TFC Raph
TFC Raph
TFC Raph
« Celui qui chérit une belle vision, un idéal dans son cœur le réalisera un jour »
JAMES ALLEN
CONFUCIUS
DEDICACE
Je dédie ce travail
I.1. INTRODUCTION
I.3.1 GENESE
I.4 CLIMAT
Étant donné que, la MIBA se trouve dans la ville de Mbujimayi, au Kasaï Oriental,
cette dernière connait un climat tropical humide : on a de ce fait une saison des
pluies entre Août et Mai soit 9 mois et une saison sèche entre Mai et Août soit 3
mois. La moyenne thermique est de l'ordre de 24,7°C avec une température
minimale de 22,4°C et une température maximale de 27°C. Cependant, on atteint
de fois des températures allant jusqu'à 38°C pendant la journée.
I.5 HYDROGRAPHIE
Nous avons d'ouest à l'Est trois grands bassins hydrographiques caractérisant cette
région, à savoir :
Toutes ces rivières de direction moyenne d'environ 20° Nord-Est plus ou moins
rectilignes se jettent dans le Sankuru, soit vers la rivière MBUJIMAYI et la rivière
KANSHI, les deux rivières entre lesquelles se situent le polygone minier MIBA.
I.6 VEGETATION
I.7.1 INTRODUCTION
Le massif 1 est notre principale zone d'étude dans ce travail, alors dans les
paragraphes qui suivent nous allons essayer de le présenter avec plus de détails.
Le groupe Nord se trouve entre les rivières Kanshi et Mbuji-Mayi. Il est formé de 11
massifs dont le massif I. Le Massif 1 se trouve à Mbujimayi, chef-lieu de la province
du Kasaï-Oriental (RDC) dans la concession de la MIBA, communément appelé «
Polygone minier » qui se trouve au Sud-Est de la ville de Mbujimayi.
Signalons par ailleurs que la ville de Mbujimayi se situe dans le degré carré de
Mbujimayi entre 6° et 7° de latitude sud et entre 23° et 24° de longitude Est.
Site
d’étude
L'axe N-S le plus long du Massif mesure environ 800 mètres au niveau
d’affleurement actuel de 580 mètres (au-dessus de la mer). L'axe W-E le plus long
est de plus ou moins 450 mètres. Au niveau 580 la superficie du Massif est de 23
hectares ; elle diminue très progressivement vers 12.5 hectares au niveau 300.
I.7.4.1 STRATIGRAPHIE
I.7.4.4 PETROGRAPHIE
Ces dolomies sont l'encaissant prédominant, bien que le sable brun rouge et le
gré fin rouge constituent sporadiquement l'encaissant à l'Est.
Ainsi, les faciès des roches du massif 1 sont : la kimberlite massive, la xéno-
kimberlite, les épiclastites, le calcaire et enfin le sable, gris et brèches regroupés en
une même unité lithologique.
Les données des sondages sur le massif 1 nous renseignes que aucune nappe
aquifère ne traverse ce dernier. Actuellement les données des sondages attestent la
présence de l'eau dans la mine. Alors une étude hydrologique approfondie
s'avérerait utile pour connaître la nature de l'eau dans la mine.
Les seules eaux qu'on rencontre actuellement dans le massif 1, sont les eaux
dues à la pluie.
Comme la plus grande partie du Massif 1 présente des parois fortement inclinées,
les volumes de kimberlite par tranches de 20 mètres sont toujours proches de 2
600 000 m3, du niveau 570 jusqu'au niveau 310.
Dans le minerai il y a lieu de distinguer kimberlite et xéno-kimberlite, car, comme
nous le verrons plus loin, leurs teneurs respectives sont très différentes. Les
pourcentages de xéno-kimberlite par rapport à la kimberlite sont présentés plus
loin dans le tableau relatif aux ressources géologiques.
Superficies
Volumes par tranches
I.8.1 INTRODUCTION
Jadis la MIBA exploitait que les détritiques, mais actuellement elle exploite la
kimberlite.
I.8.2 PROPRIETES
Le diamant est la plupart du temps blanc transparent, mais dans certains cas très
rares (un diamant sur 10.000 environ), il possède une couleur naturelle : rose, vert,
gris, rouge etc. Il existe même des diamants entièrement noirs. Ces teintes sont
liées à la présence d'impuretés dans la pierre.
Dureté : le diamant c'est le métal le plus dur qui puisse exister. La dureté est la
capacité d'un métal a raillé l'autre.
Pour mesurer cette dureté on se base donc sur l'échelle de Mohs qui
comporte 10 degrés, de 1 à 10. Les pierres de 1 et 2 passent pour tendres, celles
entre 3 et 6 ont une dureté moyenne, celles au-delà de 6 sont dites dures.
Poids spécifique : le poids d'un diamant est exprimé en carat (ct) et un carat
équivaut à 200mg.
Une pierre gemme, doit par définition être résistante aux produits chimiques
courants. Concernant le diamant il n'y a pas de soucis particuliers dus aux
produits chimiques courants.
Le diamant peut brûler s'il est chauffé à rouge avec un chalumeau et aura une
apparence extérieure blanc laiteux. Il suffira de le repolir pour qu'il retrouve tout
son éclat. Si l'on chauffait un diamant à une température d'environ 1400 degrés
pendant 2 ou 3 heures, il brulerait entièrement. Si on place ce diamant dans un
endroit fermé et qu'on ajoute de l'oxygène il brûlera vers 800-850 degrés.
Densité : La densité d'une pierre est le rapport de son poids à celui de son
volume d'eau.
Le diamant a une densité moyenne de 3,52. Ce chiffre peut
varier en fonction de sa teneur avec d'autres éléments et en inclusions. Ainsi
la densité des diamants australiens peut être de 3,54, la densité de certains
diamants jaunes d'Afrique peut être de 3,524 et certains diamants bruns du
Brésil peuvent avoir une densité de 3,60.
Fragilité : La résistance aux chocs mécaniques est, en règle générale,
inversement proportionnel à la dureté de la pierre. Autrement dit, plus une
pierre gemme a une dureté élevée et plus elle sera fragile au choc. Un
diamant sera donc relativement fragile aux chocs mais le diamant possède
aussi une très forte élasticité qui le fait rebondir comme une balle lorsqu'il
frappe une surface dure. Un choc qui, seul, est insuffisant pour briser une
pierre gemme, peut la provoquer s'il est répété.
Le diamant qui est produit à la MIBA et est un diamant industriel car il existe aussi
des diamants synthétiques et le diamant de joaillerie.
Avant tout, il est important de bien se réaliser que toutes les teneurs dont
nous traiterons par la suite sont des teneurs géologiques. Les roches analysées ont
été bien broyées ou désagrégées par la nature soit par forages Wirth (avec tricône à
dents d'acier) ou par broyage en deux étapes dans l'ancienne laverie paillote pour
kimberlite (concasseur 16 mm et broyeur giratoire 8mm). La libération du diamant
était donc presque optimale.
Le deuxième tableau ci-après résume les résultats (roches pyroclastiques), les xéno-
kimberlites (toutes regroupées) et les dépôts épiclastiques (regroupés). Le tableau ci-
dessous en donne la synthèse, basée simplement sur des moyennes arithmétiques :
Kimberlites
Excavation globale ;
Exploitation par tranche succecives.
La MIBA utilise cette méthode en cas des gisements en amas ou en filon, comme
dans le massif 1 qui est un massif kimberlitique.
Les fosses succecives emboîtées présentent un grand cratère dont le profil est
constitué des gradins. Chaque gradin a un développement horizontal en courbe
fermé.
Autrement dit, cette méthode est appelée méthode par tranches succecives, c'est-à-
dire des terrains en place qui recouvrent la couche minéralisée sont déplacés et
remis en arrière là où on a déjà exploité le minerai.
Pelle bennes ;
Pelle en rejet direct.
Camions howo
Pelles hydrauliques volvo et SDLG
Chargeuses SDLG
Niveleuses
Dozer
Compacteur
I.12 CONCLUSION
Dans ce chapitre nous avons présenté brièvement la société MIBA et fait un aperçu
sur le massif 1 qui est notre zone d'étude dans ce présent travail.
CHAPITRE 2 : NOTIONS SUR LE CALCUL DES COUTS OPERATOIRES DES EQUIPEMENTS DE CHANTIER
ET GENERALITES SUR LES HEURES D’UTILISATION DES ENGINS
II.1 INTRODUCTION : Dans ce chapitre nous parlerons des différents paramètres qui interviennent
dans l’évaluation du cout opératoire des engins minier et d’une exploitation.
Lors de l’établissement du cout horaire d’un équipement de chantier, on considère les couts fixes et
les couts variables. Les couts fixes sont constitués des frais qui ne sont pas liés au fonctionnement de
l’équipement.
Cout d’amortissement
La valeur d’un équipement de chantier décroit dés que l’entreprise en prend possession. Les
équipements de chantier se déprécient le plus souvent selon une dépréciation en ligne droite
jusqu’à une valeur de reprise qui varie selon l’état et la demande pour ce type d’équipement.
Lorsque l’engin est équipé de pneumatiques, il faut déduire de la valeur amortissable, le prix
pneumatiques.
En d’autre terme l’amortissement est la répartition du cout de l’engin sur la durée probable
de son utilisation.
Le mode calcul d’amortissement adopté est le mode linéaire. La base amortissable est
calculée selon la formule suivante :
L’engin étant considéré obsolète une fois qu’il atteint le nombre d’heures de
marche spécifiée, la valeur résiduelle n’est pas significative et est considéré comme nulle.
Cout d’immobilisation
Les couts d’immobilisation de capital représentent les fonds que l’on aurait pu tirer du
placement du capital investi pour l’acquisition d’un équipement. Ces couts se calculent à
partir de la durée de l’amortissement en heure et de la valeur nette d’amortissement. On
peut également utiliser pour cette rubrique, les couts de crédit associés à l’achat de
l’équipement.
Cout pour les frais d’immatriculation, d’assurance, taxes
Ceci varie d’une législation à une autre. Les entreprises minières sont soumises au payement
de certaines taxes et redevances et doivent constituer une provision pour remise en état de
lieux. Les entreprises minières sont tenues de constituer une provision de 0,50 % de leur
chiffre d’affaires annuel hors taxes au titre de la remise en état de lieux d’exploitation.
Les couts variables sont associés à l’usage de l’équipement et ils sont constitués
des éléments suivants :
Cout en entretien, carburant et lubrifiant
Pour estimer la consommation en carburant et lubrifiant d’un engin de chantier, on peut se
servir des équations suivantes :
Carburant : C=P ×q × F o
C=¿ Consommation en litres par heure
P=¿ Puissance effective du moteur en kilowatt
q=¿ Consommation horaire en litres par kilowatt
q=0,33 Pour les moteurs essence
q=0,22 Pour les moteurs diesel
F O=¿ Facteur d’opération moteur. Ce facteur prend en compte que le moteur n’est pas
constamment sollicité à sa pleine puissance. Pour des engins des engins de construction
civile, la valeur de 60% est généralement utilisée.
c
Lubrifiant : C=P ×q × F o ×
t
q=¿ 0,003 litre par kilowatt et par heure
c=¿ Capacité du carter en litres
t=¿ Durée en heures entre les vidanges d’huile
Couts en usure des pneumatiques
Le cout horaire des pneus est égal au cout d’un jeu de pneu divisé par la durée d’utilisation
prévue.
Couts de réparations
Le cout horaire à prévoir pour les réparations se calcule à partir de la dépréciation totale, un
facteur de réparation qui varie selon le type d’engin et les conditions d’utilisation et
finalement selon la durée de vie de l’équipement en heure.
Le cout unitaire de revient représente le montant que l’entrepreneur devra débourser pour réaliser
chaque unité d’un travail. Habituellement le cout de revient est constitué de la somme des couts
suivant :
Une fois les couts opératoires et les couts fixes calculés, nous allons pouvoir
déterminer les couts de revient de l’exploitation.
Pour une meilleure lisibilité des différents constituants des couts de revient, nous
distinguerons entre les couts de chaque étape d’exploitation par type de facies.
Ainsi le cout du minerai par exemple, est constitué du cout d’abatage, du cout de
chargement et du cout de transport.
'
cout de revient=cout d abattage+cout de chargement +cout transport +CF (2.3)
Puisque l’on distingue entre cout de revient du minerai et celui du stérile, les couts fixes sont
pondérés entre les deux types de facies selon le tonnage extrait de chacun.
Le prix de soumission est le montant que l’entreprise demande pour la réalisation des
travaux décris aux plans et devis. Ce prix doit inclure les frais d’administration imputable au
fonctionnement de l’entreprise et une marge bénéficiaire (profit) qui permet à l’entreprise
de prospérer. C’est à partir du cout unitaire de revient que l’entrepreneur calculera son prix
pour fin de soumission.
Lorsqu’on tente d’établir les couts de revient des différentes opérations que l’on retrouve sur
chantier, on doit procéder à l’étude des journaux de chantiers de nos précédentes réalisations
similaires, des rapports d’avancement et à l’observation de nos équipes de travail et de leur
consommation en matériel. Ces données sont essentielles afin de déterminer le choix des
équipements qui permettent le plus d’économie et un prix de soumission le plus bas possible.
A la MIBA tout comme partout ailleurs le procédé de forage est utilisé soit pour un sondage pour la
recherche des minerais soit pour faire des trous de mines servant à charger les explosifs afin de
fragmenter ou désagréger la roche. Le sondage est un trou destiné à étudier le sous sol( nature des
roches structure etc.) sans exploiter quelconque ressource.
En outre l’action de faire le trou est appelée « forage », que ce soit pour un sondage ou un forage.
Un sondage ou un forage peut atteindre des profondeurs allant de quelques mètres à plusieurs
milliers de mètres. Pour mémoire, le sondage le sondage le plus profond jamais réalisé à but
scientifique a atteint la profondeur surprenante de 12262m « sondage SG3 » OU « sondage profond
de kola » foré entre 1970 et 1989 en Russie, dans la péninsule de kola.
Dans le domaine minier, les sondages ont pour but de fournir une indication sur l’organisation et la
composition du sous sol et d’en échantillonner différentes sections.
De nombreuses techniques de forage existent. Elles sont adaptées aux différents types des terrains
et aux différentes étapes du projet minier. Les principales sont énoncées ci-dessous :
Tarière : adapté aux terrains tendres seulement, la tarière est une vis sans fin qui peut etre
manuel ou mécanique ; les matériaux extrais sont remaniés et parfois partiellement
mélangés avec la paroi du trou.
Forage rotative à air comprimé : technique destructive, elle consiste à broyer le sol et les
roches altérées par l’intermédiaire d’un outil rotatif tandis qu’un flux d’air comprimé
ramène les débris à la surface entre l’outil et la paroi du trou. Cette méthode s’applique à
faible profondeur et ne peut être utilisée pour les roches saines. Elle permet de traverser des
terrains de recouvrement (éolien ou glaciaire) pour atteindre la roche en place que l’on veut
échantillonner.
Percussion (sondages percutants et marteau fond de trou) : technique destructive, elle
consiste à utiliser un marteau pneumatique (« marteau en tête de tige ou marteau en fond
de trou »), en rotation et en percussion. La roche est ainsi broyée et ramenée à la surface
sous la forme des débris à l’aide d’une circulation d’air comprimé qui permet ‘également le
fonctionnement de l’outil. Les cuttings remontent à la surface par l’espace entre les tiges et
la paroi du trou et peuvent contrarier voir bloquer la forage .
Circulation inverse : technique destructive qui utilise un jeu de deux tiges creuses emboitées
concentriques avec un « marteau percutant en rotation ». elle permet de collecter sous
forme de débris un échantillonnage continu des roches le long du trou réalisé (débris
remontés dans un fort courant d’air comprimé/aspiré dans l’espace annulaire entre les tiges
emboitées.
Carottage : technique non destructive, elle consiste en la découpe d’un cylindre de roche par
un outil tubulaire imprégné de diamant. Le cylindre de roche découpé se met
progressivement en place dans les tubes intérieurs du carottier d’une longueur en général
comprise entre 1,5 et 3 m. cette technique permet de récupérer un cylindre d’échantillons
(carottes) continu et intact de terrains traversés.
Le processus de la fracturation à l’explosif repose sur l’action combinée de l’onde de choc et des gaz
d’explosion. La détonation n’est pas un phénomène instantané, mais les deux étapes qui la
constituent ont des durées très différentes : le phénomène de l’onde de choc est très court par
rapport à l’action des gaz. Bien que ces phénomènes ne soient pas totalement indépendants.
Avec :
K m : Le coefficient représentant le pourcentage des terrains à miner
V t : Le volume total des matériaux (stériles ou minerais) de mois à exploiter
V tm : Le volume d’une maille par mètre foré en m3 /m
1. Le choix des explosifs, à partir des caractéristiques mécaniques des roches et des
propriétés des explosifs industriels.
2. La géométrie de forage et quantité d’explosif par trou de mine (chargement des trous
exprimé en g/m 3, MJ/m3 de roche à abattre)
3. Le calcul des charges, à partir de formules empiriques, de l’expérience ou de logiciels
spécifiques.
4. Les séquences de mises à feu, en fonction du mode d’amorçage (tir séquentiel) et des
contraintes d’environnement.
Heures d’activités(H.ACT)
Elles représentent les heures pendant lesquelles les engins ne sont sous
la responsabilité directe ni de l’exploitation, ni de la maintenance.
HMAD
CMAD= X100 (%)
HP
HACT
CACT = X 100 (%)
HP
HMAR
CMAR=CUE¿ X 100 (%)
HMAD
c. coefficient d’utilisation absolue(CUA)
Ce coefficient peut être aussi le rapport entre les heures d’utilisation de la machine
et les heures possibles.
HMAR HUE
CUA¿ X 100= X 100 (%)
HP HP
Tout au long de ce chapitre nous avons vus les différents couts qui entre en danse lors
d’une exploitation minière. Nous aussi parler du forage ainsi que du minage et enfin
nous avons parlé des heures d’utilisations des différents engins de production.
Nous pouvons ainsi fixer le prix d’une exploitation via la formule suivante :
'
prix d exploitation=coutderevient ׿
CHAPITRE III : CALCUL DU COUT D’EXPLOITATION ET DE TRANSPORT DES EQUIPEMENT
III.1 INTRODUCTION : Dans cette partie du travail nous allons évaluer les différents couts horaires
des engins de production et de transport.
Voici les informations dont nous aurons besoin pour évaluer ce cout :
Dans le chapitre précédent nous avons vu deux principaux couts qui composent le cout
horaire d’un engin, les couts fixes et les couts variables.
Cout d’amortissement
Valeur amortissable = 115000$– 16000$= 99000$
Valeur de reprise = 99000$×20%= 19800$
Dépréciation annuelle= (99000$-19800$)÷ 5 = 15840$
Tableau de dépréciation
c 0,3024 L
C=( P ×q × f o ) + = (118 × 0,003× 0,6 ) + ( 18 L÷ 200 hrs )= × 0,95 $=0,2878 $
t hr
/hrs
Cout horaire des frais de pneumatique
Prix 300000$
Durée de vie 30000 Heures
Train de roulement 8000H
PRIX 40000$-
Capacité du réservoir 580 L
Consommation par heure 18L⁄H
Valeur de reprise 20% de la valeur amortissable
Vidange Chaque 2000hrs
Taux annuel du rendement 3%
Assurance, immatriculation 5000USD
Puissance 240KW
Carter 22L
Rendement horaire 293m 3 / H
Cout d’amortissement
COUTS VARIABLE
COUTS VARIABLE
Cout des frais de carburant et des lubrifiants
C=P ×q × f O =187 ×0,22 ×0,6=24,684 L ×1,5 $=37,026 $
c 18 0,95 $
C=(P × q × f o )+ =(187 × 0,003× 0,6)+ ¿ =0,4266× =0,41 $/ H
t 200 H L
Cout de frais du train de roulement
Cout de frais du train de roulement = 50000$ ÷ 8000 H=6,25 $/H
Cout horaire entretien et réparation
Prix 270000 $
Durée de vie 10000 Heures
Prix du train de roulement 20000USD
Capacité du réservoir 200 L
Consommation par heure L⁄H
Valeur de reprise 20% de la valeur amortissable
Vidange Chaque 2000hrs
Taux annuel du rendement 3%
Assurance, immatriculation 5000USD
Puissance 102,6KW
Carter 16L
Rendement horaire 45m 3
3
m
45 foré=¿ 75,35 $
metre
1m 3=¿ 1,64 $ /H
III.6 CUBAGE DU MASSIF 1
Les engins qui interviennent dans le transport des minerais à la MIBA sont les
camions HOWO et les chargeuses.
Camion HOWO
Chargeuse SDLG
Donc pour transporter un mètre cube de minerais à la MIBA le cout horaire est
estimé à 1,504$/H
3
m
Rendement de la pelle : 293
H
Cout horaire de la pelle : 99,58$/H
1m3 excavé va correspondre à :0,33 $ / H
Le cout pour un mètre cube du minage et du forage nous l’avons déjà estimé aux
paragraphes précédents il équivaut à 9,56 $/H
CONCLUSION GENERALE