LA BANQUE - FDNL DOL
LA BANQUE - FDNL DOL
LA BANQUE - FDNL DOL
Nous sommes nous tous con sidérés comme des instituts financiers :
Le banquier échange de l’argent présent contre l’argent absent, c’est la base et tout le sens de la profession
du banquier qui lui permet d’échanger de l’argent présent contre de l’argent absent et surtout contre de
l’argent à venir, arbitrant ainsi entre temps et argent.
Pour les comptes en banque, il n’y a aucun être vivant qui a un compte en banque. Tout compte en banque
est associé à une société
A chaque fois que je signe un mandat cela donne pouvoir au bénéficiaire du mandat de faire aussi des actes
juridiques.
Ils remplissent des docu-ments et grâce au mandat d’ouverture de compte ils me déclarent en liquidation.
La carte d’id-entité c’est pour me rattacher au Duns&Bradstreet donc me rattacher à une dette en me
déclarant américaine.
Convention :
Convention 1 : Un accord ou compact particulièrement un parti les nations ; un traité multilatéral
Voir le TRAITE [Cas traités 1.CJ.S Traités § 2.J2
Tous les termes bancaires comme convention, prêt, crédit, titulaire, emprunteur, créditeur, débiteur, tous
ces termes là il faut vérifier ce que je sais sur le sens de ces mots. Chaque mot a sa définition propre. Tout
ce qui nous a été enseigné en synonyme ou quoique ce soit, il faut vérifier car on nous a trompé. Il faut
regarder le dictionnaire normal, le dictionnaire juridique et dans la Black’s Law Dictionary. Ils sont
transformé le vocabulaire. Au niveau des termes bancaires il n’y a pas de synonyme.
Un assemblage délibératif spécial élu dans le but d’encadrer, réviser ou amender sur constitution Black’s
Law Dictionary 8ième Edition
Pour toutes les déclarations de patrimoine, quand on ouvre un compte ou que l’on fait quoique ce soit, la
banque fait un nantissement du patrimoine, c’est comme déclarer son enfant à la mairie c’est donner son
patrimoine. Toutes les déclarations de patrimoine ou de revenu servent à nous mettre en esclavage le but
étant de créer de la dette. POLE EMPLOI, LA CAF, LA CPAM, les IMPOTS, tout ce qui est déclaration
c’est pour nous endetter. On signe sans savoir ce que c’est.
1
Demande DEMANDE DE DEMANDE DE Création d’entité
D’ouverture DESIGNATION DESIGNATION US PERSON
De procédure D’UN D’UN Déclaration d’auto
De sauvegarde MANDATAIRE MANDATAIRE certification
Greffe du Tribunal AD HOC HD HOC De la résidence
De commerce Pour la création Pour la Fiscale d’une
D’entité morale désignation Personne morale
D’entité Inscrite au Duns
morale
CERFA 13959 08
CERFA 11686 07
CERFA 16062 01
CERFA 50783 06
CERFA 14077 02
Une fois qu’ils ont fait la déclaration de la liquidation de la société (cadre 1), sur les KABIS il apparait un
numéro de gestion (en haut à gauche, numéro de gestion) et c’est le numéro de la liquidation. Tous les
KABIS des moyennes et petites entreprises ont un numéro de gestion de mise en liquidation. Et ce dès
l’ouverture d’un compte. Ma déclaration de patrimoine est déclaré en dette par la banque, en du. Tous les
crédits, comme un crédit de voiture, crédit de maison tout ça est déclaré en dette par la banque.
Cadre 2 et 3 c’est pour la titrisation, et le mandataire AD HOC va créer des entités morales pour ouvrir
des comptes à notre insu.
Cadre 4
Il y a un doc de 100 pages du Duns&Bradstreet sur la certification et c’est toutes les déclarations et
règlement par rapport à la loi FACTA pour les PERSON US. Quand on signe un contrat de banque, la
banque demande si je suis américaine, pour savoir si je suis inscrite au Duns et si ce n’est pas le cas ils
m’y rattachent et ils le font à mon insu. Il faut retrouver son numéro de Duns et ils l’ont faut sans mon
consentement. Ils font ça avec tout le monde. Toutes les entreprises sont rattachées au District de
Columbia avec un numéro de gestion sur le KABIS de liquidation et la banque est mandatée pour contrôler
financièrement et le patrimoine de l’entreprise en faillite, en liquidation. Et cela concerne le patrimoine
présent et futur. Même ce qu’on n’a pas encore ils se l’approprie déjà.
On ne possède rien.
Cadre 5 : Ce sont les numéros de CERFA et si on fait un copié collé dans Google on va retrouver les
CERFA qu’ils remplissent et c’est impressionnant. Ils déclarent les bénéficiaires
CERFA 11686 07 : PERSONNE RELEVANT DU REGIMES DES TRAVAILLEURS NON SALARIES
(les entités sont déclarées TNS, pourquoi nous payer ????). Ce sont des entités qu’ils ne peuvent pas payer
donc ils les déclarent en entités non salariées. TNS = TRAVAILLEURS NON SALARIES. Donc nos entités
sont déclarées en non salariées comme ça ils n’ont pas à les payer et pas de déclarations à faire pour eux.
Donc nous travaillons gratuitement pour la banque.
2
CERFA 16062 01 : DECLARATION RELATIVE AU(X) BENAFICIAIRE(S) EFFECTIF(S) D’UNE
SOCIETE (les voleurs de nos dividendes). Ca c’est eux qui touchent l’argent que nous devrions
normalement recevoir. Ils se déclarent bénéficiaires effectifs des dividendes et des bénéfices de l’entité
qu’ils ont créé de nous.
CERFA 50783 06 : NOTICE DECLARATION DE MODIFICATION. Ca c’est le récapitulatif de tous les
CERFA qu’ils remplissent
Au tribunal de commerce il n’y a aucun moyen de leur demander à quoi correspond le numéro de gestion.
Légalement nous n’avons aucun moyen de savoir à quoi correspond ce numéro de gestion, tout est bien
caché, même pour les bilans entre les comptes des entités et nos comptes à nous ils font en sorte qu’on ne
voit jamais rien. Eux font leur bilan de leur coté et nous de notre coté. Même si leur bilan à eux faut
200 000 mille euros de bénéfices et que nous, nous somment à - 20 000, et bien ils ne vont payer de contre
partie, ils vont nous endetter et ils vont profiter de nos bénéfices.
Schéma complet :
Sauvegarde/Redressement Liquidation
Judiciaire
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Suspension du droit de réalisation Réalisation immédiate
Des actifs fiduciaires des actifs fiduciaires
Nota : Quand notre compte est fermé, comme ils n’ont plus notre signature pour consentir, ils sont obligés
de fermer les comptes et ils devraient nous donner ce qui nous revient. Nous sommes les titulaires des
comptes qu’ils créent à notre insu.
SYSTEME FINANCIER
Monnaie fiduciaire :
Fiduciaris ; fiducias ; confiance, c’est la monnaie par confiance. A l’opposé de la monnaie métallique,
quantité de métal qui a un coût de production, une valeur, la monnaie fiduciaire représente la caractéristique
fondamentale suivante, la représentation de la valeur se substitue à la valeur elle-même. La valeur réelle
cède la place à une valeur fondée sur la confiance du public. C’est la monnaie dont on se sert tous les
jours. Ca veut dire que quand on a un billet de 50 euros, on croit que ça vaut 50 euros mais en fait ça
nevaut rien.
Monnaie frappée
Monnaie de papier :
C’est la monnaie qui est émise par des échangistes privés à réputation solide. Cette forme de monnaie est à
distinguer du papier monnaie. Pour se prémunir contre les inconvénients de la monnaie métallique (vol,
incendie, autres catastrophes...), nous imaginons le scénario suivant : les détenteurs du métal déposent 2
chez des orfèvres 3. En contre partie de l’or, ces ancêtres des banquiers modernes remettent à leurs clients
des certificats (certificat d’or). Ces papiers matérialisent l’or, ils circulent à sa place. La monnaie n’est pas
encore totalement dématérialisée. Elle est gagée sur l’or.
Un chèque ça n’est pas de l’argent. Ils s’échangent les chèques en eux. Un chèque ne ressort pas d’argent.
Un chèque n’est pas compté dans la masse monétaire, ce n’est pas de l’argent.
Quand on achète une maison avec un chèque de banque, c’est de l’argent fictif. Ils font croire qu’ils nous
donnent de l’argent, ils s’accaparent le bien immobilier et ils m’obligent à rembourser.
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paiement en carte bleue, virement, mandat SEPA, ma monnaie de singe. Ces sont des virements inter
bancaires et ça n’a aucune valeur non plus.
Opération fiduciaire :
Fonds reçus ou investis, à titre fiduciaire, au nom d’une banque mais pour le compte d’une tierce partie. Ca
c’est par exemple pour les prêts, les fonds reçus ou investis à titre fiduciaire, ça veut dire que quand on
signe un contrat de prêt ça crée d l’argent qui est investi par une entité qu’ils m’ont créé. C’est la
signature du prêt qui créé l’argent, c’est un billet de trésorerie à eux après. Dans un contrat de prêt il y a
deux parties différentes et il y a une partie qui créée le billet de trésorerie que je dois rembourser après.
Principe débiteur/créancier :
Un débiteur est une personne ou entité qui a obligation financière vis à vis d’une autre personne ou entité.
A l’inverse, un créancier est une personne ou entité qui détient une créance financière vis-à-vis d’une autre
personne ou entité. Par conséquent, un débiteur a un engagement financier 13 vis-à-vis d’un créancier, qui a
lui-même une créance financière (actif) vis-à-vis du débiteur. Ca c’est juste pour différencier les deux
débiteurs et créanciers. Le débiteur s’engage à rembourser la dette du créancier et l’avancer. Ensuite ça
donne un équilibre le débiteur en passif et le créancier en actif et ça équilibre les comptes.
Prêts et dépôts :
Instrument de dettes non négociables, créé lorsqu’un créancier prête directement des fonds à un débiteur.
Dans les LBS (organisme de titrisation), il n’est pas fait de distinction entre prêts et dépôts, considérés
comme équivalents d’un point de vu économique. Cette définition couvre notamment la jambe en
numéraire des accords de mise en pension, les fonds de roulement et les activités inter établissement. Un
prêt = un dépôt, il n’y a aucune différence, un prêt c’est investi en part, c’est une reconnaissance de dette
mais une fois qu’ils mettent sur les marchés boursiers cela devient un actif. Un prêt quand c’est du passif
ce sont des parts d’investissement et quand c’est du dépôt donc des actifs c’est un titre d’investissement
mais les deux ressortent dans les organismes de titrisation en actif financier. Un prêt c’est pareil qu’un
dépôt financièrement.
Quasi-société :
Une quasi société est une entreprise qui ne jouit pas de la personnalité morale mais exerce son activité
comme si elle était une entité distincte de ses propriétaires. Les succursales, les propriétés foncières et les
sociétés de personnes (à responsabilité limitée ou illimitée), les fiducies et les parties résidentes des
entreprises multi-territoires en sont des exemples. Ces quasi-sociétés sont traitées comme si elles étaient
des sociétés, en d’autres termes comme des unités institutionnelles distinctes de celles qui en sont
juridiquement propriétaires. Ainsi, les quasi-sociétés appartenant à des ménages ou à des administrations
publiques sont regroupées avec les sociétés dans le secteur des entreprises financières ou dans celui des
entreprises non financières. L’objectif est de traiter séparément de leurs propriétaires les entreprises non
constituées en société qui sont suffisamment autonomes et indépendantes pour se comporter comme des
sociétés. Tout ça à notre insu mais quand on a le savoir, ils ne peuvent pas nous l’imposer sans notre
consentement.
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Structure AD HOC (SAH) :
Entité constituée dans le but de réaliser une transaction, par exemple dans le contexte d’une titrisation
d’actifs par émission de titres adossés à des actifs ou à des créances hypothécaires. Egalement dénommée
« entité à vocation spéciale » ou « entité AD HOC) ». Ca se sont les entités qu’ils nous créé et dont ils se
servent, les AD HOC sont des organismes de titrisation émetteurs de titres donc nous, nos flux financiers
c’est notre entité qui les transforment en titre et qui les vends sur les marchés. C’est nous même qui nous
vendons sur les marchés. C’est nous même qui nous nous mettons en esclavage.
Les prêts (et les emprunts) sont des actifs financiers qui sont créés lorsqu’un créancier prête des fonds
directement à un débiteur et sont matérialisés par des documents non négociables. La différenciation entre
prêts et dépôts est fondée sur la nature de la contrepartie. La différenciation entre prêt et dépôt c’est que le
prêt ressort en part et le dépôt ressort en titre mais ils ont la même valeur. Un prêt et un emprunt ce n’est
pas la même chose, un prêt c’est un échange, un emprunt c’est quand on reçoit quelque chose, une avance
par exemple. Les deux sont des actifs financiers.
Cette règle peut être exprimée à partir des avoirs et des engagements des agents non-financiers résidents :
Leurs avoirs vis-à-vis des IFM (Institution Financière = nous) non-résidentes (= US PERSO qu’ils ont
créé de nous) doivent être considérés comme des dépôts, tandis que leurs avoirs vis-à-vis des agents non
résidents autres que des IFM doivent être considérés comme des prêts ; cette règle signifie notamment que
toutes les opérations entre FMI résidentes et des FMI non-résidentes doivent être considérées comme des
opérations de dépôts. Ca ça veut dire que les IFM non-résidentes, tout ce qu’ils envoient au IFM non-
résidentes que ce soit du passif ou de l’actif, tout est considéré comme du dépôt. Et tous les flux d’argent,
paiement par carte, chèque, virement, tout passe par l’US PERSON, que ce soit un dépôt ou un retrait ca
ressort en dépôt par nos entités.
Les banques ont d’abord créé de la monnaie sous forme fiduciaire. Aujourd’hui, cette création est devenue
très majoritairement de nature scripturale, et implique des relations croisées entre banques commerciales.
Là en ce moment il n’y a que 5% d’argent fiduciaire qui tourne et 95% d’argent scriptural, c'est-à-dire de
l’argent imaginaire.
Du point de vue macroéconomique, la monnaie devient progressivement une variable endogène du système
économique (sa création résulte de demandes de financement). Ca veut dire que l’argent est créé à partir
de nos demandes, c’est nous qui créons notre argent et un bon de trésorerie normalement je n’ai pas à le
rembourser. Le billet de trésorerie c’est moi qui créé l’argent, donc si c’est moi qui créé l’argent il
m’appartient et eux me font rembourser l’argent que moi je créé.
Ils disent que le système keynésien est une théorie.
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La double inscription simultanée d’un même montant à l’actif et au passif du bilan de la banque constitue
donc l’acte par lequel elle crée de la monnaie
Ce sont donc les crédits qui font les dépôts et non l’inverse
Le principe de titrisation : (dans les conditions générales on ne trouve pas la titrisation bancaire mais dans les
conditions particulières et dans les annexes, on signe avoir eu les conditions générales et les conditions particulières ou
annexe N° Intel mais elles sont souvent introuvables et une fois qu’on les trouve, ils expliquent ce qu’ils font de notre argent
et on ne sait plus quoi dire). La titrisation est une technique financière par laquelle des créances traditionnelles
illiquides et gardées par leurs détenteurs jusqu’à l’échéance sont transformées en titres négociables et
liquides. Cette transformation d’actifs illiquides en titres négociables peut par ailleurs s’accompagner d’une
restructuration et d’une reconfiguration donnant aux titres offerts au marché des caractéristiques différentes
de celles des actifs sous-jacents en termes de paiements, de coupons, en termes de durée et de sensibilité
aux fluctuations des taux d’intérêts. La transformation en titres négociables s’accompagne d’une adaptation
aux besoins anticipés des investisseurs. Ces derniers trouvent dans ces nouveaux titres des instruments
négociables additionnels qui viennent compléter la panoplie des titres liquides à leur disposition
(obligations, notes, et cetera).
La titrisation s’inscrit dans une tendance lourde de la finance au niveau mondial, celle de la
« marchéisation », c'est-à-dire la tendance consistant à rendre échangeable sur les marchés des produits
pour lesquels il n’existait pas traditionnellement de marchés primaire ou secondaire. Par ce biais on réalise
le plus souvent un transfert total ou partiel des risques de certaines institutions à d’autres. Ainsi, l’une des
conséquences première de la titrisation a été de fournir aux banques (et à toutes les institutions faisant du
crédit) des instruments leurs permettant de gérer de façon nouvelle leurs bilans et d’adapter leurs structures
financières à leurs objectifs (les instruments permettant de gérer c’est nous et en fait ils disent qu’ils
peuvent céder la créance mais ils sont obligés de nous avertir par lettre simple pour nous demander si ils
peuvent titriser notre contrat et après on ne doit rien. Le pire c’est comme c’est notre entité qui nous vend
sur les marchés de titrisations s’ils devaient nous prévenir c’est notre entité qui doit nous prévenir de la
vente de la créance. Et il y a même un bordereau de cession de créance pour la titrisation bancaire. Les
huissiers, les avocats, les juges sont informés de ce qu’il se passe et une créance est valable un an et huit
jours, comme un chèque, le trésor public, les huissiers), c’est la durée de vie d’un billet à ordre comme un
chèque, un titre, une créance, tout ce qui est billet à ordre est valable un an et une semaine).
Un acte de création monétaire consiste à transformer des créances sans pouvoir libératoire (titres de
crédit, actions, obligations) en moyen de paiement. C’est donc nécessairement un acte qui met en
relation un agent non financier-particulier, entreprise, collectivité publique- et une institution disposant
d’un pouvoir monétaire, c'est-à-dire émettant une créance sur elle-même qui sera acceptée comme moyen
de paiement. Une opération de crédit entre deux agents non financiers (crédit interentreprises par exemple)
n’est pas source de création monétaire, car la créance en résultant ne peut servir à effectuer des achats.
Quand ils parlent de titre de crédit c’est les mensualités qui sont réinvesties, les actions c’est les bénéfices
qu’ils font car comme ce sont des actifs ils vendent en action et les obligations ce sont les obligations de la
personne garantie de sureté, c’est la garantie de cautionnement donnée aux créances.
Ce processus de création a lieu également quand la banque autorise un compte débiteur (avance en compte,
autorisation de découvert), achète un actif réel (un immeuble, par exemple), ou un actif financier (action,
obligation, titre de créance négociable privée ou public). Acquis par la banque, ces biens immobiliers ou
ces titres financiers sont inscrits à son actif et en contrepartie le compte courant du vendeur est crédité au
passif de la banque de la contre-valeur. Le compte courant est crédité du passif et de toute façon le compte
tiers est un compte débiteur, c’est un seul compte où il y a que du débit. Les autres comptes sont créditeurs
et nous on nous met titulaire d’un compte débiteur.
La monnaie n’est finalement qu’une dette de banque qui circule, un élément du passif bancaire accepté
comme moyen de paiement. L’essentiel est que cette créance puisse ensuite être librement utilisée sur les
marchés, en clair qu’elle soit reconnue comme véritable monnaie. Donc l’argent qui circule c’et la dette
des banques
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Création monétaire par la banque centrale :
La banque centrale crée de la monnaie à l’occasion de trois types d’opérations : elle peut créer de la
monnaie au profit du trésor public soit en lui accordant des avances soit en lui achetant des titres publics =
les dettes qu’ils nous imposent (émis par le trésor). Le trésor public est habilité à émettre de la monnaie).
Elle peut également créer en fin de la monnaie en échange de devise qui lui soit cédé par les banques. Elle
crée en fin de la monnaie pour satisfaire les besoins de trésorerie de banque, soit en leur accordant des
crédits soit en leur achetant une partie de leur portefeuille de titre selon des procédures spécifiques. Ainsi
de même que les banques créent de la monnaie (monnaie de banque) en finançant les ANFR (= entité), la
banque centrale crée à son tour de la monnaie MBC (= Monnaie Banque Centrale)) en refinançant les
banques (fonction de préteur en dernier ressort). N.B. : Si la banque centrale crée de la monnaie centrale,
les opérations de création de monnaie centrale se déroulent entre agents financiers (les banques et la banque
centrale) elle ne donne donc pas lieu à une augmentation de la masse monétaire.
Différence entre la banque de France et la banque centrale, la banque centrale est celle qui finance les
banques de deuxième zone. Il y a donc la banque centrale, la banque de compensation, la banque de dépôt
et la banque de France mais la banque de France c’est juste pour contrôler. Il n’y a pas vraiment
d’argent qui circule dans la banque de France en fait. L’ACPR est un fait pour surveiller la fiducie, c’est
pour surveiller les mandataires.
FATCA II : (la première loi FATCA est de 2007/2008 et a été créée aux Etats Unis, et c’est pour soit
disant contrôler le blanchiment d’argent mais en fait c’est pour créer au niveau mondial des titulaires de
comptes en banque et des numéros de comptes en banque et à chaque fois qu’ils créent une entité US
PERSON, les américains paient leurs impôts en Amérique et du coup tout ce que nous déposons sur notre
compte qui est donné à notre entité US et bien ça part en Amérique pour être contrôlé et ça revient payé
par la banque centrale Américaine. FATAC I c’est quand il y eu en 2007 la crise en Grèce et en fait ils ont
fait la convention de BAL III et la convention de BAL de 2007, ils ont légalisé l’esclavage papier).
En 2009 éclate le scandale UBS mettant à jour 19 000 comptes non déclarés de citoyens américains. En
mars 2010 est signée la loi FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act) qui donne des pouvoirs
étendus à l’IRS pour traquer les informations des citoyens US domiciliés à l’étranger, et transforme en
quelque sort chaque entité financière non US (FFI – Foreign Financial Institution) en agent de l’IRS.
FATCA fait partie des nouvelles réglementations bancaires américaines et touche directement tous les
établissements bancaires de part le monde. A noter que les Etats Unis est le seul pays à exiger que les
impôts de leurs ressortissants leur soit payés peu importe leur pays de résidence. Les FFI devront signaler à
l’IRS (soit directement, soit par le biais du gouvernement de leur pays d’établissement) tous les comptes
concernant des « US PERSON » (résident US, citoyen US, personne mariée à un citoyen US,...). les entités
ne jouant pas le jeu (Non Partcipating FFI se verront retenir une pénalité de 30% sur tous leurs revenus US.
(modifié).
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Comptes bancaires
Le vivant créditeur bénéficiaire n’a pas de compte en banque. Tous les comptes en banque c’est avec la
carte d’identité ou le numéro de sécurité sociale ou les deux. Donc le titulaire du compte c’est le nom en
tout majuscule.
Le compte courant au client est un extrait de la comptabilité de la banque. Le vocabulaire utilisé est celui
du banquier ; les opérations portées dans le compte courant sont toujours comptabilisés à l’inverse dans la
comptabilité du client. Ca, ça veut dire que le relevé de compte que l’on reçoit, les crédits mentionnés c’est
notre débit et les débits mentionnés c’est notre crédit. Dans le compte courant du client tout est inversé et
c’est pour nous faire croire que quand on reçoit notre relevé de compte c’est pour nous faire croire qu’on
a du crédit mais en fait c’est le montant de la créance qu’ils nous imposent.
Les banques commerciales créent de monnaie (scripturale exclusivement) à chaque fois qu’elles accordent
un crédit à un client En effet, en inscrivant le montant du prêt accordé sur le compte du client elles créent
ex nihilo (à partir de rien) de la monnaie qui va circuler via les paiements des clients, elles n’ont pas besoin
de dépôts préalables pour ce faire. Les prêts (et les emprunts) sont des actifs financiers qui sont créés
lorsqu’un créancier prête des fonds directement à un débiteur et sont matérialisés par des documents non
négociables. La différenciation entre prêts et dépôts est fondée sur la nature de la contrepartie. Cette règle
peut être exprimée à partir des avoirs et des engagements des agents non-financiers résidents. Leurs avoirs
vis-à-vis des IFM non-résidents doivent être considérés comme des dépôts, tandis que leurs avoirs vis-à-vis
des agents non-résidents autres que des IFM doivent être considérés comme des prêts, cette règle signifie
notamment que toutes les opérations entre IFM résidents et de IFM non-résidents doivent être considérés
comme des opérations de dépôts.
Dans le cas des dépôts bancaires dans des fonds de placement, d’investissement ou d’assurances-vie, la
somme d’argent libellée en devises est échangée contre des titres de créances, obligations, SICAV, il existe
plus de dix sortes de SICAV différentes (Société d’Investissement à Capital Variable = titrisation qui
fabriques les créances à la demande, un paiement en carte bleu il en ressort tout de suite une créance. Un
SICAV peut créer une créance en avance par exemple un carnet de chèque c’est un carnet à billet à ordre,
les chèques sont numérotés, adossés et comme le carnet de chèques est sorti, ils font une moyenne par
chèque de débit et si un carnet de chèques a dix chèque, ils vont créer une dette du montant des dix
chèques que je vais faire par la suite, dans le futur, ainsi les chèques sont déjà financés par la dette qu’ils
m’ont créer et c’est pareil pour les tickets de carte bleu, le ticket de carte bleu c’est un exemplaire du billet
à ordre qui fait que je consens à le rendre cet argent en créance, de même quand je retire de l’argent au
guichet le ticket est un billet à ordre, le débiteur est obligé d’avoir son exemplaire de billet à ordre donc
j’ai mon exemplaire de billet à ordre et cela valide mon consentement à le rembourser. Un ticket carte bleu
n’est pad débité sur mon compte mais sur le compte d’une de mes entités US PERSON qui me le rend en
créance. On ne fait que nous imposer des dettes, le dépôt sur l’entité de l’US PERSON ressort en créance
sur mon compte à moi pour équilibrer les comptes. Souvent les IBAN quand on me donne un RIB c’est à
domiciliation. Dès lors qu’il est inscrit domiciliation sur l’IBAN c’est US PERSON, c’est une entité
étrangère, sinon c’est écrit le nom de la banque ou agence. Il y a deux termes différents sur les RIB et
IBAN et cela détermine s c’est une US PERSON ou si c’est le titulaire de la carte d’identité. Et sur les
chèques c’est encore pire), sur un chèque il y a deux comptes en banque. Chaque organisme SICAV a sa
spécialité ou autres supports à valeur flottante qui sont autant de promesses de la banque de racheter ces
titres dès que le
Déposant le demandera (mais au cours que ces titres auront à ce moment). Le compte du déposant est alors
libellé en unités de compte, avec le montant de la « valorisation de l’épargne », à l’instant où sont arrêtés
les comptes.
Dans ce cas, l’opération est comptablement une opération de vente et d’achat, il y a bien transfert de
propriété au profit de la banque, et des titres au profit du déposant. Le déposant n’est plus propriétaire que
de titres de créances remboursables par un fond d’investissement de la banque, tandis que la banque est
devenue propriétaire de la somme d’argent. Cela explique le vol de notre argent, la banque prend
possession de l’actif et nous rend en créance remboursables, il y a transfert de propriété au profit de la
banque et des titres au profit du déposant. C’est un don que je fais à mon entité et le déposant n’est plus
que le propriétaire de titre de créances. Tout dépôt à la banque, la banque se l’approprie.
9
La nature juridique du dépôt bancaire peut être un dépôt (comme dans un coffre-fort), un prêt ou une vente,
selon que la somme déposée reste libellée en devise et déposée dans un compte en banque au nom du
déposant.
1. Les comptes titres ne font pas la différence entre prêt et dépôt, ils génèrent des titres ou parts
d’actifs tout les 2.
2. Un prêt génère des parts, un dépôt génère des titres. Voilà l’arnaque, un prêt n’est pas une dette,
un prêt personnel c’est un adjectif psychologique, c’est se prêter à soi même. Si c’est à nous on
ne peut pas se le prêter. Un prêt génère des parts, c’est des créances, c’est des dettes. Mais la
créance une fois qu’elle est sur les marchés ça devient un actif qui génère de l’argent.
Les dépôts à vue ou la monnaie non confidentielle sont des fonds détenus sur des comptes à vue
dans des banques commerciales. Ces soldes de comptes sont généralement considérés comme de
l’argent et forment la plus grande partie de la masse monétaire étroitement définie d’un pays. En
termes simples, il s’agit de dépôts en banque qui peuvent être retirés sur demande, sans préavis.
Ca c’est tout l’argent des déposants.
Les dépôts à vue généralement considérés comme faisant partie de la masse monétaire étroitement
définie, car ils peuvent être utilisés, via des chèques et des traites, comme moyen de paiement
pour des biens et services et pour régler des dettes. La masse monétaire d’u pays est généralement
définie comme étant constitué de la monnaie et des dépôts à vue.
Dans la plus part des pays, les dépôts à vue représentent la majorité de la masse monétaire.
Un compte d’ordre de retrait négociable (NOW account) est un compte de dépôt qui rapporte des
intérêts sur lequel un nombre de chèques peut être émis. Ce sont des comptes où je peux faire des
chèques en illimités. Quand on reçoit un courrier de la banque par exemple une notification, on pense
que c’est un courrier banal d’information, et bien cela correspond à quelque chose. C’est de la
manipulation mentale, on se fait endormir par les banquiers. Un ordre de retrait négociable est
essentiellement identique à un chèque tiré sur un compte de dépôt à vue.
La monnaie fiduciaire est un type de monnaie qui n’est adossé à aucune marchandise telle que l’or ou
l’argent, et tire sa valeur uniquement de la confiance que les gens lui accordent.
C’est comme la Loi, la loi n’a de valeur que ce qu’on lui accorde et l’argent c’est pareil. Un billet
d’euro est un billet de Monopoly.
La monnaie n’a pas de valeur intrinsèque et n’a pas de valeur d’usage. Il n’a de valeur que parce que
les personnes qui l’utilisent comme moyen d’échange s’accordent sur sa valeur. Ils espèrent qu’il sera
accepté par les commerçants et d’autres personnes.
Il est demandé aux banques d’enregistrer les conversations téléphoniques pendant 3 ans. Cela peut
représenter des coûts importants pour les banques dont de nombreuses avaient abandonné
l’enregistrement des conversations et devront sans doute réinvestir pour mettre à jour le système ou le
réinitialisé complètement.
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Car, si on saisissait ce qu’on signe on ne signerait pas. Demander à Vin’s les documents qui le
prouvent.
Un prêt ce n’est pas un passif, c’est un actif, ce n’est pas de l’argent et un prêt c’est un prêt, quand on
me prête quelque chose je ne sorts pas d’argent.
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Au milieu l’agence, en pointes jaunes nos entités et au bout ce sont les investissements qu’ils font dans
les organismes de titrisation à notre insu. Nous sommes les petits bonhommes jaunes et tout est
banque, ENGI est une banque, SWIFT, EDF, ce sont tous des banques, MSA, CAF, CPAM, POLE
EMPLOI ce sont tous des instituts bancaires, des SCOP c'est-à-dire des sociétés qui appartiennent aux
clients grâce à l’investissement qu’ils font des créances qu’ils investissent. Tout nous appartient.
L’URSAFF est aussi une banque, SRF, BUYQUES, FREE, ce sont tous des sociétés financières qui
nous créent des dettes et qui les vendent. PUBLIQUES FINANCES SERVICES SA c’est le service de
titrisation. Quand je signe une déclaration de revenu à POLE EMPLOI et bien c’est un billet à ordre
que POLE EMPLOI investi dans ses comptes et comme ça tu finances ton chômage, comme tu finances
ton APL, le RSA
Tout est banque, et on finance tout. A chaque fois que je reçois une facture elle est déjà payée par la
créance qu’ils m’ont mi et imposé à l’avance. Quand je signe un abonnement téléphonique sur un an
20 euros par mois ce qui fait 240 euros par an, ils créent une dette de 240 euros à mon nom et ils vont
revendre sur les marchés financiers ce que je leur dois. Dans tous les cas tout ce que je paie est déjà
financé parce qu’ils ont créé à mon insu.
Le montage qu’ils font entre l’entité US et entité résidente et comment ils s’emparent de ns actifs pour nous
les rendre en créance. Dans un contrat de prêt il y a deux projets différents, il y a un plan de financement
dès le début et c’est ce qui créé le billet à ordre, mon billet de trésorerie, donc je crée ce plan de
financement qui est investi en parts dans un organisme de titrisation et la deuxième partie du contrat stipule
que ce que mon entité me prête ou m’avance ou même me finance et bien je consens à le rendre à la banque
alors que qu’elle ne m’a rien prêté. Une fois qu’on a trouvé le sens de leur vocabulaire et bien dans un
contrat de banque on saisit clairement qu’il y a deux parties et qu’il y a un plan de financement que l’on
créé avec notre signature et il y a une deuxième partie où on s’oblige à rendre à la banque ce qu’elle ne
nous pas prêté. Tout ça c’est nos yeux. Les contrats c’est pareil, client, titulaire, adhérent tous ces mots ne
sont pas les mêmes parties dans les contrats. Il y a une partie de contrat où c’est le titulaire, une autre partie
du contrat où c’est le client et ce n’est pas le même. Une fois qu’on a bien saisi tout ça on s’aperçoit de la
supercherie.
Il faut la preuve que je suis à la fois le débiteur et le créancier, il faut savoir le démontrer. Le Tribunal ne
peut rien face à ça. Ils sont entrain de tout rassembler au District de Columbia ; la CPAM, la CAF tout va
être informatisé et d’ici deux ans on aura plus personne au téléphone et il sera très difficile d’obtenir des
documents et des pièces. Ils vont faire en sorte que personne ne réponde plus aux questions. Non
seulement il faut prouver que la banque nous vole et il faut attendre que le Proc veuille bien prendre une
plainte.
FIN.
La Banque n’engage aucun de ses propres actifs dans le soi disant « prêt » qu’elle nous a accordé. Elle a
plutôt utilisé notre contrat pour payer le vendeur, afin de se créer un actif propre, mais également utilisé la
valeur nominale de notre contrat comme somme « prêtée à l’origine » et pour laquelle nous devons des
intérêts. Il n’existe aucune rémunération pour la part de la Banque, cette dernière n’a donc rien à perdre.
Elle ne peut pas subir de perte. Etant donné que la rémunération est essentielle à l’applicabilité d’un contrat
et que ce contrat a été obtenu par notre biais, grâce à une fraude, la transaction/le contrat est complètement
frauduleux.
Dans le cas Ashley en 1988, la preuve de la fraude sur l partie de la banque a été apportée puisque l’accusé
a révélé que la « banque déclarait avoir l’ «argent » à prêté, mais ce n’était pas le cas ».
Les contrats d’hypothèque sont rédigés de telle manière à ce qu’ils laissent paraitre que la banque nous
prête des fonds avant d’avoir reçu notre billet à ordre/contrat d’hypothèque. Cela permet à la Banque de les
utiliser comme reçu qu’elle peut vendre. En fat, nous avons signé et donné le contrat d’hypothèque/le billet
à ordre à la Banque avant qu’elle ne nous donne les fonds. Ainsi, la mise en place d’un prêt a permis de
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créer les fonds (notre signature y est apposée pour « rembourser » le prêt. Encore une fois, une fraude
constructive.
L’argent n’existe pas. Auparavant, ont existé par exemple le Colonial Script, l’or, l’argent, les billets de 1
dollar Lincoln et les billets de 5 dollars de Kennedy. Avez-vous remarqué que ces deux présidents ont été
assassinés pour avoir créé des billets qui ne reposaient pas sur la dette ?
Les banksters ne l’ont pas apprécié. Ils disposaient du monopole sur la monnaie et n’étaient pas prêts à
laisser qui que ce soit les évincer de leur manipulation.
Nous n’avons jamais dépensé d’ »argent », comme nous n’avons jamais été payés avec de l’ »argent ».
Cela n’existe pas. L’ »argent » que vous pensez posséder sous forme liquide est emprunté à la seconde où
vous apposez votre signature sur tout document tel qu’un chèque, une demande de retrait, un formulaire ou
un contrat. Ces supports nécessitant votre signature ont TOUS pour SEUL objectif de créer de l’argent
dette ? A chaque signature, oui, vous enfoncez un peu plus la dette.
Il est important que nous considérions le système bancaire frauduleux comme extérieur à la réalité, tel un
intermédiaire. Nous devrions travailler pour ce dont nous avons besoin, c'est-à-dire un échange direct. Qui
nous a induits en erreur en nous faisant croire que nous devions travailler pour un bout de papier, un
chèque ? Cette signature est à l’origine de la création des fonds mentionnés sur le chèque. Etant donné que
ces fonds sont des fonds de la dette, nous n’avons fait qu’augmenter la dette.
[Les banques n’ont pas le droit de prêter de l’argent fiduciaire mais crée seule-vrai de monnaie scripturale
qu’ils détruisent au moment du rembourse-vrai avec intérêts. De cette manière l’endette-vrai de la banque
est impossible, de plus ils n’ont aucun argent réel et aucun droit de prêter, ils sont obligés d’avoir dans
leurs fonds à la BCE 2% en fiduciaire de ce qu’ils créent quand ils demandent 8% aux clients de fond
propre au moment de cette création avec intérêts. Et, la preuve c’est que les bilans comptables de ces
banques commerciales doivent être à zéro (0) tous les ans et dans le cas de client défaillant ils revendent
leur dette à d’autres organismes].
La profession d’avocat concerne aujourd’hui aussi peu la « loi » que la profession de médecin ne concerne
la « santé ». Donc lorsque vous entendez des idioties telles que « exercer la loi/ pratiquer la médecine sans
diplôme », notez que ces personnes sont en fait accusées de pratiquer des actions afférentes à la « santé »
ou à la « loi » sans y être habilités, alors qu’aucun diplôme n’est requis. Un diplôme n’est acquis que par
les personnes qui choisissent de se placer sous la juridiction de l’entité émettrice dudit diplôme. Ceux
d’entre nous qui choisissent de rester libres sont assurés de ne jamais obtenir quelque autorisation que ce
soit. Une « autorisation d’exercer la loi » est obtenue par l’avocat via le client qui l’embauche, dans cette
mesure, il ne dispose pas de diplôme lui permettant d’exercer la loi.
Oui il possède une carte du barreau, mais cela n’a rien à voir avec une autorisation de s’occuper d’un cas
qui doit être obtenue auprès du client qui l’embauche. Par conséquent il est intéressant de stipuler à un
avocat les personnes que vous ne voulez pas voir impliquées dans vos affaires commerciales. J’aime leur
expliquer que je ne les autorise pas à prendre de décisions au niveau juridique en ce qui me concerne, car
jusqu’à preuve du contraire, ils n’ont aucun pouvoir juridique. Ils sont complètement perdus. Ils n’ont
même pas le quart du pouvoir qu’ils veulent faire croire.
A chaque fois ils vous mettent caution ou en gage au cas ou vous ne respectez pas votre en-gage-ment
(signature) dont vous avez-vous-même consenti.
Chacun de ces contrats a des codifications spécifiques de type XD00, XD01, codification msci, TCN et
cetera.
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Ces titres de titrisation sont ensuite envoyés sur les marchés financiers via la chambre de compensation,
chacun de ces titres que l’on pourrait appeler NEU CP ET NEU MTN sont titrisés pour une valeur d’au
moins 150 000 euro.
En réalité tout besoin financier, je donne l’ordre à la Banque d’aller les chercher la valeur du billet sur le
compte du patrimoine et je déclare lui en faire don et comme mon entité est agréée véhicule HAD-OC elle
transforme mes demandes en titre boursier, c’est elle la société de titrisation.
Avec le seul terme de « créancier ». S’il y a un créancier c’est qu’il y a une dette qu’il présume avoir contre
moi.
En réalité ils sont tous de manière totale en incapacité de contracter avec qui que ce soit et c’est irréfutable
en une seule preuve.
REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE est en faillite depuis 1938 qui inclut toutes ses filiales qui
sont toutes inscrites au Duns&Bradstreet donc que ce soit le juridique, l’administration, les huissiers ou
autre étant en faillite aussi le seul et unique à pouvoir et en capacité de contracter pour cette société c’est le
mandataire judiciaire de la faillite, aucun autre ne peut contracter pour cette société. Ils ont prêté serment
(donc représentés) donc alieni juris, donc en incapacité de se présenter donc en incapacité de conduire des
affaires.
Convention pour les ouvertures de compte pour bien saisir d’où part le dol :
Conditions générales d’ouverture de compte pour les particuliers. Pour beaucoup c’est incompréhensible et
tant que l’on n’a pas conscience que client, titulaire, et tous les autres termes ont une signification
différente les uns des autres.
Client et titulaire ce n’est pas la même chose.
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Donc ça, ça veut dire qu’avec ce qu’ils vont déclarer par la suite le compte courant sera un compte débiteur.
Donc l’argent que l’on met nous en billet sur notre compte et bien en réalité il ne va pas sur notre compte,
c’est un compte de dépôt devise le compte sur le quel est mis notre argent, que ce soit un virement ou un
dépôt de chèque ou un dépôt en espèce il va sur le compte courant devise et moi j’ai un compte courant en
euros.
Donc le compte courant devise et le compte courant euros, les deux ont le même numéro de compte sauf
que le compte devise est le compte avec lequel ils font l’échange. Sachant l’US PERSON comme le compte
devise est en dollar ils le transforment euros et c’est quand ils font l’échange qu’ils arrivent à transformer
l’actif en passif. C’est du blanchiment d’argent et tout ce qui est facturation fictive c’est du blanchiment
d’argent et c’est l’activité principale des banques et le pire c’est que les agences bancaires et leur numéro
de SIREN quand on va sur INFIGREFF et qu’on tape le numéro de SIREN on trouve des listes entières
d’établissement secondaire à la même adresse et dans cette liste il n’y a même pas l’agence en question.
Les banques ne sont pas déclarées, les seules qui sont déclarées sont les filiales et les sociétés écran, nous et
on paie soit disant un service public.
Donc « le client déclare à ce jour qu’il n’a consenti à ... » et il s’engage à ne pas nantir au profit d’un tiers
sans l’accord préalable de la banque. Donc ils parlent déjà de « nantissement », parce qu’eux en fait font
un nantissement (= prise possession de notre patrimoine en caution) de mes biens et si c’est déjà fait ils ne
peuvent pas le faire.
Quand on fait une ouverture de compte avec une déclaration de patrimoine et bien ils font un nantissement
dessus. Ils en prennent possession en gage du remboursement de la dette qu’ils vont créer.
Il est bien écrit noir sur blanc qu’ils font acquisition du patrimoine existant et futur.
Et quand on fait un prêt, nous sommes titulaires du prêt de la maison mais la maison rentre dans les actifs
de la banque doc c’est bien à la banque. Nous sommes titulaires de tout et quand on a un prêt pour une
maison et bien la maison ne nous appartient pas et c’est comme ça pour tout.
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« Sauf mention contraire la banque ne pourra fonctionner que sur base créditrice » Ne pas oublier
que les comptes sont inversés pour les clients donc créditrice veut dire débitrice, donc débitrice veut dire
créditrice. En fait les débits sont les crédits et les crédits sont les débits, donc si ça ne peut fonctionner que
sur base de crédit, ça veut dire que ce ne sera que du débit, tout ce qui va passer sur le compte courant euro
ce sera du débit.
Quand on demande une copie du contrat ils ne le donnent pas parce qu’il est écrit que l’exemplaire est sous
notre responsabilité et il est indiqué le client ou ses mandataires mais ne réalité c’est le client et ses
mandataires et ce n’est pas « ou ».
Il est à noter que nous n’avons jamais les « conditions particulières » de la banque. On signe les avoir eu
mais on ne les as jamais et ces « conditions particulières » veulent tout dire. En fait quand j’accepte les
conditions générales c’est aussi les conditions particulières ou les avenants c’est qu’on nous donne que les
conditions générales et on n’a jamais les avenants ou les conditions particulières et nous on signe les avoir
eu et c’est comme ça qu’in se fait avoir.
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Donc là, ça veut bien dire que pour les dépôts d’espèce, ils doivent être effectués au guichet contre
délivrance de la banque d’un reçu. Et ce reçu est un billet à ordre et moi je le prends, donc je consens. Donc
nos dépôts d’espèces sont échangés contre un reçu mais c’est un billet à ordre et je consens à la dette qu’ils
créent pour moi. Il y a plusieurs exemplaires et mon reçu c’est mon exemplaire à moi. qui fait que je
consens cette dette.
Le compte devise sur lequel fais le dépôt appartient à une de mes entités qui est habilités à revendre les
titres sur les marchés.
Un titre c’est de l’actif, le billet à ordre est une créance, ce sont des parts et des parts c’est négatifs, c’est de
la reconnaissance de dette et des tires c’est de l’actif. Il y a une différence entre actif et parts. Donc un reçu
est mon exemplaire de billet à ordre mais en fait c’est investi en part comme c’est du négatif c’est investi
en part et ces parts là, quand elles sont revendues ça crée de l’argent donc c’est de l’actif et ils se gardent
l’argent pour eux. En fait ce sont nos comptes cachés où ils stockent tous nos bénéfices.
Quand je fais un prêt l’argent je l’ai déjà sur mon compte. Le système financier est conçu pour créer
l’argent pour la demande future de l’année suivante. Donc toutes les factures que je vais recevoir l’année
prochaine ont déjà été réglées et c’est comme ça pour l’URSAFF, pour les impôts c’est comme ça pour
tout.
Ils se font financer avec nos créances pour l’année prochaine. Donc quand on reçoit une créance, cette
créance là n’a rien à voir avec la créance initiale car la créance initiale a déjà été vendue et financée.
De toute façon, ils sont incapables de dire où sont les créances, même 5 mn après la signature et ça ne passe
même pas par les banques, ça passe par nous qui les vendons, c’est pour ça que quand on leur envoie un
courrier avec des questions ils ne répondent pas car ils sont incapables de dires ou sont les créances.
Les banques dès qu’elles vendent le titre ils sont obligés de faire un bordereau de cession de créances. Et
l’huissier rachète les créances et donc le titre a déjà été vendu.
A écrire à l’huissier et lui expliquer qu’avec son habilitation territoriale, lui explique que depuis juin 2006,
le métier est abrogé, la banque qu’il l’a mandaté n’est pas enregistrée au RCS.
En cas d’acharnement de l’huissier déposer une plainte. Pour eux nous ne sommes que des sociétés écran et
c’est illégal.
Donc quand on lit bien, la banque pourra porter au débit du compte, tous les effets et valeurs, tout se fait
avec la signature du client mais avec le mandat que je leur donne ils peuvent signer à ma place, et tout ce
que la banque présente sous forme de billet ce sera encaissé. « Toute inscription faite au débit ou au crédit
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du compte qui revête un caractère automatique n’est pas définitive et peut être considéré comme valant
acceptation à la banque des opérations demandées »
Donc il est bien écrit qu’il a un mandat sur formulaire séparé fournit pas la banque et ils sont où les
mandats ?
De toute façon dans le contrat d’ouverture de comptes il y a un mandat. Dès la signature d’un mandat
SEPA ça donne l’autorisation à la banque de tout faire.
Dès que je donne mandan, le mandataire peut faire des actes juridiques et il peut signer à ma place, il a tout
pouvoir. Article 1984 du Code civil, un mandat m’enlève tout pourvoir. Donc ce que je dois faire en
premier c’est de révoquer tous les mandats.
Convention contraire :
« La procuration est donnée pour une durée indéterminée, dans tous les cas la procuration est valable
jusqu’à révocation express notifiée par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou remise à
la banque contre récépissé et pour les comptes titres dans les conditions prévues par la convention
spécifique à ce type de compte ».
Donc on voit bien qu’ils parlent de compte titre. Quand je révoque les mandats il faut demander la
restitution de tous les comptes avec et les moyens de paiements et faire opposition à l’accès à la banque.
E là ils ne peuvent plus rien faire. En révoquant les mandats, la banque n’a plus accès à rien et ensuite les
comptes sont fermés mais je récupère mon argent.
« Dans tous les cas le mandataire sera tenu de restituer sans délais à la banque tous les moyens de
paiements en sa possession, il est expressément convenu qu’aucun transfert ou clôture de compte ne pourra
être effectué par le mandataire ».
La banque a mandaté un banquier, mais le mandataire ne peut pas fermer le compte mais il faut s’attendre à
ce que la banque ferme le compte.
Les comptes sont à nous avec des subtilités de modifications mais nous sommes bien nous les titulaires.
Quand je signe un papier de banque je ne suis pas titulaire, je signe parce que je suis l’administrateur du
titulaire et ce n’est pas moi le titulaire du compte. Il ya une différence et quand je révoque les mandats je
dois les révoquer en tant qu’administrateur du titulaire. Il ne faut pas le demander en tant que titulaire du
compte. Ce sont des jeux de mots qui ne peuvent nous mener à rien dans nos actions.
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Quand je signe une ouverture de compte ma signature c’est la garantie de sureté du paiement du titulaire.
Nous notre signature du vivant sert pour les garanties de sureté et pour la création de l’argent, on ne sert
qu’à ça.
Pour la banque si je consens à être titulaire du compte et bien c’est comme quand je consens à ma
personnalité juridique. Et c’est un dol gigantesque.
Donc le mandataire peut m’endetter comme il peut m’enrichir et ce qui n’arrivera pas mas ils ont tout
pouvoir sur l’endettement.
Nous donnons tout pouvoir à la banque avec la signature de mon ouverture de compte. Les bordereaux sont
des billets à ordre, remettre tout chèque, c’est donc qu’ils ont des chéquiers. Ils peuvent créer des dettes en
mon nom et faire tout ce qu’ils veulent faire.
Les banques sont en lien direct avec le Trésor public. Il y a des sous comptes pour la SECU pour la retraite,
pour tout. Il y a de sous comptes pour tout sauf que c’est la banque qui paie ses charges avec.
Donc ici il est bien indiqué que je peux émettre des titres et les revendre, des ordres de bourse. Mes
comptes titres sont affectés au fond commun de placement SICAV.
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Tout est sous nos yeux mais c’est du chinois pour nous. Et dans un contrat il est indiqué que je consens à la
« non rémunération ». Le dol part du fait qu’ils savent qu’on signe le contrat sans rien saisir, on ne lit pas
ce qu’on signe et ils en profitent donc il faut reprendre la main sur ce qu’on a perdu. Et il ne faut plus
signer quoique ce soit.
Rien ne peut s’opposer à notre révocation des mandats, c’est nous les administrateurs, nous ne sommes pas
les titulaires mais les administrateurs du titulaire.
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