Montage 41 MSAutopilotee
Montage 41 MSAutopilotee
Montage 41 MSAutopilotee
Objectifs :
Réaliser l'autopilotage et étudier l'inuence des paramètres de réglage
Etudier les limites de fonctionnement du montage
Quantier les performances dynamiques
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Le premier réglage considéré sera celui à ψ = 0 car c'est celui qui permet à
courants donnés de maximiser le couple, et donc de minimiser les pertes joules. Le
système de courants que nous cherchons alors à imposer est un système en phase
avec les fem induites au stator (en RPS).
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Figure 3 Solution pour l'autopilotage avec un générateur de courant
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correcteur aurait nécessité une identication du système.
La machine synchrone possède une tension ecace nominale d'induit (sur un
enroulement) de UN = 170V. Si on voulait l'alimenter sous√tension
√ nominale il
√ donc avoir une tension sur le bus continu√de U0 = 2 3UN = 416V, le
faudrait
terme 2 venant de la valeur ecace et le terme 3 du fait que l'on alimente la
machine par des tensions composées (MS couplée en étoile). Le module de freinage
acceptant une tension maximale de 300V, on choisit donc une tension sur le bus
continu proche de 300V (on n'alimentera donc pas la MS sous tension nominale).
RTI Data
Montage Machine Synchrone autopilotée
Lepetit Thomas 16 /02 /10 i
a
1 1.9816
Constant 1 Slider
Gain 1
Slider
Psi
Gain 2
p=2; 2*pi 0
Theta _0=+1/4.5;
I_max =0.5;
Theta +Theta
e 0
sin(u(1))
0.1 Bad Link
Thetha Theta Fcn
m e
Product
DS1104 DAC _C1
2*pi /(1024 ) p Gain 2
Bad Link
Gain 1
DS1104 ENC _POS _C1 Gain
sin(u(1)-2*pi /3)
0.1 Bad Link
Fcn 1
Product 1
DS1104 DAC _C2
Gain 3
2*pi
0.24848
Theta _0 Slider
Gain
1 Bad Link
Bad Link
Les courants de consignes et les fems sont donc à la même fréquence mais sont
déphasés. Il faut alors les caler . Cette opération est réalisée à l'aide du paramètre
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θ0 , représenté gure 5 ;
Il faut vérier que les courants ia et ib et les fem à vide ea et eb sont bien en phase.
Pour cela nous avons utilsé un neutre articiel pour retrouver ces tensions simples.
Une fois que ces vérications ont été faites nous avons pu couper l'alimentation de
la MCC et brancher l'induit de la MCC sur la charge.
Attention, pour que la MS démarre, il faut que le courant de consigne ait une
amplitude susante pour vaincre le couple résistant dû aux frottements secs sur
l'arbre.
On remarquera que les courants statoriques sont quasiment en phase avec les
tensions d'alimentations de l'induit de la MS. Ceci est dû au fait que la MS est
à aimants déposés. Ceci signie que l'entrefer eectif est très grand puisqu'il est
composé de l'entrefer normal + la largeur des aimants. L'inductance cyclique est
d'autant plus faible que l'entrefer est grand, ce qui explique la remarque précédente.
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Figure 7 Relation couple vitesse, limitations et inuence de ψ
donc à mesure que la puissance dissipée dans la charge augmente. On a bien les
équations de fonctionnement de la MCC qui nous donnent :
E = KΩ = RI (3)
C = KI (4)
C
Ω = 2R (5)
K
K étant la constante électrique et mécanique (supposées identiques) de la MCC,
E et I les valeurs ecaces de la tension et du courant d'induit. On voit donc que si
on impose le couple, on augmentera la vitesse de rotation en augmentant la charge
sur laquelle débite la MCC. Attention le banc de charge étant gradué en puissance
pour augmenter R il faut diminuer la puissance absorbée sur le banc de charge.
La gure 7 montre pour 2 valeurs de courant de consigne l'évolution du couple
en fonction de la vitesse de rotation de l'arbre. On voit que le couple reste à peu près
constant lorsque l'on augmente la vitesse, jusqu'à une certaine valeur critique de la
vitesse à partir de laquelle la caractéristique de couple s'eondre. Le couple s'eondre
lorsque l'on n'est plus capable d'imposer les courants statoriques. Ceci arrive lorsque
la vitesse est trop importante et que l'amplitude de la fem e devient supérieure à la
tension v (cf gure 1). La tension aux bornes de l'inductance cyclique Lc ne peut
plus être positive, le courant ne peut alors plus croître, on observe des paliers sur
les courants statoriques mesurés. Ces derniers ne suivent plus la consigne. On ne
contrôle plus les courants, on ne contrôle alors plus le couple et ce dernier étant
proportionnel à l'amplitude des courants statoriques, s'ils sont écrêtés, le couple
diminue.
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Figure 8 Disposition des champs - Calage angulaire
2.3 Inuence de ψ
La gure 10 montre bien la dépendance en cosinus entre le couple et l'angle de
contrôle ψ . Les paliers lorsque le couple change de signe (changement du sens de
rotation) sont dus au fait que l'on observe l'image du couple à travers le courant cir-
culant dans la MCC. Il s'agit donc du couple fournit par la MS moins les frottements
secs.
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(fonctionnement en motrice), mais une puissance positive lors du transitoire. Ce ci
se retrouve par le fait que la tension sur la bus continu augmente. On vient charger
la capacité. Pendant cette phase de fonctionnement, le pont IGBT fonctionne en
redresseur sinus.
Conclusion
Nous avons vu dans ce montage l'intérêt d'avoir les deux paramètres de réglage
pour pouvoir explorer une plus grande partie du plan C=f(Ω). Nous avons également
vu que le fait que le couple s'eondre pour des valeurs élevées de la vitesse était dû
à une perte de contrôle sur les courants. Nous avons pu voir que le fonctionnement
de la machine synchrone à ψ =0 était équivalent à celui de la machine à courant
continu. Enn nous avons vu que les performances dynamiques de cette machine
synchrone autopilotée étaient bonne car elle permettait un fonctionnement un mode
frein (génératrice).
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Figure 9 Illustration de la limitation en vitesse et solution en jouant sur ψ
Figure 10 Inuence de ψ - Mise en évidence des frottements secs
Signal Slider
Generator Gain 1
Slider
Psi
Gain 2
p=2; 2*pi 0
Theta _0=+1/4.5;
I_max =0.5;
Theta +Theta
e 0
sin(u(1))
0.1 Bad Link
Thetha Theta e Fcn
m
Product
DS1104 DAC_C1
2*pi /(1024 ) p Gain 2
Bad Link
Gain 1
DS1104 ENC_POS _C1 Gain
sin(u(1)-2*pi /3)
0.1 Bad Link
Fcn1
Product 1
DS1104 DAC_C2
Gain 3
2*pi
0.32848
Theta _0 Slider
Gain
Bad Link
1 Bad Link
DS1104 DAC_C4
Constant DS1104 ENC_SW_INDEX _C1
Bad Link
DS1104 ENC_SETUP
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Figure 12 Courant ia et force électromotrice ea pendant la phase de freinage
transitoire (fonctionnement génératrice)
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Figure 14 Puissance instantannée lors de la phase de freinage - Illustration de la
puissance uctuante en monophasé (ici puissance instantannée sur une phase
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