Fusion 2020
Fusion 2020
Fusion 2020
1. Définition
La fusion est l’opération par laquelle plusieurs sociétés, minimum 2, décident de réunir leur
patrimoine en une seule entité.
Dissolution mais
D Constitution sociétés.
Augmentation de capital A
En pratique le 2éme procédé est le plus souvent utilisé. Les sociétés sont généralement
d’importance inégale et la plus puissante absorbe l’autre.
Remarque :
* Le procédé de fusion-réunion est très peu utilisé car la création d’une société présente des
inconvénients d'ordre pratique (Citons le cas de l'absence de personnalité juridique de la société
nouvelle avant son immatriculation au registre de commerce).
1
* Conditions de base des opérations de fusion :
A B
Sociétés :
Actionnaires ou associés : X Y Z E F G
L'actionnaire (associé) continue à être actionnaire (associé) de la nouvelle société (On n’oblige
aucun à quitter son entreprise et on n'oblige aucun à augmenter ses engagements).
La question qui se pose : Quels sont les objectifs escomptés des opérations de fusion ?
* Plus d’investissement
* Plus d’emploi
* Plus de productivité
- Pas d’objectif de monopole au niveau du marché (éviter les concurrences déloyales des
prix, on ne doit pas induire en erreur les autres parties prenantes à l’entreprise) ;
- Les opérations de fusion ne visent pas une fraude fiscale.
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2. Conditions de fond des opérations de fusion
Société la forme
A B C
La nouvelle SA
société (NS) SARL
A B C
Fusion n'est valable que si le capital de chaque société concernée est entièrement libéré.
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* Article 416 C.S.C :
Si l'une des sociétés qui fusionne est une société faisant appel public à l'épargne
A B C
Fusion n’est valable sauf s’il y a autorisation du Conseil du Marché Financier (CMF)
3. Conséquences juridiques
Fusion
fusionnées ou absorbées
A B C
X
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Les fusions de sociétés
Résultats :
* Paiement immédiat ;
* Constitution de garantie ;
Les créanciers de chacune des sociétés qui participent à la fusion conservent leurs droits
sur le patrimoine de leur société débitrice.
A défaut de paiement des créanciers, leurs créances sont transférées avec les sûretés à la
société nouvelle ou absorbante.
Remarque : S’il s’agit de cautionnement, la caution doit manifester sa volonté de transfert (Article 421 C.S.C).
Les créanciers bénéficient dans tous les cas d'une préférence vis-à-vis des créanciers dont
la créance est née postérieurement à la fusion que cette créance soit chirographaire ou privilégiée.
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Conséquences sur les sur les porteurs de certificat d’investissement ou des titres
participatifs et sur les obligataires
A B C
Si pas de consensus
Opposition : Mêmes dispositions prévues pour les porteurs de certificat d’investissement ou des titres
participatifs ainsi que les obligataires et les créanciers
A B C
Société
absorbante
Les contrats de travail des salariés et cadres de chacune des sociétés qui participent à la fusion
sont de plein droit transmis à la société nouvellement créée ou absorbante.
Le contrat de bail est directement transféré au profit de la société résultant de la fusion. Les
contrats de travail continuent légalement à produire leurs effets à l'égard de la société.
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4. Procédures des opérations de fusion
A B
Gérant Membre du CA
but
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Le contrôle légal des opérations de fusion : Article 417 (nouveau) (Loi n° 2005-65
du 27 juillet 2005, art.1er)
« Un expert spécialisé inscrit sur la liste des experts judiciaires désigné par ordonnance sur requête
par le président du tribunal de première instance (TPI) dans le ressort duquel se trouve le siège
social de l’une des sociétés concernées par la fusion établit sous sa propre responsabilité un
rapport écrit sur les modalités de la fusion après avoir pris connaissance de tous les documents
nécessaires que la société concernée par la fusion ou l’absorption doit lui communiquer, elle doit,
en outre, lui permettre d’effectuer toutes les investigations nécessaires. L’expert évalue,
également, les apports en nature et les avantages particuliers ».
Il vérifie si la parité d’échange est équitable et que la valeur attribuée au patrimoine objet de la
transmission est réelle. Il précise la ou les méthodes suivies pour la détermination des parités
d’échange et indique si elles sont adéquates et doit déterminer les difficultés particulières
d’évaluation. Dans ce cas, l’expert est considéré comme commissaire aux apports.
Désignation
Expert judiciaire
spécialisé
Double mission
La société concernée par la fusion doit mettre à la disposition de ses associés deux mois avant la
réunion de l'assemblée générale extraordinaire :
- le projet de fusion ou d'absorption ;
- le rapport du commissaire aux apports ;
- le rapport du commissaire aux comptes si la société en possède un ;
- le rapport de gestion des trois exercices ;
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- les rapports des conseils d'administration ou des assemblées des associés pour les sociétés autres
que la société anonyme et de chacune des sociétés concernées par la fusion ;
- les états financiers nécessaires à l'information des associés ;
- le projet d'acte constitutif de la nouvelle société.
S'il s'agit d'une absorption, la société doit mettre à leur disposition le texte intégral des
modifications à apporter aux statuts de la société absorbante ;
- l'acte constitutif des sociétés participant à la fusion ;
- le contrat de fusion ou d'absorption ;
- nom, prénom et nationalité des administrateurs ou gérants des sociétés qui participent à la
fusion. Il en est de même pour la société nouvelle ou absorbante.
L'assemblée générale extraordinaire de la société absorbante ou nouvellement constituée statue
sur l'approbation des apports en nature des sociétés absorbées selon les conditions exigées par le
code des sociétés commerciales et propres à chaque forme de société.
d’autres sociétés
La fusion doit faire l'objet d'une publicité conformément à l'article 16 du code des sociétés
commerciales.
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- la fusion, la scission, l'apport partiel ou total d'actif,
- la liquidation,
- l'avis de clôture des états financiers après dissolution ou liquidation ou fusion ou scission ou la
réalisation d'apport partiel ou total d'actif. (Loi n°2005-65 du 27 juillet 2005,art.3)
.......
La publicité doit être effectuée dans le délai d'un mois à compter de l'inscription de l'acte ou du
procès verbal de la délibération, au registre du commerce".
L'action en nullité de la fusion peut être exercée par toute personne physique ou morale
intéressée et par tous les ministres concernés par les sociétés commerciales. L'action se prescrit
par trois ans à partir de la date d'immatriculation au registre du commerce de la société
nouvellement créée ou à partir de la date à laquelle l'absorption est devenue définitive et dans
tous les cas à partir de la publication de la fusion conformément à l'article 16 du code des sociétés
commerciales.
Max 3 ans.
La nullité de la fusion ne peut être prononcée que pour les causes suivantes :
- nullité de la délibération de l'assemblée qui a décidé l'opération de fusion ;
- défaut de publicité ;
- non-respect des dispositions du présent code et des dispositions législatives ou réglementaires
spéciales ;
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DEUXIEME PARTIE : LES OPERATIONS DE FUSION : LES ASPECTS
FINANCIERS
NB: Il faut évaluer les entreprises en question et fixer un rapport d’échange (parité d’échange).
Le versement d’une soulte peut éventuellement être prévu pour rendre l’échange plus équitable.
Problème de parité
1. Absence de participations entre les sociétés 2. Existence de participations entre les sociétés
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2. Absence de participations entre les sociétés
Application
Désignation A B
Solution :
Le rapport d’échange théorique = parité d’échange A/B = 2/5 (2 actions B contre 5 actions A).
2B 5A
2500 B xA 2 x = 12 500
x = 6 250 actions
Problème de soulte :
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3. Participations préalables à la fusion
Absorbe
A B
A
Portefeuille de A :
Ǝ : Actions de B
de l’absorbée (elle renonce à émettre les titres Liquidation de la partie détenue par « A »
qui devraient lui revenir). (« A » ne détient plus et elle est déjà payée)
2éme étape :
Le travail classique (pas de
participations entre « A » et « B »)
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Application :
Désignation A B
A Absorbe B
K = 5.000.000 DT K = 2.500.000 DT
Solution :
Le rapport d’échange théorique = Parité d’échange : A/B = 255/1020 (1 action B contre 4 actions A)
1B 4A
2.500 B xA x = 10.000
La société « A » doit normalement créer 10.000 actions pour rémunérer les actionnaires de la
société « B ». Or, la société A est un actionnaire de la société B. (A ne peut pas rémunérer elle-
même).
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En définitif A va créer : 9000 actions.
A Absorbe B
Portefeuille de B :
Ǝ Actions de A
Application :
Désignation A B
Solution :
Absorbe
A B
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Le rapport d’échange = Parité d’échange = =
1B 2A
Principe :
Exemple :
Absorbe
A B
K = 1.600.000 DT K = 750.000 DT
V.N = 40 DT V.N = 25 DT
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Le rapport d’échange = parité d’échange = = =
3B 2A
La société « A » doit normalement créer 20.000 actions pour rémunérer les actionnaires
de la société absorbée. Or, on est dans le cas d’une participation réciproque : on doit procéder de
la manière suivante :
1- Fusion renonciation :
« A » détient de « B ».
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TROISIEME PARTIE : ASPECTS COMPTABLES DES OPERATIONS DE FUSION
Absorbe
A B
Selon la NC 38, un regroupement d’entreprise peut être définit de la manière suivante " le fait de
regrouper des entreprises distinctes au sein d’une seule entité économique à la suite d’une prise de
contrôle de l’actif net et des activités d’une autre entreprise".
1er cas :
M1 M2
Absorbe
A B
2ème cas :
M1
> 50% x%
Contrôle exclusive Pas de contrôle
Absorbe
A B
Les entreprises ne sont pas soumises au contrôle exclusif de la même société mère.
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Problème : Entreprises sous contrôle commun
M1
> 50% > 50%
Contrôle exclusif Contrôle exclusif
Absorbe
A B
Apport de B
Absorbe
A B
Pour répondre à cette question, il faut vérifier si les entreprises sont sous :
* Fusion à l’endroit
Absorbe
A B
selon la N.C 38
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* Fusion à l’envers :
Absorbe
A B
selon la N.C 38
Ce sont des charges liées à l'acquisition. Le tableau suivant récapitule les frais incorporables et
celles non incorporables dans le coût d'acquisition.
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Frais incorporés dans le coût d'acquisition Frais non-incorporables dans le coût
d'acquisition
Les coûts d'inscription et d'émission de titres Les coûts administratifs généraux, y compris
les coûts de fonctionnement d'un service
les honoraires versés aux professionnels chargé des acquisitions.
comptables, aux conseils juridiques, aux
évaluateurs et autres consultants intervenus pour Les autres coûts qui ne peuvent être
effectuer l'acquisition. directement attribués à l'acquisition en cours
de comptabilisation.
Frais d’émission
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3. Traitement comptable des opérations de fusion (Référence à la NCT 38 et IFRS 3)
3.1. Comptabilisation des actifs et passifs identifiables selon la NCT 38
Selon NC 38 - 21 : « Les actifs et passifs identifiables doivent être comptabilisés de façon séparée
à la date d'acquisition si, et seulement si :
(a) il est probable que tous les avantages économiques futurs s'y rapportant iront à l'acquéreur ou
que des ressources représentatives d'avantages économiques futurs sortiront de chez l'acquéreur;
(b) l'on dispose d'une évaluation fiable de leur coût ou de leur juste valeur ».
B Actionnaires société « X »
B Capital social
B Prime de fusion
B Trésorerie (soulte)
B Goodwill négatif *
B Actionnaires société « X »
NB :
* Juste valeur des actifs acquis et des passifs assumés est supérieure au montant du coût du regroupement.
* Dans le cas d’un écart d’acquisition positif, on débite le compte « goodwill ».
** Dans le cas d’un impôt différé actif, on débite le compte « Actif d’impôt différé ».
** Réintégration des plus-values exonérées chez l’absorbée dans la limite de 50% de leur montant et par
tranches de 1/5 (Note commune N° 14/2015).
Goodwill
Tout excédent du coût d'acquisition sur la part Tout excédent, à la date de l'opération d'échange,
d'intérêts de l'acquéreur dans la juste valeur des actifs de la part d'intérêts de l'acquéreur dans les justes
et passifs identifiables acquis à la date de l'opération valeurs des actifs et passifs identifiables acquis,
d'échange doit être décrit comme goodwill et sur le coût d'acquisition doit être comptabilisé en
comptabilisé en tant qu'actif. tant que goodwill négatif.
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3.2. Comptabilisation des actifs et passifs identifiables selon IFRS 3
Selon IFRS3 - 18 : « L’acquéreur doit évaluer les actifs identifiables acquis et les passifs repris à
leur juste valeur à la date d’acquisition ».
B Actionnaires société « B »
B Capital social
B Prime de fusion
B Trésorerie (soulte)
B FRS ou Trésorerie
B Divers actifs
B Actif d’impôt différé
G Profit résultant d'une acquisition avantageuse*
B Divers passifs
B Passifs d’impôt différé
B Provision pour passifs et charges (passifs éventuels)
B Actionnaires société « B »
NB :
* Ecart d’acquisition négatif : Comptabilisé en résultat.
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Application :
Désignation A B
Bilan résumé de B sur la base du coût historique et de la juste valeur (en DT) (31/12/2009) :
Actifs
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Travail à faire : (Référence à la norme comptable 38)
Solution :
1)
2500 B -- 6250 A
2)
25
3) a- Constatation du CR :
01/01/2010
01/01/2010
B PID 343500
B Goodwill négatif 280250
B Actionnaires Sté B 4 206 250
4) * CPT (IFRS3) = JV des actions émises + soulte = 6250 * 634 + 143 750 = 4 106 250 DT.
3.3. Goodwill
Le goodwill doit être comptabilisé à son coût Le Goodwill n’est pas amortissable
diminué du cumul des amortissements et du
cumul des pertes de valeur. Le Goodwill est soumis à un test de
dépréciation selon IAS 36.
Le goodwill doit être amorti sur une base
systématique sur sa durée d'utilité.
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3.4. Modalités de reprise du Goodwill négatif en Résultat
NCT 38 :
Goodwill ne correspond pas à des pertes
et des dépenses futures (NC 38 – 57)
Goodwill négatif correspond à des pertes et
des dépenses futures attendues (NC 38 – 56)
Acquisition réalisée à des conditions
avantageuses (Bonne affaire)
Dans la mesure où le goodwill négatif correspond à Dans la mesure où le goodwill ne correspond pas
des pertes et des dépenses futures attendues à des pertes et des dépenses futures identifiables
identifiées dans le plan d'acquisition de l'acquéreur, attendues pouvant être évaluées de manière
fiable à la date d'acquisition, il doit être
qui peuvent être évaluées de manière fiable, mais qui
comptabilisé en produit dans l'état de résultat, de
ne représentent pas à la date d'acquisition des passifs la manière suivante :
identifiables (voir paragraphe 21), cette fraction du
goodwill négatif doit être comptabilisée en produits (a) le montant du goodwill négatif n'excédant
dans l'état de résultat lorsque les pertes et les pas les justes valeurs des actifs non monétaires
dépenses futures sont comptabilisées. identifiables acquis doit être comptabilisé en
produits sur une base systématique sur la durée
d'utilité moyenne pondérée restant à courir des
actifs amortissables identifiables acquis; et
IFRS 3 :
Un acquéreur doit comptabiliser une acquisition à des conditions avantageuses en résultat net à la
date d’acquisition (IFRS 3 - 34).
Au début de N, une entité A a acquis une entité B pour 6700 DT. La juste valeur des actifs et
passifs identifiables de B est estimée à 7900 DT.
Travail à faire :
1. Calculer le montant du goodwill et présenter les écritures comptables nécessaires chez « A » selon la
NCT 38 et l’IFRS 3 (Justifier vos réponses).
H1 : Lors de l’acquisition, l’acquéreur a constaté que le matériel de production est très ancien et qu’il
nécessite un renouvellement. Il estime que des dépenses d’investissement de 800 DT et de 600 DT
doivent être engagées respectivement en N+1 et N+2.
H2 : Le goodwill calculé ne correspond pas à des pertes et des dépenses futures attendues.
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NB :
On suppose que les justes valeurs des actifs non monétaires sont respectivement de 200 DT pour
les stocks, de 500 DT pour les immobilisations amortissables et de 400 DT pour les immobilisations
non amortissables.
2. Présenter les écritures comptables nécessaires chez « A » selon la NCT 38 et l’IFRS 3 (Justifier vos
réponses).
Solution :
1) GW négatif = 1200
Trésorerie 6700
Acquisition de l’entité B
Trésorerie 6700
Acquisition de l’entité B
H1 :
Il sera repris en résultat des exercices N+1 et N+2 au prorata des dépenses d’investissement courues :
28
N+1 N+2 TOTAL
H2 :
Montant du goodwill négatif excédant les justes valeurs des actifs 100
non monétaires identifiables acquis
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Reprise du goodwill négatif en N+1
1100/8 = 138
Principe : Lors de l’annulation des titres détenus par l’absorbante dans l’absorbée, un Boni ou
Mali de fusion sera constaté et correspond dans le cadre de l’application de la méthode
d’acquisition (J.V) à la différence entre la juste valeur des titres annulés et leur valeur comptable.
J.V des titres annulés - V.C.N des titres annulés = Boni ou Mali de fusion
Boni de fusion
Mali de fusion
Vraie perte
Moins-value/annulation de titres
30
Apports à la valeur comptable
Résultat financier
Immobilisation incorporelle
Application :
Désignation A B
31
Bilan résumé de B sur la base du coût historique et de la juste valeur (en DT) (31/12/2009) :
Actifs
1) Calculer le nombre de titres à créer par A (Choisir le procédé suivi en pratique et expliquer ce choix).
Solution :
2500 B -- 10000 A
Choix Fusion renonciation. (Fusion allotissement : n’est pas suivi en pratique ; Coût fiscal).
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En définitif A va créer : 9000 actions.
B= 1000 DT 0
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4) a- Constatation du CR :
01/01/2010
01/01/2010
B PID 343500
B Goodwill négatif 1836500
B Actionnaires Sté B 2650000
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