Gastro Entérologie

Télécharger au format txt, pdf ou txt
Télécharger au format txt, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 14

1.

En pr�sence d'une h�mat�m�se grave par ulc�re duod�nal, l'importance de


l'h�morragie sera au mieux appr�ci�e par :

a. La quantit� de sang rejet�e


b. L'importance de la quantit� de sang n�cessaire pour r�tablir et maintenir une
tension correcte
c. L'agitation du sujet
d. La fr�quence respiratoire
e. La soif

2. La cause la plus fr�quente des h�morragies digestives est�:

a. Ulc�res gastroduod�naux
b. Gastrites h�morragiques
c. Ruptures de varices �sophagiennes
d. Syndrome de Mallory Weiss
e. Cancers gastriques

3. Le diagnostic �tiologique d�une h�morragie digestive haute repose sur


l�endoscopie oeso-gastroduod�nale, cet examen doit �tre r�alis�:

a. Sous anesth�sie g�n�rale avec intubation pour �viter une aspiration bronchique
b. D�s l�admission du patient pour mettre en �vidence la l�sion h�morragique.
c. Apr�s obtention d�un �tat h�modynamique stable
d. Apr�s r�alisation d�un abdomen sans pr�paration pour �liminer une perforation
associ�e
e. Avec injection d�un atropinique pour obtenir une inhibition des contractions
gastroduod�nales

4. Dans les ulc�res h�morragiques de la face post�rieure du premier duod�num, le


vaisseau le plus souvent responsable du saignement est�:

a. Art�re h�patique moyenne�


b. Art�re pylorique
c. Art�re gastroduod�nale
d. Art�re gastro-�piplo�que droite
e. Art�re pancr�atico-duod�nale inf�rieure

5. Devant un m�l�na isol�, sans retentissement h�modynamique particulier, il faut


effectuer en premi�re intention�:

a. Art�riographie c�lio-m�sent�rique�
b. Coloscopie totale
c. Dosage de l'h�moglobine�
d. Fibroscopie �sogastroduod�nale�
e. Transit du gr�le avec �tude particuli�re de l'il�on terminal

6. A la suite d�un premier �pisode d�h�morragie digestive par rupture de varices


�sophagiennes, la pr�vention de la r�cidive h�morragique consiste en�:

a. a-Scl�rose endoscopique des varices �sophagiennes


b. b-Pose d�un clip sur la varice
c. c-M�dicaments vaso-actifs type sandostatine
d. d-Ligature endoscopique des varices
e. Traitement chirurgical par anastomose m�sent�rico-cave

7. El�ment(s) clinique(s) ne caract�risant pas un syndrome ulc�reux :

a. La douleur est une crampe


b. Son si�ge est �pigastrique
c. Son irradiation est scapulaire droite
d. L'alimentation calme la douleur
e. Son horaire est post-prandial imm�diat

8. Concernant l'examen clinique d'un malade pr�sentant un ulc�re gastroduod�nal non


compliqu�:

a.� Il est fr�quent de constater un clapotage � la palpation du creux �pigastrique.

b.� On d�clenche volontiers une plexalgie.


c.� On retrouve une d�fense �pigastrique � la palpation
d.� On retrouve un point douloureux de Mayo Robson.
e.� On ne d�tecte g�n�ralement aucune anomalie.

9. le bilan d'un ulc�re gastroduod�nal comporte en premi�re intention�:

a. Tubage gastrique basal.


b. Gastrin�mie basale.
c. Recherche d'Helicobacter Pylori dans la r�gion antrale
d. Transit oeso-gastroduod�nal
e. Recherche d'une hyperthyro�die

10. Le diagnostic d'infection � Helicobacter pylori peut �tre fait par les examens
suivants, sauf�:

a. s�rologie
b. coproculture
c. test rapide � l'ur�ase
d. test respiratoire � l�ur�e.
e. histologie des biopsies antrales

11. Peuvent �tre associ�s � un ulc�re duod�nal les �l�ments suivants sauf�:

a. autre ulc�re duod�nal


b. ulc�re gastrique
c. duod�nite �rosive
d. atrophie du fundus
e. antrite �rosive

12. M�canisme pr�dominant de survenue d�un ulc�re gastrique �:

a. hypers�cr�tion acide d'origine vagale


b. hypers�cr�tion acide due � une s�cr�tion excessive de gastrine
c. diminution de la r�sistance de la barri�re muqueuse et/ou une fragilit� de la
paroi
d. augmentation du nombre des cellules pari�tales (bourdantes) dans la muqueuse
fundique
e. atrophie gastrique

13. La st�nose pyloro-bulbaire, d�origine ulc�reuse se traduit par des


vomissements:

a. bilieux fr�quents et r�p�t�s


b. bilieux puis f�calo�des
c. d'aliments ing�r�s plusieurs jours auparavant
d. d'embl�e f�calo�des
e. de sang non dig�r�

14. En pr�sence d'une h�mat�m�se grave par ulc�re duod�nal, l'importance de


l'h�morragie sera au mieux appr�ci�e par:

a. La quantit� de sang rejet�e


b. L'importance de la quantit� de sang n�cessaire pour r�tablir et maintenir une
tension correcte
c. L'agitation du sujet
d. La fr�quence respiratoire
e. La soif

15. le traitement d'un ulc�re duod�nal consiste en�:

a.� Eradication de l'Helicobacter pylori comporte une trith�rapie d�une dur�e d�un
mois
b.� �radication de l'Helicobacter pylori comporte une bith�rapie de 04 semaines
c.� �radication de l'Helicobacter pylori comporte une trith�rapie de 07 jours
suivie d'un traitement antis�cr�toire de 21 jours.
d.� contr�le de l'�radication d'Helicobacter pylori. doit toujours �tre effectu� �
la fin du traitement par endoscopie.
e.� Apr�s �radication d'Helicobacter pylori. on maintient un traitement d'entretien
pendant un an.

16. Concernant les h�patites virales:

a. Il existe une vaccination efficace contre l�h�patite A et l�h�patite E


b. L�h�patite virale A n�est jamais fulminante
c. Le risque de passage � la chronicit� de l�infection due au virus B chez un
adulte immunocomp�tent est de l�ordre de 50 %
d. Le risque de passage � la chronicit� de l�infection due au virus C chez un
adulte immunocomp�tent est de l�ordre 70- 80 %
e. La co-infection par le virus de l�h�patite D d�une h�patite chronique C est un
facteur aggravant

17. Mode de transmission le plus fr�quent du virus de l�h�patite C :

a. Oro-f�cale
b. Parent�rale
c. Sexuelle
d. N�onatale
e. Contacts interhumains

18. Concernant l�h�patite virale aigue B, les propositions suivantes sont correctes
, sauf�:

a- Peut se transmettre par voie sanguine


b- Peut �tre asymptomatique
c- Ne passe jamais � la chronicit�
d- Peut donner un tableau d�h�patite aigue grave
e- La transmission m�re enfant est possible

19. Une h�patite chronique�peut �tre provoqu�e par�:

a. Virus de l�h�patite A, B et C
b. Virus de l�h�patite B et C
c. Virus de l�h�patite B�, C et E
d. Virus de l�h�patite A , B et D(delta)
e. Virus de l�h�patite A�, B, C�, D, E ,

20. Une h�patite aigu� fulminante est �voqu�e devant�:

a. Un taux de transaminases (ASAT et ALAT) qui d�passe 2 000 UI/l


b. Un taux de gammaglobulines qui d�passe 20 g/l
c. Un taux de bilirubine totale qui d�passe 80 micromol/l
d. Un taux de prothrombine inf�rieur � 20 %
e. Un taux de gamma glutamyl transf�rase sup�rieur au triple de la normale

21. Quel bilan biologique �voque une cytolyse h�patique�?

a. Gamma globuline a 2 fois la normale


b. Transaminases � 10 fois la normale
c. Bilirubine �lev�e sup�rieur � 4 fois la normale
d. Taux de prothrombine abaiss� a 70%
e. Phosphatase alcaline a 2 fois la normale

22. Concernant l�h�patite chronique d�origine virale C, quelle est la proposition


juste ?

a. Est toujours symptomatique.


b. Se complique dans plus 80% d�une cirrhose h�patique
c. Pr�dispose � la survenue d'un carcinome h�patocellulaire
d. Est toujours mortelle en moins de 5 ans en absence de traitement
e. Gu�rit chez tous les patients apr�s un traitement par interf�ron standard
prescrit pendant une ann�e

23. Le traitement actuel de l�h�patite chronique active C fait appel a�:

a. Interf�ron pegyl� + Ribavirine


b. Interf�ron standard
c. Ent�cavir
d. Corticoides
e. Greffe h�patique

24. Le prurit au cours d'une cholestase est en rapport avec�:

a. �l�vation des phosphatases alcalines�


b. malabsorption des vitamines liposolubles�
c. �l�vation des transaminases
d. d�p�t sous cutan� des sels biliaires�
e. e- hyper bilirubin�mie

25. Dans la maladie de Gilbert, les propositions suivantes sont correctes sauf�:

a. L�ict�re est � bilirubine non conjugu�e


b. Il n�y a pas d�h�patom�galie
c. La phosphatase alcaline est normale
d. L��preuve du je�ne augmente la bilirubine non conjugu�e
e. Le test au ph�nobarbital augmente la bilirubine non conjugu�e

26. Chez un malade pr�sentant un ict�re, quel est la triade symptomatique clinique
�voquant une lithiase chol�docienne :

a. Douleur de l'hypochondre droit, fi�vre, ict�re dans l�ordre et en moins de 72 h


environ
b. Prurit pr�c�dant l'ict�re et la douleur
c. Douleur de l�hypochondre, ict�re, grosse v�sicule a la palpation
d. Ict�re, fi�vre, douleur dans cet ordre
e. Ict�re progressif, apyr�tique, indolore

27. Examen(s) biologique(s) diff�renciant la cholestase de l insuffisance h�pato-


cellulaire isol�e�:

a. Taux de prothrombine
b. Transaminases
c. Facteur V
d. Bilirubine
e. Gamma globuline

28.�Devant un ict�re douloureux et f�brile, il faut pratiquer en premi�re


intention�:�

a. Cholangiographie intraveineuse
b. Echographie abdominale
c. Cholangiographie r�trograde par cath�t�risme de la papille�
d. Duod�noscopie
e. Cholangiographie transh�patique

29. La bilirubine conjugu�e peut �tre pr�dominante au cours des ict�res provoqu�s
par les affections suivantes, sauf�:

a. Cancer pancr�atique
b. Cirrhose biliaire primitive
c. H�patite virale A
d. Maladie de Minkowski-Chauffard
e. Lithiase chol�docienne

30. Chez un malade ict�rique, la palpation d'une grosse v�sicule �voque :

a. Cirrhose avec ict�re


b. Cancer du hile du foie
c. Lithiase du chol�doque
d. Pancr�atite chronique calcifiante
e. Cancer de la t�te du pancr�as

31. une cholestase est �voqu�e devant les �l�ments biologiques suivants, sauf�:

a. El�vation des aminotransf�rases


b. El�vation des phosphatases alcalines
c. Baisse du taux de prothrombine
d. El�vation de la gamma-glutamyl-transpeptidase
e. El�vation de la bilirubine conjugu�e

32. Peut(ven)t �tre associ�(s) particuli�rement � la maladie de Crohn�:

a. Spondylarthrite ankylosante
b. Eryth�me noueux
c. Diarrh�e sanglante
d. Lithiase r�nale oxalique
e. Pyoderma gangrenosum

33. On �voque une maladie de Crohn chez un malade ayant une diarrh�e chronique
avec�:

a. Pr�sence de granulomes �pith�lio�des sur les biopsies des l�sions


b. Pr�sence d�un trouble de la s�cr�tion glandulaire sur les biopsies rectales
c. Pr�sence d�abc�s intra cryptiques sur les biopsies coliques
d. Ulc�rations coliques sans intervalles de muqueuse saine
e. Il�ite congestive de reflux

34. El�ment(s) clinique(s) allant � l�encontre d�une maladie de Crohn�:

a. Granulome tuberculo�de.
b. Atteinte il�ale.
c. Fistule p�rin�ale.
d. Atteintes muqueuses coliques continue sans intervalle de muqueuse saine.�
e. Pr�sence d�un syndrome de Koenig

35. Complication(s) rarement observ�e(s) dans la maladie de Crohn �:

a. St�nose il�ale�
b. Fistules et abc�s
c. Rectorragie profuse.�
d. Canc�risation
e. D�labrement sphinct�rien anal

36. La rectocolite ulc�ro-h�morragique n�est pas trait�e par�:

a. Cortico�des
b. Immunosuppresseurs
c. D�riv�s de la 5 amino-salycilate
d. Anticorps anti TNF
e. 5 Fluoro-uracile

37. Au cours d�une cirrhose, l'insuffisance h�patocellulaire se manifeste par�:

a. Baisse du facteur V
b. Augmentation de l'activit� r�nine plasmatique
c. El�vation du taux de cholest�rol total
d. El�vation de l�albumin�mie
e. Baisse du fer s�rique

38. Au cours d�un coma h�patique - stade 3, compliquant une cirrhose, on peut
retrouver les manifestations suivantes, sauf�:

a. Ast�rixis
b. Ict�re cutan�o-muqueux
c. Angiomes stellaires
d. Crises convulsives
e. Hyperventilation

39. Le syndrome d'hypertension portale ne comporte pas de�:

a. Circulation veineuse collat�rale abdominale�


b. Spl�nom�galie�
c. Dilatation de la veine spl�nique a l��chographie abdominale
d. Ict�re�
e. Varices �sophagiennes � l'endoscopie

40. La d�couverte d'une an�mie microcytaire chez un patient atteint de cirrhose


h�patique doit faire rechercher en priorit�:

a. Carence en folates�
b. Hyperspl�nisme
c. Saignement gastrique ou �sophagien chronique�
d. Carence martiale par d�s�quilibre alimentaire�
e. Carence en vitamine B12

41. L'hypertension portale d�un cirrhotique connu est recherch�e par le(s)
examen(s) suivant, sauf�:

a. Fibroscopie oeso-gastro-duod�nale
b. Ponction biopsie du foie
c. Echographie abdominale
d. Mesure de la pression sus-h�patique bloqu�e
e. Echodoppler vasculaire

42. La premi�re pouss�e d'ascite chez un cirrhotique doit �tre trait�e par :

a. Le r�gime d�sod� et les diur�tiques


b. Les cortico�des
c. La ponction concentration r�injection d'ascite
d. Le shunt p�riton�o-jugulaire
e. La d�rivation porto-cave
43. Devant une ascite rebelle au traitement m�dical diur�tique chez un cirrhotique,
on pr�conise�:

a. Mise en place d'un shunt p�riton�ojugulaire


b. Ligature des varices �sophagiennes
c. Diur�tique a forte dose en intraveineux
d. D�connection azygo-portale
e. Anastomose spl�no-r�nale distale avec d�connection gastrique

44. Une d�compensation ict�ro-ascitique d'une cirrhose peut relever des �tiologies
suivantes, sauf

a. H�morragie digestive
b. Enc�phalopathie h�patique
c. Un carcinome h�patocellulaire
d. Infection ent�ro-p�riton�ale
e. Greffe d�une tuberculose p�riton�ale

45. Une enc�phalopathie chez un cirrhotique peut �tre d�clench�e par les facteurs
suivants, sauf:

a. h�morragie digestive
b. infection
c. traitement diur�tique
d. r�gime pauvre en protides
e. traitement a base de s�datif

46. Concernant la cirrhose h�patique d�origine virale B et C�:

a. Est toujours symptomatique d�compens�e


b. Se complique dans 20% des cas d'une angiocholite
c. Pr�dispose � la survenue d'un carcinome h�patocellulaire
d. Est toujours mortelle en moins de 5 ans
e. Gu�rit apr�s un traitement par les antiviraux prescrit pendant une ann�e

47. A la suite d�un premier �pisode d�h�morragie digestive par rupture de varices
�sophagiennes, la pr�vention de la r�cidive h�morragique� consiste en�:

a. Scl�rose endoscopique des varices �sophagiennes


b. Pose d�un clip sur la varice
c. M�dicaments vaso-actifs type sandostatine
d. Ligature endoscopique des varices
e. Traitement chirugical par anostomose m�sent�rico-cave

48. L�agent pathog�ne de l�amibiase intestinale est�:

a. Echonococus granulosis
b. Entamoeba histolytica-histolytica forme v�g�tative
c. Entamoeba histolytica forme minuta
d. Forme kystique
e. Giardia intestinalis
49. Concernant l�amibiase intestinale, les propositions suivantes sont correctes
sauf�:

a. La forme diarrh�ique banale est le plus souvent observ�e


b. En l�absence de traitement l��volution peut se faire vers la chronicit�
c. La forme la plus fr�quente est le syndrome dysent�rique ou dysent�rie amibienne.
d. L�amibe peut gagner le poumon�en absence de traitement
e. Les l�sions si�gent le plus souvent au niveau du rectosigmo�de au cours de la
dysenterie amibienne.

50. Au cours de l�amibiase colique aigu� non compliqu�e, le syndrome dysent�rique


comporte les signes suivants, sauf�:

a. Selles glaireuses
b. Selles sanglantes
c. T�nesme rectal
d. Fi�vre �lev�e
e. Epreintes

51. Complication(s) possible(s) de l�amibiase intestinale�:

a. D�g�n�rescence au niveau du colon


b. Occlusion intestinale haute
c. Abc�s h�patique
d. Atrophie villositaire
e. Fistule anale

52. Concernant le traitement de l'amibiase intestinale aigu�:

a. Comporte uniquement un antiamibien de contact


b. Est efficace � dose unique en une seule journ�e
c. N�cessite un antiamibien tissulaire puis d'un antiamibien de contact
d. Le contr�le de la parasitologie des selles apr�s le traitement n�est pas indiqu�
e. N�cessite l�association syst�matique d�une antibioth�rapie � large spectre

53. L'amibiase intestinale peut �tre contract�e par voie :

a. Orale
b. Transplacentaire
c. Cutan�e
d. Parent�rale
e. Sexuelle

54. Une ascite est d�finie par�:


a- Un �panchement liquidien intra p�riton�al
b- Un �panchement h�morragique intra-p�riton�al
c- Un �panchement bilieux intra p�riton�al
d- Un �panchement purulent intra p�riton�al
e- Toutes ces propositions sont justes

55. Une ascite est dite exsudative si�:


a- Le taux d�albumine dans le liquide d�ascite est sup�rieur � 25g/l
b- Le taux d�albumine dans le liquide d�ascite est inf�rieur � 25g/l
c- Pr�sence de germes � l'examen bact�riologique du liquide d�ascite
d- Le taux d�amylase dans le liquide d�ascite est �lev�
e- Pr�sence d�un taux de leucocytes sup�rieurs � 1000/mm3 dans le liquide d�ascite

56. La cause la plus fr�quente des ascites est�:


a- La cirrhose h�patique
b- La tuberculose p�riton�ale
c- Le syndrome n�phrotique
d- L�insuffisance cardiaque droite
e- Carcinose p�riton�ale par cancer gastrique

57. Devant une ascite quel est le signe qui oriente vers une cirrhose du foie�:
a-Douleur de l�hypochondre droit
b- Souffle h�patique
c-Un liquide d�ascite riche en protide
d- Un Ast�rixis
e � Une h�patom�galie douloureuse

58. Une ascite riche en prot�ine( Rivalta positif) �voque :


a - Un cavernome portal cong�nital
b - Un syndrome n�phrotique aigu
c - Une carcinose p�riton�ale
d - Une ent�ropathie exsudative
e - Une insuffisance cardiaque droite

59. La premi�re pouss�e d'ascite chez un cirrhotique doit �tre trait�e par :
a- Le r�gime d�sod� et les diur�tiques
b - Les cortico�des
c - La ponction concentration r�injection d'ascite
d - Le shunt p�riton�o-jugulaire
e - La d�rivation porto-cave

60. Concernant l�ascite cloisonn�e, les propositions suivantes sont correctes ,


sauf
a- C�est une ascite exsudative
b- Donne une matit� en damier
c- Le signe du Flot est positif
d- L��chographie abdominale permet le diagnostic positif
e- Peut �tre secondaire � une tuberculose p�riton�ale

61. Au cours d�une maladie inflammatoire chronique de l�intestin, quel �l�ment est
plus en faveur d�une rectocolite h�morragique que d�une maladie de Crohn?

a. Pr�sence d�un granulome tuberculo�de � la biopsie colique.


b. Atteinte il�ale.
c. Fistule p�rin�ale.
d. Ulc�rations coliques sans intervalles de muqueuse saine
e. Pr�sence d�un syndrome de Koenig.

62. Au cours de la rectocolite ulc�ro-h�morragique, on ne retrouve pas�:


a. Spondylarthrite ankylosante
b. Eryth�me noueux
c. Diarrh�e sanglante
d. Lithiase r�nale oxalique
e. Pyoderma gangrenosum

63. Chez un malade ayant une diarrh�e chronique, on �voque une rectocolite
ulc�ro-h�morragique devant :

a. Pr�sence de granulomes �pith�lio�des sur les biopsies rectales


b. Pr�sence de l�sion histologique oeso-gastroduod�nale
c. Pr�sence d�abc�s intra cryptiques sur les biopsies coliques
d. Atteinte muqueuse colique segmentaire avec des intervalles de muqueuse saine
e. Il�ite st�nosante

64. Le diagnostic positif d�une la rectocolite ulc�ro-h�morragique repose�sur�:

a. Clinique�: diarrh�e glairo-sanglante


b. Endoscopie�:�aspect �vocateur des l�sions
c. Biopsie colique�
d. Clinique, endoscopie et histologie
e. Transit du gr�le

65. Au cours de la rectocolite ulc�ro-h�morragique, on observe les complications


suivantes, sauf�:

a. Colectasie (dilatation colique importante).�


b. Perforation.�
c. H�morragie profuse.�
d. Canc�risation
e. D�labrement sphinct�rien anal

66. la rectocolite ulc�ro-h�morragique n�est pas trait�e par�:

a. Cortico�des
b. Immunosuppresseurs
c. D�riv�s de la 5 amino-salycilates
d. Anticorps anti TNF
e. 5 Fluoro-uracile

67. La diarrh�e chronique est d�finie comme une augmentation du nombre de selles
dont le poids journalier et la dur�e d��volution sont sup�rieurs ou �gaux � :

a. 150 g�/jour pendant plus d�1 mois


b. 300 g/jour pendant plus de 3 semaines
c. 500g /jour pendant plus 2 mois
d. 1000 g/jour pendant plus 15 jours
e. 300 g/jour pendant plus 6 mois

68. la maladie c�liaque pr�sente les manifestations cliniques suivantes sauf�:

a. Diarrh�e chronique est un mode de r�v�lation fr�quent


b. Maladie coeliaque peut se r�v�ler par une an�mie
c. Test au D-xylose est le plus souvent pathologique
d. A la biopsie du gr�le, l'atrophie villositaire peut �tre � un stade II (mod�r�e)
e. Survenue d�un lymphome dans l��volution a long terme

69. Concernant la maladie c�liaque de l�adulte�:

a. Evolue spontan�ment vers la gu�rison


b. S�accompagne d�un r�tr�cissement des plis et d�une diminution de diam�tre des
anses j�junales au transit baryt� du gr�le
c. Se traite par r�gime sans gluten a vie et rechute si le gluten est r�-introduit
dans l�alimentation
d. S�accompagne d�un test de schilling avec facteur intrins�que constamment diminu�
e. Peut �tre induite par la consommation au long cours de n�omycine orale

70. Une ent�ropathie exsudative peut �tre retrouv�e au cours des affections
suivantes, sauf�:

a. La maladie de Crohn il�o-colique


b. La maladie de M�n�trier
c. Les lymphangiectasies diffuses ou maladie de Waldman
d. La maladie coeliaque�
e. La diverticulose colique diffuse

71. La diarrh�e motrice est caus�e par�:

a. Diab�te�
b. Tumeur villeuse du rectum�
c. Polype du colon droit�
d. Rectocolite h�morragique
e. Maladie c�liaque

72. En faveur d�une diarrh�e par malabsorption�:

a. Diarrh�e hydrique�
b. Diarrh�e glaireuse�
c. Xylos�mie a�0,340 g/l a la 24�me heure
d. Poids des selles � 60O g/j�
e. St�atorrh�e � 3 g/j

73. Au cours d'une diarrh�e chronique par syndrome de malabsorption, on ne retrouve


pas :

a. �d�me des membres inf�rieurs


b. Crise de t�tanie�
c. Spl�nom�galie
d. Phan�res cassants
e. H�matomes au moindre choc

74. image (s) �vocatrice(s) de la pancr�atite chronique :

a. Retentissement sur le tube digestif a l�echographie abdominale


b. Calcifications pr�vert�brales au niveau de L1 L2 sur les clich�s sans
pr�paration
c. Amputations vasculaires sur l'art�riographie coeliaque s�lective
d. Hypertrophie pancr�atique � la tomodensitom�trie
e. Reflux du produit de contraste dans le canal de Wirsung sur la cholangiographie
veineuse

75. Les complications suivantes sont en rapport avec une pancr�atite chronique,
sauf�:

a. Ict�re
b. Epanchement pleural
c. Pseudokyste pancr�atique
d. St�nose duod�nale
e. Ulc�re gastrique

76. Au cours d�une pancr�atite chronique calcifiante, l�insuffisance pancr�atique


exocrine peut entrainer�toutes les manifestations suivantes sauf�:

a. Une st�atorrh�e
b. Une malabsorption de la vitamine B12
c. Une cr�atorrh�e
d. Une malabsorption des vitamines liposolubles
e. une ob�sit�

77. Une pancr�atite chronique peut se traduire par les sympt�mes suivants sauf�:

a. Un syndrome douloureux solaire


b. Des vomissements en rapport avec une st�nose duod�nale
c. Un ict�re h�molytique
d. Une tum�faction �pigastrique
e. Une hypertention portale segmentaire

78. Concernant la pancr�atite chronique, on ne retrouve pas�:

a. La cause la plus fr�quente est l'alcoolisme chronique


b. Les douleurs peuvent �tre calm�es par l'aspirine
c. L'amaigrissement est habituel
d. La st�atorrh�e appara�t tardivement
e. Le diab�te survient pr�cocement, d�s le d�but de l�affection

79. Etiologie(s) la ou les plus fr�quente (s) de pancr�atite aigu� en Alg�rie�:

a. Lithiase biliaire�
b. Alcool�
c. Ob�sit�
d. Toxique
e. Une ascaridiose de la voie biliaire principale

80. La pancr�atite aigu� se caract�rise par les donn�es suivantes, sauf�: �

a. Peut �tre observ�e chez l'�thylique�


b. Peut �tre diagnostiqu�e gr�ce � l'�l�vation de la lipase�
c. L'hypocalc�mie est un signe de gravit�
d. Peut �tre en rapport avec l'enclavement d'un calcul au niveau de l'ampoule de
Vater
e. Une contracture abdominale est un signe clinique d'appel

81. une crise de pancr�atite aigu� est �voqu�e particuli�rement devant�:

a. une irradiation p�ri ombilicale en barre.


b. une irradiation Sous-costale droite.
c. une irradiation Scapulaire droite.
d. une irradiation Transfixiante vers le dos.
e. une irradiation Descendante.

82. dans une pancr�atite aigu� h�morragique, sont de mauvais pronostic les
anomalies suivantes sauf�:

a. El�vation de la cr�atinin�mie.
b. Baisse de la calc�mie.
c. Hyperleucocytose > 16000/mm3.
d. Hyperamylas�mie.
e. Hyperglyc�mie

83. Concernant la pancr�atite aigu�:

a. El�vation de l'amylas�mie est le signe le plus sp�cifique.


b. El�vation de la lipas�mie est plus sp�cifique et plus durable que celle de
l'amylas�mie.
c. El�vation de l'amylas�mie porte sp�cifiquement sur l'isoamylase pancr�atique, ce
qui permet d'�carter d'autres diagnostics.
d. El�vation tr�s importante de l'amylas�mie est plus souvent observ�e lorsqu'il
s'agit d'une pancr�atite d'origine alcoolique
e. Toutes ces propositions sont justes

84. Les signes cliniques suivants orientent vers une pancr�atite aigu� s�v�re
sauf�:

a. Vomissements incoercibles.
b. Contracture �pigastrique.
c. Choc hypovol�mique.
d. Emp�tement profond p�riombilical.
e. T�che(s) bleue(s) des flancs (signe de Grey-Turner).

85. Examen(s) morphologique(s) permettant d'appr�cier la n�crose pancr�atique au


cours d'une pancr�atite aigu� grave�:

a. Cholangiographie r�trograde
b. Art�riographie coelio-m�sent�rique
c. Echographie
d. Tomodensitom�trie
e. Scintigraphie au Tc 99

Vous aimerez peut-être aussi