Construction Des Savoirs
Construction Des Savoirs
Construction Des Savoirs
Semaine 1
&
Aussi conception et animation d’une séance d’enseignement (admission)
Arrive fin 19eme, début 20eme jusqu’aux années 40. Fait de grammaire pure, dérivé de
l’enseignement du latin. On donne les cours en français et on utilise très peu la langue enseignée.
L’importance est donnée à la grammaire, aux commentaires de texte. On apprend donc une langue
écrite. On favorise beaucoup la traduction, le cours est magistral avec très peu d’interaction.
La méthode directe :
La méthode active:
Vers 1925, la méthode active arrive. Revient dans les années 70 puis de nouveau aujourd’hui. Cette
méthode implique fortement le système sensoriel. Arrive dans un contexte d’hygiénisme, notion
d’esprit sain dans un corps sain. Ecoles se montent dans les forêts etc. Les compétences
linguistiques sont plus vite assimilées car l’enseignant combine actions et paroles en mimant la
phrase. Très employé dans les petites classes. Fin du cours magistral avec un dialogue entre les
élèves et le professeur, l’élève doit comprendre puis agir. La grammaire reste importante mais la
phonétique encore davantage (avant de disparaitre).
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Dans les années 40 arrive la méthode audio-linguale jusque dans 70s. Elle est très utilisée aux US,
vient de l’armée et est très importante. Un des premiers gros apports de la psychologie avec une
méthode basée sur la théorie psychologique du béhaviorisme (ou comportementalisme): courant de
pensée fondé à la fin du 19eme qui postule qu’il est possible de décrire et de comprendre les
comportements humains sans faire référence à des processus psychologiques internes. Il s’inspire de
l’observation des comportements externes, notamment d’animaux que l’on a soumis à certains
stimuli pour ensuite observer leurs réactions. Nos expériences font de nous ce que l’on est et non
l’inverse. L’approche audio-linguale reprend les principes de la méthode directe avec le tout-
anglais mais en plus introduit une structuration très précise des apprentissages. On emploie la
répétition d’exercices appelés drills et un entraînement systématique de la mémoire pour favoriser
l’acquisition d’automatismes. On va aussi renforcer les apprentissages par un système de
récompense-punition qui va ancrer les idées d’échec et de réussite dans l’esprit de l’apprenant. On
est toujours dans un cours magistral et l’enseignant transmet aux apprenants et au fur et à mesure
on introduit les ordinateurs, l’audio et la vidéo. Beaucoup de succès aujourd’hui mais le
problème est qu’elle ne développe pas l’autonomie et l’esprit critique chez l’apprenant. Cette
méthode est très utilisée en Asie.
Le méthode situationelle ou méthode orale britannique se trouve à la même période avec les mêmes
principes: répétition de structures, importance de l’oral, intolérance face à l’erreur, matériel audio-
visuel. La différence est que le vocabulaire est davantage tiré de situations de la vie quotidienne.
Cela permet d’assimiler la culture à la langue apprise —> apprendre une langue pour découvrir une
culture. Cet apprentissage est peu prisé en France, essentiellement britannique. Cette méthode
évolue dans les années 70 en méthode audiovisuelle, on ajoute les images aux sons. Elle dure jusque
dans les années 90.
L’approche communicative:
Apparait en 1985 pour le collège et en 1987 pour le lycée et est toujours d’actualité aujourd’hui.
Elle inclut toutes les compétences langagières, ne place pas l’accent sur l’une ou l’autre des
compétences. La prononciation n’est plus enseignée via la phonétique dès la sixième, on vise
l’intelligibilité avec une plus grande marge de tolérance à l’écrit ou à l’oral. En grammaire on ne
répète plus des phrases construites, on a des situations de communication réelles simulées, c’est à
dire qu’on les crée. On a des exercices mettant en avant le information gap, l’élève doit trouver lui-
même l’information et générer des conversations. Il ne faut pas d’obstacle à la communication et il
faut mettre l’élève en confiance. Les apprenants transmettent maintenant du savoir aux autres
apprenants via ces techniques de information gap —> co-enseignement. On tient aussi à réhabiliter
l’ouverture à l’autre avec les voyages car l’objectif culturel devient aussi important que l’objectif
linguistique.
Claire Tardieu: "on pourrait percevoir l’histoire des méthodologies de l’enseignement des langues
en France comme un mouvement de balancier entre deux extremes antagonistes: deux grands
courants méthodologiques privilégiant soit un objectif pratique soit un objectif académique" (voir
schéma)
2) Le CECRL européen
Créé en 2001, le cadre européen commun de référence pour les langues a été adopté en France en
2005. Les objectifs ont été fixés par le conseil de l’Europe pour définir des nomes communes de
compétences linguistiques.
Les niveaux vont de découverte A1 à maitrise C2 accompagnés de descripteurs expliquant les
capacités linguistiques acquises. L’utilisateur élémentaire jusqu’en 6eme voire 5eme a un niveau
A1 et A2 (niveau attendu au brevet). l’utilisateur indépendant a un niveau B1 (3eme/seconde) puis
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B2 (cycle terminal), voire C1 (spécialité) —> utilisateur expérimenté. C2 = maitrise de tous types
de discours.
L’approche de cet apprentissage de la langue change par rapport à l’approche communicative des
années 80 et 90, l’approche est utilitariste avec un message politique fort.
Christian Puren: "ce que l’on se propose désormais de former dans nos classes de langue ce n’est
plus ou plus simplement le voyageur rencontrant ponctuellement des étrangers (dans un cadre
touristique ou même professionnel), ou à l’inverse celui qui rencontre chez lui des étrangers de
passage, mais le citoyen d’un pays multilingue et multiculturel intégré dans l’espace commun
européen et qui, dans le cadre de sa formation universitaire et de sa profession, doit désormais être
capable de travailler dans la longue durée en langue-culture étrangère avec des allophones et même
avec des personnes partageant sa langue étrangère".
Critique: assujettissement au monde du travail avec le glissement terminologique de termes devenus
courant = gérer, projets, tâches, compétences. Convergence grandissante entre l’entreprise et
l’éducation. On forme plutôt des travailleurs que des citoyens du monde et on vise l’efficacité pour
plus de productivité.
Enseignants contraints de se plier aux évaluations du CECRL dès la 6eme, entrainement perpétuel
aux examens. Idée de bachotage permanent qui laisse peu de place aux initiatives pédagogiques.
Le système a été créé pour permettre aux jeunes de voyager plus facilement mais bénéficie
seulement aux classes aisées.
Point positif: grande demande sociale utilitaire de certification en langue qui est commune à tous.
Mais peut montrer que parents voient l’école seulement pour diplôme et certificat.
3) L’approche actionnelle
Basée sur CECRL, a cours depuis le milieu des années 2000. Ne rompt pas totalement avec
approche communicative mais oscille vers approche moins culturelle et plus pratique des langues.
On reste dans l’idée de la communication, rendre les élèves aptes à agir dans des situations
authentiques: encouragés à simuler des actions telles que dans la vie réelle. Chaque séance
comporte des tâches, quelque chose de motivant et valorisant pour les élèves. On distingue tâche vs
activité vs exercice (plus employé). Activités = mi-chemin entre exercice et tâche, la tâche met
l’accent sur l’autonomie. Tâche vient de la recherche anglo-saxonne, on considère que les
apprenants doivent rechercher activement des solutions pour que les taches travaillées en classe soit
les plus intéressantes possibles et adaptées à leurs besoins —> accent sur l’autonomie.
Tâche (CECRL): est défini comme tâche toute visée actionnelle que l’acteur se représente comme
devant parvenir à un résultat donné en fonction d’un problème à résoudre, d’une obligation à
remplir, d’un but qu’on s’est fixé.
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EO: Pub + vente du produit
Bulletin météo
Exposé
Interview
Discours
Radio
Pièce de théâtre
Jingle
EOI: débat
Planification de voyage
Détective —> enquête
Speed dating
Devinettes, qui suis-je
Semaine 2
La tâche doit être motivée par un objectif ou un besoin, objectif qui doit être clairement perçu par
les élèves. Enfin, l’action doit donner lieu à un résultat identifiable.
—> créer des situations dans lesquelles la langue sera utilisée pour faire quelque chose de concret,
de la manière la plus autonome possible. Peut être une tâche intermédiaire ou finale.
La tâche finale est forcément évaluée mais elle n’est pas notée.
2. La différenciation pédagogique
Il n’existe pas deux élèves identiques, on a souvent des classes très hétérogènes. On essaye
d’atteindre des objectifs communs en empruntant des voies différentes pour que chacun y arrive à
son rythme et à sa façon. Il y a deux grandes formes: la différentiation successive: consiste à faire
varier les supports et types d’activité au sein d’une séance et la différentiation simultanée: consiste à
proposer des travaux différents en même temps pour différents groupes d’élèves. Cette pratique doit
se retrouver dans la classe mais aussi dans les évaluations.
On différencie car l’élève ne progresse pas au même rythme, parce qu’il n’utilise pas les mêmes
techniques face à un problème, il n’a pas les mêmes motivations et ne vient pas +
+9des mêmes milieux (—> bagages culturels différents). L’avantage est qu’on aura un meilleur
accompagnement individuel mais l’inconvénient est que c’est très contraignant au niveau de la
préparation (pourquoi pas la réserver à certains types de séances).
Dans les années 50 les sciences cognitives se sont développées = science qui explore les
mécanismes de la pensée dans l’esprit humain. L’imagerie cérébrale a permis de créer des ponts
entre la recherche scientifique et l’enseignement, la pédagogie, la psychologie. Cela a mis en
lumière le fonctionnement moteur et verbal du cerveau dans les situations d’apprentissage.
En 2007 le nom neuro-éducation est apparu, créé par l’OCDE ("comprendre le cerveau: naissance
d’une science de l’apprentissage") —> nouvelle discipline. Dans ce domain de recherche on trouve
quatre champs: la lecture, les langues vivantes, la mémorisation et l’attention.
La recherche actuelle en langues vivantes a comparé les activités cérébrales qui ont lieu lors de
l’apprentissage des langues et celui de la musique par exemple. Pour la mémorisation, on a
remarqué que suite à un nouvel apprentissage, le cerveau subit modifications physiques et
chimiques qui engendrent de nouveaux réseaux neuronaux et renforcer les réseaux existants. Quand
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ces réseaux se développent, la capacité du cerveau augmente. Le fait d’aborder une nouvelle
information en ayant recours à des faits familiers, le fait de revoir cette information va renforcer les
réseaux neuronaux et rendre l’élève plus efficace. Pour l’attention, les neurosciences ont montré que
le climat d’apprentissage scolaire servait de base à l’attention et la motivation des élèves et donc
leur réussite scolaire.
Le travail à plusieurs
Pour enseigner une langue vivante il faut favoriser la participation active des élèves, leur interaction
et l’entraide ainsi que l’écoute mutuelle. Lors d’un travail en binôme ou en groupe, les interactions
vont leur offrir l’occasion de pratiquer la langue en autonomie partielle. Pour qu’un groupe soit
efficace, il doit avoir les moyens langagier d’interagir et qu’il y ait un enjeu à l’activité. Par
exemple on peut leur demander de donner un avis en argumentant, d’obtenir/transmettre
informations…
La formation des groupes: il ne faut pas faire des groupes de niveaux. A moins d’une tâche
particulière c’est au prof de former les groupes. Il vaut mieux préférer des groupes impairs (3) pour
éviter les disputes non résolues sur le sujet. On évite de mettre ensemble des élèves en conflit car
c’est aussi un travail de socialisation.
Il ne faut pas oublier de donner clairement les consignes et clarifier les règles d’échange (ex: pas de
français autorisé), le temps imparti et éventuellement projeter un chronomètre. Il faut surtout
vérifier que la consigne est bien comprise —> faire reformuler en français par un élève.
Pendant l’activité en groupe, le professeur apporte une aide ponctuelle si besoin et vérifie que
l’implication des élèves est satisfaisante. Il faut aussi veiller au niveau sonore, et rester exigeant
dessus.
A la fin de l’activité il est important de faire une mise en commun: restitution orale par des
rapporteurs issus de chaque groupe par exemple, suivie d’une trace écrite.
C’est une méthode de travail qui fonctionne exclusivement en groupe. Elle a été développée par
Marie Rivoire, professeure d’anglais en collège. Ce terme a été repris par les professeurs de lettres
mais épisodique, alors que Rivoire a mis en place un système bien plus complexe lui venant d’un
constat d’impuissance.
Voir la présentation du système
Avantages:
- implique les élèves dans travail scolaire
- Favorise interaction et prise de parole —> moins peur de parler devant les autres
- Entraide
- Socialisation
- Les rendre autonomes (=sens de responsabilité) + maitres de la progression et de la note
- Compétition = carotte
- Différentiation collectif/individuel
- Plus simple pour le prof de les accompagner, plus disponible
- Plus le temps d’écouter les autres et de parler
Inconvénients:
- gestion du bruit
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- Gestion des conflits = relations sociales
- Compétition peut les décourager
- Élèves qui ne veulent pas travailler en groupe
- Mise en place = contraignant + fait perdre du temps
- Notation permanente —> pénible pour le prof et pour les élèves
- Se concentre plus sur la forme que sur le fond
Decroly (1871-1932)
Il voit l’enfant global et central. Il n’est pas enseignant mais médecin et psychologue (belge) et il a
lutté toute sa carrière pour la reconnaissance de la méthode globale. La méthode globale
d’apprentissage de la lecture et de l’écriture —> apprendre à reconnaitre la graphie d’un mot entier
sans apprendre le fonctionnement des sons —> aujourd’hui mélangée avec autres méthodes. Il s’est
concentré principalement sur les enfants "irréguliers" aussi appelé "anormaux" à l’époque:
handicapés, troubles sociaux etc —> école plus inclusive. Il avait remarque que l’enseignement
traditionnel était réservé à une élite et veut faire naitre une école adaptée à tous. Il développe une
pédagogie basée sur l’observation et l’approche de l’enfant dans sa globalité (dont personnalité et
environnement social) et surtout ses centres d’intérêt. Dans cette approche l’enseignant n’est plus le
maitre qui sanctionne mais un guide bienveillant garant des apprentissages. L’élève est plus motivé
donc les apprentissages sont plus durables. Sa pédagogie s’est basée sur quatre principes: la
globalisation, les centres d’interêt de l’enfant, son environnement et l’idée de
classe-laboratoire/école-atelier ou l’enfant est acteur (vit, agit, découvre…)
Freinet (1896-1966)
Il est instituteur et s’inspire de Decroly notamment sur les centres d’intérêt de l’enfant mais il ajoute
la coopération. Il travaille en binôme avec sa femme Elise Freinet, artiste, qui se charge de toute la
partie création, expression artistique. Il développe ses méthodes à partir de sa propre expérience. Il
commence dans les années 20. Il est bouleversé par la guerre et revient avec une vision de la société
qui est transformée. Il centre ses méthodes sur le collectif en favorisant la collaboration et la
coopération entre les élèves. Il enseigne dans un espace rural où les classes sont multiniveaux —>
les grands aident les plus petits.
Collaboration vs coopération: la collaboration rassemble des compétences et connaissances
apportées par des individus différents pour arriver à un produit final commun (idée d’une addition
des responsabilités individuelles). La coopération rassemble des individus mais ils vont acquérir
ensemble des connaissances et compétences pou r arriver à un « produit final commun (idée de
tache et de responsabilités réparties au sein du groupe).
26/10/2022
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« toute méthode est regrettable qui prétend faire boire le cheval qui n’a pas soif. Toute méthode est
bonne qui ouvre l’appétit de savoir et aiguise le besoin puissante de travail » Célestin Freinet.
C’est Freinet qui a introduit l’imprimerie à l’école, en mettant en classe des ateliers d’imprimeries.
Les productions des élèves sont ancrées dans la société dans laquelle ils vivent. Toute production
d’élève a pour but de toucher un public.
Méthodes/techniques/ péda fondées sur l’expression libre des enfants= textes, dessins,
correspondants= ils sont très libres. C’est la méthode par excellence= c’est la méthode active.
Le fichier de travail de Freinet s’oppose au manuel scolaire : pour lui, le manuel scolaire amène à
un rapport de soumission et oblige enfants à travailler au même rythme.
Livre 1928 : ‘plus de manuel scolaire’ : abrutissement des élèves ; il prône la méthode naturelle,
l’enfant va acquérir par sensation/intuition et pas imposer des connaissances qui ne lui
correspondent pas.
Chez Freinet pas de compétition, il cherche une émulation, il y aura des notes (évaluation, des
dialogues). L’enfant a le droit aux erreurs, un rôle efficace qui viendra de ce tâtonnement
expérimental.
Valorisation du travail des enfants : confiance en soi. Il montre qu’il peut y avoir de la discipline
sans autorité.
Différence avec Decroly : ses écoles recrutaient les ricos (similar to Montessori’s schools)
Freinet // = démocratie populaire, rejette la pédagogie bourgeoisie qui reproduit les inégalités avec
complicité active de l’état. 2 institutions dans l’école pour Freinet :
La réunion coopérative : on discute des pbs de la vie quotidienne au sein de la classe
La réunion hebdomadaire : 1x/semaine : travail scolaire, accès sur la classe, on règle les
conflits
Autogestion, on prend modèle sur des coopératives qui existent à l’époque (ex le marxisme,
coopératives ouvrières).
Elève apprennent à être autonomes en gros, ils prennent des notes, ils s’écoutent etc.
Decroly et Freinet refuse « l’école caserne », refuse la promotion de l’émancipation des élèves.
300 000 enseignants s’inspirent de Freinet
21 école maternelles et publiques exerceraient Freinet exclusivement.
Marie Line Viau : la France est un pays de traditions centralisatrices et utilitaires. Certains profs
s’en servent sans le déclarer
Beaucoup d’enseignants se forment par eux-mêmes : s’inspirent de ces pédagogies alternatives sans
le déclarer officiellement.
Il faut inscrire ces changements dans un projet pédagogique commun (avec les autres profs.)
ICEM : Institut coopératif de l’école moderne : enseignants qui s’organisent de la co-formation …
des stages en dehors du PAF. ICEM : source de conseil /important pour monter des projets du type
FREINET ou coopératif
Ateliers : groupe différent du groupe classe, montage de projet, mise en œuvre (méthode
active et pratique de Freinet).
BILAN de cette méthode : réussite au brevet et bac équivalent aux autres sections. Climat serein =
moins de violence. Elèves engagés dans l’établissement grâce aux projets, démarches artistiques et
culturelles.
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- Effet de tendance centrale (intervalle établi, 4 à 16 : nos notes tournent autour de ce même
intervalle)
- Effet de contamination (influencé par les résultats antérieurs)
Il préconise donc les grilles, pour que les élèves puissent comprendre leurs erreurs.
Différenciation pédagogique : tutorat est un levier, chacun son rythme, on peut plus adapter
- Echange 20taine de minutes, réguler par un président de séance (élève qui tourne), répartition des
tâches tournes (démocratique), sujet de leurs choix.
Idée de cogestion
On distingue 3 choses :
- Les lois (non modifiables, mise en place par adulte) sanctions si enfreintes.
- Règles établies par enfants à l’unanimité, formulent de manière +, sous forme de droits pas
restrictions (faisable en cours d’anglais, should etc.)
- Codes de conduite, modifiable selon les groupes, politesse par exemple, non sanctionnable.
La sanction doit être réparatrice, l’enfant doit faire preuve de compréhension. -/- punition qui
accroit dysmétrie, on doit réconcilier l’élève avec lui-même.
2. Suggestions d’activités
Activité de mémorisation
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