Drilling Rig Systems & Equipments PPG
Drilling Rig Systems & Equipments PPG
Drilling Rig Systems & Equipments PPG
Paix-Travail-Patrie Peace-Work-Fatherland
******** ********
Ministère de l’Enseignement Supérieur Ministry of Higher Education
******** ********
Université de Maroua The University of Maroua
******** ********
Faculté des Mines et des Industries Faculty of Mines and Petroleum
Pétrolières BP 08 kaéle Industries
******** ********
Objectifs du cours :
Acquérir les connaissances de base sur les appareils de forage et les BOP ;
Bien que les pièces d'équipement associées à ces systèmes varient en conception, ces
systèmes seront trouvés sur toutes les plates-formes de forage. Ces systèmes se retrouvent sur
des plates-formes de forage terrestres et extracôtières.
Les réservoirs d’hydrocarbures étant identifiés dans des régions géographiques et géologiques
très diverses et la location d’un Rig représentant environ un quart du cout total du forage du
puits, il est nécessaire de choisir l’installation de forage la mieux adaptée à un puits particulier
et à son environnement. On distingue des Rigs à terre (ou plateformes onshore) et des Rigs en
mer (ou plateformes off-shore).
La structure porteuse : partie servant à maintenir la partie utile au-dessus de l'eau, réalisée en
treillis tubulaire métallique, (jacket) ou constituée de colonnes en béton etc.
1- Plates-formes fixes
La plupart des plateformes fixes sont utilisées en mer peu profonde (<300 m). Ces
plateformes s'appuient sur le fond et peuvent donc être reliées de façon rigide aux têtes de
puits et aux pipelines.
1.1- Jacket-deck :
Quand la profondeur d'eau n'excède pas 50 mètres, les foreurs peuvent installer une plate-
forme fixe. Un jacket : une très grande tour en acier est posée au fond de la mer. D'énormes
"clous" passent au travers des piliers du jacket et, comme des pilotis, sont enfoncés dans le
sous-sol marin. Une grue flottante pose sur le jacket le pont qui supportera l'appareil de
forage.
Tout le matériel nécessaire au forage (tubes, boues...) et les utilités sont regroupés sur une
barge spéciale ‘’le tender’’ ancrée à côté de la plate-forme
Tour en béton dont la stabilité est due uniquement à son propre poids sur le fond océanique et
sur laquelle s'érigent les superstructures.
Fig2
Structure souple constituée d'un pont flottant ancré au plancher océanique au moyen de longs
tuyaux tendus en permanence.
Fig3
Fig5
L’objectif de ce paragraphe est d’identifier et de décrire les différents lieux opérationnels d’un
site de forage afin de comprendre le fonctionnement d’une installation de forage et pouvoir
mieux identifier ses dangers. La distinction entre un site en mer et un site à terre sera faite le
cas échéant.
1. Le plancher de forage
le plancher de forage est la zone située au bas du mât de forage ou est effectué l’ensemble des
manœuvres de forage : vissage et dévissage des tiges de forage, mise en place de l’outil de
forage, actionnement du treuil, etc. le plancher est de taille variable selon les installations et
comprend différents élément :
Les bassins à boue sont un ensemble de grands réservoirs en acier équipés d’agitateurs. Les
bassins à boue permettent de mélanger, stocker et faire circuler la boue. Les bassins sont
associés à des pompes à très hautes pression situées à proximité des bassins.
Sur un rig à terre, les bassins à boue sont à l’air libre. Ils sont généralement recouverts d’un
caillebotis
Fig12
Sur un rig en mer, les bassins sont situés dans une salle particulière, la salle à boue, qui est
fermée et pressurisée. Les bassins à boue sont généralement recouverts par un plancher en
taule étanche. La température régnant à l’intérieur de la salle boue est particulièrement élevée
en raison de la température de la boue (supérieur 100° c) et de la localisation des bassins dans
un espace confiné.
3. La mixing area
La mixing area est la zone ou sont mélangés les produits chimiques nécessaires à la
fabrication des boues. Elle est constituée de hoopers ou gros entonnoirs dans lesquels sont
introduits les produits chimiques, qui ensuite envoyés vers les bassins à boue le mélange des
produits chimiques est réalisé par un technicien de la société de service chargée des boues de
forage. Sur un rig à terre, cette zone est généralement située l’air libre tandis qu’elle est
généralement localisée dans une salle particulière, équipée d’un extracteur d’air sur un rig en
mer.
La boue en sortie de puits chargée de déblais de forage est envoyée vers un système de
traitement des solides afin d’éliminer les déblais et permettre une réutilisation de la boue. Le
système de traitement est généralement constitué d’un tamis vibrant, d’hydrocyclones et de
centrifugeuses.
5. L’unité de cimentation
Après la mise en place du tubage dans le puits, il est nécessaire de cimenter les tubes.
L’opération de cimentation est réalisée par une société spécialisée : une personne de la société
de service est chargée de réaliser le laitier de ciment et de le mettre en place dans l’espace
annulaire situé entre le tubage et la paroi du puits selon les spécifications du superviseur des
fluides de forage.
L’unité de cimentation est une unité à haute pression qui comporte des bassins permettant la
fabrication du laitier de ciment et des pompes puissantes nécessaire à l’injection du laitier. Les
moteurs nécessaires au fonctionnement de l’installation sont bruyants. L’unité comporte des
mélangeurs permettant le mélange des composants nécessaire à la fabrication du laitier de
ciment. Généralement, les mélangeurs sont surmontés d’un extracteur d’air.
6. Le laboratoire à boue
Sur les chantiers offshores et onshores, le laboratoire à boues est le lieu de réalisation des
analyses physiques et chimiques des boues. Le laboratoire est un local fermé comprenant
différents appareils d’analyse et de mesure. Les analyses sont réalisées par un technicien de la
société de service chargée du contrôle des fluides de forage.
SUPPORT DE FORMATION Copyrigth © Domra Kana Janvier2018
7. La salle des moteurs
Sur un rig terre, les moteurs sont situés l’air libre tandis que sur un rig en mer, les moteurs
sont localisés dans une salle fermée généralement non isolée acoustiquement
Les quartiers sont les lieux de vie des employés. Ils comprennent les logements, le restaurant,
les installations de loisirs en mer)
Sur un rig à terre, les bureaux sont utilisés à côté du site de forage tant disque les logements
sont généralement plus éloignés et localisés à quelques centaines de mètres du site. Cependant
il est à noter que certains logements sont parfois situés à proximité du site de forage
Sur un rig en mer, les logements et bureau sont localisés au même endroit
9. La cabine de mudloging
Après avoir détaillé les différents types et les postes de travail de l’édifice constitué par un
forage pétrolier, il faut décrire maintenant les moyens pour le réaliser. Ces moyens peuvent
être classés en deux catégories
ceux qui sont descendus dans le puits et concerne donc les équipements de fond :
outils de forage et garniture,
ceux qui sont en surface et dont les rôles principaux sont d’opérer ceux-ci sont
présentés dans la deuxième partie
1. Les outils de forage et leurs paramètres d'utilisation) (d’après Oilfield Catalog. Hughes
Tool Division, Hughes Tool Company)
Un outil à molettes est constitué de trois parties principales : les molettes, les roulements et le
corps de 1'outil. Les molettes présentent des rangées circonférentielles de dents s'intercalant
entre les rangées de dents des cônes adjacents. Les dents sont soit en acier usinées dans le
cône, soit des picots de carbure de tungstene sertis dans des perçages la surface des cônes. Les
molettes sont montées sur des arbres de roulements qui sont partie intégrante du corps de
1'outil.
Fig.16
Le tricône dit «conventionnel» comporte un simple passage de fluide dans l’axe de l’outil. Le
fluide lave l’outil par l’intérieur des cônes et avec moindre efficacité que des jets. L’outil à jet
comporte trois duses (jet nozzle) situées entre les bras du tricône (Fig. 17a). On peut régler le
jet à son efficacité maximale en changeant le diamètre de passage. La turbulence est efficace
pour des vitesses comprises entre 80 et 150 m/s. Les jets ont pour rôle de nettoyer les
molettes, de refroidir les paliers et surtout de refouler les cuttings vers l’espace annulaire. Sur
certains outils, des duses rallongées améliore les performances de nettoyage (fig17b)
1.1.2. Classification
G : protection renforcée
à diamants naturels;
à taillants PDC ou diamants polycristallins ;
taillants TSP ou diamants polycristallins thermostables.
Ces trois types sont spécifiques par la nature des éléments de coupe qui détruisent la roche de
manière mécaniquement différente : le diamant naturel abrase la roche et travaille comme une
macro meule, les diamants polycristallins cisaillent la roche en découpant des copeaux comme
un outil de tournage des métaux. La forme de tous ces outils de forage est monobloc ce qui
leur confère une certaine solidité.
Le diamant (carbone cristallisé) est le matériau le plus dur que l’on connaisse parmi les
minéraux. La résistance à l'encrassement est de 1‘ordre de 80 000 bars (carbure de tungstène
: 50 000; acierC.45 : 15 000). Son point de fusion est très élevé (3 650 °C) mais il se
transforme superficiellement en graphite vers 1 450 °C.
Comme tout choix d’outil, la décision de forer au diamant doit reposer sur une analyse de
cout. Certaines situations en forage suggèrent l’utilisation économique d'un outil diamant:
2) Lorsque la vitesse d’avancement est très faible (1.5 m/h ou moins), à cause d'une
densité de boue élevée, ou d'une puissance hydraulique insuffisante de l’appareil de forage.
3) En diamètre six pouces ou moins, ou la durée de vie des outils à molettes est limitée.
L'utilisation de l’outil diamant est limitée dans certaines formations fracturées très dures ou
les diamants peuvent être exposés à des chocs violents. Les formations contenant des silex ou
de la pyrite réduisent la durée de vie de l’outil diamant lorsque des morceaux se dessertissent
et roulent sous l’outil en endommageant les diamants.
Les outils à pastilles de diamants polycristallins existent soit avec corps acier, soit avec
matrice. Les corps en acier sont usinés puis recouverts de carbure de tungstène pour limiter
l’érosion. Les corps en matrice sont fabriqués à partir du même matériau au carbure de
tungstène que les outils aux diamants naturels.
L’inconvénient majeur des PDC est de ne pas supporter des températures au-delà de 800 °C.
Ceci interdit de les enchâsser dans une matrice carbure comme des diamants naturels. II faut
donne les fixer sur la matrice par brasure dans des logements prévus au moulage. Dans le cas
des corps aciers, les pastilles PDC sont également brasées sur des plots cylindriques qui seront
2. La garniture de forage
2.1 Introduction
La garniture de forage (drill stem) est parfois dénommée comme étant l’arbre de forage, c’est-
à-dire la mécanique de liaison entre une motorisation rotative en surface et l'outil de forage
(Fig. 22). Ses rôles principaux sont :
Leur rôle est essentiel dans la garniture car elles conditionnent la bonne utilisation de l’outil
de forage : c'est tout d'abord un test en acier dont la masse fournira la force duplication de
l’outil sur le front de faille.
Masse tige
Fig.23
Ce sont des tubes métalliques fabriqués selon les normes API. Elles sont constituées d'un
corps généralement uniforme et de 2 Tool-Joint de part et d'autre (1 Tool-Joint mâle ou PIN et
1 Tool Joint femelle ou BOX). Ces Tool-Joints sont filetés de manière à ce que les tiges soient
vissées les unes sur les autres pour former un train de tiges.
Une tige de forage est un tube cylindrique d'une dizaine de mètres de longueur, de faible
diamètre, à paroi épaisse, et fabriqué en acier (Fig. 25).
Les adaptateurs sont utilisés lorsque deux types ou tailles de filetages différents doivent être
connectés.
Sous forme d’une pyramide à base carré, l’objectif vise à obtenir certaine hauteur pour
remplacer le trépan et introduire le tubage
- Choix de la capacité :
Les tours de forage sont caractérisées par leur capacité API, les capacités API d’un Derrick
est définie comme étant la somme des résistances des quatre pieds pris en chacun, son poids.
La capacité d’un Derrick est donnée par la relation suivante :
( ) (1)
Ou
- Choix de la hauteur :
Il faut choisir une hauteur maximale pour faciliter les opérations. Cette hauteur est donnée par
la relation :
Ou
, et n le nombre de brin
Introduction
Un rig de forage peut être regroupés en six sous-systèmes. Ces systèmes sont: le système
d'alimentation; le système de levage; le système de circulation; le système rotatif; le système
de contrôle du puits et le système de surveillance du puits.
La plupart des appareils de forage sont requis pour fonctionner dans des endroits éloignés où
une alimentation électrique n'est pas disponible. Ils doivent donc disposer d'une méthode de
génération de l'énergie électrique qui est utilisée pour faire fonctionner les systèmes
mentionnés ci-dessus. Les générateurs d'énergie électrique sont entraînés par des moteurs à
combustion interne à moteur diesel (moteurs d'entraînement). L'électricité est ensuite fournie
aux moteurs électriques reliés au treuil de forage, à la table de rotation et aux pompes à boue
(figure 2). Le Rig peut avoir, selon sa taille et sa capacité, jusqu'à 4 moteurs principaux,
délivrant plus de 3000 chevaux. La puissance (hp) est une unité de puissance ancienne, mais
encore largement utilisée dans l'industrie du forage.
2) Système de levage
Le système de levage est un système de grande poulie qui est utilisé pour abaisser et élever
l'équipement dans et hors du puits. En particulier, le système de levage est utilisé pour élever
et abaisser le train de tiges et le tubage dans et hors du puits. Les composants du système de
levage sont représentés sur la figure. Le treuil est constitué d'un grand tambour tournant
autour duquel est enroulé un câble métallique (ligne de forage). Le tambour du treuil est relié
à un moteur électrique et à un système d'engrenage. Le foreur contrôle le treuil à l'aide d'un
embrayage et d'un système d'engrenage lors du levage de l'équipement hors du puits et d'un
frein (friction et électrique) lors de la mise en place de l'équipement dans le puits. La ligne de
forage est vissée sur un jeu de poulies situées en haut de la tour de forage, connu sous le nom
de moufle fixe et descendant vers un autre jeu de poulies mobiles connu sous le nom de
moufle mobile. Un grand crochet muni d'un dispositif de verrouillage est suspendu au
moufle mobile. Ce crochet est utilisé pour suspendre le train de tiges. Un élévateur est fixé sur
le moufle mobile pour récupérer les tiges de forage.
Comme cette ligne ne bouge pas, elle s'appelle la ligne morte. L'autre extrémité de la ligne de
forage est enroulée sur le treuil et s'appelle la ligne active. La ligne de forage est
généralement passée autour des blocs (poulies) plusieurs fois. La force de traction de la ligne
de forage et le nombre de brin dépendront de la charge qui doit être supportée par le système
de levage. On peut voir sur la figure 3 que la charge de traction (lb) sur la ligne de forage, et
donc sur la ligne active, Ff et la ligne morte Fd dans un système sans frottement peut être
déterminée à partir de la charge totale supportée par les lignes de forage, W (lbs.) et le nombre
de brin N:
Ff = Fd = W/N
Ff = W/EN
où E est l'efficacité du tableau 1. La charge sur la ligne morte limite ne sera pas une fonction
de l'inefficacité car elle est statique.
3) Système de circulation
Le système de circulation est utilisé pour faire circuler le fluide de forage vers le bas à travers
le train de tige et vers le haut de l'annulaire, en transportant les déblais à la surface. Les
principaux composants du système de circulation sont illustrés à la figure 6. Les principales
fonctions du fluide de forage seront abordées ultérieurement. Cependant, les deux fonctions
principales du fluide de forage sont:
De là, elle passe à travers la tige carrée, les tiges, les masse-tige et le trépan ; elle sort du
trépan sous forme d’un jet extrêmement puissant. Puis elle remonte vers la surface dans
l’espace inter annulaire entre le train de tige et la paroi du trou.
Elle est alors chargée des roches arrachées à la formation par le trépan, appelées déblais de
forage ou cuttings. En surface, elle passe ensuite sur un tamis vibrant qui retient les déblais les
plus gros. Puis, elle passe éventuellement par des hydro cyclones puis par un dessaleur, qui
enlève le sable et les silts par centrifugation. Dans le cas où la boue contient des gaz, elle est
envoyée dans un dégazeur enfin la boue retourne dans les bassins à boue pour un nouveau
cycle d’opération
SUPPORT DE FORMATION Copyrigth © Domra Kana Janvier2018
La puissance de sortie d'une pompe à boue est mesurée en HP. la puissance délivrée par une
pompe peut être calculée à partir de la formule:
4) système de rotation
Le système de rotation est utilisé pour faire tourner le train de tiges, et donc le l’outil, sur le
fond du trou de forage. Le système rotatif comprend tout l'équipement utilisé pour permettre
la rotation de l’outil de orage (Figure ).
Le système de rotation regroupe une table de rotation (rotary table), une tige d’entraînement
(kelly) et une tête d’injection.
Auparavant, la rotation du train de tiges était obtenue en faisant tourner une table de rotation
situé au niveau du plancher dans laquelle était engagée une tige carrée appelée kelly. Cette
tige étant vissée au train de tiges, la rotation de la table entrainait celle de la tige carrée et de
ce fait celle du trépan
Le couple moteur de la table de rotation est transmis à la tige d’entrainement (kelly) à travers
les quatre broches sur un dispositif qui court le long de la kelly, connu sous le nom du carré
d’entrainement. Le carré d’entrainement 4 broches, qui entrent dans les trous de poteau de la
SUPPORT DE FORMATION Copyrigth © Domra Kana Janvier2018
table de rotation. Lorsque le courant est fourni à la table rotative, le couple est transmis de la
table tournante au kelly par l'intermédiaire du carré d’entrainement. Les besoins en énergie de
la table de rotation peuvent être déterminés à partir de:
5) système de control(BOP)
Le contrôle primaire du puits est réalisé en s'assurant que la pression hydrostatique de boue
est suffisante pour surmonter la pression de formation. La pression hydrostatique est calculée
à partir de :
Afin de contrôler une éventuelle éruption, le BOP est raccordé à des lignes hydrauliques qui
permettent : d’injecter un fluide lourd dans le puits (Kill line), d’évacuer si nécessaire des
fluides du puits (Choke line). La configuration du BOP est définie en fonction des pressions
maximum qui seront rencontrées lors du forage. Celles-ci varient classiquement entre 5 000
psi et 15 000 psi (345 bar à 1 035 bar environ).
Sur chantier, le BOP est testé régulièrement à différentes pressions afin de s’assurer du bon
fonctionnement des différents éléments de cet organe de sécurité.
Une autre aide utile dans la surveillance du puits est la diagraphie de boue. Le mudlogger
inspecte soigneusement les déblais de roche prélevés dans le tamis (shaker) à intervalles
réguliers. En calculant l’intervalle de temps ou les descriptions changent en fonction de la
profondeur et, par conséquent, un journal des formations à forer peut être établi. Ce journal
est utile pour le géologue en corrélant bien avec d'autres dans le voisinage. Mudloggers
surveillent également le gaz présent dans la boue en utilisant la chromatographie en phase
gazeuse