Chapitre 4 EngrenagesDroits
Chapitre 4 EngrenagesDroits
Chapitre 4 EngrenagesDroits
Introduction
On distingue principalement :
Les surfaces primitives sont des cylindres qui roulent sans glisser l’une
sur l’autre, les variantes sont :
Etude géométrique
Remarques préliminaires :
𝜔1 𝑂𝐻2
= = 𝑐𝑡𝑒 (Roulement sans glissement).
𝜔2 𝑂𝐻1
Terminologie :
𝑟𝑏1 et 𝑟𝑏2 sont les rayons de base des cercles (de base) 𝐶1 et 𝐶2.
𝛼 = (𝐼𝐻⃗ , 𝐼𝐻
⃗ 1 ) est l’angle de pression de fonctionnement (voir chapitre 11.page 3).
𝑎 = 𝑂1 𝑂2 est l’entraxe de fonctionnement.
𝑟1 = 𝑂1 𝐼, 𝑟2 = 𝑂2 𝐼 les rayons de fonctionnement.
|𝜔2 | 𝑟1
𝑟1 + 𝑟2 = 𝑎 , = =𝑖
|𝜔1 | 𝑟2
𝑖 𝑎
Soit : 𝑟1 = 𝑎 ; 𝑟2 =
1+𝑖 1+𝑖
𝑟𝑏1 = 𝑟1 cos 𝛼 , 𝑟𝑏2 = 𝑟2 cos 𝛼
Rappelons que :
Toutes les développantes d’un cercle déduisent l’une de l’autre par une
rotation autour du centre.
2𝜋 𝑟𝑏1 2𝜋 𝑟𝑏2
𝑃𝑏 = =
𝑍1 𝑍2
Conclusion :
2𝜋 𝑟1 2𝜋 𝑟2 𝑟1 + 𝑟2
𝑝= = = 2𝜋
𝑍1 𝑍2 𝑍1 + 𝑍2
2𝜋𝑎
Soit : 𝑝=
𝑍1+𝑍2
𝑃
On définit le module de fonctionnement comme : 𝑚 =
𝜋
𝑟𝑏
𝑝𝑏 = 𝑝 = 𝑝 cos 𝛼
𝑟
Soit : 𝑝𝑏 = 𝜋𝑚 cos 𝛼
Attention :
𝑍
𝑟𝑏 = 𝑚 cos 𝛼0
2 0
𝑍
Le rayon primitif 𝑟0 = 𝑚0 est appelé rayon primitif de référence.
2
3-1 Génération d’une développante de cercle comme enveloppe d’une droite (figure 3.1)
Cherchons l’enveloppe de la droite (π) liée à la droite (D) qui roule sans
glisser sur le cercle (C) en I. le point caractéristique est en M tel que IM ⊥ (π).
M se déplace sur une droite fixe passant par I donc tangente au cercle
de rayon OH)𝑟 cos 𝛼. On H
2𝜋𝑟0
La condition de roulement sans glissement entraîne : 𝑃0 = et si on
𝑍
𝑃0 𝑚0 𝑍
définit le module de taille 𝑚 0 par 𝑚 0 = on a : 𝑟0 =
𝜋 2
On retrouve : 𝑟𝑏 = 𝑟0 cos 𝛼0
𝑃𝑏 = 𝑃0 cos 𝛼0
Le pas primitif de taille a ici un sans puisque mesuré sur un cercle bien défini.
Elle existe également des crémaillères à bout pointu pour certaines cas
particuliers.
𝛿
La distance 𝛿 est appelée déport de profil et 𝑥 = est le coefficient de déport.
𝑚0
d’une crémaillère est le même sur toute ligne parallèle à la ligne de référence.
4-3 Désignation normalisée d’un pignon : limite des dentures. Figures (4.2)
𝜋
𝑆0 : Largeur curviligne de la dent au primitif de taille 𝑆0 = 𝑚0 ( + 2 × 𝑡𝑔𝛼0 )
2
𝑒0 = largeur curviligne du creux au primitif de taille
𝜋𝑚0 𝜋
𝑒0 = − 2.×. 𝑡𝑔𝛼0 . 𝑚0 = 𝑚 0 [ − 2.×. 𝑡𝑔𝛼0 ]
2 2
Soit : ℎ 𝑜𝑎 = 2.25𝑚0 − ℎ 𝑜𝑓
ℎ 𝑜𝑎 = (1 − 𝑥)𝑚 0
Il est évident qu’une roue creuse ne peut pas être usinée par un outil
crémaillère mais par un outil pignon.
Notons que le profil utile pour générer la dent ne correspond pas à celui
de la crémaillère (normalisée).
Remarque importante :
𝑟𝑎 > 𝑟0 cos 𝛼0
𝑍 𝑍
D’où : 𝑚0 − ℎ 0𝑎 > 𝑚0 cos 𝛼0
2 2
Soit :
𝑍
Soit : ℎ 0𝑎 < 𝑚 0 (1 − cos 𝛼0 )
2
2ℎ0𝑎/𝑚0
Ou : 𝑍 >
1−cos𝛼0
𝑇𝑀 = 𝑇𝑃̂ = 𝑟𝑏 . 𝑡𝑔𝛼𝜌
⃗
𝑃𝑇
(𝑂𝑃⃗, 𝑂𝑇
⃗)= = 𝑡𝑔𝛼𝜌 𝜃 = 𝑡𝑔𝛼𝜌 − 𝛼𝜌
𝑟𝑏
Or: (𝑂𝑃⃗ , 𝑂𝑇
⃗ ) = 𝜃 + 𝛼𝜌 𝜌 = 𝑟𝑏 / cos 𝛼𝜌
𝑟𝑏
= 𝑂𝑀 =
cos𝛼𝜌
1
𝑆 = 𝐴𝐵̂ = 𝐶𝐵̂ − 𝐶𝐴̂
2 𝜌
𝐶𝐴̂ = 𝜌𝜃 = 𝑝𝑖𝑛𝑣𝛼𝜌
𝜌 1 𝑆𝑏
𝐶𝐵 = 𝐴̀ 𝐵̂̀ = 𝜌
𝑟𝑏 2 𝑟𝑏
𝑆 𝑟𝑏
Soit : 𝑆𝜌 = 𝜌 ( 𝑏 − 2𝑖𝑛𝑣𝛼𝜌 ) avec : 𝛼𝜌 = arccos
𝑟𝑏 𝜌
𝑆
D’où ; 𝑆𝜌 = 𝜌 [ 0 + 2 (𝑖𝑛𝑣𝛼0 − 𝑖𝑛𝑣𝛼𝜌 )]
𝑟0
𝜋
Avec : 𝑆0 = ( + 2 × 𝑡𝑔𝛼0 ) 𝑚 0
2
Cas de la crémaillère :
ℎ 𝑎0 < 𝑟0 𝑠𝑖𝑛2 𝛼0
ℎ𝑎0 𝑍𝑠𝑖𝑛2𝛼0
Soit : <
𝑚0 2
ℎ𝑎0
= 1 Il faut alors Z>17 dents avec 𝛼0 = 20°
𝑚0
𝑍1 , 𝑍2 , 𝑚 0 ,𝛼0 , 𝑥1 , 𝑥2
𝑎, 𝛼, 𝑚, 𝑟1 , 𝑟2
𝑟1 𝑍 −1 2𝑎
𝑟1 + 𝑟2 = 𝑎, = ( 2) ,𝑚 = ;
𝑟2 𝑍1 𝑍1 +𝑍2
Soit :
La relation liant a et 𝛼 :
𝑎 cos𝛼0 𝑚 cos𝛼0
= ( 1) ou =
𝑎0 cos𝛼 𝑚0 cos𝛼
Soit : 𝑆1 + 𝑆2 = 𝜋𝑚 (2)
𝑆01
𝑆1 = 𝑟1 [ + 2(𝑖𝑛𝑣𝛼0 − 𝑖𝑛𝑣𝛼)]
𝑟01
𝑆02
𝑆2 = 𝑟2 [ + 2 (𝑖𝑛𝑣𝛼0 − 𝑖𝑛𝑣𝛼)]
𝑟02
En ajoutant :
𝑆01 + 𝑆02
𝑆1 + 𝑆2 = 𝜋𝑚 = 2(𝑖𝑛𝑣𝛼0 − 𝑖𝑛𝑣𝛼)(𝑟1 + 𝑟2 ) + cos 𝛼0
cos𝛼
𝑟𝑏𝑖 𝑟𝑏𝑖
En utilisant également 𝑟1 = et 𝑟𝑜𝑖 = 𝑖 = 1.2
cos𝛼𝑖 cos𝛼0
𝑟𝑖 cos𝛼0
Soit : =
𝑟𝑜𝑖 cos𝛼
𝑍1 +𝑍2 𝜋𝑚0
Avec : 𝑟1 + 𝑟2 = et 𝑆𝑜𝑖 = 2 × 𝑚0 𝑡𝑔𝛼0
2 2
Schémas
2(𝑥1 + 𝑥2 )
𝑖𝑛𝑣𝛼 = 𝑖𝑛𝑣𝛼0 + . 𝑡𝑔𝛼0
𝑍1 + 𝑍2
𝑥 2−𝑥 1
Il vient alors : 𝑖𝑛𝑣 𝛼 = 𝑖𝑛𝑣𝛼0 + 2 𝑡𝑔𝛼0
𝑍2 −𝑍1
Interprétation géométrique :
Remarques importantes :
Car : 𝛼 = 𝛼0 𝑎 = 𝑎 0
Elle a lieu entre les sommets de dents et les profils de raccord de la roue
conjuguée.
Cette vérification est superflue quand chaque pignon a été taillé par une
crémaillère ou un outil pignon d’un nombre de dent plus élevé que celui du
pignon conjugué ; et avec une saillie utile au moins égale.
Un pignon ne diffère pas du point de vue nature d’un outil pignon. Ce qui
a été dit dans les 5-3.2. reste valable.
7-1 Pignon a denture extérieure ; cote normale aux profils. Fig. 7-1
admettent une normale commune. La cote 𝐸𝐾 est la cote normale à ces deux
7-1.1 Détermination de K
2𝜋 1
(𝐾 − ) ≠ 2𝛼0
𝑍 2
𝛼0 1
𝐾≠ 𝑍+
𝜋 2
7-1.2 Calcul de 𝐸𝐾
𝐴́ 𝐵́ = 𝐴𝐵̂ = (𝐾 − 1)𝑃𝑏 + 𝑆𝑏
𝑃𝑏 = 𝜋𝑚 0 𝑐𝑜𝑠 𝛼0
𝑆 𝜋
𝑆𝑏 = 𝑟𝑏 ( 0 + 2𝑖𝑛𝑣 𝛼0 ) = 𝑚0 𝑐𝑜𝑠 𝛼0 ( + 2 × 𝑡𝑔𝛼0 + 𝑍𝑖𝑛𝑣 𝛼0 )
𝑟0 2
1
𝐸𝐾 = 𝑚 0 cos 𝛼0 [(𝐾 − ) 𝜋 + 𝑍𝑖𝑛𝑣 𝛼0 ] + 2 × 𝑚 0 sin 𝛼0
2
7-1.3 Profondeur de passe, pour un taillage par crémaillère
1
𝐾𝐴 = 𝑆𝑏
𝐾𝐴̂ = 𝐾𝑃̂𝐺 + 𝑃𝐺 𝐴̂ {𝐾𝑃𝐺 = 2
𝜃𝐺 𝑟𝑏 = 𝑟𝑏 𝑖𝑛𝑣 𝛼𝐺
𝑃𝐺 𝐴 = 𝑅
1
𝑆 = 𝑟𝑏 𝑖𝑛𝑣 𝛼𝐺 + 𝑅
2 𝑏
𝑆𝑏−2𝑅
Soit : 𝑖𝑛𝑣 𝛼𝐺 =
2𝑟𝑏
𝑟𝑏
𝜌𝐺 = (2) éq. De la développante
cos𝛼𝐺
𝜋
Avec 𝑆𝑏 = 𝑚 0 cos 𝛼0 ( + 2 × 𝑡𝑔𝛼0 + 𝑍𝑖𝑛𝑣 𝛼0 ) (3) voir 7.1.2
2
En différenciant 1, 2,3
𝑑𝑆𝑏
(1) 𝑡𝑔2 𝛼𝐺 𝑑𝛼𝐺 =
2𝑟𝑏
𝑟𝑏 sin𝛼𝐺 𝑑𝛼𝐺
(2) 𝑑𝜌𝐺 = 𝜌𝐺 𝑡𝑔𝛼𝐺 𝑑𝛼𝐺 = 𝑡𝑔𝛼𝐺 𝑑𝛼𝐺 = 𝑟𝑏
𝐶𝑜𝑝𝑠 𝛼𝐺 cos2 𝛼𝐺
(3) 𝑑𝑆𝑏 = 2𝑚 0 sin 𝛼0 𝑑𝑥
sin𝛼0
Soit : 𝑑𝜌𝐺 = 𝑚0 . . 𝑚0 𝑑𝑥
sin 𝛼𝐺
̂2 = 𝐴𝐼 + 𝐼𝐵
On a : 𝑁2 𝑀
̂2
𝑁2 𝑀
Le rapport de conduite : 𝐶 =
𝑃𝐵
𝐴𝐼+𝐼𝐵
Soit : 𝐶 =
𝑃𝑏
𝐼𝐴 = 𝐴𝐻1 − 𝐼𝐻1
𝐼𝐵 = 𝐵𝐻2 − 𝐼𝐻2
𝑍1 𝑑𝑎1 2
En posant : 𝑁1 = , 𝐼𝐴 = √( ) − 𝑟𝑏2 − 𝑟1 . sin 𝛼
𝑌1 2
𝐼𝐴 1 𝑁2 𝑁
= 𝑌1 [ (√ 1 sin2 𝛼 + 𝑁1 + 1 − 1 sin 𝛼 )]
𝑃𝑏 𝜋 cos 𝛼 4 2
1 𝑁2 𝑁 𝐼𝐴
On posera : 𝑈(𝑁, 𝛼) = (√ sin2 𝛼 + 𝑁 + 1 − sin 𝛼) d’où : = 𝑌1 𝑈(𝑁1 ,𝛼)
𝜋 cos𝛼 4 2 𝑃𝑏
𝐼𝐵
Et par analogue on obtiendra : = 𝑌2𝑈(𝑁2 , 𝛼)
𝑃𝑏
La fonction 𝑈(𝑁, 𝛼) sera déterminée à l’aide d’abaques (voir tableaux et courbes annexes).
𝑁 𝑁 2 1
Avec : 𝑈̀(𝑁, 𝛼) = ( sin 𝛼 − √ sin2 𝛼 − 𝑁 + 1)
2 4 𝜋 cos𝛼
Remarque :
Dans les engrenages corrigés, la saillie ℎ 𝑎 n’est pas la saillie de taille, il faut la calculer par :
ℎ 𝑎 = 𝑟𝑎 − 𝑟 = 𝑟𝑎 + (1 + 𝑥)𝑚 0 − 𝑟∗
8-2 Glissement
⃗ 𝑔2/1 = 𝜔
𝑉 ⃗⃗
⃗ 2/1 ∩ 𝐼𝑀
=𝜔 ⃗⃗ 𝑢
⃗ 2/1 𝑥 ∩ 𝐼𝑀 ⃗
⃗ 𝑔2/1 = 𝜔
𝑉 ⃗⃗ 𝑡
⃗ 2/1 . 𝐼𝑀
⃗⃗ = 𝑢
En posant : 𝐼𝑀
⃗ 𝑔2/1 = 𝜔
𝑉 ⃗ 2/1 . 𝑢𝑡
𝑑𝑔 = 𝑉𝑔2/1 𝑑𝑡
𝑑𝑔 = 𝜔2/1 . 𝐼𝑀 𝑑𝑡
Considérons deux galets roulant avec glissement l’un sur l’autre. (Fig. 8-
2.2.a). Pendant le temps dt le point géométrique de contact décrit dans les
solides (1) et (2) les arcs 𝑑𝑠1 et 𝑑𝑠2
𝑑𝑠1 = 𝜔1/0 𝜌1 𝑑𝑡
𝑔𝑑
Le rapport 𝑔𝑆𝑖 = appelé glissement spécifique sera choisi comme
𝑑𝑆𝑖
critère d’usure. Plu |𝑔𝑠 | sera grand, plus l’usure sera grande. Dans le cas de la
figure |𝑔𝑆2 | > |𝑔𝑆1| donc l’usure du galet (2) est plus grande que celle du galet
(1).
Le demi droite 𝑀𝑢⃗ roule sans glisser sur les cercles de base.
⃗ 𝑀/1 = 𝑉
𝑉 ⃗ 𝑀∈𝑢⃗/1 = 𝜔 ⃗⃗ 𝑢
⃗ 𝑢⃗/1 ∩ 𝐻1 𝑀 ⃗
𝜔
⃗ 𝑢⃗/1 = −𝜔
⃗ 1/0
⃗ 𝑀/1 = −𝜔
𝑉 ⃗ 1/0 𝑥 ∩ 𝐻1 𝑀 𝑢
⃗
= −𝜔
⃗ 1/0 . 𝐻1 𝑀 𝑡
𝑑𝑠1 = −𝜔1/0 . 𝐻1 𝑀 𝑑𝑡
De même :
𝑑𝑠2 = −𝜔2/0 . 𝐻2 𝑀 𝑑𝑡
𝜔2/0 𝐻1 𝐼
Et = (roulement sans glissement de 𝑀𝑢⃗ sur les cercles de base)
𝜔1/0 𝐻2 𝐼
𝜔2/1 𝐼𝑀
𝑔𝑆1 = .
𝜔1/0 𝐻1 𝑀
On a alors :
𝜔2/1 𝐼𝑀
𝑔𝑆2 = .
𝜔1/0 𝐻2 𝑀
| 𝜔2/0| +|𝜔1/0| 𝐼𝑀
𝑔𝑆1 = | 𝜔1/0|
. Car 𝜔2/0 et 𝜔1/0 de signes contraires
𝐻1 𝑀
|𝜔2/0 | + |𝜔1/0 | 𝐼𝑀
𝑔𝑆2 = .
|𝜔2/0 | 𝐻2 𝑀
Remarque :
𝑔𝑆1 = 𝑔𝑆2 = 0 en 1
L’usure maximum se produira au pied de chaque dent et dans une moindre mesure au
sommet.
Si l’on veut que les roues s’usent à la même vitesse on doit avoir
𝐼𝐵 𝐻2 𝐴 𝑛1 𝑍2 |𝜔1/0 |
D’où : . = 1 dans le cas ou : = =|
𝐼𝐴 𝐻1 𝐵 𝑛2 𝑍1 𝜔2/0 |
𝐼𝐵 𝐼𝐴 𝐼𝐵 𝐼𝐴
Soit : = ↔ =
𝐻1 𝐵 𝐻2 𝐴 𝐼𝐻1 𝐼𝐻2
𝐼𝐵 = 𝑃𝑏. 𝑦2 𝑈(𝑁2 , 𝛼)
Comme 𝑌𝑖 𝑈𝑖 sont des fonctions des déports, il est possible de corriger les dentures
pour arriver à l’équilibrage des usures.
Il y a même une infinité de solution, puisque l’on a une équation pour deux
inconnues. On peut donc se fixer une autre condition, soit par exemple l’entraxe.