TP Sclérometre Granulometrie
TP Sclérometre Granulometrie
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Faculté de Technologie
Master
Travaux Pratiques
ANALYSE GRANULOMÉTRIQUE
SOMMAIRE
PARTIE I. ANALYSE SUR BETON DURCI………..
……………………………………………………………..…..……..……...1
I.1.
Introduction...............................................................................................................................................
.........2
I.2. Essai au scléromètre
………………………………………………………………………………...……………….
…………..2
I.2.1.
Définition…………………………………………………………………………………………………
…………............……….…2
I.2.2. But de
l’essai……………………………………………………………………………………………………
……………….……..3
I.2.3.
Principe…………………………………………………………………………………………………
……………………….………..3
I.3. Site et conduite de l’essai ……………………………………………………..
………………………………..….………….4
I.4. Mode opératoire………………………………………..
…………………………………………………………...……………..4
I.5. Résultats des essais au scléromètre……………………………………………………..
…………………….……….6
II.1. Introduction……………………………………….……………………..
…………………………………………………………….8
II.2 essai d’analyse granulométrique……………………………………..
………………………………………………………..8
II.2.1 Définition…………………………………………………………………………………………..
…………………………………….8
II.2.2 But de
l’essai……………………………………………………………………………………………………..
.……………………8
II.2.3 Principe de
l’essai……………………………………………………………………………………………………
………….…..8
II.3 Le matériel utilisé pour l’essai………………………………..………………………………….
…………………………9
II.4 Mode opératoire pour la réalisation de l’analyse
granulométrique……………………………...9
II.5 Résultats…………………………………..……………...
………………………………………………………………………….....10
II.6 L’analyse de résultat de l'Analyse
granulométrique………………………………………………..………10
I.1. Introduction
La construction d’un élément en béton armé se compose d’une succession d’étapes.
1
Intervient le choix définitif des matériaux nécessaires (type de béton et d’aciers), les critères
déterminant étant la résistance (état de ruine), la déformabilité (état de service), la durabilité
(protection des armatures) et la mise en place (réseau d’armatures et ouvrabilité du béton).
Le béton est considéré comme un solide après achèvement de la prise, mais il s'agit en
fait d'un matériau en perpétuelle évolution :
Les variations du milieu ambiant amènent des changements lents dans la structure du béton.
La réalisation des mesures directes des propriétés de résistance mécanique du béton d'un
ouvrage bâti entraînera des contraintes destructives. « Essai destructives ».
C’est pour ces raisons qu’une nécessité accrue pour la mise au point des méthodes non
destructives s’est révélée essentiel.
Ces essais sont rapides, souple à mettre en œuvre, et apportent de surcroît une réponse globale
à l’échelle d’une structure, dans le cadre des contrôles d’ouvrages neufs ou en construction et
comme diagnostic d’état d’ouvrages anciens, ou ayant subi des dommages suite à une
catastrophe « incendie, séisme... ».
Plusieurs méthodes non destructives d'évaluation ont été mises au point. Desquels, une
estimation de la résistance peut être obtenue, tel que :
Cet essai non destructif, a été développé par Ernst Schmidt en 1948. Connu aussi sous le nom
l’essai au marteau Schmidt ou essai au scléromètre.
I.2.3. Principe
Il s’agit de mesurer le rebondissement d’une masselotte projetée par un ressort qui se
comprime lors de l’application de l’appareil contre la surface du béton à mesurer.
La hauteur du rebond de cette masselotte est lue sur une échelle graduée :
Le principe de base de l’essai au scléromètre est que le rebond d’une masse élastique dépend
de la dureté de la surface sur laquelle frappe la masse, comme présenté sur la figure (I.2).
Remarque :
Pour plus de précision, les deux valeurs minimales et les deux valeurs maximales sont
écartées.
Les essais n°8, n°11, n°15 et n°17 sont à négliger. On prend la moyenne des 18 essais.
La résistance moyenne peut être estimée à 33,43 MPA
On peut juger que le béton de la partie d’ouvrage étudié à partir des indications du
Scléromètre.
Présente une haute résistance.
Partie II
ANALYSE GRANULOMÉTRIQUE
II.1. Introduction
Les granulats sont nécessaires pour la fabrication des bétons, elles permettent de diminuer la
quantité de liant qui est économiquement onéreux.
Elles augmentent la stabilité dimensionnelle (retrait) et elles sont plus résistants qu’un mortier
de ciment.
On appelle granulat un ensemble de grains minéraux, de dimensions comprises entre 0 et 125
mm, de provenance naturelle ou artificielle,
II.2.1 Définition
L’analyse granulométrique du sol, permet de caractériser le sol et de comprendre son
fonctionnement.
La répartition des différentes fractions granulométriques permet de classer le sol dans une
classe de texture, qui définit certains paramètres de comportement physiques, de rétention en
eau utile, de capacité à stocker les éléments fertilisants, de risques de pertes par lessivage
Ce classement permet de nommer, selon les deux limites des dimensions des grains, le
matériau analysé.
Le matériau est placé dans le tamis supérieur et le classement des grains s’obtient par
vibration de l’ensemble de la colonne des tamis.
Cette vibration peut être mécanique ou manuelle.
L’analyse granulométrique permet ainsi de connaitre les différentes classes granulaires en
fractionnant les matériaux à l’aide des tamis.
On appelle :
1. Le tamisage: Opération qui consiste à séparer les granulats en différentes fractions au
moyen d’une série de tamis de caractéristiques connues.
2. Le tamisât (ou passant) : c’est l’ensemble des matériaux qui passent à travers le tamis
3. Le refus: c’est l’ensemble des matériaux qui retenue sur le tamis
Matériau utilisée
- Echantillon de sable-
- l’échantillonnage la masse de l’échantillon est M = 2000 g
On a :