TP6 Mesure de Débit
TP6 Mesure de Débit
TP6 Mesure de Débit
2 Travail préliminaire 3
2.1 Méthodes de mesure de débit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2.2 Théorème de la quantité de mouvement . . . . . . . . . . . 5
2.3 Expression de la différence de pression . . . . . . . . . . . . 6
5 Conclusion 20
2
1 Introduction
2 Travail préliminaire
3
fréquence des tourbillons
Vitesse du fluide = facteur K
Débitmètre à ultrasons
4
FIGURE 2.3 – Schéma explicatif d’un débitmètre à ultrasons
L
t=
C + Vcos
Il est primordial que le fluide ne véhicule pas de gaz ou de solides, pour éviter
la dispersion des ondes acoustiques entre les deux transducteurs. L'ensemble
du dispositif, à l'extérieur de la conduite, est insensible à l'agressivité du
fluide et n'entraîne aucune perte de charge.
⃗
Dv
- ⃗∇ p + ρ g⃗ = ρ
Dt
5
Cette équation s’applique dans le cas de fluides parfaits et sans
conductivité. Le fluide peut être incompressible ou compressible. Celle-ci
permet de caractériser le mouvement du fluide, en calculant sa vitesse et sa
pression.
P
= −g
z
PA = ghA − gzA + P0
PB = ghB − gzB + P0
6
3 Description de l’appareillage et mesures
7
Voici le tableau récapitulatif des mesures:
PA VA2 PB VB2
+ = +
g 2g g 2g
8
Par ailleurs, on a continuité du débit: QmA = QmB
2g P PB
VB = √ S ( gA − g
)
1− (SB )2
A
2g A P PB
Ou encore: Qv = SB √ 1− (SB )2 ( g − g
)
SA
2g
D’où: Qv = SB √ 1− (SB )2 (hA − hB )
SA
Or la section S s’écrit: S= r2
2
𝑑𝐵 2g
Qv =
4 √ 1− (dB )4 (hA − hB )
dA
9
d2B √2g
Ainsi: Qv =
√2 √8 √1− (dB )4
√(hA − hB )
dA
d2B √g
Finalement: Qv = C √(hA − hB ) avec C =
4
√8 x ( 1− (dB ) )
d A
10
Sachant que Qv = f(√hA − hB ) et que la courbe obtenue est une droite
linéaire passant par l’origine, le coefficient directeur sera Cexp. On peut
afficher l’équation sur la courbe obtenue et ainsi en déduire Cexp mais pour
plus de précision on utilisera la fonction « INDEX(DROITEREG(« Valeurs de
Y »; »Valeurs de X »;1);1) ».
On obtient :
Cexp = 2,9 . 10-5 m5/2 s-1
Toute expérience possède des erreurs absolues: ici, on a des erreurs liées
au volume mesuré dans le réservoir, à la prise du temps à l’aide du
chronomètre, et, à la lecture des hauteurs hA et hB.
Pour la mesure des hauteurs: Cette erreur est liée à la vue de chacun. Dans
notre cas, on a dit à trois personnes différentes de relever la même hauteur h
et on estime une erreur relative: Δh = 2mm
ΔQ𝑣 Δt ΔV
Pour le débit: On a:
Q𝑣
= t
+ V
Q𝑣
Pour la constante C: On a: C=
√hA −hB
11
1
D’où: ln(C) = ln(Qv) + ln(hA − hB )
2
П d2B √g
Cth =
4
d
√8 . (1− ( B ) )
dA
12
4.2 Le diaphragme
V2F V2G
PF + ρ g zF + ρ = PG + ρ g zG + ρ
2 2
V2F V2G
D’où: ρ g hF + ρ = ρ g hG + ρ
2 2
1
hG - hF = ( VF2 - VG2 )
2g
13
D’autre part, VF2 > VG2 car avec le diaphragme, le fluide subit un
rétrécissement, donc la vitesse en F augmente, puis, se stabilise et diminue
plus loin en G. Donc: hG - hF > 0.
Donc: hG > hF
1
hE - hF = ( VF2 - V𝐸2 )
2g
On remplace maintenant les vitesses par des débits divisés par les sections
correspondantes. On obtient alors:
1 Q𝑣 2 Q 2
hE - hF =
2g
((
SF
) - (S 𝑣) )
E
2g
D’où: Qv = √hE − hF
√( 1 − 1
S2 2 )
F SE
dF 2
avec: SF = П ( )
2
dG 2
SG = П ( )
2
V2G V2E
PG + ρ g zG + ρ + ΔX = PE + ρ g zE + ρ
2 2
14
Or, d’après la loi de l’hydrostatique, on obtient: PG = ρ g hG - ρ g zG + P0
PE = ρ g hE - ρ g zE + P0
V2G V2E
D’où: ρ g hG + ρ + ΔX = ρ g hE + ρ
2 2
15
Sachant que Qv est sous la forme suivante:
d2B √g
Qv = Cc √hE − hF
4
√8 x ( 1− (dB ) )
d A
d2B √g
Donc: Cc = 8 . 10-5
4
√8 x ( 1− (dB ) )
d A
4
√8 x ( 1− (dB ) )
d A
D’où: Cc = 8 . 10-5
d2B √g
4.3 Le rotamètre
16
Les forces agissant sur le flotteur à l’équilibre sont la force de pesanteur du
flotteur P=mg, la poussée d’Archimède =Vg ainsi que la poussée du
𝑆𝐶 𝑈 2
liquide Fliq= 𝑥 . (Cx étant le coefficient de trainée du flotteur, U la vitesse
2
du fluide, V le volume du flotteur et S la surface du flotteur)
A l’équilibre on a: P = + Fliq
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Or, d’après la loi de l’hydrostatique, on obtient: PI = ρ g hI - ρ g zI + P0
PH = ρ g hH - ρ g zH + P0
V2I V2H
D’où: ρ g hI + ρ + ΔX = ρ g hH + ρ
2 2
Or, les vitesses en H et en I sont les mêmes car il s’agit de la même section.
18
On constate qu’à priori la perte de charge est proportionnelle au débit. Or
notre coefficient de corrélation est bien proche de 1, donc on peut bien dire
que le modèle linéaire correspond bien à cette courbe. Par conséquent, la perte
de charge est bien proportionnelle au débit.
On a donc: Qv=K L
19
5 Conclusion
20