Mémoir Master 2 (1) Horch 2
Mémoir Master 2 (1) Horch 2
Mémoir Master 2 (1) Horch 2
Intitulé
Membres du jury
Président :
Examinateur :
Juin 2019
1
Introduction générale
2
Introduction générale
Remerciements
Tout d’abord, nous remercions le bon DIEU de nous avoir donné le courage, la
volonté et la patience pour mener à terme notre formation de Master et pouvoir
réaliser ce travail de recherche.
Nous remercions les membres du jury qui nous ont fait l’honneur d’évaluer ce
modeste travail.
Nos vifs remerciements s’adressent à nos chers parents, frères et sœurs pour
l’encouragement et le soutien qu’ils nous ont apportés.
Enfin, tous ceux et celles qui nous ont aidées et soutenues durant tout notre
parcours, qu’ils trouvent ici l’expression de nos remerciements les plus sincères.
3
Introduction générale
Dédicaces
Je dédie ce travail
A tous mes oncles et mes tantes que je chérie énormément sans oublier ma
très chère tante Houari.
A tous mes ami(es) qui me sont si cher(es) que j’aime et qui m’aiment :
Qu’ils trouvent ici l’expression des mes sentiment les plus dévoués et mes
vœux les plus sincères.
4
Introduction générale
Sommaire
Remerciements
Dédicaces
Sommaire
Introduction générale
Partie 1 : cadre théorique
Chapitre 1 : La lecture dans l’enseignement- apprentissage du FLE
Chapitre 2 : Approches et contenus en lecture
Partie 2 : cadre pratique
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Chapitre 2 : Analyse des données de l’expérimentation
Conclusion générale
Bibliographie
Table des matières
Annexes
5
Introduction générale
Introduction générale
6
Introduction générale
Malgré ces réformes, nous avons constaté qu’il y a des problèmes de lecture en FLE
chez les élèves de 4ème année primaire. Les élèves éprouvent énormément de
difficultés à lire et à comprendre un texte. A cela s’ajoute le problème de l’ordre des
séances où la séance d’étude de sons est programmée après celle de la lecture-
compréhension.
Or, c’est durant la séance d’étude de son que l’élève s’entraîne à la distinction des
sons qui représentent les lettres dont il a besoin pour pouvoir lire. Aussi, cette
séance, n’est pas réellement consacrée à l’étude des lettres et des syllabes pour
préparer l’élève à la lecture des lettres, des syllabes et les mots.
Le facteur temps pose aussi un problème pour la majorité des enseignants parce que
le volume horaire consacré à l’activité de lecture n’est pas suffisant. Ces obstacles
sont à l’origine des problèmes que rencontrent les élèves de la 4ème année du cycle
primaire pendant l’apprentissage de la lecture. La lecture est une activité cognitive
où l’information doit être déchiffrée à l’aide d’organes sensoriels pour apprendre
des connaissances.
Nos motivations pour mener une recherche sur la lecture sont liées aux remarques et
observations faites pendant notre travail en tant qu’enseignante de FLE en 4ème
7
Introduction générale
année du cycle primaire. Nous avons noté des difficultés de taille liées à l’activité
de lecture chez les apprenants du primaire. Ce qui nous motive en cette recherche
est également le fait que la lecture comme outil essentiel dans tout autre
apprentissage n’est généralement pas maîtrisée par les apprenants dans les différents
paliers.
Quelles sont, donc, les difficultés de la lecture en FLE liées aux méthodes
d’enseignement chez les élèves de 4ème année du cycle primaire en Algérie ?
Dans notre travail, nous allons montrer les difficultés rencontrées pendant les
séances de lecture par les apprenants de 4ème année primaire, puis nous allons tenter
de proposer quelques solutions pour dépasser ces handicaps.
8
Introduction générale
Notre mémoire sera composé de deux chapitres. Dans un premier temps, nous
allons exposer l’état des recherches en matière de lecture chez les apprenants de
FLE. Dans le même, chapitre nous tenterons de définir la lecture, la lettre, la
syllabe, le mot, phrase, paragraphe…. Dans le deuxième chapitre, nous entamerons
les stratégies et les méthodes d’enseignement et à la fin nous évoquons les
difficultés relatives à cette activité. Dans le dernier chapitre, nous présenterons les
données de l’expérimentation tout en les analysant.
Notre travail se base sur l’étude des difficultés de lecture rencontrées par les
apprenants. Nous allons aussi faire des séances de lecture pour détecter directement
les handicaps chez les élèves en leur présentant un texte à lire.
Tous d’abord nous allons organiser les élèves en deux groupes et nous allons
appliquer la méthode syllabique dans le groupe expérimental et la méthode globale
dans le groupe témoin. Nous achèverons ce mémoire par un chapitre pratique où
nous allons analyser les données recueillies. Nous allons finalement pouvoir
répondre aux questions posées au début de cette recherche.
9
Introduction générale
Partie 1
Cadre théorique
10
Introduction générale
Chapitre 1
La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
11
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Le présent chapitre est théorique, il met l’accent sur la définition des concepts
opératoires s’inscrivant dans la didactique de l’écrit comme la lecture, le texte, le
graphème, le phonème, etc. Cela va nous permettre de cerner le réseau conceptuel
pour pouvoir traiter notre sujet de recherche de manière scientifique.
1. La définition de la lecture
Pour accéder au sens du texte, quel que soit son type (argumentatif, littéraire,
scientifique …), les apprenants sont appelés à le lire. La lecture est alors une
activité pédagogique ayant pour but la reconnaissance des unités linguistique qui
compose le message écrit.
La lecture est un processus mental qui sert à déchiffrer et à décoder le sens d’un
énoncé pour l’interpréter selon différents angles. Cela passe nécessairement par de
processus, à savoir : un processus primaire qui concerne tout ce qui est linguistique
et un processus supérieur qui concerne tout ce qui est extralinguistique.
Les processus de décodage qui permettent l’identification des mots écrits et les
processus d’intégration syntaxique et sémantique liés à la compréhension.
Pour mieux comprendre, J. Grégoire et B. Pierart trouvent que la lecture est :
Une habileté mentale complexe. Ce n’est pas une compétence unique mais plutôt
la résultante de plusieurs composantes distinctes, quoique complémentaire,
mettant en jeu aussi bien des habiletés spécifiques au domaine particulier du
traitement de l’information écrite que les compétences cognitives beaucoup plus
générales (par exemple, l’attention, la mémorisation, l’aptitude intellectuelle, les
La citation nous explique que cette habileté permet à l’apprenant de décoder le sens
latent et patent d’un extrait ou d’un énoncé pour comprendre le message.
1
GREGOIRE, Jacques et PIERART, Bernadette. 1994. Evaluer les troubles de la lecture : les nouveau
modèles théoriques et leurs implications diagnostiques. Bruxelles. De Boeck p. 24.
12
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Outre le dictionnaire Larousse, le petit Robert définit l’acte de lire comme « action
matérielle de lire, de déchiffrer ce qui est écrit. Action de lire, de prendre
connaissance du contenu d’un écrit »4. Les deux définitions se complètent, car lire
est une activité complexe qui associe déchiffrage et extraction du contenu d’un
champ texte.
1.2.1. Le phonème
2
LE PAILLEUR, Monique, MAGNY, Gisèle et CARDIN, Dominique. 2002. Apprendre à lire aujourd’hui.
Québec français. P.110.
3
Dictionnaire Larousse. 2008. Paris. P. 310.
4
Dictionnaire Le petit Robert. 1996. Paris. P. 250.
13
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Le phonème est défini comme « la plus petite unité de son dépourvue de sens »5.
Par exemple : [ᾶ], [ʃ], [a], [b]. Ces phonèmes cités n’ont un sens que lorsqu’ils sont
utilisés dans un mot, d’où vient la distinction entre la phonétique et la phonologie.
1.2.3. Le graphème
1.2.4. La syllabe
La syllabe est une unité linguistique basée sur la voyelle, elle aide à associer les
lettres pour pouvoir donner le sens à un mot. Pour reconnaitre le nombre des
syllabes dans un mot il suffit de faire recours a la transcription phonétique et
compter les voyelles : dans [ami], il y a deux syllabes [a] et [mi]. Jean-Pierre Cuq
explique que « La syllabe est l’unité phonétique pagné de principes de mise en
œuvre logique. »7.
1.2.5. Le mot
A l’écrit, le mot est une unité linguistique composé de deux ou plusieurs syllabes
pour fournir un sens (cartable, homme,…).dans une phrase, les mots sont séparés
par des blancs : la phrase « le livre est sur la table » contient six mots.
5
BELKHIRAT, Abdelhadi. 2003. Précis de phonétique et de phonologie. Dar El Hadith Lil- KITAB. Alger
P. 250.
6
LEON, Monique et LEON, Pierre. 1997. La prononciation du français. Nathan. Paris. P 8.
7
- CUQ, Jean-Pierre. 2003. Dictionnaire de didactique du français langue étrangère et seconde. CLE
International. Paris.. P. 230.
14
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Un mot est une unité signifiante, constituée dans sa forme orale d’un ou
plusieurs phonèmes, et dont la transcription écrite est constituée d’une séquence
de signes comprise entre deux blancs graphiques8.
1.2.6. La phrase
La phrase est un assemblage de mots grammaticalement elle forme une unité
prosodique et sémantique. Concept très discuté en linguistique, son statut
relativement indépendant en fait un outil privilégie pour guider les
apprentissages. Du point de vue de la communication linguistique, les actes de
langage sont reflétés par les types de phrase (énonciative, exclamative,
interrogative ou impérative) retenus pour le français.9
La phrase est considéré comme un ensemble des mots, c’est une suite de
mots ordonnée, elle reflète par des types de phrase : phrase interrogative
qui se termine par un point d’interrogation, phrase exclamative qui se
termine par un point d’exclamation, phrase déclarative qui se termine par
un point et la phrase impérative.
1.2.7 Le paragraphe
Le paragraphe c’est l’unité de base du texte. On repère un paragraphe dans un
texte car il se trouve entre deux retours à la ligne. Quelque fois il y a aussi au
début un alinéa (décalage à droite de trois carreaux de la 1ére ligne du
paragraphe). 10
2. Types de lecture :
2.1. La lecture à voix haute : elle apparaît nécessaire comme une technique pour la
compréhension, elle se déroule d’une manière explicite et la plus fréquente, cette
8
Ibid. P170
9
Ibid. P195
10
http://classeur.numerique.pagesperso-orange.fr/College/grammaire/paragraphe.html consulté le 10-05-
2019 à 14.00
15
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
2.2. La lecture silencieuse : il y a des moments où l’élève sent seul lors qu’il lit un
texte et c’est cette lecture silencieuse qui l’aide à trouver le sens par recours à la
graphie d’un mot écrit dans le texte, à l’étymologie et à l’environnement sémantique
et morphosyntaxique du terme étudier.
L’élève peut rencontrer deux types de difficultés, le premier type c’est l’élève
n’arrive pas à déchiffrer les mots, il ne comprend pas bien ce qu’il lit.
Les élèves ont des difficultés à prononcer certains sons et parfois certaines
lettres, ils arrivent difficilement à déchiffrer un mot, ils sont incapables de
déchiffrer des textes, certains mots composés ou long sont parfois évité et ne
sont pas lus.
11
http://www.grandiravecnathan.com/a-lecole/les-difficultes-de-lecture.html consulté le 3/02/2019 à 00.30
16
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
« L’acte de lire demande un très grand nombre d’opérations mentales »,12 comme
l’énonce Sylviane Valdois dans son article de la revue française de linguistique
appliquée.
On peut rencontrer des difficultés chez les apprenants dans les deux types de
procédures : « l’accès lexical orthographique » et « l’accès lexical phonologique »
pour l’identification des mots (déchiffrage difficile) mais aussi en compréhension
(manque de vocabulaire). Ces difficultés et l’assimilation et la compréhension des
apprenants lors de la séance de lecture
Nous pouvons donner quelques exemples ici : - les apprenants pour qui le
déchiffrage est laborieux : lettre à lettre, syllabe à syllabe, mot à mot. Le lecteur
prisonnier de cette voie indirecte, qui a une mémoire de travail saturé par cette
activité, non disponible pour la compréhension.
12
-Sylviane Valdois . article. Evaluation des difficultés d’apprentissage de la lecture .p1
17
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
L’élève peut accéder à plusieurs informations dont il a besoin pour leur culture
personnelle et également pour la facilitation et la motivation de leur apprentissage.
L’apprenant utilise le dictionnaire pour chercher la signification d’un mot précis, et
il cherche aussi sur l’internet pour accéder à des informations dont il a besoin pour
leurs travaux.
La lettre est considérée comme l’écrit le plus représentatif. Dans les écoles
primaires et lors qu’on invite un élève à rédiger une lettre après l’invitation d’une
autre personne. Dans ce cas la, c’est le rôle de l’enseignant d’inventer des occasions
pour que ses élèves puissent envoyer et recevoir des courriers. Cela leur permettra
de lire et d’écrire à la fois.
La lecture a un trait au guidage de l’action, l’enfant peut lire pour agir ou pour
réaliser quelque chose d’après un besoin purement personnel.
13
CHARTIER. A. M. HEBRARD J(2000). Discours sur la lecture. (1880-2000), France : Ed Fayard. p648.
18
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Par exemple, l’enfant qui lit le mode de fonctionnement de son jouet ou encore le
fait de lire une consigne pour réaliser un travail scolaire tel que confectionner un
bateau en papier, cela exige la lecture de plusieurs pages.
L’école doit assurer dans ce sens la compréhension chez les élèves, la particularité
des textes et des consignes réside dans le but, la majorité de ces consignes visent
souvent d’exploiter les informations acquises par la lecture.
La difficulté réside dans le texte ou dans la consigne, cela a conduit les chercheurs à
améliorer la rédaction des textes de consigne pour permettre aux apprenants de bien
comprendre et repérer avec rapidité les informations.
5.5. Lire pour le plaisir : La lecture aujourd’hui est liée à une approche
pédagogique destinée a donné l’envie et le goût de lire aux apprenants. Parmi les
objectifs de l’acte de lire est le fait de pouvoir instaurer le plaisir de lire chez les
apprenants.
6.1. Le déchiffrage :
6.2. Le décodage :
« Le décodage se définit comme une capacité à identifier tous les mots d’un écrit
avec un objectif de prise de sens »15. D’après Fernande Bouthémy et Thierry Marot
14
CUQ, Jean-Pierre. 2003. Dictionnaire de didactique du français langue étrangère et seconde. CLE
International. Paris. P. 156.
15
http://imagesetlangages.fr/animations_pedagogiques/REP-plus/le-decodage.pdf/ consulté le 10/03/2019 à
00.30
19
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
C’est la compétence pour identifier le mot d’un texte, cette opération par la quelle le
lecteur transformer de code écrit ou orale pour comprendre le message
6.3. La compréhension :
7.1. La phonétique :
A la base de plusieurs activités successives, nous avons remarqué que les élèves
commettent des erreurs d’ordres lexicales, sémantiques, orthographique,
phonétique, sémantiques
7.2. La prononciation :
16
CUQ, Jean-Pierre. 2003. Dictionnaire de didactique du français langue étrangère et seconde. CLE
International. Paris. Paris. P. 49.
20
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Nous pouvons dire aux apprenants qui prononcent bien sont des apprenants qui
articulent et lisent bien, mais avec la tonalité et le respect rythmique de chaque son.
21
Chapitre 1 : La lecture dans l'enseignement- apprentissage du FLE
Chapitre2
22
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
Dans cette recherche nous tentons en premier lieu de parler sur quelques méthodes
d’’enseignement-aprentissage de cette matière dans le milieu scolaire, nous allons
voir aussi les méthodes qui aident l’élève en difficulté de lire.
C’est une méthode ancienne qui part des lettres, des sons, puis des syllabes pour
ensuite lire les mots. Elle procédé de manière progressive en combinant consonne et
voyelle pour obtenir des syllabes et des mots, par exemple b+a=ba.
L’enfant apprend d’abord reconnaitre visuellement les mots ou les groupe de mot,
puis à les décomposer en syllabe puis en lettres.
C’est celle qui est la plus fréquemment utilisé dans les écoles. Elle combine les
éléments des deux méthodes précédentes (la méthode syllabique et
globale).L’apprenant apprend le code alphabétique (combinaison des lettres, des
syllabes) pour déchiffrer les mots et lire des phrases et des petits textes afin de
comprendre le sens.
17
http://www.methode-de-lecture.com/ consulté le 19/01/2019 à 16.00
23
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
Cette méthode permet aux apprenants d’être fiers parce qu’elle les donne l’envie de
remarquer leurs amélioration d’apprendre à lire de façon significative et d’oublier
l’effort d’apprendre, ils lisent d’une manière autonome avec l’aide de leurs
enseignants. Elle les donne ainsi la motivation et le plaisir d’apprentissage la lecture
car il étudie la langue de sa langue.
Paul cortès a donné des affichages et des fiches techniques pour les utiliser en
classes : Un affichage illustrant les « processus de décodage de base », cet affichage
Permet aux apprenant de cycle primaire d’apprendre à lire facilement ce sont des
techniques qui facilitent l’apprentissage de la lecture. Le maître Paul cortès a
proposé ainsi des techniques et la fonction de la lecture.
18
http://www.methode-de-lecture.com/ consulté le 19/01/2019 à 16.00
19
http://www.methode-de-lecture.com/methode-naturelle/ consulté le 2/01/2019
24
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
20
http://www.aled.pro/page-304178.html /consulté le 08-12-2018 à 09.00.
25
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
Le but de cet affichage est d’aider les élèves à apprendre et de faire la différence
entre les lettres de l’alphabet et les sons (relation graphème/phonème (simple) et des
affiches illustrant les processus de décodage de base.
Ces associations grapho-phonique concernent d’abord les voyelles, ainsi que les
consonnes celles dont la graphie ne génère qu’un seul son (cas de la lettre b qui ne
génère qu’un seul phonème(b) .les consonnes sont ensuite abordées générant
21
http://www.aled.pro/page-304178.html /consulté le 08-12-2018 à 09.00.
26
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
plusieurs phonèmes (cas de la lettre qui génère les deux phonèmes (k) et (s) ainsi
que les combinaisons de deux consonnes générant un seul phonème (cas des lettres
ph qui génèrent le phonème).
Il y a aussi les différents sons de certaines lettres de deux ou trois lettres (relation
graphème /phonème. Par exemple la lettre (e) : 22
22
- http://www.aled.pro/page-301699.html,consult%C3%A9 consulté le 03.12.2018 à 10.20
27
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
28
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
23
- http://www.aled.pro/page-301699.html,consult%C3%A9 consulté le 03.12.2018 à 10.20.
29
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
24
http://www.aled.pro/page-308952.html consulté le 05/02/2019 à 17.00
30
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
31
Chapitre2 : Approches et contenus en lecture
Partie 2
Cadre pratique
32
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Chapitre 1 :
33
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Introduction
Le présent chapitre est pratique. Dans ce qui suit, nous allons essayer de cerner les
différents problèmes éventuels que peuvent rencontrer les élèves de 4éme année
primaire lors de l’activité de lecture.
Pour repérer ces problèmes, nous allons procéder à une observation dans deux
groupes d’élèves différents au sein de l’école primaire « Embarak El Mili » qui se
situe à la daïra de El Maleh de la wilaya d’Ain- Témouchent et ceci, dans le but de
répondre à notre problématique. L’objectif de ce travail est de confirmer ou
d’infirmer les hypothèses avancées dans l’introduction de ce mémoire.
Nous avons proposé le même support aux deux classes, lors de leur lecture nous
avons évalué tout d’abord leur lecture selon divers critères : la manière de lire : L
Fluidité de lecture, vitesse de la lecture, les pauses, reconnaissance des lettres,
Reconnaissance des syllabes, Reconnaissance des mots nouveaux, les consonnes,
Les voyelles.
Notre échantillon comporte 20 élèves scolarisés dans une classe de 4éme année
primaire reparti dans l’école, Embarak El Mili qui se situe à El Maleh wilaya
d’Ain- Témouchent, nous l’avons choisi parce que nous travaillons comme des
enseignantes dans cette école. Nous avons séparé la classe en deux groupe, groupe
expérimental et groupe témoin et chaque groupe contient dix élèves.
34
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Nous avons choisi une seul classe de 4éme année primaire, notre enquête a duré
deux semaines du mois de février .l’effectif d’élèves de cette classe est 20, ils sont
âgés entre 8 et 11 ans. Les élèves de 4éme année primaire étudient le français trois 3
fois par semaines et chaque séance dure une heure et demi. Les séances sont
réparties comme suit :
À partir de ce tableau nous pouvons comprendre que les activités de la lecture sont
insuffisantes, nous remarquons aussi que le volume horaire consacré à la lecture est
insuffisant, car le nombre des apprenants dépassent 30 apprenants. Sachant que la
majorité des apprenants éprouvent des difficultés en lecture, il est impossible avec
35
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Alors notre choix est porté sur un texte qui figure sur le manuel scolaire à la page
soixante-deux (62) et s’intitule La fête d’anniversaire. Il contient onze (11) phrases
et onze (11) lignes.
36
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
3. Plan de l’expérimentation
Nous avons réparti la classe en deux pôles groupe témoin et groupe expérimental.
Nous avons appliqué dans ce groupe la méthode globale, et nous avons fait qu’une
seul séance avec eux.
Au début de la séance, nous avons procédé au rappel d’un travail préalable, donné
aux élevés à faire à domicile c’est la préparation de la lecture à la maison.
Dans un deuxième temps, nous avons entrepris une lecture magistrale, lente,
articulée et avec une intonation claire, où les élèves étaient tenus de suivre sur leurs
manuels. L’objet de cette pratique (la lecture magistrale) et de faciliter la
prononciation de certains mots complexes.
Dans un troisième temps, les élèves sont invités à une lecture silencieuse d’environ
une dizaine de minutes immédiatement suivie d’une lecture individuelle à haute
voix.
Dans ce groupe nous avons appliqué une méthode syllabique et nous avons fait trois
séances avec eux
Les objectifs de cette séance c’est segmenter et combiner des syllabes, identifier
tous les graphèmes, établir la correspondance graphie-phonie et réaliser une bonne
prononciation-articulation.
37
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Au début de la séance nous avons affiché le montage syllabique sur le tableau, nous
avons entrepris une lecture magistrale, lente, articulée et avec une intonation claire.
Dans un troisième temps, les élèves sont invités à une lecture silencieuse d’environ
une dizaine de minutes immédiatement suivie d’une lecture individuelle à haute
voix, applaudir les meilleurs et pousser les autres à participer.
Nous avons demandé aux élèves de lire les syllabes affichées sur le tableau
plusieurs fois pour les apprendre par cœur.
38
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Nous avons mené plusieurs séances d’expérimentation auprès des élèves 4ap chez
l’enseignement dans une école primaire lors d’une séance de lecture compréhension
qui a pour objectif de distribuer un texte qui entrainent les élèves à découper et
segmenter les lettres pour mieux articuler d »où l’objectif de la méthode syllabique
Les objectifs de cette séance c’est :- l’apprenant sera capable d’identifier tous les
phonèmes.
-Lire les syllabes et des mots en essayant de ne pas faire des fautes.
39
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Dans cette séance nous avons écrit le texte sur le tableau en script et nous l’avons
découpé en syllabe et compté les voyelles et les consonnes même combien de
syllabe ya-t-il dans chaque mot.
Le texte :
(è)
(o) (è)
(è)
(è)
40
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Nous avons lu les syllabes à haute voix, et le faire répéter par les apprenants, nous
avons demandé aux élèves de lire les syllabes plusieurs fois dans l’objectif de les
aider à reconnaître les syllabes en les identifiant et en les prononçant,
Nous avons joué le dialogue de ce texte avec les élèves pour donner la motivation
de la lecture aux élèves, puis, les élèves passaient au tableau pour jouer le dialogue
entre eux.
Nous présentons aux élèves le texte qu’ils doivent lire silencieusement au moins
deux fois pour comprendre, puis ils vont lire à haute voix, nous avons demandé aux
élèves de faire une lecture en mesurant le temps et en marquant les erreurs mises par
l’apprenant.
Devant nous, nous avons un chronomètre ainsi que notre grille de recueil de donné
qui présente toute les capacités et les compétences que je souhaite évaluer en
lecture, nous avons évalué les capacités de lecture des élèves nous nous sommes
référées surtout au temps de lecture et à leur manière de lire.
Nous avons réussi à comprendre que les élèves trouvent leur motivation dans la
méthode syllabique, cette méthode donne aux élèves l’envie de lire et facilite la
lecture pour eux, grâce à notre intervention et à notre orientation, ils ont commencé
bien articuler et à mieux lire les syllabes.
41
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
42
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Vitesse de la lecture : c’est le début et l’intonation utilisé par l’élève l’ordre d’une
séance de compréhension.
Les consonnes et les voyelles : dans l’alphabet français et l’API en général, les
consonnes sont répartir en vingt consonnes et les voyelles sont répartit en six.
La lecture à haute voix : est un processus mental qui sert à articulé et à prononcé
les lettres dans une langue écrite dans l’objectif de détecter le sens.
Nous avons essayé de parler du déroulement des séances avec les deux groupes et
nous avons présenté le tableau de la grille d’évaluation avec les critères
d’évaluation des deux groupes de 4éme année primaire le groupe témoin et le
groupe expérimental et plus précisément lors de l’activité de lecture .comme nous
l’avons supposé dans l’introduction, la majorité des apprenants et surtout de groupe
témoin ont de différent problèmes de lecture entre autre.
43
Chapitre 1 : Présentation des données et des outils d’analyse
Chapitre 2 :
Analyse des données de
l’expérimentation
44
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Les différentes erreurs de lecture que nous allons relever pour chaque élève révélant
ainsi des phonèmes qui peuvent gêner les élèves en fonction de la méthode de
lecture utilisée. A partir de ces erreurs, je vais observer les stratégies opérées pour
lire.
Nous voulons faire une comparaison des résultats de lecture dans les deux groupes,
le groupe témoin et le groupe expérimental pour voir les avantages que pourrait
avoir la méthode syllabique. Enfin nous allons passer à l’analyse des résultats.
45
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
46
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
47
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
48
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
49
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Pour avoir des résultats palpables nous avons tracé le tableau si dessus et nous
avons comparé la lecture magistrale des deux publics.
Nous allons comparer des résultats de lecture dans les deux groupes, témoin et
expérimental.
La fluidité de la lecture :
- Le groupe témoin :
Le public pratiquant la méthode globale (6/10) approuve des difficultés, ils ont une
lecture assez lente, ils lisent avec hésitation, les quatre restant leur niveau était varié
entre assez bien (2) et bien (1) et très bien (1).
- Le groupe expérimental :
Tandis que le public dont l’apprentissage de la lecture s’effectuait par une méthode
syllabique, leur lecture étais plus fluide, ils lisent convenablement .le degré de cette
fluidité varie entre très bien (5) bien (3) assez bien (2).
Nous avons remarqué qu’il était une absence majoritaire de la lecture qualifiant de
mauvais. Exemple : élève 7
La vitesse de la lecture :
- Le groupe témoin :
Dans ce groupe un élève était lecteur que nous jugeons très bien, les autres ils ont
besoin beaucoup plus de temps pour lire un mot. Leur niveau variait entre mauvais
(5) assez bien (1) bien (1) très bien (1).
50
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
- Le groupe expérimental :
Nous pouvons supposer que les élèves du deuxième groupe ont une lecture plus
fluide et plus rapide que ceux de les élèves de 1ér groupe car le fait d’aborder le
texte avec une méthode syllabique leur permet d’acquérir ce processus de lecture
par groupe de mots que le premier public n’ont pas du tout.
Les pauses :
- Le groupe témoin :
Un enfant (1/10) qui a fait des pauses très courtes, les autres faisaient beaucoup plus
des pauses leur niveau varié entre mauvais (7) assez bien (2).
- Le groupe expérimental :
Quatre apprenants sur dix (4/10) n’ont pas fait des pauses et tous les autres
apprenants sans exceptions faisaient des pauses (6/10).
Presque les deux publics faisaient des pauses durant leur activité de lecture parce
qu’ils réfléchissaient et prononçaient les mots en murmurant avant de les lire a
haute voix
51
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
- Le groupe témoin :
Nous avons noté des résultats entre mauvais assez bien et bien. (6) des apprenants
ont identifié les lettres mais ils confondaient entre certains sons (b) et (p), (b) et (d),
(f) et (v), (s) et (z).
- Le groupe expérimental :
Ce qui est remarquable c’est qu’on a noté une absence totale des résultats mauvais.
Le résultat variait entre assez bien (3/10), bien (3/10) très bien (4/10).
- Commentaire :
La majorité des élèves du groupe témoin ont échoué à reconnaitre les mots qu’ils
ont déjà déchiffrés , nous constatons qu’ils ne métrisent pas le système alphabétique
de la langue française et qu’ils confondent certaines lettres comme « p » et « b » ,
« d » et « b » « f » et « v »... etc. par contre l’autre groupe a réussi à reconnaitre un
nombre considérable de mot.
- Groupe témoin :
- Le groupe expérimental :
52
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Ces apprenants lisaient les syllabes d’une manière très fluide pas conséquente assez
rapidement sans rencontrer de difficultés particulières, et quand les apprenants sont
face à un blocage, ils recourent au montage syllabique.
Les élèves du groupe témoin ne lisent pas de façon fluide nous pouvons dire que
leur lecture est lente, haché parce qu’ils prennent beaucoup de temps à lire les
syllabes, par contre les apprenants de l’autre groupe ont mis pour la majorité moins
de temps à lire des syllabes que les apprenants de l’autre groupe, Leur stratégie de
lecture leur permet d’avoir une bonne lecture.
Six apprenants de groupe témoin n’arrivent pas à reconnaitre certains mots déjà lus
et arrivent difficilement à les déchiffrer entre « aujourd’hui », « anniversaire »,
« neuf ans », etc. Nous remarquons que devant certains mots, la majorité des
élèves perdaient le fil de la lecture. Par contre les apprenants de la méthode
syllabique ne trouvaient pas de problèmes quand ils lisaient.
La prononciation :
Les consonnes :
- Le groupe témoin :
Il y’avait des apprenants qui avaient une prononciation correcte et des apprenants
qui avaient des confusions entre le [p] et [b], le [v] et [f].
- Le groupe expérimental :
La prononciation des consonnes nous la voyons correcte sauf ces confusions entre
le p] et [b], le [v] et [f],
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Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Les voyelles :
Pour le groupe témoin six (6) apprenants ont éprouvé des difficultés de
reconnaissance des voyelles. Nous avons remarqué qu’il y a des confusions entre les
sons proches, deux (2) Entre eux ont pu connaître quelques sons et deux autres ont
un assez bien niveau de connaissance des voyelles, nous concluons que ce sont des
élèves qui préparent leurs leçons chez eux et qui reçoivent certainement une aide
parce que nous constatons qu’ils prononcent correctement.
Par contre l’autre groupe la majorité de ses apprenants soignent leur articulation des
voyelles quand ils lisent .ceci peut expliquer par le fait de la méthode syllabique.
L’analyse des résultats de l’enquête montre que , d’une façon générale , l’apprenant
en 4éme année primaire rencontre des problèmes pendant la lecture les problèmes
rencontrés et les plus récurrents sont ceux que rencontre n’importe quel apprenant
devant une langue étrangère : problèmes de compréhension , mauvaise maitrise du
code graphique , mauvaise articulation , confusion entre certaines lettres ,lecture
lente , haché, …..
Un grand nombre d’élèves ont une mauvaise articulation, ils ont des difficultés à
prononcer certains mots, la plupart entre eux lisent lentement. Ils ne maitrisent pas
bien le système alphabétique de la langue étrangère et ils confondent entre certaines
lettres [p], [b], [q] et [d].
Par contre les apprenants de l’autre groupe étaient (lecteur) .leur manière de lire est
assez fluide grâce a cette méthode de lecture. La méthode syllabique qui est
dépréciée, elle est aussi efficace qu’une méthode globale.
54
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Nous avons remarqué que le temps consacré à l’enseignement de la lecture n’est pas
suffisant. De même les textes et les thèmes proposés ne sont pas adéquats avec le
niveau des élèves.
55
Chapitre 2 Analyse des données de l’expérimentation
Conclusion générale
56
Conclusion générale
Le choix d’une méthode de lecture n’est pas facile pour un enseignant de cycle
primaire car c’est sur celle-ci qu’il s’appuiera toute l’année. Il est difficile de faire
un choix sans voir le niveau des élèves préalablement. Grace à cette recherche, j’ai
pu me conforter dans l’idée que la méthode de lecture est certes importante.
Ce mémoire m’a aussi beaucoup apporté pour ma future carrière d’enseignante. J’ai
pu voir également sur le terrain l’’efficacité de ces deux méthodes sur les élèves et
me faire une idée de la méthode que je pourrais choisir en tant qu’enseignante de
cycle primaire.
Les élèves doivent s avoir de lire pour maîtriser toutes les autres disciplines
scolaires. C’est ce qui constitue la grande difficulté « d’apprendre à apprendre » à
lire. L’importance de cette compétence est rappelée en permanence dans les
programmes car de nombreux élèves arrivent aujourd’hui au collège sans savoir lire
correctement.
57
Conclusion générale
Enfin nous pouvons dire que nous avons pu savoir quelles sont, les difficultés de la
lecture rencontrée par les apprenants de 4éme années du cycle primaire et que
l’application d’une méthode syllabique est plus efficace pour améliorer le niveau
des élèves en lecture en français langue étrangère FLE que les autres méthodes
surtout qu’une méthode globale, elle permet d’apprendre à lire plus vite et mieux.
58
Références bibliographiques
1. Les ouvrages :
2. Les articles :
2- LEVY, Clara. 2002. “Chartier Anne-Marie, Hébrard Jean, Discours sur la lecture
(1880-2000) ». Dans Revue française de sociologie. PP. 806-809.
3- Les dictionnaires :
59
Références bibliographiques
4- Les sitographies
1- http://classeur.numerique.pagesperso-
orange.fr/College/grammaire/paragraphe.html consulté le 10-05-2019 à 14.00
2- http://www.grandiravecnathan.com/a-lecole/les-difficultes-de-lecture.html
consulté le 3/02/2019 à 00.30
5- http://imagesetlangages.fr/animations_pedagogiques/REP-plus/le-decodage.pdf/
consulté le 10/03/2019 à 00.30
60
Tables des matières
Remerciement
Dédicace
Sommaire
Introduction générale
Partie 1 : cadre théorique
Chapitre 1 : la lecture dans l’enseignement- apprentissage du FLE
Introduction …………………………………………………………............ 11
1. Définition de la lecture ........................................................................…... 12
1.1. Qu’est ce que lire ? ..........................................................................…. 13
1.2. Quelques concepts didactiques relatifs à la lecture….……………….. 13
1.2.1. Le phonème ……………………………...………………………... 13
1.2.3. Le graphème ………………………………..……………………... 13
1.2.4. La syllabe ...……...…………………………………………………. 13
1.2.5. Le mot ………………...……………………………………………. 14
1.2.6. La phrase ………………...…………………………………………. 15
1.2.7. Le paragraphe ...……………..……………………………………… 15
3. Type de lecture ..…………………….…………………………………… 15
3.1. La lecture à voix haute ………..….………………………………….. 15
3.2. La lecture silencieuse …………………………………….…………... 15
4. Les difficultés de la lecture ………………………………………...……... 16
4.1. Déchiffrer les mots ………………………………………….………… 16
4.2. Comprendre le sens des mots ………………………………………… 16
5. Les difficultés rencontrées par les élèves ……………………….………… 16
5.1 Pourquoi apprend-on à lire ? ………………………………………….. 17
5.2. Lire pour comprendre ………………………………………………… 17
5.3. Lire pour s’informer …………………………………………………… 18
61
Tables des matières
62
Tables des matières
63
Annexes
64
Annexes
65
Annexes
Élève 1 : M.A
Élève 2 :N.F
Élève 3 : G.M
Élève 4 : S.Y
Madjid : je( pause parce qu’elle est hésitante) vais offrir un livre à Lina .Et toi ?
Élève 5 :Ghr-M
Élève 6 : M.R
Élève 7 : S.L
Tanina : (pause de 6 secondes, cela est du que l’enfant n’est pas encore su
développer une compétence articulatoire) Tu fais un joli dessin. C’est une idée
formidable !
Madjid : Lina (pause de 3 secondes en murmurant le mot d’abord) est une anie [ani]
géniale.
Élève 8 :M.M
69
Annexes
Élève 9 : S .K
70
Annexes
Le groupe témoin
Élève 1 : C.A
Yacine : oui, nous infitons [ɛf̃ itɔ̄ ] tous les amis du quartier.
Tanina : Tu fais un joli dessine. [ desin ] C’est une ibée [ibe] formidable !
Élève 2 : W. S
71
Annexes
Madjid :je fais [fɛ] oformidable [ɔfɔʁmidabl] un livre à Lina .Et toi ?
Élève 3 : S.I
Massinissa : (pause de 6 secondes parce qu’il n’arrivait pas à reconnaitre ces mot il
arrivait difficilement à les déchiffrer) c’est jour[ʒuʁ] son anniversete? [anivɛʁsɛt ]
(il a influencé par les mots arabes)
Madjid :je vais ( pause de 8 secondes) offrir un livre à Lina .Et toi ?
Tanina : Tu fais une joli ( pause de 4 secondes) dessin. C’est une ibée [ ibe]
formidable !
Élève 4 : M.K
72
Annexes
Yacine : oui, no [no] infitons[ɛf̃ itɔ̃ ] tous [tu ]les amis du quartier.
Tanina : Tu fais un joli dessin. C’est une( pause car il murmurait) idée formidable !
Élève 5 : S.Z
Massinissa : Lina (pause de 6 seconde parce qu’il n’arrive pas à reconnaitre certains
mots) a quel âge ?
73
Annexes
Élève 6 :Z.l
Madjid :je vois [ vwa] offror [ɔfʁɔʁ] un livre à Lina .Et toi ?
Élève 7 : N. M
Tanina : pause de 3 seconde Tu fais un joli dessine [desin]. C’est une idée
formidable !
74
Annexes
Élève 8 : Z.N
Élève 9 : S. F
Yacine : oui, nous invitous [ɛṽ itu] tous les amis de [də] quartier.
75
Annexes
Résumé
76