Etude Des Mecanismes de Levage Et de Direction D'Un Pont Roulant
Etude Des Mecanismes de Levage Et de Direction D'Un Pont Roulant
Etude Des Mecanismes de Levage Et de Direction D'Un Pont Roulant
MEMOIRE
Présenté en vue de l’obtention du diplôme de master
DEVANT LE JURY
PRESIDENT: PR .KHELIF (R)
EXAMINATEURS : DR .KHADRI (Y)
DR. DIB( A)
DR .BOUARICHA.(A)
MR.KALLLOCH.(A)
Dédicace
A mes sœurs
Guenadzia Kheir-Eddine
REMERCIEMENT
Au nom de dieu clément et miséricorde dieux le grand merci lui
revient , pour son aide et la volante qu’il nous a donner pour surmonter
toutes les obstacles et les difficultés durant nos années d’études et de
nous avoir éclairées notre chemin afin de réaliser ce modeste travail .
Remerciements...................................................................................................................ii
Sommaire..........................................................................................................................iii
Introduction
CHAPITRE I- CONTEXTE GENERAL
CHAPITRE II- GENERALITES SUR LES PONTS ROULANTS ET PRINCIPE DE CLASSIFICATION DES
MECANISMES DE LEVAGE ET DE DIRECTION
MECANISME DE LEVAGE
III.1 Calcul et dimensionnement des éléments de mécanismes de levage...................35
III.1.1 Calcul préliminaire.............................................................................35
III.1.1.1 Données de base.....................................................................35
III.1.1.2 schéma cinématique.............................................................35
III.1.1.3. Choix et calcul du plan.........................................................36
III.1.1.4. Choix du câble......................................................................37
III.1.1.5. Choix du tambour...............................................................40
III.1.1.7. CHOIX DU MOTEUR.........................................................43
III.1.1.8. Choix du réducteur.............................................................44
III.1.1.9. Choix du frein......................................................................45
III.1.1.10...............................................................................................Choix de
l’accouplement....................................................................47
CONCLUSION
Résumé
BIBLIOGRAPHIE
Liste des figures
Or les ponts roulants, actuellement au Alegria sont de plus en plus courants dans le
domaine industriel, et qui se distinguent par certains avantages tel que : l’automatisation, le
montage rapide sur chantier, les déplacements des charges dans l’espace, c’est pourquoi la
structure métallique des ponts roulants ont était conçu en charpente métallique. Cependant le
matériau présente aussi quelques inconvénients qui sont principalement la corrosion et sa
faible résistance au feu, donc une protection de toutes les structures en acier est indispensable.
Dans ce projet de fin d’études, je vais appliquer et compléter les connaissances et les
informations acquises au long de ma formation, en utilisant les règles de construction, ainsi
que le moyen de calcul informatique.
Le 1er chapitre a pour but de situer le contexte général du projet, il introduit l’organisme
d’accueil, décrit la problématique et présente les objectifs généraux du mémoire.
Introduction
I. Présentation de
l’Enterprise d’accueil
II. Présentation du projet
Introduction
Ce chapitre introduit l’entreprise d’accueil, son métier et son organisation, puis s’étale sur le
contexte général de mon projet ainsi que ses principaux objectifs.
I.1. Présentation l’Enterprise d’accueil
I.1.1. Historique
L’entreprise nationale de sidérurgie (ENS) a Ets créée par la société bônoise sidérurgie
(SBS) en 1959 suite a la mise en application du plain de Constantine crée le 4 septembre
1964
,la (sns)a été chargée de construire un complexe sidérurgique a el HADJAR en exécution
d’une politique définie et exprimée par le gouvernement
Les minerais seront achemines par les chemins de fer depuis les mines de l’Ouenza a 150 km
de la coke également sera acheminée depuis le port de Annaba issue de la restauration de la
société nationale de sidérurgie (sns) l’entreprise (sns) par abréviation sider le 25 juin 2005 par
décrète (n 83-628)du 05 novembre 1983 et apprêt a Mittal Steel Annaba le 25 juin 2005 pour
enfin devenir Arcelor Mittal Annaba le 6 mars 2017
I.1.2. Situation géographies du complexes
Le complexe sidérurgique d’El-Hadjar situe à 15 km au sud de la ville d’Annaba, occupe
une superficie de 800 hectares qui se repartie en trois zones :
1er zone : l’atelier de production « 300 hectares »
2er zone : les superficies de stockage « 300 hectares »
3 er zone : la surface de service « 200 hectares »
Le complexe dispose au niveau du périmètre du port d’Annaba d’un quai sidérurgique
équipe de grues dont 5 de 25 tonnes et deux de 40 tonnes
Des 1966, la SNS a participé à la création des centre de formation d’ouvriers techniciens
et agent de maitrises
1. centre de formation ouvrière (4 RSS)
2-centre de formation professionnelle des adultes des (LAURIERS ROSES)
3-centre entreprise de formation de technicien et agents de maitrise (CITAM)
L’ensemble de ces activités est regroupe en 1978 dans un seul centre (CEFOS) crée à 2
km de l’usine dans la localité de sidi Amar, pour la formation de 1200 ouvriers
professionnels contre maitre et technicien.
Son but est de satisfaire les besoins de la Sonatrach, qui utilise 150 000 t/an Alfatub est
conçue pour une production de 80 000t/an avec une extension à 170 000 t/an pour mission
principale la production des tubes sans soudure destines principalement à l’industrie du
pétrole et du gaz, son démarrage a en lieu en 1976 .
Ses principaux clients sont :
SONATRACH
SONELGAZ
NEFTAL
ALTUMET
KHANGAZ
I.2.2. Le principal produit
Les principaux produits de cette unité sont :
• Les tubes casing pour le coffrage des puits de petrole
• Les tubes line -pipe pour le transport des hydrocarbures liquide et gazeux
• Les tubes pour usage hydraulique
• Les tubes tubings pour la production
LAT :le laminoir a tubes qui permet la fabrication des tubes avec un large éventail
des diamètres et différentes épaisseur
Pat :le parachèvement a tubes spécialise dans le traitement thermique des aciers et
dans le filetage et la finition des extrémités des tubes et manchons
Figure I.1
D. Installation : Fours
Fonction :
Poste : Opérateur LO
Fonction : Transformer les ébauches presse en ébauche à paroi épaisse par entraînement de
produit entre deux cylindres latérales inclinés, et une tête qui fait l’office d’un cylindre
intérieur montée sur une tige LO maintenue par deux serres barre dans l’axe de la machine .
Il Procède au :
- Changement de montage.
- Changement des outillages (pièce de base – couloir tige LO ).
- Réglage théorique de la machine selon la gamme en cours de fabrication. .
Poste : Lamineur
Fonction: Transformer les ébauches tabulaires en provenance du LO en tube à une T°
de 1050c° environs.
Poste : Meuleur
Poste : Scieur
Fonction:
L. Installation : Sortie LP
Fonction:
Fonction:.
N. Installation : Calibreur
Fonction:.
Obtenir un diamètre à chaud dans les tolérances, ceci s’effectue par réduction successive dans
une série de cages calibreur alternés de 90° l’une par rapport à l’autre.
La température de calibrage est comprise entre 850c° et 900c°.
Procède au:
- Changement de montage.
- Réglage de la machine.
O. Installation : Dresseuse
Fonction.
P. Zone réparation:
Q. Zone CND:
R. Deuxième Visite:
Éprouver les tubes réparés et coupés et les soumettre sous pression selon OE .
T. RESTELLINI:
Chanfrein API sur les tubes line pipe ayant un ¢ ≤ 219.1 provenant du BEH .
U. BARDONS:
Tronçonner des tubes casing et exécution du chanfrein API sur les tubes
I. Introduction
II. Caractéristiques fondamentales
des appareils de levage
III. Généralités Pont roulant
Introduction
Les Ponts roulants sont des moyens de manutention que nous rencontrons principalement
dans l’industrie et dans la distribution de matériels manufacturés.
Ils permettent de déplacer des objets d’un point à un autre, en temps relativement court et
avec toute sécurité nécessaire à son fonctionnement.
Réducteur
Frein
Accouplement
Moteur électrique
Tambour
Tambour
Roue dentée ou noix d’entraînement de levage principal.
Le tambour, pièce essentiel e du mécanisme de levage, sur laquel e s’enroule le câble il a
une surface utile tubulaire, en effet, il obtenu à partir d’un ‘’tube mécanique’’; ainsi les
économies sur le poids sont appréciables constitué en acier, suffisamment dur pour éviter les
indentations crées par le câble ne viennent détériorer le câble qui le remplace.
Les tambours doivent être dimensionnés dans toute la mesure du possible afin que la
capacité d’enroulement soit tenue en une seule couche. L’angle déflection du câble sur le
tambour ne devra pas dépasser 6,33% soit approximativement degré 40. [5]
Moufle
Il se compose d’un câble de levage, poulies et croché
Ainsi, la durée de vie du câble est d’autant plus longue que les diamètres d’enroulement
sont grands et l’effort détection est faible [5]
Poulies
Les poulies sont des roues dont la jante est appelée gorge qui reçoit un
flexible, câble ou cordage.
Une gorge est définie par :
Sa largeur de jante
Le rayon du congé de la jante
Pour que ces dimensions soient correctes, il faut qu’un certain nombre de condition
soit remplie :
🟃 Le fond de gorge ou congé doit être un arc de cercle égal au 1/3 de
circonférence du câble. Le câble doit poser sur un arc de cercle compris entre
120° et 140°, il est donc indispensable de vérifier fréquemment le diamètre exact
du congé on se sert d’un jeu de jauges.
🟃 L’angle de frottement formé par les bords des gorges doit être compris entre 350
et 400.
On distingue les poulies de moufle, de renvoi et la poulie d’équilibrage (point fixe).
[5]
La charge est suspendue aux câbles par l’intermédiaire d’un crochet, le crochet
est en général en acier forgé extra-doux pour petites charge ( 25 t), on utilise parfois des
crochets en acier estampé pour une très grande charge ( > 100 t), on peut utiliser des
crochets formés par plusieurs épaisseurs de tôles découpés. Jusqu’à 25 tonnes le crochet est
généralement simple croc. De 15 à 50 tonnes, les crochets sont soit à simple soit à double
croc. Cette forme permet une meilleure répartition des charges transmises par les élingues.
Pour les très grandes charges, on emploie quelque fois des axes pour la sécurité, les crochets
fermes constitués de plusieurs éléments assemblés par des axes pour la sécurité, les crochets
doivent être munis obligatoirement de linguets qui s’opposent de façon sûre aux décrochages
des élingues.
Chacun de ces mécanismes a son propre mouvement à réaliser dans l’espace, Ainsi
le crochet, élément de contact entre le pont et l’objet à faire déplacer peut occuper n’importe
quel point de l’espace.
II.5.1 Charpente
Les deux facteurs pris en considération pour déterminer le groupe auquel appartient un
appareil sont : Classe d’utilisation ; état de charge
Classe d’utilisation
Le pont roulant étudié est destiné à une unité de production (pour levage des billettes afin
de les servir au four). L’utilisation de l’appareil est régulière (cas d’une production continue).
Les règles FEM définissent la classe d’utilisation d’un tel pont roulant. [6]
Etat de charge
Le pont roulant de cette étude est un appareil soulevant assez fréquemment la charge
nominale et couramment des charges compris entre 1/3 et 2/3 de la charge nominale (levage
de 3a 4 billettes par levée tel que une billette pèse 1.5 t).
Les règles FEM définissent l’état de charge.
II.5.2 Mécanismes
Classe de fonctionnement
La classe de fonctionnement caractérise le temps moyen de fonctionnement présumé en
heure. Un mécanisme n’est considéré comme étant en fonctionnement que lorsqu’il est en
mouvement. Cette notion de temps moyen se définit pour les mécanismes régulièrement
utilisés au cours de l’année en ne considérant que les journées d’un travail normal à
l’exclusion des jours d’arrêt. Pendant ce temps moyen ainsi défini le mécanisme est supposé
soumis à une sollicitation variable résultant de l’état de sollicitation défini à l’article suivant
pour les mécanismes non utilisés régulièrement au cours de l’année, le temps de
fonctionnement quotidien est déterminé en répartissant sur 250 jours le temps de
fonctionnement annuel.
Le temps moyen de fonctionnement quotidien de notre pont roulant est 8<t ≤ 16 heurs
Les règles FEM définissent la classe de fonctionnement de notre appareil. [6]
État de sollicitation
L’état de sollicitation précise dans quel e mesure un mécanisme ou un élément de
mécanisme est soumis à sa sollicitation maximale, ou seulement à des sollicitations réduites.
Pour notre cas particulier, les règles FEM
Etats de K
sollicitation Définition Moyenne cubique
conventionnelle
Mécanismes ou éléments de mécanismes soumis
3 fréquemment a la sollicitation maximale et 0.67
couramment a des sollicitations moyennes.
En résumé, la classification suivant les règles FEM du pont roulant étudié est la suivante :
mécanisme V4 3 5m
Figure III.1
𝜂𝑝
1−𝑦𝑚 (III.1)
= 𝑚(1−𝑦)
AN
m=2
𝜼 =0,96 ou 𝜼𝒑=0,59
III.1.1.3.4. Calcul de la vitesse linéaire du
câble
𝑚 = 𝑣𝑐 (III.2)
𝑣1
Vc=m.v1
Vc : vitesse du câble
V1 : vitesse de levage
AN
m=2
𝑄(1−𝑦)
𝑄 (III.3)
𝑠𝑚𝑎𝑥 𝑎(1−𝑦𝑚) = 𝑎.𝑚.𝑦𝑝
AN
Q=120 kn
Cette charge nous permettre de définir les caractéristiques de notre câble en utile Sant le
catalogue.
D’après la norme AFNDOR : A47-202 (1) on prendra un câble de 6 torons de 19 fils
(1+6+12) avec ams centrale en textile
Le câble est soumis a deux efforts consécutifs qui s ajou, l’effort de traction qui est dû au
poids de la charge pendant le levage ou la descente, et l’effort de flexion.
on choisit un tambour rainuré vu qu’il quid bien le câble et diminue son usure .
III.1.1.5.1. Dimensionnement du tamboPur
Di Dt
De
Figure III.2
III.1.1.5.2. Calcul du diamètre admissible qui joint les deux extrémités des
rainures diamétralement opposées
D1 = ≥ (𝑒 − 1). 𝑑𝑐 (III.10)
AN :
D1 : diamètre du câble
e : coefficient déterminé en fonction du régime de travail
Régime de travail Léger Moyen Lourd
E 20 25 30
Tableau III.3
I0I1I2I3 I4
Figure III.3
I1 = Z . t (III.13)
Z : nombre de gorges ou de rainures.
m.H
Z= (III.14)
π . DT
AN.
M=2 d’où Z = 19
rainures H = 12 m
𝐷𝑇 = 0,420 m
Finalement : 𝐼1 = 380 mm avec t = 20 mm
𝐼4 = (4 ÷ 5) . t = 4 . 20 = 80 mm
m.v1
nT = (III.17)
π.DT
AN :
m=2
AN :
nm=705 tr/min
D’après cette valeur on définir notre réducteur qui est du type RM -650 avec une roue dentée,
m=6, z=56 dents
Tableau III.6
III.1.1.8.4. Vérification
∆i = ic−ir
.100 (III.19)
ic
AN:
Ic=31
Ir =31,5 d ou ∆i =1% , donc le réducteur convient à notre mécanique.
nm
i = nm
nT
n =
iR
d’où nT = 22 ,38 tr/min
R T
m . V1
n T= π . DT (voir III..1.8.1
nT . π . DT
V = m d’où V1 = 14,75 m/min
1
m=2
𝑈𝑇 = 0,420 m
AN.
KF = 1,75 d ou Mf = 63 da N.m
M1 = 36 da N.m
Tableau III.7
Poulie de freinage
Bielle
Sabot
B ,C,F,H – articulations
M – action de l’électroaimant
Q – contre poids
U – coefficient de frottement
𝑄 .𝐷𝑇
M n
2 .𝑚 .𝑖𝑅.𝑦
(III.23)
AN:
m=2
Q = 120 kn
Ir = 31,5 𝜂 = 0,9
AN.
Mn = 44.44 daN . m
Tableau III.8
L’accouplement est du type MYVP – 6
III. 1.2. Vérification de la dynamique du mécanisme de levage
Les accélérations au démarrage créent des efforts dynamiques surchargeant ainsi les
éléments des appareils de levage.
Le fonctionnement.
𝑀𝑑 𝑚𝑎𝑥+𝑀𝑑 𝑚𝑖𝑛
M = 2 (III.25)
d
𝑀𝑑 𝑚𝑎𝑥= 2,9 Mn
𝑀𝑑 𝑚𝑖𝑛= 1,1 Mn
Mn : moment nominal
𝑀𝑛+1,1𝑚𝑛
Md= =2M n
2
Mn = 975 𝑁
(III .26)
𝑛
AN.
Nm = 37 KW d ou Mn = 51,17 daN . m
Md =
Smax .a.DT (III.27)
2.irη
a = 2: (Plan 2)
η =0,9
Ix Iy Wx Wy S
2. Fmax
Pmoy
F (III.29)
min
3
Avec
Pmoy : Charge moyenne par galet,
Dg : Diamètre du galet,
b: Largeur utile du rail, la valeur de «
C1 : Coefficient dépendant de la vitesse de rotation du galet,
C2 : Coefficient dépendant du groupe du mécanisme,
PL : Pression limite dépendant du matériau constituant le galet.
🗸 Calcul de la charge moyenne
La charge moyenne par galet est donnée par l’expression suivante :
GS
Fmax = GS+Q et F = (III.30)
4 min
4
Avec :
Gs : Poids du chariot,
Mémoire de projet de fin d’études. Page 52
Chapitre III : Calcul des mécanismes de levage et de
direction
Q :: Charge de service
15000+12000
Fmax = = 6750 daN
4
Fmi 3750daN
15000
n
4
Pmo 2. F
y F max
min
3
2.6750+3750
pmoy =
4
Pmoy = 4312,5
🗸 Détermination de la largeur utile du rail
La largeur utile du rail est donnée par la formule suivante :
bK (III.31)
2r 59mm
🗸 Détermination du coefficient C2
Le coefficient C2 dépend du groupe dans lequel est classe le mécanisme est donné :
1000.Vd
N (III.32)
. D gno
La valeur de la vitesse de rotation nous conduit à la nouvelle valeur de C 1 qui
est injectée dans la relation précédente et permet de déterminer le nouveau diamètre du galet
Dg1.
Si Dg1 Dgn0
On prend Dg1= Dgn0.
Si non on fait le même raisonnement jusqu'à satisfaire la condition suivante.
Dgi Dgni-1.
Pour les diamètres de galets supérieurs ou égaux à 200 mm, les valeurs de C1 sont
données dans le tableau en fonction de la vitesse linéaire du galet.
Pour notre cas on prend le diamètre de 500 mm .avec un coefficient C1 = 0,97 d’où la
vitesse de direction est 60 m/min.
500 1,15 1,14 1,13 1,11 1,09 1,06 1,03 1 0,97 0,94 0,91 0,87 0,82 0,77 0,72
Justification du choix
Cr Q.Kr . v1
.
2 .N 2,51daN.m (III.34)
3
10 v 1
Cy Q. . . . 461daN.m
g 2.N (III.35)