Manuel Hse SCGB
Manuel Hse SCGB
Manuel Hse SCGB
MANUEL HSE
Version 00 – SEPT 2021
SIGNATURES
DATE 25 09 2021
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Ce document est la propriété exclusive de SCGB et ne peut être reproduit ou communiqué, en totalité ou en partie, par quelque
moyen que ce soit, sans son autorisation écrite
SOMMAIRE
Introduction 1. Introduction
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Ce document est la propriété exclusive de SCGB et ne peut être reproduit ou communiqué, en totalité ou en partie, par quelque
moyen que ce soit, sans son autorisation écrite
La protection des employés contre les risques dans le lieu de travail est primordiale et ce, dans
toutes les activités de SCGB. Le risque peut survenir dans n’importe quel moment et n’importe
quel poste de travail, même si l’on ne s’y attend pas normalement, et les répercussions sur ceux
qui en sont victimes et leurs familles sont parfois graves, tout comme les répercussions sur
l’entreprise. Pour cette raison, en vertu de la LOI 88/07, SCGB est tenue « de prendre les
mesures prévues par la législation pour prévenir et réprimer le risque dans le lieu de travail ». Et
prévoit les étapes qu’il faut mettre en place a l’aide du présent manuel et d’autres pratiques et
outils de travail que l’entreprise met en place et veille a leurs actualisation et leurs mise a jour
dés que nécessaire .
La règlementation sur la prévention des risques a pour objectif d’assurer que les employeurs
prennent les mesures qui s’imposent pour prévenir et réduire les risques dans le lieu de travail,
et d’assurer que les employés sont protégés contre les risques dans le lieu de travail et qu’ils ont
recours à de l’aide s’ils en sont victimes.
SCGB très consciente des multiples effets négatifs possibles sur l’employé victime d’un accident
dans son poste de travail, notamment des blessures, la colère, la dépression, la culpabilité,
l’anxiété et le stress post-traumatique.
Deux phénomènes provocateurs de risques, dans le monde de travail « négligences, ignorance »
sont exclus et intolérables d’une culture pluridisciplinaire, que dispose l’entreprise SCGB et
suppose que la compétence et le savoir faire sont deux vérités indissociables pour maitriser
une telle mission complexe et mettre en exergue la sauvegarde de la santé et la sécurité de ses
salariés.
Notre capital le plus important à défendre, est la capitale HUMAINE.
Les accidents ne sont pas une fatalité : même si nos différentes activités génèrent quelques
risques, notre devoir commun est de protéger chacun à son poste de travail. Les règles
essentielles réunies, établies à partir de retours d’expérience, sont une étape supplémentaire
vers une meilleure gestion des risques spécifiques de nos activités elles couvrent les situations
les plus fréquemment rencontrées sur notre site et dans nos activités de galvanisation a chaud
et la fabrication de la charpente métallique/ traitement des effluents . Le strict respect de ces règles
est un élément clef de la prévention des accidents, chez SCGB et chez nos prestataires,
parce que la sécurité nous concerne tous, chaque jour. Cela exige de la pédagogie, de la
rigueur et du courage pour intervenir dès qu’un écart est constaté ou qu’une situation se
dégrade. Le partage de ces principes et de leurs exigences est le meilleur garant de notre
prévention.
Expliciter les règles de base devant être connues et appliquées par chacun.
Renforcer la prévention en incitant chacun à intervenir dès qu’un écart est
constaté.
Arrêter le travail si le risque n’est pas maîtrisé.
Les règles de la sécurité au poste de travail ont vocation à être partagées dans l’ensemble des
activités de SCGB en veillant à ce que chacun les comprenne et les respecte. Elles s’adressent
tout autant à ceux qui organisent les activités, qu’à ceux qui les réalisent et ceux qui les
contrôlent, elles appuient les démarches systématiques d’identification, d’analyse et de gestion
des risques. Elles s’inscrivent dans une politique adaptée de reconnaissance et de sanction.
Signé : A. BOUHTA
SCGB est une société à responsabilité limitée « SARL », créée en 2011, Sa mission est de
fournir des produits de haute qualité dans le domaine de la galvanisation a chaud, tout en
préservant la santé et la sécurité de ses employés et la protection de l’environnement.
Adresse Siège social ; zone industrielle BEN DANOUNE khemis khechna Boumerdes
Email: [email protected]
RC 35/00 0725920B11
AI 35 370 388816
Pour réaliser tous ces activités, SCGB s’est donné pour objectif d’opérer strictement dans des
conditions d’hygiène, de sécurité et de respect de l’environnement qui répondent aux standards
et normes internationaux ainsi qu’aux exigences de ses clients : en effet SCGB a inclus dans sa
politique générale, une forte implication Hygiène, Sécurité et Environnement.
Références
SCGB a su jouir de la confiance de clients aussi prestigieux que diversifiés, tels que :
- PETROFAC
- GENERAL ELECTRIC
- OOREDOO
- MOBILIS
- DJEZZY
- GTP
- METASTRUCTURE
- GCB
- KAHRIF
- MODELCO
- ECMA
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Cette analyse ne prend tout son sens que dans le but d’adopter des mesures correctives et
préventives visant à améliorer les situations de travail et remédier aux causes structurelles
génératrices de conséquences pour la santé et la sécurité des salariés. Le suivi de la mise en
œuvre de ces mesures est un élément important dans la réussite d’un système de maîtrise des
risques professionnels.
On ne maîtrise bien que ce que l’on mesure. La mise en place d’outils de mesure d’une part des
facteurs influençant la santé et la sécurité au travail et d’autre part des résultats obtenus en
termes d’accidents, de maladies professionnelles et de conditions de travail est à la base même
d’une bonne gestion des risques.
Le champ couvert peut aussi inclure l’étude de la perception des salariés ou les interventions
réalisées par une ergonomie.
Face à un accident du travail ou une maladie professionnelle la tentation peut être grande de se
limiter à la recherche des faits générateurs et causes immédiates et directement perceptibles.
Une démarche plus riche s’efforcera de remonter vers les causes plus en amont de façon à
démultiplier les effets des mesures de prévention adoptées.
Cette analyse doit porter non seulement sur les accidents survenant sur le lieu de travail, lors de
trajets domicile-travail, lors des déplacements professionnels mais également sur les incidents
ou presqu’accidents. De même, il ne faut pas attendre la survenue d’une maladie professionnelle
pour étudier les niveaux d’exposition à une émission dangereuse.
B. Améliorer la politique de maîtrise des risques et faire évoluer les valeurs de base de
l’entreprise.
L’évaluation de la politique de maîtrise des risques doit être l’occasion de s’interroger sur les
stratégies d’actions de l’entreprise en matière de santé et sécurité au travail et de leur cohérence
avec les valeurs essentielles et bonnes pratiques de prévention.
L’évaluation de la politique permet de s’interroger sur les dysfonctionnements liés à la conception
et à l’organisation générale du système c’est-à-dire de s’interroger sur la pertinence des
stratégies d’action. L’organisation tire les enseignements de la détection de ses erreurs et son
organisation s’améliore.
Mais c’est peut-être aussi et surtout l’occasion de s’interroger sur les valeurs sous-jacentes de
l’entreprise ayant conduit à ces stratégies. C’est une forme d’apprentissage plus évoluée qui
consiste à changer sa façon d’apprendre. Il s’agit d’apprendre à apprendre.
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Politique HSE
SCGB s’engage impé rativement pour la sécurité du personnel et la protection de
l’environnement, dans cet objectif, nous mettons en œuvre une politique HSE en nous
sur les points suivants :
Pour y parvenir :
Notre personnel dispose d’outils performants et bé néficie de formations ada
Par une communication active et une sollicitation permanente, nos collabora
l’amé lioration de la sé curité au travail et à la pré servation de l’environnemen
Notre process garantit le suivi et la traçabilité de notre engagement.
Quotidien cette politique à tous les niveaux et sur tous les sites.
KH KH LE 31 MAI 2021
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2. Objectifs du manuel
L'objectif premier du management reste naturellement la préservation de la sécurité, de la santé
de l'être humain et son intégrité.
Pour garantir la sécurité aux postes de travail, le staff QHSE est décidé à prendre toutes les
mesures dont l'expérience a démontré la nécessité, que l'état de la technique permet d'appliquer
et qui sont adaptées aux conditions particulières de l’entreprise SCGB.
Pour exercer un effet positif sur la mentalité de l'ensemble des collaborateurs vis-à-vis de la
sécurité aux postes de travail, le staff QHSE s'attache à:
intégrer le personnel, directement ou indirectement aux discussions et processus relatifs
à la sécurité aux postes de travail;
régler les problèmes sur le terrain et faire appliquer les mesures qui s'imposent ;
étendre l'application des solutions retenues à tous les secteurs concernés de l’entreprise;
faire prendre conscience aux cadres de leurs obligations en matière de prévention et de
contrôle ;
ne tolérer aucune situation ni aucun comportement contraire à la sécurité et à la promotion
de la santé aux poste de travail.
2.1Objectifs fixes
Diminuer de façon tangible le nombre d'accidents professionnels
Réduire les heures d’absence dues aux accidents professionnels et non professionnels
Réduire les coûts directs et indirects engendrés par les accidents professionnels
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3. domaine d’application
4. Manuel HSE
Le présent Manuel HSE, a pour objet de décrire les dispositions générales prises par l’entreprise
SCGB, pour obtenir, garantir et améliorer en permanence la sécurité des activités et des
équipements de production respectives de l’entreprise , en conformité avec les exigences légales
et règlementaires ainsi que la norme 45001 et les principes de la norme ISO 14001.
Il précise l’organisation, le rôle et les responsabilités au sein des activités de l’entreprise, de
même, il fixe des objectifs cibles à atteindre sur le plan HSE ce qui permettra a SCGB d’opérer
sur le marché de fabrication tout en gardant ses principes de préoccupations par apports a la
sauvegarde rigoureuse de la santé et la sécurité de ses employés et assure une gestion
pertinente dans un environnement préserver.
Donc, ce document constitue un outil de gestion des systèmes santé et sécurité au travail
conformément aux exigences du référentiel ISO 9001-2015.
Le manuel conjoint est rédigé, vérifié et mis à jour par le Manager QHSE et il est approuvé par la
Direction Générale.
Les modifications et mises à jour sont décidées en fonction des évolutions, simultanées ou non,
suivant les organisations, les objectifs, les extensions des domaines d’application du présent
manuel à d’autres activités et/ou à d’autres sites que ceux auxquels il s’applique.
Les mises à jour suivent les mêmes règles que celles définies pour son établissement.
Les révisions successives engendrent le passage à l’indice supérieur.
Le manuel conjoint modifié est alors diffusé normalement par le responsable QHSE avec le
nouvel indice, conformément aux dispositions de la procédure maîtrise des documents et des
données.
Le manuel conjoint est en diffusion contrôlée.
Des exemplaires non numérotés, portant la mention « DIFFUSION NON-CONTROLEE »
peuvent être remis aux clients, aux sous contractants ou au personnel.
L’archivage de l’original de chaque version du manuel conjoint est assuré par le responsable
QHSE et les versions originales périmées sont conservées durant 3 ans.
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FIGURE 1
Le Manuel est réalisé par le manager QHSE et en collaboration avec l’ensemble de ses
collaborateurs. Il est validé, daté, et signé par la directeur général.
Toutes les activités de l’entreprise sont couvertes par le système et concernées par la mise en
œuvre et l’amélioration continuée.
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5.1 Objectif
Ces principes directeurs devraient contribuer à protéger les travailleurs des dangers et à
éliminer les lésions, dégradations de la santé, maladies, incidents liés au travail.
C) aider à élaborer des principes directeurs à la fois spécifiques pour les systèmes de
gestion de la sécurité et de la santé au travail afin de répondre de façon appropriée aux
véritables besoins des exigences en fonction de leur taille et de la nature de leurs
activités.
D) inciter tous les acteurs des processus, en particulier les responsables, le personnel de
direction, les travailleurs et leurs représentants, à appliquer des principes et méthodes
appropriés de gestion de la sécurité et de la santé au travail permettant l'amélioration
continue de l’efficacité en matière de sécurité et de santé au travail- présentées dans la
figure 2 ;
Politique Organisation
Planification et
Action en vue de mise en œuvre
l’amélioration
Evaluation
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La démarche de prévention des risques professionnels de SCGB est guidée par des valeurs
fondamentales. Elle s’appuie également sur des méthodes ayant fait leurs preuves, et prend
modèle sur des bonnes pratiques. Son élaboration et sa mise en œuvre nécessitent d’agir
méthodiquement.
La prévention des risques professionnels chez SCGB , c’est l’ensemble des dispositions à
mettre en œuvre pour préserver la santé et la sécurité des salariés, améliorer les conditions
de travail et tendre au bien-être au travail. Elle s’inscrit dans une logique de responsabilité
sociale de l’entreprise.
Pour assumer cette responsabilité (obligation faite à SCGB), mieux vaut connaître les grands
principes qui régissent l’organisation de la prévention. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit de prévoir
et d’anticiper afin de limiter les conséquences humaines, sociales et économiques des
accidents du travail et des maladies professionnelles.
SCGB prend la prévention des risques professionnels d’un enjeu majeur pour l’entreprise.
Elle nécessite en premier lieu un engagement et une volonté forte au sein même de
l’établissement. Chacun à son niveau est directement concerné. La démarche est guidée par :
7.1.1 Définition
On considère comme « nouveaux » tous les salariés récemment embauchés sous contrat CDD,
CDI mais également les stagiaires, les apprentis, les remplaçants, les intérimaires, ainsi que les
personnes reprenant le travail après une longue absence (maladie, maternité, congé sabbatique,
etc..) les salariés qui changent de poste et/ou se reconvertissent et les équipes qui viennent de
déménager
7.1.2 Démarche
SCGB dispose d’une procédure d’accueil des nouveaux embauchés, cette procédure prévoit
avant tout la présence d’une personne compétente et disponible pour accompagner le nouveau
embauché .
La période d'intégration des nouveaux embauchés dans l'entreprise apparaît comme un moment
stratégique pour la prévention des risques professionnels. Cette intégration est dépendante du
parcours et de la compétence du « nouveau », mais aussi pour une part importante, de
l'entreprise. La manière dont elle aura accompagné, informé, écouté ce nouveau collègue de
travail et organisé son intégration, sera en effet déterminante.
SCGB Très consciente, sache que « formation signifie qualification » c’est pourquoi, les
préoccupations primordiales de la politique HSE sont basées sur la prévention intégrale
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L'accueil des nouveaux embauchés en entreprise, est devenu aujourd'hui un enjeu majeur, il est
considérer l’un des volets de la mission de la structure QHSE de SCGB.
Apprendre au nouveau embauché, à identifier et maîtriser lui-même les situations de risques
liées aux activités qu’il sera amené à exercer dans le cadre de son métier, c’est précisément
l’objet de la démarche SST.
De même, il est recommandé à la structure HSE de s’appuyer sur ces outils, de prévoir
l’organisation de ce travail, d’aider et de guider le nouveau dans l’exécution de cette démarche.
Cours en général
Instructions spécifiques au poste de travail ou à l'activité
pauses de sécurité / TOOL BOX
Formation de première urgence
Formation des travaux en hauteur
Formation des travaux électriques
Formation des travaux de levage et chariots élévateurs
Formation des travaux en espaces clos et confinés
Instruction et consignes sur la circulation sur site
Formation de manipulation des produits dangereux
Secours et évacuation
Extinction des feux
Formation sur la gestion des déchets et impactes environnementaux
Analyse et maitrise des risques
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7.2.3 Implication
SCGB reconnue que l’adhésion du personnel est une condition clé dans le domaine de la
santé et de la sécurité au travail. Cette adhésion repose sur la confiance dans l’équipe de
management, confiance elle-même conditionnée par la transparence dans la conduite des
actions.
La communication sur la santé et la sécurité du travail l’affaire de tous. Chacun doit être informé
de la politique et des objectifs retenus par l’entreprise, du rôle qu’il joue dans le dispositif et des
progrès réalisés. Chacun doit percevoir l’implication de la direction et de l’encadrement au
travers d’une politique de communication active et pérenne.
Une politique de communication sera d’autant plus crédible qu’elle s’appuiera sur des résultats
visibles et directement perceptibles par les salariés. À cet égard, les premières actions mises en
œuvre devront conduire à une diminution des risques perçus comme importants.
8. Rôles et responsabilités
8.1 Les salariés
L’exécutif est convaincu que :
les résultats de l’entreprise, la sécurité et la promotion de la santé aux places de travail,
ainsi que la protection de l'environnement et la qualité sont des objectifs de même
importance ;
les accidents (et les incidents également) peuvent être évités si chaque activité est :
- bien étudiée au préalable ;
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Les responsables chargés de la sécurité sont convaincu également que la sécurité et l'hygiène
des places de travail passent par l'ordre et la propreté. Ils organisent des contrôles réguliers en
collaboration avec les membres de la CPHS. A cette occasion, ils parlent de la sécurité et la
santé avec chacun, à tous les niveaux et en toutes occasions, les bonnes règles pour l'accueil
des nouveaux embauchés et des temporaires, tout comme pour la conduite des campagnes
d'affichage et d'information.
8.2 Le staff de sécurité
Le staff de la sécurité est conscient que les accidents ne sont que la pointe d’une négligence,
qu'il faut donc s'attaquer aux presque accidents et aux événements critiques :
qu'il est utile et nécessaire d'intervenir après un accident pour analyser les causes et en
tirer les conséquences;
mieux vaut prévenir que guérir, et intervenir avant l'accident ;
identifier les risques d'accident permet d'éviter les accidents ou d'en réduire fortement le
nombre.
Toute réduction du nombre d'événements critiques entraîne une réduction du nombre
d'accidents.
La situation actuelle de SCGB en matière d'accidents est telle qu'un programme d'action doit être
entrepris afin d'améliorer la situation.
Le staff de sécurité conseillera des mesures correctives en cas de besoin sur des installations,
sur l'organisation ou au niveau du personnel si la sécurité d'un système (processus, homme,
machine) ou la promotion de la santé à la place de travail l'exigent.
Si le danger est imminent ou grave, il peut ordonner la suspension des travaux ou l'arrêt d'une
installation. Il doit ensuite aviser immédiatement la voie hiérarchique de la décision prise et
discuter des mesures à adopter pour l'élimination du risque et la reprise de l'activité.
Le staff de la sécurité doit être tenu informé, dans les plus brefs délais, de tous les événements
qui touchent au domaine de la sécurité et de la promotion de la santé et plus particulièrement
concernant :
les incidents (presque accidents) ;
les accidents professionnels (AP) et non professionnels (ANP) ;
l'absentéisme en général ;
les dégâts naturels, inondations etc.;
les incendies et les cas de pollution de l'eau, etc.
Une fois organisés les premiers secours, il informera la voie hiérarchique et, si nécessaire, les
autorités compétentes (protection civil, police, gendarmerie, secteur sanitaire le plus proche, les
services d’environnement, etc.).
Le staff de la sécurité doit établir et tenir à jour les listes de tous les objets nécessitant des
contrôles périodiques, tels que:
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Il visionne périodiquement l'état des ateliers et dépôts. Il contrôle, en même temps, que ces
places de travail soient toujours en bon ordre et offrent le maximum de sécurité.
Il est compétent pour l'établissement du budget concernant la sécurité et la promotion de la santé
aux places de travail. Ce budget sera soumis à l’exécutif pour approbation.
8.3 Le Manager QHSE
Si la responsabilité générale en matière de sécurité au sein de SCGB appartient toujours au
Manager QHSE, chaque collaborateur, à son niveau, a également une part de responsabilité.
Le choix des protections individuelles EPI (casque, lunettes, gants, chaussures) sont de la
compétence du manager QHSE, après avoir consulté les collaborateurs.
Il organise des audits internes et des contrôles selon un calendrier établi d'avance, en accord
avec le spécialiste de la sécurité externe.
Il tient à jour la documentation sur les incidents et accidents survenus dans l’entreprise, ainsi que
les statistiques internes. Il se procure régulièrement les statistiques sur les AP et ANP de la
branche, ainsi que les publications pouvant intéresser les autres services de l’entreprise.
Il se tient au courant des modifications de la législation sur la sécurité et la promotion de la santé
au travail et, si nécessaire, il suit les cours de perfectionnements sur le sujet.
Le manager QHSE est la personne de contact envers les autorités en la matière, ainsi qu'avec
l'organe d’exécution.
Le manager QHSE, en qualité de coordinateur de sécurité n'enlève pas la responsabilité à
l’employeur. Il incombe, en effet, en premier lieu à l'employeur de prévenir les accidents et les
maladies professionnels. L’employeur doit prendre les mesures appropriées afin que la vie et la
santé des employés ne soient pas mise en péril.
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Le terme « lieu de travail » est défini comme « tout lieu où l’employé exécute un travail pour le
compte de son employeur.
9.3 Employé
On entend par ce terme tous ceux qui occupent un poste d’emploi dans une entreprise ou
organisme dont le lien des deux parties est p justifié.
La politique doit être adaptée, étant donné la variété possible, en fonction de poste de travail, de facteurs
qui contribuent à la provocation d’un incident tenant compte, notamment :
a) de l’expérience de l’employé relativement à la gestion de tels facteurs et de risques liés à son poste
de travail;
b) de l’endroit où les tâches sont effectuées et des circonstances dans lesquelles elles le sont;
c) des rapports présentés par des employés relativement aux risques ou aux possibilités éventuelles
qui peuvent engendrer des risques dans le poste de travail;
d) de ses enquêtes relativement aux risques ou aux possibilités éventuelles qui peuvent engendrer der
des risques dans le poste de travail;
e) des mesures déjà en place pour prévenir et réprimer la violence dans le poste de travail
9.7 Identification des facteurs contribuant aux risques dans un poste de travail
À l’étape de l’identification des facteurs, le but est de considérer l’ensemble des facteurs qui pourraient
contribuer aux risques dans un poste de travail :
Après cette étape, il est possible d’évaluer les facteurs et en établir des mécanismes de contrôle avant que
ces facteurs ne mènent à des risques. De plus, les employés ont la responsabilité de signaler des situations
possibles des risques constatés au cours de l’exécution.
Il est possible que des facteurs contribuant aux risques soient déjà connus. Ainsi, le processus
d’identification commence par l’examen soigneux de ces facteurs de risque. Parmi ces éléments, il y a des
mesures qui sont peut-être déjà en place pour prévenir les risques dont il faudra tenir compte. L’examen
des mesures courantes permet une amélioration continue à cet égard et permet d’assurer que de nouveaux
dangers ou risques ne surviennent dans le lieu de travail.
Les employés, ainsi que le lieu en soi et les circonstances dans lesquelles les activités se déroulent
représentent les éléments qui rendent chaque poste de travail unique. Certains facteurs, tels que le
travail en isolement, le travail dans des endroits éloignés ou la nuit, et le travail comprenant la manutention
d’objets de valeur augmenteront vraisemblablement le risque dans un poste de travail.
9.8 Évaluation
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(1) L’évaluation des risques dans le poste de travail eu égard des facteurs identifiés est effectué par le staff
QHSE sous l’orientation et l’assistance physique du manager QHSE de SCGB, cette évaluation tiendra
compte notamment :
(2) Il est interdit aux responsables QHSE, dans leurs consultations avec les membres de la CPHS, de
communiquer des renseignements qui font l’objet d’une interdiction légale de communication ou dont la
communication pourrait vraisemblablement nuire à la sécurité des personnes.
De diminuer l’exposition
(et si cela ne suffit pas)
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rédigé soit à la suite d’un accident/incident, soit lorsqu’une situation/action dangereuse a été
identifiée.
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Les responsables des taches informes le manager QHSE ou ses collaborateurs sur les activités
présentant des dangers. Les mesures préventives à prendre peuvent être proposées par le
manager QHSE en collaboration avec les responsables des taches concernés.
Sur le même principe, l’entreprise établit des objectifs annuels mesurés par ses indicateurs et
un plan HSE basé sur les principes d’amélioration continue prenant en compte :
- La liste des impacts négatifs de son activité sur la santé la sécurité et l’environnement,
- Les mesures prises pour réduire ces impacts
- Les résultats attendus
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- Le nombre d’heures travaillées historiques, prévues par type de personnel (CDI, CDD,)
- La réduction du nombre d’accidents et leur gravité.
- Les actions correctives et préventives suite à l’analyse des rapports d’accidents, de
presqu’accidents, d’audits, de visites (observations, inspections) et de causeries de
sécurité.
- Le planning d’audit système et le planning d’audit terrain
- L’évaluation des risques avant remise d’une offre ou réalisation d’une tache
- La formation et l’information du personnel, les instructions de travail, la communication
interne et/ou externe avec l’entreprise utilisatrice et/ou les sous-traitants
Figure - 3
Figure - 4
Calcul des taux : Le taux de fréquence (TF) qui mesure le rapport entre accidents de travail et le nombre d’heures
travaillées. TF= N. AT*1 000 000/ N. H.T
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N . AT : représente le nombre total d’accidents de travail ( y compris les accidents de trajets) survenus
pour une période donnée
N. H.T : représente le nombre total d’heures travaillées (par l’ensemble du personnel d’une unité ou
d’une entreprise) pendant une période déterminée.
Le taux de gravité (TG) qui exprime la perte subie, en incapacité du fait des accidents de travail.
TG= N. JP*1 000 / N. H.T
N . JP : représente la somme totale de l’ensemble des journées de travail perdues par suite des accidents
de travail survenus pour une période donnée
En "milieu hostile", aucune improvisation n'est permise, car les conditions d'exécution sont bien
souvent combinées à des accès périlleux, Prévenir donc les risques de chute de hauteur et chute
du même niveau en respectant les bonnes pratiques et les dispositifs mises en place par la
structure QHSE SCGB « procédure, instructions, modes opératoires , la protection adéquate,
organisation du lieu de travail ».
L’identification de toutes les situations de travail exposant les salariés aux risques de chute doit
intervenir le plus en amont possible. Il devient alors envisageable de proposer des solutions
permettant d’éviter l’exposition au risque.
La réflexion doit porter sur tous les postes de travail concernés par un risque de chute de hauteur
soit de même niveau, y compris ceux qui ne concernent que l’entretien.
Elle doit également comprendre l’examen des conditions d’accès à ces postes.
La démarche de prévention des risques des chutes de hauteur doit être conduite :
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Les travaux sur toits (bâtiments, réservoirs, etc.) se font après vérification de la solidité et mise
en place des protections adaptées.
Les travaux en hauteur (plus de 2 mètres) sont réalisés à partir de plate-forme fixe ou mobile ou
d’échafaudage avec garde-corps conçu pour la tâche à réaliser.
Les protections collectives sont privilégiées. En leur absence, on utilise un équipement limitant la
chute à moins de deux mètres et comprenant : un harnais de sécurité, un point d’ancrage
approprié et un système d’absorption de chocs.
• Les travaux sur toit de bâtiment ou de réservoir nécessitent une inspection préalable, une étude
des risques spécifique, la mise en place de passerelles, de garde-corps ou de lignes de vie ;
• Les travaux sur échafaudage impliquent un contrôle avant utilisation et à intervalles réguliers.
L’étiquetage pour tracer les inspections et réglementer l’accès est systématique. Le
personnel effectuant le montage, la modification et le démontage est équipé d’un harnais avec
double longe ;
• Les travaux sur Plate-forme Élévatrice Mobile de Personnel (PEMP) sont effectués par du
personnel habilité, équipé d’un harnais de sécurité et respectant les conditions d’utilisation. Tout
déplacement de la PEMP en position déployée est interdit sauf accord donné suite à l’analyse
des risques.
Attention, les échelles constituent un moyen d’accès à n’utiliser qu’à titre exceptionnel.
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Un incendie est une combustion, qui émet de grandes quantités de chaleur, des fumées et des
gaz polluants. Pour qu’il se déclare « voir procédure », il faut que soient présents, simultanément
sur le lieu de travail, 3 éléments : un combustible, c’est-à-dire une matière capable de se
consumer (matériau de construction, bois, essence…), un comburant qui, en se combinant avec
le combustible, permet la combustion (oxygène, air…), une source d’énergie qui va déclencher la
réaction de combustion (électricité, flamme nue, cigarette…).
La prévention des risques incendie et explosion consiste à agir le plus en amont possible,
notamment au moment de la conception et de l’implantation des locaux ou de la mise en place
d’un procédé de production. Les salariés doivent tenir compte en premier lieu de la
réglementation du travail en vigueur.
Tout déplacement, si banal soit-il, à pied ou à bord d’un véhicule, expose le salarié à des risques
« collisions, accidents de la route, mal de dos, conduite d’un véhicule, heurt glissade ou
entorse ». SCGB prend en compte ces risques avant, aux cours et après chaque étape d’activité
de travail, la procédure en place permettra de rationaliser et de sécuriser les déplacements à
l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise.
SCGB rationalise et sécurise les déplacements, même lorsque les échanges avec l’extérieur
sont peu importants, l’activité de l’entreprise génère une circulation interne (c’est- à-dire à
l’intérieur du site ou à l’extérieur mais dans l’enceinte de l’entreprise) souvent sous-estimée .
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Outre les risques d’accidents multiples et variés (collisions, heurts, chutes…), un mauvais plan
de circulation dans l’entreprise peut avoir des conséquences négatives sur la performance voir
(marchandises perdues, coût des réparations, désorganisation des services, altération de l'image
de marque, perturbation des relations sociales dans l'entreprise…).
L’enjeu est donc d’optimiser et de rationaliser les circulations sur site afin d’améliorer la santé et
la sécurité au travail et d’augmenter la productivité de l’entreprise. Cela passe par le choix des
espacements entre eux, le plan de circulation intérieure et extérieure défini et la mise en place
d’une procédure a permis a SCGB d’organiser ses différents espaces par un éclairage et d’une
signalétique adaptée.
La démarche globale de conception des lieux et des situations de travail nécessite d’associer,
tout au long des activités, les différentes disciplines concernées (ingénierie, ergonomie,
architecture…). Elle doit prendre en compte les risques potentiels liés à la circulation, à la
manutention, aux ambiances physiques (bruit, vibrations, température de l’air…), aux risques
chimiques, biologiques et autres (isolement, stress…).
Conduire un véhicule fait partie des activités banales de la vie… Mais, pour certains salariés,
c’est aussi une activité professionnelle à part entière voire leur métier. Qu’ils soient
commerciaux, chauffeurs routiers ou coursiers, les salariés devant conduire dans le cadre de leur
travail sont nombreux. En effet, les clients, les fournisseurs les visiteurs, les sous-traitants et les
partenaires peuvent être soumis aux respects de ces mesures en utilisant notre site.
Comment, dans ces conditions, satisfaire aux exigences professionnelles tout en respectant le
Code de la route ? Conduire pour le travail expose les salariés concernés à des risques
supplémentaires que SCGB doit prendre en compte. Des mesures de prévention ciblées
appropriées sur les déplacements, les véhicules, les communications et les compétences sont
décrites sur notre procédure relative aux risques routiers.
Trébucher, heurter un objet, faire un faux pas ou glisser sur son lieu de travail peut arriver à
tout le monde. Ces accidents sont souvent considérés comme bénins et inévitables. Pourtant, ils
peuvent être aussi graves (séquelles permanentes) que les autres accidents du travail – et
parfois même fatals.
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En Algérie, environ 8 % des accidents du travail avec arrêt sont liés aux machines, avec près de
la moitié due aux appareils de levage et de manutention. Que ce soit au moment de la
conception ou de l’utilisation des équipements de travail, ou encore au moment de leur revente,
location, prêt, cession ou mise au rebut, la prévention des risques professionnels doit être une
préoccupation permanente.
Tour pour le travail des métaux, centrifugeuse, scie sauteuse, trancheuse à jambon, bande
transporteuse, chariot automoteur, engin de terrassement, grue à tour… : tous ces appareils,
outils ou machines ont en commun de convertir l’énergie qu’ils utilisent pour agir sur la matière,
la travailler, la transporter. Ce sont des équipements de travail au sens de la réglementation.
Les risques dus aux équipements de travail sont présents lors de l’utilisation normale, mais aussi
lors de situations particulières telles que maintenance, réglage, nettoyage…
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Mauvaise conception
Utilisation d’une machine inadaptée aux travaux à réaliser
Interventions en cours de fonctionnement
Modes opératoires inappropriés et dangereux
Insuffisance de formation des opérateurs / des salariés se trouvant dans l’environnement
proche
Manque de sensibilisation à la sécurité
• Si nécessaire, se faire aider par une personne formée aux gestes et postures.
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Le permis de travail est un outil essentiel pour réaliser en sécurité les travaux sur site :
• L’émetteur du permis s’assure que les travaux et les tâches sont clairement spécifiés ;
• Une analyse des risques tient compte du mode opératoire et de l’environnement de travail
• Si nécessaire, des permis complémentaires (feu, levage, isolation des systèmes alimentés en
énergie, espace confiné, travaux en hauteur, etc.) sont établis par une personne habilitée avant
la réalisation du travail ;
• L’entité en charge de la mise à disposition de la zone et des équipements pour travaux s’assure
que toutes les conditions du permis sont satisfaites avant le début du travail ainsi que durant la
totalité de l’intervention ;
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L’absence d’énergie (mécanique, chimique, thermique, électrique, etc.) est contrôlée avant le
début des travaux.
Un nouveau permis est établi si les conditions changent ou si le mode opératoire est modifié.
Le travail de levage (avec chariot élévateur, grue, palan , pont roulant ou autre dispositif
mécanique) ne débute que si :
• Une analyse de risques et un plan de levage ont été réalisés pour l’opération.
L’équipement de levage et la méthode ont été définis par une personne compétente;
• Le poids de la charge est connu, l’adéquation du levage avec les limites de la capacité de
l’engin est vérifiée;
• Les intervenants sont formés et qualifiés. Les grues et autres engins de levage sont
manœuvrés par du personnel habilité ;
• Tous les dispositifs de sécurité des équipements de levage sont en bon état de marche ;
• Un système de repérage (par couleur ou équivalent) est utilisé pour attester de la réalisation
des contrôles périodiques des accessoires de levage ;
• Tous les dispositifs et les accessoires de levage (élingues, manilles, etc.) ont été inspectés
visuellement avant utilisation ;
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Certains travaux nécessitent une consignation pour bloquer l’arrivée de produit ou d’énergie
(mécanique, électrique, hydraulique, thermique, radioactive).
• Un permis de travail approprié est établi et validé avec tous les documents associés ;
• L’énergie est déchargée par un moyen sécurisé. L’équipement est vidangé et dégazé ;
• Les isolations physiques sont contrôlées par l’exploitant de l’équipement et par l’exécutant des
travaux ;
• L’exploitant est présent à l’ouverture de circuits de produits présentant des risques pour les
intervenants.
L’exploitant est présent à l’ouverture de circuits de produits présentant des risques pour les
intervenants.
VOIR procédure.
Pas de pénétration en espace confiné sans vérification des isolations et sans contrôle
d’atmosphère.
• Toutes les autres options ont été écartées et les raisons motivant l’entrée dans un espace
confiné ont été établies ;
• Toutes les sources d’énergie et de fluides ont été isolées et sécurisées et cette isolation est
formalisée dans un document ;
• Des contrôles d’atmosphère ont été effectués, vérifiés et sont répétés aussi souvent que
nécessaire. Les résultats sont enregistrés ;
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• Des règles particulières sont mises en œuvre pour les travaux spéciaux en atmosphère inerte
• Une équipe de secours compétente et équipée de manière adéquate est prête à intervenir.
Attention, plus de la moitié des accidents mortels en espace confiné concerne les personnes
ayant tenté de porter secours en apnée.
Les risques d’asphyxie, de chute, de déflagration, d’écrasement, de noyade, etc, Sont pris en
compte.
Toute modification technique ou organisationnelle fait l’objet d’une analyse des risques.
• Les changements de personnel, en particulier dans les postes critiques pour la sécurité ;
Les interférences liées aux opérations simultanées ou co-activités sont susceptibles d’augmenter
le niveau de risques, elles requièrent :
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• La mise en application de toutes les recommandations découlant de cette analyse des risques ;
• L’obtention d’une autorisation formelle de procéder aux opérations, délivrée par le responsable
opérationnel qui coordonne tous les permis et instructions.
Certains ÉPI nécessitent une formation ou doivent être accompagnés d’un livret
d’information sur leur utilisation
Casque de protection
Protection contre les chutes d’objet à partir d’un niveau supérieur. Pour préserver ses propriétés,
il doit être stocké à l’abri de la lumière et de la chaleur. Tout casque ayant subi un choc important
doit être mis de côté, même si aucun dommage n’est apparent.
Gang de sécurité
Protection contre les risques de coupures, coincements et pincements. Les gants peuvent offrir
différents types de protection contre les agressions mécaniques : résistance à l’abrasion, à la
coupure par tranchage, à la déchirure, à la perforation, à la coupure par impact et protection
contre l’électricité statique. D’autres types de gants protègent contre la chaleur, le froid, les
produits chimiques, etc. L’ajustement et le coefficient de friction du gant est important. Des gants
mal ajustés, glissants ou trop rigides diminuent la capacité de manutention et augmentent les
risques d’accidents.
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Chaussures de sécurité
Protection des pieds contre les chutes d’objets manutentionnés ou contre la perforation de la
semelle par des objets pointus et coupants. Les chaussures jouent un rôle déterminant pour
protéger :
Il est important également de considérer le poids des chaussures ainsi que le matériel de
fabrication. Un manutentionnaire peut parcourir de grande distance et des chaussures
protectrices légères sont préférables aux grosses bottes de cuir qui ne respire pas.
Casque antibruit ou bouchons d’oreilles : pour tout travail exposant à des niveaux sonores
supérieurs à 85 dBA (et même à des niveaux sonores inférieurs pour favoriser le confort
des personnes).
Genouillères : particulièrement pour les travaux exigeant une position à genoux prolongée.
Lunettes, masque, écran facial : pour se protéger des projections au visage.
Masque anti poussière : pour se protéger contre les nuisances et les substances
chimiques nocives et toxiques
Harnais de sécurité : pour se protéger contre les chutes libres d’un niveau supérieur
Mesures à prendre
Pas d’accès aux installations et pas de travaux sans port des EPI généraux et
spécifiques.
Les équipements de protection collective sont privilégiés et maintenus en bon état
(protection machine dangereuse, nacelles télescopiques, échafaudages, tréteaux, garde-
corps etc...)
Les protections individuelles complètent les dispositions de prévention prises.
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• Lunettes de protection ;
• Gants de sécurité.
Des EPI spécifiques sont définies après analyse des risques des travaux, et sont
portés, tels que :
• Appareil respiratoire isolant ;
• Tenue ignifugée ;
• Harnais de sécurité ;
• Détecteur de toxicité.
11 Information, documentation
L’entreprise organise en temps utile la diffusion des informations à tout le personnel impliqué par
l’intervention ; ces informations concernent
- La description du travail à réaliser
- La planification,
- Le plan de prévention, l’organisation générale, les risques propres à l’entreprise ou liés à la
co-activité,
- Les mesures de protections individuelles et collectives,
- Les risques liés au métier, au travail à exécuter, aux produits, à l’environnement de travail,
- Les consignes HSE de l’entreprise auxquelles sont soumis les membres du personnel
intervenant
- La documentation technique,
- L’exposition aux produits dangereux pour la santé ou pour l’environnement et les mesures
de prévention associées.
Par ailleurs l’entreprise contrôle que ces informations ont été effectivement reçues et comprises
par son personnel ; elle organise les retours d’information à tout niveau de sa hiérarchie.
Ces retours d’information sont recensés sur des documents préétablis, connus du personnel et
disponibles sur les lieux de travail, par exemple :
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- permis de travail,
- Déclaration d’accident de travail
- Information sur un presque accident
- Fiche technique d’anomalie
- Fiche technique de non-conformité
- Fiche d’écarts ou de suggestion,
- Audits (ou visites) et causeries HSE
- Fiches de données de sécurité
- Fiches d’exposition,
- Etc.
L’ensemble des documents de management HSE sont gérés c'est-à-dire renseignés, signés,
datés, archivés notamment :
Le Manuel HSE
La politique, les objectifs et plans annuels HSE
Les fonctions et responsabilités HSE
Les procédures, instructions et enregistrements mis en œuvre dans le système de
management HSE
Les dangers et risques HSE qui découlent des activités de l’Entreprise.
Les enregistrements sont archivés.
11.2 Contrôles
L’entreprise vérifie l’efficacité de son système de gestion HSE par des contrôles réguliers et
planifiés qui peuvent prendre la forme d’audits, d’inspections, de visites et/ou
d’observations sur le terrain ; ces contrôles réalisés par du personnel compétent organique ou
externe portent notamment sur le respect de la politique, la progression dans l’atteinte des
objectifs annuels, le respect des procédures et des habilitations, l’avancement du plan de
formation.
Ces contrôles sont planifiés (quand ? qui ? quoi ?) et font l’objet de rapports communiqués à la
Direction Générale.
L’évaluation et la mesure des résultats prennent en compte :
Avant le début des travaux, une information sera donnée aux collaborateurs des entreprises
tierces au sujet des dangers particuliers sur la place de travail.
13 Consignes d’évacuation
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1ére étape
L’évacuation ne sera, par exemple, terminée que lorsque les occupants d’un site seront a
l’extérieur et à une distance les mettant hors d’atteinte de danger, en cas d’une alerte
quelconque.
2éme étape
Identifier les points intermédiaires possibles qu’il est physiquement possible d’atteindre.
3éme étape
Identifier l’utilisation des chemins et des zones en fonction des comportements prévisibles. Les
risques objectifs ne sont pas les seuls à prendre en compte.
4éme étape
Définir l’évacuation, en évitant les cheminements trop bruyants, trop obscurs, trop lents ou trop
rapides pour une foule en mouvement.
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L’espace d’accueil doit être suffisant pour contenir la totalité de l’effectif évacué et pour que cela
ne gène pas l’action des secours. Donc identifier une zone de recensement et une zone de
sécurité ne gênant ni l’arrivée, ni le travail des services d’intervention.
5éme étape
Validation par des tests. L’objectif est de passer d’une sécurité réglementaire à une sécurité
efficace.
Les exercices doivent aussi être l’occasion d’apprendre aux salariés à utiliser différents
itinéraires et ne pas emprunter systématiquement la seule entrée/sortie Habituelle.
Pour faciliter l’évacuation, des guides d’évacuation ont été désignés à chaque étage et sur
chaque aile du bâtiment. En cas d’incident, placez-vous sous leur responsabilité et suivez
leurs instructions.
Avant de quitter votre bureau, vérifiez qu’il est vide et dans ce cas disposez sur la poignée
externe de la porte l’étiquette verte qui indiquera aux secours que le bureau a été évacué.
Ne fermez pas les portes à clef.
Les personnes à mobilité réduite devront être évacuées à l’aide des chaises pliables
d’évacuation.
Face à un événement non désiré, les comportements peuvent être, dans un premier
temps :
L’évitement (refus de voir un événement non désiré) : quasi systématique face à un feu
L’engagement : tendance a poursuivre ce que l’on fait et difficulté a détourner son
attention vers des événements extérieurs a son activité.
C’est pourquoi la perception seule d’un signal d’évacuation ne suffit pas à convaincre les
salariés à évacuer, très souvent, ce signal à besoin d’être validé par une information
complémentaire.
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Les situations de crise qui peuvent toucher l’entreprise figurent aujourd’hui, à juste titre,
au premier rang des préoccupations des responsables de l’entreprise.
En matière d’hygiène-sécurité et, les « portes d’entrée » essentielles d’une crise restent
toutefois les accidents aigus (explosions, incendies, pollution majeure), et c’est à la
gestion de la communication pour ce type d’événement que la présente procédure
s’attachera particulièrement.
Il est bon d’insister sur le fait que les crises sont des phénomènes complexes, des états
instables, difficiles à gérer en l’absence de préparation.
La communication y joue un rôle majeur qui est loin de se limiter à quelques recettes.
– la confusion entre décision et communication (il faut prendre d’abord les bonnes
décisions et communiquer ensuite).
Anticiper tout ce que l’on peut anticiper et communiquer vite et vrai pour Garder un
maximum de contrôle ;
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Une des premières tâches de la cellule de crise est d’évaluer la situation et, en
particulier, de se demander si les événements en cours peuvent donner lieu à une crise majeure
et durable. Une façon simple de procéder est de recenser les ingrédients de la crise, autrement
dit tout ce qui peut faire dégénérer en crise une urgence post accidentelle.
Nature
Bilan victimes
Bilan matériel
Bilan environnemental
Bilan financier
Potentiel d’extension
géographique
émotionnelle
Antécédents
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Porter secours à une personne en difficulté est un devoir moral, mais également un devoir
légal, la non-assistance à personne en danger est passible de poursuites judiciaires.
On sait ô combien les premiers gestes sont capitaux quant au pronostic de survie d’un blessé
grave. Il serait bon que tout Algérien connaisse ces gestes. Bien entendu ce serait positif pour la
santé publique, mais pensez également que ces personnes en détresse peuvent être vos
parents, vos enfants etc.
Evidemment ne s’improvise pas secouriste qui veut, certains gestes maladroits pouvant aggraver
l’état de santé de la victime. C’est pourquoi il existe en Algérie plusieurs types de formations aux
techniques du secourisme, qui peuvent être suivies par les professionnels
En cas d'accident avec lésions corporelles, il est important de connaître et de mettre en pratique
les "gestes qui sauvent" afin de ne pas aggraver les blessures et de réduire l'importance des
séquelles éventuelles. Ces gestes doivent se faire avant l'arrivée des secours et du médecin
d'urgence.
Le staff de la sécurité SCGB a donc le devoir de faire une analyse, de définir le nombre de
personnes qui devra être formé et d'organiser, en collaboration avec le chargé de sécurité, les
cours nécessaires.
Un sauveteur est designer dans chaque groupe de travail pour assurer :
Les premiers secours en cas de nécessité,
Le massage cardiaque pulmonaire.
Les sauveteurs peuvent jouer un rôle important et être les artisans qui permettront d'atteindre les
objectifs définis par la direction, soit diminuer les accidents et les éliminer.
Il est donc opportun qu'ils soient nombreux, car aucun sauveteur ne souhaite mettre réellement
en pratique les cours qu'il aura suivis et mettra donc tout en œuvre pour éviter qu'un collègue ou
lui-même n'ait un accident.
Ces personnes seront les ambassadeurs de la sécurité et de la protection de la santé.
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Milieu dans lequel un organisme fonctionne incluant l’air, l’eau, le sol, les ressources naturelles,
la flore, la faune, les êtres humains et leurs interrelations
• Objectifs de l’entreprise :
– Identifier les activités, à surveiller et à maîtriser, générant des impacts.
– Définir les objectifs et cibles du système et mettre en place un Programme de
Management Environnemental,
– Définir, préciser ou compléter la politique environnementale du site
Aspect environnemental :
"Elément des activités, produits ou services d'un organisme susceptible d'interactions avec
l'environnement"
Impact environnemental :
"Toute modification de l'environnement, négative ou bénéfique, résultant totalement ou
partiellement des aspects environnementaux d'un organisme"
Aspects environnementaux :
Emissions dans l'air
Rejets dans l'eau
Contamination du sol
Déchets
Utilisation de ressources
Aspect visuel
Emissions sonores vibrations
Impacts environnementaux :
Pollution de l'air
Couche d'ozone / odeurs
Acidification
Effet sur la santé
Pollution de l'eau
Destruction faune/flore
Bioaccumulation
Pollution du sol
Pollution nappe phréatique
Pollution air, eau, sol
Diminution de ressources
Impact visuel
Nuisances sonores et vibratoires
15.1Déchets
A quel moment un objet devient-il un déchet et à quel moment cesse-t-il de l’être ?
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On définit le déchet comme un produit ou n’importe quel résidu issu du métabolisme ou d’une
activité humaine : domestique, industrielle ou agricole, quant il ne peut plus être utilisé à
d’autres fins, a ce moment, son existence a l’abondant , son accumulation devient nocif sur
le sol, la flore, et la faune à dégrades les sites ou le paysage, à polluer l’air ou les eaux, à
engendrer des bruits ou des odeurs ,et d’une façon générale, à porter atteinte à la santé de
l’homme et à l’environnement.
Les types et les catégories des déchets sont nombreux, (dangereux et non dangereux)
Un déchet peut devenir un phénomène néfaste et porte atteinte à la vie humaine s’il n’est pas
bien traité, comme il peut disparaître de l’existence par une gestion méthodique et
professionnelle
Les méthodes de gestion des déchets peuvent en elles mêmes entrainer un risque pour la
santé, si les différentes étapes du processus de gestion ne sont pas menées correctement.
De ce fait, il est devenu impératif de mettre en place des outils (plans de gestion,
réglementation, procédures, instruction de travail, sensibilisation et formations).
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symbole d’inflammable
-Déchets
chimiques
N.B : les déchets organiques ne sont pas concernés par les pictogrammes (sacs de couleur noir)
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exposition chronique avec effets Il n'y a pas de cas pour les quels
3 d'invalidité partielle l'écart ai engendré des nuisances
Probabilité
G/P
4 3 2 1
1 4 3 2 1
2 8 6 4 2
Gravité
3 12 9 6 3
4 16 12 8 4
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Domaine/Processus Activité/Produit/Service
G F C AES AES
ASPECT IMPACT C/N Maitris
S/ACTIVITE TACHES ENVIRONNEMENTAL N A ENVIRONNEMENTAL C able
N : Situation de fonctionnement normal (y compris le démarrage, l’arrêt et la maintenance) A : Situation anormale (panne,
incendie, explosion, …)
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Les personnes :
50
fm
g
)o
(n
s
v
p
u
1
9
3
2
6
5
:0
té
T
U
O
B
rD
S
H
Q
R
E
G
N
A
lM
a
ic
d
e
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