonction 𝑓𝑓 définie par 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = et (C) sa courbe.
𝑥𝑥 + 1
1) a- Démontrons que la courbe représentative de la fonction 𝑓𝑓 sur l'intervalle [ 0 ; +∞[ est au
dessus de sa tangente en tout point.
Soit 𝑥𝑥0 ∈ [ 0 ; +∞[ ; l’équation de la tangente en 𝑥𝑥0 est 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓′(𝑥𝑥0 )(𝑥𝑥 − 𝑥𝑥0 ) + 𝑓𝑓(𝑥𝑥0 ) avec
1 (𝑥𝑥 − 𝑥𝑥 0 ) 1 2𝑥𝑥 0 − 𝑥𝑥 + 1
𝑓𝑓′(𝑥𝑥0 ) = − (𝑥𝑥 2 => 𝑦𝑦 = − (𝑥𝑥 2 + = (𝑥𝑥 0 + 1)2
0 + 1) 0 + 1) 𝑥𝑥 0 + 1
Ainsi déterminons le signe de 𝑓𝑓(𝑥𝑥) – 𝑦𝑦 = 0
1 2𝑥𝑥 0 − 𝑥𝑥 + 1 (𝑥𝑥 0 − 𝑥𝑥 )2
𝑓𝑓(𝑥𝑥) – 𝑦𝑦 = � �− � (𝑥𝑥 0 + 1)2
�= (𝑥𝑥 + 1)(𝑥𝑥 0 + 1)2
≥ 0 ∀𝑥𝑥 [ 0 ; +∞[
𝑥𝑥 + 1
=> ∀𝑥𝑥 [ 0 ; +∞[ ; 𝑓𝑓(𝑥𝑥)– 𝑦𝑦 ≥ 0
D’où ∀𝑥𝑥 [ 0 ; +∞[ ; la courbe (C𝑓𝑓) est au dessus de sa tangente en tout point.
1
b- En déduisons que ∀ 𝛼𝛼 ∈ [ 0 ; +∞[ , on a : ≥ 1 − 𝛼𝛼 (1)
𝛼𝛼 + 1
2𝑥𝑥 0 − 𝑥𝑥 + 1
On sait que : ∀𝑥𝑥 [ 0 ; +∞[ ; 𝑦𝑦 = (𝑥𝑥 0 + 1)2
et 𝑓𝑓(𝑥𝑥) ≥ 𝑦𝑦
1 2(0)− 𝛼𝛼 + 1
En posant 𝑥𝑥0 = 0 et 𝑥𝑥 = 𝛼𝛼, on a : 𝑓𝑓(𝛼𝛼) ≥ 𝑦𝑦(0) ≥ ( 0 + 1)2
𝛼𝛼 + 1
1
≥ 1 − 𝛼𝛼 (1) (Ce qu’il fallait Démontre)
𝛼𝛼 + 1
2) Soit la fonction 𝑔𝑔 définie sur [ 0 ; +∞[ ; par 𝑔𝑔 (𝑥𝑥) = √𝑥𝑥 + 1 et soit 𝑘𝑘 un réel strictement
positif.
a- Déterminons la dérivée première et seconde de 𝑔𝑔 sur [ 0 ; +∞[
1 −1
𝑔𝑔(𝑥𝑥) = √𝑥𝑥 + 1 => 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) = et 𝑔𝑔′′(𝑥𝑥) =
2√1 + 𝑥𝑥 4(1 + 𝑥𝑥 )√1 + 𝑥𝑥
1 1
b- Vérifions que : ∀ 𝑥𝑥 ∈ [ 0 ; 𝑘𝑘[ on a : ≤ 𝑔𝑔′ (𝑥𝑥) ≤
2√1 + 𝑘𝑘 2
On sait que ∀ 𝑥𝑥 ∈ [ 0 ; +∞[ , 𝑔𝑔′′(𝑥𝑥) < 0. Alors 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) est strictement décroissante.
1
D’après la relation (1) , on a : ≥ 1 − 𝛼𝛼 1 ≥ (𝛼𝛼 + 1)(1 − 𝛼𝛼) 1 ≥ 1 − 𝛼𝛼 2
𝛼𝛼 + 1
𝑘𝑘 𝑘𝑘 2
En posant 𝛼𝛼 = , on a : 1 ≥ 1 − � �
2 2
𝑘𝑘 𝑘𝑘 𝑘𝑘 2 𝑘𝑘
En ajoutant à chaque membre de cette inégalité, on a : 1 + ≥ 1 − � � +
2 2 2 2
𝑘𝑘 𝑘𝑘 2 𝑘𝑘 𝑘𝑘 𝑘𝑘
1 + ≥ 1− + . Or d’après la relation (2) , on a : 1 + ≤ √1 + 𝑘𝑘 ≤ 1 + =>
2 4 2 2√1 + 𝑘𝑘 2
𝑘𝑘 𝑘𝑘 2 𝑘𝑘
1+ − ≤ √1 + 𝑘𝑘 ≤ 1 + (Ce qu’il fallait Démontre)
2 4 2
e- Etablissons alors l'inégalité suivante : 1,0475 ≤ √1,1 ≤ 1,05
𝑘𝑘 𝑘𝑘 2 𝑘𝑘
D’après d) , on a : 1 + − ≤ √1 + 𝑘𝑘 ≤ 1 + . En posant 𝑘𝑘 = 0,1 on a :
2 4 2
0,1 (0,1)2 0,1
1+ − ≤ √1 + 0,1 ≤ 1 + 1 + 0,05 − 0,002 ≤ √1,1 ≤ 1 + 0,05
2 4 2
1,0475 ≤ √1,1 ≤ 1,05 (Ce qu’il fallait Démontre)
𝑓𝑓- En déduisons une valeur approchée de √1,1 tout en précisant la marge d'incertitude.
- La valeur approchée de √1,1 correspond au centre de l’intervalle [1,0475 ; 1,05 ] =>
1,0475 + 1,05
𝑐𝑐 = = 1,04875.
2
- La marge d’incertitude de √1,1 correspond au rayon de l’intervalle [1,0475 ; 1,05 ] =>
1,05 − 1,0475
𝑟𝑟 = = 0,00125.
2