Exercices de Révision TC - 2020

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USTHB/FGMGP/Dépt.

CMP / L3 CM 2019/2020
Transfert de Chaleur
Exercices de Révision

Exercice 1
Soit un chauffe-eau de 0.27 m3 qui est initialement rempli d'eau à 7 °C.
- Déterminez la quantité d'énergie qui doit être transférée à l'eau pour élever sa
60C
température à 60 °C.
7C
Eau
Prenez la densité et la chaleur spécifique de l'eau à 993.1 kg/m3 et 4186,8 J/(kg K),
respectivement.

Solution ;

La quantité de chaleur qui doit être transférée à l'eau du réservoir lorsqu'elle est
chauffée de 7 à 60 °C est déterminée comme étant;
qtransferer  U  mC p (T2  T1 )

m  V  (993 .1 kg/m 3 )(0.27 m 3 )  268 .137 kg

Replaçons dans la première équation en trouve;


qtransferer  (268 .137 kg)(4186.8 J/kg. K)(60  273 - 7  273)  K = 59799 kJ

Exercice 2
Un bac en aluminium dont ça conductivité thermique est de 237
W/m°C, a un fond plat de diamètre 20 cm et d'épaisseur 0,4 cm.
La chaleur est transférée régulièrement à l'eau bouillante dans le
bac à travers son fond à une vitesse de 800 W. Si la surface
intérieure du fond de la casserole est à 105 ° C.
- Déterminez la température de la surface extérieure du fond
de la casserole.

Solution ;

Dans des conditions stables, le taux de transfert de chaleur à travers le fond de le


bac par conduction est;
T T T  qL 
q  kA  kA 2 1  T2     T1
L L  kA 

1 Enseignant: MAHFOUD

 qL   (800W )(0.004 m) 
T2     T1     105 C  105.43 C
 kA   237W / m² 0.0314 m²  

Avec; A =  r² =  (0.1 m) ² = 0.0314 m²

Exercice 3
Un transistor d'une hauteur de 0,4 cm et d'un diamètre de 0,6 cm est monté
sur une carte de circuit imprimé. Le transistor est refroidi par de l'air qui le
traverse avec un coefficient de transfert de chaleur moyen de 30 W/ m2.°C.
Si la température de l'air est de 55 °C et que la température du boîtier du
transistor ne doit pas dépasser 70 °C.
- Déterminez la quantité d'énergie que ce transistor peut dissiper en
toute sécurité. Ignorez tout transfert de chaleur de la base du
transistor.

Solution ;

Ensuite, la quantité de d’énergie (le flux de chaleur) dans des conditions spécifiées
est
q  hAs (Ts  T )

Sans tenir compte de la surface de base, la surface totale de transfert de chaleur


du transistor est ;
As  DL  D 2 / 4   (0.6 cm)(0.4 cm)   (0.6 cm) 2 / 4  1.037 cm 2  1.037 10 4 m 2

q  hAs (Ts  T )  (30 W/m 2 .C)(1.037  10 -4 m 2 )(70  55)C  0.047 W


Donc, la quantité d'énergie que ce transistor peut dissiper en toute sécurité est de
0,047 W.

Exercice 4
Considérons un milieu dans lequel l'équation de conduction thermique est donnée sous sa forme la
 2T  2T 1 T
plus simple comme ;  
x 2 y 2  t
(a) Le transfert de chaleur est-il permanent ou transitoire?
(b) Le transfert de chaleur est-il unidimensionnel, bidimensionnel ou tridimensionnel?
(c) Y a-t-il une génération de chaleur dans le milieu?
(d) La conductivité thermique du milieu est-elle constante ou variable?

2 Enseignant: MAHFOUD
Solution ;

Pour un milieu dans lequel l'équation de conduction thermique est donnée dans sa
plus simple expression;
 2T  2T 1 T
 
x 2 y 2  t

(a) le transfert de chaleur est transitoire, (b) il est bidimensionnel, (c) il y a pas
de production de chaleur, (d) la conductivité thermique est constante.

Exercice 5
Une boule sphérique en métal de rayon r0 est chauffée dans un
four à une température de Ti au début et est ensuite sortie du four
et jetée dans une grande masse d'eau à T∞ où elle est
refroidie par convection avec un coefficient moyen de
transfert de chaleur par convection h. En supposant une
conductivité thermique constante et un transfert de chaleur
transitoire unidimensionnel.
1. Exprimez la formulation mathématique (l'équation différentielle et les conditions limites et
initiales) de ce problème de conduction thermique. Ne résolvez pas.

Solution ;

A partir de l’équation générale de la conduction dans les coordonnées sphérique ;


 1   2 T  1   T  1  2 T  q ''' 1 T
 2  r    sin    
 r r  r  r 2 sin      r 2 sin 2   2  k  t
On applique les hypothèses donné dans le texte de l’exercice :
1. Le transfert de chaleur est donné comme étant transitoire et
unidimensionnel.
2. La conductivité thermique est donnée constante.
3. Il n'y a pas de génération de chaleur dans le milieu.
4. La surface extérieure à r = r0 est soumise à la convection.
Notant qu'il existe une symétrie thermique autour du point central et de la
convection à la surface extérieure, l'équation différentielle et les conditions aux
limites de ce problème de conduction thermique peuvent être exprimées comme suit
1  T 1 T
après les simplifications: 2  r 2  
r r  r   t

3 Enseignant: MAHFOUD
T (0, t )
0
r
T (r0 , t )
k  h[T (r0 )  T ]
r
T (r ,0)  Ti

Exercice 6
Considérons un long cylindre solide de rayon r0 = 4 cm et de conductivité
thermique k = 25 W/m·°C. La chaleur est générée uniformément dans le
cylindre à un taux de q’’’ = 35 W/cm3. La surface latérale du cylindre est k
80C

q’’’
maintenue à une température constante de Ts = 80 °C. La variation de
r
température dans le cylindre est donnée par : D

q ''' r02  r 2



T (r )  1      Ts
k   r0  

Sur la base de cette relation, déterminez :


1. si la conduction thermique est permanente ou transitoire,
2. si elle est unidimensionnelle, bidimensionnelle ou tridimensionnelle,
3. la valeur du flux de chaleur sur la surface latérale du cylindre à r = r0.

Solution ;

1. La conduction thermique est permanente car il n'y a pas de variable de temps


t impliquée dans l’équation.
2. La conduction thermique est unidimensionnelle suivant r.
3. À l'aide de la loi de Fourier, la densité de flux de chaleur à la surface du
cylindre à r  r0 est déterminé d'après sa définition comme étant.
qs dT (r0 )  q ''' r 2  2r   q ''' r 2  2r 
 k   k  0   2    k  0   20   2q ''' r0  2(35 W/cm 3 )(4 cm) = 280 W/cm 2
A dr  k  r0  r r 0
 k  r0 

Exercice 7
Un tube en acier ayant k = 46 W/m.°C a un diamètre intérieur de 3,0 cm et une épaisseur de paroi de
tube de 2 mm. Un fluide s'écoule à l'intérieur du tube produisant un coefficient de convection de
1500 W/m²·°C sur la surface intérieure, tandis qu'un second fluide s'écoule à travers l'extérieur du
tube produisant un coefficient de convection de 197 W/m²·°C à l'extérieur du tube. La température
intérieure du fluide est de 223 °C tandis que la température extérieure du liquide est de 57 °C.
1. Calculez la chaleur perdue par le tube par mètre de longueur.

4 Enseignant: MAHFOUD
Solution ;

A partir de la loi du flux de chaleur utilisant les résistances thermiques;


T T
q 
R th ln  ex 
r
 
1 rin  1

hin Ain 2k hex Aex
223  57 C  q
   3017 W/m
1

ln 0.017 
0.015 
 1 L
   
1500 W / m 2 .C  0.03m  2 46 W / m.C  197 W / m 2 .C  0.034m 

Avec ; rex  0.015  0.002  0.017 m

Aex  D   2rex   0.034


Ain  D   2rin   0.03

Exercice 8
Un récipient sphérique de rayon intérieur r1 = 2 m, de rayon extérieur r2 =
k T1
2,1 m et de conductivité thermique k = 30 W/m·°C est rempli d'eau glacée T
r1 r2
h
à 0 °C. Le récipient reçoit de la chaleur par convection de l'air ambiant à
T∞ = 25 °C avec un coefficient de transfert de chaleur de h = 18 W/m2·°C.
En supposant que la température de la surface intérieure du récipient soit
de 0 °C.
1. Exprimer l'équation différentielle et les conditions aux limites pour une conduction
thermique unidimensionnelle permanente à travers le récipient.
2. Trouver une relation pour la variation de la température dans le récipient.
3. Evaluer le flux de chaleur transférer vers l'eau glacée.

Solution ;

1. Notant que le transfert de chaleur est unidimensionnel permanant dans la


direction radiale r, et symétrique autour du point central. La conductivité
thermique est constante sans génération de chaleur. Alors, La formulation
mathématique de ce problème peut être exprimée comme suit:

  0
   0
  0
0
 1   2 T  1   T  1 2 
 T q '''
1 T
 2 r  2  sin    2 2 2 
 
 r r  r  r sin      r sin    k  t
 

5 Enseignant: MAHFOUD
d  2 dT 
 r 0
dr  dr 

Où les conditions aux limites sont: T (r1 )  T1  0C


dT (r2 )
k  h[T (r2 )  T ]
dr
2. L'intégration de l'équation différentielle une fois par rapport à r donne :
dT dT C1 C
r2  C1   2  T (r )   1  C2
dr dr r r
Avec l’application des CAL ;
C1
r = r 1: T (r1 )    C2  T1
r1
C1  C 
r = r 2: k 2
 h  1  C2  T 
r2  r2 
La résolution simultanée de C1 et C2 donne :
r2 (T1  T ) C1 T1  T r2
C1  et C2  T1   T1 
r k r1 r k r1
1 2  1 2 
r1 hr2 r1 hr2
En remplaçant dans la solution générale, la variation de température est déterminée
comme étant :
C1 C  1 1 T1  T  r2 r2 
T (r )    T1  1  C1     T1      T1
r r1  r1 r  r k  r1 r 
1 2 
r1 hr2
(0  25)C  2.1 2.1 
     0C
2.1 30 W/m  C  2 r 
1 
2 (18 W/m2  C)(2.1 m)
T (r )  29.63(1.05  2.1 / r )
3. Le flux de chaleur à travers la paroi transférer vers l'eau glacée est ;
dT C r (T  T )
q   kA   k (4r 2 ) 21  4kC1  4k 2 1 
dx r r k
1 2 
r1 hr2
(2.1 m)(0  25)C
 4 (30 W/m  C)  23,460 W
2. 1 30 W/m  C
1 
2 (18 W/m2  C)(2.1 m)

6 Enseignant: MAHFOUD
Exercice 9
Trouvez le flux de chaleur à travers la paroi composite
afficher sur la figure a côté en supposons un écoulement
unidimensionnel.
On donne les conductivités de chaque couche comme suit :
KA = 150 W/m°C,
kB = 30 W/m°C,
kC = 65 W/m°C,
kD = 50 W/m°C,

Solution ;

Le circuit thermique pour le flux de chaleur dans le système composite donné est
illustrer comme suit;

Le flux de chaleur, q:
T1  T4 T1  T4
q 
Rtotale Rth A  Req  RthD

Avec ;
eA 0.03 m
Rth A    0.02 C/W
k A AA (150 W/m 2 .C)(0.1 0.1 m 2 )
eB 0.08 m
RthB    0.89 C/W
k B AB (30 W/m 2 .C)(0.1 0.03 m 2 )
eC 0.08 m
RthC    0.176 C/W
k C AC (65 W/m 2 .C)(0.1 0.07 m 2 )

7 Enseignant: MAHFOUD
eD 0.05 m
RthD    0.1C/W
k D AD (50 W/m 2 .C)(0.1 0.1 m 2 )
Alors la résistance équivalente des couches en parallèles est ;

1 1 1 1 1
     6.805
Req RthB RthC 0.89 0.176

1
 Req   0.147 C/W
6.805

Maintenant la résistance totale est ;


Rtotale  Rth A  Req  Rth D  0.02  0.147  0.1  0.267 C/W

T1  T4 400  60

 q    1273.4 W
Rtotale 0.267

Exercice 10
Trouvez la quantité de chaleur transférée à travers une ailette en fer à
extrémité adiabatique d’une longueur 50 mm, largeur 100 mm et
épaisseur 5 mm. Supposons que k = 210 kJ/mh °C et h = 42 kJ/m²h
°C, ainsi, la température à la base de l'ailette est de 80 °C.
Déterminez également la température à l'extrémité de l'ailette, si la
température de l'atmosphère est de 20 °C.

Solution;

1. La quantité de chaleur (q) transférée à travers l'ailette à extrémité


adiabatique;
q  k A n (Tb  T f ) tanh ( n L )

Alors il faut trouver le (n);

p  2(b  y )  2(0.1  0.005)  0.21 m


Acoupe transversale  b  y  0.1 0.005  0.0005 m ²

hp 42  0.21
Avec : n    9.165 m 1
k Act 210  0.0005

Alors on remplace dans l’équation du flux de chaleur ;


q  k A n(Tb  T f ) tanh ( n L)  210  0.0005  9.165(80  20) tanh(9.165  0.05)
q  24.75 kJ/h

8 Enseignant: MAHFOUD
2. Calcul de la température à l'extrémité de l’ailette;
  x  T  x   T f coshnL  x 
 
b Tb  T f coshnL 
T  L   20 1
à x = L, on a :    T(L)  74.21 C
80  20 cosh9.1650.05

Exercice 11
Il est nécessaire de chauffer l'huile à environ 300 °C pour la friture. Une louche est utilisée pour la
friture. La section de la poignée est de 5 mm x 18 mm. Les alentours de l’ailette sont à 30 °C. La
conductivité du matériau est de 205 W/m °C. Si la température à une distance de 380 mm de l'huile
ne doit pas atteindre 40 °C.
- Déterminer le coefficient de transfert de chaleur par convection.

Solution;

En supposant que l’ailette soit longue (infinie), nous avons alors ;


 x  T x   T f nx
 e
b Tb  T f
hp n2k A
Où : n  h
k Act p
p  2 (0.018  0.005) m
Avec ;
Acoupe transversale  (0.018  0.005) m ²

Et il faut trouver aussi la constante (n) ;


T x   T f 40  30
  e n( 0.38 )  27  n  8.673
Tb  T f 300  30
n2k A 8.6732  205  (0.018  0.005)
h   h  30.17 W/m². C
p 2(0.018  0.005)

9 Enseignant: MAHFOUD
Exercice 12

Calculez le nombre de Reynolds à l'extrémité aval de la plaque et


indiquez si l’écoulement à ce point est laminaire, transitoire ou
turbulent pour un fluide (à 40 °C) qui s'écoule à 5 m/s sur une large
plaque plane de 15 cm de long. Pour chacun de la liste suivante, (a)
air (𝜐 =17,6×10-6 𝑚2/𝑠), (b) CO2 (𝜐 =9,07×10-6 𝑚2/𝑠), (c) eau (𝜐
=0,658×10-6 𝑚2/𝑠), (d) huile moteur (𝜐 =240×10-6 𝑚2/𝑠).

Solution ;

1. Le nombre de Reynolds:
On c’est que la transition d'un écoulement laminaire vers le turbulent sur une
plaque (cas de la couche limite) se produit à partir d’un nombre de Reynolds
critique d'environ 5 × 105, alors :
V L (5 m/s)(0.15 m)
Pour l’air ; Re L    4.3  10 4  Laminaire
 6
17.6  10 m /s
2

V L (5 m/s)(0.15 m)
Pour Co2 ; Re L    8.3  10 4  Laminaire

9.07  10 m /s 6 2

V L
(5 m/s)(0.15 m)
Pour l’eau ; Re L    1.1  10 6  Turbulent
 6
0.658  10 m /s2

V L (5 m/s)(0.15 m)
Pour l’huile Moteur ; Re L     3.1  10 3  Laminaire
 6
240  10 m /s 2

Exercice 13

De l'air circule sur une plaque plane de 5 m de long et 2,5 m de large avec une vitesse de 4 m/s à 15
°C. Si ρ  1.208 kg/m 3 et ν  1.47  10 5 m²/s , calculez:
1. La longueur de la plaque sur laquelle la couche limite est laminaire et l’épaisseur de la
couche limite (laminaire).
2. La contrainte de cisaillement à l'endroit où la couche limite cesse d'être laminaire, et
3. La force de traînée totale des deux côtés sur la partie de la plaque où la couche limite est
laminaire.
Solution ;
1. Calcul de la longueur de plaque sur laquelle la couche limite est laminaire:

10 Enseignant: MAHFOUD
VL 45
Re x    1.361 10 6
 1.47  10 5

Ainsi, sur la partie avant, la couche limite est laminaire et à l'arrière, elle est
turbulente.
Vx 4x 5  10 5  1.47  10 5
Re x   5  10 5   5  10 5  x   x  1.837 m
 1.47  10  5 4
La couche limite est donc laminaire sur une longueur de 1,837 m de la plaque.
Alors, l’épaisseur de la couche limite (laminaire) est ;
5x 5 1.837
x    0.01299 m  δ x  12.99 mm
Re x 5  10 5
2. La contrainte de cisaillement à l'endroit où la couche limite cesse d'être
laminaire τ 0 ;

Nous avons le coefficient de traînée local,


0.664 0.664
C fx    0.00939
Re x 5  10 5
1 1
Alors;  0  C fx  V 2  0.000939  1.208  4 2  0.00907 N/m²
2 2
3. La force de traînée (frottement) totale des deux côtés de la plaque, Ft:
1
F f  2C f  AV 2
2
1.328
Où, C f  C f  Coefficient de frottement   1.878  10 -3
5  10 5

Avec, A f  Surface de la plaque  1.837  2.5  4.59 m²

1
Alors, F f  2  1.878  10 3   1.208  4.59  4 2  0.167 N
2
Exercice 14

L'huile moteur à 100 °C s'écoule sur et parallèlement à une surface plane à une vitesse de 3 m/s.
Calculez l'épaisseur de la couche limite hydrodynamique à une distance de 0,3 m du bord d'attaque
de la surface.
On donne la viscosité cinématique d’huile à 100 °C, 20 .3  10 6 m 2 /s

Solution ;
Le nombre de Reynolds local à 0,3 m du bord d'attaque en fonction de la
température du fluide est:

11 Enseignant: MAHFOUD
V x (3 m/s)(0.3 m)
Pour l’air ; Re x    4.43  10 4  Laminaire
 20.3  10 6
m /s2

Comme Re x  5  10 5 , la couche limite est laminaire. L'épaisseur de la couche limite


pour l'écoulement laminaire sur une plaque plane est donnée par l'équation :
5x 5(0.3 m)
x    7.1  10 3 m  7.1 mm
Re x 4.43  10 4

12 Enseignant: MAHFOUD

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