Exposé Sur Le Transport Maritime
Exposé Sur Le Transport Maritime
Exposé Sur Le Transport Maritime
Sommaire :
INTRODUCTION
I – Historique et Evolution du transport terrestre
CONCLUSION
PARTICIPANTS :
Hawa SOW
Abdoulaye DIOUF
Professeur : Monsieur BA
Introduction
X - La notion de transport renvoie à l’action de transport, c’est-à-dire de déplacer dans l’espace
une personne ou un bien ce qui suppose un mouvement de personnes et de biens à l’intérieur
du pays transport interne au nationale ou à l’extérieur transport international. Le transport
routier est un mode de transport utilisant les véhicules suivants : les automobiles, les véhicules
utilitaires (légers et lourds) et les deux-roues1.
Dans le domaine des secteurs d'activité, le transport routier est une activité réglementée
de transports terrestres , qui s'exerce sur la route. Elle englobe à la fois le transport routier de
personnes, le transport routier de marchandises et le déménagement. Ces activités
commerciales sont exercées par les transporteurs routiers.
XX- Le transport routier définit un type de transport terrestre utilisant la route pour acheminer des
marchandises ou des personnes. De par ses caractéristiques, le transport routier diffère du transport
maritime, du transport aérien ou encore du transport ferroviaire.
Dans une large définition, le transport routier peut englober le déplacement à bord de véhicules
particuliers. Dans la pratique, le transport routier fait davantage référence au transport de marchandises
sur le territoire national ou à travers le monde. C’est dans l’univers de la logistique et de l’exportation/la
livraison de produits que la locution est la plus usitée. Il est d’ailleurs courant, dans cette situation
précise, d’employer l’abréviation TRM (pour Transport Routier de Marchandises).
De nos jours, le transport routier est un élément intégré dans la supply chain et vient compléter une plus
large offre de transport, de manutention, de stockage, voire d’emballage et de conditionnement. Une
entreprise a le choix entre internaliser cette activité ou bien l’externaliser en ayant recours à un
transporteur sous-traitant. Ce dernier se présente alors comme un prestataire de services ayant pour
mission d’acheminer une marchandise d’un point A à un point B pour le compte d’autrui, contre
paiement. Pour des raisons économiques et de productivité, rares sont toutefois les entreprises qui ne
font pas appel à un acteur spécialisé dans le transport routier pour l’expédition de leurs produits
III- Conventions
Chapitre II : le transport routier I- Cadre organisationnel : Le transport routier assure prés de 70% des
transports intra-communautaires (90% des exportations Marocaines à destination de l’Europe). Le
développement du transport routier s’explique par l’application de la théorie des flux tendus censée
minimiser les coûts de stockage. Dans ce system, les Entreprises soucieuses de réduction de coûts
passent des contrats draconiens avec des transporteurs routiers pour qu’ils leur apportent au temps
voulu les pièces ou les matières premières nécessaires. Les transporteurs sont des compagnies privées
de transport et des artisans camionneurs, ils sont classés suivant les itinéraires. Pour les très forts
tonnages, une autorisation est exigée. Le camion est plus souple d’utilisation mieux adaptée aux
variations des volumes à transporter.
1- convention CMR Le contrat du transport routier est matérialisé par la lettre de voiture CMR. La
convention de Genève, relative au transport public de marchandises par route, a été signée en
1956 (CMR). Les pays adhérents à la CMR sont tous les pays d’Europe. Occidentale (sauf l’Irlande
et l’Islande) ; la CMR constitue le cadre organisationnel de base du transport routier s’applique a
tout contrat de transport de marchandises à titre onéreux, au départ ou à destination d’un état
contractant à la CMR. Elle ne s’applique pas au transport intérieure, ni à certain transport
spéciaux : courrier, déménagement, les entreprises constituent les principaux acteurs du
transport routier. Au Maroc comme dans le plus part des pays ; ces entreprises restent de taille
artisanale à caractère familiale
2- 2 la convention TIR : La convention TIR (Transit international routier) a été élaborée pour
permettre sous certaines conditions au transport routier et combiné de circuler à travers
plusieurs territoires douaniers, en suspension des droits et taxes à l'entrée de chaque pays
traversé et sans autre formalité que de présenter le Carnet à souche ou CARNET TIR (cf. annexe
no 25). A l'arrivée, les douanes locales procèdent à la vérification de l'opération et au contrôle
des marchandises avec un maximum de trois déchargements sur trois sites différents (pour le
groupage). Lorsque le Carnet est apuré, la marchandise peut être déclarée sous divers régimes
douaniers. En cas d'irrégularité et s'il y a lieu de régler des droits et taxes ce sont aux
associations professionnelles (Touring club de France par exemple) qui auront délivré le carnet
de régler le montant de ces droits aux douanes étrangères. Il s'agit en fait d'un cautionnement
au même titre que la chambre de commerce cautionne le carnet ATA, à la différence que la
Chambre de commerce exige des frais de cautionnement ce qui n'est pas le cas du TIR. Les
principales conditions d'utilisation du carnet TIR sont les suivantes : 1. 1 véhicule pour 1 carnet 2.
1 voyage pour 1 carnet 3. Le trajet doit être préalablement défini ainsi que les lieux de passage
en douane (bureaux), délais de voyage, itinéraires etc
II- Les types de véhicules selon nature des marchandises : On les appelle camions, remorques,
semis, camion remorques, porteurs solo ou encore trains roulier (CF. annexe no40). De façon plus
précise il y a lieu de distinguer :
1.Les camions : véhicule isolé offrant au maximum 12 mètres de long 2,50 m de large et 4 mètres de
hauteur.
2. Les semi-remorques (Tracteur + remorque) : aux alentours de 15 mètres maxi de longueur en Europe,
ils permettent selon le nombre d'essieux de déplacer des masses importantes (40tonnes en moyenne)
mais attention à la réglementation, certains pays comme la Suisse ne tolèrent pas plus de 28 tonnes (19
pour les camions) de PTAC (poids total admissible en charge).
3. Les camions remorques (ou train rouliers) : Souvent considérés comme dangereux à cause de leur
articulation, leur utilisation est également règlementé .Sont essentiellement faits pour Transporter du
volume (jusqu'à 120 m3)
2 -Documents utilisés :
1- Conventionnel :
C’est en groupage de (cartons, caisse…) dans le même camion, avec d’autre colis appartenant à
autre client mais qui ont la même destination .en effet comme en aérien .
Complets :
Si le nombre de colis à expédier est suffisant pour un ou plusieurs camions le fret évolue vers un
caractère forfaitaire en fonction du type de camion.
Le contrat de transport routier est matérialisé par la lettre de voiture CMR. La signature du transporteur
entraîne une présomption de responsabilité en cas de perte ou d'avaries. En cas de réserves formulées
par le transporteur, celles-ci devront être contresignées par l'expéditeur
Les échanges entre les villes allaient en augmentation Les caboteurs côtiers étaient lents et peu
fiables. Il fallait donc faire quelque chose pour ouvrir et entretenir les routes. et il ne fallut pas
longtemps pour que le premier projet complet de législation ineffective, comme ses successeurs, soit
rédigé .
Vers la fin du seizième siècle, des gros wagons, d’une capacité de deux à quatre tonnes et tirés par
six chevaux ou bœufs, ont commencé à circuler lentement sur les routes principales.
Les coches publics faisaient ensuite leur entrée en scène. Ils étaient lents, ne dépassant une
vingtaine de kilomètres par jour et étonnamment inconfortables, puisque totalement dépourvus de
ressorts ou même de roues à rayons. Dans tous les cas, les gens voyagent peu, voire jamais, et
rarement pour le plaisir, à cause des mauvaises routes, surtout en hiver.
L’expansion des routes privées à péage au Royaume-Uni et la construction du réseau géré par l’État
en France, ainsi que l’extension du service postal, allaient de pair avec une croissance rapide du
transport routier au XVIIIe siècle. À la fin du siècle, au moins au Royaume-Uni, presque toutes les
grandes villes se trouvaient à quelques jours de Londres en diligence (appelées stagecoach en
Anglais parce qu’elles changeaient de chevaux toutes les quinze à vingt km ou à peu près,
normalement ou un auberge se trouvait). Celles-ci pouvaient parcourir en moyenne 15 km à l’heure
avec une douzaine de passagers, mais étaient bien sûr très chères. Voyager ainsi n’était pas pour
tout le monde. Un long voyage de 300 km, disons, de Londres à Leeds, sur les routes à péage,
aurait coûté plus d’une semaine de salaire à un ouvrier qualifié, tenant compte du titre de transport et
les innombrables pourboires aux cochers rapaces et au personnel notoires peu serviable des
auberges. Aujourd’hui, ce prix achètera un billet aller-retour transatlantique.
Au début du XIXe siècle, les technologies convergentes des technologies pour la construction de
routes et des moteurs legers à vapeur à haute pression légers menaient à l’introduction des autocars
routiers. Au Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, en France, un certain nombre de services
interurbains et locaux ont vu le jour au cours des années 1830. Certains exploitaient des services
réguliers fiables transportant dix-huit passagers à une vitesse moyenne pouvant atteindre 25 km à
l’heure.
Cet autocar à vapeur Gurney de 12 BHP et d’une vitesse maximale de 16 km/h effectuait quatre
voyages par jour entre Gloucester et Cheltenham (13 km) pendant quatre mois en 1831.
Cependant, au moins au Royaume-Uni, de puissantes intérêts conspiraient contre ces véhicules. Les
propriétaires fonciers, politiquement la groupe dominante, avaient déjà investi massivement dans le
transport ferroviaire et risquaient de trop perdre. Ils ont efficacement freiné le transport routier
motorisé pendant soixante ans par une législation imposant une limitation de vitesse à 5 km/heure et
l’ont astucieusement automatisé en exigeant que le véhicule soit précédé en tout temps d’un homme
portant un drapeau rouge.
Quoi qu’il en soit, le rail s’était révélé être le bon choix à l’époque. Les routes n’auraient pas résisté à
un trafic motorisé intense, car la gestion de l’entretien était négligée et mauvaise. Bien que les
infrastructures ferroviaires soient plus coûteuses à construire que les routes en raison des pentes
modérées et des courbes prononcées qu’exigeaient les locomotives relativement peu puissantes,
alliées à des rails en acier lisse , elles garantissaient des coûts d’exploitation faibles. Le billet de train
chutait et en quelques années avec l’arrivée du billet de troisième classe, et le grand public pouvait
enfin voyager . Leeds n’était plus beaucoup plus d’une journée de salaire à Londres. Dans les
années 1860, la plupart des grandes villes britanniques étaient reliées à Londres à une vitesse
moyenne pouvant atteindre 80 km / h. Celle-ci n’a pas beaucoup changé pendant les cent années
subséquents.
Le moteur à combustion interne tournant à haute vitesse, avec un rapport poids / puissance bien
supérieur, et alimenté par les gaz, se présentait dans les années 1860 Le système d’alimentation
était encore très encombrant mais, suite à la mis en marché du combustible liquide dérivé du pétrole,
il a littéralement explosé dans les années 1880 en tant que force motrice légère et portable. Les
inventeurs des moteurs à combustion s’y est précipitée et, au tournant du siècle, le transport routier
motorisé était sujet à un développement intense. Au début de la Première guerre mondiale, il
dominait le transport local de marchandises et de personnes. Ensuite, il commencer à concurrencer
le rail sur de longs trajets autant pour des passagers que pour le transport de marchandises.
Alors que les prix des voitures chutaient, atteignant 100GBP au Royaume-Uni dans les années trente,
la voiture privée devenait de plus accessible, premièrement pour la classe moyenne et ensuite à la
majorité des familles dans les années ’60. Maintenant la voiture familiale fait concurrence à la météo
comme sujet de conversation depuis près de cent ans. Il continuera à combler les lacunes de
conversation, mais au fur et à mesure que sa popularité diminuera et que sa banalité augmentera (et
pour être juste, sa fiabilité), il n’aura tendance à générer que l’intérêt poli que nous accorderions
maintenant aux mérites des aspirateur
Le document écrit est une lettre de voiture CMR. Selon la convention, la lettre de voiture CMR est
établie en trois exemplaires dont un est remis à l'expéditeur, le second accompagne la marchandise et le
troisième est conservé par le transporteur (en fait, les carnets pré imprimés de lettres de voiture
comprennent cinq exemplaires : expéditeur, destinataire, marchandise, transporteur et une souche
restant dans le carnet).
Si la marchandise doit être chargée à bord de plusieurs véhicules, l'expéditeur mais également le
transporteur peuvent demander l'établissement d'une lettre de voiture par véhicule. Il s'agit ici d'une
option qui ne se retrouve pas en ferroviaire où les RU-CIM prévoient qu'une même lettre de voiture ne
peut concerner que le chargement d'un seul wagon. Ils n'ont pas de caractères négociables