Rapport de TP

Mécanique des sols

Niveau : 3 années génie civil
 1
TP mécanique du sol Groupe : 3GCC1
 Essai d’identification
Sommaire :

I. Analyse granulométrique

II. Limite d’Atterberg

III. L’équivalent de sable

IV. Bleu de méthylène

a. Objectifs

d’essais

b.Principes

d’essais

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 c. Matériels et matériaux utilisé

d.Procédures d’essais

e. Résultats et interprétation

V. Conclusion

I. Analyse granulométrique :
a. Objectif d’essai :

L’essai a pour but de déterminer la granularité des granulats dont les dimensions
sont comprises entre 0.063 et 80 mm
b. Principe :

 L'essai consiste à fractionner au moyen d'une série de tamis un matériau

en plusieurs classes granulaires de tailles décroissantes.
 Les masses des différents refus et tamisât sont rapportées à la masse
initiale du matériau. Les pourcentages ainsi obtenus sont exploités sous
forme graphique.

c. Matériels utilisés :
On utilise des tamis à mailles carrées par leur ouverture ; la dimension nominale
d'un tamis correspond à la longueur du côté de la maille (en mm)

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Les dimensions d'une série forment une suite géométrique :
 Pour les sables, on utilise les tamis d'ouverture (en mm) : 0,08-0,16-0,32-
0,63-1,25-2,5-5,0 (Suite géométrique de raison 2) ;
 Pour les graviers et les cailloux, on utilise les tamis d'ouverture (en mm) :
6,3-8-10-12,5-16-20-25-31,5-40-50-63-80
d. Procédure d’essai :
 On place l’échantillon à étudier à l’étuve à 105°C pendant 24h (au moins
3kg) 
 Prélever 2kg de matériau 
 Imbiber cette quantité dans l’eau pendant 24h 
 On le repasse à l’étuve pendant 24h après avoir lavé le matériau pour
éliminer les fines. 
 On sort le matériau que l’on verse sur les tamis disposés comme dans
l’appareillage et on secoue à la main ou au vibreur de tamis, il y aura un
passage selon le diamètre des tamis. 
 On enlève chaque tamis et on pèse le refus, au fur et à mesure en faisant
un cumul sur le tamis suivant. 
 On détermine  

e. Résultats :

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  Après l’échantillonnage la masse de l’échantillon est M = 6.4kg
Le résultat d’analyse granulométrique est représenté sur le tableau
suivant :
Diametre Refus Refus Pourcentage des refus Pourcentage passant
(g) partiel (g) cumules (g) cumules (%) cumules (%)

50 248,74 248,74 3,91 96,09

40 250 498,74 7,84 92,16
30 296,4 795,14 12,50 87,50
20 757,2 1552,34 24,41 75,59
25 863,87 2416,21 38,00 62,00
16 621,48 3037,69 47,77 52,23
12,5 411,24 3448,93 54,23 45,77
10 228,27 3677,2 57,82 42,18
8 145,25 3822,45 60,11 39,89
3,15 349,93 4172,38 65,61 34,39
1,6 158,34 4330,72 68,10 31,90
1,25 19,32 4350,04 68,40 31,60
1 22,42 4372,46 68,76 31,24
0,8 23,32 4395,78 69,12 30,88
0,4 135,96 4531,74 71,26 28,74
0,2 1580,03 6111,77 96,11 3,89
0,1 192,2 6303,97 99,13 0,87
0,08 24,87 6328,84 99,52 0,48
<0,08 30,44 6359,28 100,00 0,00

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  Traçage de la courbe granulométrique

D’après la courbe on constate :

D 60
 Coefficient d'uniformité Cu : Cu= D 10

Avec :
D60 et D10 étant les valeurs lues en abscisse pour les points de la courbe granulométrique
correspondant aux ordonnées de 60 % et 10 %.

AN :
24.5
Cu=
0.25 = 98
On a Cu >6 alors la granularité est étalée
D 302
 Coefficient de courbure Cc : Cc=
D 60 × D 10
Avec :

6
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 D60 et D10 et D30 étant les valeurs lues en abscisse pour les points de la
courbe granulométrique correspondant aux ordonnées de 60 % et 10 %
30% .
AN :
0.82
Cc= =0.1
0.25× 24.5
On a Cc <1 donc la granularité est mal répartie

II. Limites d’Atterberg

a. Objectif d’essai :
La détermination de WL et WP nous donnent une idée approximative des
propriétés du matériau étudie, elle permette de le classé grâce à l’abaque de
plasticité de Casagrande.
b. Principe d’essai :
L'Essai Limites d’Atterberg permet de prévoir le comportement des sols
pendant les opérations de terrassement, en particulier sous l’action de la teneur
en eau, il se fait uniquement sur les éléments fins du sol (caractériser les sols
fins).
c. Matériels utilisés :
 Appareil de Casagrande
 Balance de 5kg (précision 1g)
 Etuve ventilé
 Planche à roulets
 Capsules en verre
 Spatules
 Mortier et pilon en porcelaine
N.B : Cet essai est réalisé sur la partie granulométrique appelée mortier
inférieur à 0,4mm
d. Procédure d’essai :
 On malaxe rigoureusement la totalité de l’échantillon afin de bien
homogénéiser
 On remplit la coupelle au tiers
 On trace le milieu de l’échantillon à l’aide d’un outil à rainurer et l’essai
comme immédiatement

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  La coupelle fixée à l’appareil est soumise à une série de chocs réguliers
jusqu’à ce que les deux lèvres se ferment (le nombre de coups de
fermeture doit être compris entre 15 et 35)
 Pour confirmer le nombre de chocs, il faut recommencer immédiatement
l’essai, si les deux essais successifs ne différent pas plus d’un choc, on
prélève à l’aide d’une spatule deux échantillon de chaque côté des lèvres
et on détermine la teneur en eau

Détermination de la limite de plasticité et liquidité :

WL : la limite de liquidité est la teneur en eau correspondant à la fermeture à 25
coups.

 La limite de plasticité Wp

Pour déterminer Wp, on prend une partie du mélange et on essaye de faire des
petits rouleaux sur une plaquette jusqu’à obtenir un diamètre de 3mm   .

Après on soulève le rouleau à 1 ou 2cm au-dessus du plancher, quand il se

fissure et rompt. On prélève sur chaque morceau des échantillons pour
déterminer la teneur en eau qui sera la valeur de Wp

Et il en vient l’indice de plasticité    IP = WL - WP 

 
Classification grossière de Casagrande
Largement au remplissage de 6 moules : prévoir 20kg de matériau

 On sèche le matériau à l’air libre ou à l’étuve à 60°C maximum

 Le matériau est ensuite pulvérisé. Cette opération se fait en écrasant les

mottes terreuses à l’aide d’un petit maillet ou d’un rouleau avec
précaution de façon à ne pas briser les graviers.
 On malaxe soigneusement le matériau pour l’homogénéiser, ce malaxage
est effectué à la main dans un bac en veillant à ne pas perdre de fines, ou
dans un malaxeur automatique.
 Pour le moule Proctor (on prépare 6 échantillons de 2,5kg) et si on utilise
moule CBR (on prépare 6 échantillons de 5,5kg)
 Peser l’ensemble à 5g près

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  Démouler l’éprouvette, la casser, l’homogénéiser sommairement et
prélever rapidement 2 échantillons pour la teneur en eau (En principe
2x150g pour les sols fins et au moins 2x500g pour les sols graveleux)
 Peser rapidement ces échantillons placés dans les cristallisoirs tarés (à
0,1g près)
 Placer ces échantillons à 105°C à l’étuve jusqu’à dessiccation totale
 On fera la même chose pour chaque point en augmentant la teneur en eau
de 2% à 2% (le Proctor se réalisera sur 5 points)

On constatera que lors de la détermination du 5e point l’augmentation du poids

du sol humide est bien inférieure à la différence de quantité d’eau ajoutée pour
les deux derniers compactages.

Détermination de la teneur en eau :

Calcul de la teneur en eau W% : On calcule le poids du sol ainsi que le poids
d’eau qu’il contient

Poids eau
W% = X 100
Poids, sol sec
 
Les teneurs en eau seront arrondies à la première décimale. On prend en fin la
teneur en eau moyenne de l’éprouvette compactée. La moyenne des teneurs en
eau des deux prises d’essais prélevés.

Résultats d’essai :
Limite de liquidité Limite de plasticité
Numéro de l'essai 1 2 3 4 1er essai
Nombre de coups N 15 18 20 21    
Numéro du récipient 1 2 3 4 1 2
Masse totale humide 34,38 32,615 32,14 30,785 23,314 23,483
Masse totale sèche 31,468 30,082 29,762 28,658 22,931 23,078
Masse du récipient 20,605 20,338 20,538 20,487 20,605 20,338
Masse d’eau 2,912 2,533 2,378 2,127 0,383 0,405
Masse du sol sec 10,863 9,744 9,224 8,171 2,326 2,74
Teneur en eau w en % 26,81 26,00 25,78 26,03 16,47 14,78

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Teneur en eau moyenne         15,62
 La limite de liquidité Wl :

27

26.8

26.6
f(x) = − 0.255999999999999 x + 26.795
26.4

26.2
Teneur en eau(%)

26

25.8

25.6

25.4

25.2
15 18 20 21

Nombre des coups

D’après la courbe on constate que :

Limite de liquidité a la coupelle Wl =20.4

Limite de plasticité au rouleau Wp =15.62
Indice de plasticité wl-wp = 3.78
Donc le sol est Argiles peu plastique

III. L’équivalent de sable :

a. Objectif d’essai :
L’essai d’équivalent de sable, désigné par le symbole ES a pour but d’évaluer la
proportion relative d’éléments fins contenus dans le sol et dont la présence en
quantité notable peut modifier le comportement mécanique.

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L’essai consiste à séparer les particules fines contenues dans le sol des éléments
sableux plus grossiers. Une procédure normalisée permet de déterminer un
coefficient d’équivalent de sable qui quantifie la propreté de celui-ci.
b. Principe d’essai :
L’essai est effectué sur la fraction 0/4mm du matériau à étudier(sables). Le
tamisage se fait par voie humide afin de ne pas prendre d’éléments fins.
On lave l’échantillon, selon un processus normalisé, et on laisse reposer le tout.
Au bout de 20min on mesure les éléments suivants :
 Hauteur h1 sable propre + éléments fins
 Hauteur h2 sable propre seulement
Et on déduit l’ES : ES =(h2/h1) *100
L’essai est effectué sur 120g de grains secs. Il est préférable d’utiliser un
échantillon humide, ce qui évite de perdre les l’éléments fins du sol. Après
détermination de la teneur en eau du sol w, on pèse un échantillon humide de
masse à 120(1+w) g
c. Produits et matériels utilisés :

1. Solution lavante :
La solution lavante utilisée permet de séparer les éléments fins argileux et en
provoque la floculation.
Celle-ci est préparée à partir d’une solution concentrée dont la composition est
la suivante :
 111 g de chlorure de calcium anhydre (à 1g près)
 480 g de glycérine à 99 % de glycérol de qualité pharmaceutique (à 5 g
prés)
 12 à 13 g de solution aqueuse à 40 % en volume de formaldhyde de
qualité pharmaceutique

2. Appareillages :

Etuve de
séchage

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 Deux cylindres gradués
En verre ou en plastique transparent
munis d’un bouchon en caoutchouc et
ayant les dimensions suivantes :

 Épaisseur de paroi 3mm ;

 Diamètre intérieur de (32.0±0.5) ;
 Hauteur de (430.00±0.25 mm) ;

C’est deux oppositions doivent être

clairement indiquées sur le cylindre :

 A (100.00±0.25 mm) de la base ;

 A (300.00±0.25 mm) de la base ;

Ensemble du piston d’essai :

 Une tige de (440.00±0.25 mm) de longueur ;
 Une embase de (25.0±0.1) mm de diamètre
dont la surface inferieure est plate, lisse et
perpendiculaire à l’axe de la tige et qui
comporte latéralement trois vis de centrage de
piston dans le cylindre, avec un léger jeu.
 Une embase de (10.0±0.1mm) d’épaisseur, qui
s’adapte sur le cylindre gradué et permet de
guider la tige, en même temps qu’il sert à
repérer l’enfoncement du piston d’essai dans le
cylindre. Ce manchon doit être muni d’une vis
qui permet de le bloquer sur la tige du piston
d’essai. Il doit également être doté d’une
encoche pour le réglet.
 Un poids fixe à l’extrémité supérieure de la tige
pour donner à l’ensemble du piston d’essai,
hormis le manchon, une masse totale de
(1.00±0.01) kg.
 Les parties immerges de l’ensemble de piston
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doivent être en métal inoxydable.
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 Tube laveur : composé d’un tube rigide en métal
inoxydable ayant les dimensions suivantes :
 Diamètre extérieur de (6.0±0.5) mm
 Diamètre intérieur de (4.0±0.2) mm
 Longueur approximative de 500 mm
Le tube laveur doit être muni d’un robinet
à la partie supérieure. Le fond du doit être
conique, en métal inoxydable, et être doté
d’un embout fileté (vis). Chaque face du
cône doit être percée diamétralement d’un
trou de (1±0.1) mm de diamètre.
Flacon 5L : en verre ou en plastique
transparent, d’une contenance de 5L, muni
d’un système de siphon, dont le font est
placé à environ 1m de la table de travail.
Tube en caoutchouc ou en
plastique : d’une longueur
approximative de 1,50m, et de diamètre
interne approximatif de 5mm, reliant le
tube laveur au siphon.

Entonnoi
r Balanc Chronomètre(
e s)

Sauf indication contraire, tous les appareillages doivent

Réglet de 500 Agitateur
être conforme aux exigence Tamis
générale la norme NF EN 932-5.de
mm contrôle
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 d. Procédure d’essai :

 Siphonner la solution laveuse dans l’éprouvette jusqu’au trait repère

inférieur,
 Verser l’échantillon préparé à l’aide de l’entonnoir dans l’éprouvette,
 Frapper la base de l’éprouvette sur la paume de la main,
 Repose l’éprouvette dans 10min,
 Boucher l’éprouvette et la poser sur la machine d’agitation (90 vas et
viens-en 30s),
 Rincer les parois de l’éprouvette en utilisant le tube laveur,
 Reposer à nouveau l’éprouvette pendant 20min,
 Mesurer les hauteurs :
H1 :(du fond de l’éprouvette au niveau supérieur du floculat),
H2 :(du fond au niveau supérieur de la partie sédimentée).

e. Résultats d’essai :

E, S
Essais H1 H2 H'2 E, S v E, S piston
moyenne
1er 9,7 8,85 8,7 91,24 89,69 90,46

2eme 9,45 8,6 8,5 91 89,94 90,47

E, S (%) 90,46

Interprétation :
On a :
E, S= 90,46% > 80%  sable très propre
Utilisation de ce type de sable :

IV. Bleu de méthylène :

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 a. Principe d’essai :
Des doses d’une solution de bleu de méthylène sont ajoutées
successivement à une suspension de la prise d’essai dans l’eau.
L’adsorption de la solution colorée par la prise d’essai est vérifiée après
chaque addition de solution en effectuant un test à la tache sur du papier
filtre pour déceler la présence de colorant libre.
Lorsque la présence de colorant libre est confirmée, la valeur de bleu de
méthylène (MB ou MBF) est calculée et exprimée en gramme de
colorant adsorbe par kg de la fraction granulaire testée.

b. Matériels utilisés :  Burette : D’une capacité de 100 ml ou de 50 ml et

graduée en 1/10 ml ou 1/5 ml ou deux micropipettes,
de 5 ml et 2 ml.
 Papier-filtre : Quantitatif et dans cendre
(<0,010%) ; 95 g/m2 ; épaisseur 0.20 mm ;
vitesse de filtration : 75 secondes ; taille des
pores : 8 µm.
 Tige de verre : ayant une longueur de 300
mm et un diamètre de 8mm.

 Agitateur à ailettes : d’une vitesse de rotation

contrôlées variables pouvant atteindre (600±60)
tr/min avec 3 ou 4 ailettes de (75±10) de
diamètre.
 Balance : de précise à 0.1% de la masse de la pris
d’essai.
 Tamis : avec des ouvertures de 2 mm avec tamis de
protection (si nécessaire)
 Becher en verre : ou en plastique, d’une capacité
d’environ 1l à 2l.
 Fiole en verre : d’une capacité de 1l.
 Etuve ventilée : ayant une température de (110 ±5)
°C.
 Thermomètre : gradue en Celsius.
 Spatule.
 Dessiccateur

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 c. Mode opératoire :
Le dosage consiste à injecter successivement des doses bien déterminer de bleu
de méthylène dans la suspension de sol, jusqu’à atteindre la saturation des
particules d’argile. Le test de la tache permet de repérer l’instant de cette
saturation.
On prélève, à l’aide de la baguette de verre, une goutte de liquide dans le
récipient contenant le sol imbibé de bleu, et on dépose celle-ci sur le papier
filtre (la goute prélevée doit former un dépôt central de 8 à 12 mm de diamètre)
Deux cas sont possibles
 La goutte centrale bleu est entourée d’une zone humide incolore : le test
est négatif
 La goutte centrale bleu est entourée d’une zone humide teintée de bleu :
le test est positif
d. Procédure d’essai :
Après imbibition pendant au moins 5 minutes de la prise d’essai, procédure au dosage au bleu
de méthylène :

Cinématique du dosage Commentaires

1-Introduire dans suspension, maintenue en agitation 1ère phase : addition de bleu de

(300 à 500tr/min), 5cm3 de bleu méthylène par grossier (5cm3)

2-Test de la tache après 1min d’agitation :

 
·         Si test négatif, retour en 1

·         Si test positif, aller en 3

2ème phase : au premier test immédiat
3-Ajout de 2 cm3 de bleu positif, ajout de bleu par pas fin (2
cm3)
4-Test immédiat de la tache
·         Si test négatif, retour en 3  
·         Si test positif, aller en 5

5-Effectuer 5 fois la confirmation du test toutes les

minutes pendant 5 minutes, sans ajout de solution :
3ème phase : confirmation du test
·         Si test négatif, retour en 3 positif pendant 5 minutes.

·         Si test positif, fin du dosage

e. Résultats d’essai :
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 V (bleu injecté cm3) Test (Positif/Négatif)
5 Négatif
5 Négatif
5 Négatif
5 Positif
2 Positif
1ère Confirmation Positif
2ème Confirmation Positif
3ème Confirmation Positif
4ème Confirmation Positif
5ème Confirmation Positif

On a :
m ( bleu ) xV ( bleu ) total
VBS = m0
. C .100

Avec :
 m 0 = 60 g de sol
 m(bleu) = ρ ( bleu ) xV ( bleu ) total
 V ( bleu ) total = 22 cm3
 ρ ( bleu )=0.01 g/cm3
 C=1  Dmax ≤ 5mm
AN :
0.01 x 22 x 1
VBS= x 100 = 0.37
60
0.2 < VBS < 1.5  le sol est un sable limoneux.

V. CONCLUSION
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 La mécanique des sols est la discipline
mathématique de la géotechnique. Elle étudie le
comportement théorique des formations de la
couverture terrestre, sous l’action d’efforts naturels
d’érosion ou induits lors de la construction d’un
ouvrage.
On classe ces sols au moyen de plusieurs
paramètres physiques, granulométrie, plasticité,
porosité, humidité, consistance… qui permettent de
les désigner, de les décrire et de prévoir leur
évolution.
Les essais d’identification des sols permettent de
mesurer ces paramètres

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