Révision

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TEEO 24/11/2021

Révision

Les accords du participe passé

• Être
• Je suis allé à la maison
• Nous sommes rassasié
• Les filles sont convoqué à la direction

Cas particulier des verbes pronominaux

Ils se sont habillés


Ils se sont obéi

• Avoir
• Les enfants ont joué dans le jardin

• Exo
• Les devises que ces opérations ont généré ont été verser au trésor
• Les bilans que l’entreprise a fait ont été applaudi

• Exo2
• Nous avons dégusté la galette que maman nous avait apporté
• Ils étaient cinq bouvreuils! Et je les ai sauvés; J’ai sauvé cinq oiseaux

3) Les synonymes

Ce sont des mots qui ont à peu près le même sens mais une
orthographe différente, une prononciation différente.
Ex : Habiter, vivre, loger, résider/ Pauvreté, misère, famine/
Éphémère, temporaire, provisoire, passager.

4) Les antonymes

Ce sont des mots de même nature mais qui s’opposent par leur sens.
Certains se construisent par l’emploi d’autre mots.
Ex : Victoire/défaite, amour/haine, richesse/pauvreté
D’autre se construisent par l’usage du préfixe : in, im, il, ir, de, dés,
me, més, dis, mal, a, anti, pré, post. Et de suffixe phil et phobe.
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5) Les homonymes

Ce sont les mots qui ont la même prononciation mais pas le même
sens, il en existe deux types ;
Les homophones : ce sont les mots qui ont la même prononciation/
Maire, mère, mer.

6) Les paronymes

Ce sont des mots qui ont à peu près la même prononciation et la même
orthographe mais pas le même sens. La différence est à un phonème
ou une lettre près. Pour éviter de les confondre, il faut connaitre
l’orthographe et le sens de chaque mot.
Exemple : Allusion, Illusion/ Collusion, Collision/ Inculquer,
Inculper/ Profit, Profil.

7) Le champs lexical

Le champ lexical est l’ensemble des mots qui renvoient à une même
idée.
Le champ lexical de l’école : Le tableau, le cahier, le livre, les
enseignants, la tenue, les notes, les devoirs etc.
Le champ lexical du mariage : L’amour, les bijoux, les enfants, les
roses, lune de miel.

8) Le champs sémantique

C’est l’ensemble des sens que peut avoir un mot.


Exemple : Une puce (insecte, circuit informatique, une personne de
petite taille, informer quelqu’un de quelque chose)
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e) Lorsque le sujet est un nom de fractions au singulier (1/4, ½, 1/3) et


qu’il est suivi d’un groupe nominal au pluriel, le verbe s’accorde avec
ce groupe nominal au pluriel.
Attention si l’accent est mis sur le nom de fraction le verbe s’accorde
au singulier
Exemple : Le tiers des salariés participerons au séminaire de
formation

I-GÉNÉRALITES

La ponctuation a pour but l'organisation de l'écrit grammaticalement


grâce à un ensemble de signes graphiques ou conventionnels. Elle a
trois fonctions principales :
Elle indique des faits de la langue orale, comme l'intonation ou les
pauses de diverses longueurs (indications prosodiques).
Elle marque les degrés de subordination entre les différents éléments
du discours (rapports syntaxiques).
Enfin elle précise le sens et définit les liens logiques entre ces
éléments (informations sémantiques).
Destinée à faciliter la compréhension du texte, elle est un élément
essentiel de la communication écrite. Son absence dans un texte rend
celui-ci incompréhensible.
Un seul signe de ponctuation peut modifier la nature d'une phrase, la
rendant énonciative, exclamative, injonctive, interrogative, changeant
donc son sens et la manière de la prononcer.
Exemple :
-Vous sortez maintenant.
-- Vous sortez maintenant ?
- Vous sortez maintenant !
- Vous sortez maintenant..., etc.
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On recense traditionnellement une dizaine de signes de ponctuation


qui s'insèrent dans le texte : le point {.}, le point d'interrogation {?}, le
point d'exclamation (!), la
Virgule (}, le point-virgule (;}, le deux-points (:), les points de
suspension (...t, les parenthèses (0}, les crochets (Il}, les guillemets
{(«»}, le tiret {-), l'astérisque (*) ...

II - LES SIGNES DE PONCTUATION STRUCTURANT


L'ÉNONCÉ

Les principaux signes de ponctuation utilisés en français sont :

1-Le point (.)


Le point indique la fin d'une phrase et marque l'indépendance de
l'énoncé dans le Contexte ; il délimite les phrases dans un texte. A
l'oral, il se traduit par une pause importante. Il se place aussi après un
mot écrit en abrégé. L'intonation est descendante.
Assiba est partie à une réunion. (Point final)
- Cet appareil, qui survolait la ville, s'est écrasé tout près de chez moi.
(point final)
- P.S. (Post scriptum)
U.-A. (Union Africaine) (point abréviatif)
- tél. (téléphone) (point abréviatif)

2- La virgule (.)

La virgule marque une pause de peu de durée. Elle sépare des


éléments juxtaposés ou opposés et elle se caractérise par une courte
pause, à l'oral.
Dans une proposition, on met la virgule :
- pour séparer les éléments semblables (sujets, compléments,
épithètes, attributs) non unis par et, ou, ni.
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Exemple : Les échecs scolaires et universitaires ont pour causes le


désintérêt des apprenants pour les études, les effectifs pléthoriques
dans les classes, les grèves intempestives, l'absence de matériels
didactiques et la démission de certains parents.

- pour séparer tout élément ayant une valeur purement explicative.


Exemple : Chez les Bétés, groupe ethnique du centre-ouest de la Côte
d'Ivoire, l'hospitalité est une réalité.
- pour isoler les mots qui forment pléonasme ou répétition.
Exemples : - Rien n'arrête leur course, ils vont, ils vont, ils vont ! (V.
Hugo)
- Personnellement, je déteste les cours accélérés.
- après le complément circonstanciel placé en tête de la phrase.

Exemple : Cette année, nous prévoyons une augmentation de salaire.


Mais quand le verbe suit immédiatement ce complément
circonstanciel placé en inversion, on omet ordinairement la virgule.
Exemple : Cette année sera consacrée à la formation de nos agents.

Dans un groupe de propositions, on met la virgule :


- avant les propositions compléments circonstanciels ayant une valeur
explicative.
Exemple : Vous ne serez pas poursuivis, puisque vous avez payé vos
dettes.
Toutefois, lorsque la proposition complément circonstanciel est
intimement liée par le sens à la principale et qu'aucune pause n'est
demandée, on ne met pas la virgule.
Exemples : - Elle est partie sans dire au revoir.
La séance débutera quand le Directeur viendra.
- avant les propositions introduites par les conjonctions de
coordination autres que et, ou, ni.
Exemples :
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- Je pense, donc je suis. (Descartes)


- Il n'a pas pu acheter sa maison de rêve, car il n'avait pas
suffisamment de moyens financiers.
- pour séparer plusieurs propositions de même nature juxtaposées.
Exemple : L'habile homme est celui qui cache ses passions, qui entend
ses intérêts, qui y sacrifie beaucoup de choses, qui a su acquérir du
bien ou en conserver.
- après les propositions compléments circonstanciels placés en tête de
la phrase.
Exemple : Quand vous commanderez, vous serez obéi. (J. Racine)
- pour isoler une proposition relative explicative.
Exemple : Quelques médecins de la cour, qui revenaient de diner,
passèrent auprès de la chaise. (Voltaire)

3 - Le point -virgule (;)

Le point-virgule marque une pause de moyenne durée. A l'oral, il se


traduit par une pause un peu plus appuyée que celle de la virgule. Il est
employé pour séparer, dans une phrase, les parties dont une au moins
est déjà subdivisée par la virgule, ou encore pour séparer des
propositions de même nature qui ont une certaine étendue. On ne met
jamais de majuscule derrière un point-virgule.
Exemples :
- Ces étudiants se lamentent sans cesse ; ils ne bénéficient d'aucun
soutien.
- L'objet de la guerre, c'est la victoire ; celui de la victoire, c'est la
conquête ; celui de la conquête, la conservation. (Ch. De
Montesquieu)

III - LES SIGNES DE PONCTUATION PORTEURS DE SENS

1- Le point d'interrogation (?)


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Le point d'interrogation est employé après toute phrase ou partie de


phrase exprimant
Une interrogation directe. Il est marqué par une intonation montante, à
l'oral.
Exemples : - Auriez-vous oublié le motif essentiel de votre présence
permanente en
Classe ?
Avez-vous transmis les documents au comptable ?

2 - Le point d'exclamation (!)

Le point d'exclamation se place après les phrases exclamatives ou les


phrases exprimant une émotion forte. Il traduit un vif sentiment.
Exemple : Oh ! Qu'elle est belle, cette langue !

3 - Les points de suspension (...)

Toujours au nombre de trois points successifs, les points de


suspension s'emploient pour montrer qu'un énoncé n'est pas achevé,
soit parce qu'il a été interrompu soit parce que le narrateur laisse
imaginer la suite. L'auteur veut marquer une pause ; il revient alors au
lecteur d'imaginer la suite. Cette pause peut exprimer, par exemple,
une hésitation du narrateur, une réflexion qui se prolonge, un silence,
un secret, un sentiment tel que la perplexité, la confusion, le trouble,
un effet de surprise ou un choc à venir, les rêveries ou les méandres
d'un monologue intérieur. Ils ont le même rôle que « etc.»
Exemple : Toute la population prend les rues d'assaut en scandant...

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