Entretiens PFE
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Partie I : Généralités
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I. Cadre général de l’audit :
La mise en L’avènement du La découverte
L’audit trouve
place des capitalisme et de fraudes
sa légitimité
systèmes de la naissance du importantes
dans la théorie
contrôle par commissariat (l’affaire
d’agence
l’Etat aux comptes ENRON)
Audit
Audit Audit
Opérationnel
interne externe
Porter un jugement sur
le dispositif de contrôle
interne et donner les Certification
recommandations
nécessaires
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II. Typologie d’audit :
Audit externe
Audit interne
légal
4 natures
Une seule nature
Audit de Audit de
Audit d’efficacité Audit de stratégie
conformité management
Audit comptable et
financier
Comparer la réalité S’assurer de la
L’auditeur se base Vérifier la cohérence
à un référentiel et conformité entre
sur son entre la stratégie de
vérifier la bonne la politique d’une
appréciation l’entreprise, ses
application des fonction et la
personnelle et politiques et son
règles et stratégie de
professionnelle environnement
procédures l’entreprise
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1. Audit interne :
Atteindre les
Risques objectifs
Maitriser
l’activité
Gérer le
Contrôle risque
interne La mise en place d’un dispositif
de contrôle interne
Définition :
Le contrôle interne est un processus mis en œuvre par le conseil
d’administration, les dirigeants et le personnel d’une organisation,
destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des
objectifs.
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1. Audit interne :
Le contrôle interne :
COSO 2
COSO 1
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1. Audit interne :
Le contrôle interne :
Sincérité, fiabilité et
Efficacité et efficience
intégrité du système
des opérations
d’information
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Quelle est la différence entre « audit interne »
et « contrôle de gestion » ?
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1. Audit interne :
Points à retenir :
Assistant en management :
L’auditeur interne porte un jugement et une opinion sur un ensemble de dispositions et
procédures, appelé « le contrôle interne », et par conséquent sur la maitrise d’activité.
L’auditeur assiste, conseille, aide, mais ne décide pas. Ensuite, il donne les recommandations
pour l’amélioration de cet ensemble, d’où viennent les notions :
« Chien de garde » (audit interne) et ;
« Chien de guide » (contrôle de gestion).
L'auditeur doit relever d'un niveau hiérarchique de l'organisation qui va permettre au service de l'audit d'exercer
ses responsabilités (souvent le niveau hiérarchique le plus élevé).
L'auditeur ne doit subir aucune ingérence lors de la définition de son champ d'intervention, la réalisation de son
travail, et la communication des résultats.
L’auditeur doit être directement lié à la direction générale, pour qu’il ne soit pas surchargé par des tâches qui ne
doivent pas lui incomber.
C’est le cas des auditeurs que l’on chargent de définir et rédiger les dispositions, les règles et les
procédures dans telle fonction.
Comment portera-t-il une appréciation sur un ensemble de dispositions s’il en est lui-même l’auteur ?
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2. Audit externe :
Audit contractuel
(pour des fins de Audit externe légal
mission) (le commissariat aux
comptes)
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Partie II : Le commissariat
aux comptes :
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1. Le cadre légal :
La loi 9-88 relative aux obligations comptables du commerçant ;
Le Code Général de Normalisation Comptable (CGNC) ;
La loi 15-89 régissant la profession de l’expert-comptable ;
La loi 17-95 sur les sociétés anonymes ;
La loi 5-96 sur la société en nom collectif, la société en
commandite simple, la société en commandite par actions, la
société à responsabilité limitée et la société en participation ;
La loi 34-03 relative aux établissements de crédit et organismes
assimilés ;
Le Code Général des Impôts (CGI).
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2. Qui est concerné par l’obligation légale ?
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2. Qui est concerné par l’obligation légale ?
« Il doit être désigné dans chaque
société anonyme, un ou plusieurs La société anonyme
commissaires aux comptes chargés
d'une mission de contrôle et du suivi des
comptes sociaux … ».
« Toutefois, les sociétés faisant appel Faisant appel public Ne faisant pas appel
public à l'épargne sont tenues de à l’épargne public à l’épargne
désigner au moins deux commissaires
aux comptes ; il en est de même des
sociétés de banque, de crédit ,
d'investissement, d'assurance, de
capitalisation et d' épargne ».
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3. La nomination :
La nomination :
« Le ou les commissaires aux comptes sont nommés pour trois
exercices par l’assemblée générale ordinaire des actionnaires ».
Source : Article 163 de la loi 17-95
Civile
La
responsabilité
Disciplinaire Pénale
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4. Les responsabilités :
La responsabilité civile :
26
4. Les responsabilités :
La responsabilité pénale – Droits du CAC :
27
4. Les responsabilités :
28
4. Les responsabilités :
La responsabilité pénale – Devoirs du CAC :
Sera puni d'un emprisonnement de six mois à deux ans et d'une amende de
10.000 à 100.000 dirhams ou de l'une de ces deux peines seulement, tout
commissaire aux comptes qui, soit en son nom personnel, soit au titre d'associé
dans une société de commissaires aux comptes, aura, sciemment donné ou
confirmé des informations mensongères sur la situation de la société ou qui
n'aura pas révélé aux organes d'administration, de direction ou de gestion les
faits lui apparaissant délictueux dont il aura eu connaissance à l'occasion de
l'exercice de ses fonctions.
Source : Article 405 de la loi 17-95
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4. Les responsabilités :
La responsabilité disciplinaire :
30
5. Les incompatibilités :
Ne peuvent être désignés comme commissaires aux comptes :
Les fondateurs, apporteurs en nature, bénéficiaires d'avantages particuliers ainsi que les
administrateurs, les membres du conseil de surveillance ou du directoire de la société ou
de l'une de ses filiales ;
Les conjoints, parents et alliés jusqu'au 2e degré inclusivement des personnes visées au
paragraphe précédent ;
Ceux qui reçoivent des personnes visées au paragraphe 1 ci-dessus, de la société ou de
ses filiales, une rémunération quelconque à raison de fonctions susceptibles de porter
atteinte à leur indépendance ;
Les sociétés d' experts-comptables dont l' un des associés se trouve dans l' une des
situations prévues aux paragraphes précédents.
Si l'une des causes d'incompatibilité ci-dessus indiquées survient en cours de mandat,
l'intéressé doit cesser immédiatement d'exercer ses fonctions et en informer le conseil
d'administration ou le conseil de surveillance, au plus tard quinze jours après la survenance
de cette incompatibilité . Source : Article 161 de la loi 17-95 31
6. La mission générale du commissariat aux comptes :
Une mission générale du commissaire aux comptes comporte :
Une mission
d’audit
Rapport d’audit conduisant à
la certification
« Dans leur rapport à l' assemblée générale, le ou les commissaires aux comptes :
Soit certifient que les états de synthèse sont réguliers et sincères et donnent une
image fidèle du résultat de l' exercice écoulé ainsi que de la situation financière et
du patrimoine de la société à la fin de cet exercice ;
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Quelle est la différence entre « clôture »,
« arrêté », « approbation » et « publication » ?
34
Article 327 de la loi 17-95
L’intervention du
commissaire aux
comptes
35
Article 327 de la loi 17-95
36
Article 327 de la loi 17-95
Approbation de
l’assemblée
générale
ordinaire (dans
les 6 mois après
la clôture de
l’exercice)
37
Article 115 de la loi 17-95
38
Article 327 de la loi 17-95
Approbation de
Emission du rapport l’assemblée
Après l’arrêté d’audit par le générale
des comptes, et commissaire aux ordinaire (dans
comptes les 6 mois après
avant la tenue la clôture de
(à la fin de la mission)
de l’AGO. l’exercice
39
Article 327 de la loi 17-95
Approbation de
Emission du rapport l’assemblée
Après l’arrêté d’audit par le générale Publication des
des comptes, et commissaire aux ordinaire (dans états de synthèse
comptes les 6 mois après
avant la tenue la clôture de
(à la fin de la mission)
de l’AGO. l’exercice
40
Article 141 de la loi 17-95
41
7. La démarche générale d’audit légal :
42
7. La démarche générale d’audit légal :
Audit légal conduisant à
Comptables)
H3C
En France (Haut Conseil du
Commissariat aux
Normes d’Exercice
Professionnel
Comptes)
Au Maroc OEC
(Ordre des Experts Manuel des normes
d’audit
Comptables)
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7. La démarche générale d’audit légal :
Le manuel des normes d’audit au Maroc :
Normes relatives au
Normes relatives aux
comportement Normes de travail Normes de rapport
interventions connexes
professionnel
Compétence
Certification des états de
(inscription au tableau synthèse
de l’OEC, …)
Indépendance
(la non-immixtion dans Vérifications spécifiques
la gestion)
Secret professionnel
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
45
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
Obligation de moyen et non de Approche
par les
résultat : risques
Assurance
raisonnable
Obligation de et non
moyen et non absolue
de résultat
Collecte des
éléments
Article 169 de la loi 17-95 probants
via des
sondages
46
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
Obligation de moyen et non de résultat :
Article 169 de la loi 17-95
47
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
#1 : Prise de connaissance générale de l’entité
#1 : Prise de connaissance
générale de l’entité
49
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
50
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
51
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
52
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Détermination du seuil de signification :
Le seuil de signification (Materiality) est la mesure que peut faire le commissaire aux
comptes du montant à partir duquel une erreur, une inexactitude ou une omission peut
affecter la régularité et la sincérité des états synthèse ainsi que l’image fidèle du
résultat de l’exercice, de la situation financière et du patrimoine de la société.
Condition Agrégat Fourchette
Sociétés basées sur le profit et les Résultat Courant Avant 3% – 10%
revenus Impôts 0,5% – 1%
Chiffre d’affaires
Entités basées sur les fonds Total actif 1% – 2%
d’investissements ou les actifs 2% – 5%
Entités à but non lucratif Revenus bruts 0,5% – 2%
Dépenses 0,5% – 2%
53
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Détermination du seuil de signification :
Points à retenir :
54
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Détermination du seuil de signification :
Le seuil de planification « Performance Materiality » : Clearly Trivial
Threshold
C’est le montant estimé des anomalies qui ne
seront pas comptabilisées par la direction ; Performance
Il correspond au niveau d’erreur maximum Materiality
acceptable pour une assertion ;
Il ne peut excéder 90% de seuil de signification.
Materiality
56
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Identification des comptes significatifs :
Ces comptes sont identifiés en fonction :
58
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Identification et évaluation du risque d’anomalie significative au
niveau des assertions :
59
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Identification et évaluation du risque d’anomalie significative au
niveau des assertions :
I. Le risque d’anomalie
significative : Risque d’anomalie
significative
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Identification et évaluation du risque d’anomalie significative au
niveau des assertions :
Le risque inhérent est la possibilité qu’une Le risque lié au contrôle est le risque qu’une
assertion portant sur un flux d’opérations, un anomalie significative susceptible de se produire au
solde de compte ou une information fournie niveau d’une assertion portant sur un flux
dans les états financiers, comporte une d’opérations, un solde de compte ou une
anomalie qui pourrait être significative, information fournie dans les états financiers et qui
individuellement ou cumulée avec d’autres, pourrait être significative individuellement ou
avant la prise en compte des contrôles y cumulée avec d’autres, ne soit ni prévenue, ni
afférents ; l’auditeur le mesure à l’aide de deux détectée et corrigée en temps voulu par le contrôle
paramètres : interne de l’entité ; autrement dit, après la mise en
place des contrôle y afférents.
La probabilité de surveillance ;
L’intensité au sein de l’entité, plus ceux-ci
seront importants, plus l’étendue de travaux 61
sera élevée.
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
On arrive ainsi à faire apparaître les liens suivants entre les appréciations du risque faites par
l’auditeur :
Risque lié au contrôle
Niveau des diligences Elevé Moyen Faible
Elevé Maximum Elevé Moyen
Risque Moyen Elevé Moyen Faible
inhérent 63
Faible Moyen Faible Minimum
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Les assertions d’audit sont définies comme les critères dont la réalisation
conditionne la régularité et la sincérité, soit l’image fidèle des états de
synthèse. Autrement dit, elles sont les critères auxquels doivent répondre
les comptes.
L’exhaustivité ou l’intégralité : l’auditeur doit vérifier si toutes les opérations ont été enregistrées
dans les comptes annuels ;
L’exactitude : l’auditeur doit vérifier si toutes les opérations ont été enregistrées pour leurs
montants exacts ;
L’évaluation : l’auditeur doit vérifier si toutes les opérations enregistrées sont évaluées
conformément aux méthodes d’évaluation admises ;
La séparation des exercices – le cut-off : l’auditeur doit vérifier si tous les produits et charges sont
rattachés à l’exercice qui les concernent ; 65
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Les droits et obligations : l’auditeur doit vérifier que les actifs et les dettes se
rapportent à l’entité ;
La présentation des informations : l’auditeur doit vérifier que toutes les opérations
enregistrées sont conformes aux règles comptables admises ;
L’évaluation de risque au niveau des assertions est une étape très importante, car elle va
conditionner la suite de la mission, voire la planification de cette dernière, la nature et
l’étendue des contrôles eu égard aux seuils de signification. 67
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
69
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#1 – Prise de connaissance générale de l’entité :
Rédaction du plan de mission (le programme général de travail) :
Points à retenir :
Les programmes de travail rédigés pour la conduite de la mission visent à valider des assertions
d’audit. Dès lors, pour toutes les étapes qui viendront, l’objectif ultime derrière chaque test d’audit
est de valider des assertions.
L’expression de l’opinion finale (certifier ou ne pas certifier) dépend de la validation des assertions
citées ci-dessus .
Les éléments probants désignent les informations obtenues par l'auditeur pour aboutir aux
conclusions qui fondent son opinion. 70
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
#2 : Evaluation du
contrôle interne
71
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
72
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Tests de conformité
73
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
74
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Prise de connaissance des procédures :
Prise de connaissance
des procédures
75
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Tests de conformité
76
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Tests de conformité :
Tests de conformité
78
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Tests de contrôle et des procédures :
Tests de contrôle et des
procédures (en vue Les techniques utilisées : la
d’obtenir les éléments
probants) réexécution de certains contrôles
préalablement réalisés par
l’entité, l’observation physique,
Les procédures l’inspection, …
Efficacité des contrôles apportent bien les
résultats escomptés
79
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#2 – Evaluation du contrôle interne :
Points à retenir :
80
8. La démarche d’audit légal conduisant à la
certification :
81
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Rappel :
Lors de cette phase, l’auditeur procède par des tests substantifs, portant sur le détail
du solde des comptes ou d’opérations, en vue de réduire le risque d’audit.
82
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
L’inspection et
Quelques éléments l’observation physique
probants
83
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
La circularisation :
L’auditeur circularise les tiers, dont généralement les avocats, les banques, les clients et
les fournisseurs.
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test de réalité :
L’inspection concerne l’examen des livres comptables, et de documents (créés par les
tiers ou par l’entreprise).
Les pièces justificatives sont de différentes natures, tels les factures fournisseurs,
les relevés bancaires, les contrats, …
86
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le rapprochement :
Exemple :
Ainsi, l’auditeur met en évidence ces efforts pour comprendre les mouvements, et les
obtenir en valeur à partir d’autre documents (par exemple : le fichier des
immobilisations, l’analyse du compte, ….).
Analyse du Lettrage du
compte compte
90
Article 5 de la loi 9-88
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test de détail :
Exemple d’analyse de compte :
92
8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test de détail :
Ainsi, et comme indiqué, l’analyse du compte nous donne une idée sur l’antériorité.
Selon l’exemple précédent, on constate que le solde se compose des montants qui
remontent vers 2016.
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test d’exhaustivité :
Le test d’exhaustivité vise à s’assurer que toutes les charges ont été
comptabilisées.
Généralement les comptes concernés par ce test sont les comptes du poste
613, à savoir les redevances mensuelles. Donc, l’auditeur doit s’assurer de la
comptabilité des 12 redevances .
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test d’exhaustivité :
La séquentialité :
Prenant le même exemple, chaque redevance est matérialisée par une quittance de
paiement. Logiquement la première quittance est numéroté par 1 et ainsi de suite.
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8. La démarche d’audit légal conduisant à la certification :
#3 – Obtention des éléments probants (contrôle des comptes) :
Le test d’exhaustivité :
Le grand livre fait apparaître les mouvements du solde des comptes au cours d’une
période (solde au début de période, les mouvements, solde à la fin de période).