Présentation LAVAL Etudiants TFH
Présentation LAVAL Etudiants TFH
Présentation LAVAL Etudiants TFH
Mon nom est Fatima-Azzahrae Hammoud, j’ai 22 ans. Je suis originaire du Maroc et je suis actuellement en pro-
gramme d’échange à l’université Laval. Je fais une majeure en finance d’entreprises. Ambitieuse et dynamique,
j’adore m’investir dans les activités sociales et pouvoir apporter de l’aide, quand c’est possible, aux populations
les plus défavorisées. J’ai été membre actif dans une association marocaine AMALI pour la lutte contre la stigmati-
sation de la maladie mentale au Maroc. C’est dans cette perspective que j’ai
choisi cette matière de gestion de projets internationaux pour pouvoir élargir
mon champ de connaissances vers l’international et pouvoir être impliquée dans
des projets d’aide internationaux. Ainsi, le travail de Tourism for Help m’inté-
resse dans la mesure où la disposition de formation en hôtellerie aux jeunes sé-
négalais pourrait être d’une grande utilité à la fois pour ces jeunes dont la scola-
rité a été interrompue mais aussi pour tout le pays en contribuant à la diminu-
tion du taux de chômage, du taux de pauvreté et en animant l’activité écono-
mique et touristique du pays. Que des bénéfices pour tout le monde, chose qui
ne peut que me motiver. Je voudrais, grâce à cette expérience, apprendre à pla-
nifier et à mettre en œuvre un projet en bonne et due forme, élargir mon réseau de contacts professionnels mais
aussi développer de nouvelles compétences en termes de gestion de projets.
Je m’appelle Aubéri Leroy, je suis française et aie également 22 ans. Je suis expatriée
à Québec dans le cadre de mes études depuis le 1er septembre 2012. Je suis titulaire
d’un DUT en information et communication (IUT Paris Descartes), d’une licence 3 en
communication et médiation (Université Lyon III) et d’une licence professionnelle en
gestion et création des PMO (Université Lyon III). Actuellement j’étudie à temps plein
au MBA Gestion des entreprises à l’université Laval (Québec). Au cours de mes 5 an-
nées d’études j’ai appris beaucoup, et plus j’apprends plus je découvre les failles de
notre modèle économique dominant. Savoir qu’il existe de très fortes inégalités entre
les populations me dérange et j’ai envie de mettre en application mes connaissances
au profit de la solidarité internationale. Au cours de cette session j’ai donc choisi de suivre un cours en gestion
des projets internationaux afin de participer à un projet de solidarité qui viendrait apporter une aide concrète à
des communautés dans le besoin. J’ai ainsi découvert l’association Tourism for Help et ses projets passionnants.
Aimant énormément voyager, je trouve le concept de tourisme durable très intéressant, d’autant qu’il vient sou-
tenir économiquement des projets de manière durable. Collaborer avec Tourism for Help est pour moi une pre-
mière expérience de la solidarité internationale, mais c’est aussi la découverte d’une communauté et de ses pro-
blématiques. Aux vues des succès des précédents projets de centre de formation au Cambodge et au Mali, et des
expériences de l’équipe de Tourism for Help, j’espère apprendre beaucoup, tant professionnellement qu’humai-
nement, sur la solidarité internationale et sur la gestion de projets de développement. Concrètement il s’agit de
découvrir le fonctionnement des différents bailleurs de fonds et de leurs exigences, de collaborer avec des orga-
nisations locales et de comprendre leurs besoins afin de travailler au mieux dans leurs intérêts. Suite à ce cours,
je serai intéressée de pouvoir suivre l’avancée du projet au Sénégal. Cela me permettra d’évaluer la pertinence
de l’aide apportée, de pouvoir progresser et pourquoi pas m’investir également dans de nouveaux projets de
solidarité internationale.
Je m’appelle Maria Lemhouer, je suis étudiante en finance à l’Université Laval dans le cadre d’un partenariat
d’échange (ISCAE Maroc- Université Laval). Actuellement, je suis inscrite dans le cours de gestion des projets inter-
nationaux, ce choix est pour moi une occasion d’assouvir cette envie d’aider les gens et de redessiner le sourire sur
leurs visages, de se battre contre les inégalités sociales qu’aucun être humain ne peut contrôler. Ce choix est égale-
ment pour moi un moyen de partir à la découverte de l’autre, de sa culture et de ses modes de vie qui diffèrent
d’un pays à un autre. Durant ma formation, j’ai été membre actif d’une association Maro-
caine Iscaeiste sans frontières (ISF) qui fai- sait partie des clubs du bureau des étudiants de
mon école, j’ai, pu par ailleurs, participer à plusieurs projets à vocation sociale, contribuer à
l’aide de plusieurs personnes en besoin. Le travail de Tourism for Help m’intéresse dans le
sens où il offre une grande opportunité à des jeunes appartenant à des milieux défavori-
sés, d’avoir une vie active, de réduire le taux de chômage et par conséquent de contri-
buer au développement économique du pays, chose qui me laisse certaine d’avoir effec-
tué le bon choix de projet. Pour finir, le fait que je sois confrontée à une population en
grande détresse morale ou physique impacte fortement ma personnalité et ma psychologie et m’est également
d’une grande richesse d’enseignements.
Je m’appelle Mohammed Boutouba. Je suis étudiant en MBA Gestion Internationale à l’Université Laval depuis
Septembre 2012. Je suis également lauréat de l’Institut Supérieur de Commerce et d’Administration des Entre-
prises (ISCAE) à Casablanca (Maroc) avec un diplôme en finance et administration. Durant ma formation, j’ai tou-
jours accordé une grande importance au travail associatif et au bénévolat. J’ai été membre actif de plusieurs asso-
ciations au Maroc, dont l’association EDEN des œuvres socioculturelles, ce qui m’a
donné l’occasion de travailler sur différents projets dont le but était d’aider les
jeunes issus des milieux défavorisés. Le choix d’un cours à l’université portant sur la
solidarité internationale est logique dans la mesure où cela me permet d’explorer de
nouvelles perspectives dans l’aide humanitaire. Dans ce sens, le travail de Tourism
for Help représente pour moi une bonne opportunité de tester et d’améliorer mes
connaissances. De plus, je trouve que le Centre de Formation aux Métiers de l’Hôtel-
lerie au Sénégal est une bonne initiative pour aider les jeunes de la région à faire
face à des conditions de vie souvent difficiles. Je pense que ce genre de projet serait
réalisable et d’une grande utilité au Maroc aussi, ce qui explique mon grand intérêt
pour ce projet en particulier. Pour finir, le plaisir et la satisfaction de contribuer,
même de loin, à la réussite du projet sont une source de motivation supplémentaire pour moi.
Je m’appelle Nathalie Midori DENECHERE, je suis franco-japonaise et inscrite depuis cet automne en maîtrise du
développement international et de l’action humanitaire à l’Université Laval. Avant de venir m’installer à Québec,
j’étais employée en tant que personnel administratif à la Mission Permanente du Japon à Genève. La gestion de
projets internationaux s’inscrit dans mon domaine d’études et ma maîtrise comprend en fin de programme un
stage de 3 mois sur le terrain auprès d’une ONG dans un pays en développement. Mon
objectif serait d’effectuer ce stage en Afrique ou en Asie. Le thème de l’employabilité des
jeunes qui concerne le présent projet de Tourism for Help m’intéresse particulièrement
car c’est un sujet qui préoccupe bon nombre de pays à l’heure actuelle, notamment les
PED où les structures favorisant la formation et l’insertion professionnelle manquent. Je
suis heureuse de pouvoir collaborer avec une ONG telle que Tourism for Help dont la vo-
cation est de soutenir la jeunesse en lui offrant les opportunités de devenir des acteurs
essentiels au sein de leur communauté.