Mazari Yacine
Mazari Yacine
Mazari Yacine
J’ai travaillé sur un projet de gestion qui est la conception et réalisation d’une base de
données repartie sous Oracle 9i et Oracle forms builder 10G, ainsi que le langage de
programmation PL/SQL pour le suivi et la gestion du matériel informatique de la société de
distribution du centre SDC qui est à la fois filiale de SONELGAZ, à Tizi-Ouzou.
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE
UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI DE TIZI OUZOU
FACULTE DE GENIE ELECTRIQUE ET D’INFORMATIQUE
DEPARTEMENT D’INFORMATIQUE
Thème :
Promotion : 2011-2012
Remerciements
Yacine MAZARI
Sommaire
Sommaire
Chapitre 1 : Généralités sur les bases de données reparties.
Introduction générale.................................................................................................02
1. Introduction ...................................................................................................... 04
2.1 La relation entre les bases de données et les systèmes d’information .............. 04
9. Conclusion ..............................................................................................................16
1. Introduction ............................................................................................................18
3. Problématique ........................................................................................................24
3.1. Description des flux d’informations existants ..................................................... 24
8. Conclusion ................................................................................................................44
1. Introduction ..................................................................................................... 46
2. Analyse ..............................................................................................................46
2.1. Présentation ................................................................................................. 47
3. Conception .........................................................................................................48
3.1 Le niveau applicatif .............................................................................................. 49
4. Conclusion ...................................................................................................64
Chapitre 4 : Réalisation.
1. Introduction ......................................................................................................66
2. Outils de développement ...............................................................................66
Sommaire
Conclusion générale....................................................................................................72
Bibliographie ................................................................................................................74
Annexes ........................................................................................................................76
L'évolution des techniques informatiques depuis les vingt dernières années a permis
d'adapter les outils informatiques à l'organisation des entreprises, vu le grand volume de
données manipulées par ces dernières, la puissance des micro-ordinateurs, les performances
des réseaux et la baisse considérable des coûts du matériel informatique qui ont
permis l'apparition d'une nouvelle approche afin de remédier aux désagréments causés
par la centralisation des données, et ce en répartissant les ressources informatiques
tout en préservant leur cohérence.
La solution qui s'impose est de distribuer les données et les organiser dans des bases de
données sur différents sites de stockage. L'ensemble de ces sites constitue un système de
bases de données réparties offrant la possibilité aux utilisateurs de manipuler les différentes
bases via un réseau de manière transparente, comme dans une base de données globale.
Notre travail, consiste en la mise en place d’un système d’information pour la gestion du
matériel divers en général et du matériel informatique en particulier, en développant une
base de données qui sera la transformation d’une base déjà existante sur MS Excel. Par la
suite on fragmentera notre base à travers une vue pour but d’allouer ce fragment à un
service distant autre que celui contenant la base de données, permettant ainsi la répartition
de l’information concernant matériel informatique par le biais d’un réseau local, via des
consultations simultanées de la vue.
Pour ce faire, nous avons opté dans notre mémoire pour le plan de travail suivant :
1. Introduction :
Une base de données est un ensemble d’informations structurées et mémorisées sur un
support permanant. Elle peut être locale, ou répartie dont certaines données sont distantes,
en termes d’espaces de stockage, de machines…etc. De plus, elles doivent pouvoir être
accédées par plusieurs utilisateurs locaux ou distants. Afin de permettre aux utilisateurs
d’interagir avec la base de données de façon cohérente et performante, la présence des
bases de données réparties devient indispensable.
- D’une base de données (au sens large, c’est-à-dire fichiers classiques ou base de
données), véritable mémoire de l’organisation puisqu’elle contient des informations
relatives au personnel, aux produits, aux clients de l’entreprise ;
- D’un ensemble de processus (et donc de processeurs humains ou automatiques)
capables de traiter ces données.
La rapidité et l’efficacité d’une prise de décision sont naturellement induites par la qualité
du système d’information. Cette qualité est notamment liée à la cohérence et au niveau
d’évolution de la base de données, qui doit refléter le plus fidèlement possible la situation
de l’entreprise. Par exemple, la quantité d’un produit enregistrée dans un fichier doit
correspondre à la quantité réellement disponible en magasin.
Depuis leur apparition, les bases de données ne cessent d’évoluer d’une manière
remarquable proportionnellement aux systèmes dans les quels ces dernières se retrouvent.
Ces systèmes peuvent être classés selon l’ordre chronologique comme suit :
1. Systèmes centralisés :
Pour obtenir la cohérence des données stockées, les informaticiens ont naturellement
songé à centraliser la base de données (ou les fichiers). Ainsi, les données sont stockées sur
un processeur unique auquel les utilisateurs accèdent à partir de terminaux.
4
Chapitre I Les bases de données réparties
Cette solution a l’avantage de la simplicité ; les informaticiens ont l’entière maîtrise de
l’informatique : choix cohérent des matériels et logiciels, application d’une méthode et de
standards dans le développement et la maintenance des programmes, contrôle de la
cohérence des données grâce à une administration centralisée des données.
Face à la multiplication des micro-ordinateurs et des stations de travail dans les entreprises
au début des années 80, les informaticiens ont été conduits à décentraliser le traitement de
l’information. Par exemple, une des formes de décentralisation appelée Infocentre, consiste
à remplacer les terminaux des utilisateurs par des micro-ordinateurs connectés au
processeur central ; le principe de fonctionnement de l’Infocentre est alors le suivant :
- Le stockage et les mises à jour de la base de données sont réalisés sur le processeur
central.
- Les traitements autres que les mises à jour peuvent être conçus, réalisés et mis en
œuvre par les utilisateurs directement sur leurs micro-ordinateurs.
5
Chapitre I Les bases de données réparties
décentralisée, le système réparti permet de limiter la vulnérabilité des centres
informatiques.
Le principe est simple : le système d’information (données et traitements) est réparti sur
différents sites (processeurs de traitement autonomes) interconnectés par un réseau de
communication. Ainsi, la défaillance d’un site ne peut entraîner à elle seule l’indisponibilité
totale du système.
Le SGBDR repose sur un système réparti qui est constitué d'un ensemble de
processeurs autonomes appelés sites ou serveurs (micro-ordinateurs, stations de travail, ...
etc.) reliés par un réseau de communication qui leur permet d'échanger des données.
Un SGBDR suppose que les données soient stockées sur deux processeurs au moins, ceux-ci
étant dotés de leur SGBD propre. Ainsi, dans l’exemple d’une configuration constituée de
trois processeurs interconnectés, dont l’un est chargé de la gestion des données (serveur
base de données), la base de données n’est évidemment pas répartie, bien que l’on soit en
présence d’un système réparti.
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Chapitre I Les bases de données réparties
La BDR est décrite par un schéma global qui contient la localisation des données, et qui
permet ainsi d’aiguiller un traitement sur les processeurs détenant les données à traiter.
Lorsque les BD qui composent la BDR reposent sur des modèles de données différents
(hiérarchique, réseau, relationnel, orienté objet), on parle de BDR hétérogène. Par voie de
conséquence, le SGBDR est également hétérogène puisqu’il est constitué de SGBD de types
différents.
Les utilisateurs n'ont pas à connaître les partitionnements de la base de données. Ils ne
doivent pas savoir si telle information est fractionnée et ne doivent donc pas se
préoccuper de la réunifier. C'est le système qui gère les partitionnements et les modifie
en fonction de ses besoins. Et c'est donc lui qui doit rechercher toutes les partitions et les
intégrer en une seule information logique présentée à l'utilisateur.
Enfin, le principe de transparence de la duplication est que les utilisateurs n'ont pas à
savoir si plusieurs copies d'une même information sont disponibles. La conséquence directe
est que lors de la modification d'une information, c'est le système qui doit se préoccuper
de mettre à jour toutes les copies.
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Chapitre I Les bases de données réparties
5.1 Niveau local : présent sur chaque serveur permet d’exporter les données locales.
- Adaptateur local : Le niveau local est constitué par un adaptateur local, ce module réalise
le passage du schéma exporté (ce dernier décrit les données exportées par un site vers les
sites clients) au schéma local (qui décrit les données d’une base de données locale) et
traduit les requêtes en programmes d’accès au SGBD local. En sens inverse, il traduit aussi
les réponses aux requêtes. Donc il est véritablement une passerelle depuis le SGBD distribué
vers un SGBD local.
Le schéma importé est un schéma exporté par un serveur vu d’un site client.
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Chapitre I Les bases de données réparties
Comme toute base de données, une BDR est décrite dans un dictionnaire de données sous
la forme de schémas globaux distincts conformément à l’architecture ANSI/SPARC :
- Le schéma conceptuel où les données sont représentées sans prendre en compte des
contraintes techniques ou de mise en forme, toutes les données sont décrites dans
ce schéma, indépendamment de leur localisation dans le système réparti ;
- Les schémas externes où les données sont décrites sous forme de vues, chacune
d’elles étant adaptée à une classe particulière d’utilisateurs ; un schéma externe,
élaboré à partir du schéma conceptuel, peut naturellement mixer des données
stockées dans différentes bases ;
- Le schéma interne où sont notamment spécifiées la fragmentation des données et la
localisation de ces fragments ; les données y sont décrites en fonction de
l’architecture du système réparti et des spécificités techniques du système
informatique (diversité des matériels et des modèles de données, architecture du
réseau,...). C’est au travers de ces différents schémas que l’utilisateur (programmeur
ou utilisateur final) peut accéder aux données réparties ; le langage utilisé est
généralement un langage de type SQL.
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Chapitre I Les bases de données réparties
Un traitement réparti fait appel à des données gérées par des SGBD distincts. Un
traitement réparti contient donc des requêtes formulées à partir d’un schéma externe
global, ces requêtes correspondent à un ensemble d’opérations de recherches et de mises à
jour sur des données de la BDR. Le SGBDR contrôle et analyse chaque requête et la
décompose en opérations locales (plan d’exécution réparti) qui seront soumises pour
exécution aux SGBD concernés.
Le contrôle de l’intégrité des données par un système informatique permet d’assurer que
tout traitement (transaction) sur la base de données fait passer celle-ci d’un état cohérent
(ou supposé tel) à un autre état cohérent. Nombreuses sont les sources pouvant engendrer
des anomalies : absence d’expression de certaines contraintes d’intégrité dans le schéma
des données, perte d’opérations suite à un enchevêtrement de mises à jour concurrentes,
panne du réseau,… etc.
Ce type de problème existe aussi dans les SGBD centralisés qui proposent des solutions
adaptées notamment pour gérer les accès concurrents aux données (techniques d’évitement
ou de détection des incohérences).
L’approche se base sur le fait que la répartition est déjà faite, mais il faut réussir à
intégrer les différentes bases de données existantes en une seule base de données globale.
En d’autres termes, les schémas conceptuels locaux existent et il faut réussir à les
unifier dans un schéma conceptuel global et donner aux utilisateurs une vue unique des
données implémentées sur plusieurs systèmes a priori hétérogènes (plates-formes et SGBD).
10
Chapitre I Les bases de données réparties
- Etapes de la démarche ascendante :
Au premier lieu il existe plusieurs sites dispersés. Chaque site possède un traducteur. Ce
dernier réalise des fonctions telles que la traduction du schéma exporté vers un schéma
équivalent en modèle canonique (intermédiaire).
7.2.1 La fragmentation :
11
Chapitre I Les bases de données réparties
Par ailleurs, la vérification des dépendances sur différents sites peut être une
opération très longue.
- Objectifs de la fragmentation :
Les applications ne travaillent que sur des sous-ensembles des relations. Une
distribution complète des relations générerait soit beaucoup de trafic, soit une
réplication des données avec tous les problèmes que cela occasionne : problèmes de
mises à jour, problèmes de stockage. Il est donc préférable de mieux distribuer ces sous-
ensembles.
- Types de fragmentation :
1. Fragmentation horizontale :
Exemple :
12
Chapitre I Les bases de données réparties
2. Fragmentation verticale :
Elle est le découpage d'une table en sous tables par projection permettant de
sélectionner les colonnes composant chaque fragment.
3. La fragmentation mixte :
Pour réaliser une fragmentation correcte, il faut respecter les trois règles suivantes:
1. Complétude :
2. Reconstruction :
Pour toute relation R décomposée en un ensemble de fragments Ri, il existe une opération
de reconstruction à définir en fonction de la fragmentation. Pour les fragmentations
horizontales, l'opération de reconstruction est une union. Pour les fragmentations
verticales c'est la jointure.
13
Chapitre I Les bases de données réparties
3. Disjonction :
Une donnée n'est présente que dans un seul fragment, sauf dans le cas de la
fragmentation verticale pour la clé primaire qui doit être présente dans l'ensemble des
fragments issus d'une relation.
Suite à la fragmentation des données, il est nécessaire de les placer sur les
différentes machines. Un schéma doit être élaboré afin de déterminer la localisation de
chaque fragment, et sa position dans le schéma global est ce qu'on appelle l'allocation.
Cette technique consiste à dupliquer (répliquer) des parties de la base c'est à dire les
fragments sont dupliqués sur plusieurs sites selon les besoins (la réplication est
détaillée en section suivante). Cette approche est très intéressante car elle améliore
considérablement les performances du système, étant donné que les fragments sont
dupliqués un peu partout et que les accès aux données sont locaux, évitant ainsi la
congestion du réseau et améliorant les temps de réponse. Le principal inconvénient de
cette technique est la difficulté des mises à jour de tous les fragments dupliqués.
- Allocation dynamique :
Avec cette technique, l'allocation d'un fragment peut changer en cours d'utilisation de la
BDR, c'est à dire qu'un fragment qui se trouve sur un site A à un instant T, peut être retrouvé
sur un site B à un instant T+1. Cette technique est efficace mais exige le maintien du schéma
d'allocation et des schémas locaux.
7.2.3 La réplication :
La réplication consiste à copier les informations d'une base de données sur une
autre. L'objectif principal de la réplication est de faciliter l'accès aux données en
augmentant la disponibilité. Soit parce que les données sont copiées sur différents sites
permettant de répartir les requêtes, soit parce qu'un site peut prendre la relève lorsque le
serveur principal s'écroule. Une autre application tout aussi importante est
l'amélioration des performances des requêtes sur les données locales, et ceci permet
d'éviter les transferts de données et d'accroître la résistance aux pannes.
- Types de réplication :
1. Réplication asymétrique :
14
Chapitre I Les bases de données réparties
remplaçant si l'on veut continuer les mises à jour. On aboutit alors à une technique
asymétrique mobile dans laquelle le site primaire change dynamiquement. On distingue
l'asymétrie synchrone et l'asymétrie asynchrone :
Elle utilise un site primaire qui pousse les mises à jour en temps réel vers un ou
plusieurs sites secondaires. La table répliquée est immédiatement mise à jour pour
chaque modification, par utilisation de trigger sur la table maîtresse.
Elle pousse les mises à jour en temps différé via une file persistante. Les mises à jour
seront exécutées ultérieurement, à partir d'un déclencheur externe, l'horloge par
exemple.
2. Réplication symétrique :
Dans ce cas, la mise à jour des tables répliquées est différée. Cette technique risque de
provoquer des incohérences de données.
8.1Les avantages :
- Reflète une structure organisationnelle : amélioration de l’autonomie locale.
15
Chapitre I Les bases de données réparties
- Disponibilité améliorée : une panne dans un site d’un SGBDR ou une rupture de ligne
de communication isolant un ou quelques sites n’immobilise pas l’ensemble du
système.
- Economie : l’ajout de stations de travail à un réseau est nettement moins
couteux que l’extension d’un gros système centralisé.
- Facilité d’accroissement (scalability) : Ajouter des machines aux réseaux sans
toucher a la cohérence de la base de données.
La distribution est également coûteuse en matière du personnel utilisé car il faut payer les
administrateurs de chaque site.
9. Conclusion :
Les bases de données réparties sont une solution séduisante pour parvenir à maîtriser la
distribution des ressources informatiques sur plusieurs processeurs interconnectés.
Mais, au-delà de la complexité des techniques mises en œuvre et des performances qui se
révèlent parfois décevantes (comparées aux temps de réponse de certains systèmes
centralisés), d’autres écueils freinent le développement des bases de données réparties.
16
Chapitre II
Etude et description de l’existant
Chapitre II Etude et description de l’existant
1. Introduction :
Au cours de ce chapitre, nous allons nous consacrer à l’étude de l’existant pour
comprendre le fonctionnement de l’organisme d’accueil, et mettre en évidence les
différents documents manipulés et aussi les acteurs intervenant dans ce système, et leurs
besoins.
SONELGAZ est une entreprise nationale dans le domaine de fourniture de des énergies
électriques et gazières. Ses missions principales sont : la production, le transport et la
distribution de l’électricité, ainsi que le transport et la distribution du gaz naturel par
canalisation.
- En 1947, est créé l’établissement public EGA « Electricité et Gaz d’Algérie », au quel
est confié le monopole de la production, du transport et de la distribution de
l’électricité et du gaz.
- En 1969, EGA soutient le développement économique et social, et de vient par la
suite SONELGAZ « Société Nationale d’Electricité et GAZ », à ce moment c’était déjà
une entreprise de taille importante dont le personnel était d’environ 6000 agents.
- En 1991, SONELGAZ devient EPIC « Etablissement Public à caractère Industriel et
Commercial ». tout en confirmant sa mission de service publique, elle pose la
nécessité de la gestion économique et de la prise de compte de la commercialité.
Dans ce même objectif, l’établissement devient en 2002, une société par actions
« SPA ». cette promotion donne à SONELGAZ la possibilité d’élargir ses activités à
d’autres domaines relevant du secteur de l’énergie et aussi d’intervenir hors des
frontières d’Algérie.
- En 2006, la fonction de distribution est structurée en quatre filiales :
• Alger.
• Région du centre.
• Région Est.
• Région Ouest.
- En 2008, le nombre de filiales es passé de quatre à huit qui sont :
• SPE : Société de production d’électricité.
18
Chapitre II Etude et description de l’existant
2.2. Missions :
19
Chapitre II Etude et description de l’existant
Direction Régionale
Chargé de la Communication
Chargé de la Sécurité
Division Exploitation Electricité Division Exploitation Gaz Division Etude Exécution et Travaux
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Chapitre II Etude et description de l’existant
c. Chargé de la sécurité :
- Planifier des visites avec programmation des actions de sensibilisation.
- Préparer les simulations d’incidents gaz et électricité avec les services technique.
- Participer aux prévisions d’équipements matériels de sécurité.
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Chapitre II Etude et description de l’existant
- La maitrise d’œuvre.
- Etude de travaux électricité et gaz.
- La gestion des investissements en matière de crédit et d’ordonnancement.
Organigramme :
Elle est chargée d’assurer les règlements décentralisés, procéder au suivi des
rapprochements des comptes bancaires et CCP ainsi qu’à l’élaboration du tableau de bord et
du budget annuel de la direction régionale et assurer les travaux de contrôle et
comptabilisation de toutes les opérations de cette dernière.
Organigramme :
22
Chapitre II Etude et description de l’existant
h. Division d’Exploitation :
Elle est chargée de gérer les agents et les apprentis, élaborer les prévisions budgétaires et
les plans de formation et de carrières. Elle est chargée de la préparation et réalisation des
plans de recrutements de l’unité.
Organigramme :
Elle est chargée de la gestion des moyens internes et des affaires générales de l’unité. Elle
assure les activités suivantes :
23
Chapitre II Etude et description de l’existant
- Approvisionner et contrôler la fourniture en consommables.
- Veiller à la maintenance des systèmes.
- Développer les applications propres à la direction régionale.
3. Problématique :
Notre étude se déroule entre les deux sites : la division de gestion des systèmes
informatiques « DGSI », et la subdivision des affaires générales « SAG » au niveau de la
direction de distribution de Tizi-Ouzou, concernant le suivi de la gestion du matériel
informatique. Afin d’invoquer la problématique rencontrée, on va d’abord commencer par
une description des flux existants et la relation qu’il y a entre ces deux services.
• Chaque année, la SAG établit une liste de tout le matériel informatique manquant à
la direction de distribution de Tizi-Ouzou et ses agences. Cette liste est accompagnée
par un bilan annuel des couts des achats, et est envoyée à la division de finance et
comptabilité DFC.
• Après étude, la division comptabilité et finances alloue un budget annuel qui va
couvrir l’ensemble des achats de la SAG pendant une année.
• La liste de tout le matériel informatique manquant est communiquée à la direction
des affaires générales DAG se trouvant à Blida, qui à son tour s’occupe de faire le
grand achat et de le fournir au niveau de la SAG de Tizi-Ouzou.
• Cette fourniture est accompagnée par « un bordereau » d’expédition, dans le quel
sont mentionnés : la quantité, la désignation et le prix de chaque matériel fourni. Ce
bordereau est envoyé en deux exemplaires qui seront signés par le directeur de la
distribution de Tizi-Ouzou. La DFC gardera un exemplaire, et l’autre sera archivé au
niveau la SAG.
• La DGSI teste l’ensemble du matériel informatique fourni, pour détecter les défauts
et les anomalies pouvant paraitre sur celui-ci. Si le matériel est défectueux, il sera
réexpédié vers la direction des affaires générales de Blida DAG. S’il est bon, la SAG
s’occupera de l’enregistrer et de le stocker dans ses magasins, et il sera par la suite
expédié vers la division ou le district qui le sollicitera.
• L’enregistrement du matériel (informatique, bureautique et autre) se fait par deux
agents à la subdivision des affaires générales SAG. L’enregistrement consiste en
l’attribution d’un code barre interne à la direction de distribution de Tizi-Ouzou ainsi
que d’autres coordonnées comme le numéro de série déjà existant. Le tout sera
porté dans un fichier électronique se trouvant sur Microsoft Excel appelé fichier
auxiliaire.
• Dans le fichier auxiliaire, on trouve des informations concernant chaque matériel : le
code barre, l’affectation, le type, la désignation, le numéro de série, la marque, le
mode et type, et l’observation concernant le matériel.
24
Chapitre II Etude et description de l’existant
Pour pallier à ce problème, nous avons décidé de mettre en œuvre une base de données
au niveau de la SAG sous le SGBD Oracle 9i pour la transformation du fichier auxiliaire se
trouvant sur Microsoft Excel. Et à travers une vue de cette base de données concernant le
matériel de type informatique uniquement, ce qui nécessitera d’effectuer une
fragmentation horizontale, on va permettre à la DGSI de consulter le suivi et la gestion de
l’ensemble de ce matériel et extraire toutes les informations nécessaires pour la mise à jour
de sa base de données, à travers un réseau local qu’on va installer entre ces deux services.
Avec cette manière, on parviendra à garder la confidentialité des informations jugées privées
au niveau de la SAG, portant sur l’ensemble du matériel autre que celui d’informatique.
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Chapitre II Etude et description de l’existant
Taches du poste
- Enregistrer le nouveau matériel à chaque nouvelle fourniture, par l’attribution d’un code
barre interne à l’entreprise, et d’un numéro de série.
- Porter les informations du matériel enregistré sur le fichier auxiliaire.
- Veiller à la mise à jour du fichier auxiliaire, en gardant la traçabilité de l’ensemble
matériel manipulé par la SAG.
- Archiver les différents documents utilisés par la SAG, dans des boites d’archivage portant
une date indiquée par le mois et l’année selon la chronologie du document.
- Etablir la liste du matériel manquant chaque fin d’année.
A.1 Liste des documents manipulés par la subdivision des affaires générales, pour la
gestion du matériel (tableau 2):
Nº CODE DESIGNATION
01 BE Bordereau d’expédition
03 DA Décision d’affectation
04 FA Fichier auxiliaire
26
Chapitre II Etude et description de l’existant
B. Division de gestion des systèmes informatiques (tableau 3) :
Taches du poste
Nº CODE DESIGNATION
05 DEC Décharge
07 FA Fichier auxiliaire
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Chapitre II Etude et description de l’existant
Remarque :
Le fichier auxiliaire et la demande de prestation de service utilisés par la DGSI, sont les
mêmes que ceux utilisés par la SAG. Sauf que la DGSI n’utilise qu’une partie précise du
fichier auxiliaire concernant le matériel informatique.
Code : BE
Caractéristiques du document
Nature : Externe.
Acheminement du document
Élément d’information
Qte Quantité N 3
Mnt Montant N 30
28
Chapitre II Etude et description de l’existant
Dest destinataire A 30
Code : DPS
Rôle : Ce document est utilisé pour demander la fourniture d’un matériel quelconque au niveau de la
subdivision des affaires générales SAG.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Élément d’information
Qte Quantité N 3
Des Désignation AN 50
29
Chapitre II Etude et description de l’existant
Code : DA
Rôle : Ce document est destiné au service ou division vers le quel sera affecté le matériel
informatique, portant ainsi la quantité et désignation du matériel.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Subdivision affaires lors de l’envoi, pas de Service ou district L’archivage se fait après le
générales SAG service intermédiaire. sollicitant le matériel. renvoi du document.
Élément d’information
30
Chapitre II Etude et description de l’existant
Des Désignation AN 50
Qte Quantité N 3
Obs Observation AN 30
Code : FA
Rôle : Ce document est utilisé pour enregistrer et garder la traçabilité de tout le matériel manipulé
par la SAG.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Élément d’information
Afect Affectation A 30
31
Chapitre II Etude et description de l’existant
Typ Type A 10
Des Désignation AN 50
Marq Marque A 30
Obs Observation AN 30
Code : DEC
Désignation : Décharge.
Rôle : Ce document est établi par la DGSI à chaque affectation du matériel informatique vers un
destinataire l’ayant sollicité, en deux exemplaires.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Division de gestion Pas de service Division ou district vers Pas d’archivage lors de
des systèmes intermédiaire lequel a été affecté le l’envoi du document
informatiques DGSI matériel informatique
Signé et renvoyé Pas de service Division de gestion des 1 exemplaire stocké dans la
par le récepteur du intermédiaire systèmes informatique boite d’archivage de DGSI
matériel-info. DGSI
1 exemplaire stocké dans la
boite d’archivage de la SAG.
Élément d’information
32
Chapitre II Etude et description de l’existant
Qte Quantité N 3
Des Désignation AN 50
Code : DPS
Rôle : Ce document est utilisé pour demander la fourniture d’un matériel quelconque au niveau de la
SAG, sauf le matériel informatique.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Élément d’information
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Chapitre II Etude et description de l’existant
Qte Quantité N 3
Des Désignation AN 50
Code : FA
Rôle : Une partie du fichier auxiliaire se trouvant à la SAG, sert à mettre à jour la base de données
qui est au niveau de la DGSI portant sur le matériel informatique, à fin de garder la traçabilité et les
informations de ce dernier après enregistrement.
Caractéristiques du document
Nature : interne
Acheminement du document
Subdivision affaires Pas de service Division de gestion des Disque dur de la subdivision
générales SAG. intermédiaire. systèmes informatiques affaires générales SAG.
DGSI.
Élément d’information
34
Chapitre II Etude et description de l’existant
Afect Affectation A 30
Typ Type A 10
Des Désignation AN 50
Masrq Marque A 30
Obs Observation AN 30
a. Acteur : En règle générale, un acteur représente un rôle qu’un homme, une machine ou
même un système joue avec un autre système. Il est représenté par un petit personnage.
b. Flux : graphiquement, il est représenté par une flèche orientée de l’acteur émettant vers
l’acteur recevant. Le libellé du flux est inscrit à coté de la flèche tracée.
35
Chapitre II Etude et description de l’existant
6.2 Liste des flux (tableau 13) :
Code Désignation
07.a Demande de fourniture en matériel informatique pour un service quelconque par DGSI
36
Chapitre II Etude et description de l’existant
(2)
DAG DFC
(3.c)
DGSI SAG
(4)
(12) (11)
(8), (8.a)
(7)
Service ou DIRECTEUR
Division
37
Chapitre II Etude et description de l’existant
38
Chapitre II Etude et description de l’existant
Evènement 1 Evènement N
ET /O
Nº Nom de la phase
Résultat 01 Résultat N
Voici la liste des procédures manipulées entre la DGSI et la SAG, concernant le matériel de
type informatique dans le système existant :
Nº Nom de la procédure
05 Affectation du matériel
39
Chapitre II Etude et description de l’existant
MA Toujours
Bordereau Matériel
d’expédition informatique
archivé disponible
40
Chapitre II Etude et description de l’existant
Procédure Nº 02 : Teste du nouveau matériel informatique (tableau 17) :
MA Toujours
41
Chapitre II Etude et description de l’existant
Procédure Nº 03 : Enregistrement du matériel informatique testé (tableau 18) :
Réception du matériel
informatique provenant de
la DGSI après le teste
A la remise Subdivision affaires
du bon générales SAG
matériel
informatique
à la SAG
MA Toujours
42
Chapitre II Etude et description de l’existant
Procédure Nº 04 : Mise à jour de la base de données matériel-informatique se
trouvant au niveau de la DGSI (tableau 19) :
Réception du fichier
auxiliaire portant sur le
matériel informatique
Apres Division de gestion
enregistrement des systèmes
du matériel au informatiques
fichier
DGSI
auxiliaire
MA Toujours
43
Chapitre II Etude et description de l’existant
Procédure Nº 05 : Affectation du matériel informatique (tableau 20):
Réception de la décharge
établit par la DGSI
MA Toujours
8. Conclusion :
Au cours de ce chapitre, nous avons essayé de décrire au mieux la situation existante et le
fonctionnement de notre organisme d’accueil. Cependant, nous avons remarqué qu’il y a un
inconvénient concernant le partage d’information réclamée par la DGSI au niveau de la SAG
pour la mise à jour de sa base de données, due à l’absence d’un réseau local entre les deux
services. Au cours de l’étude conceptuelle qui suit, nous allons essayer de pallier à ce
problème par la mise en œuvre d’une architecture repartie, permettant ainsi d’avoir
l’information en temps réel à travers une vue d’une partie de la base de données de la SAG
qui sera allouée à la DGSI, et accessible via un réseau.
44
Chapitre III
Analyse et Conception
Chapitre III Analyse et Conception
1. Introduction :
Au cours du chapitre précédent, nous avons recueilli toutes les informations
nécessaires au fonctionnement du système existant ainsi qu’aux acteurs intervenants. Dans
ce chapitre, on va aborder l’étude conceptuelle de notre base de données repartie avec le
langage de modélisation UML, illustrant ainsi la démarche orientée objet, à fin de concevoir
un système qui pourra répondre aux besoins des deux services du champ d’étude.
2. Analyse :
Dans cette partie nous allons spécifier d’une manière bien détaillée et claire les
interactions significatives (interaction entre le système et les acteurs, interaction entre les
objets) du point de vue de la base de données de gestion et suivi du matériel manipulé par la
SAG de la direction de distribution de Tizi-Ouzou. Pour cela nous allons procéder en premier
lieu à la détermination d’une manière globale de ce qui se trouve dans le champ de
l’application.
46
Chapitre III Analyse et Conception
2.1. Présentation :
• Transformer une base de données existante sur Microsoft Excel appelée « Fichier
auxiliaire » se trouvant au niveau de la subdivision des affaires générales SAG, en une
base de données sous le SGBD Oracle.
• Cette base de données comportera toutes les coordonnées et traçabilités de
l’ensemble du matériel manipulé par la SAG y compris le matériel informatique.
• Attribuer les droits d’administration « Ajout, mise à jour… » à l’agent de la SAG
responsable de la gestion du stock et du fichier auxiliaire.
• Mise en œuvre d’un réseau informatique local, entre la SAG et la DGSI.
• Implémenter une vue sous Oracle de cette base de données, portant uniquement sur
le matériel de type informatique.
• Permettre à la division de gestion des systèmes informatiques DGSI de consulter la
vue de la base de données en se connectant à l’application, grâce au réseau local
établi entre les deux services. Ainsi, extraire les informations nécessaires à la mise à
jour de sa base de données, et éviter les erreurs.
Durant la période de stage qu’on a effectué au sein de notre organisme d’accueil, nous
avons procédé en premier lieu à la localisation des centres d’activité de la gestion du
matériel, et en second lieu on a identifié les principaux acteurs qui seront les futurs
utilisateurs de la base de données :
47
Chapitre III Analyse et Conception
Le diagramme de contexte est un modèle conceptuel de flux qui permet d'avoir une vision
globale des interactions entre le système et les liens avec l'environnement extérieur. Il
permet aussi de bien délimiter le champ d’étude. Pour notre cas le diagramme de contexte
est donné par la figure suivante:
SAG DGSI
A chaque agent est identifié un espace qui regroupe toutes les actions et tâches qu’il peut
effectuer. Pour notre application on a identifié 3 espaces :
3. Conception :
Le processus de conception de notre système comprend deux niveaux :
• Le niveau applicatif.
• Le niveau de données.
48
Chapitre III Analyse et Conception
•Le diagramme de cas d’utilisation global est élaboré, ensuite des diagrammes de
cas d’utilisation plus détaillés seront présentés.
• A l’aide des diagrammes de séquence, on formalise graphiquement le ou les
scénarios qui décrivent chaque cas d’utilisation.
• Le diagramme de déploiement nous aidera à donner une schématisation des
différents nœuds du système.
• A partir des diagrammes d’activités, on identifie les classes, ensuite des
diagrammes de classes généraux sont élaborés.
Le niveau Données : Ce niveau concerne l’organisation conceptuelle, logique et
physique des données. Les données de l’application sont identifiées durant la phase
d’analyse de notre démarche au niveau applicatif, les classes significatives seront
dégagées, à ce stade, la conception de la base de données peut être élaborée.
La démarche que nous avons adoptée pour la conception de notre base de données
s’étale sur les étapes suivantes :
La description d’un cas d’utilisation définit ce qui survient dans le système quand le cas est
exécuté. Il correspond à une séquence d’actions exécutée par le système et qui fournit un
résultat à un acteur particulier. Il permet de décrire ce que le système devra faire, sans
spécifier comment le faire.
Dans ce qui suit nous allons identifier les différents cas d’utilisation.
La figure suivante montre le diagramme global des cas d’utilisation de la base de données
gestion et suivi du matériel :
49
Chapitre III Analyse et Conception
Gérer le matériel
« include »
« include »
Mise à jour de la Vue
Matériel-Informatique
SAG « include »
Consulter la vue Matériel-
Informatique
Authentification
« include »
« include »
Maintenance du système
Admin
Modifier matériel
Supprimer matériel
50
Chapitre III Analyse et Conception
Ajouter matériel-informatique
Modifier matériel-informatique
SAG
Supprimer matériel-informatique
Admin
51
Chapitre III Analyse et Conception
Diagrammes de séquence :
Les diagrammes de séquences sont utilisés pour croiser la description des classes et des
cas d’utilisation, ils montrent les interactions entre objets selon un point de vue temporel.
On définie ainsi le rôle joué par les objets dans la réalisation des scénarios, ainsi que les
mécanismes de collaboration associés.
Ces diagrammes peuvent être utilisés pour modéliser les responsabilités et les
collaborations sans prendre en compte les mécanismes définis par l’architecture du
système. Ils permettent de mieux visualiser la séquence des messages par une lecture de bas
en haut. L’axe vertical représente le temps et l’axe horizontal représente les objets qui
collaborent, une verticale en pointillé est attachée à chaque objet qui représente sa ligne de
vie.
Remplit
Valide Ramène
Atteint
Accès refusé
Atteint
Construit
Affiche
52
Chapitre III Analyse et Conception
Espace MSG
SAG confirm.
SAG
Atteint
Affiche
Atteint
Affiche
Saisit et soumet
Atteint
Construire
53
Chapitre III Analyse et Conception
Espace
DGSI
DGSI
Atteint
Affiche
Construit
Affiche
Diagramme de déploiement :
54
Chapitre III Analyse et Conception
Niveau 1 Niveau 2
Serveur de données
Client
et d’application
Diagrammes d’activité :
Le diagramme d’activités fait partie des cinq diagrammes d’UML utilisés pour la
modélisation des aspects dynamiques des systèmes. C’est une variante des diagrammes
d’états transition organisé par rapport aux actions et principalement destiné à préciser des
spécifications sous une forme procédurale, soit au niveau du domaine (enchaînement des
processus et logique applicative), soit au niveau du système (algorithmes et scripts
d’exploitation).
55
Chapitre III Analyse et Conception
56
Chapitre III Analyse et Conception
Les diagrammes de classes sont les plus courants dans la modélisation des systèmes
orientés objets, ils fournissent le cadre dans lequel s’organise le développement des objets
du système. Ils représentent un ensemble de classes, d’interfaces et de collaboration ainsi
que leurs relations. Ces diagrammes sont utilisés pour modéliser la vue de conception
statique.
Dans ce qui suit nous allons présenter les diagrammes de classes de quelques cas
d’utilisation.
57
Chapitre III Analyse et Conception
Pour rendre le diagramme de classe du système plus aisé à comprendre, nous allons le
découper selon un critère fonctionnel en packages. Le package contient les éléments du
modèles c'est-à-dire les classes, diagrammes, composants et interfaces.
Pour le diagramme de classe général de chaque package, nous avons choisi d’utiliser la
légende suivante :
Client
Formulaire
Serveur
58
Chapitre III Analyse et Conception
«submit » Redirect
« Link »
Submit Redirect
Fichier Form. Ajouter MSG
Espace
auxiliaire ajouter matérie Erreur
SAG
matériel
« Build »
MSG
Confirmation
« Link »
« Build »
MSG
Confirmation
« Link »
« Submit » MSG
Modifier
Erreur
matériel
« Redirect »
« Build »
MSG
Confirmation
59
Chapitre III Analyse et Conception
«submit » Redirect
Submit
Fichier Form. Consulter Imprimer
Espace
auxiliaire Consulter matériel
DGSI
matériel info. « Build »
« Build »
Mise à jour
BDD Mat-Info
Dans notre cas, l’administrateur se connecte à la base de données via Oracle Manager
Console pour effectuer toutes les taches qui lui sont propres : Ajouter de nouveaux
utilisateurs, attribuer des privilèges, modifier ou supprimer des utilisateurs, créer des tables
ou des vues.
60
Chapitre III Analyse et Conception
Redirect
Submit
Build
Oracle EM Page Form. Authentif. MSG
console authen. Authentif. Admin Erreur
Admin.
« Link »
« Link »
Submit « Link »
Base de Redirect MSG
Espace Form. Créer
données Création USER Erreur
Admin
SAG USER
« Build »
MSG
Confirmation
« Link »
MSG
Confirmation
« Submit » « Redirect »
« Build »
MSG
Confirmation
61
Chapitre III Analyse et Conception
Après la traduction des diagrammes des cas d’utilisation en diagrammes de séquences puis
en diagrammes de classes nous allons élaborer le diagramme de classes final (classe entités)
qui sera la référence pour l’implémentation de la base de données, et cela parce qu’il met en
évidence les classes entités et leurs attributs.
1 Fichier_Auxiliaire 1
Cod_bar.Matériel
Affect.Matériel
Typ.Matériel
DES .Matériel Consulter
Gérer
Num_Séri.Matériel
Marque.Matériel
Mod_Typ.Matériel
Obs.Matériel
1
* 1 1
62
Chapitre III Analyse et Conception
AFFECT Affectation A 30
TYP Type A 10
DES Désignation A 50
MARQ Marque A 30
OBS Observation AN 30
USER User A 15
PASSWRD Password AN 10
63
Chapitre III Analyse et Conception
4. Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présenté l’analyse et la conception de notre application en
utilisant le langage UML pour le web. En premier lieu on a commencé par l’analyse des
besoins ensuite on a entamé la partie conception qui comprend deux niveaux, le niveau
applicatif et le niveau de données. Le niveau applicatif concerne les fonctionnalités et les
traitements de l’application, ensuite on est passé au niveau de données qui concerne la
définition et la construction de la base de données. Dans le chapitre qui suit, nous allons
présenter la phase réalisation de l’application.
64
Chapitre IV
Réalisation
Chapitre IV Réalisation
1. Introduction
Dans ce chapitre nous allons présenter notre plate forme de développement et les outils
utilisés pour mener à terme la réalisation de notre base de données, ainsi que quelques
interfaces du logiciel.
2. Outils de développement :
Avant la réalisation de notre application, nous avons opté pour l’utilisation de la plate-
forme Windows avec son système d’exploitation Windows XP service pack 3, sur lequel sont
installés :
3. Environnement de programmation :
Tout développement de logiciel nécessite le choix d’un langage adéquat. Pour notre
logiciel, qui est une base de données repartie, on a utilisé l’outil de développement Forms
Builder de la plate forme Oracle DevSuit 10g, qui offre une convivialité de travail et une
souplesse de programmation pour les applications déployées sur le réseau (développement
des applications graphiques tel que : fenêtres, formulaires …).
Le langage est porté sur le PL/SQL qui est un langage de programmation d’Oracle
Corporation qui combine toutes les possibilités de manipulation des données proposées par
SQL en relation avec un langage de programmation procédural de haut niveau. Il offre de
nombreux avantages :
66
Chapitre IV Réalisation
La figure suivante montre l’interface graphique d’OEM dans laquelle sont montées les
tables, vue ainsi que le schéma de leur appartenance :
67
Chapitre IV Réalisation
68
Chapitre IV Réalisation
de sonnées, sans avoir le droit de mettre à jour ou modifier les informations existantes. Tout
ça peut se faire à travers le réseau local mis en œuvre entre les deux services.
Verrouiller
Déconnecter
Supprimer enregistrement
Interroger un matériel
Enregist. Ajouter un
la BDD Suivant matériel
Enregistrer
Imprimer
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Chapitre IV Réalisation
6. Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présenté les outils et l’environnement de développement de
notre application. Nous avons en outre explicité les composants de la base de donnés à
travers OEMC (Oracle Enterprise manager console), puis pour terminer nous avons présenté
quelques interfaces destinées aux utilisateurs de l’application.
70
Conclusion
Générale
Conclusion générale
Toute entreprise, quelle que soit sa vocation et son caractère, doit se mettre au diapason
de la progression technologique et faire face par l’automatisation de ses structures et la
formation de son personnel, afin d’améliorer son rendement et son service et d’assurer sa
place sur le marché au milieu de la concurrence.
Le stage pratique que nous avons effectué au sein de la société de distribution de Tizi-
Ouzou (SDC filiale de SONELGAZ) nous a permis l’acquisition de connaissances multiples
comme l’implémentation des bases de données sous Oracle 9i avec l’utilisation de
quelques utilitaires de ce SGBD tel que Net manager pour les configurations réseaux, foms
builder pour le développement d’applications permettant l’interrogation des bases de
données , ainsi que le langage PL/SQL utilisé. Nous avons particulièrement appris à
concevoir et à réaliser des systèmes d’information de gestion des bases de données
réparties, tout en ayant une idée précise sur l’univers du travail.
Enfin, nous souhaitons que ce modeste travail puisse répondre favorablement aux
besoins des futurs utilisateurs et servir comme un outil d’aide et de documentation pour les
étudiants à venir.
Bibliographie
Bibliographie
Mémoire de fin d’étude de Mr AMNACHE Sofiane intitulé « Conception et réalisation
d’une application client/serveur sous oracle, cas pratique INSIM de Tizi-Ouzou »
promotion Ingénieur 2009, UMMTO.
Mémoire de fin d’étude de Mr : REDAOUI Sofiane intitulé « Conception et réalisation
d’une base de données repartie sous oracle, cas pratique NAFTAL de Tizi-Ouzou ».
promotion master 2011, UMMTO.
Décision Nº 474/DG du 16 mai 2005 portant organisation de la DGCD « document
officiel de la SONELGAZ », pour ce qui est sur l’historique et l’organisation de la
société algérienne de distribution de l’électricité et du gaz SONELGAZ.
Oracle 10g sous Windows, EYROLLES édition, de l’auteur Gilles Briard.
Joseph GABAY et David GABAY, UML 2 Analyse et conception Edition DUNOD 2009.
Jérôme GABILLAUD, Le Guide de Formation Oracle 10g SQL, PL/SQL, SQL*Plus ENI
2005.
Christian Soutou avec la participation d’Olivier Teste dans SQL pour ORACLE 3eme
édition, EYROLLES édition.
Oracle version 9i est généralement disponible en 3 CD. Insérez le premier des 3 CD pour
commencer l’installation :
Remarquez que la langue utilisée par l'Installer dépend de celle utilisée par votre système
d'exploitation.
Si une version Oracle n'est plus utile et existe encore, commencez par la supprimer via le
bouton Désinstaller les produits. Sinon, bouton Suivant.
C'est ici que nous déterminons la variable ORACLE_HOME, c'est-à-dire l'endroit physique
où le logiciel Oracle sera installé. Choisissez un disque sur lequel il y a 3GO de libre (hormis
pour une installation pure cliente).
Choix du produit à installer. Nous sommes intéressés à installer le serveur et son client sur
notre machine et choisissons donc la1ère option.
Si quelque chose vous semble louche, il est encore temps de revenir en arrière pour
apporter les corrections voulu.
Et c'est parti : le temps d'une bonne pause café...
... qui ne devrait pas vous faire oublier de changer les CDs !
Voilà, c'est fini. Pendant tout ce temps, Oracle a même pris le temps de configurer un
serveur http Apache. Vous pouvez choisir le bouton Quitter.