Le document présente les résultats d'un TD sur les relations interspécifiques et la coévolution. Il décrit une interaction mutualiste entre une plante et un insecte, puis contient plusieurs exercices définissant des termes clés et identifiant la nature de diverses relations interspécifiques entre espèces.
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Le document présente les résultats d'un TD sur les relations interspécifiques et la coévolution. Il décrit une interaction mutualiste entre une plante et un insecte, puis contient plusieurs exercices définissant des termes clés et identifiant la nature de diverses relations interspécifiques entre espèces.
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Le document présente les résultats d'un TD sur les relations interspécifiques et la coévolution. Il décrit une interaction mutualiste entre une plante et un insecte, puis contient plusieurs exercices définissant des termes clés et identifiant la nature de diverses relations interspécifiques entre espèces.
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Module BIODIVERSITE et EVOLUTION
TD 5 : Relations Interspécifiques et Coévolution – groupe 16
Résultats de la vidéo : l'insecte et la plante sont en interaction interspécifique
la plante est adapté pour l'insecte au niveau morphologique (pétale plus longue à l'avant). Eperon allongé et trompe (proboscis) du papillon adaptée car longue. on trouve dans l'éperon du nectar . La coopération / Mutualisme (bénéfique bénéfique) Exercice 1 : Donnez la définition pour chacune des expressions ci-dessous :
• Relations interspécifiques : relations entre des individus d'espèces différentes
• Relations intraspécifiques : relations entre des individus d'une même espèce
• Facteur biotique : ensemble des interactions du vivant dans un écosystème (def écologie)/ intercation = action dynamique/ facteur = une entité qui relève du vivant.
• Facteur abiotique : facteur physico-chimique (température, humidité, vent, eau) d'un écosystème qui a un impact/ interaction sur la biocénose (ens du vivant dans l'écosyst) . Facteurs écologiques/ interactions biotiques Ecosystème = biotope / biocenose + interactions au sein du biotope de la biocenose et entre eux.
Exercice 2 : Complétez la figure ci-dessous en nommant les interactions interspécifiques correspondant aux bénéfices et effets décrits.
1 : Bénéfique (+) , Bénéfique (+) : Mutualisme
2 : Bénéfique (+) , Sans effet (0) : Commensalisme
1- Expliquez brièvement le rôle des protozoaires ? (Ils détruisent des bactéries pathogènes et des agents de putréfaction en s'en nourrissant) .Ils permettent aux termites de se procurer de la cellulose Permet de dégrader la cellulose des parois végétales absorbées par les termites
2- Dégagez, en justifiant votre réponse, la nature de l’association entre les 2 espèces partenaires ? C'est une relation de mutualisme/symbiose intestinale obligatoire car ils sont dépendants l'un avec l'autre, l'un ne peut pas vivre sans l'autre Portozaire vit au sein de la termite = endosymbiose (autre ex= chloroplaste et la mitochondrie)
3- Peut-on dire que les termites se nourrissent véritablement de bois ? Non, les termites se nourrissent principalement de cellulose, ils stockent la cellulose. La cellulose est propre aux cellules végétales C'est un polysaccharide soit un polymère de cellobiose (disaccharide de glucose). Elle se nourissent du produit de dégradation réalisée par le protozoaire qui est le glucose
bois= cellulose + lignine+ pectine
Relation à 3 espèces (2 dans l'énoncé : termites et protozoaires)
xylophage = xylème (tissus conducteur cellules mortes/ parois = "bois" (ancine terme pour nommer le xylème)
x Exercice 4 : Précisez (en argumentant votre choix) le type de relation entre :
- Fève /pucerons : Hôte/parasite car les pucerons présents en grand nombre empêchent les fèves de se développer phloémophage il se nourrit de La Sève Élaborée) relation de prédation prévaut. Les dégats que fait un puceron sur une plante sont liés à leur fonction de vecteur de virus. Leur nombre est régulé par le fait qu'ils sont proies de la coccinelle donc de façon générale leur mode alimentaire aura très peu d'impact sur la plante (simple relation trophique). C'est sa fonction de vecteur de virus qui fait qu'ils sont dangereux pour les plantes. Surpopulation/ ravageur au sens parasite (non régulation de la pop)// les criquets pelerin mode classique où équilibre et mode migratoire où ravages.
- Pucerons /coccinelles : Proie/Prédateur car La coccinelle se nourrit de pucerons/ aphidophage
- Racines de fève /orobanche : Hôte/Parasite car Les orobanches plantes parasites (non chlorophilliennes/pompe de la sève élaborée du phloème )se fixent aux racines (avec des suçoirs) des cultures, les empêchant de se nourrir puisant les sucres produits par la fève qui en a donc moins.
- Fève /rhizobium : symbiose/ endosymbiose/ nodule car rhizobium permet à fève de fixer l'azote atmispherique (pores du sol) de l'air pour s'en nourrir = "pont" entre plante et bactéries Permet au rhizobium de se développer grâce aux sucres de la plante. Il est protégé des facteurs abiotiques et biotiques
Exercice 5 : Caractéristique de la relation interspécifique illustrée par les exemples (N°1-24) des planches 1 à 4.
• Définir les effets caractéristiques de la relation (+, - ou 0) pour l’espèce 1 et l’espèce 2.
• Nommez le type d’interaction selon les codes ci-contre : Mutualisme (M), Hôte/Parasite (HP), Prédateur/proie (PP), Compétition (Cp), Commensalisme (Cm), Amensalisme (A), Neutralisme (N).
• Justifiez votre choix.
Exemple 1 : Espèce 1 : araignée Espèce 2 : fleur Type d’interaction : Cm Justification : l'insecte se nourrit sur la fleur et récupère les cellules reproductrices et les dépose en allant se nourri sur une autre fleur
Exemple 2 : Espèce 1 : requin Espèce 2 : rémora Type d’interaction : Cm Justification : la rémora se colle avec sa tête au requin qui va lui permettre de se protéger et se nourrir. Pour le requin cela lui permet d'aller de nager plus vite
Exemple 3 : Espèce 1 : guépard Espèce 2 : antilope Type d’interaction : P/P Justification : le guépard chasse et se nourrit de l'antilope (membres pour la course très développés)
Exemple 4 : Espèce 1 : cerf Espèce 2 : lièvre Type d’interaction : N Justification : vivent de façon indépendantes
Exemple 5 : Espèce 1 : insecte Espèce 2 : figue Type d’interaction : M Justification : La figue abrite les larves de l'insecte. Les larves permettent une pollinisation de la plante
Exemple 6 : Espèce 1 : poisson clown Espèce 2 : anémone de mer Type d’interaction : M Justification : Le poisson clown s'abrite dans l'anémone. L'anémone a une meilleure croissance grâce aux déjections (azote) du poisson clown (apport nutritionnel)
Exemple 7 : Espèce 1 : chaussure Espèce 2 : gaillet gratteron Type d’interaction : M Justification : la gaillet gratteron s'accroche aux chaussures pour se déplacer (zoochorie)
Exemple 8 : Espèce 1 : poisson Espèce 2 : moule Type d’interaction : M Justification : Pont ses oeufs dans le coquillage, une fois éclos les larves du poisson récoltent celles de la moule ce qui va permettre à la moule de se reproduire.
Exemple 9 : Espèce 1 : Arbre (acacia) Espèce 2 : fourmi Type d’interaction : M Justification : La fourmi a un abri. Les fourmis (très agressives) protègent l'acacia des herbivores et des pathogènes
Exemple 10 : Espèce 1 : serpent Espèce 2 : grenouille Type d’interaction : PP / Cp Justification : Le serpent se nourrit de la grenouille, il résiste aux toxines de celle-ci
Exemple 11 : Espèce 1 : Mérou Espèce 2 : poulpe Type d’interaction : N Justification : Indépendant
Exemple 12 : Espèce 1 :chevreuil Espèce 2 : oiseaux Type d’interaction : Cm Justification : Les oiseaux ont un support pour pouvoir chasser dans la prairie, le chevreuil n'y gagne rien.
Exemple 13 : Espèce 1 : arbre Espèce 2 : herbes Type d’interaction : N Justification : Indépendant
Exemple 14 : Espèce 1 : oiseau Espèce 2 : arbre fruitier Type d’interaction : M Justification : l'oiseau mange les fruits de l'arbre. Lorsque l'oiseau mange les fruits, il ingère les graines de l'arbre et les dissémine grâce à ses déjections et vont germer grâce à celles-ci.
Exemple 15 : Espèce 1 : Mouffette/Porc-épic Espèce 2 : Guépard Type d’interaction : PP Justification : Le guépard chasse la mouffette ou le porc-épic afin de se nourrir.
Exemple 16 : Espèce 1 : Colibri Espèce 2 : Fleur Type d’interaction : Mutualisme Justification : Le colibri récupère le nectar de la fleur et le pollen se dépose sur lui afin d'être amené à une autre fleur.
Exemple 17 : Espèce 1 : Isopode Espèce 2 : Poisson Type d’interaction : H/
P Justification : L'isopode va mourir
Exemple 18 : Espèce 1 : Chenille Espèce 2 : Plante Type d’interaction : HP Justification : La chenille mange les feuilles de la plante. La chenille va contourner la défense de la plante.
Exemple 19 : Espèce 1 :arbre Espèce 2 : papillon Type d’interaction : Cm Justification : le papillon se cache des prédateurs grâce à sa peau car on a du mal à le distinguer
Exemple 20 : Espèce 1 : cyanobactérie Espèce 2 : champignon Type d’interaction : Symbiose. Justification : la pierre devient un lieu de vie pour la moisissure
Exemple 21 : Espèce 1 : Puceron Espèce 2 : endosymbionte Type d’interaction : Symbiose Justification :
Exemple 22 : Espèce 1 : Arbre Espèce 2 :épiphyte (pas des parasites) Type d’interaction Cm Justification : la fleur se trouve en hauteur se qui lui permettra d'être plus accessible à la lumière et aux insectes pollinisateurs afin d'être son espèce répartie dans une zone plus large
Exemple 23 : Espèce 1 : gui hémiparasite Espèce 2 : Arbre Type d’interaction : Cm Justification : le gui prend l'eau et les minéraux dans le xylème pendant les périodes chaudes
Exemple 24 : Espèce 1 : Iguane Espèce 2 : Crabe Type d’interaction : M Justification : Les crabes se nourissent des parasites présents sur la peau des iguanes, les crabes sont protégés de leur prédateur car les oiseaux évitent de venir près des iguanes