Expose Yahyaoui Fianle
Expose Yahyaoui Fianle
Expose Yahyaoui Fianle
Réalisé par
1 : AQAMOUR WISSAL
2 : AJARTI OUISSAL
3 : AISSA ABDERRAZZAK
Encadré par ;
M.YEHYAOUI
Sommaire
Introduction :
Chapitre 1 : les types de transactions internationales.
Section1 : les deux approches des échanges.
Section2 : Echanges des biens (commerce) et échanges d’actifs (IDE).
Section3 : La balance des paiements.
Section4 : La balance des paiements et la globalisation financière.
Conclusion :
Bibliographie :
~2~
Introduction :
~3~
Chapitre1 : les types de transactions internationales.
Section1 : les deux approches des échanges.
~4~
2. Les paiements internationaux :
Chaque pays ayant une monnaie propre pour effectuer des échanges
internationaux, il faut échanger des monnaies sur un marché des changes.
Le marché des changes :
Forex est un type de marché financier sur lequel sont échangées les devises dites
convertibles. le marché des changes désigne donc l'endroit où différents acteurs
peuvent s'échanger de la monnaie en respectant un taux de change déterminé. Ce
dernier n'est jamais fixe et évolue sans arrêt. Le marché des changes est, en volume
de transactions, le marché financier le plus important au monde.
Le Taux de change :
Le taux de change d’une devise (appellation d’une monnaie qui est acceptée à
l’étranger) est le cours, c’est à dire le prix, de cette devise par rapport à une
autre devise. Il s’explique par 2 variables :
- la balance des transactions courantes, en cas d’excédent (vente) de cette
balance, les le cours de la monnaie augmente.
~5~
le contrôle du taux de change nominal, qui est déterminé sur le marché des
changes. Le flottement s'applique donc, en principe, à un marché des changes
Il s’agit d’éviterune crise économique comme celle des années 1930, due aux
changes flottants (évolution de la valeur des monnaies en fonction de l’offre et
de la demande), aux dévaluations monétaires et à l’absence d’entente entre les
États. Sur le plan institutionnel, les accords de Bretton Woods créent le Fonds
monétaire international (FMI) et la Banque internationale pour la
reconstruction et le développement (BIRD). Le FMI doit permettre de fournir
des liquidités aux pays en difficulté pour éviter de nouvelles dévaluations, alors
que la BIRD (aujourd’hui une des composantes de la Banque mondiale) doit
favoriser le développement économique.
~6~
Reprenant l'accord issu des négociations franco-américaines de Rambouillet en
novembre 1975, le retour à terme à un système généralisé de parités fixes
maisajustables est inscrit dans les statuts révisés du FMI.
Il est cependant très théorique car suppose un vote réunissant 85 % des voix
des administrateurs du FMI. Avec 17 % des voix, les États-Unis disposent d'un
droit de veto.
~7~
intérêt durable et donc investissement direct lorsqu’une entreprise détient au
moins 10 % du capital ou des droits de vote d’une entreprise résidente d’un
pays autre que le sien.
L'investissement direct comprend à la fois l'opération initiale entre les deux
entités et toutes les opérations financières ultérieures entre elles et entre les
entreprises du même groupe international.
Ces prises de participation peuvent prendre différentes formes, les principales
étant : la création de sociétés ou d’établissements (investissements dits
« greenfield »), les acquisitions et fusions, le réinvestissement dans les filiales
étrangères des bénéfices que celles-ci réalisent ("bénéfices réinvestis").
Section3 : la balance de paiement.
1. Définition :
La balance des paiements se présente sous la forme d'un état comptable dans
lequel les opérations sont regroupées dans quatre grands comptes. Un poste
résiduel (les erreurs et omissions nettes) sert à compenser les faiblesses de la
collecte statistique. La disposition des quatre comptes et l'ordre
d'enregistrement des opérations au sein de chaque compte suivent la même
logique : on va des opérations les moins liquides vers les opérations les plus
liquides. C'est pourquoi on enregistre successivement les opérations
concernant les actifs réels (échanges de biens et services par exemple), les
actifs financiers (investissements) et les actifs monétaires.
2. Les différents types d’opérations enregistrées en balance des paiements :
~8~
Le compte d’opérations financières :
Le compte d'opérations financières (hors avoirs de réserves) regroupe toutes
les transactions financières et monétaires des secteurs public et privé. Les
différents comptes financiers sont classés par ordre de volatilité croissante des
opérations. Le compte des investissements directs enregistre les prises de
participation dans le capital d'une entreprise pour des motifs de prise de
contrôle totale ou partielle. Le compte des investissements de portefeuille
regroupe les opérations de placement à caractère spéculatif sans recherche de
prise de contrôle. Le compte des autres investissements recouvre les crédits
commerciaux, les prêts à court et moyen termes, les crédits et prêts du FMI,
etc.
Le compte des avoirs de réserves et postes apparentés :
Le compte des Avoirs de réserves et postes apparentés enregistre séparément
l'ensemble des opérations monétaires de l'État. Par exemple, l'achat par la
banque centrale de devises étrangères au moyen de monnaie nationale
s'inscrit au débit au compte des avoirs de réserves.
3. Résidents et non-résidents :
Résidents :
−Les personnes physiques ayant leur principal centre d’intérêt en France,
quelle que soit leur nationalité, à l’exception des fonctionnaires et militaires
étrangers en poste en France qui restent des non-résidents.
− Les fonctionnaires et autres agents publics français en poste à l’étranger ou
mis à la disposition d’organisations internationales ou d’autres employeur non
résident.
− Les personnes morales, françaises ou étrangères, pour leurs établissements
en France, à l'exception des représentations des pays étrangers et des
organismes internationaux installés en France, lorsqu'il y a existence d'une
activité économique réelle exercée en France par des unités de production
autonomes, quelle qu'en soit leur forme juridique (filiale, succursale, agence,
bureau, etc.).
Non-résidents :
− Les personnes physiques étrangères ou françaises qui vivent habituellement à
l'étranger, c'est-à-dire qui y ont leur installation effective, à l'exception des
représentations françaises et des fonctionnaires français en poste à l'étranger.
~9~
− Les personnes morales, étrangères ou françaises, pour leurs établissements à
l'étranger lorsqu'il y a existence d'une activité économique réelle exercée à
l'étranger par des unités de production également autonomes.
4. Transactions et Règlements :
Si les variations des postes constitutifs de la position extérieure des IFM et des
secteurs des autorités monétaires et des administrations publiques résidents
Comptabilisent les règlements intervenus avec les non-résidents, les autres
rubriques de la balance des paiements, en revanche, ont pour vocation
d'enregistrer les opérations entre résidents et non-résidents, non pas au
moment où elles sont réglées par encaissement ou décaissement de devises ou
d’euros, mais au moment où elles interviennent.
Pour assurer la cohérence entre les règlements associés aux mouvements de la
position extérieure, et les transactions de biens et de services, des rubriques de
crédits et de prêts ont pour objet d'enregistrer l'incidence des termes de
paiement attachés à ces transactions, tandis que le poste « Transferts courants
» comptabilise les prestations sur biens et services sans contrepartie, tels les
dons. Par ailleurs, le titre « Transferts en capital » comptabilise les remises de
dettes dont la contrepartie se trouve dans les prêts en remboursements
d'actifs ou dans les engagements en remboursement de passifs.
Section4 : la balance de paiement et la globalisation financière :
1. Définition :
Le concept de globalisation financière désigne le processus d’intégration des
différents marchés de capitaux et d’ouverture de tous les marchés nationaux à
l'international pour aboutir à un marché mondial unique des capitaux. Elle est
le résultat du développement des innovations financières et des nouvelles
technologies dans un contexte général de déréglementation. Elle se caractérise
par l’explosion des activités et des institutions bancaires et financières que l’on
désigne parfois sous le terme général de marchés financiers pour montrer
l’importance de leur rôle dans certaines évolutions monétaires, boursières ou
bancaires.
Les pays échangent des biens, des services, des revenus mais aussi des
capitaux. La mondialisation ne se résume en effet pas à l’échange de
marchandises mais est devenue financière. La globalisation monétaire et
surtout financière, qui a émergé dans les années 80, a aujourd’hui beaucoup
plus d’impact sur la croissance et son instabilité que l’internationalisation des
échanges de B&S.
~ 10 ~
Ces échanges, réels ou financiers, sont enregistrés au niveau mondial dans un
document comptable appelé la balance des paiements. Son analyse permet de
savoir si un pays est créditeur ou débiteur du reste du monde. Intervient alors
la monnaie qui permet de régler les échanges et dont la valeur es définie sur le
marché des changes. Les échanges monétaires aujourd’hui représentent 50 fois
les échanges commerciaux. C’est que la monnaie sert aussi de moyens de
spéculations.
~ 11 ~
Chapitre2 : les échanges de biens et échanges d’actifs.
Section1 : le commerce international.
Définition :
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les échanges internationaux ont
pris une ampleur croissante. Toutes les nations sont devenues
interdépendantes, profitant de la mise en place d'un cadre institutionnel
favorable aux échanges. Aujourd'hui, même les pays les plus fermés sont
contraintes d'ouvrir petit à petit leurs frontières et de prendre part à ce
gigantesque marché mondial.
Le commerce international correspond à l'ensemble des biens et services
faisant l'objet d'un échange entre les espaces économiques nationaux. Il est
mesuré par le total des exportations (importations) mondiales. La théorie du
commerce international est la branche de la science économique qui
s'intéresse à la modélisation des échanges de biens et de services entre États.
Elle se penche également sur les questions d'investissement international et de
taux de change.
En économie, l'avantage comparatif est le concept principal de la théorie
traditionnelle du commerce international. Cette dernière comprend deux
branches essentielles. La première est fondée sur la pensée classique inspirée
de David Ricardo, et la seconde s'inspire des outils de l'organisation industrielle
et de l'économie géographique.
Aujourd’hui, de nouvelles théories expliquent l’échange international à partir
de la structure de marché portant sur l’existence d’économies d’échelle, sur la
structure de monopole, sur l’oligopole et sur la concurrence oligopolistique.
L’existence du commerce international, en particulier de l’échange intra
branche, peut s’expliquer par la structure oligopolistique des marchés, pour
Kurgman et Brander.
Exemple : Soient deux pays A et B en économie fermée et identiques en tous
points. Dans les deux pays, deux firmes, respectivement 1 et 2, en situation de
monopole et produisant un bien X. En situation d’échange international, on
passe à un duopole et à un comportement de réaction oligopolistique, chaque
firme tentant d’acquérir des biens des parts de marché dans le pays adverse.
On a ainsi un commerce international intra branche croisé sur des biens
strictement identiques.
~ 12 ~
Typologie de commerce international :
Le commerce international comprend toutes les opérations sur le marché
mondial. Il est l'organe regroupant les divers pays du monde engagés dans la
production des biens destinés aux marchés étrangers. Le commerce mondial
comprend :
~ 13 ~
En outre, le Maroc a conclu de nombreux accords avec les pays d’Afrique
Subsaharienne, qui prennent la forme de conventions commerciales et
Tarifaires , d’accords basés sur la clause de la Nation la Plus Favorisée (NPF) ou
d’accords multilatéraux. Cependant, plusieurs de ces accords ne sont pas
encore entrés en vigueur. On cite à titre d’exemple les conventions
multilatérales telles le projet d’accord de commerce et d’investissement avec
l’Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA) paraphé en
2008. D’autres sont encore en cours de négociation telle la mise en place
progressive de zones de libre-échange avec la Communauté économique des
Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté économique et
monétaire des Etats de l'Afrique Centrale (CEMAC). Ces retards constituent
donc un frein au développement du commerce du Maroc avec l’Afrique
subsaharienne et au commerce intra-africain à grande échelle.
Par ailleurs, les relations commerciales entre le Maroc et l’Afrique
subsaharienne sont asymétriques étant donné qu’elles bénéficient davantage
au Maroc. Ceci peut être illustré par sa balance commerciale avec le continent
qui est devenue excédentaire depuis 2008. Le solde a effectivement atteint
992,3 millions de dollars en 2015 (soit 1% du PIB), après avoir enregistré des
montants de 1 091,5 et 981,5 millions de dollars en 2014 et 2013
respectivement. Par ailleurs, alors que les exportations du Maroc vers l’Afrique
subsaharienne connaissent une tendance haussière depuis 2009, les
importations ont quant à elles suivi une tendance baissière enregistrant un
taux de croissance de 70%.
Figure 1 : Coûts du commerce en % des valeurs des exportations (Moyenne 2009 – 2015)
~ 14 ~
Figure 2 : Exportations, importations et balance commerciale du Maroc avec l'Afrique subsaharienne
Définition :
Un investissement direct étranger est un investissement effectué en vue
d'établir des liens économiques durables avec une entreprise tels que, les
investissements qui donnent la possibilité d'exercer une influence réelle sur la
gestion de ladite entreprise au moyen :
- De la création ou de l'extension d'une entreprise, d'une filiale, ou de
succursale appartenant exclusivement au bailleur de fonds;
- De l'acquisition intégrale d'une entreprise existante; D'une participation à une
entreprise nouvelle ou existante;
- D'un prêt à long terme (5 ans et plus)
Les entités ou les groupes d'entités associés non résidentes qui effectuent les
investissements sont appelées investisseurs directs érigés ou non en sociétés,
(respectivement filiales ou succursales) dans lesquelles ces investissements
~ 15 ~
directs ont été effectués, sont désignés par le terme entreprises
d'investissement direct.
Typologie d’IDE :
Trois catégories d'IDE se présentent:
- Investissement axé sur le marché local.
- Investissement axé sur les marchés extérieurs.
- Investissement dû à l'initiative de l'état.
Le détenteur de capitaux se positionne dans l'une des trois catégories selon les
facteurs qui expliquent son intervention
Les produits finis qui en résultent, ont un faible coût de production. Ils sont
exportés vers les pays d'origine pour servir d'inputs à la fabrication du produit
fini, qui sera distribué sur le marché local étranger.
De ce fait, ce sont les pays d'origine qui réalisent le plus de profit au détriment
des pays d'accueil qui restent des fournisseurs de produits ou services
intermédiaires qui ne leur permettent pas une complète intégration locale. La
recherche et la commercialisation sont monopolisées par la firme mère.
~ 16 ~
- Investissement dû à l'initiative de l'Etat :
Cette dernière catégorie d'investissement diffère des autres, parce qu'elle est
induite par les gouvernements des pays d'accueil (Appel d'offre international).
L'importance donnée aux IDE se traduit par l'intégration de ces derniers dans le
plan de développement de ce pays.
~ 18 ~
Chapitre3 : l’impact des échanges des biens et les échanges d’actifs
sur la croissance économique.
Section1 : l’effet de commerce international sur la croissance économique :
Le commerce extérieur est un moteur de la croissance : il crée des emplois,
réduit la pauvreté et ouvre des perspectives économiques. Depuis 1990, plus
d'un million de personnes sont sorties de la pauvreté grâce à une croissance
économique soutenue par le libre-échange et l’ouverture du commerce. Le
Groupe de la Banque mondiale promeut la mise en place d’un système
commercial international ouvert, réglementé et prévisible.
En rendant les biens et services plus abordables, le libre-échange bénéficie
aussi aux ménages pauvres, un avantage important bien que souvent ignoré.
Pour les personnes vivant dans l'extrême pauvreté, en particulier, le commerce
extérieur contribue à abaisser le prix des denrées alimentaires. En outre, il crée
des emplois accessibles aux femmes et encourage la scolarisation des filles.
Les pays en développement se heurtent fréquemment à des obstacles indirects
qui entravent leur accès aux marchés mondiaux : pratiques
anticoncurrentielles, réglementations pesant sur l’investissement et la
croissance des entreprises ou infrastructures inadaptées. Même les pays qui
appliquent une politique commerciale libérale et transparente rencontrent des
difficultés si leurs marchés ne sont pas suffisamment intégrés. En outre, bon
nombre des personnes les plus pauvres de la planète vivent dans des régions
enclavées, isolées ou sans voie d’accès aux échanges internationaux. Le Groupe
de la Banque mondiale aide ses pays clients à surmonter ces obstacles afin
d'améliorer leur accès aux marchés des pays développés et d'accroître leur
participation à l’économie mondiale.
Cependant, malgré les bénéfices économiques potentiels liés au commerce,
tout le monde ne profite pas des avantages de la mondialisation. Ainsi, les
gains de productivité et les progrès technologiques qui accompagnent le
développement des échanges peut détruire des emplois dans certaines régions
ou certains secteurs. La Banque mondiale s'attache à mettre en œuvre des
politiques qui aident tous les pays à tirer profit des possibilités qu'offrent le
commerce et l'évolution technologique. Il s'agit notamment de mesures à court
terme, comme des programmes de formation et d'aide à la recherche d'emploi,
mais aussi de solutions à long terme permettant de bâtir des économies plus
résilientes. De solides filets de protection sociale, un accès à l'éducation qui
prépare les jeunes aux emplois de demain et des politiques qui favorisent la
mobilité des travailleurs sont des composantes essentielles de ces solutions.
~ 19 ~
Le monde doit renforcer le système d'échanges international pour susciter une
plus grande intégration et aider les pays en développement à surmonter les
obstacles à la croissance liés au commerce. Le système mondial de
réglementation des échanges qui a favorisé une croissance économique sans
précédent pendant plusieurs générations est aujourd'hui en proie à des
tensions. Celles-ci ne doivent toutefois pas nous empêcher d'examiner les
avantages inestimables pour l'économie mondiale de la poursuite des réformes
commerciales.
Section2 : l’impact d’IDE sur la croissance économique.
Est intéressant dans la mesure où l’IDE joue un rôle de catalyseur de la
croissance et donc du développement des pays émergents et des pays en
développement (DUNNING, 1993 ; GRAHAM et KRUGMAN, 1995 ; CAVES, 1996
; LALL, 2000 C.MAINGUY, 2004 ; ESSO, 2005 ; EFA FOUDA, 2005 etc.). Toutefois,
il ne joue un effet positif sur la croissance de ces pays que si ces derniers
possèdent et améliorent au cours du temps leur stock de capital humain et de
progrès technique (BLOMSTRÖM et al 1992, BARRO et LEE 1994, BORENSZTEIN,
DE GREGORIO et LEE, 1998). Principalement, la combinaison de ces facteurs
permet aux pays d'accueil de récolter les fruits des localisations des entreprises
multinationales.
Par ailleurs, toutes les théories de croissance accordent une place importante
à l’accumulation du capital mais sous des formes différentes : capital physique,
capital humain, stock de connaissance …Ainsi que l’innovation, la production et
la diffusion de nouvelles connaissances se révèlent être des facteurs
déterminants de la croissance économique. L’État a aussi un rôle stratégique à
jouer dans de nombreux domaines afin d’agir implicitement sur la croissance
économique d’un pays : les infrastructures, l’éducation, la recherche et
développement, l’environnement institutionnel.
~ 20 ~
Conclusion :
En résumé, nous pouvons affirmer que le Maroc doit saisir ses chances par
un ancrage de plus en plus important vers l’UE, afin de profiter des externalités
technologiques transmises par le biais du commerce et des investissements
étrangers. Profiter de ces externalités augmenterait la productivité industrielle
du pays et favoriserait sa croissance économique. Cependant, il est plus que
nécessaire d’intensifier les efforts déjà entrepris en matière d’éducation, pour
améliorer la qualité du capital humain dans son ensemble.
~ 21 ~
Bibliographie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_du_commerce_international
~ 22 ~
Table des matières
Introduction :........................................................................................................................................... 3
Chapitre1 : les types de transactions internationales. ............................................................................ 4
Section1 : les deux approches des échanges. ..................................................................................... 4
1. La Théorie réelle des échanges. .............................................................................................. 4
2. Les paiements internationaux : ............................................................................................. 5
Section2 : Echanges biens (commerce) et échanges d’actifs (investissement direct) ........................ 7
1. Les échanges de biens (commerce international) :................................................................. 7
2. Les échanges d’actifs (investissement direct à l’étranger) :................................................... 7
Section3 : la balance de paiement. ..................................................................................................... 8
1. Définition : ............................................................................................................................... 8
2. Les différents types d’opérations enregistrées en balance des paiements : .......................... 8
3. Résidents et non-résidents : .................................................................................................... 9
4. Transactions et Règlements : ............................................................................................... 10
Section4 : la balance de paiement et la globalisation financière : .................................................... 10
1. Définition : ............................................................................................................................. 10
Section1 : le commerce international. .............................................................................................. 12
1. Définition et typologie du commerce : ................................................................................. 12
2. La différenciation de commerce vertical et horizontal : ....................................................... 13
3. Le commerce international « Cas de Maroc » : .................................................................... 13
Section2 : les investissements directs à l’étranger. .......................................................................... 15
1. Définition et typologie d’IDE : ............................................................................................... 15
2. L’investissement direct à étranger direct « Cas du Maroc » : ............................................... 17
Section1 : l’effet de commerce international sur la croissance économique : ................................. 19
Section2 : l’impact d’IDE sur la croissance économique. .................................................................. 20
Conclusion : ........................................................................................................................................... 21
~ 23 ~