Cours de Salubrite BTP 3 PDF
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« I.N.B.T.P. »
Par
Ingénieur BTP
1. INTRODUCTION
Intérêt du cours
1.1.2. Environnement
Compostage
Endroit clos et gardé où l'on peut déposer, dans des conteneurs, les "
objets encombrants " : un matelas, une télévision mais aussi des objets
recyclables comme les piles, les batteries<
Déchet
Un déchet est un résidu issu d'un processus de production, de
transformation ou d'utilisation ou un objet que son propriétaire destine à
l'abandon (loi du 15 juillet 1975).
Tout ce que tu jettes dans ta poubelle est un déchet : papier,
nourriture, vieux vêtement, etc.
Déchet biodégradable
Un déchet biodégradable est un déchet qui va se détruire tout seul
avec le temps tel que des épluchures. Un déchet non biodégradable est un
déchet qui va nécessité d'être traité par différents modes de traitement tel que
par incinération. Une pile de montre est un déchet non biodégradable.
Déchets encombrants
Déchets trop gros pour entrer dans ta poubelle : téléviseur, frigo,
meubles, etc. Généralement un camion passe une fois pour les récupérer. En
province, les habitants doivent les apporter directement à la déchetterie.
Déchets Hospitaliers
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Incinération
On brûle les déchets ménagers dans des fours afin de réduire leur
poids. L'énergie dégagée par la combustion est réutilisée sous forme de vapeur
et d'électricité.
C'est ce qu'on appelle la Valorisation Energétique.
Mâchefers
Résidus résultant de l'incinération des déchets ménagers.
Ces résidus partent dans des centres de maturation où ils sont concassés et
analysés.
Les mâchefers sont soit, recyclés et servent de remblai pour les
routes et soit, stockés en décharge (CET).
Méthanisation
On laisse la matière organique comme les déchets verts ou les
déchets dit ‚fermentescibles‛, tels les déchets alimentaires se décomposer.
Cette décomposition se fait dans une atmosphère privée d'oxygène qui
produit du biogaz à partir duquel on peut faire un compost agricole de qualité
ou engrais.
Papier
Le papier est fabriqué à partir de fibres de bois. Il faut 4kg de bois
pour faire un 1kg de papier.
Pétrole
Le pétrole est une matière première que l'on retrouve dans le sol
utilisée comme source d'énergie. Le plastique contient du pétrole (en petite
quantité).
Plastique
Le plastique est fabriqué à partir du pétrole et du gaz. Il est utilisé
pour les emballages, en raison de sa flexibilité (capacité à lui donner une forme
voulue) et sa légèreté.
1 tonne de plastique recyclé économise 800 kg de pétrole brut.
Recyclage (ou valorisation matière)
On récupère les déchets pour en faire de nouveaux objets.
Recyclage Organique (ou compostage)
On laisse fermenter des résidus agricoles ou ordures ménagères
mélangées ou non avec de la terre végétale pour obtenir du compost (engrais).
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Refiom
Résidus d'épuration des fumées d'incinération des ordures
ménagères.
En incinérant nos ordures, des fumées se dégagent. Pour ne pas
polluer l'atmosphère, ces fumées sont dépoussiérées et lavées. On récupère
alors des poussières appelées " cendres volantes" et des boues pressées solides
et compactes appelées "gâteau».
Ces cendres et gâteaux contiennent des métaux lourds et sont
appelés REFIOM. Ils sont ensuite stockés en décharge de classe 1 (centre
d'enfouissement technique CET).
Traitement
Ensemble des opérations que peut subir un déchet afin de réduire sa
dangerosité ou de le valoriser (valorisation matière ou énergétique).
UIOM
Usine d'incinération des ordures ménagères.
Valorisation
La valorisation des déchets peut être une valorisation des matières,
organiques ou énergétiques.
Valorisation Energétique
Les déchets sont incinérés avec récupération d'énergie ou d'une
thermolyse.
Les déchets ménagers sont brûlés dans des fours et l'énergie dégagée
dans cette opération est ensuite récupérée. On produit ainsi de la vapeur pour
chauffer des immeubles, ou de l'électricité qui est revendue à EDF (Electricité
de France). La valorisation mixte en chaleur et électricité s'appelle la
cogénération.
Verre
On obtient du verre par fusion du sable siliceux avec du carbonate
de sodium ou de potassium. En recyclant le verre, on économise du sable
siliceux.
Comme on le voit, l’homme fait la découverte de la nature et
l’exploite à sa guise. Cette exploitation lui fournit ce dont il a besoin, mais
malheureusement, puisqu’il n’y a pas de roses sans épines, l’Environnement
réclame sa destruction et parfois de manière atroce et mortelle à l’homme.
Il avait été démontré que les quartiers de haut standing produisent
vingt-six pourcent des déchets supplémentaires par rapport aux quartiers
défavorisés.
Cette étude pourrait permettre de penser que les milieux urbains,
habités par les familles riches dans la ville de Bukavu, produiraient
énormément de déchets par rapport aux bidonvilles construites autour de la
ville.
Le climat influence le mode d’alimentation de la population et, par
conséquent, influe sur la production de déchets dans l’environnement. Par
exemple, à Yaoundé au Cameroun, la production moyenne des déchets
ménagers est de 0,6 kg/hab./jour en saison sèche alors qu’elle est de 0,98
kg/hab./jour en saison de pluie (Charnay, 2005; Aina, 2006).
La population qui vit dans l’insalubrité et la pollution de son
environnement serait alors protégée contre les polluants provenant des
déchets ménagers auxquels elle est exposée si les autorités faisaient de la
gestion des déchets la priorité de leurs activités.
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insalubrité qui ne dit pas son nom et qui est à la base de la prolifération de
beaucoup de maladies telles que la fièvre typhoïde, le choléra, la malaria, etc.
Encore que l’insalubrité est vectrice de certains insectes nuisibles tels que les
« ekonda » qui brûlent la peau et des insectes qui attaquent les yeux.
On voit là quelques cas illustrant les menaces de la santé publique
kinoise.
On peut également saluer les initiatives éparses des ONG et des
Tierces, telles que des politiques ambitionnant les élections.
Il y a quelques années, l'Union européenne par son projet PAUK
(Projet d'assainissement urbain de Kinshasa), avait implanté des stations de
décharge de transit dans quelque endroit ou communes telles que Gombe,
Kinshasa, Barumbu, Lingwala avant l'évacuation vers la décharge finale de
Mpasa, mérite d'être saluée. (Malgré que le centre d’enfouissement (CET) de
Mpasa soit maintenant entouré par des habitations). Sinon, la capitale
plongerait dans des montagnes d'immondices et des dépotoirs non autorisés.
Pour la plupart des quartiers, aucune initiative de décharge autorisée jusqu’à
présent n’est prévue. Signalons aussi les Entreprises qui se chargent de la
collecte des déchets solides dans des ménages et leur évacuation vers des
décharges publiques autorisées par l'Hôtel de ville. Nombreux ménages de la
ville de Kinshasa, jettent leurs déchets le long des rivières.
Parmi ces entreprises, signalons que, l’une serait née des cendres de
la défunte Poubelkin, partenaire de l'Hôtel de ville, qui a cessé de vivre sans
crier gare. Après avoir signé un partenariat avec le ministère provincial de
l'Environnement, Miss Propre obtiendra la Gombe en exclusivité et du charroi
automobile de l'Hôtel de ville pour lui permettre de faire démarrer ses
activités.
Confier la gestion des déchets solides d'une ville à une entreprise,
Miss Propre soit-elle, n'est pas une mauvaise chose. Mais là où le bas blesse,
c'est lorsqu'en procédant de cette manière, on a désavantagé d'autres
entreprises privées en les mettant hors compétition.la passation de ce marché
s’est faite de gré à gré.
Dans ces conditions, c'est la ville qui paie les services d'évacuation
par les privés désignés au moyen d'une taxe d'assainissement créée et perçue
par la DGRK. Mais la réalité est qu'aucune taxe n'existe et les producteurs des
déchets qui sont les seuls à payer directement les frais d'évacuation de leurs
déchets, ont le droit de s'adresser à n'importe quel opérateur reconnu par les
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D’autres enterrent les détritus faute d’un site aménagé, dans certains
ménages, les déchets sont jetés dans les caniveaux ou dans les cours d’eau, la
rivière Funa en est un exemple. Pourtant, l’accumulation progressive de ces
déchets finit par générer des odeurs nauséabondes nocives à la santé de la
population.
spécifique par rapport au tri recyclage, qui occupe un peu trop aujourd’hui
toute la place dans les esprits, du fait de sa relative nouveauté.
Il convient aussi de bien distinguer la prévention du concept plus
large de « minimisation » des déchets, notamment développé au sein
d’instances internationales comme l’O.C.D.E< en effet, ce terme de
minimisation (anglo-saxon) recouvre plutôt l’ensemble des actions visant à
réduire les flux de déchets ultimes. D’une certaine manière, il s’apparente
donc davantage à l’élimination, telle que la législation française l’entend (voir
Loi du 15 juillet 1975). L’incinération peut ainsi être minimisation, c’est la
prévention + les diverses valorisations + les traitements.
Eviter l’apparition de déchets et des difficultés de leur gestion par
une combinaison d’actions menées au préalable.)
Réparé (au sens large : lavé, repeint, repris, rechargé<), si besoin est,
pour être réutiliser dans la même fonction ; donné à un nouveau
détenteur qui lui accordera une valeur renouvelée ;
Réutilisé par son détenteur ultérieurement, pour une autre fonction ou
sous une autre forme.
Repris par son producteur ou son distributeur initial pour en assumer
l’élimination.
Du compostage individuel aux vestiaires proposant des vêtements
d’occasion et autres bourses tels que les jouets, les exemples concrets d’actions
existantes, qui pourraient être davantage développées et systématisées, voire
de nouvelles pistes à imaginer, ne manquent pas.
Le détournement pour réemploi ou recyclage de certains flux qui
étaient jusqu’alors pris en charge par la collectivité et éliminés en mélange
avec les autres déchets ménagers (ex : papiers des bureaux, appareils
électriques et électroniques<.) mérite bien d’être pris en compte dans la
sphère préventive. Mais dans la même logique que celle évoquée plus haut
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Déchets solides
Déchets solides
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3.9. Objectifs
3.10. CONCLUSION
4.1. Nuisances
Selon Franc et Lemaire (1975), la nuisance se définit comme
l’ensemble de produits, objets ou phénomènes physiques qui viennent
perturber celui qui les perçoit. Par ailleurs, ce terme désigne « toute
modification de l’environnement qui, sans produire de perturbation ayant des
conséquences écologiques ou réellement pathologiques, cause une gêne aux
populations humaines ou aux individus’ isolés qui y sont exposés ou encore
enlaidit la nature».
Selon Ramade (2005), on distingue trois types de nuisances qui
affectent les principaux sens (l’ouïe, l’odorat et la vue) à savoir :
o les nuisances sonores ou auditives : bruits dépassant les limites
normales (l’ouïe) ;
o les nuisances olfactives : mauvaises odeurs (l’odorat);
o les nuisances visuelles ou esthétiques : sachets et immondices qui
jonchent un lieu donné, constructions anarchiques.
Les Dictionnaires spécialisés de l’environnement cités par Makowiak
(2001), définissent la nuisance comme étant:
l’action d’un altéragène qui comporte un risque notable pour la santé, le
bien-être de l’homme ou qui peut atteindre indirectement celui-ci par
des répercussions sur son patrimoine, naturel, culturel ou économique;
une altération de la qualité du cadre de vie pouvant conduire à des
réactions de défense de la part des êtres vivants et/ou à un dérèglement
physiologique ou psychique temporaire ou permanent.
C’est cette dernière définition qui a été prise en compte dans la
présente étude. Car ici, la nuisance recouvre un ensemble assez exhaustif
d’atteintes du point de vue de la nature, de la culture et de la santé.
4.2. Pollution
Dans le langage courant, la pollution est une dégradation de
l’environnement résultant de la dissémination de produits toxiques et de
l’abandon de matériaux non biodégradables.
Kabangu (2008), définit la pollution « comme l’introduction d’une
substance indésirable dans un milieu » tandis que le Dictionnaire de
l’Environnement dit que « la pollution est toute dégradation d’un milieu,
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Dans une approche milieu, le sol est interfacé avec l’eau et l’air, la
notion de pollution du sol appelle donc généralement la contamination d’un
ou plusieurs composants des écosystèmes (air, eau) ou avec des organismes
vivant en contact avec le sol (invertébrés du sol, champignons), au-delà des
seuils variant selon la nature du polluant du sol.
La pollution du sol peut être due à l’accumulation sur le sol de substances non
biodégradables, ou l’accumulation des substances biodégradables mais dont la
vitesse de biodégradabilité excède le taux d’accumulation. Alors ces
substances peuvent être stockées sur le sol ou être lessivées par les eaux de
ruissèlement vers les cours d’eau voisins ou vers la nappe phréatique, ou
encore s’évaporer vers l’atmosphère.
Dans beaucoup de régions cultivées, le lessivage des engrais et des
effluents d’élevage épandus en excès provoque une augmentation importante
de la teneur en nitrate et autres éléments minéraux dans les nappes
phréatiques.
Les effets de la pollution des sols dépendent de leur structure (mode
d’assemblage des particules qui le composent) et de leur texture (proportions
relatives en argile, limon, sable fin, sable grossier). Certains sols ont la capacité
de filtrer et de recycler des quantités importantes de déchets, dans d’autres,
certains constituants toxiques ne sont pas retenus et se retrouvent dans les
fleuves et les nappes phréatiques.
Les sols sableux sont favorables au lessivage, alors que les sols
argileux épais retiennent mieux les déchets.
Ainsi toutes les activités humaines sur les sols doivent tenir compte
de leurs propriétés et de la position de la nappe phréatique et des cours d’eau
du milieu.
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Photo 4: vue des habitations précaire dans une Zone inondable, quartier
Kemi/ dans la Commune de Lemba sud, cliché de l’auteur
Conséquences sanitaires
4.6. DEPOLLUTION
4.6.1 Introduction
Les sites qui ont accueilli des activités humaines en gardent souvent
les traces sous forme de pollution.
Connaître la nature et la quantité du polluant, le type de
sol (perméable ou non, organique, granuleux) est un impératif pour appliquer
les bonnes techniques de traitement et se débarrasser de cet ‘’héritage’’.
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Il s’agit ici d’évacuer les terres polluées vers des centres proposant
des techniques de traitement biologique, par voie thermique, par incinération
ou vers une installation de stockage des déchets.
4.6.3.1. Traitements par dégradation
A. Procédés biologiques : ces sont des méthodes de dépollution des sols
et souvent moins coûteuses.
a) Utilisation des bactéries : en apportant l’oxygène, des engrais dans les
sols, on développe les bactéries naturellement présentes dans les sols
pour qu’elles détruisent la pollution .Ce type de traitement fonctionne
très bien avec les hydrocarbures.
b) Utilisation des plantes (phytoremédiation ou atténuation naturelle) :
certaines plantes sont capables de fixer dans leurs cellules les métaux
lourds ; radionucléides, composés organiques polluants et autres
produits indésirables.
B. Procédés chimiques : on peut apporter dans les sols ou les eaux
souterraines, des réactifs qui détruisent les polluants (oxydation,
réduction <).Réaction d’oxydoréduction : l’oxydant c’est le corps qui reçoit
l’électron par contre le réducteur c’est celui qui libère. La technique consiste
à dégrader totalement ou partiellement les polluants par l’ajout des agents
oxydants tels que le peroxyde d’hydrogène associé au fer (fenton), l’ozone ;
le permanganate et le persulfate de potassium ou sodium, etc.
Cette technique est souvent utilisée pour le traitement des
polluants organiques : HAP, BTEX, solvants chlorés, PCB, Phénol <
C. Procédés par extraction
a)Procédés thermiques : le sol pollué est chauffé .Les polluants contenus
dans le sol se volatilisent. L’air chargé en polluant est brûlé. le sol traité peut
être utilisé pour remblayer (les routes ; les fossés etc.)
b) Procédés physiques :
b.1 extraction par un solvant (traitement par lavage) : on lave le sol avec de
l’eau ou avec un solvant ; les polluants sont entraînés dans le liquide et les sols
peuvent être réutilisés.
b.2 extraction par séparation de la fraction fine des sols (traitement par
lavage) : le lavage permet de classifier un sol très finement (50µm à 80 µm par
exemple).Les polluants étant adsorbés sur les fractions fines ,ils sont ainsi
extraits avec des fractions fines qui seront ensuite traitées suivant d’autres
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N.B. Le cadre de vie est altéré par les déchets et les toxines naturelles
et souvent anthropiques, ce qui met en danger la faune, la flore et
l’être humain qui court de plus en plus de risques sanitaires pouvant
se solder par le décès .La pollution des sols et la pollution de l’eau qui
s’en suit peut entraîner des maladies pouvant contaminer tout une
communauté (épidémie).
Les dépenses engendrées par la dépollution des nappes phréatiques
sont souvent très élevées et l’eau traitée peut devenir utilisable pour
certains usages et pas d’autres. Préservons donc nos sols et les nappes
souterraines.
De façon générale, les sols jouent le rôle de filtre, de support de vie et d’outil
économique.
Ainsi :
Les horizons d’une coupe verticale dans des sols révèle une organisation en
couches horizontales successives nommées horizons. Un profil de sol est une
coupe verticale depuis la surface jusqu’à la roche-mère et montrant les
différents horizons. L’horizon O de surface est riche en matière organique la
litière végétale s’y accumule et se décompose progressivement.
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Dans les déserts, l’horizon O est quasi absent alors que dans certains sols
organiques riches, il constitue l’horizon dominant. Sous l’horizon O, on trouve
l’horizon A, en général de couleur sombre, riche en matière organique et en
humus. Il est pauvre en éléments nutritifs qui sont lessivés et migrent dans les
horizons plus profonds. Dans certains sols, un horizon de lessivage ou
horizon E se développe entre les horizons A et B. L’horizon B, moins colore,
est fréquemment une zone d’accumulation ou l’élément nutritifs lessivés des
horizons supérieurs et de la litière s’accumulent. C’est un horizon riche en fer,
aluminium et argile. L’horizon C se trouve sous l’horizon B. il contient des
fragments de roche-mère décomposée et forme la limite avec la roche-mère
compacte. Cet horizon se trouve sous la zone d’extension des racines et est
souvent saturé en eau.
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Bien qu’ils ne soient pas visibles, les organismes du sol sont innombrables. On
peut trouver des millions de micro-organismes, bactéries, champignons,
algues, vers, protozoaires, dans quelques cm3 de sol agricole. De nombreux
autres organismes comme des insectes fourmis, termites <, des serpents, des
taupes colonisent le sol, les plus nombreuses sont les bactéries qui se comptent
par centaines de millions par gramme de sol. Les scientifiques ont identifié
environ 170.000 espèces d’organismes édaphiques mais des milliers restent à
identifier. De plus, on connait très mal le rôle de la plupart de ces organismes
car il est très difficile d’étudier leurs activités en conditions naturelles.
Figure 3: Coupe pédologique type de la zone et les être qui sont sous-sol.
Photo7: Pollutions les plus spectaculaires (par des sels de fer ici) ne
sont pas toujours les plus toxiques, mais de fortes concentrations d'un produit
non réputé toxique (fer, sel par exemple) peuvent faire disparaitre la plupart
des formes de vie.
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Structure
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Thermo pause
La thermo pause est la limite supérieure de la thermosphère. Elle
varie entre 500 et 1 000 km d'altitude.
5. Ionosphère
L'ionosphère, la partie de l'atmosphère ionisée par les radiations
solaires, s'étire de 60 à 800 km et se constitue de trois couches :
la couche D (60 à 90 km),
la couche E (90 à 120 km),
la couche F (120 à 800 km) qui chevauche à la fois la thermosphère et
l'exosphère.
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BIBLIOGRAPHIE (MODELE),
Ouvrages généraux
Dictionnaires Encyclopédies
Ouvrages généraux
COURS
Thèse
10. Ndemi K. (2018), Habitations urbaines sur des terres marginales au sud
de la ville de Kinshasa : Analyses topographiques et socioeconomique p
256.
Articles
Webographie