85 CF 325 Afaf 449683 FDD
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Cissé Papa-Oumar et Camara Sidy TD5 SAE C1S1
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Ensuite on sait que dans une organisation le point juridique est essentiel en effet il permet de
définir ce que peut ou ne peut pas faire l’organisation, les droits qu’elle possède et surtout
elle détermine les organes de direction de cette dernière qui vont donc prendre les décisions
pour l’organisation, en l’occurrence le club de basket, et de régler les différents problèmes
juridiques auxquels l’association peut être confrontés.
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Enfin Le troisième aspect essentiel d'une organisation est l'organe sociologique. En effet, les
acteurs d'une association représentent celle-ci : leurs compétences et comportements
impactent de manière directe l'image de la structure sur une plus grande échelle. Il est donc
important de s'intéresser à des éléments tels que le bien-être de ses différents acteurs mais
aussi de savoir si l'organisation de l'entreprise est adaptée aux différentes relations existantes.
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-la qualité des infrastructures, si le club possède des gradins ou non, s’il a un bon parquet, s’il
possède un système de chauffage ou si même il est réputé pour être propre.
-le prix de la licence car il faut qu’il y ai un juste milieu pour pouvoir gérer les dépenses du club
sans demander une somme astronomique aux ménages. On peut noter ici qu’il y a une forte
élasticité prix, c’est-à-dire que le club ne peut pas se permettre de trop augmenter le prix de
la licence sinon la demande diminuerait trop, les gens iraient voir ailleurs.
-Les résultats sportifs des différentes années car personnes n’iraient dans un club ou les
résultats sont peu encourageants, personne ne prendrait plaisir à aller dans un club de
« perdant »
-La qualité des entraîneurs, s’ils arrivent à faire progresser les personnes et surtout à faire
prendre du bon temps aux licenciés.
-L’accessibilité aux gymnases, s’il est bien desservi ou pas ou si même il est situé dans un bon
quartier (cela rassure énormément les parents des enfants qui rentrent seuls après les
entrainements).
-Et enfin si l’ambiance générale du club est réputée pour être joyeuse, conviviale et qu’une
certaine philosophie et des valeurs soit transmis ou non aux licenciés plus précisément aux
enfants.
D’après Monsieur Éric Erb et son expérience tous ces points doivent être respectés pour
espérer survivre face à la concurrence des différents club, et il explique que ces grâces à
l’application de tous ces critères qu’il a réussi à attirer plus de 300 licenciés, mais selon lui il
subsiste encore quelques défaut dans son organisation qui ne le permettent pas d’être devant
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Arcueil qui est un club qui possède encore plus de licenciés, l’une des explications à cette
défaillance s’expliqueraient par la longévité des bons résultats du club d’Arcueil et de la
confiance qu’ont les gens envers ce club.
Mais malheureusement avec les données qui nous ont été transmis il nous est impossible
d’établir des ratios car il manquerait beaucoup trop d’informations, par exemple la valeur
ajoutée qui nous permet de calculer la plupart des ratios n’est pas connu, on pourrait la
calculer mais cela serait faux car on ne connait pas exactement la part des consommations
intermédiaires dans les 26000 euros restant après les dépenses énoncées ci-dessus
(26000=CI+ Investissements).
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Nous avons demandé au Président de l’association de quelle manière était utilisé cet argent.
« Cet argent est directement réinjecter dans l’organisation ce qui permet d’acheter du
matériel, d’assurer les déplacements pour les séniors qui eux performent au sein du
championnat régional, de proposer des goûters pour les plus jeunes ou encore de rénover le
gymnase. »
Faits :
Un volontaire au service civique s’est engagé avec le Club de Basket de la ville de Fresnes.
Deux mois après le début de son contrat, le volontaire ne se présente plus au club et le
président n’arrive plus à le joindre. Après avoir souligné son absentéisme au département le
Président souhaite engager une procédure de licenciement pour absence injustifiée. Ce
dernier s’étant mal renseigné sur le service civique se demande si cette procédure est possible
dans le cadre d’un service civique.
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Problème de Droit :
Le Président d’une association peut-il entamer une procédure de licenciement dans le cadre
d’un contrat de service civique ?
Le licenciement :
Le licenciement est, en droit du travail français, la rupture par l'employeur du contrat de travail
à durée indéterminée. En droit français, il y a deux raisons de licencier : celle liée à l'entreprise
(problème économique) et celle liée au salarié.
Le service civique :
Le service civique est un engagement volontaire sur une mission d’intérêt général, d’une
durée de 6 à 12 mois, de 8 mois en moyenne, à raison d’au moins 24 heures hebdomadaires.
Le service civique n’est pas un contrat de travail : les missions confiées au volontaire ne
peuvent être exercées par un salarié. Le service civique ne doit pas non plus être un simple
stage : un tuteur, désigné au sein de chaque structure d’accueil, sera chargé de suivre le jeune
dans l’accomplissement de sa mission.
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ce cas-là est l’Association Vallée aux Renards Animation et la partie faible est la personne
volontaire. (Voir Annexe)
Tout d’abord comme énoncé ci-dessus nous avons les acteurs internes qui sont le président
Monsieur Éric Erb, le vice-président Monsieur Phillipe Rondin, la trésorière Madame Sylvie
Erb, le correspondant Monsieur Remy Erb, le directeur technique Monsieur Siegfried Likeng
et sans oublier l’ensemble des entraîneurs (Rodny Jappont, Moustapha N’Doye, Alexandre
Thomas et Yohan Mephane) et des services civiques (Matthyas Jappont, Celia Tretout et
Quentin Gaza). A travers l’entretien que nous avons effectué avec le Président on a pu
comprendre que d’après lui il y a une bonne ambiance au sein du groupe et qu’il n’existait pas
réellement de conflit, selon lui l’environnement social de son organisation est parfaite, c’est
donc ce qu’on a voulu confirmer avec des questions sur les interactions que les différents
acteurs internes avaient entre eux et ce qu’on a observé c’est que l’environnement n’est pas
aussi joyeux et propice au travail qu’il nous est décrit par Monsieur Erb. En effet nous avons
posé les quatre questions suivantes à tous les acteurs exceptés la trésorière, le correspondant,
le président, et le vice-président : Avec qui vous souhaitez travailler ? ; Avec qui vous ne
souhaitez pas travailler ? ; Quelles sont les personnes qui souhaitent travaillez avec vous ? ;
Quelles sont les personnes qui ne souhaitent pas travaillez avec vous ? (Voir annexe)
Ce qui ressort de ses résultats c’est qu’il semble que la plupart des acteurs internes aient eu
un différent ou ont du mal à travailler avec Sylvie Erb (trésorière du club), on a eu la chance
d’obtenir le témoignage de Yohan Mephane et cela serait d’après lui dû à un abus de pouvoir
de la part de la trésorière car elle sait que étant la femme du président elle ne risquait rien à
être désagréable avec les différents acteurs présent dans la structure et c’est donc pourquoi
les gens ont du mal à travailler avec elle. Concernant les autres acteurs on peut voir qu’outre
les interactions avec la trésorière il semble ne pas exister d’autres mauvaises interactions,
d’après les résultats il existerait une ambiance que l’on pourrait qualifier comme propice au
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travail et que certaines interactions sont mêmes excellentes comme avec Yohan Mephane et
Quentin Gaza qui aiment tout les deux travailler ensemble. Concernant les interactions entres
les acteurs externes et internes on ne peut pas la qualifier mais d’après le président du club il
n’y a quasiment jamais eu d’incidents notables et les interactions avec eux sont souvent très
formelle (demande d’informations sur les entraînements, commande de tenues ou de
matériaux pour la pratique…)
Après avoir demander aux différents acteurs internes de répondre à notre questionnaire nous
avons mener un entretien avec le président. A travers cet entretien il a pu nous communiquer
que lui était en interaction avec tous les acteurs internes que ce soit pour le recrutement ou
même lorsqu’il donne des directives à suivre, ces interactions sont pour une grande majorité
formelle mais il est amené à avoir des interactions informelles avec certaines personnes
comme Sylvie Erb (sa femme) ou Remy Erb (son fils) au sein de l’organisation. Concernant ces
interactions avec les acteurs externes elles sont toutes formelles et sont très souvent avec des
fournisseurs, il n’a quasiment jamais ou très rarement des interactions avec les parents ou les
licenciés. D’après lui son poste demande beaucoup de rigueur et de fermeté, mais il s’y plaît
et c’est pourquoi il y tient énormément. Selon lui gérer une organisation comme la sienne et
toutes les responsabilités qui s’en suit ne sont pas facile à gérer mais il prend énormément de
plaisir à le faire alors cela ne le dérange pas réellement. Nous pensons que c’est cette affection
qu’il a envers le club qui explique pourquoi le club est réputé d’après les avis externes comme
un club joyeux. Il trouve également que les acteurs avec qui il travaille sont géniaux et c’est
donc pourquoi il leur porte une grande confiance même si en fonction des années ça peut lui
arriver qu’il y ai des différents avec des entraîneurs, des services civiques ou même des
fournisseurs, ici nous pensons que sa grande position dans l’organisation et sa relation avec
certains acteurs ne lui permet pas d’avoir un regard critique sur les différents acteurs. Enfin
au cours de l’entretien on a pu observer qu’il ne se positionne pas au-dessus des gens avec
qui il est amené à travailler il se met sur un même pied d’égalité et cela même s’il est le
président de cette organisation.
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Philippe Rondin :
Vice-Président
Remy Erb :
Correspondant
Moustapha, Rodny,
Yohan, Alexandre :
Entraîneurs
Célia, Matthyas,
Quentin : Services
Civiques
Enfin concernant l’organisation informelle il en existe au sein de l’organisation comme avec Remy, Éric
et Sylvie Erb qui font partie de la même famille ou bien même Yohan Mephane et Quentin Gaza qui
sont amis depuis leurs enfances.
5.CONCLUSION
L’Association Amicale Sportive de Fresnes Basket et une association qui au premier regard paraît
simple et sans réelle problèmes, mais on a pu observer au travers des différentes recherches et des
différentes discussions que c’était tout le contraire et que sa pérennité sur le long terme reposait sur
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une bonne organisation. Sur la partie économique mon camarade et moi ne pensions pas qu’il existait
une aussi grande concurrence entre des clubs dit de « bas échelle » et surtout le point qui nous a
marqué reste celui de la production qui est très élevé mais qui diminue énormément à cause des
différentes charges. Concernant la partie juridique nous n’avons pas réellement appris quelque chose
de nouveaux à part le point sur le contrat de service civique, où on a pu découvrir un nouveau type de
contrat. Enfin la partie sociologique nous a permis de comprendre que dans une organisation les
interactions entre les différents acteurs qu’ils soient internes ou externes est très importantes, ce sont
ces interactions-là qui définiront l’ambiance générale de la structure à noter que la motivation dans ce
genre d’organisation est grande et logique car cela part au début d’un engagement citoyen.
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