QCM Stabilité Et Variabilité Des Génomes Et Évolution 1. Au Cours Du Cycle Sexuel de Tous Les Êtres Vivants À Reproduction Sexuée - A - Le Caryotype

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QCM « Stabilité et variabilité des génomes et évolution »

1. Au cours du cycle sexuel de tous les êtres vivants à reproduction sexuée :


A- Le caryotype des cellules somatiques de l’espèce est toujours conservé.
B- La méiose donne toujours naissance à des gamètes.
C- La fécondation amplifie le brassage génétique assuré par la méiose.
D- Il n’y a jamais de division dans les cellules haploïdes.
2. Les duplications sont des mécanismes:
A- qui peuvent être le point de départ de gènes ayant des fonctions différentes.
B- à l’origine des familles multigéniques.
C- qui rendent compte de la présence de gènes ayant une grande similitude dans leur séquence du même
génome.
D- que l’on peut dater relativement, l’un par rapport à l’autre, à partir du nombre de différences entre les
gènes dupliqués.
3. Les gènes homologues :
A- ont exactement la même séquence chez toutes les espèces.
B- ont chez l’Homme un degré de similitudes plus grand avec ceux du gorille qu’avec ceux du pigeon.
C- dérivent probablement d’un gène ancestral.
D- doivent avoir une proportion de plus de 40% d’identité de séquences pour les nucléotides.
4. Une espèce haploïde :
A- a une méiose formant des gamètes.
B- possède des paires de chromosomes homologues.
C- ne peut avoir de brassage interchromosomique.
D- dans sa reproduction sexuée a une méiose qui précède la fécondation.
5. À la fin de la première division de la méiose, chaque cellule :
A- a un taux d’ADN égal à celui d’une cellule somatique (non sexuelle) en phase G1.
B- possède exactement les mêmes molécules d’ADN que celles d’une cellule somatique en phase G1.
C- réplique son ADN pour préparer la seconde division.
D- possède n chromosomes à une chromatide.
6. Au cours de la deuxième division de la méiose :
A- Les chromosomes homologues se séparent.
B- Les deux cellules résultant de cette division sont génétiquement différentes.
C- Le taux d’ADN de chaque cellule fille est égal au quart de celui d’une cellule en phase G1.
D- Le taux d’ADN de chaque cellule fille est égal au quart de celui d’une cellule en phase G2.
7. Une mutation:
A- silencieuse n’entraîne aucun changement dans la séquence d’acides aminés d’une protéine.
B- non -sens n’altère pas le fonctionnement de la protéine.
C- ne touche que les cellules germinales.
D- affecte une séquence d’acides aminés de la protéine.
8. On croise des drosophiles de phénotype sauvage à [corps rayé] et [œil brun] avec des drosophiles
mutantes à [corps noir] (mutation « black ») et [œil rouge vif] (mutation « cinnabar ») :
On obtient une génération F1 de mouches toutes de phénotype sauvage.
Une femelle de F1 croisée à un mâle exprimant dans son phénotype les deux mutations, donne des œufs
dont l’éclosion fournit :
-4% de mouches à [corps noir et œil brun] ;
-46% de mouches à [corps noir et œil rouge] ;
-46% de mouches de phénotype sauvage ;
-4% de mouches à [corps rayé et œil rouge].
A- Les résultats laissent penser que les drosophiles sauvages de la génération parentale ne sont pas de
race pure.
B- Les gènes considérés sont localisés sur des chromosomes différents.
C- Le phénotype [corps noir et œil brun] est dû à un crossing-over.
D- Les caractères sauvages « corps rayé, œil brun » sont dominants sur les caractères « corps noir, œil
rouge vif ».

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9. Soit une union entre deux individus hétérozygotes pour deux gènes situés sur deux chromosomes
différents :
A- Chacun d’eux produit des gamètes tous différents pour ces deux gènes.
B- Chacun d’eux produit quatre types de gamètes en quantités égales.
C- Cette union peut donner naissance à des individus homozygotes.
D- Cette union peut donner naissance à des individus de même génotype que les parents.
10. La sélection naturelle est un phénomène qui :
A- est un facteur susceptible de faire varier la fréquence des allèles d’un gène d’une population.
B- favorise les phénotypes des individus les mieux adaptés.
C- peut avoir, selon les périodes, un effet à la fois positif et négatif sur la fréquence des allèles d’un gène.
D- tend inexorablement à faire diminuer, voire disparaître, le polymorphisme génique au sein d’une
population.
11. Les innovations génétiques :
A- sont uniquement le résultat des mutations.
B- sont apparues au cours du temps.
C- sont conservées si elles sont favorables à l’espèce.
D- sont toujours transmises à la descendance.
12. L’enrichissement du génome :
A- est dû à des duplications et des mutations d’un gène ancestral unique.
B- provient de l’apparition de copies identiques d’un gène ancestral qui n’ont pas évolué.
C- est lié à l’accumulation de modifications des copies du gène ancestral.
D- d’une espèce peut entraîner l’apparition de nouvelles fonctions.
13. La variabilité des individus :
A- a pour origine les nouveaux allèles des gènes obtenus par mutation.
B- est liée aux recombinaisons aléatoires des gènes au cours de la méiose.
C- est indépendante de la fécondation.
D- est observable chez tous les individus.
14. La méiose :
A- assure le retour de la diploïdie chez les mammifères.
B- est un ensemble de deux divisions cellulaires consécutives précédées chacune de la réplication des
molécules d’ADN.
C- assure un brassage intra-et interchromosomique du matériel génétique des individus.
D- est à l’origine des cellules reproductrices ou gamètes.
15. Les substitutions de nucléotides sont des mutations ponctuelles qui peuvent :
A- entraîner la synthèse d’un polypeptide tronqué, raccourci.
B- entraîner un changement dans la séquence d’acides aminés du polypeptide sans modifier les
propriétés de celui-ci.
C- n’entraîner aucune modification dans la séquence du polypeptide codée par le gène.
D- entraîner un changement dans la séquence d’acides aminés du polypeptide lui faisant perdre toute
activité.
16. Un test cross ou bien croisement test :
A- permet de savoir si les gènes sont liés ou indépendants.
B- est réalisé entre deux individus hétérozygotes afin d’analyser leur descendance.
C- concerne aussi bien les espèces diploïdes que les espèces haploïdes.
D- permet d’évaluer le pourcentage des recombinaisons entre deux couples d’allèles indépendants.
17. Un crossing over :
A- permet la recombinaison des gènes indépendants.
B- a lieu lors de la division équationnelle de la méiose.
C- se fait entre deux chromatides du même chromosome.
D- concerne des chromosomes non dupliqués.

18. Un gène est dit polymorphe :


A- s’il est présent sous plusieurs formes alléliques dans une espèce.

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B- s’il existe, au sein de l’espèce, sous deux formes alléliques dont la fréquence est supérieure ou égale à
1%.
C- s’il intervient lors de la morphogenèse.
D- s’il s’exprime dans plusieurs cellules.
E- quand ces différentes formes alléliques sont responsables de plusieurs phénotypes moléculaires.
19. Les mutations :
A- sont des modifications de la séquence polypeptidique.
B- sont à l’origine de nouveaux allèles.
C- sont seules à l’origine de nouveaux gènes.
D- sont aléatoires.
E- peuvent n’entraîner aucune modification du phénotype.
20. Pour un caractère donné les allèles d’un gène chez un individu :
A- sont identiques s’il est hétérozygote.
B- sont séparés lors de la méiose.
C- se sont réunis au moment de la méiose dont il est issu.
D- occupent le même locus sur une paire de chromosomes homologues.
E- peuvent être liés.
F- ne sont jamais codominants.
G- sont toujours au nombre de deux.
H- sont très nombreux si le caractère étudié est très polymorphe.
21. On croise deux lapins de lignée pure au pelage blanc. Sur plusieurs portées, on obtient 47 lapins
tous au pelage noir (indiquez les réponses inexactes).
A- les parents de ce croisement sont forcément hétérozygotes.
B- les lapins noirs issus de croisement sont homozygotes.
C- ces résultats montrent que la couleur du pelage est gouvernée par un seul couple d’allèles.
D- ces résultats montrent que la couleur du pelage est gouvernée par au moins deux couples d’allèles.
E- ce croisement est un croisement test.
22. Si l’on croise les lapins noirs, issus de ce croisement précédent, entre eux, la descendance attendue
sera composée :
A- uniquement de lapins noirs.
B- uniquement de lapins blancs.
C- de 50% de lapins noirs et 50% de lapins blancs.
D- de 100% de lapins bicolores (noir et blanc).
E- de lapins noirs et de lapins blancs, dans des proportions que les données de l’exercice ne permettent
pas de prévoir.
23. Un individu de génotype Aa, bb, CC, Dd peut produire :
A-un seul type de gamètes.
B-deux types de gamètes.
C-quatre types de gamètes.
D-huit types de gamètes.
E- seize types de gamètes.
24. Des organismes diploïdes ayant le même phénotype :
A- ont obligatoirement le même génotype.
B- sont obligatoirement de race pure.
C- ont au moins un allèle en commun.
D- peuvent, si on les croise, avoir des descendants d’un autre phénotype.
25. À la fin de la première division de la méiose, chaque cellule :
A- a un taux d’ADN égal à celui d’une cellule somatique (cellule non sexuelle) en phase G1, phase durant
laquelle les chromosomes correspondent à un nucléofilament.
B- possède exactement les mêmes molécules d’ADN qu’une cellule somatique en phase G1.
C- réplique son ADN pour préparer la seconde division.
D- possède une chromatide de chaque chromosome homologue.

26. Des gènes homologues :


A- peuvent constituer des familles multigéniques.
B- ont évolué différemment à partir d’un gène ancestral.
C- ont évolué en accumulant des mutations au hasard.

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D- présentent des similitudes de séquences.
E- codent des protéines identiques.
F- sont toujours sur le même chromosome.

27. Un avantage sélectif peut conférer aux individus qui le possèdent :


A- à coup sûr, un pourcentage de descendants plus élevé.
B- une plus grande probabilité d’atteindre la maturité sexuelle.
C- une meilleure survie face à certains facteurs du milieu.
D- une probabilité plus faible de se reproduire.
28. La sélection naturelle :
A- va favoriser certains génotypes.
B- va diminuer le pourcentage de génotypes qui présentent un avantage sélectif.
C- n’a pas de conséquence sur l’évolution des populations.
D- contribue à la propagation d’une innovation génétique.
E- peut diminuer ou augmenter la fréquence de certains allèles en fonction des conditions de
l’environnement.
29. Les mutations des gènes de développement :
A- peuvent entraîner des changements morphologiques d’organisation de grande ampleur.
B- n’interviennent pas sur la chronologie relative du développement.
C- sont à l’origine du plan d’organisation commun à tous les Vertébrés.
D- peuvent provoquer un retard dans le développement embryonnaire d’une structure morphologique.
E- peuvent être neutres.
30. Soit une maladie déterminée par un allèle récessif situé sur le chromosome X. Une femme malade a
un enfant avec un homme non malade. On exclura les cas où les enfants sont affectés d’une
anomalie chromosomique. Le couple peut donner naissance à :
A- un garçon non malade.
B- une fille non malade.
C- un garçon atteint de la maladie envisagée.
D- une fille atteinte de la maladie envisagée.
E- ceux ayant hérité du X de la mère ne seront pas forcément malades.
F- ceux ayant hérité du Y du père sont des garçons forcément malades.
31. Si l’on effectue un croisement hypothétique entre deux individus de races pures ne différant que par
un seul caractère:
A- le phénotype de la première génération (F1) est homogène.
B- la F1 comporte 50% d’individus au génotype dominant.
C- la F1 est hétérozygote pour ce caractère.
D- la F1 comporte 25% d’individus au phénotype dominant, et 75% d’individus au phénotype récessif.
E- la F1 comporte 75% d’individus au phénotype dominant, et 25% d’individus au phénotype récessif.
32. La transmission des caractères liés est généralement entachée d’un nombre fixe d’exceptions.
Ainsi, si l’on réalise un croisement entre une drosophile mâle homozygote noire aux ailes vestigiales
(nv//nv) et une femelle hétérozygote grise aux ailes longues (GL//nv), ce croisement donne
toujours les résultats suivants : 41,5 % [GL], 41,5% [nv], 8,5% [Gv], 8,5% [nL].
A- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu les proportions 25%, 25%, 25%, 25%.
B- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu les proportions 50% [GL], 50% [nv].
C- si les gènes étaient totalement liés, les proportions seraient 25%, 25%, 25%, 25%.
D- si les gènes étaient liés et sans crossing over, on aurait obtenu les proportions 50% [GL], 50% [nv].
E- si les gènes étaient indépendants, on aurait obtenu quatre phénotypes non équiprobables.

33. Les allèles d’un gène :


A- ne diffèrent que par une seule paire de bases chez l’homozygote.
B- occupent toujours le même locus sur un chromosome donné.
C- se séparent lors de la première et de la deuxième anaphase de méiose.
D- sont réunis lors de la fécondation.

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E- ils existent en quatre exemplaires identiques deux à deux après une interphase.
34. La durée et la vitesse des étapes du développement individuel :
A- sont très variables d’un individu à l’autre, au sein d’une même espèce.
B- sont très semblables chez des espèces proches, comme l’Homme et le Chimpanzé.
C- sont modifiées au cours de l’évolution.
D- sont contrôlées génétiquement.
35. Les crossing over :
A- se produisent au moment de la fécondation.
B- se réalisent entre chromosomes non homologues.
C- sont sans effet sur la diversité des individus produits après fécondation.
D- sont un phénomène anormal mais peu fréquent.
E- sont des échanges de fragments de chromatides entre chromosomes homologues.

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