Decentra Enjeux Du Dev: Lisation Et Eloppement
Decentra Enjeux Du Dev: Lisation Et Eloppement
Decentra Enjeux Du Dev: Lisation Et Eloppement
EN MANAGEMENT MUNICIPAL
DECENTRALISATION ET ENJEUX
DU DEVELOPPEMENT LOCAL:
M0004MM04
2
2
SOMMAIRE
INTRODUCTION ........................................................................................ 5
METHODOLOGIE ......................................................................................... 6
BIBLIOGRAPHIE ......................................,................................................... 46
ANNEXES ................................................................................................. 47
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INTRODUCTION:
Ces ressources ont été souvent transférées aux Communes qui le composent
ou supprimées sous leur forme commune. Il s'agit notamment de la Taxe de
Développement Régional et Locale (TDRL) et la Taxe de Voirie et d'Enlèvement des
Ordures Ménagères (TVEOM).
La ville se caractérise aussi par une multitude d'intervenant dont l'identité des
attribut,ions constitue en divers endroits un frein à la maîtrise du développement
urbain. L'émiettement des ressources et des efforts ne permet plus à cette
Collectivité de jouer son rôle financier pour le développement de la ville. Pour illustrer
cette situation, différents volets du Programme Stratégique de Développement
peuvent être cités en exemple: la gestion des déchets, des infrastructures de base,
équipements marchands.
Cette réalité n'est pas sans conséquence sur le financement des projets
urbains mais surtout pour l'amélioration du cadre de vie. L'amélioration des
ressources propres, l'un des objectifs des Collectivités décentralisées n'est pas
perceptible malgré les efforts du Conseil du District.
METHODOLOGIE:
CHAPITRE 1:
LA DECENTRALISATION
Cependant, la notion doit être ramenée à son contexte essentiel qui s'applique
à une Collectivité locale, partie intégrante d'une entité globale qui s'administre
librement.
Ainsi, la Collectivité aura une personnalité juridique propre; qu'elle gère ses
affaires propres par ses organes élus; que ses organismes indépendants du pouvoir
central, ne soient pas soumis de la part de ce dernier à un contrôle étroit. Ces
éléments constitutifs de la décentralisation permettent de faire une analyse juridique
de la notion et de la distinguer de la déconcentration ou du fédéralisme, deux notions
proches mais différentes.
Le transfert de compétences
CHAPITRE II :
EVOLUTION DU PROCESSUS DE LA.
DECENTRALISATION A.U MALI
Lorsque les forces coloniales pénètrent en 1883 dans les Régions de l'actuel
Mali, elles rencontrèrent des petits Etats morcelés affaiblis par plusieurs générations
de tensions internes, en conséquence économiquement appauvris et militairement
peu performants.
Dans le domaine réglementaire, le décret de 1904 lui donne une très large
possibilité. Son autorité s'étend sur les commandants de Cercles et Chefs de
subdivisions.
Même si la portée réelle de ces mesures était très restreinte elle marque
auprès des 4 villes émancipées du Sénégal (Saint-Louis, Rufisque, Thiès, Dakar)
l'amorce d'une implication des indigènes dans la gestion des affaires de leurs cités.
Cette situation continuera jusqu'à la fin des années 1945.
1 L'Afrique Noire: L'ère coloniale 1900 -1945, Editions Sociales - Jean Suret Canale
14
Les lenteurs dans les transferts de compétences sont source de conflit entre
certains organes des Collectivités Territoriales, d'une part, et entre ceux-ci et les
services ou structures classiques de l'Etat, d'autre part.
Dans tous les cas, l'exercice efficient du contrôle des actes et organes des
Collectivités apparaît comme un garant du respect des règles dictées. Le schéma ci-
dessous reflète la répartition des attributions consacrées par la Constitution et les
différentes Lois. Il montre le parfait partage des compétences dans un processus de
décentralisation planifié.
La structure de l'Etat
ETAT
de la libre administration
CONSEIL
DE CERCLE
Affaires Locales Mfaires Cercle Compétences
Régionales
La rive Nord abrite les plus vieux quartiers de la ville (Bozola, Niaréla,
Bagadadji et Dravéla). La ville moderne a été bâtit autour de cette vieille structure qui
s'étale d'Est à l'Ouest, bordée au Nord par la colline du Point G et au Sud par le
fleuve Niger.
La rive Sud occupe un site de plus de 12000 ha. Elle couvre une zone à relief
et abrite la zone aéroportuaire de la ville. Le District de Bamako a une population
estimée à 1 200000. Cette population occupe une superfiCie habitée de 1818,98 ha ;
soit une densité de 55,8 habitants au km 2 . L'essentiel des projets urbains sera
implanté sur les zones destinées aux différents besoins.
La rive gauche occupées par les Communes l, Il, III et IV a une superficie
estimée à 80 00 ha contre 10000 ha sur la rive droite qui abrite les Communes V et
VI du District.
• L'Administration de la ville
Pour réussir une bonne gouvernance locale, les autorités ont adopté un
processus de consultation de la société civile, acteurs du développement local. C'est
ainsi qu'un forum a regroupé successivement les autorités avec les jeunes, les
femmes, les autorités traditionnelles. Il s'agit d'un processus qui s'inscrit en droite
ligne dans les principes cardinaux d'une gestion démocratique de la citée.
La ville de Bamako est divisée en deux parties par le fleuve Niger sur 15 km.
La saison des pluies dure de mai à octobre, et la saison sèche de novembre à avril.
Démographie
La population est inégalement répartie entre les deux rives du fleuve Niger.
Les Communes de la rive gauche (surtout Il et III) ont la plus forte densité avec 96 à
93 habitants/ha en 2002.
1881 2500
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1908 8000
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1915 8734
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1936 21 391
1945 37000
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1958 86200
1960 130000
1966 164264
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1974 327000
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1976 404 175
...........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
1987 687275
1997 1 067 137
Même si tout le monde s'accorde sur le diagnostic et sur l'objectif, les avis
différent quant au contenu à donner à la nouvelle structure. On ne voit guère
comment sortir de cette situation sans une évolution institutionnelle profonde.
Il s'agit donc de franchir le pas que le législateur de 1996 n'a pas voulu
dépasser: créer une seule Collectivité pour la ville débarrassée de l'enchevêtrement
de ses attributions.
.. C'est ainsi que le quotidien national « l'ESSOR »5, dans sa parution n° 1521f<r1Hi2.............- - -
du 28 mai 2004, qualifiait la situation de Bamako d'inédite. Il précisait "Une révision
du Statut particulier de Bamako ne fera pas de mal non plus pour mettre fin à des
conflits de compétence. Le District possède à la tête de ses six (6) Communes, des
Maires directement rattachés au Gouverneur tandis que le Maire du District lui
relève du Ministère chargé de l'Administration Territoriale. La logique voudrait que les
Maires des Communes répondent du Maire du District qui relèverait du Gouverneur
du District, le représentant de l'Etat".
Cette logique formelle n'est cependant pas en phase avec l'article 1 de la Loi
96-025 portant Statut particulier du District de Bamako précise que « le District de
4 http://doc-iep.univ-Iyon2.fr/
« La politique de la ville»
S Le journal « L'ESSOR» na 15212 du 28 mai 2004
27
Dans le respect des Lois, chaque Collectivité est libre de définir et de mettre
en œuvre des politiques adaptées à son niveau en fonction des orientations de la
majorité des élus de son assemblée délibérante.
28
L'article 53 du Statut particulier précise que la Tutelle du District et des six (6)
Communes qui le composent est exercée selon les règles définies par le code des
Collectivités Territoriales.
Les dispositions de l'article 24 de la Loi 96 -025 qui précisent que les séances
du Conseil sont publiques, prennent une dimension qui affecte les dispositions
légales. En effet, en plus des Conseillers élus la session du Conseil du District est
élargie aux 14 Députés de la ville et au représentant de la coordination des chefs de
quartier sans un support juridique. Cette présence au-delà de la publicité accordée
aux sessions, car ils ont presque les mêmes droits que les Conseillers, pendant les
sessions, assure une large participation des représentants de la population.
Dans les sept (7) jours qui suivent la session les délibérations et une
expédition intégrale de chaque procès verbal sont adressées à l'autorité de tutelle.
29
Une des difficultés difficilement maîtrisable par le District est l'intervention des
différentes Institutions de la République dans le tissu urbain ignorant l'existence de
l'exécutif local.
Une implication des services techniques de la ville aurait permis d'éviter ces
difficultés en application de l'article 14 de la Loi 96-025 portant Statut particulier du
District. En effet, cet article dispose que: «le Conseil du District émet des avis sur
toutes les affaires concernant le District. Il est consulté pour la réalisation des projets
de développement décidés par l'Etat sur le territoire du District et sur les propositions
de modification des limites du District et de fusion ou de scission des Communes qui
le composent. »
30
La planification stratégique crée pour tous les acteurs un cadre d'activité qui
encourage tous les groupes à travailler en cohésion.
Il est à noter que pour la même période, les charges de gestion de la Mairie
ont considérablement augmentées. Le financement du développement local à
Bamako à partir des ressources propres constitue une tendance lourde du
processus.
Les deux premiers projets urbains financés par la Banque mondiale ont
permis à plus de 16 500 ménages de bénéficier directement ou indirectement de
nouvelles infrastructures de drainage des eaux pluviales, de bornes fontaines, de
voies urbaines et la création de la Direction des Services Techniques du District de
Bamako qui fut reformée en Directions des Services Urbains de Voirie et
d'Assainissement (DSUVA). Des difficultés ont été constatées malgré l'apport
important de la DSUVA dans l'amélioration de la propreté de la ville. Ces difficultés
se résument à l'insuffisance du transfert des déchets vers les décharges
finales, l'absence d'une organisation institutionnelle adéquate, ainsi que
l'absence d'un recouvrement suffisant des coûts et le vieillissement du parc de
la DSUVA. La Stratégie de gestion des déchets solides part d'une analyse de
l'ensemble de la filière déchets solides, depuis le ménage jusqu'à la mise en
décharge par l'enfouissement sanitaire en passant par les étapes de
conditionnement à domicile, de pré-collecte de mise en dépôt de transit et de
transport vers les décharges.
nouveau rôle des intervenants, les besoins de formation des intervenants, les options
de financement de la filière.
CHAPITRE IV :
LES LIMITES DU PARTENARIAT
Le faible taux de recouvrement des taxes municipales est l'une des difficultés
qui entravent le développement des communes. Malgré l'existence de la matière
imposable, le taux ne s'améliore par malgré les efforts permanents des organes
élus. Cette situation a conduit à un débat interminable sur la responsabilité de l'Etat
qui a transféré les taxes irrécupérables (TDRL - T.V) et garder les recettes
recouvrables facilement (Patentes - Carburant).
Au total, il conviendrait de financer environ 1,5 milliards par an, dont 1,1
milliard pour Bamako et 200 millions pour les autres capitales régionales.
Ainsi, quatre zones ont été retenues pour procéder à un test vraie grandeur.
Chaque zone présente une catégorie homogène d'équipement:
- Zone 2 : Sogoniko ;
- Zone 3 : Médina-Coura ;
- Zone 4 : Bougoudani.
Dans le test vraie grandeur les variables suivantes ont été retenues:
Cette redevance remplace une taxe qui, si elle ne marche pas à Bamako, est
recouvrée à plus de 60% dans la plupart des régions au Mali. Il semble qu'il y a lieu
de la rendre facultative. Si le zonage présente l'avantage de prendre en compte
l'équité, il a l'inconvénient d'être un peu difficile d'application car, sa mise en œuvre
demande des compétences que notre administration n'a pas. En effet, l'estimation de
l'assiette en fonction des variables dont il est question dans l'étude demande un
personnel rodé et compétent.
Habituellement, cette estimation se fait sur des bases simples telles que:
usines, fabriques (y compris imprimeries), villas à étage, villas simples, constructions
en dur, semi dur etc. Cette méthode quoique arbitraire, a l'avantage d'être simple,
pratique et d'application facile.
Le PDUD est un projet exemplaire du partenariat avec le privé. Son coût est
estimé à 92,4 milliards qui couvre plusieurs composantes.
L'adhésion des habitants aux projets qui les concernent est essentielle.
L'enjeu est de parvenir à concilier les priorités nationales et les initiatives locales.
Après avoir trouvé de nouvelles articulations entre les différents niveaux, la
Collectivité s'attachera à adopter l'utilisation de nouveaux instruments et de
nouveaux principes de gestion publique.
CHAPITRE V:
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
SECTION 1 : CONCLUSION.
A la place d'une ville avec sept (7) Collectivités on devra évoluer vers une
Collectivité monolithique. Un seul point d'impulsion de l'énergie nécessaire à
redynamiser le processus de décentralisation.
Mais la réponse aux attentes de la population passe par une révision du Statut
particulier en créant une seule collectivité auprès du représentant de l'Etat.
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS
Il est évident que le processus déclenché en mars 1991 n'avait pas comme
ambition d'affaiblir l'Etat. Mais un processus qui fait mieux partager le pouvoir entre
l'Etat et les Collectivités locales. L'Etat, en transférant aux Collectivités les
compétences qu'il juge mieux assumées à la base, se donne les moyens de
contrôler cette autonomie des élus locaux.
BIBLIOGRAPHIE
• G. BRAIBAUT - JEAN MARIE AUBY (1969) : droit public - 8ème édition (p. 42)
• ..IEAN MARY AUBY - ..IEAN BERNARD AUBY (1996) : tome 1 / 1;tme édition
(361 pages)
2. Ouvrages spécifiques
ANNEXES
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avec le PréSident
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en annexe) ,-
04 JAN 2000
Délibéré à Barn ka, le '"'''' " " ,,""-"--"
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MINISTERE DE L'ADrvll~lISTRA TiON REPUBLIQUE DU MALI
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engagé(e) enqualiié de ,~}1f.U(.6..
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l,our un contrat a duree mdetclOunee. a parur du... a5..1 02< ..........................200'3
Il est mis à la di,position de .. l!a..~~t.J~,t~.pour servir à ...J,..•t:1.~ .. ..
ri ~~~·~~~;~e:~:~â~';:;:~~;tbclti .............................................,
- cours magistraux-Travaux dirigés-Encatirement de travaux pratiques et stages;
Activités de recherche pédagogique-Examens et OOllCOms.
Le service utilisateur pourra lui confier toutes autres tâches entrant dans le cadre de ses
attributions d'enseignant.
~RTICLE 3: Le salaire ainsi convenu est dû il compter de la date de prise de service du"".>"'"
comractuel.
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en ouule des congés scolaires normaux (congès de lin de 1<' ,1 Irimestre) et des
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1iARTI<:L~ :;~ne annexe dite « clales particulières» est jointe au rlrésent contrat dont elle l'
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CLAUSES PARTICULIERES
CLAUSE 1.: Le contractuel est tenu de participer pleinement à la vje de l'établissement dans
lequel il exerce. 1 ~
Obligation lui est faite de se soumettre à tout programme de formrtion et le contrôle initié à
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CLAUSE ! Le contractuel est soumis aux mêmes obligations ~e les enseignants relevant
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du statut 1a Fonction Publique. 1
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CLAUSE b: Le cOlltracl1Jel doit faire preuve de &sponibilité poqt servir partout où le besoin
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C.. LAUSEjS: Les zones déShéritées dans le Jdre de ce pré)nt contrat sont les ré~.Jions
wi"anles: Nioro, Yélimané, Ké~éba,
Bafoulaff. Nara, Bana:r:;, Douentza, Tombo~tou.
Gao. KidaJ, et YouW"arou. 1 (
1 .
CLAUSE (): Le contractuel de l'Education s'engage à toujours faire preuve de bonne
conduite et de bonne moralité. 11 doit respecter la déontologie du métier d'enseignant et le
règlement intérieur en vigueur dans l'établissement où il exerce.
C:~AUSE 8: ~ pré~nt con{:at pourra être rq.ilié par l'Employeur. a~rès préa\'is en cas
<hnsuffisance pédagogique ou tntellectuelle du wntractuel dûment constatee.
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1 1
le Procès verbal du 25 Aoüt 1998, relatif à l'élection du MairÎe du District et de ses
Adjoints;
le projet relatif à la' signature de la Convention entre la Mairie de Bordeaux et la
du District ; ,
DECIDE:
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