615-Formation IWT (Part 4c)
615-Formation IWT (Part 4c)
615-Formation IWT (Part 4c)
1 Principe :
Source de chaleur : jet de plasma très concentré permettant une fusion très rapide et profonde des pièces
obtenu par constriction d’un arc TIG passant par un orifice très étroit d’une tuyère refroidie en même temps
que le gaz inerte dit plasmagène.).
Métal d’apport : Possible, mais rarement utilisé car déviation de l’arc
Protection gazeuse (du bain de fusion et plasma): Gaz inerte diffusé à l’aide d’une buse entourant la
tuyère.
Electrode : En général en tungstène.
Alimentation électrique : CCS plongeante souvent verticale en polarité directe
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1.14.2.1.2 Tuyère à arc soufflé :
Le plasma débouche que sur 1 longueur très faible, la pièce n’est atteinte que par le jet de gaz chaud
(chauffage par effet joule dans le plasma que sur une toute petite partie de son parcours).
Rendement de l’ordre de 30% .
L’arc soufflé convient à la projection à chaud (poudre de revêtement amenée au droit de l’arc).rarement en
soudage encore plus rarement en découpage
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- Appelé aussi « keyhole », les tôles à assembler sont
placées bord à bord, sans jeu. La torche est disposée au
dessus du joint à réaliser. Le jet plasma est conditionné
pour traverser toute l’épaisseur et déboucher sur l’autre
face des tôles. Le trou réalisé est de l’ordre de 1 à 3 mm.
Le métal fondu autour du jet se trouve maintenu par les
tensions superficielles et la pression de l’arc.
Ce métal fondu passe autour du jet de l’avant à l’arrière et se
solidifie, la section transversale du cordon est semblable à la
forme d’un verre à pied.
Utilisation de métal d’apport possible.
Technique utilisable pratiquement qu’en automatique.
la protection envers comme le TIG
Le faisceau d’électron : n° 76
1.14.11 Principe
Consiste à utiliser dans le vide (10-3 à 10-5 torr), un faisceau d’électrons que l’on focalise sur le joint à
souder. L’énergie cinétique des électrons est transformée en énergie calorifique au moment de leur impact
sur les pièces provoquant ainsi la fusion. Le faisceau d’électrons est généré par un canon lui-même placé
sous vide.
Formation d’un capillaire de vapeur métallique qui maintient le métal liquide plaqué sur les parois du
keyhole.
Energie du faisceau est d’environ 1000 fois supérieur au TIG
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1.14.12 Définition
Le soudage par faisceau d’électrons, comme le soudage laser, fait partie des procédés de soudage dits « à
haute énergie ». C’est un procédé caractérisé par une concentration très importante d’énergie en un point
donné. Cette concentration thermique du faisceau très focalisé, permet d’obtenir des densités de puissance
de l’ordre de 10 à 100 MW par cm2. Contrairement aux procédés conventionnels, les procédés à haute
énergie ne réalisent pas la fusion des matériaux à souder par transfert thermique de la surface vers
l’intérieur de la pièce mais bénéficient de la formation d’un capillaire ou «keyhole» rempli de vapeurs
métalliques. La formation de ce capillaire permet donc un transfert direct de l’énergie au c°ur de la
matière, permettant ainsi l’obtention de cordons de soudure beaucoup moins larges que pénétrants.
1.14.20 Avantages
Soudage de pratiquement tous les matériaux.
Epaisseur de soudage élevée (200 mm en corniche sur acier) « P (kw) X 2= e (mm)
Faible déformation.
ZAT étroite
Très faible oxydation des joints soudés (absence d’air).
Soudage de matériaux très réactifs à l’oxydation (zirconium, tantale, titane).
Grande vitesse de soudage, supérieur au mètre/minute.
Soudage de matériaux hétérogènes sans métal d’apport (cuivre/inox).
1.14.21 Inconvénient
Investissement très important.
Matériel très sophistiqué
Préparation des bord à soigner par usinage (Ra :3,2micron)
Pièce limitées en tailles a la chambre sous vide
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Soudage sous vide poussé.
Les matériaux à souder doivent être amagnétiques ou démagnétisés.
Impossibilité de souder des matériaux contenant du magnésium et du zinc (volatils)
1.14.23 Principe
Procédé à haute densité d’énergie, (1000 à 10000 fois plus
élevé que les autres procédés de soudage) obtenu par la
production d’un faisceau laser.
LASER : Light Amplification by Stimuled Emission of Radiation qui veut dire amplification de la lumière par
émission stimulée de radiation. En fait, il s’agit d’une transformation d’une énergie électrique en une
énergie lumineuse.
A ce jour, il existe, deux types de laser énergétique, les lasers à solide (YAG) et les lasers à gaz. Les
premiers émettant de façon impulsionnelle alors que les seconds émettent en continu
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1.14.26 Les LASER YAG continus
Le milieu actif est excité par une ou deux lampes
flash émettant en "continu", l'ensemble constituant
la chambre de pompage. Il est possible d'assembler
plusieurs chambres de pompages et ainsi de
réaliser des lasers pouvant aller jusqu'à une
puissance de 5000W. L'amplification du faisceau
d'énergie s'effectue par allers et retours successifs
dans le milieu amplificateur. Le faisceau émis est
guidé vers le ou les postes de travail par des miroirs
fixes ou mobiles, ou par des fibres optiques.
Isotherme
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Le déplacement de ce capillaire de vapeur provoque de proche en proche la fusion en amont et la
solidification en aval.
2 Régimes de soudage :
NON DEBOUCHANT DEBOUCHANT
Contrôle de la profondeur
Bon dégazage , peu de porosité
Cordons plat et régulier.
Avantage Pas de défaut type spikes
Bonne tenue du bain en PA
Toutes positions
Pas de risque d’effondrement
Pas de limite en PC
1.14.28.1.3 Inconvénient
Risque de fissuration à chaud du fait du cycle thermique bref pour les aciers inox, alliage de Ni et acier
avec S+P
Problème de réflexion du faisceau laser pour les alliages d’Al de Cu
Investissement encore élevé.
Risque de sécurité
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1.14.30 Type de l’installation
Installation avec fibre optique pour laser Yag et bras robotisé
Installation en temps partagé
1.14.35 Sécurité
L'utilisateur peut être exposé à des rayonnements directs ou indirects d'un faisceau laser. Pour sa sécurité,
il doit utiliser un dispositif laser de classe 1 dont la valeur ne dépasse pas 1000 W/m². Les risques
encourus peuvent être très graves (brûlures cutanées et oculaires, lésions irréversibles sur l'°il dans
certains cas laser classe 4).
Signalisation Européenne
Signalisation ANSI
Définition
Le coupage thermique est une opération qui consiste à sectionner par fusion, le métal ou l’alliage à
découper en provoquant sa fusion localisée au moyen d’une source de chaleur en mouvement
Les deux principaux procédés:
- Oxycoupage (combustion du fer par un jet d’oxygène)
- Coupage plasma Le métal fondu est éliminé par l’effet du jet
- Coupage laser par quasi vaporisation
Il demeure sur les bords de la coupe une zone affectée par le cycle thermique engendré par l’ opération.
Principe
L’oxycoupage est une opération de coupage par combustion localisée et continue sous l’action d’un jet,
agissant en un point préalablement porté à une température d’environ 1800°C, dite température
d’amorçage. La quantité de chaleur dégagée par la combustion du métal dans l’oxyde doit être suffisante
pour atteindre et maintenir la température d’amorçage de la réaction thermochimique. La température de
fusion de l’oxyde du métal doit être inférieure à la température du métal sinon les oxydes restent solides et
crée un écran thermique qui arrête la combustion chimique. L’alu, le cuivre, le nickel est ses alliages ne
s’oxycoupent pas.
Le coupage plasma met en °uvre une énergie concentrée sous forme d'un jet plasma à très haute
température (15000 à 20000°C) qui fond le métal à son point d'impact et éjecte le métal fondu hors de la
saignée par sa force vive. Ce jet plasma est généré par un arc électrique qui s'établit entre une électrode,
interne à la torche et la pièce. Cet arc est placé dans un courant de gaz qui assure la génération du
plasma. Il s'échappe par un petit orifice qui lui confère finesse et rigidité. Le coupage plasma peut intervenir
sur tous matériaux conducteurs d'électricité.
Un faisceau laser focalisé par une lentille procure des densités d'énergie permettant d'obtenir la fusion ou
la vaporisation quasi instantanée de presque tous les matériaux. L'éjection par un gaz d'assistance de la
matière fondue ou vaporisée combinée à un déplacement donne une ligne de coupe. La découpe laser
peut être effectuée au moyen d'un laser CO2 ou d'un laser YAG, il existe aussi les lasers à diode et
eximere
Plasma :
Rappel : plasma est le terme pour designer le quatrième état de la matière (solide, liquide, gazeux, plasma)
Plasma Argon hydrogène :
- Destiné principalement forte épaisseur pour acier inoxydables ou aluminium de 25 à 150mm
Plasma air comprimé (vortex air) ou ZIP :
- Tôle fine jusqu’a 5mm
Plasma azote avec injection d’eau :
- De 3 à 70mm pour tout type de matériaux
Plasma oxygène avec injection eau :
- Acier au Carbone de 6 à 35mm
Plasma haute définition :
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- De 1 à 10mm
Laser :
Laser CO2 :
Puissance de 3Kw : 20mm Acier Carbonne
10mm Inox
4mm Alu (+ le métal est billant moins on peu couper épais
Oxycoupage
L’oxycoupage est un procédé de coupage obtenu par un jet d’oxygène et la combustion du métal grâce à
une source calorifique qui est une flamme oxyacétylénique (O2+C2H2).
Les paramètres de coupe sont l’épaisseur à couper (angle de chanfrein compris) qui détermine le diamètre
de buse, la pression de coupe en O2, la vitesse d’avance et la température de la flamme de chauffe.
Les aciers alliés peuvent être oxycoupés à condition que les éléments d’alliage ne dépassent pas : Cr<5%,
Mn<14%, Ni<25% et C<1%. A partir de C>0,3%, il est nécessaire de préchauffer pour éviter la fissuration à
froid.
L’oxycoupage est généralement utilisé sur les aciers non ou faiblement alliés, le manganèse et
théoriquement sur le titane avec des épaisseurs de coupe allant de 3 à 1500mm. On reprend les bords
pour enlever les scories d’oxycoupage (oxydes).
Il est utilisé avec différents gaz :
Acétylène : flamme fortement focalisée, 93% de la chaleur concentrée dans le dard.
Propane : flamme faiblement focalisée, la plus grande partie de la chaleur se trouve dans le panache.
Crylène : flamme comparable à l’acétylène, condition d’exploitation proche du propane.
Gaz de synthèse : pas utilisés en France.
Gaz naturel : faible coût, faible chaleur spécifique.
Arc air
Ce n’est pas à proprement parler un procédé de coupage mais on peut s’en servir ainsi. Il est généralement
utilisé pour la reprise envers et la réparation de cordons de soudure présentant des défauts.
On utilise une électrode en graphite recouverte d’une fine pellicule de cuivre pour améliorer la conductibilité
électrique (le Cu se volatilise pendant l’opération de gougeage). Un arc s’établit entre l’électrode et la pièce
ce qui réalise la fusion du métal proche. L’air comprimé chasse ce métal en fusion et souffle aussi l’arc qui
doit se réamorcer constamment (ce qui génère un bruit important).
La ZAT est faible car la vitesse de refroidissement est élevée (attention aux risques de trempe). Il est
primordial de reprendre les bords par meulage pour enlever l’oxydation et le carbone du graphite.
La découpe par jet d'eau consiste à utiliser l'énergie cinétique de particules d'eau (pure ou chargée de
particules abrasives) projetées à grande vitesse de l'ordre de 1000 m/s sur le matériau à découper. Cette
découpe est opérée en appliquant une pression avoisinant les 3800 bars sur un débit d'eau allant de 0,5 à
10 litres(s)/minute et est réalisée par arrachement de matière. La puissance du jet d'eau sous la pression
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Procédés 2010
peut être amplifiée en ajoutant des abrasifs, des polymères ou le mélange des deux. Permet des découpe
de forte épaisseur et de matériaux ne contenant pas de fer. Pas de zat.
Avantage inconvénient
poinçonnage
Oxycoupage plasma laser jet d'eau
grignotage
Epaisseur limite 1500 mm + 100 mm 20 mm 100 mm 10 mm
qualité + + ++ +++ ++
Investissement ++ +++ + + +
Prix rev ++ +++ ++ + +
Oxydation +++ ++ + + +
L’oxycoupage est un procédé de coupage obtenu par un jet d’oxygène et la combustion du métal grâce à
une source calorifique qui est une flamme oxyacéthylénique (oxygène + acétylène).
la température de fusion de l’oxyde du métal doit être inférieure à la température du métal sinon les oxydes
restent solides et créent un écran thermique qui arrêtent la combustion chimique. Ainsi, les aciers
inoxydables ne s’oxycoupent pas de part la présence importante de chrome. De même, les alliages
d’aluminium, de nickel et de cuivre ne sont pas oxycoupages car les oxydes de chrome, d’aluminium, de
nickel et de cuivre sont très réfractaires.
Les aciers alliés peuvent être oxycoupés à condition que les éléments d’alliage ne dépassent pas : Cr<5%,
Mn<14%, Ni<25% et C<1%. A partir de C<0,3%, il est nécessaire de préchauffer pour éviter la fissuration.
Procédés utilisables
- le chalumeau oxyacéthylénique
- TIG
- électrode enrobée
- Arc plasma transféré
- Mig /mag
- Laser
- Friction linéaire
- Arc sous flux
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Engendre une déformation longitudinale
1.17.3 Soudobrasage :
Brasage obtenu de proche en proche par une technique analogue à celle du soudage autogène par fusion
mais sans action capillaire ni fusion du métal de base, la température de fusion du métal d’apport étant
supérieure à 450°C.
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1.17.5 Brasage diffusion :
Le brasage diffusion est un procédé dans lequel l’assemblage des pièces est réalisé par chauffage à une
certaine température avec un métal d’apport qui passe par l’état liquide, lequel est déposé au préalable ou
formé in situ.
Le métal d’apport peut être formé entre les faces en contact ou distribué dans le joint par capillarité. Une
pression peut éventuellement être appliquée. Le métal d’apport diffuse dans le métal de base de manière à
ce que les caractéristiques du joint soient très voisines du métal de base. Une zone de métal fondu ne doit
plus exister dans le joint après le traitement de brasage diffusion.
Le mouillage
1.17.7 Principe
V
V LA
SA = Tension
V
superficielle Solide Air
LA = Tension
D
V
superficielle Liquide Air
V SA
SL = Tension
superficielle Solide Liquide
V SA
la
pièces a braser (puissance
>V LA+V SL)
Plus V SL devient petit, plus l’angle D devient proche de 0. Or V SL dépend de la propreté des pièces (état
Plus les surfaces seront propres, plus l’angle D tendra vers 0 ; meilleure sera la mouillabilité.
de surface)
Adsorption physique : rapprochement physique des atomes par des forces d’attraction électrostatique de
VAN DER WAALS
La diffusion
1.17.8 Principe
Diffusion => formation d’un alliage entre le métal d’apport et le métal de base
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1.17.9 Paramètres
Température, temps, contrainte, coefficient de diffusion.
1.17.10 Risques
Ce phénomène peut parfois entraîner une fragilisation du joint s’il y a formation de composé intermétallique
(ex brasage de l’argent avec titane - > formation de Ti3 Ag.)manque de ductilité
celà dépend
- de sa nature du composé
- de sa quantité
- de sa répartition
Capillarité
La loi de Jurin dit que la colonne de liquide soulevée est surtout variable suivant le rayon (jeu) de la colonne. Le jeu
intéressant en brasage est le jeu a chaud surtout si c’est des métaux de base différente
Si on plonge un tube capillaire dans un liquide, la colonne de liquide est en équilibre sous l’action des
tensions superficielles.
Ce phénomène est vérifier lors des essais sur les éprouvettes à jeu variable.
1.17.11 Dilatation
Si l’on brase des tubes de matériaux différents, il faut être vigilant sur
les coefficients de dilatation des deux matériaux pour obtenir un jeu
suffisant à chaud. Prévoir le métal le plus dilatable à l’extérieur pour
avoir un joint soudé en compression après refroidissement
La tension de vapeur
Température de volatilisation ou ébullition des métaux
Etats de surface
le flux
nettoyer les surfaces pour éliminer les films chimisorbés et produits absorbés
protéger le métal d’apport et les pièces de l’oxydation par l’air, au moment du chauffage du brasage
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Procédés 2010
- éliminer l’oxydation du métal d’apport du brasage
- s ‘étaler sur pièces à une température plus base
- réactions chimiques limitées en flux et métal d’apport
- efficacité à la température pendant la durée du brasage
- élimination facile des résidus
- stable lors du transport et du stockage
1.18ROBOTISATION
Définition
Mécanisme généralement composé d’éléments en série, articulés ou coulissant l’un par rapport à l’autre,
dont le but est la saisie et le déplacement d’objet suivant plusieurs degrés de liberté. Il est multifonctionnel
et peut être commandé directement par un opérateur humain ou par tout système logique.
Principe
L'automatisation des opérations de soudage présente beaucoup d'avantages :
- meilleure productivité
- aspect des cordons amélioré
- diminution des reprises dans le cas de cordons de grandes longueurs
- possibilité d'employer des paramètres de soudage plus élevés par l'utilisation de fils fourrés
- poste associé ou asservie au robot.
Il faut se définir un cahier des charges :
- La définition du besoin
- La définition des objectifs
- La recherche et la validation des solutions
- La rentabilité
- L'aspect social
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Procédés 2010