Les Mitochondries Et Les Chloroplastes
Les Mitochondries Et Les Chloroplastes
Les Mitochondries Et Les Chloroplastes
Autotrophes : Organismes capables de produire leur propre matière organique et donc de puiser de
l’énergie par celle ci. Ils produisent la matière organique par une conversion de l’énergie lumineuse
au cours de la photosynthèse.
Hétérotrophes : Organismes utilisant la matière organique produite par les organismes autotrophes
pour y puiser leur énergie. Ils consomment la matière organique et produisent du CO2 et de l’eau.
Le CO2 et l’eau vont pouvoir être réutiliser par les organismes autotrophes en présence d’énergie
lumineuse.
En absence d’énergie lumineuse le cycle s’interrompt, l’énergie est le moteur du cycle de la matière
et de l’énergie du vivant.
L’énergie est le moteur de ce cycle de la matière et de l’énergie dans le vivant.
Les chloroplastes au niveau des autotrophes vont permettent la conversion de l’énergie lumineuse
en énergie chimique, celle-ci est contenu dans les molécules organites.
Les mitochondries, vont extraire l’énergie des molécules organites sous forme d’ATP.
Les chloroplastes sont uniquement dans les cellules végétales pas dans les cellules animales.
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Mitochondrie : Organite présent dans toutes les cellules aérobie (consommation d’O2). De l’ordre
du micromètre, semi-autonomes et dans lesquels se déroule la respiration cellulaire
- coupe ultrafine
- Mitochondries allongées, forme de filament ou forme sphérique
Plusieurs fonctions:
1. Rôle dans la production d’énergie. « Centrale énergétique »
Si pas de production d’énergie aucun des autres rôles peut être assurés
2. L’homéostasie du calcium, le maintien des concentration en calcium.
3. Synthèse d’hormones stéroïdes
4. Métabolisme des espèces réactives de l’oxygènes.
5. Vieillissement cellulaire
6. Mort cellulaire programmée
Les chloroplastes : Organites, on ne les trouve que dans les cellules végétales chlorophylliennes,
quelques micromètres forme sphérique, semi autonome et sont le siège de la réaction de
photosynthèse.
Taille : longueur 5um et largeur 2 um.
(La couleur verte est dû à la chlorophylle)
semi autonome :
1. Possède plusieurs copies identiques d’ADN, on parle de génome chloroplastique. Cet ADN est
10X plus grand que l’ADN mitochondriale..
2. Les chloroplastes se divisent pas scissiparité
Fonctions :
1. Rôle primordiale dans la photosynthèse
2. Métabolisme des espèces réactives de l’oxygènes
3. Synthèse des carbohydrates (=sucres)
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Résumé :
Mitochondries et chloroplastes :
Leurs caractéristiques communes :
- Organites quelques micromètres
- Délimités par une double membrane
- Renferme de l’ADN extra-nucléaire
- Siège de conversion énergétiques respiration cellulaire et photosynthèse.
Leur différences :
- La respiration cellulaire pour mitochondries et inverse pour photosynthèse
C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O +6 ATP
- Respiration cellulaire : Relativement ubiquitaires chez les eucaryotes (sauf hématies)
- Photosynthèse : Présents uniquement dans les cellules végétales chlorophylliennes.
→ Ce sont les seuls organites à contenir des l’ADN, cela suggère un passé commun.
Théorie de l’endosymbiose :
Les chloroplastes et les mitochondries proviendraient de bactéries. Celles-ci auraient fusionné avec
les cellules primitives et vivraient à l’intérieur d’elles en symbiose.
Les mitochondries proviendraient de bactéries respirantes et les chloroplastes proviendraient de
cyanobactéries.
Arguments :
- Taille des mitochondries et des chloroplastes est semblable à celle des bactéries.
- Les deux possèdent leur propre matière organite, leur matériel génétique.
- Chacun peut se diviser par scissiparité comme les bactéries.
- Arbre phylogénétiques, ils se trouvent proche de la bactéries.
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- Présentes dans la plupart des types cellulaires eucaryotes exceptés les globules rouges.
- De quelques unités à plusieurs milliers par cellule, cela dépend du variation du nombre avec
activité cellulaire.
- On estime 10 a 20 % du volume cellulaire occupée par les mitochondries dans une cellule active.
- Le nombre et la distribution des mitochondries varie d’un type cellulaire à l’autre.
- Une localisation donnée par la fonction cellulaire :
• Mitochondrie proche du noyau → cellules dans la synthèse de processus
• Périphérie de la de cellule → transport actif
ex : Lors de la fécondation, les mitochondries reste sur le flagelle donc l’énergie provient que de
l’ovule (mère)
Composition biochimique:
Membrane externe :
Membrane classique, mêmes caractéristiques.
- Une structure tri-lamellaire.
- 75 A d’épaisseur.
- 60 % de protéines et 40 % de lipides.
- Composé de porines, translocases, kinases.
- Perméable à toutes les molécules de 5kDa ou moins.
Espace inter-membranaire :
Entre les deux membranes, 100A, il a un pH acide, très riche en proton.
Membrane interne :
Membrane biologique atypique
- Beaucoup plus fine, 6nm d’épaisseur.
- Uniquement 20 % de lipides et 80 % de protéine, beaucoup de protéines enchâsser et concentrer
dans la membrane interne.
• On trouve dans les lipides dont la phosphatidylcholine et la cardiolipine, La cardiolipine
interagit avec les protons, et en interagissant avec les protons elles va les garder à proximité
de la membrane interne. Ça joue un rôle dans la production d’énergie.
• 80 % de protéines: on trouve les enzymes de la chaîne respiratoire et des translocases.
On va avoir un succession de plusieurs protéines. Plusieurs répétitions dans les membranes,
donc plusieurs chaînes respiratoires localisés dans les mitochondries.
- La membrane interne est beaucoup moins perméable que la membrane externe.
- Formée de replis internes : les crêtes mitochondriales ou cristae.
Matrice mitochondriale:
- Plusieurs copies d’ADN messager et la machinerie qui permet de transcrire et traduire l’ADN. Les
mitoribosomes, 150 à 250A de diamètre.
- Granules de cation de Ca2+, Mg2+, Na+ et K+.
- Beaucoup d’enzymes très concentrées, les enzymes du cycle de Krebs et les enzymes de la Béta
oxydation des acides gras.
- Ph physiologique.
Crêtes :
- Invaginations de la membrane en tubes ou saccules qui pénètrent dans la
matrice.
- Base d’une crête : tube de jonction de crête (communication entre
l’intérieur de la crête et l’espace inter membranaire).
-Tapissées (vers la matrice) de sphères pédonculées chaque sphère à un
diamètre de 85A, et le pédoncule à 45 A de hauteur.
Les sphères pédonculées sont les ATP synthases. Ses enzymes assurent la
synthèse d’ATP.
La tête de l’ATP sera produit dans la matrice mitochondriale.
- Nombre, formes et orientations varient selon le type et l’activité cellulaire
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En résumé :
En résumé :
Il faut savoir :
- Schématiser/ légender un chloroplaste
- Énoncer la théorie endosymbiotique
- Proposer un protocole afin d’isoler les chloroplastes
Il n’y pas de stock d’ATP, la concentration en ATP est constante et faible autour de 10mM. Ce n’est
pas suffisant pour les besoins journaliers.
On ne peut pas stocker car cela créerait des problèmes osmotiques.
-A chaque besoin d’atp il faut une réponse inférieur à la seconde.
Il faut que dans les cellules se mette en place une réponse efficace.
Comme pas de stock d’atp dans les cellules, les cellules vont produire de l’atp à partir de carburants
énergétiques, se sont les réserves d sucres (glycogène dans le foie) et de lipides.
Quand on demande de l’atp, les demandes vont être mobilisées (=utilisées) pour produire de l’atp.
Les réserves proviennent de l’alimentation ce sont le glucose et les acides gras. Les réserves vont
être mobilisées à partir de réserves cataboliques. Puis destruction pour produire de l’énergie.
Dans le cas où l’organisme reconstitue ses réserves = anabolisme.
Physiologiquement, c’est les réserves de sucres qui sont utilisées, dans des cas d’urgences ce sont
les lipides qui sont utilisés..
Dans les réactions du catabolisme oxydatif les molécules réserves sont des molécules
réduites (riches en électrons), elles vont être oxydées pour extraire les électrons qui permettront la
production d’énergie. Ses oxydations sont généralement assurées par des déshydrogénases qui
enlèvent 2 hydrogènes à leur substrat. Un hydrogène = 1 proton + 1 électron. Donc si on enlève les
hydrogènes on enlève les électrons.
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Les déshydrogénases fonctionnent avec des coenzymes accepteurs d’hydrogènes. Les co-enzymes
sont des petites molécules dépourvues d’activités enzymatiques mais dont la présence est
indispensable au fonctionnement de l’enzyme.
Les 2 coenzymes transporteurs d’hydrogène qui fonctionnement avec les déshydrogénases sont :
- La flavine Adénine Dinucléotide (FAD)
-La nicotinamide Anédine Dinucléotide (NAD)
Glycolyse :
La glycolyse en 2 phases :
• Phase d’investissement : Énergie investie, consommation d’énergie
Il y a 2 atp consommés
• Phase de remboursement : 4 ATP remboursés soit 2NADH, H+ et 2 ATP
La glycolyse c’est :
9 étapes catalysées par des enzymes.
Dégradation du glucose (C6) dans le cytoplasme libérant 2 pyruvates (C3).
2ATP + 2NADH,H+
Les acides gras vont franchir l’enveloppe mitochondrial, donc acides gras sont importés dans la
matrice mitochondrial et vont subir la Béta-oxydation.
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Dans un premier temps, les acides gras sont activés sous forme d’acylCoA par fixation d’un
coenzymeA au niveau de la chaîne radical R. Cet acylCoA va subir les étapes de la Béta oxydation
dont au moins 2 déshydrogénations et 1 thiolyse. La thiolyse c’est la coupure, le clivage de
l’acylCoA en présence d’un nouveau coenzymeA. La thiolyse aboutit à la formation d’un
acétylCoAet d’un acylCoA qui a perdu 2 carbones. Cet acylCoA qui a perdu 2C subit a nouveau un
cycle de bétaoxyation et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il ne reste que des acylCoA.
Ex : pour 16 carbones il y aura 7 tours de Bétaoxydation.
L’hélice de Lynen, c’est la succession de Betaoxydation subit par un acétylcoA pour devenir un
acylCoA.
Dans la matrice acétylCoA entre dans le cycle de Krebs. On a une série de 8 réactions enzymatiques
dans lesquels le substrat initial = le produit final.
Le substrat final = oxaloacétat
au cours du cycle de K, l’acétylCoA fixé sur l’oxaloacétate (1er et dernière molécule du cycle) va
subir 2 décarboxylation et 4 oxydations
Pour chaque tour de cycle de Krebs : il y a libération de 2CO2 8H+ et 8 électrons.
Production de 3NADH,H et 1 FADH2
2 tours de cycle par molécule de pyruvate.
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Le bilan énergétique est nul car il y a peu de production d’ATP et les coenzymes
commencent à être réduits. Si ils ne s’oxydent pas ils ne seront plus réutilisables.
→ Les réactions métaboliques ont généré des coenzymes accepteurs d’hydrogène réduits.
RAPPEL
Molécules stockées sous forme de réserves, réserves sous forme de sucres ou triglycérides dans le tissus d’adipeux.
Processus de diffusion facilité.
Quand on a du glucose dans la cellule rapidement consommé car transformer en pyruvate.
La chaîne respiratoire :
Une chaîne respiratoire va être composer de plusieurs complexes enzymatiques localisés dans la
membrane interne de la mitochondrie. On va trouver dans la chaîne respiratoire : 5 complexes de
protéines transmembranaires.
1er : La NADH déshydrogénase
Elle va enlever les hydrogènes donc réoxydation
2e : La succinate réductase.
Molécule du cycle de Krebs. Pendant que le FAD va être réoxygéner
3e : La cytochrome réductase
4e : La cytochrome oxydase
5e : ATP synthase.
Le cycle de Krebs vient de se dérouler, les NADH, H+ vont aller à proximité du complexe 1,
qui va enlever ses H+ → Réoxydation.
Le FADH2 est ré-oxyder au niveau du complexe 2. Quand les transporteurs sont ré-oxydés. Les
électrons vont êtres stockées de façon transitoire au niveau du complexe 1, le complexe 1 devient
donc réduit. Et les H+ (protons) dans le complexe 1 réduit, ils changent de forme.
Au niveau du complexe 2, simple réoxydation du FAD, les protons restent dans la matrice de façon
transitoire.
On se retrouve avec des complexes sous forme réduites, pour pouvoir accepter de nouveau les
électrons il va falloir réoxydation, les complexes doivent céder leur électrons.
Les électrons vont être céder au complexe suivant, et ainsi de suite.
Les complexes sous forme réduites qui accueillent de façon transitoire les électrons cèdent
au complexe suivant pour se réoxyder et ainsi de suite, on a donc comme ça un flux d’électron le
long de la chaîne respiratoire. Il faut que le flux se termine par un accepteur final. Cet accepteur
final des électrons qui ont transité dans la chaîne respiratoire c’est l’oxygène. L’oxygène va accepter
les électrons et s’associe avec des protons qui se trouvent dans la matrice pour former de l’eau,
l’eau est la forme réduite de l’oxygène.
Accepteur final accepte les électrons au niveau du complexe 4. La partie des complexe de 1 à 4 est
la chaîne de transport des électrons, car c’est entre les complexes 1 et 4 que les électrons vont être
transporter.
Les électrons partent soit du 1er soit du 2e complexe.
Pour que les électrons passent d’un complexe à l’autre, ils sont pris en charge par des navettes,
petites molécules intrinsèques, se trouvant à l’intérieur de la membrane interne des mitochondries,
ses navettes prennent en charge les électrons issu d’un complexe et les amène à l’autre.
2 navettes :
- Ubiquinone : Récupère les électrons des complexes 1 et 2 et les amène au complexe 3.
- Cytochrome C : Assure les transfère des électrons entre le complexe 3 et le complexe 4.
Sous forme oxydée, l’ubiquinone est coller au complexe. Quand elle devient réduite elle change de
forme et cela la déploie jusqu’au complexe 3, et cède les électrons.
Le flux est interrompu dû aux réactions rédox, qui permettent le voyage des électrons.
Plus on a de NADH plus on va avoir d’eau formé à la fin, mais si ça bloque, le transfère s’arrête.
Énormément, de protons qui attendent de rentrer dans la matrice en passant par l’atp
synthase, ce qui créer une énergie potentielle importante dû à l’accumulation des
protons a l’extérieur dans l’espace intermembranaire, l’énergie du gradient de proton
va permettre d’activer l’atp synthase. Quand elle est activée permet la
phosphorylation ADP+Pi → ATP. C’est ce qu’on appelle le processus de
chimieosmose.
Le tout est la chaîne respiratoire mais aussi appelée la phosphorylation oxydative, car
au final il y a la phosphorylation de l’adp en atp et pour avoir ça il faut avoir pleins de
phosphorylation successive.
Les électrons vont toujours vers les plus petits potentiels redox jusqu’au plus grand. Les
complexes 1 2 3 4 se sont des protéines mais on trouve souvent des atomes impliquées dans des
réactions rédox. Une partie protéine et une partie avec des atomes chimiques, et ce sont ses atomes
qui absorbent les électrons.
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NADH et FADH pourraient être réoxydés en présence d’oxygène directement, mais le fait que cette
réoxydation implique des partenaires et intermédiaires on ne peut pas directement, car ça permet
d’utiliser l’énergie potentiel du flux d’électrons pour transloquer des protons et permettre aux
protons d’activer l’ATP synthase et donc la création d’ATP.
Quand les électrons rentre dans F0 cela fait tourner le pédoncule, et le fait qu’il tourne active la
partie F1 et permet le couplage de l’adp + Pi ce qui donne de l’atp
Dans la chaîne respiratoire, à partir d‘un NADH,H+ réoxyder on a 3 atp formé, et 2 atp formé par
FADH2+ par réoxydation. Celui ci produit moins car il transloque moins de protons.
La voie d‘urgence des acides gras et plus efficace et apporte une quantité plus conséquence.
Cardiolipine :
Riche dans les membranes internes,
- Di-phosphatidylglycérol. Possède 2 groupements phosphate chargés négativement, donc
interagissent avec les protons, leur charges négative permettent de maintenir les protons à proximité
de la membrane. Cela limite la diffusion dans l’espace intermembranaire.
- un rôle important pour maintenir la bonne orientation de la chaîne respiratoire.
- Spécifique des membranes fournissant un potentiel électrochimique.
En résumé :
Savoir faire :
- Positionner sur un schéma structural de la mitochondrie les différentes réactions de la respiration
cellulaire.
- Restituer la glycolyse
-Restituer la chaîne respiratoire
- Établir un bilan énergétique
Quand on mange, on va produire de l’atp et une partie de l’atp va créer de la phosphocréatine, celle-
ci peut rendre a l’atp.
C’est une voie d’urgence, une seule voie où il à une réserve. Cette voie s’épuise en 8 s dans le
muscle au travail.
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Chez les hétérotrophes il faut que la source d’énergie soit apportée par la lumière
Plantes et photosynthèse :
La photosynthèse :
La photosynthèse est une conversion d’énergie lumineuse qui permet la synthèse de molécules
organites. Les photons ont une énergie, cette énergie des photons est transformé en énergie
chimique, l’énergie est contenu dans la molécule de glucose. La molécule de glucose à un potentiel
énergétique.
Au cours de la photosynthèse on aura fixation et réduction du carbone minéral et renouvellement.
2e phase, phase d’assimilation du CO2 sous forme du glucose. Phase dite «sombre » phase
indépendante de la lumière ou phase d’assimilation du CO2.
Indirectement dépendante es produites formées pendant la phase claire.
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Quand une molécule de chlorophylle absorbe la lumière, elle passe d’un état fondamental à un état
excité (450nm ou 650nm).
3 principaux mécanismes pour qu’une molécule revienne à son état fondamental :
-La fluorescence, molécule excité revient à son état fondamental en libérant un photon.
- La résonance, la molécule va de désexciter en excitant sa molécule voisine.
- La photochimie, la molécule va se désexciter en cédant un électron.
Les chlorophylles qui vont absorber la lumière vont principalement revenir à l’état fondamental par
résonance et photochimie.
Le photosystème 2 :
La chlorophylle du centre réactionnel une fois qu’elle a cédé son électron, elle le récupère au niveau
de la molécule d’eau (son donneur). Le dégagement d’oxygène a lieu.
Dans la membrane des thylakoïdes, les photosystèmes sont organisés au sein d’une chaîne
photosynthétique, ça va être une chaîne de transfert d’électrons, qui va comprendre, 5 complexes.
1er : Photosystème 2
2e : Complexe cytochrome
3e : Photosystème 1
4e : NADP+ réductase
5e : ATP Synthase.
L’accepteur final est NADP+ qui va accepter les électrons en présence de protons dans le stroma. Il
est réduit en NADPH, H+.
En même temps du flux des électrons, et qu’il y a eu la lyse de l’eau, des protons sont libérés dans
le lumen. Quand les électrons passent au niveau du complexe cytochrome, ça va provoquer une
translocation des électrons du stroma vers le lumen → accumulation des protons dans le lumen.
Ils vont avoir tendance a vouloir retourner dans le stroma, par l’atp synthase. Quand ils vont essayer
ça va activer l’atp synthase et donc la formation d’atp.
→ Création d’une force proton-motrice dans le lumen.
Étapes de réduction :
Le ribulose di-phosphate molécule à 5 carbones, sur celui ci va venir se fixer du CO2. Tout
de suite coupé en 2 molécules à 3 carbones en phosphoglycérate. Le bi phosphoglycérate va donner
du glycéraldhéhyde 3-phosphate. 1 glycéraldéhyde sort du cycle. Et les 2autres se rejoignent
3 ribuloses fixent 3 CO2 on a donc 3 molécules.
On commence les réductions avec 6 molécules à 3 carbonnes. A chaque tour j’n ai 1 seul qui sort, il
me reste 5 molécules à 3 carbones. Ces 5 molécules vont être remaniées pour avoir 3 molécules à 5
carbones on retrouve le ribulose triphosphate.
1 tour de cycle 9 atp consommés et 6 NADPH H+ consommées. Chaque tour de cycle permet de
produire 1 glycéraldéhyde triphosphate.
L’énergie des transporteurs réduits et l’atp vont être utilisés pour transformer le CO2 en composés
organiques (utilisables par l’organisme). C’est la fixation du carbone.
Cycle de Calvin-Benson.
Caractéristiques :
-Se déroule dans le stroma
- Indépendant de la lumière
- Enzyme clef : la rubisCo.
Réactions clefs :
1. Fixation du carbone
2. Réduction
3. Régénération du ribulose
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Savoir faire :
- Positionner sur un schéma structural du chloroplaste les différentes réactions de la photosynthèse.
- Restituer la chaîne photosynthétique
- Comprendre les réactions de la phase claire et de la phase sombre.
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