Developpement Local
Developpement Local
Developpement Local
Pour Xavier greffe, l’apparition du terme de développement local était dans la période d’avant-
guerre mais marcel pense qu’il eu lieu au cours des mouvements régional des année 60 .
en terme de recherche et théories c’était en 1950 que Friedman Taylor, qui posé les bases du
développement par le bas puis 1970 avec Samir amine et sa théorie ‘centre périphérie’ ‘tiers monde’
au début des année 70 durant de la crise économique ,les collectivités ont pris conscience du rôle
qu’ils devront jouer afin d’améliorer les conditions socio-économiques en identifiant les obstacles et
assurer un développement économique local .
En Afriques et autre pays, c’était grâce à l’interventionnisme étatique le développement local n’a eu
lieu qu’au début des année 2000 suite à une imposition par les acteurs de l’aide au développement
durant la période de PAS, l’approche nouvelle de DEL a mis l’accent sur le territoire comme levier de
développement pour créer des dynamiques économiques à l’échelle local .
La nécessite de la mise en place du territoire dans une démarche de développement local afin de
permettre au territoire de jouer pleinement son rôle comme locomotive du développement en
offrant des potentialités et en assurant un climat de qualité pour les investisseurs tout en s’appuyant
sur une démarche participative des acteurs locaux pour de créer la richesse.
Développement territorial :
Cette théorie considère le territoire comme une variable endogène , profitant des différentes
ressources constituant un territoire pour soutenir des projets territoires portées par la
population ,cette approche est basée sur une démarche de cohésion sociale ,partenariale qui vise un
développement local de l’ensemble des acteurs locaux sur un territoire donnée.
2-théories de développement par le bas ;
Ici Bernard planque propose un développement à partir de la base en incitant les initiatives locales
de créer leurs propres projets en passant par la mobilisation des différentes potentiels existants dans
un territoire, l’émergence de cette théories était dans les années 1973 avec stohr qui a proposé un
développement endogène visant à transférer des décisions du haut vers le bas, aux acteurs locaux
qui ont plus la capacité de reconnaitre leurs besoins et planifier des projets approprié à leurs égards.
Cette théorie considère que le développement de l’espace rural est le plus important vu le nombre
de la population mondiale qui dépasse les 3 milliards qui vivent dans une situation de précarité ,le
manque des infrastructures de base et les opportunités d’emploi, ce type de développement exige
trois piliers essentiels à savoir :la gouvernance rurale, la multifonctionnalité des espaces ruraux,
l’interdépendance et la multifonctionnalité et la solidarité urbaine-rurale, ces espaces ruraux doivent
avoir des stratégies multisectorielles pour développer leurs tissu économique et introduire de
nouvelles techniques et technologies permettant un développement rural durable respectueux de
l’environnement et de la socio-diversité de ces espaces.
Ce type de développement a émergé après la crise de 1929 dans le but de corriger les disparités
régionales par l’intervention de l’Etat dans la démarche de l’aménagement des espaces, en vue
d’assurer une égalité des effets de croissance économique.
La naissance est dû principalement à l’œuvre de Walter isard (1950-1960) L’objectif principal était
d’assurer une redistribution des richesses égalitaire grâce à une combination entre deux disciplines à
savoir la science économique et la géographie ,s’ajoute ainsi les théories de localisation des activités
de Christaller et von Thünen ,François Perroux ,Michael porter par la notion de pôle de
compétitivité ;l’idée principale est l’effet d’entrainement basé sur les pôles de développement qui
fait bénéficié d’autres espaces urbains .
L’auto- développement apparait durant les années 1980, ayant la vision d’un développement par le
bas ,mais en se basant sur le principe de solidarité, de l’homogénéité du milieu social et de
mobilisation des ressources et le soutien des PME, cette approche relie trois dimensions à savoir
l’économie, le social et le territoire partant de la conscience territoriale favorisant
l’entrepreneurship collectif.
Cette approche se base principalement sur le développement d’un marché intérieur autonome vis-
à-vis l’extérieur ,protection des industries de l’enfance ,le but est d’augmenter la pouvoir d’achat des
consommateurs en leurs créant des emplois afin de promouvoir le produit local s’ajoute la théorie de
samit amin ‘centre-périphérie’
Cette théorie repose sur l’importance donnée aux PME pour qu’ils puissent créer une dynamique
micro-régional en leurs offrant des potentialités et des ressources afin de créer une indépendance
économique, une création des emplois-une stabilité économique-une amélioration de qualité de vie
Donc les PME constituent le pilier du développement à travers deux options (l’innovation qui permet
d’assurer un contrôle local puis et grâce à l’effet des externalités le développement monte au niveau
national .
La théorie est basée sur la concertation des acteurs locaux et les bénéficiaires des programmes de
l’ide au développement et tous les parties prenantes à travers une démarche participative partant du
local ,le but étant de créer une autonomie des bénéficiaires des dites programmes ,fondé sur
l’éducation-la santé-la formation professionnelle-le respect des droits humains .
La croissance dans se concentre dans des zones bien ou pole impliquant une diffusion des effets sur
l’économie ,a ce niveau le pôle est un mécanisme producteur de croissance , L’auteur de référence
est François Perroux qui avance 3 postula du concept de polarisation :la croissance est
localisée ,toujours en état de déséquilibre avec une intensité variable et se diffuse à travers plusieurs
canaux -l’existence d’une unité motrice exerçant un effet d’attraction (domination) sur les autres
unités ,sa performance dans l’espace engendra des effets positifs (effet de transformation et
diffusion sur les autres centres régionaux)
La critique donnée à cette théorie est la création des espaces marginalisées autour des pôles de
développement ce qui entraine des inégalités éco-spatiales du fait la concentration.
L’école suisse romande ,en s’inspirant des différents travaux de la psychologie cognitive, considère
que l’espace est un espace de vie ou les distances peuvent être effacée mentalement par l’intensité
des sentiments, est chaque individu peut le concevoir à sa propose manière ,cette théorie de fribourg
à fait sortir trois régions :
a-) la région fluide qui parait artificielle, trop jeune, encore trop proche des régions très attractives
qui n’intéressent pas les individus
b) la région enracinée de type touristique, chargée d’histoire de laquelle s’engouent les individus qui
passent
c-) la région éclatée de type industriel qui est déjà passée par le 2 e type en ayant perdu ses
propriétés enracinantes.
Favreau et Levesque avancent en considérant le local comme un espace de vie partagé entre les
individus et que actions communautaires peuvent s’inscrire dans une sphère productif créatrice de
richesse visant le developpement économiques et sociales local.
Selon Frank Chaigneau, cette théorie se situe dans les théories de l’économie territoriale ;
A ce niveau il faut distinguer entre deux activités sur un territoire donnée par deux mécanismes :
Celui qui profitent des revenus externe du territoire et l’autre qui assurent la circulation de ces
revenus à l’intérieur de ce territoire dépendant de l’étendue du marché .
En effet il est difficile de définir la base économique du territoire , théorie en raison de la négligence
sur le rôle de l’épargne et du crédit dans l’économie puisque le développement part du secteur
basique (secteur vendant à l’extérieur de l’espace.
L’apport de laurent davezies en 1990 basé sur l’explication de la base suivant des revenus disponible
avec la capacité d’attraction de la population riches sur un territoire donnée, à ce niveau il faut
distinguer entre quatre sources de revenus extérieur : base privée ou productive
(activités exportatrices dont les services principalement), la base publique (salaires du secteur
public), la base résidentielle ou présentielle (retraite, dépenses des touristes, etc..), puis la base
La création de la valeur ajoutée peut être influé par les mutations sociales en raison des
changements au niveaux de la distribution de revenus ,puisque la création de valeur est synonyme de
de création d’emplois et donc création de revenus
Laurent Davezies essaie d’avoir une explication à cela en disant que la croissance nationale du PIB
l’évolution du concept du développement au fil du temps a connu des réflexions par de nombreux
auteurs de l’époque :
durant les années 1960 et 1970 , était une nouvelle base de percevoir la réalité des territoires, il y’a
alors tendance à penser à l’autonomie et à la légitimité des territoires. Ainsi, la compétence des
acteurs locaux pour mettre en œuvre leurs projets afin satisfaire leurs besoins en qualité et aux
services locaux.
Passant aux années 1990 quand le concept du développement territorial est né ,la nouvelle
approche est basée sur une nouvelle démarche d’aménagement du territoire pour pallier aux
inégalités régionales existantes et rétablir le déséquilibre économiques ,en donnant la priorité aux
territoires ,ses contraintes et ses spécificités. En ce sens, se comprend l’importance que peut avoir
un secteur transversal, comme le tourisme, du fait de ses effets sur les autres activités économiques
dont le commerce de détail, la construction, l’agriculture. Càd aménager le territoire en se basant sur
leurs spécifités et en gardant son identité.
l’activité d’une entreprise est susceptible d’être touchée de façon positive ou négative par celle d’un
autre sans être obligé d’être partie prenante à celle-ci .Par conséquent , un tel secteur peut exercer
une forte influence sur l’économie d’un territoire .
le rapport du territoire au développement durable doit être établi sur la base du concept d’acteur
territorialisé, la question
La filière se définit comme étant une succession de plusieurs stades de fabrication d’un
produit reliés par des flux d’échanges qui peuvent être à la fois marchands ou cessibles à
l’interne dans le cas d’intégration verticale. Il importe également d’avancer que l’ensemble
des agents constituant une filière sont plutôt hétérogènes en ce qui a trait à la nature de leurs
activités, de leurs stades de fabrication, des caractéristiques organisationnelles ou de leurs
statuts. Ainsi, il peut exister de filière textile, de filière électronique, de filière santé, filière
viande, filière agricole etc…
Démarche de construction de filières
Afin d’arriver à une organisation et une structuration des activités économiques par rapport à
des produits particuliers et à une intégration des différents acteurs engagés dans la production
de ces activités-là, l’approche filière est surtout privilégiée. Mais, cette dernière ne concerne
pas seulement la production mais aussi la transformation, la vente et la consommation du
résultat de cette production. C’est pourquoi, dans la démarche filière, les actions simultanées
et coordonnées sont mobilisées en tenant compte des différents maillons de la chaine de
production en vue d’une maitrise de l’avenir de la production.Toutefois, il convient de
mentionner qu’il existe à la fois une approche technique liée à la filière produit (de la
production à la consommation) et une approche marché correspondant à la filière demande
(jusqu’à la satisfaction d’un même besoin final par le consommateur final) dans laquelle
s’insère en retour la première puisqu’elle tient aussi compte des phases de production, de
transformation et de distribution.
Importance de l’approche filière pour le développement territorial
L’approche filière permettrait l’identification du ou des maillons faibles dans une chaine
d’activités, l’orientation des politiques sectorielles nationales et l’apport d’éclaircissement aux
acteurs sur les enjeux, les positions de force, les effets de domination et les effets
d’entrainement. En ce qui concerne les projets de développement territorial, elle aide à une
orientation des politiques sectorielles régionales par le biais d’une identification des
potentialités et des obstacles en envisageant une valorisation en aval et une maitrise de
l’approvisionnement des produits. De plus, elle aide à valoriser les ressources locales tout en
identifiant les chainons qui font défaut ou les goulets d’étranglements. Ensuite, elle permet
d’identifier les effets de synergie potentiels dans l’élaboration d’un projet de développement
territorial et les points d’action locale. Enfin, les acteurs locaux arrivent par le biais de cela à
élaborer leurs stratégies, à améliorer leurs positions et à nouer des coopérations.
Certains économistes croient que cette approche s’accommode mal à la dimension régionale
surtout dans le contexte actuel d’ouverture économique qui exige davantage de se situer dans
un cadre au moins national. En réalité, les statistiques généralement disponibles sont
construites en rapport aux secteurs et aux branches, or il faut bien des éléments statistiques et
d’enquête pour mieux aborder la question filière qui doit s’inscrire dans une durée plus ou
moins longue et exige des moyens financiers importants pour l’analyse. Comme faiblesses, il
faut admettre qu’en mettant accent sur certaines filières, cela peut empêcher à d’autres filières
d’émerger. En plus, l’approche peut conduire à une négligence de la synergie avec les autres
filières. D’autant plus, il y’a des risques de défection sur les filières longues. Enfin, la prise en
compte des impacts environnementaux peut faire défaut.
Une chaine de valeur correspond à toutes les étapes (ensemble des activités complexes
imbriquées) qui permettent à une entreprise de se construire un avantage concurrentiel et d’en
jouir. Elle se rapporte également à l’étude précise des activités de l’entreprise mettant au clair
les activités primordiales qui lui assurent un impact réel en termes de coût ou de qualité. Elle
favorise la prise de conscience de l’importance de la coordination dans une organisation
puisque chaque maillon a son rôle à jouer dans l’optimisation d’une valeur, et définie comme
étant la somme dont les clients sont disposés à payer pour obtenir un produit ou un service.
Démarche de construction de chaine de valeur
C’est un outil important en raison de son caractère intégré, générique, rapide qui peut aider les
analystes et les gens qui conçoivent les programmes et projets dans certains gouvernements
nationaux et des agences de développement à mettre au point des politiques industrielles et
des programmes de développement. Il aide aussi à l’identification des contraintes et du rôle à
jouer par les technologies de marché dans l’élaboration d’un produit de base . C’est une
analyse ou un diagnostic qui tient compte des effets de la chaine de valeur sur la réduction de
la pauvreté, de l’amélioration d’emploi, de la création de revenus, du développement
d’entreprises, de la croissance économique, de la sécurité alimentaire ou de la durabilité
environnementale.
La sélection des secteurs se fait suivant des critères financiers ou économiques bien définis à
savoir : a-) un bon retour sur investissement, b-) un avantage concurrentiel durable c-) un
potentiel de croissance, d’innovation et de création de valeur. Il existe aussi prise en compte
des critères sociaux concernant les priorités, la titularité, et la participation du pays partenaire,
puis les facteurs technologiques et environnementaux, et enfin le potentiel de développement
inclusif (croissance économique favorable aux pauvres, création d’emplois et réduction de la
pauvreté). C’est une approche qui concerne le plus souvent des programmes de
développement que conçoivent en général les dirigeants d’un pays appelé à se centrer surtout
sur un produit spécifique à promouvoir. Elle est liée en particulier à une meilleure
compréhension d’un secteur d’activités spécifiques nécessitant la participation active des
acteurs concernés dans un domaine considéré.
Avantages et faiblesses
Comme avantages, cette approche permettrait une articulation entre les priorités nationales en
s’étant centrée sur la matière première puis elle aiderait à cibler un ou plusieurs produits et à
intégrer tous les acteurs impliqués dans l’approvisionnement. Les faiblesses liées
spécifiquement à cette approche ont trait surtout à l’idée de se limiter à une seule activité, de
plus, divers secteurs ne sont pas tout à fait intégrés favorablement.
4-Les Approches territoriales
Concept
Le territoire est perçu comme étant une représentation mentale collective, basée sur
l’intégration des dimensions géographiques, économiques, sociales, culturelles, politiques etc.
Lorsqu’une stratégie de développement s’élabore en tenant compte de toutes ces dimensions,
elle aidera aux acteurs locaux de concert avec la population à participer à leur politique de
développement touchant les réalités, les atouts, les contraintes, les besoins et les opportunités
propres à leur territoire. Tout cela permettra d’identifier ou de mettre en valeur le capital
territorial qui concerne tout ce qui fait la richesse du territoire.
Démarche
Par le biais de ces approches, l’élément central de toutes les interventions, c’est l’amélioration
des conditions de vie de la population. Pour arriver à cela, ces interventions devraient se
porter sur les démarches d’organisation tenant compte des ressources techniques, humaines,
physiques à mobiliser dans l’espace local. Les acteurs appelés à élaborer et à mettre en œuvre
les projets doivent s’assurer de l’existence d’un dispositif d’intervention et de pilotage
territorial. L’intérêt de ces approches, c’est qu’elles aident à avoir une idée de la dimension
spatiale des unités territoriales suivant les différentes formes de configuration économique.
Comme autre utilité de l’approche territoriale, c’est que le territoire est vu comme un
ensemble socio-économique constitué d’hommes et de femmes, de ressources et de savoir-
faire etc. en apportant un éclairage global et nouveau sur la zone d’intervention. De plus, elle
met l’accent sur le plan d’action locale adapté à la situation du territoire.
Un pôle de croissance ou de développement peut être compris comme étant une unité motrice
couplée avec le milieu environnant. C’est aussi un espace de mutualisation de compétences,
de ressources, d’initiatives . Son développement en soi dépend de certains facteurs à savoir a-)
les conditions spécifiques et les potentialités du milieu (avantages concurrentiels), b-) les
capacités humaines et techniques c-) l’existence de potentiels économiques en matière de
demande solvable.
Démarche de l’approche par les pôles de développement économique
A travers cette approche, l’intérêt est de plus en plus centré sur la volonté politique découlée
d’une vision claire et définie, des intérêts communs partagés, d’une volonté de se mettre
ensemble et d’agir en partenariat mais aussi en tenant compte de l’identité territoriale ou
socioculturelle nécessaire à un projet viable du territoire. De cela, il convient de dire que
l’approche par les pôles aide à faire de la participation un levier visant à mobiliser et à faire
converger les actions pour le développement.
b-) Approche de Développement polycentrique
Concept
Apparue en tant que concept empirique en 1930 dans les théories des places centrales, la
polycentricité est utilisée comme objectif politique visant un développement régional
équilibré, une réduction des disparités régionales, une augmentation de la compétitivité, et
l’intégration de certaines régions. Deux aspects qui se complètent demandent une
considération importante pour définir la polycentricité : premièrement, la morphologie
importe beaucoup concernant la répartition des zones urbaines sur un territoire donné,
deuxièmement les relations entre les zones urbaines tenant compte des réseaux de flux et de
coopération.
Démarche
Le cluster renvoie à des entreprises d’un même secteur d’activité, fortement compétitives et
avec un réel ancrage géographique soutenu par des acteurs locaux et les systèmes productif
locaux se définissent comme étant un groupement d’entreprises et d’institutions
géographiquement proches qui collaborent.
Démarche
L’approche cluster en soi s’intéresse à tous les maillons d’une chaine de valeur ajoutée propre
à un secteur d’activités. Elle aide à structurer un pôle de compétitivité par la création des
conditions permettant de concentrer les différentes entreprises qui exercent les mêmes
activités ou activités complémentaires. Ensuite, le fonctionnement de ces entreprises s’exerce
sur un espace propre et aboutit à un même produit. Les clusters, à partir de cela, favorisent
surtout les activités qui aident les entreprises à se servir d’une main d’œuvre disponible en
quantité et en qualité. De plus, certains éléments de la production peuvent être sous-traités.
Enfin, ces entreprises peuvent profiter des économies d’échelle.
d- Approche grappe.
Concept
L’approche grappe aide surtout à comprendre les relations existant entre les entreprises
identifiées comme génériques dans la définition et celles qui s’assurent particulièrement de la
fourniture des intrants, des matières premières et services. Elle permet également de
comprendre le rapport qui doit exister entre ces entreprises centrales et les centres de
recherches, de formation, et les institutions de financement. L’intérêt se porte également sur
les acteurs fonctionnant dans des rapports de partenariat afin de leur permettre d’atteindre des
objectifs propre à la vision construite autour des activités ciblées au niveau d’une filière
donnée. L’importance d’une grappe se rapporte en particulier à son caractère de réseau qui
contribue au partage d’informations et connaissances en lien avec les marchés, les produits,
les technologies, les ressources humaines et autres facteurs pouvant rendre une filière
beaucoup plus performante. En raison de toute cette considération, à l’intérieur d’une grappe,
il y’a toujours une quête d’efficience collective dépassant la somme d’efficiences
individuelles des entités membres. Par le biais de cette approche, l’analyse de la compétitivité
établie pour un produit donné et sur un marché aide surtout à identifier les contraintes à la
performance recherchée.Cette approche contribue à dynamiser la compétitivité en misant sur
le soutien des parties prenantes.
La notion de partenariat prend une place de plus en plus importante dans la littérature sur le
développement, et plus particulièrement dans celle sur le développement local. Autrefois
associée au modèle social-démocratie de gestion des rapports sociaux, la notion est réapparue
avec force, dans les années 1980, aussi bien dans le discours analytique que politique. Elle
désigne une sorte de nouveau contrat social qui semble s’établir entre les divers acteurs
sociaux, notamment entre les gouvernements, les entreprises, les syndicats, les pouvoirs
locaux et les mouvements sociaux, et ce à l’échelle locale.
Démarche.
Selon boutin kuhlman le cadre conceptuel du développement local est une alternative au
modèle de prédation du fordisme ainsi que ce concept est très spécifiques.
le développement territorial est conçu comme l’expression des politiques d’aménagements
territoriales nationales, il est mis en œuvre depuis la centralité sur les territoires locaux un
caractère de l’universalité et l’efficacité
ce développement a manifesté sur la consécration socio-économique culturelle
Historiquement parlant la décentralisation local désormais applicable,exportable ainsi
transportable d’un territoire à l’autre.
Pourtant, les pratiques de développement local, fait apparaître progressivement la notion
d’un territoire qui n’est pas un support neutre, mais un acteur du développement à part
entière car le territoire au-delà d’être un espace géographique est avant tout un espace de
vie de ses habitants
Programme d’Ajustement Structurel (PAS) et développement local
Il faut savoir tout d abord Que Le plan d’ajustement structurel est un plan qui consacre le
principe de la structure financière des pays cependant son objectif est de reconstruire le
développement économiques
Selon Tiers-Monde les recommandations portant sur la promotion de la réforme de l’Etat, la
dimocratie joue un rôle très important sur la consécration de la décentralisation et plus
précisément sur les marchés publiques
Toujours dans l aspect social la notion de développement est reliée avec la participation des
citoyens au pouvoirs dans ce cas on parle du pouvoirs décentraliser baser sur la
proximisation
Ainsi dans l’aspect économique et gestionnaire qui ne s’agissait nulle part de la participation
active à la
vie politique
dans une autres approche la modernisation de l’administration local sur leurs aspect
organisationnel joue un rôle très important sur l’amélioration de la culture socio-
économiques pour favorisé la naissance de l’approche théorique fondée sur le
développement économique local
Le principe de solidarité Afin d’atténuer les inégalités, l’inégal développement des territoires,
le principe de solidarité peut minimiser les écarts entre territoires par « Donner plus à ceux
qui ont le moins