Covid-19, Le Bilan en 40 Questions (Jean-Luc Izambert, Claude Janvier)
Covid-19, Le Bilan en 40 Questions (Jean-Luc Izambert, Claude Janvier)
Covid-19, Le Bilan en 40 Questions (Jean-Luc Izambert, Claude Janvier)
Covid-19
Le bilan en 40 questions
IsEdition
TABLE DES MATIÈRES
ISBN : 978-2-36845-295-0
Caractéristiques du SRAS-CoV-2
Dans un entretien(16) publié en mai 2020 par CNRS Le
journal entre le journaliste scientifique Philippe Tes-
tard-Vaillant(17) et le physicien et chimiste Jean-
François Doussin(18), ce dernier donne quelques-unes
des principales caractéristiques de la circulation du
virus. Extrait :
« Si le coronavirus n’est pas “véhiculé” par les parti-
cules de pollution, cela signifie-t-il qu’il lui est impos-
sible de se déplacer sur de longues distances ?
Jean-François Doussin : Hélas, non. Les derniers ré-
sultats scientifiques tendent à montrer que le patho-
gène n’a pas besoin d’un vecteur pour se transporter
loin, en tout cas bien au-delà de deux mètres. Contrai-
rement à ce que l’on pensait au début de la pandémie,
le virus, qui mesure 0,15 micron et qui est entouré
d’une gangue de mucus desséché quand on l’exhale en
toussant, en éternuant, en parlant… ne semble pas
majoritairement contenu dans des particules de très
grosse taille, nettement supérieures à 10 microns,
comme les postillons, mais dans des particules de
l’ordre de 0,5 à quelques microns. Or, les gouttelettes
de ce calibre, qu’arrêtent les masques de type FFP2,
FFP3 et N95, mais pas les masques chirurgicaux ou «
faits maison »(19), possèdent une vitesse de chute qua-
siment négligeable. Elles restent en suspension dans
l’air pendant des heures et peuvent parcourir des di-
zaines, voire des centaines de kilomètres. À Bergame
(Italie), des mesures réalisées loin des sources de con-
tamination ont révélé la présence de l’ARN du virus
dans des échantillons d’aérosols.
Combien de temps le coronavirus reste-t-il actif, donc
potentiellement contaminant, en phase aérosol ?
J.-F. D : Entre 3 et 16 heures, selon deux études ré-
centes.
Le fait que le SARS-CoV-2, une fois exhalé par un ma-
lade, soit capable de voyager et demeure “vivant” un
long moment permet-il de conclure à un risque de
transmission “aéroportée” ?
J.-F. D : Non. Vu le faible nombre de virus exhalés par
les malades et surtout leur grande dilution quand ils
circulent dans l’air, on ignore si la quantité de patho-
gènes inhalés par un récepteur est suffisante pour être
infectieuse. Aucun cas d’aérocontamination à longue
ou moyenne distance n’a encore été décrit. En l’état
actuel des connaissances, on ne peut pas affirmer
qu’un tel risque existe, mais rien ne permet de prouver
le contraire. D’où la nécessité d’approfondir d’urgence
les recherches sur le sujet, le réseau français des in-
frastructures de recherche sur l’atmosphère pouvant
certainement constituer un atout fort en la matière. »
EN SAVOIR PLUS
Centre Alexandre-Koyré
Fondé en 1958 au sein de la Ve section (Sciences éco-
nomiques et sociales) de l’École pratique des hautes
études (EPHE), le « Centre de recherches d’histoire des
sciences et des techniques », devenu Centre
Alexandre-Koyré en 1966, est un laboratoire de l’École
des hautes études en sciences sociales, du CNRS et du
Muséum national d’histoire naturelle (UMR 8560). Si-
tué à Paris, il réunit actuellement plus d’une centaine
de chercheurs, enseignants-chercheurs, post-
doctorants et doctorants. Leurs travaux s’inscrivent
dans une perspective d’histoire sociale et culturelle
des sciences, des savoirs et des techniques, en dia-
logue avec des approches philosophiques et sociolo-
giques.
Site internet : www.koyre.ehess.fr
Centre national de la recherche scientifique – CNRS –
(www.cnrs.fr)
Le CNRS publie CNRS Le journal (www.lejournal.
cnrs.fr), qui recèle une multitude d’informations, de
reportages, interviews, analyses sur la crise sanitaire
gouvernementale de la covid-19.
Site internet accessible gratuitement : www.lejournal.
cnrs.fr
Covid-19 : 1,5 milliard de molécules passées au cri-
blage virtuel, par Jonathan Rangapanaiken, CNRS Le
journal, 20 avril 2020.
Ce que l’on sait (ou non) de la circulation du virus
dans l’air, par Philippe Testard-Vaillant, CNRS Le
journal, 26 mai 2020.
« L’humanité a toujours vécu avec les virus », entretien
de Louise Mussat avec Anne Rasmussen, CNRS Le
journal, 17 avril 2020.
Le mystère des virus géants, par le journaliste scienti-
fique Julien Bourdet, CNRS Le journal, 27 mars 2014.
OMS (www.who.int)
Appellation de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-
19) et du virus qui la cause.
EN SAVOIR PLUS
The BMJ (www.bmj.com)
Son édition hebdomadaire de 16 pages paraît pour la
première fois au Royaume-Uni le 3 octobre 1840 sous
le nom de Provincial Medical and Surgical Journal. En
janvier 1853, il fusionne avec le London Journal of Me-
dicine et prend le nom d’Associated Medical Journal.
Quatre ans plus tard, en janvier 1857, il prend le nom
de The British Medical Journal, dont le titre vulgarisé
devient en 1988 The BMJ. Ses fondateurs, Peter Hen-
nis Green, médecin irlandais conférencier sur les ma-
ladies des enfants, et Robert Streeten, membre du
conseil de l’Association médicale et chirurgicale pro-
vinciale, s’étaient donné deux objectifs principaux :
promouvoir les professions médicales et diffuser les
connaissances médicales. Grâce au réseau de corres-
pondants qu’il tisse parmi les professionnels de la san-
té, les universités et les milieux de la recherche, le
BMJ sera souvent le premier journal à publier des tra-
vaux de recherches sur des maladies, médicaments et
produits, des essais, des débats, des confrontations
d’études. En 1957, il refusera la publicité pour les
produits du tabac, de leurs fondations ou de leurs fi-
liales. À partir de février 2019, il n’acceptera plus non
plus de nouvelles publicités pour les substituts du lait
maternel et, contrairement à certaines autres revues
médicales, veille rigoureusement à ce que toute publi-
cité ou parrainage ne puisse influencer les décisions
éditoriales. Il innove également en étant la première
grande revue médicale à lancer un site Web en 1995
(www.bmj.com) et se distingue en laissant son contenu
accessible gratuitement.
EN SAVOIR PLUS
L’Insee (www.insee.fr)
– Nombre de décès quotidiens, chiffres détaillés, Syn-
thèses pluriannuelles, tableaux, graphiques et com-
mentaires, 21 mai 2021.
– Évolution du nombre de décès entre le 1er mars et le
30 avril 2020, chiffres détaillés, 26 juin 2020.
– Nombre de décès quotidiens, chiffres détaillés, Évo-
lution du nombre de décès depuis le 1er janvier 2021.
Paru le 21 mai 2021.
Santé publique France (www.santepubliquefrance.fr) :
– Coronavirus : chiffres-clés et évolution de la COVID-
19 en France et dans le monde, COVID-19 : tableau de
bord de l’épidémie en chiffres, mis à jour le 21 mai
2021.
– Covid-19 : bilan et chiffres-clés en France au 26 jan-
vier 2021 arrêtés à 14 h.
Researchgate (www.researchgate.net) :
Étude Covid-19 : Analyse spatiale de la létalité hospi-
talière en France, par Marc Souris et Jean-Paul Gon-
zalez, mai 2020.
Réinfocovid (www.reinfocovid.fr) :
Covid-19, épidémiologie.
OMS (www.who.int) :
Mise à jour épidémiologique hebdomadaire sur CO-
VID-19.
Our World in Data : Notre monde en données
(www.ourworldindata.org) :
Pandémie de coronavirus (Covid-19).
Etalab (www.etalab.gouv.fr et www.data.gouv.fr)
EN SAVOIR PLUS
Etalab (www.etalab.gouv.fr et www.data.gouv.fr)
Données de certification électronique des décès asso-
ciés au covid-19 (CépiDc), www.data.gouv.fr, août
2021.
Etalab est un département de la direction interminis-
térielle du numérique (DINUM) qui a notamment pour
mission la conception et la mise en œuvre de la straté-
gie de l’État dans le domaine de la donnée. Il développe
et anime la plateforme de données ouvertes da-
ta.gouv.fr destinée à rassembler et à mettre à disposi-
tion librement l’ensemble des informations publiques
de l’État, de ses établissements publics et, si elles le
souhaitent, des collectivités territoriales et des per-
sonnes de droit public ou de droit privé chargées d’une
mission de service public. Etalab contribue également
à faciliter la circulation et l’échange de données entre
administrations.
Inserm (www.cepidc.inserm.fr)
Voir le site du Centre d’épidémiologie sur les causes
médicales de décès : www.sic.certdc.inserm.fr, ru-
brique : Espace public, page : Statistiques.
Le CépiDc, Centre d’épidémiologie de l’Inserm, produit
annuellement les statistiques des causes médicales de
décès en France. Vous pouvez consulter les statis-
tiques à partir du site du CépiDc : http://cepidc-
data.inserm.fr/inserm/html/index2.htm
Le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de
décès est un service de l’Inserm dont les missions
sont:
– la production des statistiques nationales sur les
causes médicales de décès,
– la diffusion de ces statistiques,
– la conduite d’études et de recherches sur les don-
nées de mortalité.
Le CépiDc est également Centre Collaborateur OMS
pour la Famille des Classifications Internationales en
Santé pour la langue française.
Pour plus de renseignements, vous pouvez consulter le
site du CépiDc, qui présente les méthodes et met à
disposition un grand nombre de données.
Mutations et épidémie
Ces mutations ont-elles rendu le virus plus dangereux
? « Plusieurs dizaines de mutations du SARS-CoV-2
ont déjà été décrites, sans que des conséquences sur
l’épidémie aient été mises en évidence », indiquent-
elles. Précision : certaines mutations « ont néanmoins
fait l’objet de travaux plus poussés, publiés dans des
revues scientifiques. C’est le cas notamment de la mu-
tation D614G au niveau de la protéine Spike du virus,
qui a d’abord fait l’objet d’une publication dans le
journal Cell(83). Cette mutation s’est largement diffusée
et est rapidement devenue dominante parmi les isolats
de virus circulants. D’autres études ont ensuite été
publiées à son sujet, montrant que cette mutation a
eu pour effet de rendre le virus plus facilement trans-
missible ».
À ce moment, à la mi-octobre 2020, les deux cher-
cheuses de l’Inserm estiment que « néanmoins, les im-
plications de cette transmissibilité accrue du coronavi-
rus en matière de sévérité de l’infection et de mortalité
sont encore loin d’être claires. Il n’existe pour le mo-
ment aucune donnée pour soutenir l’idée que cette
mutation aurait rendu le virus plus virulent […] »
L’histoire des virus, rappellent-elles, enseigne que «
dans tous les contextes épidémiques, par exemple lors
des épidémies de grippe ou de polio, les mutations des
virus responsables ont toujours fini par aboutir à une
atténuation de leur virulence.
Les virologues espèrent que ce sera aussi le cas pour
l’épidémie de SARS-CoV-2 ».
EN SAVOIR PLUS
GISAID (www.gisaid.org)
À l’origine se trouve la volonté de scientifiques de plu-
sieurs pays de favoriser le partage de données pour
renforcer l’efficacité des recherches contre les virus de
la grippe. Ainsi naît l’Initiative mondiale sur le partage
de toutes les données sur la grippe (GISAID).
La plateforme GISAID a été lancée à l’occasion de la
soixante-et-unième Assemblée mondiale de la Santé
en mai 2008. Créé comme alternative au modèle de
partage du domaine public, le mécanisme de partage
du GISAID a pris en compte les préoccupations des
États membres en fournissant une base de données
accessible au public conçue par un scientifique pour
un scientifique afin d’améliorer le partage des données
sur la grippe.
Depuis son lancement, le GISAID joue un rôle essen-
tiel dans le partage des données entre les centres col-
laborateurs de l’OMS et les centres nationaux de lutte
contre la grippe pour les recommandations semes-
trielles sur le virus du vaccin antigrippal par le Sys-
tème mondial de surveillance et de riposte à la grippe
(GISRS) de l’OMS.
En 2010, la République fédérale d’Allemagne est deve-
nue l’hôte officiel de la plateforme GISAID et de la base
de données EpiFlu, assurant la durabilité de la plate-
forme et la stabilité grâce à son partenariat public-
privé avec l’Initiative GISAID à ce jour.
En 2013, la Commission européenne a reconnu le GI-
SAID en tant qu’organisme de recherche et partenaire
du consortium PREDEMICS, un projet sur la prépara-
tion, la prédiction et la prévention des virus zoono-
tiques émergents à potentiel pandémique utilisant des
approches multidisciplinaires.
EN SAVOIR PLUS
Le Réseau Sentinelles de l’Inserm
Créé en 1984, le Réseau Sentinelles est développé
sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la
santé et de la recherche médicale (Inserm) et de Sor-
bonne Université. Ses objectifs principaux sont la
constitution de grandes bases de données en médecine
générale et en pédiatrie à des fins de veille sanitaire et
de recherche, le développement d’outils de détection et
de prévision épidémique et la mise en place d’études
cliniques et épidémiologiques. Sentinelles, c’est un ré-
seau de 1 400 généralistes et pédiatres, ainsi que des
épidémiologistes de l’Inserm et de Sorbonne Universi-
té, dont les travaux de surveillance de la grippe et des
infections respiratoires aiguës sont exploités par
l’Institut Pasteur et l’European CDC depuis plus de 25
ans. C’est le seul réseau qui couvre le territoire métro-
politain français depuis 38 ans et qui observe en vie
réelle les vraies covid-19 (les malades symptomatiques
d’infections respiratoires aiguës (IRA) à SARS-CoV-2 et
non pas les PCR de citoyens non malades.) Ce réseau
permet notamment le recueil, l’analyse, la prévision et
la redistribution en temps réel de données épidémiolo-
giques issues de leur activité.
Réseau Sentinelles (www.sentiweb.fr)
Voir notamment les bulletins hebdomadaires publiés
par ce réseau des professionnels de santé.
Réinfocovid (www.reinfocovid.fr)
Le réseau Sentinelles et la covid-19, par le collectif Ré-
infocovid, 5 avril 2021.
LES TESTS RT-PCR
La raison ?
« L’utilisation prévue de la PCR était, et est toujours,
de l’appliquer en tant que technique de fabrication,
capable de répliquer des séquences d’ADN des millions
et des milliards de fois, et non comme un outil de dia-
gnostic pour détecter les virus. »(93)
EN SAVOIR PLUS
Eurosurveillance
Eurosurveillance se présente comme « une revue
scientifique européenne à comité de lecture consacrée
à l’épidémiologie, à la surveillance, à la prévention et
au contrôle des maladies transmissibles, en mettant
l’accent sur des sujets pertinents pour l’Europe. Il
s’agit d’un journal hebdomadaire en ligne, avec 50
numéros par an publiés le jeudi, et présente de
courtes communications rapides, des articles de re-
cherche plus approfondis, des rapports de surveillance
et d’épidémie, des critiques et des articles de perspec-
tive, ainsi que de courts articles d’actualité ». Publica-
tion du Centre européen pour la prévention et le con-
trôle des maladies (ECDC), elle est dirigée en janvier
2021 par la docteure Ines Steffens.
Réseau Sentinelles (www.sentiweb.fr)
Réinfocovid (www.reinfocovid.fr):
– Le test PCR en justice, 10 décembre 2020.
– L’examen externe par des pairs du test RT-PCR pour
détecter le SARS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques
majeures au niveau moléculaire et méthodologique :
conséquences pour des résultats faussement positifs,
Rapport d’examen Corman-Drosten, 27 novembre
2020. Rapport entièrement consultable sur internet à :
https://cormandrostenreview.com/report/
Commission d’enquête extra-parlementaire de scienti-
fiques et médecins allemands (ACU), Ausserparlamen-
tarischer Corona Untersuchungsausschuss.
Site internet de la Commission d’enquête :
www.acu2020.org
Le vol du SRAS-CoV-2
Dans Industrie & Technologies(180), le magazine de la
veille technologique pour les professionnels de
l’industrie, Kevin Poireault, journaliste spécialisé sur
les nouvelles technologies, examine les déplacements
du virus par les gouttelettes et aérosols et l’efficacité
de quelques-uns des différents masques. Il indique
que « les particules entre 0,1 et 0,5 micromètre sont
les plus difficiles à filtrer, car elles peuvent suivre ou
non les lignes de courant. Par conséquent, ni la cap-
ture par interception ni celle par diffusion ne filtre 100
% des particules. C’est pourquoi le masque chirurgi-
cal, composé d’une seule couche filtrante en microfibre
de polypropylène et peu perméable à l’air sur les côtés,
n’est utile que pour éviter que le porteur contamine
son entourage ». Et encore, puisque les plus fines par-
ticules aérosols peuvent traverser ce type de masque
dans les deux sens… Cet ensemble de faits n’empêche
pas le ministère des Solidarités et de la Santé
d’affirmer que « les masques individuels à usage des
professionnels en contact avec le public » dans le cadre
de leurs activités professionnelles (policiers, gen-
darmes, hôtesses de caisses, etc.) « ont des propriétés
de filtrage sur les particules émises de trois microns
compatibles avec cette utilisation ». Et, concernant les
« masques de protection à visée collective pour proté-
ger l’ensemble d’un groupe », que « leurs propriétés de
filtration sur les particules émises de trois microns
apportent un complément de protection aux gestes
barrières »(181). En oubliant juste de dire que les deux
types de masques laissent passer tranquillement la
plupart des particules de 0,5 microns qui sont celles
qui véhiculent le plus le SRAS-CoV-2 émises par le
porteur du masque ou un proche… Les « masques
barrières » dont le port est autoritairement imposé par
les autorités sous peine de procès-verbal ? Ils sont à
peu près autant efficaces pour se protéger du SRAS-
CoV-2 que les hosties pour permettre aux culs-bénits
d’accéder à la vie éternelle.
EN SAVOIR PLUS
Réinfocovid (www.reinfocovid.fr)
– Le port du masque en extérieur nous protège-t-il,
protège-t-il les autres ? par Alexandra Menant, doc-
teur en biologie, et Christophe Leroy, docteur en biolo-
gie moléculaire et cellulaire, 15 décembre 2020.
– Pro-masques ou anti-masques ?! par le docteur
Louis Fouché, 8 novembre 2020.
Esprit Créatif (www.espritcreatif.ch)
Ce site internet de Suisse romande publie de nom-
breuses informations sur la maladie covid-19 (ru-
brique « corona ») et a mis en ligne plusieurs rapports
scientifiques de différentes sources sur le port du
masque.
Global Research (www.globalresearch.ca)
Masks Don’t Work : A review of science relevant to
COVID-19 social policy (La science le constate : les
masques et les respirateurs n’empêchent pas la
transmission des virus), par le docteur Denis
G.Rancourt, 3 janvier 2021.
OMS (www.who.int)
– Utilisation du masque dans le contexte du covid-19 :
orientations provisoires, 1er décembre 2020.
– Conseils sur le port du masque dans le cadre de la
covid-19, orientations provisoires, 5 juin 2020.
EN SAVOIR PLUS
Réinfocivid (www.reinfocovid.fr) :
Page « Se réinformer », articles scientifiques, rubrique «
Vaccins ».
Lire également : Vaccin et covid, par le docteur Louis
Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur à Mar-
seille, 1er décembre 2020.
CRIIGEN (www.criigen.org) :
Le CRIIGEN est le Comité de Recherche et
d’Information Indépendantes sur le génie Génétique
fondé le 1er juin 1999. Le CRIIGEN comprend un
groupe d’experts internationaux transdisciplinaires lui
permettant d’évaluer les bénéfices et les risques des
produits du génie génétique (OGM), mais également
des substances qui leurs sont étroitement liées (pesti-
cides, perturbateurs endocriniens et autres xénobio-
tiques ), tant sur les aspects environnementaux et sa-
nitaires que juridique, agricole, sociologique et écono-
mique.
Lire notamment : Covid-19 : Rapport d’expertise sur
les vaccins ayant recours aux technologies OGM, 25
décembre 2020.
CNRS (www.cnrs.fr) :
CNRS, Le journal, Quel vaccin contre le Covid-19 ? par
Laure Cailloce, 10 novembre 2020.
Reaction 19 (www.reaction19.fr)
FranceSoir (www.francesoir.fr) :
Remdesivir : l’Agence Européenne du Médicament
met-elle en danger notre santé ? par le Collectif ci-
toyen de FranceSoir, publié le 5 juillet 2020 à 19 h 18,
mis à jour à 22 h 49.
« Il faut prendre conscience urgemment des problèmes
de ces vaccins », interview du chercheur Jean-Marc
Sabatier, FranceSoir (www.francesoir.fr), 31 décembre
2021.
Un morceau de virus
« Deuxième possibilité : au lieu de présenter le virus
entier au système immunitaire, on se concentre sur
l’antigène qui provoque la réponse immunitaire. Au-
cun risque de développer la maladie, dans ce cas […] »
La principale différence
Le magazine scientifique Science & Vie résume de ma-
nière très claire la différence principale entre les prin-
cipaux produits à ARNm et les vaccins :
« Contrairement aux vaccins traditionnels (contenant
le virus atténué ou inactivé), le vaccin Comirnaty (NdA
: produit de Pfizer/BioNTech) contient de l’acide ribo-
nucléique (ARN) renfermant le code génétique de la
protéine de pointe(240) du coronavirus. C’est ce que l’on
appelle l’ARN messager. Une fois ces antigènes injectés
dans l’organisme, la réponse immunitaire va se dé-
clencher. Ainsi, le corps reconnaîtra les protéines du
coronavirus lorsqu’il les rencontrera de nouveau. »(241)
EN SAVOIR PLUS
www.sputnikvaccine.com
Toute l’actualité sur le vaccin russe Sputnik V (histo-
rique, études scientifiques, coopérations multinatio-
nales, activités du Fonds russe d’investissement di-
rect, etc.).
The Lancet (www.thelancet.com)
COVID-19 vaccine : an interim analysis of a rando-
mised controlled phase 3 trial in Russia (Innocuité et
efficacité d’un vaccin COVID-19 hétérologue à base de
vecteurs rAd26 et rAd5 : une analyse intermédiaire
d’un essai contrôlé randomisé de phase 3 en Russie),
The Lancet, 2 février 2021. DOI: https://doi.org/
10.1016/S0140-6736(21)00234-8.
Voir également l’étude publiée par le Centre national
de recherche en épidémiologie et microbiologie Ga-
maleya, site internet : www.gamalya.org.
OMS (www.who.int)
Centre des médias, Les différents types de vaccins
contre la COVID-19, 12 janvier 2021.
AEM (EMA)
EN SAVOIR PLUS
Un accord à risques entre Pfizer et Valneva
Valneva a été fondée en 2013 par la fusion de la socié-
té autrichienne Intercell et de la société française Viva-
lis SA. À la fin de l’année 2021, la société Valneva em-
ploie environ 700 personnes dans six pays : France,
Autriche, Royaume-Uni, Suède, Canada et États-Unis.
Valneva coopère avec la société Pfizer dans le cadre
d’autres recherches comme le candidat vaccin de
Valneva, VLA15, programme clinique actif contre la
maladie de Lyme. Selon les termes de l’accord passé
avec la transnationale étasunienne et communiqué
par Valneva, « Pfizer dirigera les activités liées aux
dernières étapes de développement du vaccin et sera
seul en charge de la commercialisation ».
Association de compétences à hauts risques pour
Valneva : la base de données « Violation Tracker » du
site internet de l’organisation étasunienne Good Jobs
First, qui recense le comportement répréhensible des
entreprises, indique de manière détaillée que de 2009
à 2019, le groupe Pfizer et ses filiales ont dû payer
plus de dix milliards de pénalités pour une succession
de délits (www.goodjobsfirst.org).
Avertissement
Au mois de mars 2021, Kirill Dmitriev, directeur géné-
ral du Fonds d’investissement direct russe (RDIF), in-
diquait que « l’une des sociétés américaines fabriquant
des vaccins viole nos brevets » et mettait en garde ses
dirigeants : « Nous avons informé cette société et sou-
haitons entamer un dialogue. Nous ne leur réclame-
rons aucun fonds pendant la période de pandémie,
mais nous prendrons certainement au sérieux la pro-
tection de nos droits de propriété intellectuelle. »(261)
À suivre.
En résumé
Les « vaccins » à ARNm n’ont jamais été conçus pour
arrêter la transmission ou l’infection. Le principal ob-
jectif qu’ils sont censés assurer est la réduction des
symptômes et la gravité de la maladie.
En résumé, s’être fait injecter l’un des produits expé-
rimentaux à ARNm :
– n’empêche pas le virus d’infecter une personne ;
– n’empêche pas une personne infectée de propager le
virus ;
– les vaccins n’étant pas au point, leurs fabricants
sont incapables de dire au début de l’année 2022 dans
quelle mesure ils préviennent l’infection. Par contre, il
est possible qu’une personne vaccinée attrape le virus
et puisse le transmettre à d’autres.
À la fin de l’année 2021, les collectes d’informations de
différentes banques de données d’organismes de sur-
veillance des médicaments et de la covid-19 attestent
du risque important et grandissant pour les personnes
« vaccinées » avec des produits à ARNm de subir des
effets secondaires graves et même d’en mourir. Une
situation que se gardent bien de rappeler l’Assurance
maladie et les Agences régionales de santé dans leurs
messages et courriers aux assurés et professionnels de
santé malgré la gravité des faits.
Bénéfices (efficacité)
– Efficacité montrée uniquement sur la réduction des
formes bénignes à modérées d’infection à SARS-CoV-2.
– Pas d’efficacité montrée pour la prévention des
formes graves avec hospitalisation.
– Pas d’efficacité montrée pour la prévention des
formes mortelles.
– Pas d’efficacité montrée chez les personnes de + de
75ans.
– Efficacité non étudiée chez les personnes de - de
16ans.
– Efficacité non étudiée chez les immunodéprimés.
– Aucune donnée sur la prévention de la transmission
du virus chez les personnes vaccinées, permettant un
éventuel retour à « une vie normale ».
– Aucune donnée sur la persistance de l’effet du vaccin
au-delà de 3 mois.
– Aucune donnée sur l’efficacité du vaccin sur les po-
tentiels variants du virus.
EN SAVOIR PLUS
Le Vidal
Vaccin PfizerBioNTech contre la Covid-19 : Enfin des
données à analyser, par Stéphane Korsia-Meffre, 10
décembre 2020.
The Defender (www.childrenhealthdefense.org)
– Scientists warn Pfizer and Moderna vaccines can al-
so cause blood clots (Des scientifiques avertissent que
les vaccins de Pfizer et Moderna peuvent aussi provo-
quer des caillots sanguins),
The Defender (www.childrenshealthdefense.org), 16
avril 2021.
– Latest CDC VAERS Data Show Reported Injuries
Surpass 400,000 Following COVID Vaccines (Les der-
nières données du CDC VAERS montrent que les évé-
nements signalés dépassent les 400 000 après les vac-
cins COVID), par la journaliste d’investigation indé-
pendante Megan Redshaw,
The Defender, 2 juillet 2021.
VAERS (www.vaers.hhs.gov)
Créé en 1990, le Vaccine Adverse Event Reporting Sys-
tem (VAERS) est un système national d’alerte précoce
pour détecter d’éventuels problèmes de sécurité dans
les vaccins homologués aux États-Unis. Le VAERS ac-
cepte et analyse les rapports d’événements indési-
rables (effets secondaires possibles) après qu’une per-
sonne ait été vaccinée. Tout le monde peut signaler un
événement indésirable au VAERS. Les professionnels
de la santé sont tenus de déclarer certains événements
indésirables et les fabricants de vaccins doivent décla-
rer tous les événements indésirables qui sont portés à
leur attention. Le VAERS est particulièrement utile
pour détecter des schémas inhabituels ou inattendus
de notification d’événements indésirables qui pour-
raient indiquer un éventuel problème de sécurité avec
un vaccin. De cette façon, le VAERS peut fournir au
CDC et à la FDA des informations précieuses indi-
quant qu’un travail et une évaluation supplémentaires
sont nécessaires pour évaluer davantage un éventuel
problème de sécurité.
Site internet : www.vaers.hhs.gov
Food & Drug Administration (FDA – (www.fda.gov)
Pfizer-BioNTech Covid-19 vaccine (BNT162, PF-
07302048), Vaccins et produits biologiques connexes,
Réunion d’information du comité consultatif, date de
la réunion : 10 décembre 2020, p. 74. Document con-
sultable sur le site internet de la Food & Drug Admi-
nistration (FDA).
FDA, site internet dédié aux vaccins (www.cvdvaccine-
us.com)
Autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du vaccin
Pfizer-BioNTech covid-19 pour prévenir la maladie co-
ronavirus 2019 (covid-19), Fiche d’information pour
les fournisseurs de soins de santé qui administrent le
vaccin, mise à jour du 6 avril 2021, p. 7 et documen-
tation Pfizer et BioNTech, du 6 avril 2021, p. 18.
EudraVigilance (www.adrreports.eu)
EudraVigilance (www.adrreports.eu) : Base de données
européenne des rapports d’effets indésirables suscep-
tibles d’être liés à l’utilisation de médicaments,
nombre de cas individuels identifiés dans EudraVigi-
lance pour Tozinameran (Pfizer) au 17 avril 2021.
Réinfocovid (www.reinfocovid.fr)
Se ré-informer, Articles scientifiques, rubrique « Vac-
cins ».
– Fiche d’informations concernant le vaccin ARNm de
Pfizer/BioNTech. Présentation des éléments connus à
ce jour et de la balance bénéfice-risque, 9 mars 2021.
– Effets indésirables en Europe sur les vaccins Covid-
19 Pfizer, Moderna et AstraZeneca, par le Collectif Ré-
infocovid, 17 avril 2021.
– Vaxzevria (AstraZeneca) et Covid-19 Janssen (John-
son&Johnson), Note de synthèse AIMSIB/Réinfocovid,
8 avril 2021.
– Comment est calculée l’efficacité des vaccins ? 20
juillet 2021.
Agence européenne des médicaments (AEM)
Information produit, Vaxzevria (anciennement COVID-
19 Vaccine AstraZeneca) : EPAR – Informations sur le
produit, première publication le 18 février 2021, mise
à jour le 28 avril 2021.
Le rapport essentiel de
la biostatisticienne Christine Cotton
Auteur, coauteur et gestionnaire d’une centaine
d’études sur des sujets très divers, dont le projet eu-
ropéen PhagoBurn(312), fondatrice et directrice d’une
société de recherche sous contrat, sous-traitant de
l’industrie pharmaceutique (CRO - Clinical Research
Organization) pendant 22 ans, la biostatisticienne
Christine Cotton est une spécialiste des protocoles et
de l’élaboration de la méthodologie des essais cli-
niques. Sa société de sous-traitance de l’industrie
pharmaceutique qu’elle fonde à 26 ans compte parmi
ses clients plusieurs des principaux groupes de
l’industrie pharmaceutique. Le 11 janvier 2022, elle
publie un rapport(313) très complet et précis de 110
pages. Celui-ci se veut « une analyse objective des mé-
thodes habituellement utilisées dans les essais cli-
niques comparativement à celles mises en œuvre pen-
dant les essais COVID-19, et plus particulièrement
l’essai de phase 1-2-3 de Pfizer/BioNtech ». L’objet de
l’étude n’est donc pas d’argumenter « sur les procédés
réglementaires de fabrication des vaccins ni sur les
études précliniques qui mériteraient chacun un rap-
port complet », indique Christine Cotton. Ce rapport «
se place sous l’angle du respect des Bonnes Pratiques
Cliniques, élément essentiel dans le monde de
l’industrie pharmaceutique pour obtenir des résultats
statistiques intègres et fiables et pouvoir évaluer le
rapport bénéfices/risques ». « Il y a clairement des
communications qui sont fausses », dit Christine Cot-
ton alors qu’elle est interviewée par Marc Daoud, ré-
dacteur en chef du magazine Nexus. Extraits :
« Il y a des données sur lesquelles on n’a pas assez
d’informations au moment où le vaccin est disponible
sur le marché […] Sûr, cela veut dire quoi ? Sur com-
bien de temps ? Là, c’est encore une question
d’évaluation du risque. Il est sûr pour les deux mois et
demi d’observation des essais cliniques au moment où
on (NdA : Pfizer/BioNTech) fait le rapport. Comment
pouvoir informer que le vaccin est sûr alors que la to-
lérance à moyen terme et à long terme est inconnue et
que de nombreuses données sont absentes pour plu-
sieurs catégories de population ? […] Ce qui pose pro-
blème, c’est moins le manque de données que le fait de
ne pas le dire. »
Estimant que les effets secondaires risquent d’aller en
s’aggravant, Christine Cotton constate que « pour le
moment, il n’y a pas de débat. On entend un discours
unilatéral qui n’est pas basé sur les documents scien-
tifiques […] Je dis qu’il fallait poser les questions, de-
mander un certain nombre d’éclaircissements à Pfizer.
Il y a un manque de prudence, une prise de risques
qui a été faite. Maintenant, il faut en assumer les con-
séquences et malheureusement, elles vont être surtout
pour les patients »(314).
EN SAVOIR PLUS
Les documentations sur les produits ARNm des socié-
tés Pfizer et Moderna
Ces documents sont publics et accessibles sur le site
internet de l’Agence européenne du médicament
(www.ema.europa.eu) :
– AMM conditionnelle Pfizer :
www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-
report/comirnaty-epar-public-assessment-
report_en.pdf
– AMM conditionnelle Moderna :
www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-
report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-
assessment-report_en.pdf
Qu’est-ce que la thérapie génique ?
La thérapie génique est une technique expérimentale
qui utilise des gènes pour traiter ou prévenir une ma-
ladie. À l’avenir, cette technique pourrait permettre
aux médecins de traiter un trouble en insérant un
gène dans les cellules d’un patient au lieu d’utiliser
des médicaments ou une intervention chirurgicale. Les
chercheurs testent plusieurs approches de thérapie
génique, notamment :
– remplacer un gène muté qui cause la maladie par
une copie saine du gène ;
– inactiver ou « éliminer » un gène muté qui ne fonc-
tionne pas correctement ;
– introduire un nouveau gène dans le corps pour aider
à combattre une maladie.
Bien que la thérapie génique soit une option de trai-
tement prometteuse pour un certain nombre de mala-
dies (y compris les troubles héréditaires, certains types
de cancers et certaines infections virales), la technique
reste risquée et est toujours à l’étude pour s’assurer
qu’elle sera sûre et efficace. La thérapie génique n’est
actuellement testée que pour des maladies qui n’ont
pas d’autres remèdes.
Extrait de MedlinePlus, ressource d’information inter-
net sur la santé. MedlinePlus publie des informations
régulièrement mises à jour sur les maladies, les infec-
tions, les thérapies et les questions liées au bien-être.
MedlinePlus propose une liste de liens vers des infor-
mations sur les gènes et la thérapie génique. Juillet
2021.
Agence européenne des médicaments (ema.europa.eu)
Les documentations de Pfizer-BioNTech et de Moderna
transmises à l’Agence européenne des médicaments
sont publiques et accessibles sur le site de l’Agence
européenne des médicaments (www.ema.europa.eu)
The Unz Review (www.unz.com)
Interview de Mike Yeadon par Mike Whitney, 8 dé-
cembre 2021. Traduction de l’article en langue fran-
çaise sur le site www.les7duquebec.net : Comment af-
faiblir le système immunitaire humain avec un agent
pathogène fabriqué en laboratoire, publié par Robert
Bibeau, 8 décembre 2021.
Rapport de la biostatisticienne Christine Cotton
Rapport Évaluation des pratiques méthodologiques
mises en œuvre dans les essais Pfizer dans le dévelop-
pement de son vaccin ARN-messager contre la COVID-
19 en regard des Bonnes Pratiques Cliniques, auteur
Christine Cotton, 11 janvier 2022. Le rapport est con-
sultable intégralement sur :
www.nexus.fr/wp-
content/uploads/2022/02/Vaccine-expertise-GCP-
CCotton-2022-01-11-French2-copyright_comp.pdf
Comité de recherche et d’information indépendantes
sur le génie génétique – CRIIGEN (www.criigen.org)
– Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant
recours aux technologies OGM, 25 décembre 2020.
– Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant
recours aux technologies OGM, par le docteur Chris-
tian Velot, généticien moléculaire à l’Université Paris-
Saclay, président du Conseil scientifique du CRIIGEN,
septembre 2020.
31. Quels risques à se faire « vacciner » avec des
produits à ARNm ?
Les chiffres publiés par plusieurs agences de pharma-
covigilance de divers pays attestent de l’augmentation
continue du nombre d’effets secondaires et de décès
de personnes vaccinées avec un produit expérimental
à ARNm. Qu’en est-il exactement et quels dangers à se
faire injecter l’un de ces produits ?
Pour la période allant de janvier à mars 2021, dans la
seule zone de l’Espace économique européen, en trois
mois, 41 908 personnes présentant des effets indési-
rables sont recensées (4 651 en février) suite à
l’injection du produit AstraZeneca(323), 41 936 suite à
l’injection de celui de Pfizer-Biontech (40 552 en fé-
vrier)(324) et 4 758 suit à l’injection du Moderna (1 630
en février)(325). Il appert également que le nombre de
cas augmente considérablement avec le nombre de
vaccinations effectuées avec l’ouverture des « vaccino-
dromes ». Selon EudraVigilance, au 15 mars 2021, le
nombre de personnes dont le décès est susceptible
d’être lié à la vaccination par l’un de ces trois produits
était de 3 964 au niveau de l’Espace économique eu-
ropéen(326). Au 24 avril 2021, le total des « effets indé-
sirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médi-
caments » se monte à 1 751 178 cas dont 1 335 168
effets secondaires non résolus ou « en cours de résolu-
tion » et surtout 8 686 décès susceptibles d’être liés à
l’injection de l’un de ces trois « vaccins » expérimen-
taux !(327)
Il ne s’agit là que du résultat issu de la collecte sur
environ quatre mois des données que les entreprises
pharmaceutiques titulaires d’une autorisation de mise
sur le marché et les autorités nationales de réglemen-
tation des médicaments de l’Espace économique euro-
péen ont transmises à EudraVigilance. Cela inclut les
déclarations reçues des professionnels de santé et des
patients. Les effets indésirables non graves survenant
en dehors de l’EEE sont exclus(328). En réalité le
nombre d’effets indésirables graves et de morts suite à
la « vaccination » est bien plus important.
La logique du cobaye
Vous aimez servir de cobaye pour expérimenter de
nouveaux produits ? Vous avez le trouillomètre à zéro
devant les fausses informations diffusées par le pou-
voir politique et son Administration ? N’hésitez pas :
réclamez votre troisième dose ! Et pourquoi pas une
quatrième ? Retenez même une cinquième dose pour
vous protéger des « vagues » imaginaires de « variants
extrêmement dangereux » inventées par une petite
nomenklatura de politiciens et leurs affabulateurs «
docteurs Knock ».
Mais dans ce cas, soyez logique avec vous-même, ainsi
que l’enseignait le médecin, écrivain et humaniste de
la Renaissance François Rabelais pour qui « science
sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
Faute de science, prenez votre conscience à deux
mains et n’oubliez pas de signer une décharge à la Sé-
curité sociale du remboursement des frais de soins ou
d’hospitalisation qui pourraient survenir en cas
d’effets secondaires. Avis à ceux qui, comme Martin
Hirsch, le directeur de l’AP-HP (Assistance Publique –
Hôpitaux de Paris) agressent les personnes non « vac-
cinées » en les menaçant de les priver de la gratuité
des soins(333) ou, comme Jean-Philippe Masson, le
président de la Fédération nationale des médecins ra-
diologues (FNMR), de « leur interdire les magasins
d’alimentation » :(334) pour quelles raisons la collectivi-
té paierait-elle les soins liés aux effets secondaires de
produits expérimentaux à ARNm dont les fabricants
eux-mêmes ont demandé à être déchargés ?!
Le ministre de la Santé Olivier Véran se garde bien
d’évoquer cette question, d’autant que ses propos lar-
gement médiatisés lorsqu’il vante les bienfaits de
l’injection ne correspondent pas vraiment à ses écrits.
Une pharmacovigilance
« sous l’emprise des firmes »
En 2020, avec la crise de la covid-19, les Français vont
découvrir ce que les enquêteurs de l’IGAS prévoyaient
une dizaine d’années plus tôt dans leur rapport : «
Dans le cas particulier du médicament, le projet
d’éloigner la décision relative au médicament vers des
agences autonomes, dotées de fortes compétences et
que l’on concevait comme incorruptibles, afin de créer
des lieux de résistance aux firmes plus forts que l’État,
ce projet a échoué. La coupure entre le sanitaire et
l’économique n’a pas diminué l’emprise des firmes,
bien au contraire. La “dépolitisation” voulue de la dé-
cision n’a pas donné entière satisfaction, loin de là. Le
risque de “capture” du régulateur par les entreprises
régulées s’est réalisé et, progressivement, une banali-
sation de l’AFSSAPS(346) s’est opérée, aboutissant à ce
constat dangereux : une agence de sécurité sanitaire
non seulement n’inspirant plus la crainte, mais trop
souvent entravée elle-même par la peur du recours
juridique ; une agence fascinée et dominée par son
“modèle”, l’agence européenne »… « Cette “Europe du
médicament” a désormais, symboliquement et prati-
quement, pris le dessus sur les États-nations et les
agences nationales », analysaient les inspecteurs de
l’IGAS en 2011. Dix ans plus tard, les dirigeants des
firmes en question rencontrent régulièrement le prési-
dent, des ministres, des parlementaires, s’invitent
dans les couloirs des institutions et capturent les
marchés publics de la Santé les plus importants – par-
fois même sans appel d’offres –, au point d’organiser
eux-mêmes la diffusion de leurs propres produits dans
le pays ! Et, dix ans plus tard, la non-prise en compte
de cas notifiés survenant après la « vaccination » avec
des produits à ARNm est aggravée par les propos de
politiciens, de fonctionnaires et de « docteurs Knock »
qui dissimulent la réalité des effets secondaires.
EN SAVOIR PLUS
The Evidence-Based Medicine Consultancy (www.e-
bmc.fr)
Urgent preliminary report of Yellow Card data up to
26th May 2021 (Rapport préliminaire d’urgence sur les
données de la « Carte jaune » au 26 mai 2021), Rap-
port sur les effets indésirables au médicament (vaccins
contre la covid-19). Le rapport est également consul-
table intégralement avec l’article Les preuves acca-
blantes d’un expert sur le vaccin, par Kathy Gyngel,
rédactrice en chef de The Conservative Woman
(www.conservativewoman.co.uk), 14 juin 2021.
MedlinePlus (www.medlineplus.gov)
MHRA : Agence de réglementation des médicaments et
des produits de santé du Royaume-Uni (www.gov.uk)
Site de la MHRA et ses nombreux documents mis en
ligne parmi lesquels les rapports hebdomadaires de
surveillance et le Rapport du groupe de travail
d’experts de la Commission des médicaments à usage
humain sur la surveillance de l’innocuité des vaccins
COVID-19 du 5 février 2021.
OpenVAERS (www.openvaers.com)
Rapports VAERS COVID, Système de notification des
événements indésirables liés aux vaccins, 23 avril
2021.
GOUVERNEMENT ET FABRICANTS DE
PRODUITS À ARNM
EN SAVOIR PLUS
La Convention d’Oviedo (www.coe.int)
La Convention pour la protection des Droits de
l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des
applications de la biologie et de la médecine : Conven-
tion sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (STE
no 164) a été ouverte à la signature le 4 avril 1997 à
Oviedo (Espagne).
Cette Convention est le seul instrument international
juridiquement contraignant sur la protection des
droits de l’homme dans le domaine biomédical. Il
s’inspire des principes établis par la Convention euro-
péenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la
biologie et de la médecine.
Il s’agit d’une Convention-cadre visant à protéger la
dignité et l’identité de tous les êtres humains et à ga-
rantir à chacun, sans discrimination, le respect de son
intégrité et des autres droits et libertés fondamentales
à l’égard des applications de la biologie et de la méde-
cine.
Elle énonce les principes fondamentaux applicables à
la pratique médicale quotidienne et est considérée
comme telle dans le traité européen sur les droits des
patients. Il traite également spécifiquement de la re-
cherche biomédicale, de la génétique et de la trans-
plantation d’organes et de tissus.
Les dispositions de la Convention sont précisées et
complétées par des protocoles additionnels sur des
sujets spécifiques.
Source : Conseil de l’Europe, Convention d’Oviedo et
ses protocoles.
AIMSIB (www.aimsib.org)
Association internationale pour une médecine scienti-
fique indépendante et bienveillante.
Vaccins anti-covid-19 en 2020 : Folie sanitaire, poli-
tique, médiatique, financière, par le Docteur Vincent
Reliquet, AIMSIB (www.aimsib.org), 22 novembre
2020.
Un processus différent
Le processus de l’EUA est différent de l’approbation,
de l’autorisation ou de l’autorisation de la FDA, car la
norme de l’EUA peut accorder une autorisation sur la
base de beaucoup moins de données que ce qui serait
requis pour l’approbation, l’autorisation ou
l’autorisation de la FDA. Cela permet à la FDA
d’autoriser l’utilisation d’urgence de produits médi-
caux qui répondent aux critères en quelques semaines
plutôt qu’en quelques mois ou années. Les EUA sont
en vigueur jusqu’à la fin de la déclaration d’urgence,
mais peuvent être révisés ou révoqués au fur et à me-
sure que sont évalués les besoins pendant l’urgence et
les nouvelles données sur la sécurité et l’efficacité du
produit, ou lorsque les produits répondent aux critères
pour être approuvés ou autorisés par la FDA.
Organisation mondiale de la santé (www.who.it)
Accélérateur ACT : publication d’une stratégie et d’un
budget assortis d’échéances pour 2021 en vue de
changer le cours de la pandémie de COVID-19, 12
mars 2021.
EN SAVOIR PLUS
Cabinet David Guyon
Tél. : 06.67.93.48.08.
Email : [email protected]
Site internet : www.guyon-avocat.fr
Réaction 19
Site internet : www.reaction19.fr
En raison du grand nombre d’appels que reçoit Réac-
tion 19, le contact s’opère par internet, rubrique Con-
tact.
Les citoyens qui souhaitent être orientés dans le site
ou qui n’y trouvent pas réponse à leur question peu-
vent contacter Réaction 19 au : 01.88.31.11.77.
Association BonSens
Site internet : www.bonsens.org
Pillage des données de santé des Français par des so-
ciétés US sous couvert d’un plan du président Ma-
cron?
IQVIA Holdings Inc. est une société transnationale US
née en 2016 de la fusion de deux sociétés étasu-
niennes, Quintiles, fournisseur de recherches, et IMS
Health Holdings, fournisseur de services d’études de
marché et de vente au secteur santé. Ce groupe est
spécialisé dans l’utilisation de nouvelles technologies
pour la collecte de données, l’analyse et l’expertise
scientifique. Implanté dans 140 pays, la société est
dirigée par Ari Bousbib, ancien PDG de IMS Health,
Ron Bruehlman et Trudy Stein. IQVIA France est diri-
gé en 2017 par Jean-Marc Aubert. Puis, il quitte IQVIA
pour diriger… l’administration centrale travaillant avec
plusieurs ministères, la Direction de la Recherche, des
Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES).
Devenu fonctionnaire, il lança le projet santé
d’Emmanuel Macron baptisé Health Data Hub. Sa
mission remplie, Aubert reprend son costume de privé
et retourne de nouveau chez IQVIA en décembre 2019.
Ce qui s’appelle mettre l’une des principales adminis-
trations françaises au service des intérêts privés d’une
transnationale US dont Jean-Marc Aubert est le… res-
ponsable France. La complaisance du président Ma-
cron envers les intérêts de sociétés transnationales US
n’est plus à démontrer. Rappelons qu’après la dona-
tion d’Alstom à General Electric(402), c’est la société
étasunienne Microsoft Azure – et donc soumise au
droit US – qui s’est vu confier, sans appel d’offres dé-
but 2019, la collecte des données sur la santé des
Français. Le cabinet étasunien Mc Kinsey, lui, s’est vu
attribuer début décembre 2021 la stratégie vaccinale
de la France, tandis que l’Union européenne favorisait
les produits des sociétés étasuniennes pour la même
campagne de vaccination. Dans son édition du 6 jan-
vier 2021, Le Canard Enchaîné précise que Maël de
Calan, ancien prétendant à la présidence des Républi-
cains et associé du cabinet US depuis 2018, était pré-
sent aux réunions portant sur la vaccination au minis-
tère de la Santé.
Il y participait en compagnie des agences régionales de
santé et des directeurs d’hôpitaux.
Lire sur cette question du pillage des données infor-
matiques (www.dsfc.net) :
– Denis Szalkowski, formateur et consultant informa-
tique (www.dsfc.net). Lire notamment Cloud Act : le
pillage de nos données personnelles par Google, Mi-
crosoft et la NSA, par Denis Szalkowski, 9 avril 2018.
– Le Monde Informatique (LFI) (lemondeinforma-
tique.fr).
38. Comment se défendre face aux mesures
gouvernementales ?
Les mesures gouvernementales sont pour l’essentiel
injustifiées, anti-sociales, anti-économiques et rédui-
sent les libertés fondamentales. Comment s’y opposer
? Éléments pour l’action avec des avocats et associa-
tions engagés dans la défense des libertés fondamen-
tales.
Si, comme nous l’avons examiné, les règlements déci-
dés par le gouvernement et les lois votées par des mi-
norités de députés sont injustifiés et dangereux, com-
ment s’y opposer ? Le point avec maître David
Guyon(403), avocat spécialisé dans la défense des liber-
tés fondamentales (www.guyon-avocat.fr).
EN SAVOIR PLUS
Pour les questions de droit :
De très nombreux sites internet ont vu le jour pour
informer et conseiller les citoyens en difficultés en rai-
son des mesures gouvernementales et pour la défense
des libertés. Nous ne pouvons les citer tous et don-
nons aux lecteurs ceux que nous avons consultés et
dont nous avons vérifié le sérieux pour les questions
juridiques au cours de notre enquête :
Association BonSens
Informations juridiques, dépôt de plaintes, actions col-
lectives, témoignages.
Site internet : www.bonsens.org
Email : [email protected]
Réinfocovid
Site internet de la coordination Santé libre lancé le 9
janvier 2021 qui regroupe les Collectifs de médecins,
de soignants et de scientifiques. Réinfocovid donne
dans sa rubrique « Se défendre » des informations,
modèles de lettres et des précisions sur la marche à
suivre contre l’obligation vaccinale.
Lien : www.reinfocovid.fr/se-defendre/
10 « points alerte »
À titre d’exemple, la Défenseure des droits recensait,
en juillet 2021, dix « points alerte » sur l’extension du
passe sanitaire et s’interrogeait « tant sur la méthode
que sur la proportionnalité de la plupart des disposi-
tions et restrictions présentes dans le texte » (409). Elle
rappelait notamment avoir appelé de ses vœux
l’organisation d’un débat démocratique public de fond
dans un avis(410) rendu en décembre 2020. Celui-ci
n’ayant pas eu lieu, elle renouvela sa demande en re-
grettant « vivement le choix d’une procédure accélérée
compte tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et
libertés fondamentales prévues par ce projet de loi,
ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions
qu’il comporte ». Rappelons que 536 délégué(e)s du
Défenseur des droits accueillent les citoyens dans 872
points d’accueil répartis sur l’ensemble du territoire
national, en métropole et outre-mer (maisons de jus-
tice et du droit, locaux municipaux, établissements
pénitentiaires). Pour la seule année 2020, l’équipe de
la Défenseure des droits a traité plus de 165 000 de-
mandes d’intervention ou de conseils et traité 93 662
dossiers dont près de 80 % ont débouché sur des rè-
glements amiables. La Défenseure des droits a émis 13
avis au Parlement, 90 recommandations et 57 proposi-
tions de réformes.
Jean-Loup Izambert
…a derrière lui cinquante années
de journalisme dont trente comme
journaliste d’investigation indépen-
dant (économie, finance, politique).
Il est également collaborateur de
médias étrangers et écrivain. Plu-
sieurs de ses ouvrages ont défrayé
la chronique : « Le krach des 40
banques », « Le Crédit Agricole hors
la loi ? », « Faut-il brûler l’ONU ? », « 56 – Tome 1 :
L’État français complice de groupes criminels », « 56 –
Tome 2 : Mensonges et crimes d’État », « Trump face à
l’Europe », « Le virus et le Président » et enfin « Le
scandale Ivermectine ».
Claude Janvier
…est écrivain-essayiste. Un rien
provocateur, doté d’un humour noir
et disciple de Pierre Desproges, il est
l’auteur de trois livres « coups de
gueule » et a co-écrit « Le virus et le
Président » avec Jean-Loup Izam-
bert. Depuis quinze ans, il fouille,
déterre, décortique et analyse
l’actualité afin de mettre à jour les véritables informa-
tions, qu’il diffuse dans les nombreux médias où il in-
tervient. Adepte du courant de contre-culture dans les
années 1970, il a acquis une certaine méfiance envers
l’État « providence » et la société de consommation. Il
reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».
DES MÊMES AUTEURS
Jean-Loup IZAMBERT
Le krach des 40 banques (Éd. Le Félin, 1998)
Le Crédit Agricole hors la loi ? (Éd. Carnot, 2001. Tra-
duit en russe : Éd. RiaNovosti, 2002)
Crédit Lyonnais, la mascarade (Éd. Carnot, 2003)
ONU, violations humaines (Éd. Carnot, 2003. Trad.
anglaise: Éd. Carnot USA Books, 2003)
Faut-il brûler l’ONU ? (Éd. du Rocher, 2004)
Les Démons du Crédit Agricole (Éd. L’Arganier, 2005)
Pourquoi la crise ? (Éd. Amalthée, 2009)
Crimes sans châtiment (Éd. 20cœurs, 2013)
56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes cri-
minels (Éd. IS Edition, 2015)
56 – Tome 2 : Mensonges et crimes d’État (Éd. IS Edi-
tion, 2017)
Trump face à l’Europe (Éd. IS Edition, 2017)
Le virus et le Président (Éd. IS Edition, 2020)
Le scandale Ivermectine (Éd. IS Edition, 2021)
Claude JANVIER
Un coup de gueule vaut mieux que faire la gueule (Éd.
du Net, 2014)
Coup de gueule d’un jour, coup de gueule toujours !
(Éd. du Vers luisant, 2015)
Coronavirus, confinement, bobards et bourrage de
crâne ! (Imprimé par Papeterie Mousseau, 2020)
Le virus et le Président (Éd. IS Edition, 2020)
CE LIVRE VOUS A PLU ?
♦ Thrillers
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dant votre livre directement chez eux, c’est le même
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NOTES
WWW.IS-EDITION.COM
ISBN : 978 2 3684S 2950