Automatisme PDF
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L’automatisme
I. INTRODUCTION
Un système automatisé est un objet technique qui effectue une opération de façon autonome. Il est constitué de
deux parties qui coopèrent :
Elle transmet les ordres à la partie opérative. Elle exécute les ordres reçus de la partie commande.
Elle reçoit les consignes de l’opérateur et les Elle agit sur le système ou sur son environnement.
comptes-rendus de la partie opérative.
le système binaire,
le système octal,
le système hexadécimal.
Ces trois systèmes sont des systèmes pondérés où le poids de pondération de chaque chiffre
dépend de sa position dans le nombre.
Le système de numérotation binaire est composé des deux chiffres 0 et 1. Tout chiffre dans ce
système est appelé bit alors que les nombres sont appelés mot de bits ou séquence de bits.
Le système de numérotation hexadécimale est, lui aussi, utilisé pour abréger les écritures
binaires. Ce système est composé de seize chiffres qui sont les dix chiffres du système décimal
(0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9) et les six premières lettres de l'alphabet (A, B, C, D, E et F). Dans ce
système, chaque chiffre représente une séquence de quatre bits dans le système binaire.
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a. Conversion binaire :
Si nous divisons un nombre décimal par 2, le quotient indique le nombre de fois que 2 est contenu
dans ce nombre et le reste indique le chiffre des unités dans l'expression du nombre binaire.
Soit N le nombre, Q1 le quotient et R1 le reste, nous avons :
N = (Q1 × 2) + (R1 × 1)
N = (Q1 × 21 ) + (R1 × 20 ) Exemple :
Pour obtenir l'expression binaire d'un nombre exprimé en décimal, il suffit de diviser
successivement ce nombre par 2 jusqu'à ce que le quotient obtenu soit égal à 0.
Comme pour la conversion dans le système décimal les restes de ces divisions lus de bas en haut
représentent le nombre binaire.
(44)1 0 = (101100)2 .
Cette propriété d'équivalence entre chaque chiffre octal et chaque groupe de 3 chiffres binaires
permet de passer facilement d'un système à base 8 à un système à base 2 et vice versa.
La propriété d'équivalence que nous venons de voir entre le binaire et l'octal existe entre
l'hexadécimal et le binaire.
La seule différence est qu'il faut exprimer chaque caractère hexadécimal à l'aide de 4 informations
binaires.
Parmi les techniques de codage les plus utilisées, on retrouve le code DCB, le code Gray et le
code ASCII.
Le code DCB est un code pondéré. Chaque chiffre du système décimal y est représenté par une
séquence de quatre bits. L'avantage de ce code est de permettre une méthode plus rapide et plus
simple de représenter les nombres décimaux en numérotation binaire.
Le code BCD est un code non pondéré « Binary Coded decimal ». Chaque chiffre décimal
indépendant de son poids est représenté par son équivalent binaire sur 4 bits.
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Le code Gray, aussi appelé "code binaire réfléchi", est un code non pondéré où les chiffres ne
diffèrent des précédents que d'un seul bit. Ce code est très utilisé dans les convertisseurs
analogiques numériques.
Le code ASCII est un standard international de représentation des chiffres et des caractères
alphanumériques. Dans ce standard, on fait correspondre un code à chaque caractère d'un clavier
d'ordinateur pour permettre sa compréhension par la machine. Il comporte 8 bits (7 bits + 1 bit de
parité).
Le groupe d’opérateurs (NON, ET, OU) est un groupe d’opérateurs complet, c'est-à-dire
𝐴 + 𝐵 + 𝐶 … . . = 𝐴 . 𝐵 . 𝐶 ….
𝐴 . 𝐵 . 𝐶 … . . = 𝐴 + 𝐵 + 𝐶 ….
b. Loi de Consensus :
𝐴 .𝐵 + 𝐴 .𝐶 + 𝐵 .𝐶 = 𝐴 .𝐵 + 𝐴 .𝐶
Involution : 𝐴 A
𝐴+𝐵 . 𝐴+𝐵 = 𝐴
𝐴 + 𝐴 .𝐵 = 𝐴 + 𝐵
Une fonction logique peut être représentée par une expression algébrique reliant les variables
logiques avec un ensemble d’opérateurs logiques.
Quelque soit la fonction logique, on peut l’exprimer sous la forme canonique où chaque terme
comporte toutes les variables. Il existe deux formes canoniques équivalentes :
Bien que les machines numériques sont constitués d’un ensemble de circuits électroniques, on a
besoin de traduire la fonction logique en un schéma du circuit logique basée sur les opérateurs
logiques. Ce schéma est appelée Logigramme
Exemple :
La simplification d’une fonction logique est de rendre la forme canonique de cette fonction en une
forme la plus minimale possible, afin de réduire le nombre de termes dans la fonction, le nombre de
variables dans le terme et les portes logiques utilisées .
1. La simplification algébrique :
Dans cette méthode algébrique, on fait appel aux propriétés fondamentales des opérations logiques
afin de simplifier la fonction, ainsi que les lois de Morgan et du Consensus.
Exemple :
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a. Méthode du consensus :
La méthode permet de réécrire une fonction booléenne f à simplifier comme somme de tous ses
termes ou monômes premiers. Cette somme est dite base première de la fonction. Un terme
étant premier s'il ne peut être combiné avec aucun autre pour donner un terme plus simple.
Il existe un consensus entre deux monômes quand les deux ne diffèrent explicitement que par une
variable biforme .
Démarche :
On ajoute le consensus existant des biformes , on supprime après les monômes inclus par
absorption ou idempotence tout en retirant les consensus inutiles .
Exemple :
On part de f = b'c'+a'b+bc+abc', qu'on fait évoluer en faisant apparaître progressivement tous les
consensus possibles, tout en réduisant les formules par absorption.
Le tableau de karnaugh est l’équivalent d’une table de vérité où chaque ligne est remplacée par une case
dont les coordonnées (ligne _ colonne) sont repérées par une combinaison donnée de variables.
Si une fonction est de n variables , on aura 𝟐𝒏 cases dans le tableau où la valeur de la fonction sera inscrite .
Le passage d’une case à une autre case voisine doit respecter la règle d’adjacence, c'est-à-dire une seule
variable qui change de valeur lors du passage. Il s’agit du Code Gray.
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Dans la simplification on distingue entre les deux formes canoniques de la fonction :
Pour la 1ère forme canonique, les cases du tableau remplies sont celles qui prennent la valeur 1 de la
fonction logique .
Pour la 2ème forme canonique, les cases du tableau remplies sont celles qui prennent la valeur 0 de la
fonction logique .
a. Règle de simplification :
Règle 1 : On ne peut regrouper qu’un nombre de cases correspondant à une puissance de 2 exacte, c'est-à-
dire 2, 4, 8, 16 ……
Règle 2 : Le regroupement de 2𝑘 cases doit être en ligne, en colonne, en rectangle, en carré, en extrémités .
1 1 1 1 1
En colonne
En ligne
1 1 1 1 1
1 1 1 1 1
En extrémité En rectangle
Règle 3 : Il faut utiliser tous les (1) au moins une fois dans les regroupements, le résultat est donné
par la réunion des différents groupement.
Rechercher les regroupements les plus grand possibles, il en résulte un nombre de variable
minimum .
Le regroupement de 2𝑛 cases permet de réduire n variables
Faire le minimum de regroupement , il en résulte un nombre de termes minimal dans la
fonction .
Règle 5 : On garde dans le résultat les variables qui n’ont pas changer d’état
Remarque : Ces règles de simplification sont valables pour la 1ère et la 2ème forme canonique .
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Exemple :
Un composant premier 1er espèce (2ème espèce ) est le plus grand groupement de 1 (de 0 )
Le composant premier secondaire (CPS) est le groupement dont toutes ses cases appartiennent à
d’autres groupements.
Le composant premier principal (CPP) est le groupement ayant au moins une case qui n’appartient
à aucun autre groupement.
La forme minimale est obtenue par chercher les CPP et les CPS de la fonction, garder seulement
ceux qui sont indispensables pour couvrir tous les 1 en éliminant les CPS inutile.
Une fonction logique est incomplètement définie si la valeur de l’état de sortie n’est pas définie pour
certaines combinaisons. Afin de simplifier la fonction, on attribue soit des 1 ou 0 à ces cases non définies , et
on procède par la même démarche cités ci-dessus.
a. Demi additionneur :
Il s'agit ici de concevoir un circuit combinatoire capable d'effectuer la somme de deux nombres
binaires a et b chacun sur 1 bit. Le circuit doit avoir deux entrées a et b, et deux sorties S et C :
b. Additionneur complet :
Un additionneur complet est un circuit capable de faire la somme de 3 bits A n et Bn qui sont les bits
à additionner et Cn-1 le report provenant de la somme des bits directement moins significatifs. Le
circuit aura deux sorties Sn et Cn qui sont respectivement le bit de la somme et le bit du report
provenant de la somme de 3 bits A n, Bn et Cn-1.
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On peut réaliser un additionneur complet à partir de deux demis-additionneurs et d'une porte "OU"
Un multiplexeur est un circuit qui a pour rôle de faire circuler sur une seule voie les informations
provenant de plusieurs sources.
Les voies
d’entrées
Les bits de
sélection ou
adressage
b. Démultiplexeur :
C'est un circuit qui a pour rôle le de redistribuer sur plusieurs voies les information provenant
d'une seule source: C'est l'opération inverse du multiplexage. Le module sélection ou
adressage joue presse que le même rôle que le MUX. Il permet de sélectionner la sortie qui
doit recevoir l'information de l'entrée.
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Equations de sorties :
4. Décodeur et transcodeur :
Les circuits de transformation des codes font la transposition des données d'un code à un autre. Ils
jouent le rôle d'interprète entre l'homme et la machine (codeur) entre la machine et l'homme
(décodeur) entre machine et machine (transcodeur).
a. Décodeur :
C’est un circuit démultiplexeur, dont l’entrée d’information est égale à 0 ou 1, il est constitué de : n
entrées d’adressage et de N=𝟐𝒏 sorties. Pour chaque combinaison d’entrée une seule sortie est
activé à la fois.
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Pri ncipe d' un décodeur 1 pa rmi 4
Pour pouvoir activer toutes les 4 voies on a besoin de 2 bits à l'entrée car c'est 2 2=4
Table de fonctionnement
Remarque :
Code binaire d'entréeCode 1 parmi 4 sorties
Ce tableau de fonctionnement est valable pour le
E1 E0 S3 S2 S1 S0
cas d’entrée d’information e=1.
0 0 0 0 0 1
Si e=0, on aura chaque sortie qui prend la valeur 0
0 1 0 0 1 0
pour une seule combinaison et la valeur 1 pour les
1 0 0 1 0 0 autres combinaisons .
1 1 1 0 0 0
b. Transcodeur
Ce sont des circuits qui transforment une donnée en code machine en un autre code machine.
Exemple: Transformation binaire pur, binaire réfléchi ou binaire pur ASCII.
Table de vérité 1 0 1 1
1 1 1 0
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Un système logique séquentiel est un dispositif dont la sortie dépend non seulement de la
combinaison des variables d’entées mais aussi des états précédents de la sortie.
On distingue deux types de fonctionnement logique séquentiel:
Le fonctionnement séquentiel asynchrone qui fait intervenir les combinaisons des variables
d'entrée et l'étape précédente de la sortie.
Le fonctionnement séquentiel synchrone fait intervenir non seulement les combinaisons de la
sortie mais le fonctionnement est déclenché sous ordre d'une impulsion d'horloge. La sortie du
circuit n’est active qu’aux instants de basculement de l’horloge.
Définition de l’horloge : une horloge est une variable logique qui passe successivement de 0 à 1 et
de 1 à 0 d’une façon périodique.
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1.Les circuits asynchrones :
Une bascule est une micro structure séquentielle qui comprend une ou plusieurs entrées et 2 sorties
complémentaires. On l'appelle aussi élément mémoire ou multivibrateur bistable .
On suppose que chacune des deux entrées est à 0, le système étant, pour ainsi dire, au repos et on
cherche à déterminer les valeurs des variables de sortie. On suppose alors
que l’on a Q = 0. On a donc sur la porte NOR située en bas du schéma, deux entrées
à 0 ce qui doit donner une sortie à 1, soit Q = 1 (la notation est donc cohérente, a priori).
Cela a pour conséquence, sur la porte NOR située en haut du schéma, d’avoir une
entrée à 0 et une entrée à 1. La sortie de la porte NOR est donc bien à 0. Les différentes
valeurs des variables sont rassemblées sur la figure 1 et forment un état tout à
fait stable pour le système.
Figure 1
Figure 2
Si l’entrée S (et elle seule) passe à 1, Q passe à 0 et par conséquent, Q, en sortie d’une porte NOR
dont les deux entrées sont à 0, « bascule » à 1 (figure 3). La porte NOR située en bas du schéma a
ses deux entrées à 1, ce qui est cohérent avec une sortie à 0.
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Figure 3
On peut représenter ce fonctionnement par une sorte de table de vérité qui présente l’état de la
fonction Q en fonction de R, de S et de l’état précédent de Q. On note alors Qn cet état précédent et
Qn+1 le nouvel état de cette sortie. La figure 4 rassemble tous les cas possibles. On remarquera
que les combinaisons d’entrée ne sont pas placées dans l’ordre « numérique » mais plutôt dans
l’ordre logique de fonctionnement de la bascule. Par ailleurs, le cas R = S = 1 qui conduit à une
indétermination sera considéré comme interdit et ne fait donc pas l’objet d’un résultat.
Figure 4
Pour mieux illustrer le caractère séquentiel du système, il peut être intéressant de présenter
son fonctionnement sous forme de chronogrammes. La figure 8.8 illustre ainsi les différents
basculements de la sortie Q en fonction des transitions opérées sur les entrées R et S.
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b. La bascule JK :
𝐽 La bascule 𝑄
𝐾 JK 𝑄
―
J K Q
0 0 𝑄𝑛−1
0 1 0
1 0 1
1 1 𝑄𝑛−1
a. Bascule RSH :
Une bascule RS synchrone est une bascule qui réagit sur l'ordre d'un signal d'horloge.
Signal d'horloge: C'est généralement un train d'onde carré ou rectangulaire noté H, CK, CLK. Il
comporte deux fronts: un front montant et un front descendant.
b. Bascule JKH :
La bascule RSH possède un certain nombre d’inconvénients lorsqu’elle est associée à d’autres
systèmes. Ces inconvénients proviennent d’une relative incertitude quant à l’instant de basculement
des sorties. C’est pourquoi on dispose en général de bascules un peu plus complexes dont on
maîtrise beaucoup mieux le basculement. Il s’agit des bascules dites maître - esclave. La plus
utilisée d’entre elles est la bascule JKH.
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La bascule JKH possède trois entrées : J, K et T. La configuration que l’on place sur les entrées J
et K (00, 01, 10 ou 11) permet de définir l’action qui va être réalisée par la bascule et cette action ne
devient effective que lorsque l’entrée T subit une transition de 0 à 1. Tant que T reste à 0, les sorties
Q et Q restent inchangées (à leurs valeurs précédentes). La table de fonctionnement présente les
actions réalisées par la bascule JKH.
La première ligne du tableau signifie que quelles que soient les valeurs de J et de K (présence d’un
« X »), la sortie est bien inchangée si T reste à 0. En fonction de la configuration placée à l’entrée
de la bascule, sur les entrées J et K, quatre comportements différents peuvent se produire lorsqu’un
front montant est détecté sur T :
sortie inchangée (J = K = 0), sortie à 0 (K seul est égal à 1), sortie à 1 (J seul est égal
à 1) et inversion de la sortie (J = K = 1).
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Les états de J et K qui entraînent un changement de la sortie Q sur front montant :
K = 1, J = 0 : mise à zéro de Q
K = 0, J = 1 : mise à un de Q
K = J = 0 : mémorisation de Q
K = J = 1 : diviseur par 2 " état bascule "
Remarque :
Si on laisse les entrées J=K=1 à chaque front montant de l’horloge la sortie change d’état.
Nous avons crée un diviseur de fréquence par 2 ou modulo 2. C’est cette particularité qui est à
l’origine de tous les compteurs.
c. Bascule DH :
La bascule RS nous oblige à gérer deux entrées S et R et il existe le cas ou ces deux entrées
peuvent être égales. Pour remédier à ce problème on n’utilise qu’une seule entrée D
Bascule D (flip-flop ) :
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Bascule Latch D (Mémoire ) :
La sortie Q, recopie la valeur de la donnée D, ici lorsque C est à 1. Lorsque C est à 0,la valeur en Q
est mémorisée, la bascule est verrouillée.
La fonction qui s’impose pour dénombrer des événements numériques est le compteur.
Un compteur résulte de l’assemblage d’un ensemble combinatoire et séquentiel (bascules JK le
plus souvent) cadencé par un signal d’horloge H. La combinaison des n bits de sortie forme un mot
binaire qui évolue en croissant ou décroissant au rythme de l’horloge.
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Les compteurs binaires, constitué de n étages (bascules), voient leur sortie numérique évoluer
de 0 à 2n-1, puis repasser à 0, soit un cycle de 2𝑛 états différents ( Compteur modulo N , N= 𝟐𝒏 ).
on appelle modulo d’un compteur le nombre d’états différents que peut prendre la valeur de sortie
sur l’ensemble du cycle de comptage.
La réalisation d’un compteur asynchrone consiste à mettre en cascade des bascules (assurant la
fonction de diviseur par deux), détecter la combinaison de remise à zéro puis l’appliquer aux entrées
de remise à zéro de chaque bascule.
On dispose dans ce cas 4 bascules J-K en cascade. Les entrées sont à l’état haut J=K=1.
Il en résulte qu’à chaque front descendant de H, les sorties sont inversées.
On vient de réaliser un compteur modulo 16. Comme pour cet exemple, l’horloge n’est pas
forcément régulière.
Un montage synchrone impose que toutes les bascules changent d’état en même temps. Pour cela,
il faut que les bascules soient connectées avec une même entrée d’horloge
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TD N°1
Exercice 1 :
Solution :
a
L’opérateur NON : S
a
L’opérateur ET : S
b
L’opérateur OU : a
1
S
b
1
Exercice 2 :
Solution :
A B C F
0 0 0 0
On a 3 variables 0 0 1 1
A,B et C donc
23 =8 lignes 0 1 0 0
Ces variables 0 1 1 1
sont inscrites
1 0 0 0
dans le tableau
en respectant le 1 0 1 1
code binaire
normal 1 1 0 0
1 1 1 1
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Exercice 3 :
F ( A, B, C ) A.B B.C
Solution :
A B C F
0 0 0 0
0 0 1 1
0 1 0 0
0 1 1 0
1 0 0 0
1 0 1 1
1 1 0 1
1 1 1 1
Exercice 4 :
Exercice 6 :
B F
Solution :
F ( A, B, C ) A.B B.C
Exercice 7 :
F ( A, B, C, D) ( A B) . ( B C D ) . A
Exercice 8 :
F A.B A.B
2. Refaire le logigramme de F en utilisant des portes NAND.
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TD N°2
Exercice 1 :
Simplifier les fonctions données par les tables de Karnaugh suivantes :
3. Fonction à 3 variables
F = AB + AC + BC
4. Fonction à 3 variables
F = AB + C
5. Fonction à 4 variables
F = CD + ABD + ABCD
Exercice 2 :
En utilisant la table de Karnaugh, trouver la forme simplifiée de la fonction suivante :
F A B C D A B C D A B C D AB C D
AB C D AB C D AB C D AB C D
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Exercice 3 :
On considère la fonction définie par l’expression suivante :
Exercice 4 :
Donner les CPP et CPS des fonctions ci-dessous, ensuite trouver les formes minimales :
CPP CPP
CPP CPP
CPP
Exercice 5 :
Trouver la forme minimale de la fonction définie par la table de Karnaugh suivante :
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𝐹 = 𝐶 𝐷 + 𝐴𝐵
Exercice 6 :
On souhaite réaliser un circuit Transcodeur à 4 bits permettant le passage du binaire naturel (A =
a3a2a1a0) vers code Gray (B = b3b2b1b0).
TD N°3
Exercice 1 :
On considère les équations logiques suivantes :
S1 AB ABC BC ABC
Solution :
BA
DC 00 01 11 10
S2 AB ABCD ABCD ABCD ABCD
00 1 0 0 1
Après simplification par table de karnaugh :
01 1 1 0 0
11 1 1 0 0 𝑆2 = 𝐵𝐶 + 𝐴𝐶
10 1 0 0 1
Exercice 2 :
On veut réaliser un circuit combinatoire permettant de faire l’addition de A et B chacun codé sur un
bit (demi-additionneur). Ce circuit possède 2 sorties : S (la somme) et R (la retenue).
A B S R
0 0 0 0 𝑆 = 𝐴𝐵 + 𝐴𝐵 = 𝐴 + 𝐵
0 1 1 0 𝑅 = 𝐴𝐵
1 0 1 0
1 1 0 1
3.
So
ao
D.A
bo Ro
a1
D.A
b1
D.A S1
Exercice 3 :
On considère le schéma logique suivant :
Solution :
C17 C20 S
0 0 1
0 1 _
1 0 0
1 1 1
C17 0 1
C20
1 0
0 𝑆 = 𝐶17 + 𝐶20
1 _ 1
Problème 2 :
On souhaite réaliser un circuit Transcodeur à 4 bits permettant le passage du binaire naturel (A =
a3a2a1a0) vers code Gray (B = b3b2b1b0).
Solution :
a3 a2 a1 ao b3 b2 b1 bo
0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 1 0 0 0 1
0 0 1 0 0 0 1 1
0 0 1 1 0 0 1 0
0 1 0 0 0 1 1 0
0 1 0 1 0 1 1 1
0 1 1 0 0 1 0 1
0 1 1 1 0 1 0 0
1 0 0 0 1 1 0 0
1 0 0 1 1 1 0 1
1 0 1 0 1 1 1 1
1 0 1 1 1 1 1 0
1 1 0 0 1 0 1 0
1 1 0 1 1 0 1 1
1 1 1 0 1 0 0 1
1 1 1 1 1 0 0 0
a3 a2
a1 ao 00 01 11 10
Ce tableau est pour bo :
00 0 0 0 0
1ère forme canonique :
01 1 1 1 1
11 0 0 0 0 𝑏𝑜 = 𝑎1 𝑎𝑜 + 𝑎1 𝑎𝑜 = 𝑎1 𝑎𝑜
𝑏𝑜 = 𝑎1 + 𝑎𝑜 (𝑎1 + 𝑎𝑜)
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a3 a2
a1 ao 00 01 11 10 Ce tableau est pour b2 :
00 0 1 0 1 1ère forme canonique :
01 0 1 0 1
𝑏𝑜 = 𝑎3 𝑎2 + 𝑎3 𝑎2 = 𝑎3 𝑎2
11 0 1 0 1
2ème forme canonique :
10 0 1 0 1
𝑏𝑜 = 𝑎2 + 𝑎3 (𝑎2 + 𝑎3)
a3 a2
a1 ao 00 01 11 10
00 0 0 0 0
Ce tableau est pour b3 :
01 1 1 1 1
b3 = a3
11 1 1 1 1
10 0 0 0 0
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TD N°3
Problème 1 :
Quatre responsables (A, B, C, D) d’une société peuvent avoir accès à un coffre. Ils possèdent chacun
une clé différente (respectivement a, b, c et d). Le responsable A ne peut ouvrir le coffre qu’en
présence du responsable B ou C. Les responsables B, C et D ne peuvent ouvrir le coffre qu’en
présence d’au moins deux autres responsables.
8. Etablir la table de vérité de la variable de sortie S (ouverture du coffre) en fonction des clés
a, b, c et d.
Problème 2 :
Un monte-charge est tiré par un câble entraîné par un moteur possédant deux sens de rotation :
« M » pour la montée et « D » pour la descente. Deux interrupteurs de fin de course : « a » pour
indiquer la position basse et « b » pour indiquer la position haute, servent à arrêter le monte-charge
au niveau désiré (voir figure ci-dessous).
A l’arrêt, le monte-charge est en position basse et seul l’interrupteur « a » est actionné. L’opérateur
actionne le bouton poussoir « m » afin que le monte-charge monte. L’action sur « m » est maintenue
pendant toute la phase de la montée. Dés que le monte-charge arrive en position haute, il actionne
l’interrupteur « b » et s’arrête. L’opérateur relâche alors le bouton « m » et le monte-charge
s’immobilise.
Problème 6 :
On dispose, sur une automobile, de 4 commandes indépendantes : Cv pour les veilleuses, Cc pour les 2
feux de croisement, Cr pour les feux de route et Ca pour les phares antibrouillard (valeur 1 au travail,
0 au repos).
On note les états des lumières V pour les veilleuses, C pour les feux de croisement, R pour les feux
de route et A pour les feux antibrouillard (valeur 1 à l'allumage, 0 à l'extinction). Les veilleuses
n'étant pas comptées comme des phares, il est précisé que:
4 phares ne peuvent être allumés simultanément,
les feux de croisement ont priorité sur les feux de route et sur les antibrouillards,
les antibrouillards ont priorité sur les feux de route,
les veilleuses peuvent être allumées seules mais l'allumage des feux de croisement ou des
feux de route ou des antibrouillards entraîne obligatoirement l'allumage des veilleuses.
1. Donner la table de vérité reliant les entrées au sorties du système.
2. Donner les équations minimales de sortie.
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Année 2014-2015
Exercice 1 : (7 points)
10. Faire les opérations suivantes sur 8 bits en utilisant le complément à 2, puis convertir le
résultat en décimal :
a. (-126)+(-113) = ?
b. (-146)+(-122) = ?
c. Conclure.
11. Effectuer la conversion des nombres suivants (détailler les étapes) :
(965,34)10 = ( ? )BCD ;
(35,875)10 = ( ? )8 ;
Exercice 2 : (6 points)
On veut réaliser un circuit logique qui compte à ses entrées le nombre des bits « 1 » d’une information codée
sur 4 bits. Le nombre trouvé est codé en binaire naturel.
2°) Dresser les tables de Karnough de ses sorties. En déduire les équations en 1ière forme canonique.
Exercice 3 : (6 points)
Soit une balance permettant de vérifier la masse de paquets.
Cette balance munie de trois capteurs de masse (a, b et c) associée à un voyant H dont le fonctionnement est
le suivant:
Le voyant est allumé si :
o absence de paquet
o 1 kg < Masse < 3 kg
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Niveau : 1èrannée
Durée : 1heure
Sans documents
Contrôle Automatisme
Exercice 1 : (7 points)
13. Préciser l’intervalle des nombres signés en complément à 2 qu’on peut représenter sur 8 bits.
14. On veut réaliser un circuit qui permet de vérifier si le nombre de « 1 » d’une information
codée sur 3 bits est impair. Si le nombre de « 1 » se trouve impair, un voyant lumineux S
s’allume.
Exercice II : 6 points
Soit la fonction suivante :
Le monte-charge doit fonctionner s’il est à vide ou pour les charges comprises entre 20 et 80 Kg.
L’autorisation de fonctionnement de ce monte-charge est signalée par la lampe S.
A = a3 a2 a1 a0
Circuit combinatoire
Q1
Seq1 Cmb1
h Q0
Horloge S = s3 s2 s1 s0
externe
H
On propose d’étudier ici le circuit combinatoire Cmb1 et le circuit séquentiel Seq1 :
Le circuit Cmb1 permet de faire deux opérations selon la valeur de la commande c. Le choix entre
ces deux opérations s’effectue par c. Si c=1 le circuit Cmb1 effectue à sa sortie un décalage d'un bit
vers la gauche du nombre A, si c=0 le circuit Cmb1 effectue à sa sortie un décalage d'un bit vers la
droite du nombre A.
15. Afin de simplifier l’étude, on va étudier dans un premier temps le cas d’un seul bit (cas où
A=ai avec ai=0 ou 1). La valeur de ai sera renvoyée soit vers Si-1 ou vers Si+1.
16. Maintenant, le nombre A considéré est codé sur 4 bits (A=a3a2a1a0) avec a0 est le bit LSB.
L’automatisme
Sachant que si on effectue un décalage d’un bit vers la gauche, on renvoie un zéro vers la
sortie du bit LSB. On affecte aussi à la sortie du bit MSB un zéro si un décalage d’un bit vers
la droite est effectué.
a. En utilisant les résultats de la question 1.a, déduire les équations de sortie en 1iére forme
canonique pour le cas C=1 et le cas C=0.
Un capteur (b) pour déceler le niveau bas du liquide (capteur actionné (l’état 1)
lorsque le niveau du liquide est inférieur ou égal à la position du capteur).
Un capteur (h) pour déceler le niveau haut du liquide (capteur actionné (l’état 1) =
niveau liquide).
- La vanne d’alimentation en eau (1C) doit s’ouvrir (l’état 1) lorsque le niveau bas est
détecté ou/et par action manuelle (l’état 1) sur le bouton m.
- La vanne 1C doit se fermer et la vanne (1D) doit s’ouvrir (l’état 1) lorsque le niveau haut
est atteint.
- si une action manuelle sur le bouton m se coïncide avec un niveau haut, la vidange du
réservoir est prioritaire.
Remarque : on considère que l’état intermédiaire entre les deux niveaux bas et haut est
une opération de vidange.
2°) Dresser la table de karnaugh pour chaque sortie. En déduire les équations de
commande en 1ière forme canonique.
3°) Réaliser le circuit de commande avec des portes NAND à 2 entrées uniquement.
On affiche niveau bas par la lettre « b » et le niveau haut par la lettre « H » et le niveau
intermédiaire par la lettre «I »
2°) Etablir les tables de karnaugh uniquement pour les segments c et d. En déduire leurs
équations de commande en 1ière forme canonique.
L’automatisme
Partie III : Génération du signal de commande (3 points)
2°) Etablir la table de karnaugh pour chaque entrée des bascules et en déduire les
équations en 1ière Forme canonique.
Ce système combinatoire commande une alarme S. S est active chaque fois que la température sort
de l'intervalle [17°C 20°C[.
17. Dresser la table de vérité de ce circuit.
18. En utilisant la table de Karnaugh, donner l’équation minimale de sortie en 1ére forme
canonique.
On veut gérer le déplacement d’un monte-charge qui doit assurer le transport de colis dont
- Lorsque aucune charge n’est embarquée (poids< 5kg) aucun contact n’est activé.
On utilise ces trois informations logiques pour commander (signale MC active à l’état 1) le
déplacement du monte-charge. Le monte charge doit se déplacer lorsque le poids est compris entre 10
et 60 kg
En plus de la commande de déplacement du monte-charge, il y a une Alarme notée Al qui sera mise
à l’état 1 uniquement dans les cas ou le monte-charge ne peut pas se déplacer.
1) On considère que les capteurs ne sont jamais défaillants .Dresser la table de vérité du système.
Donner l’état du système pour chaque combinaison d’entrée.
2) Etablir les tables de karnaugh pour chaque sortie. En déduire les équations en 1 ière forme
canonique.
3) Donner le schéma de circuit avec les portes Nand à deux entrées uniquement.
L’automatisme
Document réponse
Pr
Cl
Q
L’automatisme
Année 2014-2015
Dans une usine de briques, on effectue un contrôle de qualité selon quatre critères :
Le poids P, la longueur L, la largeur M, la hauteur H. En fonction de ces critères, les briques sont
classées suivant 3 catégories :
Qualité A : poids et au moins deux dimensions sont correctes.
Qualité B : seul le poids est incorrect, ou le poids est correct et deux dimensions au
moins sont incorrectes.
Qualité C : le poids P est incorrect ainsi qu'une ou plusieurs dimensions
.
19. Dresser la table de vérité de ce système.
20. Simplifier les équations de sortie en utilisant la table de Karnaugh.
21. Dessiner le logigramme à l'aide de 2 circuits intégrés contenant 3 portes NAND à 3 entrées
et de 1 circuit intégré contenant 4 portes NOR à 2 entrées.
Exercice :
Quel est le comportement du circuit suivant en supposant qu'initialement Q1=Q2=0 :
L’automatisme
Exercice :
On considère le schéma ci-dessous :
H est une horloge de fréquence égale à 1 KHz. A l’état initial la sortie S est à 0.
2. Quelle est la durée de l’impulsion du signal de sortie S ? Quelle sera la durée de l’impulsion
du signal de sortie S si le signal 𝐶𝑙𝑒𝑎𝑟 est relié à Q2 au lieu de Q3 ?
En déduire l’équation du signal 𝐶𝑙𝑒𝑎𝑟 qui nous permettrait d’obtenir une impulsion de 3 ms.
L’automatisme
Année 2014-2015
Niveau : 1ère année
Sans documents
Examen de rattrapage
Automatisme
Problème I : (7 points)
On dispose, sur une automobile, de 4 commandes indépendantes : Cv pour les veilleuses, Cc pour les 2 feux
de croisement, Cr pour les feux de route et Ca pour les phares antibrouillard (valeur 1 au travail, 0 au repos).
On note les états des lumières V pour les veilleuses, C pour les feux de croisement, R pour les feux de route
et A pour les feux antibrouillard (valeur 1 à l'allumage, 0 à l'extinction). Les veilleuses n'étant pas comptées
comme des phares, il est précisé que:
4. Dresser les tables de karnaugh et en déduire les équations minimales de sortie en 1ière forme
canonique.
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Problème II : Station de pompage (13 points)
P1 P2
F F
N2
N1
N1 et N2 : Capteurs de niveau (contacts actionnés à 1 avec les flotteurs lorsque le niveau d'eau
baisse) qui sont à l'état logique 0 si le niveau d'eau leur est supérieur.
P1 et P2 : Pompes.
C: Interrupteur.
Fonctionnement
Si le niveau d'eau > N2 alors aucune pompe ne fonctionne quelque soit l’état de l’interrupteur C.
Si le niveau d'eau < N2 et le niveau d'eau > N1 alors une seule pompe fonctionne :
Pompe P1 si C=0
Pompe P2 si C=1
Si le niveau d'eau < N1 alors les deux pompes fonctionnent quelque soit l’état de l’interrupteur C.
2°) En déduire la table de vérité du système. Dresser les tables de karnaugh et en déduire les équations
minimales en 1ière forme canonique.
3°) Réaliser le circuit de commande avec des portes NAND à deux entrées uniquement.
L’automatisme
Partie II : Comptage séquentiel
On veut comptabiliser le nombre de fois où le réservoir se rempli durant un cycle, par un compteur
synchrone modulo 8 à base de bascules JK.
1°) Etablir la table de vérité de ce compteur (l’état initial du compteur est 0).
2°) Donner les tables de karnaugh pour chaque entrée de bascule. En déduire les équations en 1ière forme
canonique.
3°) Donner le schéma du compteur. Préciser l’horloge et son front actif du compteur en utilisant la partie I.