Le Luxembourg Sous L'occupation Des Nazis - 1.texte Entier
Le Luxembourg Sous L'occupation Des Nazis - 1.texte Entier
Le Luxembourg Sous L'occupation Des Nazis - 1.texte Entier
Faculté des Lettres, des Sciences Humaines, des Arts et des Sciences de l’Education
LE LUXEMBOURG PENDANT LA
DEUXIÈME GUERRE MONDIALE
Brefs aspects dans la vie des occupés
Introduction
...........................................................................3
Aspects politiques
..................................................................3
Exil du gouvernement et invasion des Nazis
...................................3
VdB ..................................................................................................5
Déportations ....................................................................................9
Conclusion
.............................................................................11
Bibliographie
.........................................................................13
2
1. Introduction
En premier lieu, ce bref aperçu a pour but d’illustrer l’histoire du Luxem-
bourg pendant l’occupation des nazis et de mieux comprendre l’invasion
des troupes hostiles et le réaction des la population luxembourgeoise. La
Deuxième Guerre mondiale a frappé le Luxembourg d’une manière brus-
que et inattendue. Néanmoins, la population luxembourgeoise avait un es-
prit combatif et révoltait contre l’ennemi allemand de différentes façons.
Je vais m’occuper des aspects politiques ainsi que des aspects sociaux qui
changeaient pendant l’occupation des nazis et la réaction des Luxembour-
geois sur ces changements. Bien sûr, non seulement la vie politique et la vie
sociale succombait au pouvoir allemand, mais aussi le secteur économique
fut saisi par les ennemis. Dans cet bref aperçu, je me base essentiellement
sur les facteurs qui ont, en directe, influencé la vie de la population et je
laisse de côté les changements économiques 1. Néanmoins, je veux citer deux
altérations fondamentales de cette branche. Avec l’invasion des nazis et l’in-
troduction de différents lois, aussi la «Reichsmark» fut été adopté et l’AR-
BED fut dirigé par des Allemands.
2. Aspects politiques
Avec l’invasion du 10 mai 1940, la neutralité du pays était bafoué par l’armé
allemande et le pays fut occupé pour la seconde fois par son voisin germani-
que. Très vite, les Nazis occupaient le pays entier et ne cessaient pas de
changer la politique de l’Etat en une politique dominé par la Wehrmacht.
En ce qui concerne cette politique, la «Militärverwaltung», contrôlé par la
Wehrmacht,était plutôt passive et n’avait pas de vrai illusions de quoi qu’ils
1 cf.: LUYTEN, Dirk, Les économies belge et luxembourgeoises pendant la Deuxième Guerre
mondiale: quelques éléments de comparaison, in Publications scientifiques du Musée d’His-
toire, ...et wor alles net esou einfach: Questions sur le Luxembourg et la Deuxième Guerre mondiale.
Luxembourg, 2002, p. 142-147.
3
devaient faire avec le nouveau pays occupé. Néanmoins elle interdisait pra-
tiquement toute nouvelle création de partis politiques et exigeait la dissolu-
tion des partis existants, à noter que seule le parti «Letzebuerger National
Vollekspartei» (LNVP) avait du succès et n’était pas disloqué. Aussi le conseil
d’Etat et de la chambre des députés fur soumise à la dilution, le 22 octobre
1940.2
2 cf.: DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungpolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p. 39-63; DOSTERT, Paul, Luxemburg unter deutscher Besatzung: Zwangsre-
kutierung, Umsiedlung, Widerstand, KZ-Haft und Ermordung, in: SCHMIDT,Hermann
(dir.), Die Zeit des Nationalsozialismus in Rheinland-Pfalz: «Für die Außenwelt seid ihr
tot!», 2 vol., Mainz: Hermann Schmidt, 2000-2001,p. 240-243.
4
«Heim ins Reich». Pour arriver à cette germanisation, il faudrait de nom-
breux réorganisation ainsi que des lois et des règlements. Avec l’arrête de
langue du 6 août 1940, tout devait être germanisé; les noms et prénoms des
habitants luxembourgeois, les nom des rues et villages, aussi l’habitation
d’un béret français était interdit, les bibliothèques étaient «nettoyer» des li-
vres français. Il s’agit donc d’une reconversion culturelle qui envisageait de
faire disparaître la langue française. Cette reconversion interdisait aussi les
drapeaux luxembourgeois et animait la dissolution de la chambre des dépu-
tés et du conseil d’Etat. Il faut aussi ajouter que plusieurs monuments évo-
quant l’indépendance du Luxembourg étaient détruites. La destruction de la
«Gëlle Fra» - symbole de paix et de victoire instauré pour les victimes
luxembourgeoises des armes belges et françaises tombées pendant la Pre-
mière Guerre mondiale - le 21 octobre 1940 évoquait des grand protestes,
principalement de la part des étudiants. Aussi les images de son altesse
royale et sa famille ainsi que les drapeaux de la nation devaient reculer de-
vant les portrait du «Führer» et les drapeaux du troisième Reich. Mais, pré-
pondérant pour le grand changement de la vie politique et sociale des
luxembourgeois était l’introduisant du tribunaux d’exception.4
3. VdB
4 cf.: DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungspolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p. 64-215.; DOSTERT, Paul, «Zivilverwaltung» in Luxemburg, in Publications
scientifiques du Musée d’Histoire, ...et wor alles net esou einfach: Questions sur le Luxembourg et la
Deuxième Guerre mondiale. Luxembourg, 2002, p.46-55.; DOSTERT, Paul, Luxemburg unter
deutscher Besatzung: Zwangsrekutierung, Umsiedlung, Widerstand, KZ-Haft und Ermor-
dung, in:SCHMIDT,Hermann (dir.), Die Zeit des Nationalsozialismus in Rheinland-Pfalz: «Für die
Außenwelt seid ihr tot!», 2 vol., Mainz, 2000-2001,p. 240-251.
5
liation dans la VDB était indispensable pour les fonctionnaires d’Etat, les
instituteurs ou commerçants qui souhaitaient grader leur emploi et leur
commerce.5 Néanmoins il ne faut pas oublier qu’un grand nombre des
membres de ce parti était des membres passives, qui étaient justes adhérents
pour ne pas souffrir d’un désavantage matériel et pour s’échapper de la pres-
sion des pro-allemands. Les membres de la «Volksdeutsche Bewegung» pro-
fitaient des allocations familiales, des aides aux études ou des aides au répa-
rations dues aux bombardements et bénéficiaient encore de bien d’autres
avantages. Les membres luxembourgeois actifs du VDB et les pro-nazis ont
été nommé par les Luxembourgeois qui résistaient et refusaient de devenir
membre du VDB et qui étaient totalement patriotiques, les «Gielemänne-
cher».
4. Débuts de la résistance
Dès le premier jour de l’occupation des Allemands, une attitude hostile en-
vers l’armée nocif fut échafaudé car le patriotisme était bien ancré chez les
Luxembourgeois. Le 14.08.1940 les Luxembourgeois cabraient des insignes
nationalistes de leur pays en réponse à l'annexion envisagé par le «Gaulei-
ter» Gustav Simon. A partir de 1940, des petites groupes et organisations de
résistance débutaient à se fonder. Leur but était de lutter contre la propa-
gande «Heim ins Reich». Avec des tracts écrits en machine soit manuelle-
ment, ils essaient de créer une contre-propagande et de réaffirmer l’esprit
patriotique. Ainsi, ils ont réussi à convaincre les Luxembourgeois de répon-
5DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungspolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p. 230-237.
6
dre sur les trois questions de la fois «Personnenstandsaufnahme» avec «Lët-
zebuerg».
7
heures plus tard, le prince Felix et son Altesse, le Grand-Duc Jean sont arrivé
au Luxembourg. Le pays était libre.
3. Aspects sociaux
9DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungspolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p. 256-257.
8
nuaient de faire leurs courses chez des juifs et aidaient leurs concitoyens en
gardant leurs objets de valeurs, leurs photos ou leur argent.10
2. Déportations
9
lins d’entrer dans cette conféderation. A partir du 10 février 1943, aussi les
filles devraient participer à une de ces soit disantes unions, le «Kriegshilfs-
dienst».
12 KNEPPER, Aimé, Les réfractaires dans les bunkers. Luxembourg, 20045. p. 10.
10
Avec cette obligation des recrutements, les nazis dérogeaient contre les droits
internationales lesquels interdisent le recrutement dans une armée
étrangère.13
4. Conclusion
On peut donc constater que, malgré l’occupation parfois très brutal et in-
humaine, la petite nation luxembourgeoise restait toujours forte et ne se lais-
sait pas décourager mais militait toujours pour son indépendance et son
neutralité. C’est ce petit pays et donc cette petite nation, la première qui ré-
sistait contre les Allemands en faisant des grèves et en se révoltant aux mesu-
14DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungspolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p. 178-182.
15DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe. Die deutsche
Besatzungspolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-Dissertation. Luxem-
bourg, 1984. p.158-159.
11
res prises par le «Gauleiter». C’était grâce à la solidarité des un envers les
autres et l’esprit fort de chaque habitant- à l’exception des «Gielemänne-
cher» et les pro-nazis - que la patrie pouvait à nouveaux décider soit même
de son propre sort. Il est donc indispensable d'évoquer que la guerre et l’oc-
cupation renforçait du tout au tout l’esprit de nation et de patriotisme des
Luxembourgeois.
12
5. Bibliographie
DOSTERT, Paul, Luxemburg zwischen Selbstbehauptung und nationaler Selbstaufgabe.
Die deutsche Besatzungpolitik und die Volksdeutsche Bewegung 1940-1045. Inaugural-
Dissertation. Luxembourg, 1984.
13