Projet 1 Séq 3 2AM (Capem)

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Séquence 0332

C’est ainsi que…


Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation de départ :
Ton camarade doit rédiger un conte. Il choisit celui que tu
connais mais, n’arrive qu’à en produire le début et le déroulement
des événements. Aide-le à la rédiger la fin.
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Compréhension de l’oral

Objectifs d’apprentissage :

Le poisson d’or (conte russe)


Vidéo à exploiter :
https://www.youtube.com/watch?v=gWZ9o9zqHpY

Pré-écoute :
1. Qu’est-ce qu’un conte ?
2. Quelles informations peut-on trouver dans la situation initiale d’un conte ?
3. Nomme quelques exemples des personnages qu’on peut trouver dans un conte ?

Consignes d’écoute
Lis attentivement les questions avant d’écouter le texte.
1èreécoute
1. Quel est le titre de ce conte ?
2. Indique l’origine de ce conte.
3. Par quelle expression commence le conte ?
Comment appelle-t-on cette première partie ?
4. Qui sont les personnages en présence ?

2ème écoute
1. Que fait le pêcheur chaque jour ?
2. Un fait mystérieux s’est produit, lequel ?
3. Quand l’homme retourna sur le rivage, que chantonna-t-il pour ne pas déplaire
au poisson ?
4. Que dit le pêcheur en voyant le poisson doré sortir des profondeurs ?
5. Cite les vœux exaucés par le poisson d’or.
6. De retour chez lui, comment trouva-t-il sa femme ?
7. Par quelle expression termine la vidéo ? Comment appelle-t-on cette dernière
partie ?
Après l’écoute
Activité 1
Réponds par « vrai » ou « faux ».
-Le pêcheur et sa femme étaient riches.
-Le poisson d’or réalisa tous les vœux de la femme.
-le pêcheur refusa de donner la liberté au poisson.
-Qui veut tout n’a rien.
Activité 2
Complète le tableau suivant à partir du texte écouté.
Quand ? Qui ? Où ?

Infos sur le conte


La situation finale : Elle conclut l'action. Elle établit un nouvel ordre, bon ou
mauvais, selon que le conte se termine bien ou mal. Parfois, elle suggère au
lecteur de prolonger lui-même ce récit dans son imagination : certains textes n'ont
jamais de fin

Je corrige
Pré-écoute :
1. Un conte est une petite histoire imaginaire.
2. On peut trouver : le lieu, le temps, les personnages, le héros…
3. Les personnages du conte sont : le prince, la princesse, le roi, la reine, le cavalier,
le magicien, la magicienne, le sorcier, la sorcière, ………..etc.

1èreécoute
1. Le titre de ce conte est le poisson d’or.
2. Il est un conte russe.
3. Il commence par l’expression « Il était une fois ». On l’appelle la situation initiale.
4. Les personnages en présence sont le poisson d’or, le pécheur et sa femme.

2ème écoute
1. Tous les jours, le pêcheur allait pêcher et attendait patiemment qu’un poisson
morde son hameçon.
2. Il attrapa un petit poisson doré qui lui parla. Effrayé, il le relâcha. Ce dernier
disparut dans l’eau.
3. Poisson, joli petit poisson doré. Viens… Viens je dois te parler !
4. « Mais ma femme me dit que nous avons besoin d’un nouveau baquet ».
5. Les vœux sont : un nouveau baquet, une nouvelle maison bien confortable, un
château, tzarine (impératrice de Russie) et le dernier c’était la possession de tous les
pouvoirs du poisson sur la terre et le ciel.
6. Sa femme se fut transformée en poisson.
7. La vie est ainsi faite, qui veut trop n’a rien ! On l’appelle la situation finale.

Après l’écoute
Activité 1
Réponds par « vrai » ou « faux ».
-Le pêcheur et sa femme étaient riches. « Faux »
-Le poisson d’or réalisa tous les vœux de la femme. « Vrai »
-le pêcheur refusa de donner la liberté au poisson. « Faux »
-Qui veut tous n’a rien. « Vrai »

Activité 2
Complète le tableau suivant à partir du texte écouté.
Quand ? Qui ? Où ?
Il était une fois… Le pêcheur, sa femme Au bord de la mer
et le poisson d’or.
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Production de l’oral

Objectif d’apprentissage :

Consigne
A partir des illustrations suivantes, construis à l’oral la fin du conte.

A B C

D E F

a. Associe chaque vignette à l’expression qui lui correspond.


1 - Il fut surpris, car là où s’adressait le château, il n’y avait que sa pauvre cabane.
Il chercha sa femme, il la trouva un tout petit poisson doré tournant dans un bocal posé
sur la table. La femme, elle était finalement ce qu’elle voulait.
2 - Le soir, le pêcheur raconta l’histoire. Elle lui demanda de retourner et le prier
d’exaucer ses vœux.
3 - Un jour, pendant qu’il pêchait, son bouchon tout à coup fonça au fond de l’eau.
Il attrapa un tout petit poisson d’or qui se mit à parler : « Redonnez-moi ma liberté et
j’exaucerai tous vos vœux ! »
4 - Au bout des semaines, le poisson d’or réalisait tous les vœux de la méchante
femme.
5 - Le dernier souhait de la femme acariâtre était la possession des pouvoirs du
poisson.
6 Tous les jours, le pêcheur allait pêcher et attendait patiemment qu’un poisson
morde à son hameçon.

b. Réponds aux questions suivantes en construisant des phrases, à l’oral, avant


de produire la situation finale.
1. Où vivaient le pêcheur et sa femme et comment ?
2. En revenant à la maison, le soir, il raconta son aventure à sa femme. Comment
réagit-elle ?
3. Combien de vœux le poisson doré exauça pour la femme ? Cite-les.

Je corrige
J’associe chaque vignette à l’expression qui lui correspond.
A/6–B/3–C/2–D/4–E/5–F/1

Je réponds aux questions :


1. Ils vivaient heureux mais pauvrement dans une veille cabane au bord de la mer.
2. Elle s’écria furieusement : « Mais quel imbécile tu fais ! Retourne au bord de l’eau
et demanda un baquet neuf… ».
3. Il lui fut exaucé cinq vœux.
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Compréhension de l’écrit

Objectifs d’apprentissage :

L’homme qui épousa une ogresse.


Jadis, un homme épousa une très belle femme qu’il rencontra dans la forêt et
qui lui donna une très belle fille. Il ne pouvait se douter que c’était une ogresse.
Le jour, elle pétrissait le pain, roulait le couscous et vaquait aux occupations
ménagères telle les autres femmes. Mais la nuit, elle se faufilait dans l’enclos où
les bergers enfermaient leurs troupeaux et dévorait une brebis.
Un jour, il revint plus tôt des champs et, horreur, il découvrit sa femme, la tête
plongée dans les entrailles d’une pouliche. Avant qu’elle ne l’aperçoive, il déposa
sa fille sur ses épaules et s’enfuit à toutes jambes.
Soudain, alors qu’il reprenait son souffle, sa fillette l’attrapa par les oreilles et
lui dit :
- Hum ! Oh papa ! J’ai faim et je grignoterais bien tes belles oreilles !
- Quoi ? Ma propre enfant serait une ogresse ?
Sans hésiter, il la précipita dans la rivière profonde et continua sa course. Mais
l’ogresse était déjà à ses trousses. Il faillit être rattrapé ne fut-ce l’opportune
présence d’un grand peuplier. Il grimpa jusqu’au sommet. L’ogresse se posta au
pied de l’arbre et se mit à le menacer :
- Jamais tu ne m’échapperas car soufflera le vent, tu tomberas et je te dévorerai !
Depuis, chaque jour, sauf quand elle chassait pour se nourrir, elle s’acharnait
sur le tronc de l’arbre qu’elle rongeait de ses dents pointues pour le couper.
Terrifié, l’homme implorait :
- Ô arbre de mon père et de ma mère, grossit, grossit ! Et juste au moment de se
rompre, le tronc reprenait sa forme initiale.
Un jour, il vit un vol d’oiseaux et cria dans sa direction :
- Ô vous, qui volez si haut, allez dire à ma mère et à mon père que je suis en
grand danger ! Les oiseaux migrateurs portèrent le message. Des cavaliers de sa
tribu, armés, volèrent à son secours. Ils découvrirent le peuplier. Heureusement,
l’ogresse était à la chasse. L’homme quitta vite son arbre après avoir accroché
son burnous à une branche pour laisser croire qu’il était toujours là. Il enfourcha
un cheval et fila avec ses sauveurs.
Un matin, une tornade se leva et le burnous voleta dans l’air avant de tomber
sur un rocher à proximité de l’arbre.
- Ah ! Je t’avais dit que tu tomberais ! hurla l’ogresse en furie. Elle se jeta sur le
burnous et le mordit avec une telle violence que toutes ses dents se brisèrent sur
le rocher. On dit qu’elle en est morte ! Quant à l’homme, il vécut en paix avec les
siens !
Conte
algérien
Je vérifie ma compréhension du texte
1. Quel est le titre de ce texte ?
2. Relève un indice qui montre que ce texte est un conte ?
3. Quelle expression dans le texte renvoie à la formule d’ouverture ?
4. Où l’homme rencontra-t-il la femme ogresse ?
5. Que faisait l’ogresse pendant la journée ?
6. La nuit, elle faufilait dans les enclos et dévorait les brebis. Quelle phrase le
montre ?
7. Sa propre fille était-elle une ogresse ? Justifie ta réponse.
8. Relève du texte l’expression qui montre que l’homme découvrit sa femme.
9. Que dut faire le père pour s’échapper de sa fille qui l’attrapa par les oreilles ?
10. Par quel mot est introduit ce changement de situation ?
11. L’homme était retenu au sommet d’un peuplier, pourquoi ?

Je vais plus loin dans la compréhension


1. Qui transmit le message de l’homme à ses parents ?
2. Qui vint au secours de l’homme ?
3. Qu’était-il arrivé à l’ogresse quand elle se jeta sur le burnous et le mordit ?
4. Quel est le temps dominant dans le conte ?
5. A ton avis quelle est la leçon à retenir de ce conte ?
6. A qui renvoient les pronoms soulignés dans cette phrase ?
« - Ô vous, qui volez si haut, allez dire à ma mère et à mon père que je suis en
grand danger ! »
7. Réécris la situation finale de ta manière et avec tes propres mots.

Je retiens
La situation finale marque le retour des personnages à la stabilité (que ce soit dans le
bonheur ou dans le malheur).

J’en parle avec mes camarades en répondant aux questions.


1. En lisant le texte, tu as constaté que l’homme a couru des risques. Pourquoi ?
Dites en quelques mots ce dont on a besoin dans telles situations.

Je corrige
1. Le titre est : « L’homme qui épousa une ogresse. »
2. L’indice qui le montre est « la source »
3. L’expression qui renvoie à la formule d’ouverture est « Jadis »
4. Il la rencontra à la forêt.
5. Le jour, elle pétrissait le pain, roulait le couscous et vaquait aux occupations
ménagères comme les autres femmes.
6. « Mais la nuit, elle se faufilait dans l’enclos où les bergers enfermaient leurs
troupeaux et dévorait une brebis. »
7. Sa fillette l’attrapa par les oreilles et lui dit :
- Hum ! Oh papa ! J’ai faim et je grignoterais bien tes belles oreilles !
8. L’expression : « Un jour, il revint plus tôt des champs et, horreur, il découvrit sa
femme, la tête plongée dans les entrailles d’une pouliche. »
9. Sans hésiter, il la jeta dans la rivière profonde et continua sa course.
10. Le changement de situation est introduit par le mot : « Un jour ».
11. L’homme se fixa au sommet d’un peuplier car l’ogresse se posta au pied de
l’arbre et se mit à le menacer.

Je vais plus loin dans la compréhension


1. Les oiseaux migrateurs qui transmirent son message.
2. Des cavaliers de sa tribu qui vinrent à son secours.
3. On dit qu’elle en était morte.
4. le temps dominant est le passé simple.
5. La leçon à retenir qu’il ne faut pas obéir à ses caprices et de ne pas prendre des
décisions à la aveuglette.
« - Ô vous, qui volez si haut, allez dire à ma mère et à mon père que je suis en
grand danger ! »
6. Vous remplace les oiseaux.
Je remplace l’homme.
7. Depuis ce jour, l’homme vivait en paix avec sa tribu après la disparition
de l’ogresse.
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :
Vocabulaire
Les formules de clôture de contes
Objectifs d’apprentissage :

J’observe.
Les animaux domestiques
Autrefois, un fermier possédait un Chien, un cheval et un troupeau de moutons
et de bœufs. Mais, cet homme les maltraitait et leur donnait peu de nourriture.
Alors, les animaux se plaignaient et discutaient entre eux à la ferme.
- Tous les jours, je garde les troupeaux, dit le Chien, je surveille bien pour que les
animaux sauvages ne s’approchent pas d’eux.
- Moi, je donne beaucoup de lait, réplique la vache.
- Dès l’aube, je traîne la charrue pour labourer les champs jusqu’au coucher du
soleil, ajoute le bœuf.
- Je suis un compagnon fidèle et un moyen de transport pour l’homme, dit le
cheval.
Depuis que le fermier a entendu la conversation, il a décidé du bien traiter et a
compris que Dieu a créé ces animaux pour le service de l’homme.

J’analyse
1. Quelle est l’expression qui introduit ce conte ?
2. Pourquoi les animaux se plaignent-ils ?
3. Quelle est l’expression qui annonce la fin du conte ?
4. Connais-tu d’autres formules finales.
Je retiens
La situation finale du conte (ou conclusion) comprend la réussite ou l'échec du
héros ou de l’héroïne. C'est aussi à ce moment qu'on apprend la morale (ou la leçon)
du conte.
La Situation Finale du conte se termine souvent par une expression que l’on
appelle une formule de clôture. Les formules de clôture les plus connues sont :
Depuis,....................
Et c’est depuis ce jour – là que ....................
Ainsi, ..................................................
Et c’est ainsi que.....................................
Finalement, ..........................................

Je m’entraîne
1. Parmi les expressions suivantes, quelles sont celles qui introduisent une
situation finale.
A- Il était une fois un petit paysan qui s’appelait Pierre Charlaudeau. Il habitait dans
une petite cabane dans le village de Tawana.
B - Un beau soir, Charlotte rentra de l'école et vit une vieille dame, qui avait du mal
à pousser son cabas.
C - Une grande cérémonie fut organisée. On y célébra à la fois le mariage et la fin
de cette cruelle épreuve. En guise de dot, la princesse n’emporta que la gazelle d’or.
D - Dans les temps anciens, il y avait un puissant sultan du nom d’Haroun El-Rachid.
Il était le calife de Baghdâd.
E - C’est depuis cette époque que l’ont dit : « L’apprentissage d’un métier révèle
toujours un jour ou l’autre son utilité ! »
F - Zoé se réveilla. Elle se sentit pousser des ailes. Enfin libre, avec l'espoir de
retrouver sa maman et son papa.

2. Complète les situations finales suivantes en introduisant la formule de


clôture adéquate.
A - …………………………., le vieux marchand devint riche et sa vache gagna son
respect dans le monde entier !
B - ………………………, l'on entend de tristes lamentations de femme dans l’arbre ;
l'on dit que c'est la sorcière qui pleure parce que quelqu'un connaît son secret.
C - ………………., les coqs n’osent plus se vanter, et ont la crête rouge
D - …………………………, le village ne connut plus jamais la famine.
E - ………., le prince sauva la princesse Clara et repartit au village. Quant à la
sorcière elle n'était de bonne d'humeur, car son rêve de régner sur toute la terre ne
pourra plus se réaliser.

3. A ton tour, rédige trois phrases en utilisant les formules d’ouverture.

Je corrige
1. Les expressions qui introduisent une situation finale.
C-E-F

2. Je complète les situations finales suivantes en introduisant la formule de


clôture adéquate.
A – Depuis ce jour,
B – Depuis ce moment-là,
C – C’est ainsi que,
D – Finalement,
E – Enfin

3. A mon tour, je rédige trois phrases en utilisant les formules d’ouverture.


- Et c’est depuis ce temps-là que les serpents poursuivent les grenouilles et les
mangent.
- Et c'est ainsi que le pêcheur vécut heureux jusqu'à la fin de sa vie.
- L'ogre mourut aussitôt. Alors, Soleil du jour se maria avec Fleur d'été.
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :
Grammaire

Les mots qui servent à éviter la répétition


(Les substituts lexicaux et grammaticaux)
Objectifs d’apprentissage :

J’observe
Aicha heurtait l'un contre l'autre ses bracelets et le pauvre vieux tirait la targette.
La fillette entrait, balayait la masure, serait le lit. Puis elle servait au vieillard son
repas, lui versait à boire. Apres s'être longuement attardée près de lui, elle s'en
retournait, le laissant calme et sur le point de s'endormir. La petite fille racontait
chaque jour à ses parents comment elle avait veille sur son grand-père et ce qu'elle
lui avait dit pour le distraire. L'aïeul aimait beaucoup à la voir venir.
« Le Grain Magique »Taos
Amrouche

J’analyse
1. Quelle est la nature des mots soulignés ?
2. Classe-les dans le tableau suivant.
Aïcha Le grand-père

3. Pourquoi a-t-on remplacé la fille et le grand-père par ses mots ?


4. Comment appelle-t-on ces mots ?

Je retiens
Les substituts lexicaux servent à éviter les répétitions, ils remplacent le
nom en apportant une information nouvelle sur ce nom.
Les substituts grammaticaux sont des pronoms :
- Personnels (je, tu, il nous, …)
- Possessifs (le mien, le tien, …)
- Démonstratifs celle, …)
- Interrogatifs et relatifs (qui, que, quel…)
Comme les substituts lexicaux, ils servent à assurer la progression et la
cohérence d'un texte en évitant les répétitions.

Je m’entraine
1. Lis le texte puis complète le tableau en indiquant quel personnage ou quel
objet est désigné par les pronoms personnels écrits en caractères gras.
Il était une fois un petit garçon africain prénommé Boris. Il vivait dans un petit village
pauvre et affamé car le chef du village, qui était un homme cruel et froid, leur avait pris
toutes leurs récoltes.
Un jour, en se promenant dans son village, il trouva une calebasse pleine
d’aliments.
Quand sa mère la vit, elle fut heureuse mais soucieuse.

Pronom personnel Personnage désigné


Il vivait dans un petit village.
Quand sa mère la vit, elle fut
heureuse mais soucieuse.

2. Observe et lis le texte suivant, puis indique à qui renvoient les mots
soulignés.
Un étranger se présenta devant le pauvre, en lui demandant pourquoi il était
malheureux.
L'homme lui expliqua qu'il était devenu si pauvre. L'inconnu tempéra le désarroi du
pauvre, et lui expliqua qu'il pouvait l'aider à gagner de l'argent, car cet anonyme faisait
guérir les gens et gagnait ainsi sa vie.
Le misérable accepta l'offre, et l’accompagna. Leur première rencontre fut avec un
aveugle, Il le guérit et reçut sa récompense. Puis il guérit un paralytique, un lépreux et
un fou. Ils purent ainsi gagner une forte somme d'argent. Le pauvre lui demanda alors
d'arrêter leur tournée : « cette somme d'argent est suffisante. Partageons-la ».

3. Classe les mots ou groupes de mots soulignés dans le texte dans le


tableau ci-dessous.
Il était une fois une très pauvre femme dont le fils s'appelait Richard. Par un beau jour, alors
qu'il cueillait des fleurs, il remarqua une affiche où il était écrit : "Celui qui tuera le dragon qui
menace mon royaume aura ma fille en mariage."
Richard s'empara de l'affiche et retourna chez lui. Il la montra à sa mère. Celle-ci lut
l'affiche et déclara : "Si tu veux sauver cette royauté, il te faudra l'épée magique de ton père
! Il l'a reçue jadis pour avoir sauvé un roi !"
Le jeune homme se saisit de l'épée et fit ses adieux à sa mère. Il marcha longtemps...
Enfin, il arriva au trône et se mit en route vers le château. Arrivé devant la porte il demanda
à un garde de le conduire jusqu'au roi. Celui-ci le reçut gentiment.

Substituts lexicaux Substituts grammaticaux

Je corrige
1. Je lis le texte puis je complète le tableau en indiquant quel personnage ou
quel objet est désigné par les pronoms personnels écrits en caractères gras.

Pronom personnel Personnage désigné


Il vivait dans un petit village. un petit garçon africain prénommé
Quand sa mère la vit, elle fut Boris
heureuse mais soucieuse. une calebasse – la mère

2. Observe et lis le texte suivant, puis indique à qui renvoient les mots
soulignés.
L’étranger : lui – il – l’inconnu – cet anonyme – sa – l’ -
Le pauvre : l’homme – il – le misérable -
L’étranger et le pauvre : leur – ils -
L’aveugle : le
L’argent : la

3. Classe les mots ou groupes de mots soulignés dans le texte dans le


tableau ci-dessous.

Substituts lexicaux Substituts grammaticaux


Il – celui – lui – la – celle-ci – Le jeune homme – le trône – cette royauté
celui-ci - le
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Conjugaison

Le passé simple du 3ème groupe


Objectifs d’apprentissage :

J’observe
La fleur des montagnes
(…) Terrorisés, les habitants finirent par choisir de combattre la vipère par les
moyens qu’ils possédaient.
Après de nombreux combats, les villageois eurent raison d’elle, ils l’étendirent sur
le sol et elle ressembla à un véritable dinosaure dangereux. Ils voulurent en finir
avec elle par le feu.
Ils préparèrent un grand bûcher ou les fagots de bois furent entassés les uns sur
les autres. Le corps de la bête fut recouvert par les branchages de bois sec et ils y
mirent le feu, dans une ambiance de fête ou les chants des enfants n’ont pas tari.
La fumée s’éleva dans le ciel emportant avec elle l’odeur âcre du brûlé. Subitement,
le ciel s’assombrit d’une nuée d’abeilles venant de toutes les directions qui s’abattit
sur le cadavre, dévorant et suçant les quelques parties du monstre restées encore
non brûlées par le feu. Les fleurs de la région, même, perdirent leur arome.
Conte populaire algérien

J’analyse
1. Les villageois finirent-ils par tuer la vipère ?
2. A quel temps sont conjugués les verbes écrits en gras ?
3. Complète le tableau suivant :

Verbe Infinitif Groupe

4. Pour les verbes du 3ème groupe, ont-ils la même terminaison ?

Je retiens
Au passé simple les verbes du 3ème groupe ont trois sortes de terminaisons.
I ) is is it îmes îtes irent
Les verbes en ir, mais aussi les verbes en re
Exemple : je partis ; il sortit ; tu pris ; il mit
II) us us ut ûmes ûtes urent
Quelques verbes comme vouloir, pouvoir, croire, savoir ...
Exemple : je voulus ; il put ; tu crus ; il sut
III) ins ins int înmes întes inrent
Les verbes tenir, venir et leurs dérivés
Exemple : je vins ; tu parvins ; il devint.
Les terminaisons pour les auxiliaires être et avoir et les verbes du 3e groupe qui
ont un passé simple en -u sont : -us, -us, -ut, -ûmes, -ûtes, -urent
Exemple :
ÊTRE (auxiliaire) : je fus ; tu fus ; il, elle fut ; nous fûmes ; vous fûtes ; ils, elles
furent
AVOIR (auxiliaire) :j’eus ; tu eus ; il, elle eut ; nous eûmes ; vous eûtes ; ils, elles
eurent

Je m’entraine
1. Dans l’extrait de conte suivant, souligne les verbes conjugués au passé
simple.
Quand enfin se dessina à l'horizon la frontière du pays recherché, le jeune homme
découvrit une montagne si haute qu'elle se perdait dans le ciel. A ses pieds, prenaient
naissance les sept fleuves maudits où sommeillaient les sept monstrueuses pieuvres.
Il sentit son cœur battre fortement. Il rassembla son courage et s'attaqua promptement
à sa tâche. Il suivit le premier fleuve jusqu'à sa source, puis provoqua la pieuvre en lui
jetant le corps d'un bœuf comme appât. Celle-ci sortit des eaux, se prépara à avaler
le jeune homme. Brutalement, celui-ci trancha sa tête, grâce au sabre magique. Il fit
de même avec les six autres pieuvres. D'un pas alerte et fier de son exploit, le jeune
homme n'hésita pas à se rendre au palais pour demander audience à la reine, traînant
derrière lui les énormes têtes des pieuvres.

2. Mets les verbes de ces extraits de contes au passé simple.


A- Il (sortir) d'un meuble, un coffret d'argent, l’ (ouvrir), et la jeune fille (reconnaitre)
ses bijoux ; il se (mettre) alors à pleurer, et à se lamenter.
B - Plusieurs fois le prince (répéter) sa question et chaque fois il (obtenir) la même
réponse.
Désespéré, le prince (sortir) dans le parc, et à une branche d'arbre il se (pendre).
c - Enfin, elle s’ (adresser) au chêne qui lui (tendre) sa branche et elle s'y (pendre) et
(mourir).
D - Alors (venir) le roi, les convives, les gardes et les festivités se (transformer) en
funérailles.
E - Le jardinier troublé, s’ (empresser) d'aller quérir son maître le roi. Celui-ci (venir)
: il (voir) et (entendre) le chant d'amour qui venait d'outre-tombe.

Je corrige
1. Dans l’extrait de conte suivant, je souligne les verbes conjugués au passé
simple.
- dessina – découvrit – sentit – rassembla - s'attaqua – suivit – provoqua – sortit- se
prépara - trancha – fit – hésita

2. Je mets les verbes de ces extraits de contes au passé simple.


A – sortit – ouvrit – reconnut
B – répéta – obtint – sortit – se pendit
C - s’adressa – tendit- pendit – mourut
D – vinrent – transformèrent
E – s’empressa – vint – entendit
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Orthographe

Les homophones grammaticaux


Objectifs d’apprentissage :

J’observe
Belle comme la lune
(…) C'est ainsi que l’homme est changé en serpent. Il abandonne sa famille, sa
maison et tous ses biens. Il déserte le monde et se réfugie dans la forêt. Il se
rapproche des bêtes, se met à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de sang.
Mais si son corps est celui d'un serpent, son cœur et son esprit sont restés ceux
d'un homme. Il n'a fui ses semblables que dans la crainte d'être écrasé par eux.
Mais la solitude lui est amère. Elle le mine. Depuis longtemps il n'a vu l'ombre d'un
être humain lorsque lui apparait la fillette. C'est pourquoi, à la vue de son visage de
rose et de ses petits membres fatigués, le cœur du serpent se fond de tendresse.
Conte
arabe

J’analyse
1. Observe les mots écrits en couleur rouge. Se prononcent-ils de la même
manière ?
Est-ce qu’ils ont le même sens ?
2. Comment appelle-t-on les mots qui se prononcent de la même manière et qui
diffèrent leur dans sens ?
3. Quelle remarque peux-tu faire par rapport aux autres mots écrits en couleurs ?

Je retiens
On appelle homophones des mots qui se prononcent de façon identique mais ne
s'écrivent pas de la même façon.
Quand ces mots n'appartiennent pas à la même catégorie grammaticale, on les
appelle des homophones grammaticaux.
Je m’entraine
1. Complète les pointillés par : ce / se
- Depuis … moment, son dos … redressa et sa bouche ….. garnit d’une très belle
dentition.
- …. fut lui qui remarqua le prodige et …. mit à appeler à grands cris.
- Elle …. souvint, qu'enfant, sa grand-mère lui contait d'innombrables histoires sur
… monstre.
- Le jeune homme put enfin …. libérer. Il ….. jeta sur la nourriture et l'eau.
- …. n'est rien voyons ! remarqua l'oiseau, tu aurais agi de la sorte si tu avais été à
ma place »

2. Choisis l’homophone qui convient : « ces » ou « ses »


- Elle lut dans …. regards ……. liens sacrés qui finissent. toujours par réunir une
mère et son enfant.
- Autrefois, il y avait une jeune fille de grande beauté. ….. parents l'entouraient de
tous leurs soins, et s'inclinaient devant tous ….. caprices.
- De qui tiens-tu …. répliques astucieuses ?
- - Pour qui te prends-tu ? Tu n’es que le fils de la vague. ….. paroles plongèrent le
jeune homme dans une profonde mélancolie. Il se plaignit à ….. parents.

Je corrige
1. Complète les pointillés par : ce / se
- Depuis ce moment, son dos se redressa et sa bouche se garnit d’une très belle
dentition.
- Ce fut lui qui remarqua le prodige et se mit à appeler à grands cris.
- Elle se souvint, qu'enfant, sa grand-mère lui contait d'innombrables histoires sur
ce monstre.
- Le jeune homme put enfin se libérer. Il se jeta sur la nourriture et l'eau.
- Ce n'est rien voyons ! remarqua l'oiseau, tu aurais agi de la sorte si tu avais été à
ma place »

2. Choisis l’homophone qui convient : « ces » ou « ses »


- Elle lut dans ces regards ses liens sacrés qui finissent. toujours par réunir une
mère et son enfant.
- Autrefois, il y avait une jeune fille de grande beauté, ses parents l'entouraient de
tous leurs soins, et s'inclinaient devant tous ses caprices.
- De qui tiens-tu ces répliques astucieuses ?
- Pour qui te prends-tu ? Tu n’es que le fils de la vague. Ces paroles plongèrent le
jeune homme dans une profonde mélancolie. Il se plaignit à ses parents.

Dictée fautive
Premier moment : correction des fautes
Il y a très longtemps, (vivait-vivaient-vis) pauvrement en (Chine-le soir), un
homme qui (s'appelait-s’appela- s’appelle) Yen-Lu. Il (possédait-possèdes-
possèdent), non loin d’ (une rivière- un matin), une vieille petite (heure-maison)
dans laquelle il (habitait-habita-habitèrent) avec sa femme.
Un jour, le pauvre Yen-Lu (trouva-trouvaient-trouvera) sur sa route un vieil
anneau rouillé qu'il (rapporta-rapportâtes-rapportèrent) chez lui et le (jeta-jetas-
jetez) dans un coin. À partir de ce jour, la richesse (entra-entres-entrons) dans la
maison. Tout ce qu’ (entreprenait-entreprenaient-entreprennent) Yen-Lu
(réussissait réussit-réussissent). Alors Yen-Lu et sa femme (comprirent-
comprendre-comprendra) que l'anneau (était-avais-avait) magique. Ils
(devenaient-devenir-devînmes) de plus en plus riches.

Deuxième moment : combler les trous


Il y a très longtemps, ………………… pauvrement en …………………, un homme
qui …………………….. Yen-Lu. Il ………………………., non loin d'………………, une
vieille petite …………………. dans laquelle il …………………………. avec sa femme.
Un jour, le pauvre Yen-Lu ……………………… sur sa route un vieil anneau rouillé
qu'il …………………………… chez lui et le …………………… dans un coin. À partir de
ce jour, la richesse ………………………. dans la maison. Tout ce
qu'………………………………. Yen-Lu ………………………….. Alors Yen-Lu et sa
femme …………………………………………. que l'anneau ……………………..
magique. Ils ……………………………….. de plus en plus riches.

Troisième moment : écrire le texte et s’autocorriger


L'anneau magique
Il y a très longtemps, vivait pauvrement en Chine, un homme qui s'appelait Yen-Lu.
Il possédait, non loin d'une rivière, une vieille petite maison dans laquelle il habitait
avec sa femme.
Un jour, le pauvre Yen-Lu trouva sur sa route un vieil anneau rouillé qu'il rapporta
chez lui et le jeta dans un coin. À partir de ce jour, la richesse entra dans la maison.
Tout ce qu'entreprenait Yen-Lu réussissait. Alors Yen-Lu et sa femme comprirent que
l'anneau était magique. Ils devenaient de plus en plus riches.
Conte chinois
Plan d’apprentissage partiel : Dire et jouer un conte
Compétence terminale 03 : C’est ainsi que…
Produire la fin d’un conte lu ou écouté
Situation d’apprentissage :

Atelier d’écriture
Objectifs d’apprentissage :

Je me prépare

Je rédige la fin de mon conte


ACTIVITE 1
Il était une fois une baleine qui était attaquée dans la mer par un requin et une
pieuvre. Un petit poisson qui avait vu cela, décida de la venger. Il rencontra ses
ennemis : la pieuvre et le requin. Il essaya d’attaquer le requin en premier. Le requin
le renvoya avec sa queue. Il essaya d’attaquer la pieuvre en deuxième mais la pieuvre
cracha de l’encre noire. Il ne lui resta plus qu’à fuir, il alla chercher son ami le dauphin.
Pendant ce temps, le requin et la pieuvre encerclèrent le poisson et le dauphin. Ils se
cognèrent l’un contre l’autre et se firent mal.
Ils partirent très loin et depuis ce jour ils vécurent heureux pour toujours

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Je comprends et j’explique le texte


1. Qui sont les personnages de ce conte ?
2. Où se passe l’histoire ?
3. Relève du conte l’expression qui annonce la fin.

ACTIVITE 2
Remettez ces deux fins de conte dans l'ordre.
Conte 1
- Elle est devenue lente.
- Depuis ce jour-là, la tortue n’a plus couru.
- Quant à la biche, elle a continué de courir très vite jusqu’à aujourd’hui.
- Des points jaunes sont apparus sur ses pattes et sur son cou
Conte 2
- Il lui demanda d’où vint-elle.
- Enfin, la petite fille, les joues plus roses que jamais d'avoir couru, arriva chez son
père.
- Le vieil homme était très en colère.
- Et elle raconta toute son histoire.

ACTIVITE 3
Parmi les extraits de contes proposés, classe ceux qui renvoient à
la situation finale.
- Et c’est à partir de là que le conte pose sa question : Le conte voudrait savoir,
lequel de ces trois est le plus sourd ?
- Un soir, tous les enfants se sont réunis et ils ont décidé de relever le ciel.
- C’est depuis ce jour que les orphelins sont traités avec soin et amour à Gani-
Gawané.
- Il y a bien longtemps de cela, un peuple de grands fainéants vivait au bord du Bon
Fleuve.
- A partir de ce jour-là les grands animaux ne quittèrent plus la brousse et l’homme
commande désormais le village.
Je lis
La chèvre et le mouton
La chèvre et le mouton étaient de bons amis et vivaient l’une à côté de l’autre. Ces
deux amis mangeaient et jouaient ensemble.
Un jour, ils entreprirent de faire un voyage qui devait les emmener dans un lointain
village. Alors ils se rendirent à la gare routière où ils trouvèrent un taxi à bord duquel
ils montèrent.
La chèvre, très intelligente dit au chauffeur :
- Chauffeur, celle-ci est ma sœur, nous faisons tous ensemble. Si je n’ai pas, je lui
emprunte et si elle n’a pas, je lui prête.
Le chauffeur entendit tout cela et les félicita d’une telle amitié.
Tout à coup, à mi-chemin du parcours, la Chèvre demanda à sortir pour satisfaire
son besoin. Elle descendit sans avoir payé rentra dans la brousse et ne revint plus.
Le Chauffeur fatigué d’attendre attaqua le mouton prit chez lui les frais de transport
des deux voyageurs. Malheureusement, le Mouton n’avait plus assez d’argent et dû
rentrer chez lui à pied.
………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
………………………………….

Je rédige
Tu as remarqué que le conte que tu viens de lire est inachevé. En t’aidant de
ton sac à mots, complète-le en imaginant une situation finale en tenant compte
de la suite qui t’est proposée.
Sac à mots :
Depuis ce jour,
Le mouton, la chèvre, la voiture, le chauffeur…
Voir, écarter, attendre, espérer, fuir....

Critères de réussite :
Pour réussir ta production tu dois répondre aux questions et respecter les
consignes suivantes :
1. Où se déroule l’histoire ?
2. A quelle époque ?
3. Qui sont les personnages en présence ?
4. Quand le mouton voit une voiture, comment se comporte-t-il ?
5. la chèvre a une dette à payer, quelle est sa en voyant une voiture ?
Tu dois utiliser :
- une formule introductive.
- l’imparfait et le passé simple de l’indicatif.
- une formule finale

Je m’évalue
Ai-je bien rédigé la situation finale du conte ? *

Coche la case qui convient

Oui Non
J’ai tenu compte des personnages de l’histoire.
J’ai utilisé l’imparfait et le passé simple de l’indicatif.
J’ai utilisé le vocabulaire du merveilleux.
J’ai employé correctement le temps des verbes.
J’ai imaginé une fin de mon conte.

Je corrige
ACTIVITE 1
1. les personnages de ce conte sont : la baleine, le requin, la pieuvre et le petit
poisson.
2. L’histoire se passe au fond de la mer
3. Ils partirent très loin et depuis ce jour ils vécurent heureux pour toujours

ACTIVITE 2
Remettez ces deux fins de conte dans l'ordre.
Conte 1
Depuis ce jour-là, la tortue n’a plus couru. Des points jaunes sont apparus sur ses
pattes et sur son cou. Elle est devenue lente. Quant à la biche, elle a continué de courir
très vite jusqu’à aujourd’hui.

Conte 2
Enfin, la petite fille, les joues plus roses que jamais d'avoir couru, arriva chez son
père. Il lui demanda d’où vint-elle.
Et elle raconta toute son histoire. Le vieil homme était très en colère.

ACTIVITE 3
Parmi les extraits de contes proposés, je classe ceux qui renvoient
à la situation finale.
- Et c’est à partir de là que le conte pose sa question : Le conte voudrait savoir,
lequel de ces trois est le plus sourd ?
- C’est depuis ce jour que les orphelins sont traités avec soin et amour à Gani-
Gawané.
- A partir de ce jour-là les grands animaux ne quittèrent plus la brousse et l’homme
commande désormais le village.

Situation finale (à titre d’exemple)


Depuis ce jour, quand le mouton voit venir une voiture, il ne s’écarte pas. Il attend
bonnement au milieu de la route espérant avoir son reliquat tandis que la Chèvre fuit
rapidement pour ne pas être attrapé par le Chauffeur.

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