Icpe 2é Année (HST, Gerna, Sip)
Icpe 2é Année (HST, Gerna, Sip)
Icpe 2é Année (HST, Gerna, Sip)
L’ENVIRONNEMENT (ICPE)
COURS DONNE PAR LE COLONEL BOBLE LAMBERT OFFICIER
DE SAPEURS POMPIERS MILITAIRES
INGENIEUR EN SCIENCES ET TECHNOLOGIE DE
L’ENVIRONNEMENT SPECIALITE PREVENTION DES RISQUES ET
SECURITE INCENDIE,
EXPERT EN PREVENTION ET SECURISATION DES PIPELINES DE
TRANSPORT D’HYDROCARBURES ENTERRES ET AERIENS
MASTER EN BUSINESS ET ADMINISTRATION (MBA)
MAITRISE D’ALLEMEND
DIPLOMES D’ECOLE DE GUERRE , DE STRATEGIE ET DE
DEFENSE DE THEMIIS PARIS ET DE GESTION DES CATASTROPHE
DE CARTAGE TUNIS
PLAN
2.1 DEFINITIONS
(EIES)
SOMMAIRE
PLAN DE LA
NOMENCLATURE--------------------------------------------------------------------
------------------
PLAN DE LA NOMENCLATURE
Ce plan est destiné à faciliter la recherche des rubriques de la nomenclature
Radioactives Déchets
(01-47 à 01-47/III) (02-94 à 02-106)
I.1 – Toxiques
- Fabrication de substances ou préparations toxiques
- Fabrication de l’ammoniac
- Fabrication de chlore
préparations toxiques
(MDI)
- Utilisation de l’amiante
tanniques…
toxiques.
I.2 – Comburantes
- Substances et préparations comburantes telles…
I.4 – Inflammables
- fabrication de gaz inflammables
- fabrication d’hydrogène
- stockage ou emploi d’hydrogène
- fabrication d’acétylène
- dépôt de vernis
I.5 – Combustibles
- entrepôts couverts
I.6 – Corrosives
I.7 – Radioactives
- définition
I.8 - Autres
- ferro-silicium
- fabrication de l’iode
- *INDICATION OU SYMBOLES
- 10 XX = SUBSTANCES ET PREPARATION
- 11 XX = TOXIQUE
- 12 XX = COMBURANTE
- 13 XX = EXPLOSIVE
- 14 XX = SUBSTANCES INFLAMMABLES
- 15 XX = COMBUSTIBLE
- 16 XX = COROSIVE
- 17 XX = RADIOACTIVITE
- 18 XX = REAGISSANT AVEC L’EAU.
- établissement…bovins
- établissement…porcs
- établissement…lapins
- établissement…volailles
- établissement…couvoirs
- établissement…carnassiers à fourrure
- établissement…chiens
- pisciculture
- établissement…faune sauvage
- verminières
- tabac.
- abattoirs d’animaux
- amidonneries, féculeries.
- lait
- fabrication de levure.
II.3- Textiles
- atelier de moulinage
- teintures, apprêt,…
- fabrication de l’orseille
- nettoyage à sec, …
- effilochage et pulvérisation
- lavage, décoloration…
- tanneries, mégisseries
- dépôts de peaux…
II- 5 Bois
- travail du bois…
- exploitation de carrières
II- 8 Métaux
- traitement des minerais non ferreux, élaboration des métaux et alliages non
ferreux
- utilisation de l’émail
- emploi de matières abrasives
- traitement de vinasses…
II- 11 Déchets
- combustion
- procédés de chauffage
- réfrigération compression
- charge d’accumulateurs
xse
II. GENERALITES (HYDROCARBURES, NOTIONS DE PREVENTION)
2.1 DEFINITIONS
Danger ≠ vie
Analyse (P………….et…………….G)
Intervention
Maîtrise du Risque
LES HYDROCARBURES
Ce sont des produits naturels composés uniquement d’atome de carbone et
d’hydrogène qui dans les conditions normales de température et de pression sont
soit solide (paraffines), soit liquide (pétrole), soit gazeux (méthane et butane).
- Liquides inflammables
Ce sont des hydrocarbures et autres liquides soit purs soit formant des mélanges,
émettant des vapeurs susceptibles de s’allumer momentanément en présence
d’une flamme à des conditions normalisées de température minimum dite point
éclair (PE).
- Point éclair
C’est la température positive ou négative à laquelle un liquide inflammable émet
suffisamment de vapeur pour qu’à l’approche d’une flamme pilote, il y ait un
éclair. Un mélange détonnant est réalisé, mais la quantité de vapeur est
insuffisante pour que la combustion puisse continuer d’elle-même.
Les vapeurs émises par les liquides inflammables exercent dans une enceinte
fermée une pression sur les parois de celle-ci rapidement avec la température.
Lorsque la température est stable l’évaporation du liquide cesse, lorsque la
tension de vapeur est atteinte.
NB : un récipient clos contenant des liquides inflammables peut être soumis à
des pressions internes croissant rapidement avec l’élévation de la température.
A l’air libre, l’augmentation de la tension de vapeur due à une élévation de la
température et la turbulence de l’air accentue rapidement l’évaporation formant
avec l’air d’importants mélanges inflammables.
Catégorie A
Les hydrocarbures liquéfiés dont la pression (absolue) de vapeur à 15°C est > à
1 bar.
- Catégorie A1 : hydrocarbures maintenus liquéfiés à une température < 0°C
- Catégorie A2 : hydrocarbures liquéfiés dans d’autres conditions.
Catégorie B
Hydrocarbures liquides dont le point éclair est < à 55°C
Catégorie C
Hydrocarbures liquides dont le point éclair 55°C ≤PE˂100°C
Catégorie D
Hydrocarbures liquides dont le point éclair est ≥ 100°C
ENVIRONNEMENTAL.
*REGIME IVOIRIEN
a) Le régime d’autorisation
Sont soumises à autorisation les installations qui présentent des graves dangers
ou inconvénients pour l'environnement. L'autorisation n'est alors délivrée que si
les dangers et inconvénients peuvent faire l’objet de prévention par des mesures
spécifiées dans l'arrêté d'autorisation.
b) Le régime de déclaration.
Sont soumises à déclaration les installations qui ne présentent pas de graves
dangers ou inconvénients mais qui doivent néanmoins respecter des
prescriptions générales édictées pour toutes les installations, en vue de la
protection des intérêts mentionnés à l’article 1er du décret du 20 octobre 1926.
Un récépissé accompagné des dispositions générales à respecter est délivré à
l’exploitant à titre de procédure.
* Renouvellement de la Déclaration
Il est nécessaire pour l’exploitant de renouveler sa Déclaration :
- si l’installation est transférée sur un autre emplacement ;
- si l’installation n’a pas été mise en service après trois (3) années à compter de
son dépôt à la Préfecture ;
- si l’exploitation a été interrompue plus de deux (2) années consécutives sauf
cas de force majeure ;
c) La procédure de l’autorisation.
L’exploitant doit faire une demande d’autorisation en constituant un dossier ou
figurent une étude d’impact environnemental et une étude de dangers. Ces deux
documents sont fondamentaux pour expliciter comment le projet a été conçu,
justifier les mesures de prévention proposées et donner une évaluation des
incidences que l’exploitation entraînerait pour l’homme et l’environnement, en
situation normale et en cas d’accident.
Ce dossier est soumis à l’enquête publique et l’avis des services administratifs.
L’autorisation est ensuite délivrée à l’exploitant par arrêté du ministre chargé de
l’environnement. Cet arrêté comporte les prescriptions techniques qui devront
être respectées (par exemple pour les rejets : les valeurs limites de concentration
et de flux des divers polluants).
(EIES)
1- But de l’EIES
Outil de mise en œuvre des politiques d'environnement, l'EIE vise
essentiellement:
2- Caractéristique de l’EIES
3- Méthodologie de L’EIES
a) Présentation de l’initiateur
b) contexte et raison d’être du projet
a) la description du project
b) Analyse des variantes et choix
c) L’analyse des impacts des variantes sélectionnées
f) Mesures d’atténuation et impacts résiduels
a) Présentation de l’initiateur
D’abord et avant tout, un promoteur doit convaincre les parties prenantes que le
projet envisagé est justifié.
a) la description du projet
• Emplacement du projet sur une carte montrant les limites du site proposé, les
grandes infrastructures existantes, l’utilisation du territoire adjacent et les
caractéristiques environnementales importantes de la zone d’étude
• Plan du site du projet illustrant l’emplacement des installations existantes, les
ouvrages proposés du projet et les infrastructures nécessaires pour desservir le
projet
La liste des enjeux définis à l’étape du cadrage devrait être raffinée pour préciser
les besoins d’information à des fins de prévision et d’évaluation des impacts.
Cette étape est importante pour éviter de gaspiller de l’argent et du temps à
recueillir des données inappropriées ou inutiles.
On distingue fréquemment les impacts directs et indirects, mais l’ÉIE couvre les
deux types d’impact.
Les impacts indirects sont produits ou stimulés par le projet, mais ne peuvent y
être reliés par une relation directe de cause à effet (ex: la construction d’un
chemin d’accès dans une région éloignée peut engendrer un développement
secondaire le long de la route).
TRAVAILLEUR
ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL
OUTIL DE TRAVAIL
Problème d’adaptabilité
Il s’agit donc de calculer les conséquences des agressions dont une unité
industrielle peut être le siège. Cette agression porte sur le voisinage de l’unité.
Les récepteurs (cibles) à envisager sont de deux types :
en tout premier lieu, le corps humain ;
en second lieu, les équipements voisins de l’équipement « agresseur ».
Les équipements ne nous intéressent pas nécessairement en tant que tels,
mais parce qu’ils peuvent contribuer, par synergie d’incidents, à modifier
l’incident initial, en l’aggravant ou en le compliquant, en modifiant les
conditions et les modalités d’intervention…
D’où la question : de quelle façon peut-on être blessé ou, éventuellement, tué ?
07/02/2020
par brûlure ;
par asphyxie ;
par intoxication ;
soumis à une onde de choc ;
frappé par un « missile ».
Les phénomènes accidentels envisagés sont essentiellement :
l’incendie ;
l’explosion de type UVCE (Unconfined Vapour Cloud Explosion) ou
explosion « non confinée de gaz ou de vapeurs » ;
l’explosion sous forme de BLEVE (Boiling Liquid Expanding Vapour
Explosion), explosion accompagnée d’une « boule de feu » si le gaz
liquéfié est inflammable ;
la dispersion de gaz toxiques.
L’étude de danger fait l’objet d’une mise à jour régulière. Chaque extension de
l’installation fait l’objet d’une nouvelle étude.
C’est au regard de l’étude de dangers et de son examen par l’inspection des
installations classées que le préfet, sur proposition de cette inspection et après
avis du conseil départemental
d’hygiène, impose par arrêté, les spécifications qu’il juge nécessaires à la
prévention et à la maîtrise des risques.
Travail de l’inspecteur
L’inspecteur des installations classées est un cadre technique désigné par le
ministre chargé de l’environnement. Il joue un rôle essentiel dans la prévention
et le contrôle de nuisances industrielles. L’inspecteur des installations classées
doit d’abord être un technicien, il doit en effet comprendre les processus
industriels et être capable d’évaluer les risques et nuisances afin d’élaborer des
prescriptions techniques adaptées. L’inspecteur a également un rôle de contrôle
et de répression : il doit vérifier le respect des prescriptions et constater les
infractions. L’inspecteur doit enfin être un informateur pour le public et aussi
pour les industriels.
L’inspecteur a pour principales missions :
De rechercher les installations classées ;
De participer au enquêtes préparatoires aux autorisations en rédigeant les
prescriptions techniques imposées aux industriels ;
De dresser un procès-verbal des infractions commises ;
De surveiller les établissements, même non classés, susceptibles de
pollution atmosphérique et de pollution de l’eau ;
De visiter annuellement les installations de type SEVESO.
Pour remplir sa mission, l’inspecteur des installations classées a droit d’entrée
dans les établissements soumis à une surveillance, à tout moment, même la nuit.
Le chef d’entreprise qui mettrait obstacle à l’exercice des fonctions de
l’inspecteur en lui refusant l’entrée ou en usant de dissimulation ou de
tromperies encourait une peine correctionnelle.
Avant d’entrer en fonction, l’inspecteur prête serment devant le tribunal, c’est
donc un agent assermenté.
1) Historique
Historique de SEVESO : Historique de SEVESO : c’est dans la ville appelée
SEVESO, située en Lombardie, au nord de l'Italie le 10 juillet 1976, qu’une
explosion d'un réacteur chimique produisant des herbicides se produit et sert de
point de départ à la fameuse directive SEVESO.. C'est à ce jour, l'accident
industriel le plus connu ayant entraîné trois directives dites SEVESO1 et SEVESO2.
Et SEVESO IlI. Il a causé un rejet de dioxines dans l'atmosphère. Ce nuage a
contaminé une région étendue de (1800 ha). Seveso". Cet accident industriel a
causé une grande panique. Les habitants les plus proches sont évacués, le
cheptel abattu, de nombreux bâtiments sont rasés. Plus de 37000 personnes
subiront les causes de cet accident. Bien que n'ayant pas causé de morts directes,
cet accident a fait naitre un débat important sur les risques provoqués par les
dioxines, mais aussi sur la réglementation en matière de prévention des risques
technologiques.
Six (6) ans après, c’est-à-dire à la fin du mois d’août 1982, le réacteur de
l’Icmesa est vidé de son contenu en cachette. Ces déchets chimiques contaminés
par la dioxine de Seveso sont transférés dans 41 fûts. Normalement, ils auraient
dû être transportés à Bâle (Suisse) afin d’y être incinérés par l’entreprise Ciba.
Mais, passés la frontière italienne à Vintimille, les fûts sont tout simplement
déclarés "perdus". L’Europe est en émoi et part à la chasse aux fûts de dioxine.
Sept années après l’accident, les fûts seront découverts, ( en mai 1983), dans un
abattoir désaffecté du Nord de la France (Anguilcourt-le-Sart). Ils y avaient été
bien évidemment déposés illégalement. Pour finir, les fûts sont repris et enfin
transportés chez Ciba (Suisse) et incinérés en novembre 1985. Durant cette
période, de nombreux communiqués de presse informent et rassurent le public.
Un rapport sur le déroulement de l’incinération sera rédigé en mai 1986.
Les entreprises sont classées « Seveso » en fonction des quantités et des types de
produits dangereux qu'elles accueillent. Il existe ainsi deux seuils différents
classant les entreprises en « Seveso seuil bas » ou en « Seveso seuil haut ». Les
établissements militaires et les dangers liés aux rayonnements ionisants
(nucléaire) ne sont pas concernés par cette directive.
2) Champ d’application
La directive préconise que les Etats membres veillent à ce que les objectifs de
prévention d'accidents majeurs et la limitation des conséquences de tels
accidents soient pris en compte dans leurs politiques d'affectation ou d'utilisation
des sols et/ou dans d'autres politiques pertinentes. Ils poursuivent ces objectifs
par un contrôle :
Les citoyens ont un droit à l’information sur les risques majeurs auxquels ils
sont soumis dans certaines zones du territoire et sur les mesures de sauvegarde
qui les concernent''. L’information préventive du public est bien un facteur de
prévention à part entière.
La directive élargit ainsi considérablement la participation du public dans
différentes procédures : accessibilité du public aux informations contenues dans
le rapport de sécurité, avis du public sur l’implantation d’un nouvel
établissement, mise à la disposition du public de l’inventaire des substances
dangereuses présentes dans l’établissement. De plus, les plans d’urgences
externes (Plan Particulier d’Intervention) sont élaborés en consultation avec le
public après transmission des informations de l’exploitant aux autorités
compétentes. Concernant les plans d’urgences internes (Plan d’Opération
Interne), les représentants du personnel sont consultés lors de leur élaboration.
La directive exige que les États membres veillent à ce que les informations
concernant les mesures de sécurité à prendre et la conduite à tenir en cas
d'accident soient fournies d'office régulièrement selon la forme la mieux
appropriée, à toutes les personnes et à tous les établissements accueillant du
public (tels que les écoles et les hôpitaux) susceptibles d'être affectés par un
accident majeur se produisant dans un établissement SEVESO.
- ETUDE DE DANGERS
- ANALYSE DE RISQUES
o INFORMATION DU PUBLIC
a) Définition : POI
C’est un Plan de gestion de sinistre de grande envergure et aux conséquences
très graves prévisibles, conçu par le premier responsable de l’établissement
pour être mis en œuvre par lui, en intramuros et qui définit
- les mesures d'organisation,
- les méthodes d'intervention et
- les moyens (propres à l’établissement et les renforts extérieurs) nécessaires que
l'exploitant doit mettre en œuvre pour protéger le personnel, les populations et
l'environnement.
b) Objectif
Un Plan d'Opération Interne décrit les règles d'organisation, les moyens en place
et disponibles sur un site industriel afin de minimiser les conséquences d'un
sinistre potentiellement majeur pour les personnes, l'environnement et les biens.
Le Plan d'Opération Interne n'a pas pour vocation dans sa structure et sa logique
d'être exhaustif. Il n'a pas pour vocation de fournir des éléments de réponses
techniques et organisationnels à tous les accidents pouvant survenir sur un site.
Cette démarche, fastidieuse, conduirait à l'élaboration d'un document très lourd à
élaborer, à gérer et surtout à exploiter lors d'une gestion de crise.
d) L’établissement du P.O.I
Le P.O.I est établi par le chef de l’établissement qui en a l’entière responsabilité.
Il est soumis par la suite aux autorités compétentes (ANDE, ONPC, G.S.PM,
S.I.I.C) pour observation et approbation.
L’obligation d’établir un P.O.I et de satisfaire aux exigences de sécurité qui en
découlent est prévue dans les arrêtés d’autorisation pris au titre des installations
classées pour les établissements concernés.
h) Le Poste de Commandement
*implantation
Le poste de commandement doit être implanté dans un lieu facile d'accès, adapté
à la typographie et vents dominants. Il doit être à distance du sinistre (visible
mais anticipant les propagations éventuelles).
*moyens
Le poste de commandement est le lieu stratégique où les décisions et scénarii
seront validés. A cet effet il est important de prévoir :
- Un exemplaire du schéma d'organisation,
- des moyens de liaisons (téléphone, radio, fax, etc.)
- un annuaire téléphonique (interne et externe)
- un cahier 'journal de bord', des lampes torches
Dans sa préparation comme dans son déclanchement, le P.P.I est placé sous
l’autorité du Préfet, dans les mêmes conditions que tout le plan ORSEC, avec
l’assistance technique, à tous les stades, du chef de l’établissement, responsable
de la préparation et de la mise en œuvre du P.O.I.
L’alerte
Le schéma d’alerte inclut deux types de dispositions :
- celles qui concernent la saisie de l’événement ;
- celles qui concernent la diffusion de l’information aux différents services
et aux populations.
- liaisons-transmissions
- police
- secours et sauvetage
- soins médicaux et d’assistance
- transports et travaux
A chaque fois que le plan ORSEC est déclenché dans un département, il est mis
en place un PC opérationnel à proximité de l’événement qui reste en liaison avec
le PC fixe situé à la préfecture.