Biologie Végétale
Biologie Végétale
Biologie Végétale
Les vacuoles :
Les vacuoles sont remplies d’un liquide appelé suc vacuolaire. Celui-ci est principalement
composé d’eau et d’autres composants qui varient en fonction du type de plante, d’organe et de
cellule. Outre des ions inorganiques, les vacuoles contiennent des sucres, des acides organiques et
des acides aminés. Une substance particulière est parfois concentrée au point de former des
cristaux, comme les cristaux d’oxalate de calcium qui sont particulièrement communs.
Chloroplastes :
Les plastes interviennent dans des processus tels la photosynthèse et le stockage des réserves. Les
principaux plastes sont les chloroplastes, les chromoplastes et les leucoplastes. On classe
habituellement les plastes différenciés en fonction des pigments qu’ils contiennent.
On peut aisément distinguer les trois systèmes de tissus de la racine : l’épiderme, le cylindre
cortical et le cylindre central. Les poils absorbant facilitent l’absorption d’eau et des minéraux par
les racines ; ces expansions tubulaires augmentent la surface d’absorption de la racine.
Métabolites
Métabolites secondaires :
Les métabolites secondaires représente une large gamme de composés organiques qui n’ont pas
de fonction directe dans le métabolisme primaire. Par définition, les métabolites primaires sont
des molécules qui sont présentes dans toutes les cellules végétales et nécessaires à la vie de la
plante. D’autre part, les métabolites secondaires ont une répartition limitée et sont nécessaires à la
survie et la propagation des plantes. Ils sont produits dans un organe, tissu ou type cellulaire
spécifique à des stades particuliers du développement. Les métabolites secondaires jouent un rôle
dans les mécanismes de défense contre les herbivores et les agents pathogènes. Ils entrent dans la
coloration, les odeurs et les saveurs des végétaux, et sont impliqués dans la compétition plante-
plante (allélopathie).
Les alcaloïdes figurent parmi les substances les plus importantes pour leur propriétés
pharmacologiques et médecinales. (morphine, cacoïne, caféine, nicotine)
Les terpénoïdes existent chez toutes les plantes et représentent la plus vaste catégorie de
métabolites secondaires. Le terpénoïde le plus simple est l’isoprène. Une même plante
peut synthétiser beaucoup de terpénoïdes différents à différents endroits de l’organisme,
dans des buts différents et à des stades différents de son développement. Beaucoup de
monoterpènes et de sesquiterpènes sont appelées huiles essentielles en raison de leur
volatilité. Le taxol est un diterpènes qui possèdent des propriétés anticancéreuses. Le plus
gros terpénoïde connu est le caoutchouc qui contient entre 400 et 100 000 unités isoprène.
Les flavonoïdes sont des pigments solubles dans l’eau, présents dans les vacuoles ; ils
constituent le plus grand groupe de composés phénoliques chez les plantes. Les
flavonoïdes sont répartis en plusieurs classes telles que les anthocyanes, les flavones et les
flavonoïdes. Les anthocyanes ont une gamme de couleur allant du rouge au pourpre. La
plupart des flavones et flavonols sont des pigments jaunâtres ou ivoire, certains sont
incolores. Les pigments floraux agissent comme signaux visuels pour attirer les
pollinisateurs, oiseaux et abeilles. Les flavonoïdes interviennent également comme
protection contre les UV.
Les tanins sont les plus importantes armes dissuasives contre les herbivores. Leur goût
astringent repoussent les insectes, reptiles, oiseaux et autres animaux.
Contrairement aux autres composés phénoliques, les lignines se déposent dans la paroi
cellulaire et non pas dans la vacuole. La lignine est surtout importante pour la résistance à
la compression et la rigidité qu’elle confère à la paroi cellulaire. On estime que la
lignification, qui est le dépôt de lignine, a joué un rôle primordial au cours de l’évolution
des plantes terrestres. La lignine augmente l’imperméabilité de la paroi cellulaire à l’eau.
Monoterpènes :
C6-C3-C6
Il existe plus de 5000 flavonoïdes connus
La chalcone synthase opère a la formation de la structure de base des flavonoïdes.
Classification sur le degré d’oxydation de C3 et la position du cycle aromatique.
Anthocyanine : pigament coloré
Flavones
Flavonol : se distingue des flavone par un hydroxyle sur le noyau C
Isoflavone :se distingue des flavonol par la position du noyau B
Couleur aide à attirer les insectes pollinisateurs et les animaux disperseurs de graines
Protection physique contre les UV
Défense
signalisation
Anthocyanines :
Lignans et lignines :
lignans : dimère dérivé de monolignols liés ensemble par des liens C-C ou C-O-C.
Défense contre les pathogènes, antioxydant
Lignine : polymère de phenylpropanoïdes formant un réseau tridimensionnel solidifiant les parois
cellulaires.
Arylpyrones, styrylpyrones et stilbènes :
Rôle de protection contre les champignons, les insectes et les nématodes.
Coumarines et furocoumarines :
Composés C6-C3 cycliques présents dans les teguments des graines,les fruits, fleurs,
feuilles, tiges et racines.
Antimicrobien, anti UV, anti-herbivores.
Tannins :
Alcaloïdes :
Pyrrolidines :
Tropanes :
Pipéridines :
Pyrrolizidines :
Quinolizidines :
Isoquilines :
Isoquinolines :
Indoles :
Purines :
Glucosinolates :
Ethylène :
Hormone volatile
Synthèse dans presque toutes les parties de la plante
Abondante au niveau des fleurs, des vielles feuilles et dans les fruits en maturation
Réponse au stress
L’ACC synthase
Transforme SAM en acide aminocyclopropane carboxylique ACC dans le cytosol
Etape limitante de la biosynthèse de l’éthylène
Enzyme régulée par des facteurs internes et environnementaux
Généralement présente en très faible concentration et instable
Codée par famille multigénique dont l,expression est régulée différentiellement par
différents inducteurs
L’ACC oxydase
Transforme l’ACC en ethylène
Stimulée par O2 et inhibée par anaérobie, cO2 et T° élevée
Faible concentration dans les tissus
Codée par famille multigénique régulée différentiellement
Les électrons de H2O sont la source primaire du pouvoir réducteur. O2 est un sous-produit de la
photosynthèse. La quantité de CO2 fixé annuellement est de 1011 tonnes.
L’énergie des photons est donnée par la formule de sorte que plus la longueur d’onde
est courte, plus l’énergie est grande.
Les principaux pigments capables d’absorber l’énergie lumineuse dans les thylacoïdes chloroplasmitiques
sont les chlorophylles a et b et les caroténoïdes comme la -carotene. La chlorophylle b est un pigment
accessoire qui n’intervient pas directement dans la transformation de l’énergie lumineuse, mais dont le
rôle consiste à élargir la gamme de lumière utilisable en photosynthèse.
Chaque chlorophylle absorbe seulement quelques photons par seconde. Ses électrons sont
temporairement portés à un niveau énergétique supérieur, appelé etat excité. Lorsque les
électrons regagnent leur niveau énergétique inférieur, trois possibilités s’offrent à l’énergie
libérée :
Conversion totale ou partielle de l’énergie en chaleur mais la plupart du temps, elle est
libérée sous la forme d’un autre photon moins énergétique : la fluorescence.
L’énergie est transférée de la molécule de chlorophylle excitée à une molécule et
permettant à la première de revenir à son niveau de base. Ce processus est un transfert
d’énergie par résonane, et il peut se répéter pour une troisième, une quatrième molécule
de chlorophylle et d’autres encore.
Le transfert de l’électron à haute énergie à une molécule voisine qui fait partie d’une
chaîne de transport d’électrons.
Photosystèmes et photophosphorylation :
Dans les chloroplastes, les molécules de chlorophylle et des autres pigments sont intégrés aux
thylakoïdes sous forme de complexes d’organisation distincts appelés photosystèmes. Un
photosystème comprend environ 250 à 400 molécules de pigment et se compose de deux parties
étroitement unies : un complexe antennaire et un centre réactionnel. Dans le photosystème I les
molécules de chlorophylle a particulières du centre réactionnel sont dénomées P700 parce que le
pic d’absorption optimal est de 700nm. Le pic d’absorption optimal de la chlorophylle a du
photosystème II est de 680 nm (P680). Les photosystèmes I et II fonctionnent de façon
simultanée et continue. Quand une molécule P680 est à l’état excité, son électron excité est
transféré à une molécule accepteuse primaire qui transfère son électron supplémentaire à un
accepteur secondaire et ainsi de suite le long de la chaîne de transport d’électron. Le centre
réactionnel P680 déficitaire en électrons est capable de les remplacer, un à un, en les soutirant des
molécules d’eau :
Cette scission ocydative dépendant de la lumière est la photolyse. L’oxydation de deux molécules
d’eau pour former une molécule d’O2 nécessite 4 électrons. Le transfert d’un seul électron depuis
H2O au NADP+ nécessitant deux processus photochimiques, il faut au minimum 8 à 10 photons
absorbés. L’O2 est produit selon un shéma d’oscillation particulier. Le troisième flash provoque
la production maximale d’oxygène, après quoi, la quantité d’O2 est maximale à chaque quatrième
flash. Cette périodicité indique que chaque centre producteur d’O2 fait intervenir un cycle de cinq
états différents, de S0 à S4. Chaque transition entre S0 et S4 est une réaction d’oxydoréduction
dépendante de la lumière et la production d’O2 se produit entre S4 et S0 de sorte que la
production maximale de l’ocygène est réalisée par un seul photosystème.
PSII possède la propriété remarquable de stabiliser ces intermédiaires très réactionnels pendant
des périodes prolongées et à proximité de l’eau. PSII contient 4 ions Mn liés à la protéine et
associés à un ion Ca et 2 ions Cl. C’est le complexe OEC. L’OEC passe par une série d’états
d’oxydation Mn(II),Mn(III),Mn(IV) et Mn(V) tout en captant des photons et des électrons de
molécules d’eau pour finalement produire O2.
Les éléments de la chaîne de transport d’électrons situés entre les deux photosystèmes
ressemblent à ceux de la chaîne de transport des électrons de la respiration : quinones,
cytochromes et protéines fer-soufre interviennent. La chaîne de transport d’électrons est disposée
de telle sorte que le transfert des électrons entre transporteurs successifs est obligatoirement
couplé au pompage des protons au travers de la membrane thykaloïde via le complexe du
cytochrome b6/f ce qui génère le gradient électrochimique de protons capable de produire l’ATP.
C’est la photophosphorylation.
Le gain net de la réaction est 6 ATP et 6 NADPH. 4 photons sont nécessaires pour pousser 2
électrons au niveau de NADPH.
Cycle de Calvin :
Le cycle de Calvin est la seule voie par laquelle le CO 2 est fixé et réduit pour conduire à la
synthèse de glucides. Il se réalise dans le stroma des chloroplastes. 11 enzymes sont régulés
directement ou indirectement par la lumière. Les réactions sont dépendantes de l’ATP et du
NADPH synthétisés lors des réactions photochimiques.
La substance de départ est un sucre à 5 carbones avec deux groupements phosphate le ribulose
1,5-biphosphate (RuBP).
La RubisCO ou ribulose-1,5-diphosphate carboxylase/oxygénase est l’enzyme clé permettant la
fixation du dioxyde de carbone CO2 dans la biomasse végétale en initiant le cycle de Calvin, en
relation avec l'énergie solaire captée par la chlorophylle à l'origine des processus de
photosynthèse. Elle catalyse aussi bien la carboxylation que l'oxydation du ribulose-1,5-
diphosphate. Elle est composée de 8 grosses sous unités de 50kDa et 8 petites sou unités de
12kDa. Dans le stroma, sa concentration est de 4-10mM. Elle est plus spécifique pour le cO2 que
l’O2, mais à cause du ration de plus d’O2, le ration de la vitesse de carboxylation/oxygenation est
entre 3 et 4.
Au cours de la première étape, le CO2 entre dans le cycle et est lié enzymatiquement, fixé, par
covalence au RubisCO. La substance à 6 carbones qui en résulte est immédiatement hydrolysée
en 2 PGA. Puisque chaque PGA contient 3 carbones, on dit que le cycle de Calvin est le cycle C3.
Au cours de la seconde etape, la PGA est réduite en glyceraldehyde 3-phosphate G3P. Dans la
troisième étape, 5 des six molécules de G3P servent à regénérer 3 molécules de ribulose 1,5-
phosphate.
À chaque tour de cycle, un CO2 entre et est réduit et un RuBP est regénéré. Pour former 1 G3P,
trois tours de cycle cont nécessaires. L’équation globale de la production de 1 G3P est :
Le produit immédiat est transportée du chloroplaste au cytosol de la cellule. La plus grande partie
du carbone fixé est transformé soit en saccharose soit en amidon.
Photorespiration :
En présence d’une forte concentration de CO2, RubisCO catalyse la carboxylation de la ribulose
1,5-biphosphate avec beaucoup d’efficacité et dans ces conditions, l’efficacité du cycle de Calvin
est proche du 90%. Mais l’oxygène entre en compétition avec le CO2 au site actif de RubisCO.
Ce cycle sert à enrichir le cycle de Calvin en CO2. Mais la fixation du CO2 à un coût énergétique
plus élevé. Pour chaque molécule de CO2 fixée dans la voie C4, une molécule de PEP doit être
regénérée au prix de 2 Pi de l’ATP. Les plantes c4 ont donc besoin de 5 ATP pour fixer un CO2.
Les teneurs en CO2 et basses en O2 limitent la photorespiration. Par conséquent, les plantes en C4
ont un avantage sur les plantes en C3 parce que le CO2 fixé par la voie en C4 est pompé avec
grande efficacité des cellules du mesophylle vers les cellules de la gaine fasciculaire, ce qui
maintient un rapport élevé entre CO2 et O2.
Cycle CAM des Crassulacées :
Ce cycle existe chez les plantes des régions désertiques (t° élevée, manque d’eau). Les réactions
biochimiques conduisant à la fixation du CO2 s’effectuent en 2 étapes séparées dans le temps. La
nuit, les stomates sont ouverts, et il y a absorption du CO2 et accumulation d’acide malique. Le
jour, les stomates sont fermés et il y a diminution du contenu en acide malique et pas
d’absorption de CO2 de l’extérieur. Ce cycle requiert que 50 à 100g d’H2O pour chaque g net de
CO2 fixé. Les plantes CAM sont moins productives car leur capacité à entreposer le malate la nuit
et l’amidon le jour est limitée. La possibilité de photorespiration le jour, la concentration en O2
augment suite aux réactions photochimiques. La concentration en CO2 diminue, les stomates sont
fermés et le CO2 fixé par la RubisCO. Il y a diminution du rapport CO2/O2 et augmentation de la
photorespiration.
Assimilation de l’azote
Cycle de l’azote :
Le nitrate peut être entreposé à des concentrations élevées de 20mM. Il est réduit en deux étapes :
En nitrite grâce au nitrate reductase
En ion NH4+ par le nitrite reductase.
Le nitrate reductase se retrouve dans le cytosol et dans les racines. Il utilise le NADH lorsque
dans le cytosol et le NADPH lorsque dans les racines.
Le nitrite est toxique et est immédiatement transporté dans le chloroplaste où le Fdxred est
disponible. Dans les plastes, Fdxred n’est pas disponible et doit être générer du NADPH obtenu
de la voie oxydative du pentose phosphate par la ferredoxine-NADP+ reductase :
L’exposition au nitrate provoque une induction rapide des ARNm codant pour le nitrate reductase
dans les racines et les feuilles. Les pics maximum d’accumulation des ARNm démontrent un
cycle diurnal et coïncident avec le debut de la journée. Les concentrations élevées de nitrate ou de
lumière induisent la transcription des ARNm codant pour la NiR tandis que l’accumulation des
produits finaux glutamine et asparagine répriment cette induction.
La glutamine synthetase GS active un octamère et a une affinité élevée pour l’ammonium. Elle
peut fonctionner aux concentrations présentes dans la cellule. La glutamate synthase GOGAT
active un monomère.
GS2 est un isoenzyme prédominant dans les chloroplastes de feuilles. Elle fonctionne
dans l’assimilation primaire d’ammonium et de la réassimilation de l’ammonium
provenant de la photorespiration.
GS1 est un isoenzyme cytolisique présent en faible concentration dans les feuilles et
fonctionne dans la synthèse de glutamine pour le transport de N sur de longue distance.
Présent en plus grande concentration dans les racines et fonctionne dans l’assimilation
primaire.
Fdx-GOGAT représente 95-97% de l’activité totale dans les feuilles et suggère un rôle
majeur dans l’assimilation primaire et la photorespiration.
NADH-GOGAT est un isoenzyme prédominant dans les racines et pourrait fonctionner
dans l’assimilation primaire.
Il existe deux classes de GDH : les GDH de mitochondrie utilisant le NADH et les GDH de
chloroplastes qui utilise le NADPH. Le GDH a une faible affinité pour l,ammonium et pourrait
seulement avoir un rôle d’assimilation en condition de toxicité en ammonium.
Les GDH jouent un rôle dans le catabolisme du glutamate lors de la récupération de l,azote et de
squelette carbonés.
Fixation biologique de l,azote :
Plusieurs molécules sont des éliciteurs de la fixation de l’azote. Elle induise l’expression du gene
nod.
Complexe nitrogenase :
La dinitrogenase reductase Fe protein est un homodimère qui contient un seul noyau 4Fe-4S à la
surface de la proteine. Elle accepte 1 électron de la feredoxine dans son noyau 4Fe-4S et lie deux
MgATP. Le noyau 4Fe-4S s’approche du P-cluster de la dinitrogenase et il y a transfert de
l’électron à la dinitrogenase. L’hydrolyse de l’ATP et le changement de conformation permet à la
protéine d’être réduite de nouveau. La dinitrogenase est un hétérotétramère qui contient deux
paires de complexes metalliques le P-clester et le FeMo-cofacteur. Un électron provient du P-
cluster et est transféré vers le co-facteur FeMo. Après l’accumulation de 3-4 électrons, le substrat
diazote se lie et la réduction est initiée.
Exportation d’amides et d’uréides :
Phytochrome
Spectre d’absorption du phytochrome :
Les CP43 et CP47 du PSII sont deux polypeptides de l’antenne interne qui lient environ 40-50
chlorophylles a et des caroténoïdes. Son rôle est de trandférer l’énergie de l’antenne périphérique
vers le P680 D1/D2 : centre réactionnel. Le lhcb monomère est une antenne périphérique
contenant 12-14 chlorophylles a et b et 2-4 caroténoïdes. Forme des trimèeres.
Le PSIcore est une antenne interne qui contient des polypeptides qui lient environ 90
chlorophylle a. Le lhca monomèere possède une composition similaire èa lhcb et forme des
dimères et des trimères.Yz représente la tyrosine D1. Le P680 est un dimèere de chlorophylle.
Les CP43 et CP47 sont les polypeptides de l,antenne interne. B559 le cytochrome, D1 et D2 sont
des centres réactionnels contenant les transporteurs d’électrons et le manganese est un stabilisant
de la proteine.
Le produit final des réactions du PSII est le PQH2. Le plastohydroquinone est relarguée dans la
phase lipidique de la membrane du thylacoïde.
Les protons sont relargués dans lumen. Pour que 4 électrons aillent jusqu’au PQ (Qb), il faut 4
photons.
Donc pour chaque CO2 fixé dans le cycle, il faut 3 ATP et 2 NADPH provenant des réactions
photochimiques. Plusieurs enzymes participent aux réactions : triose phosphate isomerase,
aldolase, fructose-1,6-biphosphate, trans-ketolase, phosphopentose epimerase, sedoheptulose-1,7-
bisphosphate, phosphopentose isomerase, phosphoribulokinase.
Floraison