Rapport M
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Sommaire
Introduction générale................................................................................................................. 1
Chapitre 1 : Présentation de la STEG....................................................................................... 2
1. Histoire ................................................................................................................................ 3
2. Missions de la STEG .......................................................................................................... 4
3. Activités .............................................................................................................................. 4
3.1. Production .................................................................................................................... 4
3.2. Transport ...................................................................................................................... 5
3.3. Distribution .................................................................................................................. 5
4. Direction de l’équipement................................................................................................... 5
Chapitre 2 : Stages de formation aux centrales à cycle simple (centrale à TG et centrale
thermique à vapeur) ................................................................................................................... 7
A. Centrale thermique à vapeur : cas du centre de production de Radès ........................ 8
1. Présentation du centre de production de Radès .................................................................. 8
2. Principe de fonctionnement d’une centrale thermique à vapeur ......................................... 8
3. Les composantes principales ............................................................................................. 10
3.1. Pompes alimentaires et pompes « surpresseurs » ...................................................... 10
3.2. Chaudière ................................................................................................................... 10
3.3. Turbine à vapeur ........................................................................................................ 11
3.4. Condenseur ................................................................................................................ 12
3.5. Pompe d’extraction .................................................................................................... 13
3.6. Bâche alimentaire ...................................................................................................... 13
3.7. Alternateur ................................................................................................................. 13
3.8. Les transformateurs ................................................................................................... 13
B. Centrale à turbine à gaz : cas de la centrale de La Goulette ...................................... 14
1. Présentation de la centrale de La Goulette ........................................................................ 14
2. Principe de fonctionnement d’une centrale à turbine à gaz .............................................. 14
3. Les composantes principales ............................................................................................. 15
3.1. Groupe turbine à gaz.................................................................................................. 15
3.1.1. Filtre à air ........................................................................................................... 16
3.1.2. Compresseur ....................................................................................................... 16
3.1.3. Chambres de combustion ................................................................................... 16
3.1.4. Turbine ............................................................................................................... 17
Sommaire
Introduction générale
Le présent rapport synthétise les activités que j’ai effectuées en tant qu’un ingénieur
d’études au sein de la Division Etudes Mécaniques DVEM du Département Etudes des
Moyens de Production d’Electricité DPEMP affilé à la Direction de l’Equipement DEQ et ce
durant la période allant du 1er Décembre 2011 au 30 Novembre 2012.
Deux étapes marquent cette période de stage : une première phase de formation qui a visé à
découvrir les activités de la STEG et à avoir des connaissances approfondies sur les moyens
de production d’électricité dont elle dispose, et une deuxième phase pendant la quelle j’ai été
appelé à exercer la tâche d’études proprement dite.
En vue de répondre au mieux aux objectifs de ce stage, j’ai subdivisé ce rapport en quatre
chapitres :
Le premier chapitre englobe deux parties : une présentation générale de la Société Tunisienne
de l’Electricité et du Gaz STEG : son histoire, ses missions, ses activités, etc. suivi d’une
présentation de la Direction de l’Equipement et de l’unité à laquelle j’ai été affecté.
Le deuxième chapitre décrit les stages de formation que j’ai effectués dans les centrales de
production d’électricité à cycle simple, à savoir la centre de production de Radès et la
centrale à turbine à gaz de la Goulette.
Le troisième chapitre décrit les stages de formation que j’ai effectués au sein des centrales à
cycle combiné : le cycle combiné multi-arbres de Sousse et le cycle combiné mono-arbre de
Ghannouch.
Le dernier chapitre est consacré à décrire les activités d’études et d’inspection qui m’ont été
confiées durant ce stage : l’étude du système de protection contre l’incendie, l’étude du
système d’eau de mer de circulation et les inspections en usine de la charpente métallique de
la centrale à cycle combiné Sousse C.
1. Histoire
En 1962, dans le but d'harmoniser le secteur de l'énergie électrique et du gaz, l'Etat Tunisien,
Par la loi N°62-8 du 3 Avril 1962, a créée la Société Tunisienne de l'Electricité et du
Gaz (STEG) et il lui a confié la production, le transport et la distribution de l'électricité et du
gaz.
Confrontée aux difficultés de faire face à une demande croissante et soutenue avec des
ressources énergétiques de surcroît, fort limitées, la STEG a été appelée à relever maints défis
afin de réussir son développement et atteindre son objectif principal : l'électrification du pays
et l'interconnexion du réseau.
En ce qui concerne le gaz, la consommation a atteint 4.777 Ktep et le nombre de clients est
passé de 25.000 à 592.655.
2. Missions de la STEG
La STEG assure :
La production de l'électricité à partir de différentes sources (thermique, hydraulique,
éolienne, …).
Le transport de l'électricité : La gestion et le développement des réseaux et des postes
Haute Tension.
La distribution de l'électricité : la gestion et le développement des réseaux et des
postes Moyenne Tension et Basse Tension.
Le développement et la distribution du gaz naturel : La gestion de l'infrastructure
gazière.
La production du GPL (Gaz de pétrole Liquéfié).
3. Activités
3.1. Production
La STEG dispose en 2011 d'un parc de production composé de 24 unités de production d'une
capacité totale de 3 526 MW, alimentées à 82 % par le gaz naturel.
La production de l'électricité par la STEG s‘élève à 11.902 GWh. La production nationale est
de 15.251 GWh repartie comme suit :
Thermique vapeur (46,6 %) ;
Cycle combiné (36,5 %) ;
Turbine à gaz (15,6 %) ;
Hydraulique (0,4 %) ;
Eolienne (0,9).
3.2. Transport
La STEG gère le transport de tout le réseau national électrique qui comporte 73 postes HT,
5 593 kilomètres de lignes HT, cinq lignes d'interconnexion avec l'Algérie et deux lignes
d'interconnexion avec la Libye.
Pour le gaz naturel, la STEG dispose de 2 100 kilomètres (sans le transtunisien) pour le
transport inter-régional.
3.3. Distribution
La STEG entretient ses relations avec ses clients à travers 38 districts et 90 agences. Elle
collecte par ailleurs des impôts pour le compte de l'État, soit la redevance pour la radio et la
télévision et la taxe municipale.
4. Direction de l’équipement
La STEG remembre quinze directions dont la direction de l’équipement à laquelle j’ai été
affecté. Cette direction a été fondée par la direction générale de la STEG afin d'assurer les
travaux d'étude, de contrôle et de construction des équipements de production et de transport
d'électricité.
Au début de mon stage, l’objectif essentiel était de se familiariser avec les moyens de
production d’électricité du parc STEG : leurs principes de fonctionnement, les différentes
technologies, les équipements principaux, etc. Pour ce faire, j’ai effectué des stages de
formation au sein de plusieurs centres de production d’électricité.
En fonction du type de la machine motrice employée pour entraîner la génératrice électrique,
les centrales peuvent être classées en deux grandes catégories :
Les centrales à cycle simple : où une seule machine motrice est utilisée (turbine à vapeur
ou bien turbine à gaz).
Les centrales à cycle combiné : où les deux types de machines motrices sont employés.
Dans ce chapitre, nous nous intéressons aux centrales à cycle thermique simple à savoir les
centrales thermiques à vapeur et les turbines à gaz.
C'est une technologie utilisée depuis le début du XXe siècle. Elle consiste à produire
de la vapeur au moyen d'une chaudière fonctionnant à l'origine au charbon, et de nos jours au
fuel lourd ou au gaz. La vapeur ainsi produite fait tourner une turbine, La turbine
entraîne la machine capable de produire réellement l'électricité : l'alternateur.
Les étapes du processus sont les suivantes :
a) La combustion
Un combustible (gaz, charbon, fioul) est brûlé dans les brûleurs d'une chaudière. Le charbon
est d'abord réduit en poudre, le fioul est chauffé pour le rendre liquide puis vaporisé en fines
gouttelettes et le gaz est injecté directement sans traitement préparatoire.
b) La production de vapeur
La chaudière est tapissée de tubes dans lesquels circule de l'eau froide. En brûlant, le
combustible dégage de la chaleur qui va chauffer cette eau. L'eau se transforme en vapeur,
envoyée sous pression vers les turbines.
c) La production d'électricité
La vapeur fait tourner une turbine qui entraîne à son tour un alternateur. Grâce à l'énergie
fournie par la turbine, l'alternateur produit un courant électrique alternatif. Un transformateur
élève la tension du courant électrique produit par l'alternateur pour qu'il puisse être plus
facilement transporté dans les lignes à très haute et haute tension.
d) Le recyclage
Source
froide
3.2. Chaudière
• Chambre de combustion :
La chambre de combustion constitue une enceinte de faisceaux tubulaires jointifs appelés
« tubes écrans » à l’intérieur desquels circule l’eau. C’est dans cette chambre de
combustion que s’effectue la transformation de l’énergie chimique en énergie calorifique
par combustion d’un mélange air combustible. Cette énergie calorifique libère une quantité
de chaleur qui sera transmise à l’eau pour produire la vapeur d’eau dans une température et
sous une pression bien déterminées.
• Economiseur :
Avant d’être introduite au ballon chaudière, l’eau traverse un échangeur de chaleur situé
sur le parcours des gaz de combustion appelé Economiseur.
L’économiseur a pour but de récupérer une partie des calories restant dans les gaz de
combustion afin d’élever la température de l’eau d’alimentation ce qui aura pour
effet l’augmentation du rendement thermique de l’installation et la suppression des
contraintes thermiques élevées dans le métal du réservoir.
• Ballon chaudière :
• Surchauffeurs :
Les surchauffeurs sont des échangeurs de chaleur entre les gaz de combustion et la vapeur
d’eau humide venant du ballon chaudière. Leur rôle est d’augmenter la température de la
vapeur humide à pression relativement constante. A la sortie des surchauffeurs, on obtient
une vapeur sèche qui passe directement au corps haute pression (HP) de la turbine et dont
la température doit être constante 534°C.
• Resurchauffeurs :
Après avoir subi une première détente dans le corps HP de la turbine, la vapeur revient à la
chaudière et entre dans un échangeur de chaleur appelé resurchauffeur afin d’augmenter sa
température jusqu’à 540°C. La vapeur est ensuite envoyée vers le corps moyenne pression
(MP) de la turbine ou elle subit une deuxième détente.
Les étapes de surchauffe et de resurchauffe présentent les avantages suivants :
- L’augmentation du rendement thermique de la tranche,
- L’absence des gouttelettes d’eau dans les derniers corps de la turbine qui peuvent
engendrer des vibrations de la turbine et un raccourcissement rapide du rotor.
3.4. Condenseur
Après sa détente dans la turbine, la vapeur est condensée afin d’être réutilisée dans un
nouveau cycle eau vapeur : c’est le rôle du condenseur qui représente la source froide de la
turbine. En effet, la vapeur issue du corps basse pression de la turbine à une température
d’environ 70°C pénètre dans le condenseur ou elle rencontre des tubes dans lesquelles circule
de l’eau de mer à une température voisine de 15°C, ce qui entraîne sa condensation. L’eau
ainsi condensée sert à réalimenter de nouveau la chaudière pour assurer la continuité du cycle.
La pompe d’extraction, comme son nom l’indique, sert à extraire l’eau condensée dans le
puits du condenseur. Cette pompe refoule l’eau à plein débit vers la bâche alimentaire à
travers le poste de réchauffage basse pression. Les pompes d’extraction sont au nombre de
deux, une en service et l’autre en standby.
Elle est une réserve d’eau pour la chaudière, elle est prévue afin de pouvoir répondre
rapidement aux fluctuations du débit de la chaudière. Toutefois son niveau ne doit varier que
dans une certaine mesure pour maintenir une hauteur d’eau convenable à l’aspiration des
pompes alimentaires.
3.7. Alternateur
L'alternateur est une machine tournante destinée à produire une tension alternative
sinusoïdale. C’est une machine synchrone qui possède une seule paire de pole et qui tourne à
une vitesse de 3000 tr/mn. Le niveau de la tension entre phases est fonction de la puissance de
la machine : pour une machine de 170MW, il est de 15,5 KV.
L’alternateur est formé essentiellement de deux circuits indépendants se déplaçant l’un par
rapport à l’autre à savoir :
Un circuit magnétique mobile nommé inducteur porté par le rotor. Il est constitué de
tôles de faible épaisseur et à cristaux orientés, offrant les avantages d’un
encombrement réduit du noyau et de faibles pertes.
Un circuit magnétique fixe nommé induit porté par le stator. Il est composé de barres
isolées suivant le procédé Isotenax qui assure à la fois l’avantage des pertes électriques
très réduites et une résistance mécanique supérieure à celle des autres procédés
d’isolation.
3.8. Les transformateurs
La centrale à turbine à gaz de la Goulette, mise en service le 26 Mai 2005, est composée d’un
groupe Turbo-alternateur d’une puissance maximale de l’ordre de 126 MW. L’alternateur
débite une tension de 14KV et tourne avec une vitesse de 3000tr/min afin d’atteindre une
fréquence de 50 Hz. La centrale peut fonctionner soit au gaz soit au gasoil comme elle a le
privilège de fournir de l’électricité en black –Start.
Caractéristiques générales :
Constructeur Turbine : G.E
Modèle de la Turbine : PG 9171E
Constructeur de l’Alternateur ALSTOM T 900 B
Puissance maximale en surcharge : 134 MW
Type de combustible : Gaz et Gasoil
Tension du réseau d’évacuation : 90 KV
Une turbine à gaz, appelée aussi turbine à combustion (TAC) ou parfois turbine à gaz de
combustion (dénomination la plus précise), est une machine tournante thermodynamique
appartenant à la famille des moteurs à combustion interne dont le rôle est de produire de
l'énergie mécanique sous la forme de la rotation d'un arbre, directement à partir de l'énergie
cinétique des gaz produits par la combustion d'un hydrocarbure (fioul, gaz combustible...) qui
subissent une détente dans une turbine. Le comburant, le plus souvent de l'air ambiant, est
filtré et comprimé avant de pénétrer dans la chambre de combustion, en utilisant un
compresseur rotatif entraîné par le même arbre que la turbine.
Dans une centrale à turbine à gaz, cette dernière entraine un alternateur qui à son tour génère
de l’électricité.
Les composantes principales d’une centrale à turbine à gaz sont : le groupe turbine à gaz avec
ses auxiliaires, l’alternateur et les transformateurs. Etant donnée que l’alternateur et les
transformateurs fonctionnent selon le même principe quelque soit le type de centrale (seules
leurs masses, leurs dimensions et leurs puissances les distinguent), nous allons nous intéresser
uniquement à l’équipement qui caractérise ce type de centrale, à savoir le groupe turbine à gaz
et ses auxiliaires.
3.1.2. Compresseur
Dans le compresseur, l’air est mis en rotation par une rangée circulaire d’aubes mobiles
(rotor) et subit une augmentation de vitesse. En franchissant ensuite une rangée d’aubes fixes
(stator), la vitesse de l’air diminue et sa pression augmente.
Les aubes du rotor fournissent l’énergie nécessaire à la compression de l’air dans chaque
étage et les aubes du stator guident l’air suivant une direction bien définie vers l’étage suivant.
A la sortie du corps d’échappement du compresseur, l’air est dirigé vers les chambres de
combustion. Une partie d’air du compresseur est utilisée pour le refroidissement de la turbine,
l’étanchéité des paliers et la commande du dispositif anti-pompage.
3.1.4. Turbine
C’est dans la zone des trois étages turbine que l’énergie, sous forme de gaz sous pression
produite par le compresseur et le système de combustion, est convertie en énergie mécanique.
Chaque étage turbine se compose d’une directrice et d’une roue avec son aubage. La section
turbine comprend le rotor, le corps, les directrices, les segments de protection, le cadre
d’échappement, les paliers et le diffuseur d’échappement. Le palier n° 3 est situé au centre du
cadre d’échappement.
3.2.1. Vireur
Il fait tourner l’arbre de la turbine à une vitesse de 126 tr /min, et cela afin d’éviter le
fléchissement de l’arbre en cas d’arrêt.
C’est un moteur électrique tournant à une vitesse de 3000 tr/mn et consommant une
puissance de 1000kW. Il permet de porter la TAG de l’arrêt à sa vitesse d’auto sustentation,
soit 60% de sa vitesse nominale.
C'est un élément qui convertit le couple donné par le moteur de lancement pour pouvoir
tourner l'arbre de la turbine. Il est menu d'une pompe à huile afin de régler la vitesse de
l’arbre.
Elles servent à la commande des équipements hydrauliques tels que les IGV et les vannes de
Gaz. Il existe deux pompes HP :
1. La pompe principale montée dans le réducteur des auxiliaires et entraînée par celui-ci.
2. La pompe auxiliaire entrainée par un moteur à courant alternatif.
Les centrales à cycle combiné, comme leur nom l’indique, combinent l’utilisation de
deux types de machines motrices : les turbines à gaz et les turbines à vapeur. On distingue
deux technologies différentes : le cycle combiné multi-arbres (multi-shaft) et le cycle combiné
mono-arbre (single-shaft).
En Tunisie, nous disposons des deux technologies : le cycle combiné multi-arbres de Sousse
et le cycle combiné mono-arbre de Ghannouch. Ainsi, pour avoir une idée exhaustive sur les
différents types de centrales de production d’électricité, j’ai effectué un stage de formation
dans chacune d’entre elle.
Le cycle combiné du centre de production de Sousse est d’une puissance de 367MW. Il a été
réalisé par la société française GEC-ALSTOM et a été mis en service en 1994/1995. Il est
constitué de :
Deux turbines à gaz de type 90001 E et leurs auxiliaires mécaniques,
Une turbine à vapeur et ses auxiliaires,
Deux chaudières de récupération.
Chaque turbine à gaz entraîne un alternateur d’une puissance de 149,625 MVA et la turbine à
vapeur entraîne un alternateur de 159,625 MVA.
Chaque alternateur débite sur le réseau à travers un transformateur principal (15.5 kV/225 kV).
Une centrale à cycle combiné, généralement appelée CCGT (Combined Cycle Gas Turbine),
ou TGV (Turbine Gaz-Vapeur), est une centrale thermique qui associe deux types de turbines:
turbine à gaz et turbine à vapeur. Chacune de ces turbines entraîne une génératrice qui produit
de l'électricité (configuration "multi-arbres" ou "multi-shaft") ou les deux types de turbines
sont couplées à la même génératrice (configuration "single-shaft").
Les étapes du processus sont les suivantes :
1) De l'air prélevé dans l'atmosphère est fortement comprimé par un compresseur, ce qui
augmente sa pression et sa température,
2) Il pénètre ensuite dans la chambre de combustion, dans laquelle est injecté du fioul ou du
gaz. Ce mélange gazeux est porté à plus de 1000°C,
3) Il dégage ainsi beaucoup d'énergie pour faire tourner une TAC. La TAC entraîne un
alternateur qui produit de l'électricité,
4) La chaleur des gaz d'échappement de la TAC est transformée en vapeur par le biais d'un
générateur de vapeur appelé également chaudière de récupération (HRSG),
5) La vapeur fait tourner une turbine qui entraîne son propre alternateur. L'alternateur produit
de l'électricité.
Cette technologie demande un investissement plus faible que d'autres types de centrales
conventionnelles de puissance plus forte et assure un rendement énergétique nettement
supérieur à celui d'une centrale thermique classique (65 % contre 38 %).
Une chaudière de récupération est un échangeur de chaleur qui permet de récupérer l’énergie
thermique des gaz chauds d’échappement de la turbine à gaz pour produire la vapeur utilisée
pour alimenter la turbine à vapeur.
Les chaudières de récupération de la centrale à cycle combiné de Sousse sont au nombre de
deux. Les gaz d’échappement de chaque turbine à gaz sont dirigés vers la chaudière de
récupération correspondante.
3.1.1. Description
Les chaudières de récupération se composent d’une gaine verticale dans laquelle sont
implantés différents échangeurs disposés horizontalement.
Les gaz chauds sortant de la turbine à gaz traversent successivement :
Le réchauffeur d’eau
Les économiseurs HP1 et BP
L’évaporateur BP
Le surchauffeur BP
L’économiseur HP2
L’évaporateur HP
Le surchauffeur HP
Les pompes de circulation (HP et BP) assurent l’alimentation en eau des évaporateurs HP et
BP. Chaque circuit est équipé de deux pompes 100%, une en fonctionnement, l’autre en
secours.
Les pompes de recirculation des circuits des réchauffeurs de condensats sont aussi au nombre
de deux, elles sont communes aux deux chaudières. La pompe en fonctionnement règle la
température de l’eau à l’entrée de chaque réchauffeur d’eau. La température à l’entrée de la
bâche alimentaire est réglée par la vanne de contournement des réchauffeurs d’eau.
Le ballon BP est alimenté par les pompes alimentaires BP (une en opération, l’autre en
secours). Le ballon HP est alimenté par les pompes alimentaires HP (deux en opération, une
en secours).
Les circuits HP et BP sont munis chacun d’un circuit de contournement vapeur.
Les tubes d’échange sont de petits diamètres avec ailettes circulaires à l’exception du
surchauffeur BP qui est en tubes lisses.
Le pas des ailettes et leurs hauteurs sont déterminés en fonction du combustible brûlé qui
peut, plus ou moins, les encrasser.
Les tubes sont disposés aléatoirement afin d’augmenter le coefficient d’échange côté gaz.
Réservoirs HP et BP
Les rôles des réservoirs sont : constituer une capacité suffisante pour absorber le gonflement,
assurer correctement l’alimentation des pompes de circulation et séparer l’eau de la vapeur.
Le ballon HP est muni d’une double enveloppe pour limiter les écarts de températures entre
différents points de la paroi extérieure. Le matériau et l’épaisseur des réservoirs sont choisis
selon la norme française NF.
Des sécheurs constitués de tôles ondulées placés dans la partie supérieure du ballon éliminent
les gouttelettes d’eau présentes dans la vapeur réduisant ainsi le risque de primage.
Pompes de circulation HP et BP
Pompes de circulation HP
Il ya deux pompes de circulation HP, une en fonctionnement et l’autre en standby. Les
pompes de circulation sont de type centrifuge à un étage entraînées par un moteur électrique.
Le débit d’eau qui passe par la pompe de circulation est environ trois fois le débit vapeur en
sortie (taux de circulation = 3).
Pompes de circulation BP
Il y a deux pompes de circulation BP, une en fonctionnement et l’autre en standby. Les
pompes de circulation sont de type centrifuge à un étage entraînées par un moteur électrique.
Le débit d’eau qui passe par la pompe de circulation est environ 6 fois le débit vapeur en
sortie (taux de circulation = 5,7).
La bâche alimentaire reçoit de l’eau en provenance soit des réchauffeurs de condensats soit
directement des pompes d’extraction. De la vapeur soutirée du corps de la turbine à vapeur ou
du circuit vapeur BP assure le dégazage et le préchauffage de la bâche.
L’aspiration des pompes alimentaires HP et BP se fait dans la partie inférieure de la bâche par
des tuyauteries individuelles équipées d’anti-VORTEX.
Un trop plein est dirigé vers le ballon des purges de la chaudière.
Pompes alimentaires
Pompe d’extraction
Les pompes d’extraction sont de type à axe vertical. Le débit d’eau est régulé de façon à
maintenir le niveau de la bâche alimentaire constant.
Pour chaque chaudière, un ballon de purge est implanté avec une cheminée d’évent et un
indicateur de niveau. Le système de purge comprend :
Purges continues HP
Purges continues BP
Purges intermittentes HP
Purges intermittentes BP
Pots de vidanges des condensats à la sortie du surchauffeur HP et du surchauffeur BP.
Soupapes de sûreté
Figure 11. Les composantes principales d’une centrale à cycle combiné mono-arbre
Un embrayage SSS-clutch :
Est un embrayage entièrement automatique “à roue libre” de type à dents,
Transmet un couple élevé.
Les dents de l’embrayage s’engagent automatiquement dès que la vitesse de rotation de
l’entrée tend à dépasser la vitesse de rotation de la sortie.
Inversement, les dents de l’embrayage se désengagent lorsque la vitesse de rotation de
l’entrée ralentit par rapport à la vitesse de rotation de la sortie.
L’embrayage SSS se distingue par:
Son action automatique :
- Etant donné qu’il s’agit d’un véritable appareil à roue libre, il ne nécessite pas de
plaques à friction, d’appareils hydrauliques ou électromagnétiques ni d’action de
l’opérateur pour commander l’engagement ou le désengagement.
Son entraînement antidérapant positif :
- Assuré par l’intermédiaire des dents d’engrenage à surface durcie.
Son usure négligeable :
- Les composants de synchronisation de l’embrayage ne fonctionnent pas lors de la
transmission du couple et lorsque l’embrayage tourne en roue libre à grande vitesse.
Sa grande efficacité :
- Ses pertes de puissance sont négligeables.
- Les besoins en huile de graissage sont faibles.
- Le graissage est soit autonome soit pris directement dans le système de graissage
normal de la machine conductrice ou entraînée.
La protection incendie est une nécessité pour la sécurité des personnes et des équipements.
Elle comprend deux niveaux : la détection et l’extinction.
1.1. Détection
L’étendue des dégâts matériels et humains causés par les incendies provient le plus souvent
du fait que le feu a été découvert trop tard, particulièrement en dehors des heures de travail et
pendant la nuit. Afin d’éviter la mise en œuvre tardive des opérations de sauvetage et
d'extinction, l’installation d’une détection incendie est indispensable.
La détection incendie conmprend :
Les détecteurs de chaleur,
Les détecteurs de fumée,
Les détecteurs de flamme,
Les détecteurs de gaz.
En fonction du risque à surveiller, le type de technologie de détection sera différent. Le
tableau suivant montre quelques exemples d’utilisation de détecteurs en fonction du matériau
combustible :
Matériaux Type de détecteur préconisé
Les détecteurs de flamme et de gaz sont insatallés là où sont les carburants inflammables tels
que le gaz naturel et le gasoil. Les détecteurs de gaz sont reliés au panneau d’alarme
d’incendie local et central.
Les systèmes de détection sont tous reliés au panneau d’alarme incendie central dans la salle
de contrôle. Ceci permet à l’opérateur en poste d’être constamment informé du
fonctionnement des appareils.
1.2. L’extinction
La centrale à cycle combiné de Sousse est munie d’un système d’eau incendie comprenant
deux réservoirs de stockage d’eau dont le volume est conforme à la norme NT109.14, une
station de pompage et un réseau de distribution indépentdant. La station de pompage
comprend deux électropompes dont chacune peut assurer au moins 50% de la demande
maximale, une pompe de secours entrainée par un moteur diesel et une électropompe
d’appoint assurant le débit des fuites dans le réseau et un réservoir tampon.
Les systèmes de protection contre les incendies faisant partie du circuit d’eau de protection
incendie sont les suivants :
Systèmes fixes à gicleurs d’eau automatiques,
Systèmes déluge à eau,
Systèmes déluge à eau/mousse.
Les systèmes fixes à gicleurs d’eau automatiques sont utilisés dans la centrale de Sousse C
pour la protection des magasins (magasin des pièces lourdes, magasin des outillages,
magasins des pièces légères et magasin des pièces conditionnées).
Les systèmes déluge à eau sont utilisés dans la centrale de Sousse C pour la protection des
équipements suivants :
Les transformateurs principaux,
Les transformateurs de soutirage,
La galerie et chemins de câbles au dessous de la salle électrique,
Réservoir de stockage de gasoil.
Les systèmes déluge à eau/mousse sont utilisés dans la centrale de Sousse C pour la protection
des équipements suivants :
Le réservoir de stockage de gasoil,
Le local de dépotage et de transfert gasoil.
d. Autres composantes du circuit d’eau de protection incendie
Outre les trois systèmes principaux susmentionnés, le circuit d’eau de protection incendie
inclut aussi les élément suivants :
Bornes incendie,
Lance-canon-eau sur borne incendie,
Lance-canon-eau/mousse sur borne incendie,
Robinet d’incendie armé (RIA) eau,
Robinet d’incendie armé (RIA) eau/mousse,
Armoires de stockage du matériel incendie (flexibles, raccords, clés, etc.), à raison
d’une armoire pour deux bornes d’incendie.
Pour les systèmes fixes à gaz on distingue deux types d’installations : les installations fixes
d’extinction par agent propre (FM200) et les installations fixes d’extinction par CO2.
Chaque système est activé par l’installation de détection qui se compose de détecteurs
d’incendie (température et flamme UV/IR) à travers logique 2/n.
Après le déclenchement de l’alarme incendie, le tableau de contrôle envoie un signal qui
actionne le bloc/arrêt de la ventilation dans la cabine intéressée, les volets d’incendie
présentes dans les conduits collecteurs sont fermées, l’alarme incendie sonore est activée à
l’intérieur et à l’extérieur du local et après 30 secondes la décharge de CO2 commence. Le
retard de 30 secondes vise à permettre au personnel, qui peut se trouver dans la cabine, de
sortir.
Le système présente des vannes d’arrêt pour protéger le personnel, ces vannes sont équipées
avec un mécanisme à clé double à manœuvre manuelle du “Type Castel”. L’introduction
d’une clé permet de fermer la vanne et de libérer une deuxième clé qui permet l’ouverture de
la porte de la cabine protégée.
Les systèmes sont dimensionnés pour une première décharge ou décharge principale et pour
une deuxième décharge ou décharge de maintien. La concentration du projet pour la première
décharge sera atteinte dans une minute. La deuxième décharge de maintien sera utile à assurer
une concentration de 30% pendant 20 minutes après la fin de la première décharge.
Les bouteilles de CO2 seront placées sur rack porte-bouteille, doté de grille métallique de
protection et, si nécessaire, elles seront protégées par une couverture.
Une lampe rouge sera placée auprès de la commande manuelle de la décharge qui se trouve
auprès du rack porte-bouteille; elle sera activée du tableau local de contrôle et elle sera
allumée chaque fois que la porte du capotage est ouverte.
Le CO2 agit principalement par abaissement de la teneur en oxygène de l'air. C'est un gaz
inodore, non corrosif et non conducteur électriquement mais il est toxique pour l'homme.
C'est pourquoi il a été conçu pour réaliser la protection de locaux non occupés.
Dans les locaux occupés, on utilise généralement un agent propre inoffensif pour les
personnes. Dans la centrale de Sousse, l’agent propre choisi par le constructeur est le FM200.
Le FM200 est un hydrofluorocarbure (HFC) de formule semi-développée CF3-CFH-CF3 qui
agit principalement par le mécanisme physique de l'absorption de la chaleur et par l'inhibition
de la réaction en chaîne responsable de la combustion, sans abaisser pour autant de manière
significative la teneur en oxygène de l'air. Ainsi, ce système est prévu dans :
La salle de commande centrale et SAS
La salle des serveurs et couloir adjacent
La salle d’ingénierie
La salle de simulateur
Le bâtiment électrique
Quelques bureaux et les couloirs adjacents.
Les systèmes de protection par agent propre sont conformes aux exigences de la norme NFPA
2001. Ces systèmes sont activés automatiquement par les détecteurs de feu appropriés et une
alarme est automatiquement transmise au panneau d’alarme incendie. Un dispositif manuel de
déclenchement est aussi disponible à proximité.
En plus des panneaux de signalisation fixés sur chaque porte d’entrée du local à protéger, des
alarmes sonores et lumineuses seront déclenchées avant le déchargement temporisé de l’agent
propre. Un système de commande manuelle sera prévu pour permettre la vérification en tout
temps de la bonne marche de l’installation, cette vérification n’entraînera le remplacement
temporaire d’aucune composante du système.
Chaque système d’extinction à agent propre inclut les éléments suivants :
Des bouteilles d’agent propre montées sur châssis,
Un système d’extinction avec gicleur, tuyauterie, etc.
Un système de détection avec conduites, chemins de câbles, panneaux de contrôle,
alarmes sonores et lumineuses.
Le problème que nous avons rencontré avec ce système est l’absence d’un fournisseur local
du FM200 pour des recharges ultérieures.
La quantité d’eau de mer requise pour couvrir les besoins des utilitaires et de l’îlot de
puissance est estimée à environ 45000m3/h. Cette eau est prélevée à partir du quai au moyen
de deux prises d’eau de mer. Elle s’écoule par gravité vers la station de pompage par deux
canalisations souterraines d’un diamètre de 2200 mm chacune.
Quatre grilles amovibles (deux pour chaque prise d’eau de mer) sont utilisées pour protéger
les équipements de la station de pompage en aval. Chaque prise d’eau peut être isolée à l’aide
de deux batardeaux pour permettre le nettoyage des grilles.
Batardeaux
Un batardeau, également appelé "stoplog", est un barrage métallique, destiné à la retenue
d'eau provisoire en vue d'exercer une activité en aval de celui-ci.
Grille/Dégrilleur
La filtration de l’eau de mer se fait en deux étapes, soit une première filtration grossière avec
un ensemble grille/dégrilleur suivie d’une filtration plus fine avec une grille filtrante.
Une grille est installée à l’entrée de chacun des deux canaux d’eau de mer pour retenir les
grands déchets de toute sorte contenus dans l’eau. Chaque grille est équipée d’un dégrilleur
muni d’un moteur et permettant d’enlever de façon automatique ou manuelle les débris
accumulés sur les grilles. Des transmetteurs de niveau situés de part et d’autre des grilles
permettent de détecter une différence de niveau due à l’accumulation de débris et d’initier le
nettoyage automatique des grilles lorsque la différence de niveau atteint une hauteur limite.
Dégrilleurs
Caractéristique Unité Base de conception
Matériau de la charpente - Acier inoxydable 316l
Matériau du cadre de
- Acier carbone S235/275 JR
monte-charge
Voltage/phase/fréquence V/ph/Hz 400/3/50
Boitier moteur - TEFC / IP 55
Capacité débris Kg 500
Vitesse maximale de lavage m/min 4
Vitesse du moteur tpm 1500
Tableau 7. Caractéristiques des dégrilleurs
Grilles filtrantes
Les grilles filtrantes sont utilisées pour faire une filtration plus fine que les grilles. Une grille
filtrante est installée dans chaque canal en aval de l’ensemble grille/dégrilleur. Des
transmetteurs de niveau situés de part et d’autre des grilles filtrantes permettent de détecter
une accumulation de débris et d’initier le nettoyage automatique lorsque la différence de
niveau atteint une hauteur limite.
Deux pompes de nettoyage à jets, une en service et l’autre en standby, sont installées pour
fournir l’eau de lavage, à un débit et une pression adéquats pour maintenir les grilles filtrante
propres. Les pompes de nettoyage à jet servent aussi à évacuer les débris accumulés dans la
goulotte vers les paniers à débris sur le coté du canal d’amenée d’eau de mer.
Grilles filtrantes
Caractéristique Unité Base de conception
Matériau de la charpente - Acier Carbone
Matériau des buses - Non métallique
Matériau des plateaux du filtre - Acier inoxydable 316
Matériau des chaînes - Acier inoxydable 316
Matériau de la charpente fixe - Acier Carbone ASTM A36
Ouverture du filtre mm 6.00 mm x 6.00 mm
Nombre de plateaux - 36
Provenance de l’eau de lavage - Eau de mer
Tableau 8. Caractéristiques des grilles filtrantes
2.3. Electrochloration
La principale fonction du système d’eau de circulation est de fournir de l’eau de mer froide au
faisceau tubulaire du condenseur afin de condenser la vapeur issue de la turbine à vapeur.
Étant donné que l’eau de mer est riche en micro-organismes et en moules, ces derniers se
fixent dans les tubes du condenseur et leur croissance engendrent son encrassement. Afin
d’éviter un tel phénomène, l’injection d’un désinfectant qui tue les micro-organismes est
primordiale.
Figure 18. Croissance des micro-organismes et des moules dans la boite à eau d’un condenseur
Le produit de désinfection le plus utilisé dans le traitement de l’eau est le chlore, qui peut être
appliqué de plusieurs manières. Habituellement, trois procédés de chloration des eaux
potables et industrielles sont utilisés:
Dosage de chlore gazeux,
Dosage d’une solution liquide d’hypochlorite de sodium,
Génération de chlore par électrolyse.
Un poste de bisulfite de sodium est prévu pour maintenir la teneur en chlore résiduelle
mesurée au canal de rejet sous la limite acceptable par la réglementation tunisienne.
Deux pompes de dosage de bisulfite de sodium, une en fonction et l’autre en standby,
permettent d’injecter du bisulfite à la brise-siphon afin de réduire le chlore à la sortie du
circuit d’eau de circulation.
En mode automatique, la pompe en fonction démarre à la détection d’une haute concentration
de chlore libre mesurée dans le canal de rejet et s’arrête lorsque la concentration de chlore
devient inférieure à la limite basse. Les pompes de dosage sont alimentées par un réservoir de
bisulfite dont le niveau est surveillé par deux capteurs de niveau. Le niveau bas empêche le
démarrage de la pompe de dosage alors que le niveau très bas arrête automatiquement les
pompes de dosage.
Conclusion générale
Pour ce faire, il était nécessaire dans un premier temps de faire la connaissance de la STEG :
son historique, ses activités, et particulièrement son parc de production d’électricité. C’est
pourquoi j’ai effectué quatre stages de formation dans des centrales fonctionnant selon les
différents principes existants : la thermique à vapeur, la turbine à gaz, le cycle combiné à
arbres-multiples et le cycle combiné mono-arbre.
Ces stages, assez bénéfiques, m’ont permis : d’enrichir mes connaissances techniques et
pratiques, d’atteindre l’objectif de me familiariser avec les basiques concernant les centrales
éclectiques, leurs technologies, leurs avantages et leurs inconvénients et d’avoir un petit
retour d’expérience me permettant ainsi de débuter ma mission d’étude des projets en cours
soit le projet de la centrale de Sousse C.
Néanmoins, il faut attirer l’attention au fait que pour accomplir convenablement cette mission,
il est essentiel de mettre à la disposition des ingénieurs d’études les outils de travail
indispensables à savoir l’outil informatique et l’outil de gestion et d’archivage de documents,
sans oublier la nécessité de prévoir des sessions de formation dans les disciplines requises par
la nature de nos activités tels que le contrôle non destructif CND, le soudage, etc.
Bibliographie
[4] SNC Lavalin, Critères de conception, protection contre les incendies, Janvier 2012
[5] SNC Lavalin, Enonce de conception et calculs, poste d’électrochloration, Août 2012
[6] SNC Lavalin, Description fonctionnelle, système d’eau de circulation, Novembre 2011
Nettographie
[1] http://www.steg.com.tn
[2] http://www.wikipedia.org/
[3] http://france.edf.com
[4] http://www.firesystems.net/
[5] http://www.sicli.be/fr
[6] http://www.espace.cfwb.be
[7] http://www.adt-belgium.be