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SOMMAIRE ANALYTIQUE
textes généraux
Premier ministre
1 Arrêté du 16 décembre 2021 fixant les taux de promotion dans les corps des juridictions
financières pour les années 2022, 2023 et 2024
2 Arrêté du 14 décembre 2021 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen
professionnel pour l’accès au grade de secrétaire de chancellerie de classe exceptionnelle
3 Arrêté du 14 décembre 2021 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen
professionnel pour l’accès au grade de secrétaire des systèmes d’information et de
communication hors classe
4 Décret no 2021-1662 du 16 décembre 2021 modifiant les articles R. 221-2 et R. 221-22 du code
de l’énergie
5 Arrêté du 3 décembre 2021 portant agrément de la société de coordination « Habiter Est
Ensemble, société coopérative de coordination à capital variable »
6 Arrêté du 8 décembre 2021 portant agrément de la société d’économie mixte « REIMS
HABITAT »
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
7 Arrêté du 10 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités
d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie
8 Arrêté du 10 décembre 2021 fixant la liste des établissements hospitaliers exclus du système
d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre et les plafonds d’émission annuels
qui leur sont applicables, et la liste des établissements émettant moins de 2 500 tonnes
d’équivalent dioxyde de carbone exclus du système d’échange de quotas d’émission de gaz
à effet de serre, ainsi que les mesures de surveillance et de déclaration qui leur sont
applicables, pour la période 2021-2025
ministère de l’intérieur
14 Décret no 2021-1665 du 16 décembre 2021 portant diverses mesures relatives aux sapeurs-
pompiers professionnels
15 Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale et la nature de l’épreuve
des examens professionnels pour l’avancement au grade de major de police de la police
nationale
16 Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale, la nature et le
programme des épreuves des examens professionnels pour l’avancement au grade de
brigadier-chef de police de la police nationale
17 Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale, la nature et le
programme des épreuves des examens professionnels pour l’avancement au grade de
brigadier de police de la police nationale
18 Arrêté du 16 décembre 2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle
19 Décision du 1er décembre 2021 portant délégation de signature (direction de la coopération
internationale de sécurité)
ministère de la justice
21 Arrêté du 14 décembre 2021 fixant au titre de l’année 2022 pour les huissiers de justice et les
commissaires de justice mentionnés aux articles 39 et 40 du décret no 2019-1185 du
15 novembre 2019 relatif à la formation professionnelle des commissaires de justice et aux
conditions d’accès à cette profession le calendrier, le programme et les modalités de
l’examen d’aptitude et du module de perfectionnement en art prévus à l’article 37 de ce
même décret
ministère de la culture
22 Décret no 2021-1666 du 15 décembre 2021 instituant une aide au pluralisme des services de
presse tout en ligne d’information politique et générale
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
45 Arrêté du 16 décembre 2021 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge
en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la
sécurité sociale
46 Arrêté du 16 décembre 2021 portant radiation de la liste des spécialités pharmaceutiques prises
en charge en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du
code de la sécurité sociale
47 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription du substitut osseux
synthétique injectable CALCIBON INJECT de la société ZIMMER BIOMET SAS inscrit
au titre III de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du
code de la sécurité sociale
48 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement des conditions d’inscription du système
implantable non rechargeable pour stimulation médullaire PRECISION NOVI de la société
BOSTON SCIENTIFIC inscrit au titre III de la liste des produits et prestations
remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
49 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription du stimulateur cardiaque
triple chambre REPLY CRT-P de la société MICROPORT CRM France au titre III de la
liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la
sécurité sociale
50 Arrêté du 16 décembre 2021 portant inscription des pansements hydrocellulaires anatomiques
3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER de la société 3M France au titre I de la liste
des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité
sociale
51 Arrêté du 16 décembre 2021 portant radiation de produits au titre III de la liste des produits et
prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
52 Arrêté du 16 décembre 2021 pris en application de l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité
sociale et modifiant l’arrêté du 2 mars 2005 modifié fixant la liste des produits et prestations
mentionnés à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale pris en charge en sus des
prestations d’hospitalisation
53 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription et modification des
conditions d’inscription du revêtement de protection pour prothèse tibiale AQUALEG de la
société AQUALEG SAS inscrit au titre II de la liste des produits et prestations
remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
54 Arrêté du 16 décembre 2021 portant inscription du kit de compression veineuse médicale
VENOTRAIN ULCERTEC 39 AG et renouvellement d’inscription des dispositifs
VENOTRAIN ULCERTEC 39 et 46 de la société BAUERFEIND FRANCE SARL
inscrits au titre I de la liste des produits et prestations remboursables prévue à
l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
55 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription de l’orthèse d’avancée
mandibulaire SOMNODENT de la société SOMNOMED France SAS inscrite au titre II de
la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la
sécurité sociale
56 Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription des clips de réparation
mitrale bord à bord MITRACLIP XTR, MITRACLIP NTR, MITRACLIP G4-NT,
MITRACLIP G4-NTW, MITRACLIP G4-XT et MITRACLIP G4-XTW de la société
ABBOTT MEDICAL France inscrits au titre III de la liste des produits et prestations
remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
57 Arrêté du 16 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 21 mai 2021 fixant la dotation annuelle de
financement de l’Etablissement public de santé territorial de Saint-Pierre-et-Miquelon pour
l’année 2021
58 Arrêté du 16 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 7 juin 2021 identifiant les zones de
circulation de l’infection du virus SARS-CoV-2
59 Décision du 15 décembre 2021 modifiant le montant des tarifs forfaitaires de responsabilité
pour des groupes génériques
ministère de la mer
logement
67 Décret no 2021-1674 du 16 décembre 2021 relatif à la déclaration environnementale de produits
de construction et de décoration ainsi que des équipements électriques, électroniques et de
génie climatique
68 Décret no 2021-1675 du 16 décembre 2021 portant approbation des statuts de la société de
gestion des financements et de la garantie de l’accession sociale à la propriété
69 Arrêté du 8 décembre 2021 délivrant l’agrément d’observatoire local des loyers à l’agence
d’urbanisme de l’agglomération de Tours
transports
70 Arrêté du 7 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 29 décembre 2011 relatif à l’exploitation de
services de transport aérien par la société St Barth Commuter
71 Arrêté du 7 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 27 juin 2014 relatif à l’exploitation de
services de transport aérien par la société DreamJet
72 Arrêté du 8 décembre 2021 portant fermeture de l’aérodrome de Saint-Christol (Vaucluse)
73 Arrêté du 8 décembre 2021 portant fermeture de l’hélistation de Toulon-Saint-Mandrier (Var)
comptes publics
74 Arrêté du 13 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 21 novembre 2016 fixant l’assignation des
dépenses et des recettes des ordonnateurs principaux délégués du ministère de la défense
75 Arrêté du 13 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 6 juillet 2016 relatif à la solde de réserve des
officiers généraux en deuxième section
76 Arrêté du 14 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 21 décembre 2018 fixant l’assignation des
dépenses et des recettes des ordonnateurs secondaires du ministère de la défense
industrie
77 Arrêté du 13 décembre 2021 relatif au versement d’une aide au soutien de la trésorerie de la
société SETIC, fragilisée par la crise du covid-19
78 Arrêté du 13 décembre 2021 relatif au versement d’une aide au soutien de la trésorerie de la
société SWISSPOLYMERA, fragilisée par la crise du covid-19
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
mesures nominatives
Premier ministre
81 Décret du 16 décembre 2021 chargeant un député d’une mission temporaire
ministère de l’intérieur
90 Arrêté du 14 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 27 juillet 2021 modifié portant nomination
d’un régisseur intérimaire et de ses suppléants auprès de la régie d’avances et de recettes du
cabinet de la direction générale de la police nationale
91 Arrêté du 16 décembre 2021 portant nomination (administration territoriale : Saint-Barthélemy
et Saint-Martin)
ministère de la justice
94 Arrêté du 7 décembre 2021 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
95 Arrêté du 9 décembre 2021 modifiant un arrêté en date du 2 décembre 2021 relatif à une
société civile professionnelle (officiers publics ou ministériels)
96 Arrêté du 9 décembre 2021 relatif à une société par actions simplifiée (officiers publics ou
ministériels)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
97 Arrêté du 9 décembre 2021 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
98 Arrêté du 9 décembre 2021 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
99 Arrêté du 9 décembre 2021 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
100 Arrêté du 9 décembre 2021 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou
ministériels)
101 Arrêté du 10 décembre 2021 portant nomination d’une société d’exercice libéral à
responsabilité limitée (officiers publics ou ministériels)
102 Arrêté du 10 décembre 2021 portant nomination d’un notaire salarié (officiers publics ou
ministériels)
103 Arrêté du 10 décembre 2021 portant nomination d’un huissier de justice salarié (officiers
publics ou ministériels)
104 Arrêté du 10 décembre 2021 portant nomination d’une huissière de justice salariée (officiers
publics ou ministériels)
105 Arrêté du 10 décembre 2021 portant nomination d’une société à responsabilité limitée
(officiers publics ou ministériels)
106 Arrêté du 13 décembre 2021 portant titularisation dans le corps interministériel des attachés
d’administration de l’Etat (Conseil d’Etat et Cour nationale du droit d’asile)
107 Arrêté du 15 décembre 2021 portant détachement (Conseil d’Etat)
ministère de la culture
108 Arrêté du 15 décembre 2021 portant nomination au Haut Conseil de l’éducation artistique et
culturelle
ministère de la mer
115 Arrêté du 15 décembre 2021 portant cessation de fonctions au cabinet de la ministre de la mer
comptes publics
117 Arrêté du 14 décembre 2021 portant nomination (agents comptables)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
conventions collectives
136 Décision du 3 décembre 2021 portant nomination auprès de la Contrôleure générale des lieux
de privation de liberté
Informations parlementaires
Assemblée nationale
Sénat
Offices et délégations
Avis et communications
avis divers
ministère de la mer
172 Avis no 37 relatif à la fermeture de certains quotas et/ou sous-quotas de pêche pour
l’année 2021
Annonces
173 Demandes de changement de nom (textes 173 à 203)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la
loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ;
Vu le décret no 2005-1090 du 1er septembre 2005 relatif à l’avancement de grade dans les corps des
administrations de l’Etat ;
Vu le décret no 2009-1388 du 11 novembre 2009 modifié portant dispositions statutaires communes à divers
corps de fonctionnaires de catégorie B de la fonction publique de l’Etat ;
Vu le décret no 2010-1437 du 22 novembre 2010 portant création du corps des secrétaires administratifs des
juridictions financières ;
Vu le décret no 2016-580 du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires de
catégorie C de la fonction publique de l’Etat et les décrets relatifs à l’organisation de leurs carrières ;
Vu l’avis conforme de la ministre de la transformation et de la fonction publiques et du ministre délégué auprès
du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, en date du 2 novembre 2021,
Arrête :
Art. 1er. – Les taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade
pouvant être prononcés au titre des années 2022, 2023 et 2024 dans les corps des juridictions financières en
application du décret du 1er septembre 2005 susvisé figurent en annexe au présent arrêté.
Art. 2. – Les dispositions de l’arrêté du 24 décembre 2020 fixant les taux de promotion dans les corps des
juridictions financières pour les années 2021 et 2022 sont abrogées.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Pour le Premier ministre et par délégation :
La secrétaire générale du Gouvernement,
CLAIRE LANDAIS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 203
ANNEXE
Taux applicables
CORPS ET GRADES pour les années 2022, 2023 et 2024
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 décembre 2021 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen
professionnel pour l’accès au grade de secrétaire de chancellerie de classe exceptionnelle
NOR : EAEA2137502A
Par arrêté du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 14 décembre 2021, est autorisée, au titre
de l’année 2023, l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire de chancellerie de
classe exceptionnelle.
Le nombre de promotions pour l’accès au grade de secrétaire de chancellerie de classe exceptionnelle à pourvoir,
par la voie de l’examen professionnel, au titre de 2023, fera l’objet d’un arrêté ultérieur.
L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera à partir du 10 mai 2022 à Paris exclusivement. L’épreuve orale
d’admission se déroulera à Paris à partir du 29 juin 2022.
Modalités d’inscription à l’examen professionnel : les registres d’inscriptions seront ouverts du 9 février 2022
au 9 mars 2022 inclus.
Les inscriptions s’effectuent par voie télématique sur le site Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires
étrangères, rubrique « concours et examens professionnels », « examens professionnels », « catégorie B »,
« secrétaire de chancellerie de classe exceptionnelle », onglet « inscriptions ».
La date de fin de saisie sur le site Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires étrangères est fixée
au 9 mars 2022, délai de rigueur.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par voie électronique, les candidats conservent la possibilité de procéder à
une inscription sur papier libre. Les demandes de candidature seront expédiées au ministère de l’Europe et des
affaires étrangères, bureau des concours et examens professionnels, 27, rue de la Convention, CS 91533,
75732 Paris Cedex 15.
La date limite d’envoi des inscriptions (le cachet de la poste faisant foi) est fixée au 9 mars 2022, délai de
rigueur.
Toute inscription postée hors délai ne pourra être prise en considération.
Les candidatures formulées par télécopie ou par messagerie électronique ne sont pas recevables.
Conformément à l’article 4 de l’arrêté du 29 février 2012 modifié fixant les modalités d’organisation et la nature
des épreuves de l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire de chancellerie de classe
exceptionnelle, les candidats admissibles à cet examen professionnel devront établir, pour l’épreuve d’entretien
avec le jury, un dossier de reconnaissance des acquis de leur expérience professionnelle (RAEP) conforme au
modèle disponible sur le site Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, rubrique « concours et
examens professionnels », « examens professionnels », « catégorie B », « secrétaire de chancellerie de classe
exceptionnelle », onglet « inscriptions ».
Ce dossier accompagné des pièces demandées devra être adressé soit par voie postale en recommandé simple à
l’adresse suivante : ministère de l’Europe et des affaires étrangères, bureau des concours et examens
professionnels, 27, rue de la Convention, CS 91533, 75732 Paris Cedex 15, soit par courriel à l’adresse suivante :
[email protected]. Ce dossier devra parvenir au bureau des concours et examens
professionnels au plus tard dans les 15 jours calendaires, le cachet de la poste faisant foi pour les envois postaux
ou minuit (heure de Paris) pour les envois par courriel, à compter du lendemain de la date de publication des
résultats d’admissibilité.
Aucun dossier ne pourra être déposé au bureau des concours et examens professionnels.
Conformément à l’article 4-1 de l’arrêté du 29 février 2012 modifié susvisé, les candidats, en poste à l’étranger,
pourront demander à subir l’épreuve d’entretien avec le jury en visioconférence, lorsque l’éloignement du centre
d’examen principal le justifie et que les garanties techniques et de sécurité des systèmes d’information le
permettent. Le candidat qui optera pour la visioconférence ne pourra subir l’épreuve orale d’admission que dans le
poste ou pays où il est affecté au premier jour des épreuves orales.
Le candidat qui optera pour ce procédé devra faire connaître son choix au plus tard le 9 juin 2022, par note
diplomatique adressée à « formation et concours ». Aucune modification du choix du centre d’examen ne sera
possible.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 203
Les candidats en situation de handicap qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat
médical établi par un médecin agréé. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le
déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que les aménagements
nécessaires pour permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans
des conditions compatibles avec leur situation.
Le certificat médical doit être transmis par le candidat au plus tard 3 semaines avant le déroulement des
épreuves, soit le 20 avril 2022, conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des
équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des
procédures de recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap.
La composition du jury et la liste des candidats admis à se présenter à l’examen professionnel seront arrêtées par
le ministre de l’Europe et des affaires étrangères.
Les candidats seront convoqués individuellement pour subir l’épreuve.
Toutefois, le défaut de réception des convocations ne pourra engager la responsabilité du ministère de l’Europe
et des affaires étrangères.
Tout renseignement peut être obtenu auprès du bureau des concours et examens professionnels, aux adresses électroniques :
[email protected] ou [email protected].
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 décembre 2021 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen
professionnel pour l’accès au grade de secrétaire des systèmes d’information et de
communication hors classe
NOR : EAEA2137478A
Par arrêté du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 14 décembre 2021, est autorisée, au titre
de l’année 2023, l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire des systèmes
d’information et de communication hors classe.
Le nombre de promotions pour l’accès au grade de secrétaire des systèmes d’information et de communication
hors classe à pourvoir, par la voie de l’examen professionnel, au titre de l’année 2023, fera l’objet d’un arrêté
ultérieur.
L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 2 juin 2022 à Paris exclusivement.
Modalités d’inscription à l’examen professionnel : les registres d’inscriptions seront ouverts du 8 février 2022 au
8 mars 2022 inclus.
Les inscriptions s’effectuent par voie télématique sur le site Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires
étrangères, rubrique « concours et examens professionnels », « examens professionnels », « catégorie B »,
« secrétaire des systèmes d’information et de communication hors classe », onglet « inscriptions ».
La date de fin de saisie sur le site Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires étrangères est fixée
au 8 mars 2022, délai de rigueur.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par voie électronique, les candidats conservent la possibilité de procéder à
une inscription sur papier libre. Les demandes de candidature seront expédiées au ministère de l’Europe et des
affaires étrangères, bureau des concours et examens professionnels, 27, rue de la Convention, CS 91533,
75732 Paris Cedex 15.
La date limite d’envoi des inscriptions (le cachet de la poste faisant foi) est fixée au 8 mars 2022, délai de
rigueur.
Toute inscription postée hors délai ne pourra être prise en considération.
Les candidatures formulées par télécopie ou par messagerie électronique ne sont pas recevables.
Conformément à l’article 4 de l’arrêté du 12 novembre 2015 modifié fixant les modalités d’organisation et la
nature des épreuves de l’examen professionnel pour l’accès au grade de secrétaire des systèmes d’information et de
communication hors classe, les candidats devront établir, pour l’épreuve d’entretien avec le jury, un dossier de
reconnaissance des acquis de leur expérience professionnelle (RAEP) conforme au modèle disponible sur le site
Diplonet du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, rubrique « concours et examens professionnels »,
« examens professionnels », « catégorie B », « secrétaire des systèmes d’information et de communication hors
classe », onglet « inscriptions ».
Ce dossier accompagné des pièces demandées devra être adressé soit par voie postale en recommandé simple à
l’adresse suivante : ministère de l’Europe et des affaires étrangères, bureau des concours et examens
professionnels, 27 rue de la Convention, CS 91533, 75732 Paris Cedex 15, au plus tard le 8 mars 2022 (le
cachet de la poste faisant foi), soit par courriel à l’adresse suivante : [email protected] au
plus tard le 8 mars 2022 minuit (heure de Paris).
Aucun dossier ne pourra être déposé au bureau des concours et examens professionnels.
Conformément à l’article 4-1 de l’arrêté du 12 novembre 2015 modifié susvisé, les candidats, en poste à
l’étranger, pourront demander à subir l’épreuve d’entretien avec le jury en visioconférence, lorsque l’éloignement
du centre d’examen principal le justifie et que les garanties techniques et de sécurité des systèmes d’information le
permettent. Le candidat qui optera pour la visioconférence ne pourra subir l’épreuve orale d’admission que dans le
poste ou pays où il est affecté au premier jour des épreuves orales.
Le candidat qui optera pour ce procédé devra faire connaître son choix au plus tard le 21 avril 2022, par note
diplomatique adressée à « formation et concours ». Aucune modification du choix du centre d’examen ne sera
possible.
Les candidats en situation de handicap qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat
médical établi par un médecin agréé. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 203
déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que les aménagements
nécessaires pour permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans
des conditions compatibles avec leur situation.
Le certificat médical doit être transmis par le candidat au plus tard 3 semaines avant le déroulement des
épreuves, soit le 12 mai 2022, conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des
équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des
procédures de recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap.
La composition du jury et la liste des candidats admis à se présenter à l’examen professionnel seront arrêtées par
le ministre de l’Europe et des affaires étrangères.
Les candidats seront convoqués individuellement pour subir l’épreuve.
Toutefois, le défaut de réception des convocations ne pourra engager la responsabilité du ministère de l’Europe
et des affaires étrangères.
Tout renseignement peut être obtenu auprès du bureau des concours et examens professionnels, aux adresses électroniques :
[email protected] ou [email protected].
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : personnes éligibles et bénéficiaires dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Objet : modification des articles R. 221-2 et R. 221-22 du code de l’énergie.
Entrée en vigueur : les dispositions du I de l’article 1er entrent en vigueur à compter du 1er janvier 2022 ;
toutefois, pour les contrats en cours au 31 août 2021, les dispositions du I de l’article 1er entrent en vigueur lors du
renouvellement du contrat et au plus tard le 1er janvier 2024 ; les dispositions du II de l’article 1er entrent en
vigueur le lendemain de la publication du présent décret.
Notice : le I de l’article 1er prévoit que les ventes réalisées en exécution des contrats d’exploitation de bâtiments
résidentiels ou tertiaires comportant une prestation d’approvisionnement en énergie et une prestation de gestion
de l’énergie entrent directement dans le calcul de l’obligation d’économies d’énergie des fournisseurs d’énergie
(sociétés de services énergétiques) ; le II de l’article 1er modifie les modalités calendaires de la contribution
constituant le rôle actif et incitatif du demandeur de certificats d’économies d’énergie, pour ce qui concerne les
bénéficiaires personnes physiques et les syndicats de copropriétaires.
Références : le code de l’énergie modifié par le décret peut être consulté, dans sa version issue de cette
modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la transition écologique,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles L. 221-1, L. 221-1-1, L. 221-12, R. 221-2 et R. 221-22 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie en date du 9 septembre 2021 ;
Vu les observations formulées lors de la consultation du public réalisée du 19 août au 9 septembre 2021, en
application de l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement ;
Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Le chapitre Ier du titre II du livre II du code de l’énergie est ainsi modifié :
er
I. – L’avant-dernier alinéa de l’article R. 221-2 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Les ventes d’énergie utilisée pour la production de chaleur ou de froid, réalisées en exécution de contrats
d’exploitation comportant une prestation d’approvisionnement en énergie et une prestation de gestion de l’énergie,
sont regardées comme des ventes d’énergie à des consommateurs finals. » ;
II. – L’article R. 221-22 est ainsi modifié :
1o Le sixième alinéa est complété par la phrase suivante :
« Toutefois, lorsque le bénéficiaire est une personne physique ou un syndicat de copropriétaires, la contribution
intervient au plus tard quatorze jours après la date d’engagement de l’opération et, en tout état de cause, avant la
date de début de réalisation de l’opération. » ;
2o Le septième alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :
« Pour les opérations standardisées réalisées au bénéfice de personnes physiques ou d’un syndicat de
copropriétaires, la valeur de la contribution est déterminée au plus tard quatorze jours après la date d’engagement
de l’opération et, en tout état de cause, avant la date de début de sa réalisation. Cette contribution ne peut être
révisée qu’au regard d’une réévaluation du volume réel de certificats d’économies d’énergie correspondant à
l’opération ou de la situation de précarité énergétique. »
Art. 2. – Les dispositions du I de l’article 1er entrent en vigueur le 1er janvier 2022. Toutefois, elles entrent en
vigueur le 1er janvier 2024 pour les ventes réalisées en exécution de contrats en cours au 31 août 2021 dont le
renouvellement n’intervient pas avant le 1er janvier 2024.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 203
Art. 3. – La ministre de la transition écologique est chargée de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
La ministre de la transition écologique,
BARBARA POMPILI
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 3 décembre 2021, la société de coordination
« Habiter Est Ensemble, société coopérative de coordination à capital variable », dont le siège social est situé à
Romainville (93), est agréée pour l’exercice de son activité sur le territoire national.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 8 décembre 2021, la société d’économie mixte
« REIMS HABITAT », dont le siège social est situé à Reims (51), est agréée pour l’exercice de son activité sur la
région Grand Est et, après accord de la commune d’implantation de l’opération, sur le territoire des départements
limitrophes à cette région.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : personnes éligibles et bénéficiaires dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Objet : le présent arrêté prévoit diverses modifications des Coups de pouce « Chauffage », « Rénovation
performante de bâtiment résidentiel collectif » et « Rénovation performante d’une maison individuelle ».
Entrée en vigueur : les dispositions des I à IV de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter
du 1er janvier 2022 ou incluses dans un dossier de demande de certificats d’économies d’énergie déposé à compter
du 1er juillet 2022 ; les dispositions du V de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter
du 1er avril 2022.
Notice : le présent arrêté simplifie les montants et critères de bonification et de primes minimales liés au Coup
de pouce « Rénovation performante d’une maison individuelle » : sont ainsi supprimés les critères liés au taux de
chaleur renouvelable de la production de chauffage et d’eau chaude sanitaire et au remplacement des chaudières
fonctionnant au fioul ou au gaz hors condensation ; le critère d’une consommation annuelle d’énergie primaire
après travaux inférieure ou égale à 110 kWh/m2 est ajouté pour déterminer le niveau de la bonification ;
l’exclusion du bénéfice du Coup de pouce des chaudières consommant du charbon ou du fioul et des chaudières
consommant du gaz autres qu’à condensation est remplacée par l’exclusion des équipements de chauffage ou de
production d’eau chaude sanitaire consommant majoritairement du charbon, du fioul ou du gaz ; le modèle de la
charte Coup de pouce est adapté en conséquence ; les niveaux de bonification des chartes Coup de pouce
« Chauffage », « Rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif » et « Rénovation performante d’une
maison individuelle » sont modifiés.
Références : l’arrêté peut être consulté dans sa rédaction issue de ces modifications sur le site Légifrance
(https://www.legifrance.gouv.fr).
La ministre de la transition écologique,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles R. 221-14, R. 221-18 et R. 221-31 ;
Vu l’arrêté du 29 décembre 2014 modifié relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats
d’économies d’énergie ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie du 9 décembre 2021,
Arrête :
Art. 1 . – L’arrêté du 29 décembre 2014 susvisé est ainsi modifié :
er
le raccordement au réseau de chaleur vient en remplacement d’une chaudière collective au charbon, au fioul ou au
gaz, autre qu’à condensation :
« – 107 700 kWh cumac par logement raccordé, pour les actions au bénéfice des ménages modestes mentionnés
au II ter de l’article 3-1 ;
« – 69 200 kWh cumac par logement raccordé, pour les actions au bénéfice des autres ménages ;
« 3o Pour les actions relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-106 “Chaudière individuelle à haute
performance énergétique” et quelle que soit la zone climatique dès lors que la chaudière installée est une chaudière
au gaz dont l’efficacité énergétique saisonnière est supérieure ou égale à 92 % et que cette chaudière vient en
remplacement d’une chaudière individuelle au charbon, au fioul ou au gaz autre qu’à condensation :
« – 184 600 kWh cumac pour les actions au bénéfice des ménages modestes mentionnés au II ter de
l’article 3-1 ;
« – 92 300 kWh cumac pour les actions au bénéfice des autres ménages ;
« 4o Pour les actions relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-112 “Appareil indépendant de
chauffage au bois” et quelle que soit la zone climatique dès lors que l’appareil présente les performances décrites
ci-après et qu’il vient en remplacement d’un équipement de chauffage fonctionnant principalement au charbon :
« – 123 100 kWh cumac pour les actions au bénéfice des ménages modestes mentionnés au II ter de
l’article 3-1 ;
« – 76 900 kWh cumac pour les actions au bénéfice des autres ménages.
« Pour les appareils utilisant des bûches de bois, le rendement énergétique est supérieur ou égal à 75 % et la
concentration en monoxyde de carbone des fumées est inférieure ou égale à 0,12 %. Pour les appareils utilisant des
granulés de bois, le rendement énergétique est supérieur ou égal à 87 % et la concentration en monoxyde de
carbone des fumées est inférieure ou égale à 0,02 %. La concentration en monoxyde de carbone des fumées est
mesurée à 13 % d’O2. Un appareil possédant le label Flamme verte 7* est réputé satisfaire à ces exigences de
performances.
« 5o Pour les actions relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-158 “Émetteur électrique à
régulation électronique à fonctions avancées” et quelle que soit la zone climatique dès lors que l’appareil vient en
remplacement d’un émetteur électrique fixe, à régulation électromécanique et à sortie d’air, ou muni de la plaque
signalétique d’origine porteuse du marquage CE et de la mention “NF Electricité performance catégorie A”, “NF
Electricité performance catégorie B” ou “NF Electricité performance catégorie 1*” :
« – 15 400 kWh cumac pour les actions au bénéfice des ménages modestes mentionnés au II ter de l’article 3-1 ;
« – 7 700 kWh cumac pour les actions au bénéfice des autres ménages ;
« 6o Pour les actions en bâtiment résidentiel collectif relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-163
“Conduit d’évacuation des produits de combustion”, quelle que soit la zone climatique :
« – 107 700 kWh cumac pour les actions au bénéfice ménages modestes mentionnés au II ter de l’article 3-1 ;
« – 69 200 kWh cumac pour les actions au bénéfice des autres ménages. »
Art. 2. – Les dispositions des I à IV de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter
du 1er janvier 2022 ou incluses dans un dossier de demande de certificats d’économies d’énergie déposé à compter
du 1er juillet 2022.
Les dispositions du V de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter du 1er avril 2022.
Art. 3. – Le directeur général de l’énergie et du climat est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 10 décembre 2021.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur de l’énergie et du climat,
L. MICHEL
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 203
ANNEXE IV-2
OFFRES FINANCIÈRES
Je m’engage à mettre en place une offre pour la rénovation performante des maisons individuelles, au moyen de
travaux conformes à la fiche d’opération standardisée CEE BAR-TH-164 « Rénovation globale d’une maison
individuelle (France métropolitaine) » en vigueur.
Les travaux répondent aux exigences cumulatives suivantes :
1o Les travaux comportent au moins un geste d’isolation parmi les trois catégories suivantes :
a) Travaux d’isolation thermique des murs couvrant au moins 75 % de la surface totale des murs donnant sur
l’extérieur et mettant en œuvre un procédé d’isolation par l’intérieur ou par l’extérieur ;
b) Travaux d’isolation thermique des toitures mettant en œuvre un procédé d’isolation comportant un ou des
matériaux d’isolation thermique en toiture-terrasse ou en rampant de toiture et couvrant au moins 75 % de la
surface totale des toitures ;
c) Travaux d’isolation thermique des planchers des combles perdus et des planchers bas et couvrant au moins
75 % de la surface totale des planchers des combles perdus et des planchers bas situés entre un volume chauffé et
un sous-sol non chauffé, un vide sanitaire ou un passage ouvert ;
2o Les travaux permettent d’atteindre une baisse de consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire
(2) (sans déduction de la production d’électricité autoconsommée ou exportée) sur les usages chauffage,
refroidissement, production d’eau chaude sanitaire d’au moins 55 %.
3o Hors raccordement à un réseau de chaleur, les changements d’équipements de chauffage ou de production
d’eau chaude sanitaire ne doivent conduire :
– ni à l’installation d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire consommant
majoritairement du charbon, du fioul ou du gaz ;
– ni à une hausse des émissions de gaz à effet de serre.
Cette offre prévoit une incitation financière, pour des opérations engagées jusqu’au 31 décembre 2025 et
achevées au plus tard le 31 décembre 2026.
L’incitation financière s’établit aux valeurs minimales suivantes :
1o Opérations relatives à des bâtiments dont la consommation annuelle d’énergie primaire après travaux est
inférieure ou égale à 110 kWh/m2 :
– 350 euros par MWh de consommation conventionnelle annuelle d’énergie finale économisée de la maison
rénovée (3), pour les opérations au bénéfice des ménages modestes (4) ;
– 300 euros par MWh de consommation conventionnelle annuelle d’énergie finale économisée de la maison
rénovée (5), pour les opérations au bénéfice des autres ménages ;
2o Autres opérations :
– 250 euros par MWh de consommation conventionnelle annuelle d’énergie finale économisée de la maison
rénovée (6), pour les opérations au bénéfice des ménages modestes (7) ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 203
– 200 euros par MWh de consommation conventionnelle annuelle d’énergie finale économisée de la maison
rénovée (8), pour les opérations au bénéfice des autres ménages.
L’étude énergétique préalable aux travaux de rénovation justifie l’atteinte des performances énergétiques
minimales fixées ci-dessus. L’entreprise réalisant l’étude énergétique et répondant aux exigences de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-164 ne peut sous-traiter tout ou partie de l’étude. La visite du bâtiment aux fins
de l’étude énergétique, notamment, est effectuée par l’entreprise réalisant l’étude énergétique ; cette visite nécessite
le déplacement physique d’une personne de l’entreprise sur le lieu de l’opération.
Après contrôle de l’étude énergétique et avant l’engagement des travaux, je m’engage à confirmer au ménage le
montant de l’incitation financière qu’il recevra.
Dans chacun de ces cas, la date d’engagement de l’opération est égale ou postérieure à la date de prise d’effet de
la charte.
COUVERTURE GEOGRAPHIQUE
Je m’engage à proposer ces offres en France métropolitaine dans au moins 10 départements ou une région ou une
métropole.
OBJECTIF
Je m’engage à suivre mensuellement le déploiement de mes offres au travers des critères suivants :
– le nombre de bénéficiaires aidés ;
– le nombre total de maisons individuelles rénovées ;
– la surface totale habitable des maisons individuelles rénovées ;
– le bilan statistique de la rénovation des bâtiments en fonction de leur classe énergétique et de leur énergie de
chauffage, avant et après travaux ;
– le montant des travaux engagés et le montant des travaux achevés ;
– le montant des contributions financières associées aux offres proposées, aux travaux de rénovation engagés et
aux travaux de rénovation achevés ainsi que le montant des primes versées ;
– le nombre de logements faisant l’objet de travaux de changement de chauffage engagés et achevés, et en
distinguant l’énergie de chauffage remplacée (fioul, charbon, gaz, électricité) et l’énergie de chauffage après
travaux.
SITE INTERNET
Je m’engage, avant la prise d’effet de ma charte, à présenter mes offres et mes engagements résultant de la
présente charte au travers d’un site Internet accessible aux bénéficiaires de mes offres comprenant notamment :
– une présentation du dispositif, de ses objectifs et des offres proposées ;
– une présentation synthétique des prestations d’assistance à maîtrise d’ouvrage et des solutions de financement
que je propose dans le cadre de mes offres ;
– une présentation des modalités d’obtention par les bénéficiaires des incitations financières que je mets en
place, qui m’identifie clairement comme à l’origine des primes versées ;
– les montants de primes ainsi que les critères techniques et exigences à respecter pour les travaux à réaliser ;
– les critères d’éligibilité des bénéficiaires notamment l’étendue de la zone de couverture géographique de mes
offres ;
– la politique de contrôle par des organismes tiers mise en place dans le cadre de la charte ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 203
– les informations sur les dispositifs d’aides existants ou les liens renvoyant vers ces informations ainsi que la
promotion du réseau FAIRE.
POLITIQUE DE CONTROLE
Je m’engage à mettre en place une politique de contrôle sur site des opérations relevant de la fiche d’opération
standardisée BAR-TH-164, réalisées avec mon concours dans le cadre de la présente charte et à compter de la date
de prise d’effet de mon engagement.
Ces contrôles sont réalisés sur chacune des opérations de rénovation globale réalisées correspondant à la fiche
BAR-TH-164, engagées à compter de la date de prise d’effet de mon engagement. Ils sont réalisés préalablement
au dépôt de demandes de CEE auprès du Pôle national des certificats d’économies d’énergie (PNCEE).
Ces contrôles sont conduits par un organisme de contrôle accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17020
applicable en tant qu’organisme d’inspection de type A pour le domaine « Inspection d’opérations standardisées
d’économies d’énergie dans le cadre du dispositif de délivrance des certificats d’économies d’énergie ».
Un organisme de contrôle ne peut effectuer le contrôle d’une opération pour laquelle il a, le cas échéant, réalisé
l’étude énergétique.
Chaque opération contrôlée fait l’objet d’un rapport.
Le rapport de contrôle atteste :
– de la date de la visite sur site de l’organisme de contrôle ;
– des informations d’identification du bénéficiaire (nom, adresse, nombre et nature des lots) ;
– de la réalité des travaux de rénovation et de la surface habitable de la maison individuelle rénovée ;
– de la réalisation d’une étude énergétique sur le bâtiment :
– ayant fait l’objet d’une visite sur place par l’entreprise ayant réalisé l’étude énergétique ;
– dont le contenu est conforme au dernier alinéa du IV de l’article 3-5-1 de l’arrêté du 29 décembre 2014
modifié relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie, sans
préjudice des exigences particulières de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-164 ;
– mentionnant les valeurs des consommations conventionnelles en énergie primaire et en énergie finale avant
et après l’opération ayant servi à déterminer l’éligibilité au présent Coup de pouce et le niveau de prime
associé ;
– Pour laquelle il est vérifié que :
– le niveau de confort thermique de la situation finale est équivalent ou meilleur que celui de la situation
initiale, y compris en période de rigueur hivernale ;
– la production d’électricité sur site n’est pas retranchée des consommations énergétiques ;
– seules les installations fixes de chauffage sont prises en compte (des appoints mobiles de type effet joule
ne peuvent par exemple pas être considérés pour définir la situation initiale) ;
– de la conformité des équipements et matériaux mis en place avec l’étude énergétique, au regard du (ou des)
devis et factures définitifs ;
– du fait que les équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire le cas échéant installés ne
consomment pas majoritairement du charbon, du fioul ou du gaz ;
– de la qualification des entreprises intervenantes à la date d’engagement de l’opération lorsque cette
qualification est requise.
Le rapport fournit également des éléments d’appréciation sur la qualité des travaux, en cas de manquement
manifeste aux règles de l’art.
Je m’engage à archiver et à tenir à la disposition du PNCEE les rapports de contrôle des opérations contrôlées.
Une synthèse des contrôles menés sur les opérations d’un dossier de demande est réalisée par l’organisme de
contrôle. Cette synthèse comprend notamment la liste des opérations contrôlées, les paramètres contrôlés, les
résultats obtenus, les écarts constatés y compris sur la qualité des travaux et les contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à tenir à disposition du PNCEE, pour chaque dossier de demande contenant des opérations relevant
de la présente charte, la synthèse des contrôles menés sur les opérations incluses dans cette demande ainsi que des
informations sur les suites données aux contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à apporter des mesures correctives en cas de problème détecté lors des contrôles.
En cas de mesures correctives jugées insuffisantes, le présent engagement est caduc après mise en demeure par le
ministère chargé de l’énergie non suivie d’effets.
Dès publication des références de mon offre sur le site Internet du ministère chargé de l’énergie, je serai autorisé
à:
– utiliser la dénomination « Coup de pouce Rénovation performante d’une maison individuelle » ;
– bénéficier de la bonification prévue par l’article 3-5-1 de l’arrêté du 29 décembre 2014 modifié relatif aux
modalités d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie, pour les opérations engagées
jusqu’au 31 décembre 2025 inclus, et achevées d’ici le 31 décembre 2026.
Je m’engage à transmettre chaque mois à la DGEC un point d’avancement sur les opérations effectuées dans le
cadre de mes offres, selon une trame disponible sur le site internet du ministère chargé de l’énergie.
Ces éléments sont transmis avant le 5 du mois suivant et incluent, le cas échéant, les opérations engagées au titre
de la version précédente de la charte.
Je prends acte que je peux mettre fin à mon engagement dans les conditions fixées à l’article 3-8 de l’arrêté du
29 décembre 2014 relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie et que le
ministre chargé de l’énergie peut retirer le bénéfice des droits attachés à la présente charte, en cas de manquement à
cette charte ou aux dispositions relatives aux certificats d’économies d’énergie, après mise en demeure non suivie
d’effet. Mes offres sont alors retirées du site Internet du ministère chargé de l’énergie et je m’engage à supprimer
toute référence à mon engagement dès que ma charte est résiliée ou m’est retirée.
Fait à
Le ........................................................./ ........................................................ /.........................................................
(Nom et qualité du signataire, signature et cachet)
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 10 décembre 2021 fixant la liste des établissements hospitaliers exclus du système
d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre et les plafonds d’émission annuels qui
leur sont applicables, et la liste des établissements émettant moins de 2 500 tonnes
d’équivalent dioxyde de carbone exclus du système d’échange de quotas d’émission de gaz
à effet de serre, ainsi que les mesures de surveillance et de déclaration qui leur sont applicables,
pour la période 2021-2025
NOR : TRER2137416A
Publics concernés : exploitants d’installations exclues du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet
de serre pour la période 2021-2025.
Objet : l’arrêté a pour objet de fixer la liste des établissements de santé publics privés et privés d’intérêt collectif
mentionnés à l’article L. 6111-1 du code de la santé publique bénéficiant de l’exclusion mentionnée à
l’article L. 229-13 du code de l’environnement, ainsi que leurs plafonds annuels d’émission. Cet arrêté définit
également la liste des établissements émettant moins de 2 500 tonnes d’équivalent dioxyde de carbone bénéficiant
de l’exclusion mentionnée au I de l’article L. 229-14 du code de l’environnement et qui mettent en œuvre des
mesures de surveillance simplifiées.
Entrée en vigueur : le présent arrêté s’applique à compter du lendemain de sa publication.
Notice : le présent arrêté définit les dispositions applicables pour les installations exclues du système d’échange
de quotas d’émission de gaz à effet de serre au titre des articles L. 229-13 et L. 229-14 du code de l’environnement.
Cet arrêté fixe la liste des installations bénéficiant de l’exclusion mentionnée à l’article L. 229-13 et les plafonds
d’émission associés. Il fixe également la liste des installations bénéficiant de l’exclusion mentionnée à
l’article L. 229-14 du code de l’environnement. Il définit par ailleurs les mesures de surveillance et de déclaration
applicables à ces installations.
Références : le présent texte peut être consulté sur le site Légifrance (https://legifrance.gouv.fr).
La ministre de la transition écologique,
Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 229-5 et suivants et R. 229-5 et suivants ;
Vu la directive 2003/87/CE du Parlement et du Conseil du 13 octobre 2003 modifiée établissant un système
d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre dans la Communauté et modifiant la directive 96/61/CE du
Conseil, et notamment ses articles 27 et 27 bis ;
Vu le règlement délégué (UE) 2019/331 de la commission du 19 décembre 2018 définissant des règles
transitoires pour l’ensemble de l’Union concernant l’allocation harmonisée de quotas d’émission à titre gratuit
conformément à l’article 10 bis de la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil ;
Vu le règlement d’exécution 2018/2066 de la commission du 19 décembre 2018 relatif à la surveillance et à la
déclaration des émissions de gaz à effet de serre au titre de la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du
Conseil et modifiant le règlement (UE) no 601/2012 de la Commission ;
Vu la décision 2021/355 de la Commission du 25 février 2021 concernant les mesures nationales d’exécution
pour l’allocation transitoire à titre gratuit de quotas d’émission de gaz à effet de serre conformément à l’article 11,
paragraphe 3, de la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil ;
Vu la décision de la Commission du 29 juin 2021 donnant instruction à l’administrateur central du journal des
transactions de l’Union européenne de saisir les tableaux nationaux d’allocation de la Belgique, de la Bulgarie, de
la Tchéquie, du Danemark, de l’Allemagne, de l’Estonie, de l’Irlande, de la Grèce, de l’Espagne, de la France, de la
Croatie, de l’Italie, de Chypre, de la Lettonie, de la Lituanie, du Luxembourg, de la Hongrie, des Pays-Bas, de
l’Autriche, de la Pologne, du Portugal, de la Roumanie, de la Slovénie, de la Slovaquie, de la Finlande et de la
Suède dans le journal des transactions de l’Union européenne ;
Vu l’avis au JO du 30 avril 2019 aux opérateurs économiques sur les modalités de collecte des données pour la
quatrième phase du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ;
Vu l’avis au JO du 20 septembre 2019 aux opérateurs économiques des mesures d’exécution nationales pour la
quatrième période du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 203
Vu l’arrêté du 21 décembre 2020 sur les modalités de mise en œuvre des obligations particulières de
surveillance, de déclaration et de contrôle des émissions et des niveaux d’activité auxquelles sont soumises les
installations soumises au système d’échange de quotas de gaz à effet de serre ;
Vu les observations formulées lors de la consultation du public réalisée du 18 octobre 2021 au 8 novembre 2021
inclus, en application de l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement,
Arrête :
Art. 1er. – L’annexe I fixe la liste des établissements de santé publics privés et privés d’intérêt collectif
mentionnés à l’article L. 6111-1 du code de la santé publique bénéficiant de l’exclusion mentionnée au I de
l’article L. 229-13 et au IV de l’article R. 229-5-2 du code de l’environnement pour la période 2021-2025 ainsi que
les valeurs de référence exprimées en plafonds annuels d’émission pour chacune de ces installations.
L’annexe II fixe la liste des établissements bénéficiant de l’exclusion mentionnée au I de l’article L. 229-14 et
au III de l’article R. 229-5-3 du code de l’environnement du fait de leurs émissions (sans tenir compte des
émissions provenant de la biomasse) de moins de 2 500 tonnes d’équivalent dioxyde de carbone pour chacune des
trois années civiles 2016, 2017 et 2018.
Art. 2. – Les « mesures équivalentes » pour les installations bénéficiant d’une exclusion au titre de
l’article L. 229-13 sont définies à l’article R. 229-5-2 du code de l’environnement.
Conformément à l’article R. 229-5-2 du code de l’environnement, l’exploitant d’une installation bénéficiant
d’une exclusion au titre de l’article L. 229-13 met en place les mesures de surveillance des émissions simplifiées
suivantes :
– la surveillance des émissions et la déclaration des émissions pour les installations à faible niveau d’émission,
est réalisée conformément aux règles prévues par l’article 47 du règlement 2018/2066 pour la surveillance et
la déclaration des émissions de gaz à effet de serre ;
– l’exploitant déclare annuellement les émissions de gaz à effet de serre de son installation à l’autorité
administrative conformément à l’article 9 de l’arrêté du 21 décembre 2020 précité ;
– toutefois, conformément au II de l’article R. 229-5-2 du code de l’environnement, l’exploitant est dispensé
pour cette déclaration de l’avis d’assurance raisonnable par un vérificateur. La déclaration d’émission est
examinée par l’autorité compétente qui vérifie que la valeur de référence fixée au titre d’une année donnée
n’est pas dépassée ;
– les établissements de santé qui émettent, au cours d’une année, moins que leur plafond annuel d’émission,
peuvent utiliser la différence en cas de dépassement les années suivantes inclues dans la période 2021-2025,
ceci constitue un droit d’émettre supplémentaire ;
– si le montant de ces émissions dépasse celui des limites réglementaires et si les émissions des années
précédentes ne lui ont pas permis d’obtenir un droit d’émettre supplémentaire, alors l’établissement doit
verser une pénalité, conformément au III de l’article L. 229-13 du code de l’environnement.
Art. 3. – Conformément à l’article R. 229-5-3 du code de l’environnement, l’exploitant d’une installation
bénéficiant d’une exclusion au titre de l’article L. 229-14 met en place les mesures de surveillance des émissions
simplifiées suivantes :
– la surveillance des émissions et la déclaration des émissions pour les installations à faible niveau d’émission,
est réalisée conformément aux règles prévues par l’article 47 du règlement 2018/2066 pour la surveillance et
la déclaration des émissions de gaz à effet de serre ;
– l’exploitant déclare annuellement les émissions de gaz à effet de serre de son installation à l’autorité
administrative conformément à l’article 9 de l’arrêté du 21 décembre 2020 précité ;
– toutefois, conformément au II. de l’article R. 229-5-3 du code de l’environnement, l’exploitant est dispensé
pour cette déclaration de l’avis d’assurance raisonnable par un vérificateur. La déclaration d’émission est
examinée par l’autorité compétente qui vérifie que les émissions restent inférieures à 2 500 tonnes
d’équivalent-dioxyde-de-carbone ;
– si l’installation émet une quantité égale ou supérieure à 2 500 tonnes d’équivalent-dioxyde-de-carbone au
cours d’une année civile, cette installation ne bénéficie plus de l’exclusion au titre de l’article L. 229-14 du
code de l’environnement et réintègre le système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre de
l’UE dans les conditions fixées au L. 229-14 – II.
Art. 4. – Une installation bénéficiant à la fois d’une exclusion au titre de l’article L. 229-13 et d’une exclusion
au titre du L. 229-14 est soumise uniquement aux dispositions de l’article 3 du présent arrêté. Si l’installation émet
une quantité égale ou supérieure à 2 500 tonnes d’équivalent-dioxyde-de-carbone au cours d’une année civile, elle
ne bénéficie plus de l’exclusion au titre de l’article L. 229-14 du code de l’environnement et applique les mesures
équivalentes de l’article R. 229-5-2 du code de l’environnement ainsi que les dispositions de l’article 2 du présent
arrêté.
Art. 5. – Le directeur général de l’énergie et du climat est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 203
ANNEXES
ANNEXE I
LISTE DES ÉTABLISSEMENTS HOSPITALIERS EXCLUS DU SYSTÈME D’ÉCHANGE DE QUOTAS
D’ÉMISSION DE GAZ À EFFET DE SERRE ET PLAFONDS ANNUELS D’ÉMISSIONS APPLICABLES
AUX ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ EXCLUS DU SYSTÈME D’ÉCHANGE EN APPLICATION
DE L’ARTICLE L. 229-13 DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT
Plafonds annuels d’émissions
(tonnes d’équivalent dioxyde de carbone)
applicables aux établissements de santé
Identifiant Nom de l’installation Nom de l’exploitant exclus du système d’échange
FR000000000000080 GROUPE HOSPITALIER PELLEGRIN CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE 1 098 1 098 1 098 1 098 1 098
DE BORDEAUX
FR000000000000082 HOPITAL HAUT LEVEQUE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE 1 525 1 525 1 525 1 525 1 525
DE BORDEAUX
FR000000000000853 Groupe Hospitalier de la Région de Groupe Hospitalier de la Région de 1 004 979 953 927 901
Mulhouse et Sud Alsace Mulhouse et Sud Alsace
FR000000000210186 CHU AMIENS PÔLE ENERGIE CHU AMIENS 1 984 1 984 1 984 1 984 1 984
FR-new-07000894 Centre hospitalier de Boulogne sur Centre hospitalier de Boulogne sur mer 320 320 320 320 320
mer
/ :en l’absence de données historiques, les plafonds d’émission ne sont pas fixés pour ces installations. Les plafonds seront
fixés une fois les données disponibles.
ANNEXE II
LISTE DES ÉTABLISSEMENTS BÉNÉFICIANT DE L’EXCLUSION
MENTIONNÉE AU I DE L’ARTICLE L. 229-14 DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT
Identifiant Nom de l’installation Nom de l’exploitant
FR-new-07000894 Centre hospitalier de Boulogne sur mer Centre hospitalier de Boulogne sur mer
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : émetteurs de titres-mobilité, employeurs et salariés, organismes agréés au profit desquels
les titres-mobilités peuvent être débités.
Objet : définition des modalités du titre-mobilité instauré aux articles L. 3261-5 et suivant en tant que solution
de paiement spécifique, dématérialisée et prépayée pour la prise en charge du forfait mobilités durables et des frais
de carburant et des frais exposés pour l’alimentation de véhicules électriques, hybrides rechargeables ou
hydrogène, dans les conditions prévues aux articles L. 3261-3 et L. 3261-3-1 et modalités d’agréments délivrés aux
entreprises fournissant ou commercialisant des biens ou services mentionnés aux articles L. 3261-3 et L. 3261-3-1.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er janvier 2022.
Notice : le décret détermine les modalités du titre-mobilité, prévu à l’article L. 3261-5 du code du travail en tant
que solution de paiement spécifique, dématérialisée et prépayée pour la prise en charge du forfait mobilités
durables et des frais de carburant et des frais exposés pour l’alimentation de véhicules électriques, hybrides
rechargeables ou hydrogène : 1o Les mentions obligatoires attachées aux titres-mobilité et les modalités
d’accessibilité de ces mentions ; 2o Les conditions d’utilisation et de remboursement de ces titres ; 3o Les règles de
fonctionnement des comptes bancaires spécialement affectés à l’émission et à l’utilisation des titres mobilité ; 4o
Les conditions du contrôle de la gestion des fonds mentionnées à l’article L. 3261-7. Il prévoit également les
modalités d’agréments délivrés aux entreprises fournissant des biens ou services mentionnés aux articles L. 3261-3
et L. 3261-3-1.
Références : le décret et les dispositions du code du travail qu’il créée peuvent être consultées sur le site
Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la transition écologique, du ministre de l’économie, des finances et de la relance
et de la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion,
Vu le code du travail, notamment ses articles L. 3261-5, L. 3261-7 et L. 3261-10 ;
Vu le code des postes et des communications électroniques, notamment son article L. 32 ;
Vu l’avis du comité consultatif de la législation et de la réglementation financières en date du 16 novembre 2021 ;
Le Conseil d’Etat (section sociale) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – La section 2 du chapitre Ier du titre VI du livre II de la troisième partie du code du travail est ainsi
er
modifiée :
1o La sous-section 3 devient une sous-section 4 ;
2o Il est rétabli une sous-section 3 ainsi rédigée :
« Sous-section 3
« Titre-mobilité
« Art. R. 3261-13-3. – Sont affichées directement sur les équipements terminaux, au sens du 10o de
l’article L. 32 du code des postes et des communications électroniques, utilisés par le salarié et l’entreprise agréée
sur le fondement de l’article L. 3261-7 pour un paiement à l’aide d’un titre-mobilité, les mentions suivantes :
« 1o Le nom et l’adresse de l’émetteur du titre ;
« 2o Le nom du salarié.
« L’émetteur assure à chaque salarié, directement sur l’équipement terminal appartenant à celui-ci, par voie
téléphonique ou, à sa demande, par message textuel, l’accès permanent et gratuit au solde de son compte personnel
de titre-mobilité. Le dispositif indique, le cas échéant, le montant qui n’est plus susceptible d’être utilisé que dans
un délai de moins d’un mois.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 203
« Art. R. 3261-13-4. – La durée de validité des titres-mobilité, qui est fixée par l’émetteur, s’étend au moins
jusqu’au dernier jour de l’année civile au cours de laquelle ils ont été émis.
« Art. R. 3261-13-5. – I. – L’agrément prévu à l’article L. 3261-7 est délivré par le ministre en charge des
transports aux entreprises justifiant fournir ou commercialiser des biens ou services mentionnés aux
articles L. 3261-3 et L. 3261-3-1.
« Il est notamment délivré aux entreprises qui justifient fournir un ou plusieurs des services suivants :
« 1o Vente de cycles et cycles à pédalage assisté ;
« 2o Vente de détail d’équipements pour cycles et cycles à pédalage assisté ;
« 3o Entretien et réparation de cycles et cycles à pédalage assisté ;
« 4o Vente de titres permettant l’accès à un stationnement sécurisé pour cycles ;
« 5o Assurance pour cycles et cycles à pédalage assisté ;
« 6o Location, quelle qu’en soit la durée, et mise à disposition en libre-service de cycles, cycles à pédalage
assisté, engins de déplacement personnels, cyclomoteurs et motocyclettes ;
« 7o Vente d’engins de déplacement personnels motorisés ;
« 8o Services de covoiturage ;
« 9o Location de véhicules électriques, hybrides rechargeables ou hydrogène en libre-service et accessibles sur la
voie publique ;
« 10o Vente de titres de transport en commun ;
« 11o Vente de détail de carburants ;
« 12o Vente d’alimentation ou recharge pour véhicules électriques, hybrides rechargeables ou hydrogène.
« II. – La demande d’agrément est adressée par le représentant légal de l’entreprise.
« La composition du dossier qui doit être joint à cette demande et les modalités de sa transmission sont fixées par
arrêté du ministre chargé des transports.
« Le silence gardé par l’administration pendant quinze jours à compter de la réception d’un dossier complet vaut
acceptation de la demande.
« La liste des entreprises bénéficiant de l’agrément est mise à la disposition du public par le ministre chargé des
transports.
« III. – L’agrément est retiré en cas de manquement aux obligations mentionnées au deuxième alinéa de
l’article R. 3261-13-6 ou lorsqu’une entreprise cesse de fournir les services au titre desquels elle a été agréée.
« IV. – L’utilisation des titres d’un émetteur est subordonnée à la conclusion, entre celui-ci et les entreprises
agréées souhaitant accepter ces titres, d’un contrat d’affiliation prévoyant, notamment, l’acquittement de tout ou
partie des commissions identifiées à l’article L. 3261-5.
« Art. R. 3261-13-6. – L’émetteur met en œuvre, sur la base des informations qui lui sont transmises à
l’occasion d’une demande de paiement, une fonctionnalité de blocage automatique empêchant l’utilisation de
titres-mobilité en dehors des cas prévus par les dispositions légales et règlementaires.
« Chaque entreprise agréée met en place une procédure garantissant que les titres-mobilité sont utilisés pour
l’achat de biens et services éligibles aux prises en charge mentionnées aux articles L. 3261-3 et L. 3261-3-1.
« Tout manquement aux obligations définies aux deux premiers alinéas est puni par une amende prévue pour les
contraventions de quatrième classe.
« Art. R. 3261-13-7. – Les titres-mobilité sont présentés au remboursement par les entreprises agréées à
l’émetteur. Ce dernier s’assure que le présentateur est une entreprise agréée puis donne ordre à l’établissement
bancaire qui tient son compte de titre-mobilité d’en effectuer le paiement par imputation au débit de ce compte. Le
paiement est opéré par virement bancaire ou par chèque. Il est effectué dans un délai qui ne peut excéder cinq jours
à compter de la réception du titre aux fins de règlement.
« Art. R. 3261-13-8. – Sous la responsabilité de l’émetteur, les sommes portées au crédit des comptes de titre-
mobilité prévus à l’article L. 3261-6 et L. 3261-7 peuvent faire l’objet de placements temporaires sous réserve que
leur montant demeure à tout moment immédiatement réalisable pour leur valeur nominale initiale.
« Art. R. 3261-13-9. – L’émetteur de titres-mobilité fait appel à un expert-comptable chargé de constater au
moins une fois par an les opérations accomplies par cet émetteur. Les constatations de cet expert-comptable sont
consignées dans un rapport que l’émetteur tient à la disposition de tout agent de contrôle et qu’il adresse
annuellement au ministre chargé des transports. »
Art. 2. – Les dispositions du présent décret, à l’exception de l’article R. 3261-13-5 du code du travail issu de
l’article premier, entrent en vigueur au 1er janvier 2022.
Les agréments délivrés en application de l’article R. 3261-13-5 du code du travail antérieurement au
1er janvier 2022 entrent en vigueur à cette dernière date.
Art. 3. – La ministre de la transition écologique, le ministre de l’économie, des finances et de la relance, la
ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, le ministre délégué auprès de la ministre de la transition
écologique, chargé des transports, et le ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères,
chargé du tourisme, des Français de l’étranger et de la francophonie, et auprès du ministre de l’économie, des
finances et de la relance, chargé des petites et moyennes entreprises, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2021-1664 du 16 décembre 2021 instituant une aide « fermeture » visant à compenser
les coûts fixes non couverts des entreprises dont l’activité a été affectée par les mesures de
restriction administratives visant à lutter contre l’épidémie de covid-19
NOR : ECOI2130311D
Publics concernés : les entreprises qui ont un niveau de charges fixes élevé et ont subi une perte de chiffre
d’affaires significative à la suite de la crise sanitaire et des mesures de restriction mises en œuvre pour endiguer la
progression de l’épidémie.
Objet : instauration d’une aide spécifique en faveur des entreprises dont l’activité est particulièrement affectée
par les conséquences de la crise sanitaire et qui ont un niveau de charges fixes particulièrement élevé.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : ce décret institue une nouvelle aide dite « fermeture » visant à compenser les coûts fixes non couverts
des entreprises dont l’activité est particulièrement affectée par l’épidémie de covid-19 et qui, ayant été créées
avant le 1er janvier 2019, remplissent les conditions suivantes :
– avoir saturé le plafond de 10 millions d’euros de l’aide « coûts fixes » ;
– exercer leur activité principale dans un secteur dit S1/S1 bis (annexe 1 et 2 du décret du 30 mars 2020)
et dont :
– une partie au moins de leurs activités a fait l’objet au cours de la période éligible de mesures
administratives telles que des fermetures administratives, des interdictions d’accueil du public, ou toute
autre mesure empêchant l’exercice de tout ou partie de l’activité ;
– une partie au moins de leurs activités réalise plus de 80 % de leur chiffre d’affaires au cours de la période
éligible avec une activité fermée visée à l’alinéa précédent ;
– subir au titre de leurs activités éligibles une perte de chiffre d’affaires d’au moins 80 % durant la période
éligible ;
– avoir un excédent brut d’exploitation coûts fixes des activités éligibles au cours de la période éligible négatif.
L’aide prend la forme d’une subvention dont le montant s’élève à la somme des aides auxquelles l’entreprise a
droit pour chaque période éligible entre le 1er janvier 2021 et le 31 août 2021. Le montant pour chaque période
éligible s’élève à 70 % de l’opposé mathématique de l’excédent brut d’exploitation (EBE) coûts fixes des activités
éligibles constaté au cours de la période éligible.
Toutefois, si le résultat net de l’entreprise au titre de 2019 est positif, la somme du montant de l’aide pour la
période de janvier à août 2021 et de l’EBE coûts fixes des activités éligibles calculé sur la période précitée est
plafonnée au montant du résultat net constaté en 2019 sur la même période, multiplié par un facteur de 93,7 %. Le
montant de l’aide est réduit à due proportion pour respecter ce plafond. Si le résultat net au titre de 2019 est
négatif, la somme du montant de l’aide pour l’ensemble de la période de janvier à août 2021 et de l’EBE coûts
fixes des activités éligibles calculé sur la période précitée est plafonnée au montant du résultat net constaté en
2019 sur la même période, multiplié par un facteur de 106,3 %. Le montant de l’aide est réduit à due proportion
pour respecter ce plafond. Le facteur correctif de 6,3 % correspond à la baisse estimée par l’INSEE du produit
intérieur brut constatée au 1er trimestre 2021 pour les services principalement marchands par rapport au
4e trimestre 2019.
Le montant de l’aide est limité sur la période du 1er janvier 2021 au 31 août 2021 à un plafond de 25 millions
d’euros calculé au niveau du groupe. Si les entreprises bénéficient de l’aide prévue par le présent décret au titre
d’une période éligible durant laquelle elles ont déjà perçu l’aide coûts fixes prévues par le décret du 24 mars 2021
précité, alors le montant déjà octroyé peut, sur demande de l’entreprise, être réputé versé au titre du présent
décret. Le montant correspondant est alors comptabilisé dans le plafond de 25 millions d’euros. L’entreprise peut
demander en conséquence l’aide coûts fixes au titre d’une autre période éligible.
Les demandes uniques d’aide seront déposées, par voie dématérialisée, entre le 22 décembre 2021 et le
28 février 2022.
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la relance,
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 203
Vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, notamment ses articles 107 et 108 ;
Vu la décision de la Commission européenne no SA.61330 du 9 mars 2021 autorisant un régime d’aide
complémentaire destiné à compenser les coûts fixes non couverts des entreprises ayant enregistré des pertes
pendant la crise COVID-19 en application de la section 3.12 de l’encadrement temporaire des mesures d’aide
d’Etat visant à soutenir l’économie dans le contexte actuel de la flambée de COVID-19 ;
Vu la décision de la Commission européenne no SA.64114 du 26 novembre 2021 autorisant un régime d’aide
complémentaire destiné à compenser les coûts fixes non couverts des entreprises dont l’activité a été affectée par
les mesures de restriction administratives en application de la section 3.12 de l’encadrement temporaire des
mesures d’aide d’Etat visant à soutenir l’économie dans le contexte actuel de la flambée de COVID-19 ;
Vu le code du commerce, notamment son article L. 233-3 ;
Vu la loi no 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les
administrations, notamment son article 10 ;
Vu l’ordonnance no 2020-317 du 25 mars 2020 modifiée portant création d’un fonds de solidarité à destination
des entreprises particulièrement touchées par les conséquences économiques, financières et sociales de la
propagation de l’épidémie de covid-19 et des mesures prises pour limiter cette propagation ;
Vu le décret no 2001-495 du 6 juin 2001 pris pour l’application de l’article 10 de la loi no 2000-321 du
12 avril 2000 et relatif à la transparence financière des aides octroyées par les personnes publiques ;
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ;
Vu le décret no 2020-371 du 30 mars 2020 modifié relatif au fonds de solidarité à destination des entreprises
particulièrement touchées par les conséquences économiques, financières et sociales de la propagation de
l’épidémie de covid-19 et des mesures prises pour limiter cette propagation ;
Vu le décret no 2020-1262 du 16 octobre 2020 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire
face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ;
Vu le décret no 2020-1310 du 29 octobre 2020 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire
face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, notamment son article 18 ;
Vu le décret no 2021-310 du 24 mars 2021 modifié instituant une aide visant à compenser les coûts fixes non
couverts des entreprises dont l’activité est particulièrement affectée par l’épidémie de covid-19 ;
Vu le décret no 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie
de crise sanitaire ;
Vu le décret no 2021-1488 du 16 novembre 2021 instituant une aide relative aux loyers ou redevances et charges
de certains commerces de détail et services interdits d’accueil du public afin de lutter contre la propagartion de
l’épidémie de covid-19,
Décrète :
Art. 1 . – I. – Les entreprises mentionnées à l’article 1er du décret du 30 mars 2020 susvisé, à l’exception de
er
celles mentionnées aux 5o et 5o bis, peuvent bénéficier, au titre de la période allant du 1er janvier 2021 au
31 août 2021, d’une aide dite aide « fermeture » destinée à compenser leurs coûts fixes non couverts par les
contributions aux bénéfices, lorsqu’elles remplissent les conditions suivantes au jour de la demande :
1o Elles ont été créées avant le 1er janvier 2019 ;
2o Elles ont perçu en 2021 les aides mentionnées par le décret du 24 mars 2021 susvisé et celles-ci ont atteint le
plafond de 10 millions d’euros prévu au III de l’article 2 dudit décret ;
3o Elles exercent leur activité principale dans un secteur mentionné à l’annexe 1 ou à l’annexe 2 du décret du
30 mars 2020 susvisé dans sa rédaction en vigueur au 30 juin 2021 et remplissent l’une des conditions suivantes au
cours de la période éligible :
a) Une partie au moins de leurs activités a fait l’objet au cours de la période éligible de mesures administratives
telles que des fermetures administratives, à l’exception de celles prises par arrêté du préfet de département
ordonnant la fermeture de l’entreprise en application du troisième alinéa de l’article 29 du décret du 1er juin 2021
susvisé, du troisième alinéa de l’article 29 du décret du 29 octobre 2020 susvisé ou du troisième alinéa de
l’article 29 du décret du 16 octobre 2020 susvisé, des interdictions d’accueil du public, ou toute autre mesure
empêchant l’exercice de tout ou partie de l’activité ;
b) Une partie au moins de leurs activités réalise plus de 80 % de leur chiffre d’affaires au cours de la période
éligible dans une activité ayant fait l’objet de mesures administratives mentionnées à l’alinéa précédent ;
4o Leurs activités éligibles ont subi une perte de chiffre d’affaires, calculée selon les modalités de l’article 3, d’au
moins 80 % durant la période éligible ;
5o L’excédent brut d’exploitation coûts fixes de leurs activités éligibles au cours de la période éligible est négatif.
II. – Au sens du présent décret :
– la notion de chiffre d’affaires s’entend comme le chiffre d’affaires hors taxes ou, lorsque l’entreprise relève de
la catégorie des bénéfices non commerciaux, comme les recettes nettes hors taxes ;
– l’excédent brut d’exploitation coûts fixes des activités éligibles est l’excédent brut d’exploitation tel qu’il est
calculé pour les activités éligibles conformément à la formule figurant à l’annexe 2 du décret du 24 mars 2020
précité ;
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– la période éligible est le mois calendaire au titre duquel l’entreprise remplit les conditions prévues au I du
présent article ;
– les activités éligibles sont les activités empêchées de l’entreprise, qu’elles soient principales ou secondaires,
c’est-à-dire les activités ayant subi une interdiction d’accueil du public ou tout autre mesure administrative
empêchant l’exercice de l’activité ou dépendant d’activités interdites d’accueil du public ;
– un groupe est soit une entreprise qui n’est ni contrôlée par une autre, ni ne contrôle une autre entreprise dans
les conditions prévues à l’article L. 233-3 du code du commerce, soit un ensemble de sociétés et d’entreprises
en nom propre liées entre elles dans les conditions prévues à cet article.
Par dérogation à l’article 1er du décret du 6 juin 2001 susvisé et pour l’application du présent décret, le montant
au-delà duquel s’applique l’obligation de conclure une convention est fixé à 25 millions d’euros.
Art. 2. – I. – L’aide prend la forme d’une subvention correspondant à la somme des aides auxquelles
l’entreprise a droit pour chaque période éligible.
Le montant pour chaque période éligible s’élève à 70 % de l’opposé mathématique de l’excédent brut
d’exploitation coûts fixes des activités éligibles constaté au cours de la période éligible.
II. – L’aide mentionnée au I est minorée le cas échéant du montant de l’aide demandée ou perçue au titre de la
même période éligible par l’entreprise en application du décret du 24 mars 2021 précité et du décret du
16 novembre 2021 susvisé.
III. – Par dérogation au deuxième alinéa du I, si le résultat net au titre de 2019 est positif, la somme du montant
de l’aide mentionnée au premier alinéa du I pour la période de janvier à août 2021 et de l’excédent brut
d’exploitation coûts fixes des activités éligibles sur la période précitée est plafonnée au montant du résultat net
constaté en 2019 sur la même période, multiplié par un facteur de 93,7 %. Le montant de l’aide est réduit à due
proportion pour respecter ce plafond.
Par dérogation au deuxième alinéa du I, si le résultat net au titre de 2019 est négatif, la somme du montant de
l’aide mentionnée au premier alinéa du I pour l’ensemble de la période de janvier à août 2021 et de l’excédent brut
d’exploitation coûts fixes des activités éligibles sur la période précitée est plafonnée au montant du résultat net
constaté en 2019 sur la même période, multiplié par un facteur de 106,3 %. Le montant de l’aide est réduit à due
proportion pour respecter ce plafond.
IV. – L’excédent brut d’exploitation coûts fixes des activités éligibles est calculé ou vérifié, pour chaque période
éligible, par un expert-comptable ou par un commissaire aux comptes, tiers de confiance, à partir du grand livre de
l’entreprise ou de la balance générale à l’aide de la formule figurant à l’annexe 2 du décret du 24 mars 2021 précité.
V. – Le montant de l’aide est limité sur la période du 1er janvier 2021 au 31 août 2021 à un plafond de 25
millions d’euros calculé au niveau du groupe.
Art. 3. – I. – La perte de chiffre d’affaires au titre d’une période éligible est la différence entre, d’une part, le
chiffre d’affaires constaté au cours de la période et, d’autre part, le chiffre d’affaires de référence défini comme le
chiffre d’affaires réalisé au cours de la même période de l’année 2019.
II. – La perte de chiffre d’affaires des activités éligibles est la différence entre, d’une part, le chiffre d’affaires
des activités éligibles constaté au cours de la période et, d’autre part, le chiffre d’affaires de référence des activités
éligibles défini comme le chiffre d’affaires réalisé au cours de la même période de l’année 2019.
En l’absence de ventilation comptable des produits et des charges des activités éligibles, le chiffre d’affaires des
activités éligibles peut être notamment le chiffre d’affaires réparti sur la base de la surface affectée à l’activité
empêchée.
Art. 4. – I. – Une demande unique d’aide au titre de l’article 1er est réalisée par voie dématérialisée, dans les
conditions suivantes :
– elle est déposée une seule fois par l’entreprise remplissant les conditions mentionnées à l’article 1er au titre de
la période ou des périodes éligibles ;
– elle est déposée entre le 22 décembre 2021 et le 28 février 2022.
II. – La demande est accompagnée des justificatifs suivants :
1o Une déclaration sur l’honneur attestant que l’entreprise remplit les conditions prévues par le présent décret et
l’exactitude des informations déclarées. Un modèle de déclaration sur l’honneur est disponible sur le site www.
impots.gouv.fr ;
2o Une attestation d’un expert-comptable, tiers de confiance. Elle est délivrée à la suite d’une mission
d’assurance de niveau raisonnable réalisée conformément à la norme professionnelle agréée à l’article 5 de l’arrêté
du 1er septembre 2016 portant agrément des normes professionnelles relatives au cadre de référence, au glossaire, à
la norme professionnelle de maîtrise de la qualité (NPMQ), à la norme professionnelle relative à la mission de
présentation de comptes (NP 2300), à la norme professionnelle relative aux missions d’assurance sur des
informations autres que des comptes complets historiques-attestations particulières (NP 3100), élaborées par le
Conseil supérieur de l’ordre des experts-comptables dans sa rédaction en vigueur à la date de publication du
présent décret.
L’attestation mentionne :
– l’excédent brut d’exploitation coûts fixes et le résultat net des activités éligibles pour chaque période éligible
de 2021 au titre de laquelle l’aide est demandée et le résultat net pour la même période 2019 ;
– le chiffre d’affaires des activités éligibles pour chaque période éligible de 2021 et 2019 ;
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– pour les entreprises mentionnées au b du 2o du I de l’article 1er, que l’entreprise réalise au moins 80 % de son
chiffre affaire avec une ou des entreprises mentionnées au a du 2o du I du même article ;
– la somme des montants perçus au titre des périodes éligibles concernées par le groupe sur le fondement du
décret du 24 mars 2021 précité et du décret du 16 novembre 2021 précité ;
– le numéro professionnel de l’expert-comptable.
Cette attestation est conforme au modèle établi par la direction générale des finances publiques et est disponible
sur le site www.impots.gouv.fr. Si l’entreprise mentionnée à l’article 1er appartient à un groupe, l’expert-comptable
indique dans l’attestation les noms, raison sociale et adresse du groupe.
3o Le calcul de l’excédent brut d’exploitation coûts fixes des activités éligibles au titre de chaque période éligible
tel que détaillé à l’annexe 2 du décret du 24 mars 2021, et le montant de l’aide demandée, établis conformément au
formulaire mis à disposition par la direction générale des finances publiques sur le site www.impots.gouv.fr ;
4o La balance générale 2021 pour la période éligible et la balance générale 2019 pour la période de référence ;
5o Les coordonnées bancaires de l’entreprise.
L’attestation de l’expert-comptable est délivrée à la suite d’une mission d’assurance de niveau raisonnable
réalisée conformément à la norme professionnelle agréée à l’article 5 de l’arrêté du 1er septembre 2016 portant
agrément des normes professionnelles relatives au cadre de référence, au glossaire, à la norme professionnelle de
maîtrise de la qualité (NPMQ), à la norme professionnelle relative à la mission de présentation de comptes (NP
2300), à la norme professionnelle relative aux missions d’assurance sur des informations autres que des comptes
complets historiques-attestations particulières (NP 3100), élaborées par le Conseil supérieur de l’ordre des experts-
comptables dans sa rédaction en vigueur à la date de publication du présent décret.
La mission d’assurance porte sur les chiffres d’affaires de l’année 2019 et 2021.
Cette attestation et les pièces justificatives sont conservées par l’entreprise et communiquées aux agents de la
direction générale des finances publiques et aux agents publics affectés dans les services déconcentrés des
administrations civiles de l’Etat dans les conditions prévues par l’article 3-1 de l’ordonnance du 25 mars 2020
susvisée.
III. – Par dérogation au 2o du II du présent article, pour les entreprises mentionnées à l’article 1er dont les comptes
sont certifiés par un commissaire aux comptes, l’attestation de l’expert-comptable peut être remplacée par une
attestation de l’entreprise et par une attestation du commissaire aux comptes, tiers de confiance indépendant,
réalisée dans le respect des dispositions du titre II du livre VIII du code de commerce, de la règlementation
européenne et des principes définis par le code de déontologie de la profession.
L’attestation remplie et signée par l’entreprise mentionne :
– l’excédent brut d’exploitation coûts fixes et le résultat net des activités éligibles pour chaque période éligible
2021 au titre de laquelle l’aide est demandée et le résultat net pour la même période 2019 ;
– le chiffre d’affaires des activités éligibles pour chaque période éligible de 2021 et 2019 ;
– pour les entreprises mentionnées au b du 2o du I de l’article 1er, que l’entreprise réalise au moins 80 % de son
chiffre affaire avec une ou des entreprises mentionnées au a du 2o du I du même article ;
– la balance générale 2021 pour la période éligible et la balance générale 2019 pour la période de référence ;
– la somme des montants perçus au titre des périodes éligibles concernées par le groupe sur le fondement du
décret du 24 mars 2021 précité et du décret du 16 novembre 2021 précité.
L’attestation de l’entreprise est conforme au modèle établi par la direction générale des finances publiques et est
disponible sur le site www.impots.gouv.fr. Si l’entreprise mentionnée à l’article 1er appartient à un groupe, elle
indique dans l’attestation les noms, raison sociale et adresse du groupe.
L’attestation remplie et signée par le commissaire aux comptes est conforme au modèle établi par la direction
générale des finances publiques et est disponible sur le site www.impots.gouv.fr.
IV. – L’aide est versée sur le compte bancaire indiqué par l’entreprise.
Art. 5. – I. – Si les entreprises mentionnées à l’article 1er bénéficient de l’aide prévue par le présent décret au
titre d’une période éligible durant laquelle elles ont déjà perçu l’aide coûts fixes prévue par le décret du
24 mars 2021 précité, le montant déjà octroyé est réputé être versé au titre du présent décret. Le montant
correspondant est alors comptabilisé dans le plafond prévu au IV de l’article 2.
II. – Par dérogation au I des articles 5 et 14 du décret du 24 mars 2021 précité, les entreprises mentionnées à
l’alinéa précédent peuvent déposer une demande d’aide au titre dudit décret dans les conditions prévues par ledit
décret et dans un délai de trente jours après le versement de l’aide mentionnée à l’article 1er du présent décret.
Art. 6. – I. – A. – A la clôture des comptes annuels, s’agissant des entreprises mentionnées à l’article 1er dont
les comptes sont certifiés par un commissaire aux comptes, le commissaire aux comptes, tiers de confiance
indépendant, vérifie, sur l’ensemble de la période éligible, et pour les activités éligibles, le résultat net, tel qu’il est
défini à l’article 513-1 du règlement no 2014-3 du 5 juin 2014 relatif au Plan comptable général, établi par
l’entreprise.
B. – Le commissaire aux comptes mentionné à l’alinéa précédent délivre une attestation mentionnant ledit
résultat net sur l’ensemble de la période éligible. Cette attestation doit être produite au plus tard dans le mois qui
suit la signature par le commissaire aux comptes du rapport sur les comptes annuels et consolidés au titre de
l’exercice 2021, réalisé en application de l’article A. 823-26 du code de commerce, homologuant la norme
d’exercice professionnel NEP 700.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 203
C. – Dans l’hypothèse où sur l’ensemble de la période éligible le résultat net précité est supérieur à la somme des
excédents bruts d’exploitation coûts fixes mentionnés au deuxième alinéa du 2o du II de l’article 4, l’entreprise
transmet l’attestation du commissaire aux comptes mentionnée au I à la direction générale des finances publiques,
au plus tard trois mois après sa signature par le commissaire aux comptes. Sur la base de cette attestation, la
direction générale des finances publiques constate un indu égal à 70 % de la différence entre le résultat net sur la
période éligible d’une part, et la somme des excédents bruts d’exploitation coûts fixes sur la période éligible d’autre
part, dans la limite du montant de l’aide versée au titre du présent décret qui est égal à la différence entre, d’une
part, la somme de l’aide perçue au titre de l’article 1er et des aides perçues sur le fondement du décret du
24 mars 2021 précité et du décret du 16 novembre 2021 précité et, d’autre part, 70 % de l’opposé mathématique du
résultat net de la période éligible, si ce résultat net est négatif, ou à la somme de l’aide perçue au titre de l’article 1er
et des aides perçues sur le fondement du décret du 24 mars 2021 précité et du décret du 16 novembre 2021 précité,
si ce résultat net est positif. Cet indu donne lieu à l’émission d’un titre de perception recouvré comme en matière de
créances étrangères à l’impôt et au domaine.
II. – En cas de constatation du non-respect par le bénéficiaire des obligations prévues au présent article,
l’entreprise rembourse l’intégralité des sommes perçues sur le fondement du présent décret.
Art. 7. – I. – La direction générale des finances publiques conserve les dossiers d’instruction, comprenant
notamment l’ensemble des pièces justificatives, pendant dix années à compter de la date de versement de l’aide.
II. – Les documents attestant du respect des conditions d’éligibilité à l’aide et du calcul de son montant, ainsi que
l’attestation mentionnée à l’article 4, sont conservés par le bénéficiaire pendant cinq années à compter de la date de
versement de l’aide.
Les agents publics de la direction générale des finances publiques peuvent demander à tout bénéficiaire de l’aide
communication de tout document relatif à son activité, notamment administratif ou comptable, permettant de
justifier de son éligibilité et du montant de l’aide reçue pendant cinq années à compter de la date de son versement.
Le bénéficiaire dispose d’un délai d’un mois pour produire ces justifications à compter de la date de la demande.
En cas d’irrégularités constatées, d’absence de réponse ou de réponse incomplète à la demande prévue à l’alinéa
précédent, les sommes indûment perçues font l’objet d’une récupération selon les règles et procédures applicables
en matière de créances étrangères à l’impôt et au domaine.
La procédure prévue au présent II ne constitue pas une procédure de contrôle de l’impôt.
Art. 8. – I. – Pour l’application du présent décret en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, la
convention prévue au deuxième alinéa de l’article 3 de l’ordonnance du 25 mars 2020 susvisée fixe les modalités
d’adaptation des dispositions du présent décret pour le versement des aides distribuées aux entreprises situées sur
ces territoires.
II. – Le présent décret est applicable à Wallis-et-Futuna.
Pour l’application du présent décret à Wallis-et-Futuna, les mots : « 10 millions d’euros » et « 25 millions
d’euros » sont remplacés respectivement par les mots : « 1 193 317 000 francs CFP » et « 298 329 250 000 francs
CFP ».
Art. 9. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre des outre-mer, le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, et le ministre délégué
auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé du tourisme, des Français de l’étranger et de la
francophonie, et auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des petites et moyennes
entreprises, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
BRUNO LE MAIRE
Le ministre des outre-mer,
SÉBASTIEN LECORNU
Le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des comptes publics,
OLIVIER DUSSOPT
Le ministre délégué auprès du ministre de l’Europe
et des affaires étrangères, chargé du tourisme,
des Français de l’étranger et de la francophonie,
et auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des petites et moyennes entreprises,
JEAN-BAPTISTE LEMOYNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 22 novembre 2021 autorisant au titre de l’année 2022 l’ouverture de concours externe
et interne pour le recrutement d’ingénieurs de laboratoire relevant du ministre chargé de
l’économie, des finances et de la relance dans la spécialité chimie analytique
NOR : ECOC2131784A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 22 novembre 2022, est autorisée, au
titre de l’année 2022, l’ouverture de deux concours externe et interne pour le recrutement d’ingénieurs de
laboratoire relevant du ministre chargé de l’économie, des finances et de la relance dans la spécialité chimie
analytique.
Le nombre total des places offertes aux concours fera l’objet d’un arrêté ultérieur au Journal officiel de la
République française.
Une téléprocédure d’inscription dénommée « TRIPTIC » est mise à la disposition des candidats :
– soit à partir du portail ministériel des concours : http://www.economie.gouv.fr/recrutement/.
Rubriques « recrutement par concours » ; « Je souhaite devenir agent public » (concours externe) ou « Je suis
agent public » (concours interne) ; « J’ai le niveau licence ou équivalent » (concours externe) ou « je souhaite
passer un concours de catégorie A » (concours interne) ; « inscription » ; « SCL (service commun des
laboratoires) » ; « Inscription aux concours de la DGCCRF » ; « Accéder à la téléprocédure » ;
– soit à l’adresse directe suivante : http://concours.dgccrf.finances.gouv.fr ;
– soit à partir de l’intranet DGCCRF « GECI » : http://geci.dgccrf/portail/accueil.php, rubriques « Ressources
humaines » ; « Concours » ; « Téléprocédures : inscription et résultats ».
Un numéro d’enregistrement est attribué au candidat qui lui est confirmé par voie postale.
Les candidats peuvent modifier les données de leur dossier jusqu’à la date de clôture des inscriptions.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par téléprocédure, les candidats conservent la possibilité de s’inscrire par
l’envoi ou le dépôt d’un dossier écrit pour les concours externe et interne.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au lundi 10 janvier 2022.
La date limite de retrait ou de demande de dossiers d’inscription (cachet de la poste faisant foi) ou la date de fin
de saisie des inscriptions par télé procédure est fixée au vendredi 4 mars 2022 à minuit, heure de métropole.
La date limite de dépôt ou d’envoi des dossiers (cachet de la poste faisant foi) ou de modification des données
des inscriptions par télé procédure est fixée au lundi 7 mars 2022 à minuit, heure de métropole.
Les épreuves écrites d’admissibilité des concours externe et interne auront lieu le mardi 5 avril 2022.
En vue de l’épreuve unique orale d’admission du concours interne, les candidats déclarés admissibles établissent
un dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP) qu’ils devront transmettre en six
exemplaires à l’Ecole nationale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, 59 bd
Vincent-Auriol, télédoc 043, 75703 Paris Cedex 13.
La date limite d’envoi des dossiers RAEP est fixée au vendredi 17 juin 2022 le cachet de la poste faisant foi.
Les épreuves orales d’admission se dérouleront à partir du lundi 27 juin 2022.
Pour passer les épreuves orales d’admission, les candidates et candidats résidant dans l’une des collectivités
mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte, Saint-
Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, îles Wallis et Futuna, Polynésie française, Nouvelle-
Calédonie) ou à l’étranger, en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite peuvent
bénéficier, à leur demande, de la visioconférence, dans les conditions prévues par l’arrêté du 22 décembre 2017
fixant les conditions de recours à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à la fonction publique de
l’Etat.
Les candidates et candidats en situation de handicap, les femmes en état de grossesse et les personnes dont l’état
de santé rend nécessaire le recours à la visioconférence devront produire au bureau 2B, par courriel (adresse :
[email protected]) dans les meilleurs délais et au plus tard quinze jours avant le début de
l’épreuve orale d’admission, un certificat médical délivré par un médecin agréé par l’administration et comportant
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 7 décembre 2021 autorisant au titre de l’année 2022 l’ouverture et fixant les conditions
d’organisation de concours internes pour le recrutement de secrétaires administratifs de classe
normale des administrations de l’Etat au sein du ministère des armées
NOR : ARMH2135043A
CMG de Bordeaux 09, 12, 16, 17, 19, 23, 24, 31, 32, 33, 40, 46, 47, 64, 65, 79, 81, 82, 86, 87
CMG de Metz 02, 08, 10, 21, 25, 39, 51, 52, 54 , 55, 57, 58, 59, 62, 67, 68, 70, 71, 80, 88, 89, 90
CMG de Rennes 14, 18, 22, 27, 28, 29, 35, 36, 37, 41, 44, 45, 49, 50, 53, 56, 61, 72, 76, 85
CMG de Saint-Germain-en-Laye 60, 75, 77, 78, 91, 92, 93, 94, 95, départements et collectivités d’outre-mer et étranger
V. – Les inscriptions par internet ont lieu du 17 décembre 2021 à 12 heures, au 25 janvier 2022 à 12 heures (fin
des inscriptions), heure de Paris.
Le formulaire d’inscription doit être complété sur la plateforme des concours à l’adresse suivante :
https://admissio.defense.gouv.fr
Cependant cette inscription ne doit pas être effectuée à partir d’un poste équipé ISPT (internet sur le poste de
travail). L’adresse mail utilisée doit être une adresse personnelle.
Sur la plateforme des concours, la candidate ou le candidat crée son compte en cliquant sur l’onglet
« s’identifier » puis sur « s’inscrire ». Après avoir créé son compte, la candidate ou le candidat clique sur l’onglet
« Civils de la défense » pour rechercher le concours auquel elle ou il souhaite s’inscrire et procède à son inscription
en ligne.
La candidate ou le candidat téléverse les pièces justificatives requises, et éventuellement, pour les personnes en
situation de handicap un certificat médical, daté de moins de 6 mois, délivré par un médecin agréé, et précisant les
aménagements nécessaires pour passer l’épreuve, sur la plateforme des concours à l’adresse susmentionnée, au
plus tard le 25 janvier 2022, date de clôture des inscriptions, avant 12 heures, heure de Paris.
Le téléversement des pièces jointes est proposé en toute fin d’inscription. Les candidates et candidats peuvent
terminer leur inscription sans verser ces pièces immédiatement et revenir sur le dossier en se reconnectant sur leur
espace personnel jusqu’à la clôture des inscriptions.
Les candidates et candidats qui ont validé leur inscription peuvent modifier les données de leur dossier
directement via leur espace personnel.
Toute modification sur le site d’inscription en ligne doit faire l’objet d’une nouvelle validation. A l’issue de la
dernière validation réalisée, la candidate ou le candidat reçoit alors un nouveau courriel rappelant la date et l’heure
d’enregistrement de la modification qui est considéré comme seul document opposable.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 203
VI. – Les candidates et candidats qui n’ont pas accès à internet peuvent demander un dossier papier d’inscription
par voie postale, jusqu’au 14 janvier 2022, le cachet de la poste faisant foi, auprès de l’un des CMG suivants :
ADRESSES DES CENTRES MINISTERIELS DE GESTION
CMG de Bordeaux, division ressources humaines, bureau recrutements et mobilités, caserne Nansouty, 223, rue de Bègles, CS 21152, 33068 Bordeaux Cedex
CMG de Metz, division ressources humaines, bureau recrutement et mobilité, section recrutement concours, quartier de Lattre de Tassigny, BP 30001, 57044 Metz
Cedex 01
CMG de Rennes, division ressources humaines, bureau recrutement-mobilité, section concours et examens professionnels, boulevard Saint-Conwoïon, BP 01,
35998 Rennes Cedex 9
CMG de Saint-Germain-en-Laye, division ressources humaines, bureau mobilité et recrutement, section recrutement, base des Loges, 8, avenue du président-
Kennedy, BP 40202, 78102 Saint-Germain-en-Laye Cedex
Afin que le dossier leur soit transmis en retour, les candidates et candidats joignent impérativement à leur
demande une enveloppe au format A4 affranchie au tarif lettre 190 grammes et libellée à leurs nom et adresse.
Aucune demande de dossier papier par tout autre moyen que la voie postale ne sera prise en compte.
Après avoir rempli, daté et signé le formulaire d’inscription, les candidates et candidats l’envoient avec les
pièces justificatives, par voie postale, au plus tard le 25 janvier 2022, date de clôture des inscriptions, le cachet de la
poste faisant foi, au bureau recrutement du CMG auprès duquel ils souhaitent s’inscrire.
Tout dossier posté après le 25 janvier 2022 ou parvenant dans une enveloppe dépourvue du cachet de la poste est
refusé. Tout dossier incomplet est rejeté.
VII. – L’épreuve écrite d’admissibilité a lieu le 8 mars 2022, dans les centres d’examen créés par les CMG
organisateurs.
VIII. – L’épreuve orale d’admission se déroule dans les centres d’examen créés par les CMG organisateurs, à
compter du 30 mai 2022.
En vue de l’épreuve orale d’admission, les candidates et candidats admissibles du concours interne transmettent
(en version numérique) leur dossier de RAEP, dès publication de la liste d’admissibilité et au plus tard le
2 mai 2022, avant minuit, heure de Paris, via la plateforme des concours, sur leur espace personnel, à l’adresse
suivante : https://admissio.defense.gouv.fr
IX. – Les candidates et candidats inscrits par la voie postale, transmettent par voie postale leur dossier au plus
tard le 2 mai 2022, le cachet de la poste faisant foi, au CMG auprès duquel ils se sont inscrits.
Tout candidat ou candidate résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution
ou à l’étranger, en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, bénéficie, à sa
demande, du recours à la visioconférence pour passer l’épreuve orale dans les conditions prévues par l’arrêté du
22 décembre 2017 fixant les conditions de recours à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à la
fonction publique de l’Etat.
La demande écrite scannée au format pdf doit être adressée via la plateforme des concours, sur l’espace
personnel, à l’adresse suivante : https://admissio.defense.gouv.fr ou par voie postale, au CMG auprès duquel ils se
sont inscrits., au plus tard le 2 mai 2022.
En outre, les personnes en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, joignent
à leur demande au plus tard le 2 mai 2022, un certificat médical délivré par un médecin agréé par l’administration
et comportant la mention de l’aménagement relatif à la visioconférence.
X. – La composition du jury par CMG organisateur sera fixée par arrêté de la ministre des armées.
Le secrétariat du jury est assuré par un agent du CMG organisateur.
XI. – Les lauréates et lauréats doivent accepter l’affectation qui leur est notifiée au moment de leur nomination
en vue de leur prise de fonctions. Ils sont réputés renoncer au bénéfice du concours s’ils ne rejoignent pas leur poste
dans le délai qui leur est imparti au moment de la notification d’affectation.
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TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
NOR : INTE2129064D
Publics concernés : services d’incendie et de secours, sapeurs-pompiers professionnels des services d’incendie
et de secours.
Objet : déconcentration des instances paritaires nationales des officiers de sapeurs-pompiers professionnels et
diverses mesures liées au statut des sapeurs-pompiers professionnels.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication, à l’exception des articles 1er et 2
prenant effet au prochain renouvellement général des instances de représentation du personnel de la fonction
publique territoriale.
Notice : le décret transfère aux services départementaux et territoriaux d’incendie et de secours les commissions
administratives paritaires et les conseils de discipline des sapeurs-pompiers professionnels de catégorie A et B. Il
permet de définir une date unique de première épreuve des concours et examens professionnels des sapeurs-
pompiers professionnels de catégorie C et apporte des précisions dans la gestion des élèves colonels. Il précise les
modalités d’avancement aux grades de médecin hors classe, de colonel hors classe et de contrôleur général de
sapeurs-pompiers professionnels. Ce décret précise enfin certaines modalités relatives aux emplois fonctionnels de
directeur départemental et de directeur départemental adjoint des services d’incendie et de secours, notamment de
continuité de la direction et du commandement du service.
Références : le décret et les textes qu’il modifie dans leur rédaction résultant de cette modification peuvent être
consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’intérieur,
Vu le code général des collectivités territoriales ;
Vu le code des pensions civiles et militaires de retraite ;
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la
loi no 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ;
Vu le décret no 89-229 du 17 avril 1989 modifié relatif aux commissions administratives paritaires des
collectivités territoriales et de leurs établissements publics ;
Vu le décret no 89-677 du 18 septembre 1989 modifié relatif à la procédure disciplinaire applicable aux
fonctionnaires territoriaux ;
Vu le décret no 90-850 du 25 septembre 1990 modifié portant dispositions communes à l’ensemble des sapeurs-
pompiers professionnels ;
Vu le décret no 2016-1236 du 20 septembre 2016 modifié portant statut particulier du cadre d’emplois des
médecins et des pharmaciens de sapeurs-pompiers professionnels ;
Vu le décret no 2016-2002 du 30 décembre 2016 modifié portant statut particulier du cadre d’emplois de
conception et de direction des sapeurs-pompiers professionnels ;
Vu le décret no 2016-2003 du 30 décembre 2016 modifié relatif à l’emploi de directeur départemental et de
directeur départemental adjoint des services d’incendie et de secours ;
Vu l’avis de la Conférence nationale des services d’incendie et de secours en date du 31 mars 2021 ;
Vu l’avis du Conseil national d’évaluation des normes en date du 4 novembre 2021 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale en date du 24 novembre 2021 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’administration) entendu,
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 203
Décrète :
CHAPITRE Ier
DISPOSITIONS RELATIVES AUX COMMISSIONS ADMINISTRATIVES PARITAIRES
ET AUX CONSEILS DE DISCIPLINE
1o A l’article 43 :
a) Le premier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :
« Les sapeurs-pompiers professionnels sont représentés dans des commissions administratives paritaires
spécifiques placées auprès de chaque service départemental ou territorial d’incendie et de secours. » ;
b) Au second alinéa, les mots : « , 39 et 40 » sont remplacés par les mots : « et 39 » ;
2o Les articles 44 et 45 sont remplacés par les dispositions suivantes :
« Art. 44. – Sont instituées auprès de chaque service départemental ou territorial d’incendie et de secours, pour
chaque catégorie hiérarchique, une commission administrative paritaire compétente à l’égard des sapeurs-pompiers
professionnels en relevant.
« Toutefois, une commission administrative paritaire unique peut être créée pour plusieurs catégories
hiérarchiques dans les conditions prévues à l’article 2 bis.
« Le président du conseil d’administration du service d’incendie et de secours est président de ces commissions
administratives paritaires. Il peut se faire représenter par l’un des représentants des collectivités territoriales et de
leurs établissements publics de chaque commission. Il désigne, parmi les membres ayant voix délibérative du
conseil d’administration, les autres représentants des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au
sein de chaque commission administrative paritaire.
« Art. 45. – Par dérogation aux dispositions de l’article 1er, les commissions administratives paritaires
compétentes à l’égard des sapeurs-pompiers professionnels dont les emplois sont classés dans la catégorie A ou B
comprennent, pour moitié, le préfet de département ainsi que des représentants des collectivités territoriales et de
leurs établissements publics et, pour l’autre moitié, des représentants élus du personnel.
« Le préfet de département peut se faire représenter. »
Art. 2. – Le décret du 18 septembre 1989 susvisé est ainsi modifié :
1o A l’article 1er :
a) Le quatrième alinéa est supprimé ;
b) Les deuxième et troisième phrases du cinquième alinéa, qui devient le quatrième, sont remplacées par une
phrase ainsi rédigée : « Pour les sapeurs-pompiers professionnels dont les emplois sont classés dans la catégorie A
ou B, le conseil de discipline comprend en nombre égal des représentants du personnel, d’une part, et le préfet de
département ainsi que des représentants des collectivités territoriales et de leurs établissements publics, d’autre
part. » ;
c) Au 3o, les mots : « de la catégorie C » sont supprimés ;
d) Le dernier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :
« Lorsque le fonctionnaire poursuivi est un sapeur-pompier professionnel de la catégorie A ou B, le préfet de
département est membre de droit du conseil de discipline. Il peut se faire représenter. » ;
2o L’article 2 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le conseil de discipline est appelé à donner un avis sur les sanctions applicables à un sapeur-pompier
professionnel occupant l’emploi fonctionnel de directeur départemental, de directeur départemental adjoint des
services d’incendie et de secours ou un emploi classé équivalent en application de l’article 2 du décret no 2016-2002
du 30 décembre 2016 portant statut particulier du cadre d’emplois de conception et de direction des sapeurs-
pompiers professionnels, les représentants du personnel sont tirés au sort sur une liste nationale d’agents occupant
ces emplois dressée par le ministre chargé de la sécurité civile, à l’exclusion de ceux du service d’incendie et de
secours de l’intéressé. »
CHAPITRE II
DISPOSITIONS STATUTAIRES DIVERSES
Art. 3. – Le premier alinéa de l’article 9 du décret du 25 septembre 1990 susvisé est complété par une phrase
ainsi rédigée : « Un arrêté du ministre chargé de la sécurité civile, pris après avis de la Conférence nationale des
services d’incendie et de secours, fixe la date des premières épreuves des concours et examens professionnels
concernés. »
Art. 4. – Au premier alinéa de l’article 17 du décret du 20 septembre 2016 susvisé, les mots : « sapeurs
pompiers professionnels de classe normale » sont remplacés par les mots : « sapeurs-pompiers professionnels de
classe normale » et les mots : « dans ce grade » sont remplacés par les mots : « dans le cadre d’emplois régi par le
présent décret ou dans un corps ou cadre d’emplois de la fonction publique équivalent ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 203
« Art. 10. – A l’issue du stage et si celui-ci a été jugé satisfaisant, les stagiaires sont titularisés par arrêté des
autorités mentionnées à l’article 9.
« Ces mêmes autorités peuvent décider que la période de stage est prolongée d’une durée maximale de six mois.
« Lorsque la titularisation n’est pas prononcée, le stagiaire est, par arrêté des mêmes autorités, soit licencié, soit,
s’il avait auparavant la qualité de fonctionnaire, réintégré dans son corps, cadre d’emplois ou emploi d’origine.
« Art. 11. – Les sapeurs-pompiers professionnels recrutés en application de l’article 4 sont classés à un échelon
du grade de colonel déterminé en application des dispositions du chapitre Ier du décret du 22 décembre 2006
susvisé.
« Le classement est prononcé à la date de nomination dans le cadre d’emplois. » ;
5o A l’article 14 :
a) Le premier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :
« Peuvent être nommés colonels hors classe au choix, par voie d’inscription sur un tableau annuel d’avancement,
les colonels ayant atteint, au 1er janvier de l’année du tableau, le 6e échelon de leur grade.
« Les intéressés doivent en outre justifier à la date de leur nomination d’au moins quatre ans de services effectifs
accomplis dans le grade de colonel et avoir occupé en cette qualité, pendant au moins deux ans, en position
d’activité ou de détachement, dans au moins deux structures, un ou plusieurs emplois suivants : » ;
b) Au 1o, le mot : « départemental » est supprimé ;
c) Au 2o, les mots : « au quatrième alinéa de l’article 2 ou » sont supprimés ;
6o A l’article 15 :
a) Les cinq premiers alinéas du I sont remplacés par les dispositions suivantes :
« Peuvent être nommés contrôleurs généraux au choix, par voie d’inscription sur un tableau annuel
d’avancement, les colonels hors classe ayant atteint, au 1er janvier de l’année du tableau, au moins le 5e échelon
de leur grade.
« Les intéressés doivent en outre justifier, à la date de leur nomination, au cours d’une période de référence de
quinze ans précédant la date d’établissement du tableau d’avancement, de huit années de services en position
d’activité ou de détachement, dans au moins deux structures, dans un ou plusieurs des emplois suivants :
« 1o Emplois de directeur départemental des services d’incendie et de secours et emplois des administrations de
l’Etat, des collectivités territoriales et de leurs établissements publics classés équivalents dans les conditions
prévues aux deux derniers alinéas de l’article 2 ;
« 2o Emplois fonctionnels des administrations de l’Etat, des collectivités territoriales et de leurs établissements
publics, dotés d’un indice terminal correspondant au moins à la hors échelle B ;
« 3o Emplois d’encadrement, de conduite de projet ou d’expertise des administrations de l’Etat, des collectivités
territoriales et de leurs établissements publics occupés en position de détachement dans un corps ou un cadre
d’emplois dotés d’un indice terminal correspondant au moins à la hors échelle B ;
« 4o Emplois des collectivités territoriales créés en application de l’article 6-1 de la loi du 26 janvier 1984
susvisée, dotés d’un indice terminal correspondant au moins à la hors échelle B ;
« 5o Emplois, occupés par une mise à disposition, classés équivalents à un emploi de directeur départemental des
services d’incendie et de secours dans les conditions prévues à l’article 15-1 du décret no 2001-683 du
30 juillet 2001 susvisé, dans sa rédaction antérieure au décret no 2016-2008 du 30 décembre 2016 portant statut
particulier du cadre d’emplois des capitaines, commandants et lieutenants-colonels de sapeurs-pompiers
professionnels ;
« 6o Emplois de directeur départemental adjoint, occupés au grade de colonel, des services d’incendie et de
secours classés en catégorie 1 ou 2 au sens de l’article R. 1424-1-1 du code général des collectivités territoriales
dans sa rédaction antérieure au décret no 2016-2004 du 30 décembre 2016 modifiant certaines dispositions du code
général des collectivités territoriales relatives aux services départementaux d’incendie et de secours ;
« 7o Autres emplois exercés au sein du secteur privé reconnus comparables, par la commission mentionnée à
l’article 2, à celui de directeur départemental des services d’incendie et de secours. » ;
b) Le II est remplacé par les dispositions suivantes :
« II. – Un colonel hors classe ne peut être promu au grade de contrôleur général dans un service d’incendie et de
secours classé dans la catégorie C. Cette disposition ne fait pas obstacle au recrutement, dans ces services
d’incendie et de secours, d’un directeur départemental qui serait titulaire du grade de contrôleur général, après avis
conforme du conseil d’administration de l’établissement public.
« Dans les services d’incendie et de secours classés dans les catégories A et B, un colonel hors classe ne peut être
promu au grade de contrôleur général si l’effectif des contrôleurs généraux au sein du service d’incendie et de
secours, hors ceux en position de mise à disposition ou de détachement dans une autre structure, est égal ou
supérieur à un. » ;
c) Après le II, il est inséré un II bis ainsi rédigé :
« II bis. – Un colonel hors classe occupant, en position de mise à disposition ou de détachement, un emploi
équivalent à un emploi de directeur départemental d’un service d’incendie et de secours classé dans les
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 203
catégories A ou B peut être promu au grade de contrôleur général dans les conditions fixées au I nonobstant la
circonstance que l’effectif des contrôleurs généraux du service d’incendie et de secours dont il relève serait atteint.
« Lorsque cet officier exerce au sein des services de l’Etat ou de ses établissements publics, sa promotion
intervient dans la limite du nombre maximum d’emplois de contrôleurs généraux pouvant y exercer. Ce nombre est
défini par arrêté du ministre chargé de la sécurité civile et du ministre chargé de la fonction publique. »
Art. 6. – Le décret no 2016-2003 du 30 décembre 2016 susvisé est ainsi modifié :
1o Après l’article 7, il est inséré un article 7-1 ainsi rédigé :
« Art. 7-1. – Par dérogation au troisième alinéa de l’article 7 :
« 1o Lorsqu’un officier occupant l’un des emplois régis par le présent décret se trouve, à l’issue de son
détachement, dans la situation d’obtenir dans un délai au plus égal à un an la liquidation de ses droits à pension au
taux maximum défini au I de l’article L. 13 du code des pensions civiles et militaires de retraite, un arrêté conjoint
des autorités investies du pouvoir de nomination définies à l’article R. 1424-21 du code général des collectivités
territoriales peut prolonger exceptionnellement le détachement dans cet emploi, dans l’intérêt du service et sur sa
demande, pour le délai correspondant et dans la limite d’un an. Cette même faculté est offerte à un officier se
trouvant à moins d’un an de la limite d’âge qui lui est applicable ;
« 2o Lorsque la fin des détachements du directeur et du directeur adjoint d’un même service d’incendie et de
secours interviennent à moins de trois mois d’intervalle, un arrêté conjoint des autorités investies du pouvoir de
nomination définies à l’article R. 1424-21 du code général des collectivités territoriales peut prolonger
exceptionnellement le détachement de l’un de ces officiers, sur sa demande, pour une durée qui ne peut excéder six
mois, afin de garantir la continuité de la direction et du commandement du service. » ;
2o A l’article 8 :
a) Après le premier alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Ces officiers, lorsqu’ils ont précédemment occupé un emploi fonctionnel, sont classés à un indice égal ou, à
défaut, immédiatement supérieur à celui dont ils bénéficiaient dans l’emploi précédemment occupé, dès lors que
leur nomination dans ce nouvel emploi intervient dans un délai au plus égal à un an. » ;
b) Au dernier alinéa, après les mots : « grade d’origine », sont insérés les mots : « ou dans leur emploi
précédent » ;
3o A l’article 9, les mots : « cette rémunération puisse excéder celle afférente à la hors échelle B » sont remplacés
par les mots : « ce traitement puisse excéder celui afférent à l’échelon sommital du dernier grade du cadre
d’emplois de conception et de direction des sapeurs-pompiers professionnels ».
CHAPITRE III
DISPOSITIONS TRANSITOIRES ET FINALES
Art. 7. – La durée de la mise à disposition des élèves colonels nommés le 1er novembre 2021 est ramenée de 24
à 14 mois. Leur nomination en qualité de colonel stagiaire prévue à l’article 9 du décret no 2016-2002 du
30 décembre 2016 susvisé dans sa rédaction issue du présent décret est subordonnée à la validation de la formation
d’intégration et de professionnalisation prévue à l’article 8 de ce même décret.
Art. 8. – Les articles 1er et 2 entrent en vigueur en vue du prochain renouvellement général des instances de
dialogue social de la fonction publique.
Art. 9. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre de l’intérieur, la ministre de la
cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, la ministre de la transformation et de la
fonction publiques et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des
comptes publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
BRUNO LE MAIRE
La ministre de la cohésion des territoires
et des relations avec les collectivités territoriales,
JACQUELINE GOURAULT
La ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
AMÉLIE DE MONTCHALIN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 203
Le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des comptes publics,
OLIVIER DUSSOPT
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale et la nature de l’épreuve
des examens professionnels pour l’avancement au grade de major de police de la police nationale
NOR : INTC2136945A
l’accès au grade de major de police de la police nationale sont organisés conformément aux dispositions fixées par
le présent arrêté.
Art. 2. – Les arrêtés d’ouverture, pris par le ministre de l’intérieur fixent la date de clôture des inscriptions, la
date des épreuves et le nombre d’emplois offerts.
Lorsqu’ils prévoient que le classement sera opéré au sein de la zone de défense et de sécurité, les arrêtés
d’ouverture fixent le nombre d’emplois offerts au sein de chacune des zones de défense et de sécurité. Lors de
l’ouverture de l’examen, la liste des services et postes susceptibles d’être concernés fera l’objet d’une information.
Les candidats seront affectés sur ces postes, dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement du
service.
Art. 3. – I. – Peuvent s’inscrire aux examens professionnels pour l’accès au grade de major de police :
– au titre du 1o de l’article 18-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, comptent quatre années d’exercice continu dans le grade de brigadier-chef
sur un des postes comportant l’exercice effectif de fonctions d’officier de police judiciaire, dont la liste est
fixée par arrêté du ministère de l’intérieur ;
– au titre du 2o de l’article 18-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, comptent quatre années au moins de services effectifs depuis leur nomination
dans le grade de brigadier-chef ;
– au titre du 3o de l’article 18-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, sont affectés depuis au moins deux années de manière continue dans l’un des
secteurs ou unités d’encadrement prioritaire définis à l’article 12-1 du même décret qui comptent trois années
au moins de services effectifs depuis leur nomination dans le grade de brigadier-chef.
II. – Lorsque les arrêtés d’ouverture prévoient que le classement sera opéré au sein de chaque zone de défense et
de sécurité, les candidats présentent obligatoirement leur candidature pour la zone de défense et de sécurité à
laquelle ils sont rattachés. Ils peuvent également présenter une seconde candidature pour la zone de défense et de
sécurité de leur choix.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 203
Dans ce cas, le candidat classe ses deux candidatures par ordre de préférence.
Art. 4. – L’épreuve de sélection pour les candidats aux examens professionnels définis à l’article 18-1 du
décret du 23 décembre 2004 susvisé consiste en :
– un entretien du candidat avec le jury visant à apprécier ses compétences, ses aptitudes, sa personnalité et sa
motivation à exercer les fonctions de major de police. Au cours de cet entretien, le candidat peut être interrogé
sur des questions relatives à son environnement professionnel, aux fonctions exercées ainsi que sur des mises
en situation pratiques sur la seule base du dossier constitué. (durée : 25 minutes, dont 10 minutes de
présentation).
Pour conduire cet entretien qui débute par un exposé du candidat d’une durée de dix minutes au plus portant sur
son parcours professionnel et sur son expérience professionnelle, le jury dispose d’un dossier professionnel
constitué par le candidat.
Ce dossier a pour objet de mettre en évidence l’expérience professionnelle du candidat notamment en matière de
compétences managériales, de responsabilités exercées, de capacité à s’inscrire dans une chaîne hiérarchique, à
analyser une situation et prendre une décision.
Un modèle de grille d’évaluation de l’épreuve d’entretien est consultable sur le site internet du ministère de
l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.gouv.fr.
Après avoir reçu le visa du supérieur hiérarchique le candidat remet son dossier professionnel au service
organisateur dans un délai et selon des modalités fixés dans l’arrêté d’ouverture de l’examen professionnel. Le
dossier est transmis au jury par le service organisateur. Ce dossier n’est pas noté. Seul l’entretien est noté.
Un modèle de dossier professionnel est disponible, à l’ouverture des examens professionnels, sur le site internet
du ministère de l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.gouv.fr.
Art. 5. – I. – Les candidats sont convoqués individuellement à l’épreuve d’entretien. Le lieu, le jour et l’heure
de l’épreuve à laquelle doivent se présenter les candidats sont mentionnés dans les convocations, qui pourront être
transmises par voie dématérialisée ou voie postale.
Sauf dérogation, lorsque l’organisation matérielle des épreuves est confiée au préfet de la zone de défense et de
sécurité, le lieu de l’épreuve à laquelle doivent se présenter les candidats est situé dans le ressort géographique de
la zone de défense et de sécurité dans laquelle le candidat est affecté.
II. – Dans le cas de non-réception de l’accusé de réception du dossier professionnel ou de la convocation dix
jours avant le début des épreuves, il appartient au candidat de se mettre sans délai en rapport avec le service
organisateur territorialement compétent.
Art. 6. – I. – Il est attribué à l’épreuve unique une note comprise entre 0 et 20.
II. – Seuls les candidats ayant obtenu, à l’issue de l’épreuve, un nombre de points déterminé par le jury sont
déclarés admis à l’examen professionnel. Le jury établit la liste d’aptitude des candidats admis par ordre
alphabétique. Les candidats admis sont inscrits au tableau d’avancement par ordre de mérite, dans la limite du
nombre de postes offerts.
III. – Lorsque les arrêtés d’ouverture prévoient que le classement sera opéré au sein de chaque zone de défense et
de sécurité, le jury détermine, pour chacune de ces zones, le nombre de points à partir duquel les candidats sont
déclarés admis à l’examen professionnel.
Le jury établit en fonction de leurs vœux, la liste des candidats admis au sein de la zone de défense et de sécurité,
par ordre alphabétique.
Les candidats admis sont inscrits au tableau d’avancement par ordre de mérite, dans la limite du nombre de
postes offerts au sein de chaque zone de défense et de sécurité.
Art. 7. – Le candidat admis à un examen professionnel, qui ne serait pas promu au 31 décembre de l’année de
validité du tableau d’avancement, perd le bénéfice de son inscription sur la liste d’aptitude à l’examen.
Art. 8. – Les candidats doivent se prêter aux surveillances et vérifications nécessaires lors du déroulement des
épreuves. Un candidat dont le comportement serait jugé de nature à perturber le bon déroulement des épreuves sera
exclu de la salle d’examen par décision du président du jury qui assure la, police des concours.
Lors des épreuves, il est notamment interdit aux candidats :
1o D’introduire dans les lieux des épreuves tout document, note ou objet dont l’usage n’aurait pas été
expressément prévu par le règlement de l’examen ou autorisé par le jury ;
2o De communiquer entre eux ou avec l’extérieur ;
3o D’utiliser des appareils électroniques ou connectés. Les personnes disposant d’un téléphone portable, d’un
smartphone ou d’une tablette doivent le mettre en position « Arrêt » et le ranger dans leurs affaires personnelles.
L’utilisation dans les salles d’examen et lors des déplacements aux toilettes, d’appareils informatiques,
photographiques ou audiovisuels, ainsi que de tout appareil électronique est strictement interdite.
4o De porter des écouteurs. Les oreilles des candidats ne doivent donc pas être couvertes, pendant toute la durée
des épreuves.
5o De sortir de la salle sans autorisation des surveillants.
Toute infraction au règlement, toute fraude ou tentative de fraude dûment constatée est susceptible d’entraîner
l’exclusion du candidat, sans préjudice, le cas échéant, de l’application des dispositions pénales prévues par la loi
du 23 décembre 1901.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 203
La même mesure peut être prise à l’encontre des complices de l’auteur principal de la fraude ou de la tentative de
fraude.
En cas de flagrant délit, le surveillant responsable établit à l’attention du président du jury un rapport
caractérisant les faits. Le candidat peut continuer à composer.
Aucune décision ne peut être prise sans que l’intéressé ait été mis en mesure de présenter sa défense
conformément aux articles L. 121-1, L. 121-2 et L. 122-1 du code des relations entre le public et l’administration.
L’exclusion de l’examen est prononcée par le jury.
La décision motivée est notifiée sans délai à l’intéressé par lettre recommandée avec accusé de réception ou, à
défaut, par tout autre moyen.
Art. 9. – La composition du jury national est fixée comme suit :
– le directeur général de la police nationale ou son représentant, président ;
– le directeur chargé de l’administration générale de la police nationale ou son représentant ;
– le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale ou son représentant, vice-
président ;
– le préfet de police de Paris ou son représentant ;
– un ou plusieurs membres du corps de conception et de direction ou du corps de commandement de la police
nationale issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la direction générale de la
sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris ;
– un ou plusieurs membres du corps d’encadrement et d’application de la police nationale au moins titulaires du
grade de major de police issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la direction
générale de la sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris.
Des examinateurs qualifiés, fonctionnaires actifs de la police nationale, ayant au moins le grade de major,
peuvent apporter leur concours au jury national pour participer à la notation des épreuves.
Le jury national assure la coordination des groupes d’examinateurs ainsi que l’harmonisation des barèmes et des
notations.
Les membres du jury sont nommés chaque année par arrêté du ministre de l’intérieur.
Art. 10. – Pour l’épreuve orale d’entretien, chaque groupe d’examinateurs comprend :
– quatre membres issus des corps actifs de la police nationale dont l’un d’entre eux est issu du corps de
conception et de direction ou du corps de commandement de la police nationale.
Un membre du jury national au moins participe à l’entretien et procède, conjointement avec les examinateurs
qualifiés, à l’évaluation du candidat.
Le ou les représentants du corps d’encadrement et d’application doivent avoir le grade de major de police et au
moins l’un d’entre eux doit posséder la qualité d’officier de police judiciaire ou être issu de la direction centrale de
la sécurité publique ou être issu de la préfecture de police de Paris.
Art. 11. – Le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale organise les examens
professionnels définis au présent arrêté.
Il peut en déléguer l’organisation matérielle aux préfets et hauts-commissaires sous l’autorité desquels sont
respectivement placés les secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur et les secrétariats
généraux pour l’administration de la police.
Art. 12. – L’arrêté du 15 janvier 2010 modifié fixant le contenu et les modalités de l’examen des capacités
professionnelles pour l’accès au grade de major de police est abrogé.
Art. 13. – Le présent arrêté entre en vigueur le 1er janvier 2022.
Art. 14. – Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre de l’intérieur,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur du recrutement
et des dispositifs promotionnels,
A. WINTER
La ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
Pour la ministre et par délégation :
Le chef du bureau du recrutement
et des politiques d’égalité et de diversité,
N. ROBLAIN
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TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale, la nature et le programme
des épreuves des examens professionnels pour l’avancement au grade de brigadier-chef de
police de la police nationale
NOR : INTC2136944A
l’accès au grade de brigadier-chef de police de la police nationale sont organisés conformément aux dispositions
fixées par le présent arrêté.
Art. 2. – Les arrêtés d’ouverture, pris par le ministre de l’intérieur, fixent la date de clôture des inscriptions, la
date des épreuves et le nombre d’emplois offerts.
Lorsqu’ils prévoient que le classement sera opéré au sein de la zone de défense et de sécurité, les arrêtés
d’ouverture fixent le nombre d’emplois offerts au sein de chacune des zones de défense et de sécurité. Lors de
l’ouverture de l’examen, la liste des services et postes susceptibles d’être concernés fera l’objet d’une information.
Les candidats seront affectés sur ces postes, dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement du
service.
Art. 3. – I. – Peuvent s’inscrire aux examens professionnels pour l’accès au grade de brigadier-chef de police :
– au titre du 1o de l’article 15-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, comptent quatre années d’exercice continu dans le grade de brigadier sur un
des postes comportant l’exercice effectif des fonctions d’officier de police judiciaire dont la liste est fixée par
arrêté du ministère de l’intérieur ;
– au titre du 2o de l’article 15-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, comptent cinq années au moins de services effectifs dans le grade de
brigadier depuis leur nomination dans ce grade ;
– au titre du 3o de l’article 15-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, sont affectés depuis au moins deux années de manière continue dans l’un des
secteurs ou unités d’encadrement prioritaire définis à l’article 12-1 du même décret et comptent trois années
au moins de services effectifs dans le grade de brigadier depuis leur nomination dans ce grade.
II. – Lorsque les arrêtés d’ouverture prévoient que le classement sera opéré au sein de chaque zone de défense et
de sécurité, les candidats présentent obligatoirement leur candidature pour la zone de défense et de sécurité à
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 203
laquelle ils sont rattachés. Ils peuvent également présenter une seconde candidature pour la zone de défense et de
sécurité de leur choix.
Dans ce cas, le candidat classe ses deux candidatures par ordre de préférence.
Art. 4. – L’épreuve de sélection pour les candidats à l’examen professionnel défini au 1o de l’article 15-1 du
décret du 23 décembre 2004 susvisé consiste en :
– une épreuve écrite permettant d’évaluer les compétences du candidat dans le cadre demises en situation
managériales portant sur le domaine de l’investigation pour deux tiers des questions et sur le domaine des
techniques et de la sécurité en intervention pour un tiers des questions (durée : 2 heures).
Le programme de cette épreuve est fixé en annexe du présent arrêté.
Art. 5. – L’épreuve de sélection pour les candidats à l’examen professionnel défini au 2o de l’article 15-1 du
décret du 23 décembre 2004 susvisé consiste en :
– une épreuve écrite permettant d’évaluer les compétences du candidat dans le cadre de mises en situation
managériales portant sur :
– la déontologie au sein de la police nationale ;
– la gestion du temps de travail dans les services de la police nationale ;
– les techniques et la sécurité en intervention.
Un tiers des mises en situation portera obligatoirement sur les techniques et la sécurité en intervention (durée :
3 heures).
Le programme de cette épreuve est fixé en annexe du présent arrêté.
Art. 6. – L’épreuve de sélection pour les candidats à l’examen professionnel défini au 3o de l’article 15-1 du
décret du 23 décembre 2004 susvisé consiste en :
– un entretien oral du candidat avec le jury visant à apprécier les acquis de son expérience professionnelle, ses
compétences, ses aptitudes, sa personnalité et sa motivation à exercer les fonctions de brigadier-chef de police
(durée : 25 minutes, dont 10 minutes de présentation).
Pour conduire cet entretien, le jury dispose du dossier constitué par le candidat en vue de la reconnaissance des
acquis de l’expérience professionnelle.
Au cours de cet entretien, le candidat est interrogé sur des questions relatives à son parcours, son expérience et
ses compétences professionnelles sur la seule base du dossier constitué.
Un modèle de grille d’évaluation de l’épreuve d’entretien est consultable sur le site internet du ministère de
l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.gouv.fr.
Après avoir reçu le visa du supérieur hiérarchique, le candidat remet son dossier de reconnaissance des acquis de
l’expérience professionnelle au service organisateur dans un délai et selon des modalités fixés dans l’arrêté
d’ouverture de l’examen professionnel. Le dossier est transmis au jury par le service organisateur. Ce dossier n’est
pas noté. Seul l’entretien est noté.
Un modèle de dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle est disponible, à l’ouverture
des examens professionnels, sur le site internet du ministère de l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.
gouv.fr.
Art. 7. – I. – Les candidats sont convoqués individuellement aux épreuves. Le lieu, le jour et l’heure de
l’épreuve à laquelle doivent se présenter les candidats sont mentionnés dans les convocations, qui pourront être
transmises par voie dématérialisée ou voie postale.
Sauf dérogation, lorsque l’organisation matérielle des épreuves est confiée au préfet de la zone de défense et de
sécurité, le lieu de l’épreuve à laquelle doivent se présenter les candidats est situé dans le ressort géographique de
la zone de défense et de sécurité dans laquelle le candidat est affecté.
II. – Dans le cas de non-réception de l’accusé de réception du dossier de reconnaissance des acquis de
l’expérience professionnelle ou de la convocation dix jours avant le début des épreuves, il appartient au candidat de
se mettre sans délai en rapport avec le service organisateur territorialement compétent.
Le fait de ne pas participer à une épreuve obligatoire, soit en ne s’y présentant pas, soit en se présentant après
l’ouverture des enveloppes scellées contenant les sujets pour les épreuves écrites, soit en omettant de rendre sa
copie à la fin de l’épreuve entraîne l’élimination du candidat.
Art. 8. – I. – Il est attribué à l’épreuve une note comprise entre 0 et 20.
II. – Seuls les candidats ayant obtenu, à l’issue de l’épreuve, un nombre de points déterminé par le jury sont
déclarés admis à l’examen professionnel. Le jury établit la liste d’aptitude des candidats admis par ordre
alphabétique. Les candidats admis sont inscrits au tableau d’avancement par ordre de mérite, dans la limite du
nombre de postes offerts.
III. – Lorsque les arrêtés d’ouverture prévoient que le classement sera opéré au sein de chaque zone de défense et
de sécurité, le jury détermine, pour chacune de ces zones, le nombre de points à partir duquel les candidats sont
déclarés admis à l’examen professionnel.
Le jury établit, en fonction de leurs vœux, la liste des candidats admis au sein de la zone de défense et de
sécurité, par ordre alphabétique.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 203
Les candidats admis sont inscrits au tableau d’avancement par ordre de mérite, dans la limite du nombre de
postes offerts au sein de chaque zone de défense et de sécurité.
Art. 9. – Le candidat admis à un examen professionnel, qui ne serait pas promu au 31 décembre de l’année de
validité du tableau d’avancement, perd le bénéfice de son inscription sur la liste d’aptitude à l’examen.
Art. 10. – Les candidats doivent se prêter aux surveillances et vérifications nécessaires lors du déroulement des
épreuves. Un candidat dont le comportement serait jugé de nature à perturber le bon déroulement des épreuves sera
exclu de la salle d’examen par décision du président du jury qui assure la police des concours.
Lors des épreuves, il est notamment interdit aux candidats :
1o D’introduire dans les lieux des épreuves tout document, note ou objet dont l’usage n’aurait pas été
expressément prévu par le règlement de l’examen ou autorisé par le jury ;
2o De communiquer entre eux ou avec l’extérieur ;
3o D’utiliser des appareils électroniques ou connectés. Les personnes disposant d’un téléphone portable, d’un
smartphone ou d’une tablette doivent le mettre en position « Arrêt » et le ranger dans leurs affaires personnelles.
L’utilisation dans les salles d’examen et lors des déplacements aux toilettes, d’appareils informatiques,
photographiques ou audiovisuels, ainsi que de tout appareil électronique est strictement interdite ;
4o De porter des écouteurs. Les oreilles des candidats ne doivent donc pas être couvertes, pendant toute la durée
des épreuves ;
5o De sortir de la salle sans autorisation des surveillants.
Toute infraction au règlement, toute fraude ou tentative de fraude dûment constatée est susceptible d’entraîner
l’exclusion du candidat, sans préjudice, le cas échéant, de l’application des dispositions pénales prévues par la loi
du 23 décembre 1901.
La même mesure peut être prise à l’encontre des complices de l’auteur principal de la fraude ou de la tentative de
fraude.
En cas de flagrant délit, le surveillant responsable établit à l’attention du président du jury un rapport
caractérisant les faits. Le candidat peut continuer à composer.
Aucune décision ne peut être prise sans que l’intéressé ait été mis en mesure de présenter sa défense
conformément aux articles L. 121-1, L. 121-2 et L. 122-1 du code des relations entre le public et l’administration.
L’exclusion de l’examen est prononcée par le jury.
La décision motivée est notifiée sans délai à l’intéressé par lettre recommandée avec accusé de réception ou, à
défaut, par tout autre moyen.
Art. 11. – La composition du jury national est fixée comme suit :
– le directeur général de la police nationale ou son représentant, président ;
– le directeur chargé de l’administration générale de la police nationale ou son représentant ;
– le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale ou son représentant, vice-
président ;
– le préfet de police de Paris ou son représentant ;
– un ou plusieurs membres du corps de conception et de direction ou du corps de commandement de la police
nationale issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la direction générale de la
sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris ;
– un ou plusieurs membres du corps d’encadrement et d’application de la police nationale au moins titulaires du
grade de brigadier chef de police issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la
direction générale de la sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris dont au moins un membre
ayant la qualification de formateur aux techniques et à la sécurité en intervention.
Des examinateurs qualifiés, fonctionnaires actifs de la police nationale, ayant au moins le grade de brigadier-
chef, peuvent apporter leur concours au jury national, pour élaborer les sujets et les corrigés des épreuves écrites et
pour participer à la notation des épreuves.
Le jury national choisit les sujets et assure la coordination des groupes d’examinateurs ainsi que l’harmonisation
des barèmes et des notations.
Les membres du jury sont nommés chaque année par arrêté du ministre de l’intérieur.
Art. 12. – Pour l’épreuve orale d’entretien prévu au 3o de l’article 15-1 du décret du 23 décembre 2004 susvisé,
chaque groupe d’examinateurs comprend :
– quatre membres issus des corps actifs de la police nationale dont l’un d’entre eux est issu du corps de
conception et de direction ou du corps de commandement de la police nationale.
Un membre du jury national au moins participe à l’entretien et procède, conjointement avec les examinateurs
qualifiés, à l’évaluation du candidat.
Le ou les représentants du corps d’encadrement et d’application doivent avoir au minimum le grade de brigadier-
chef de police.
Art. 13. – Le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale organise les examens
professionnels définis au présent arrêté.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 203
Il peut en déléguer l’organisation matérielle aux préfets et hauts-commissaires sous l’autorité desquels sont
respectivement placés les secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur et les secrétariats
généraux pour l’administration de la police.
Art. 14. – Conformément à l’article 15 du décret du 29 septembre 2021 susvisé, l’examen professionnel de
brigadier-chef de police prévu au 1-1 de l’article 15 du décret du 23 décembre 2004 susvisé dans sa rédaction
antérieure à la modification du décret du 29 septembre 2021 précité, ouvert en vue de l’établissement du tableau
d’avancement au titre de l’année 2022 est organisé dans la forme prévue par les dispositions de l’arrêté du
15 janvier 2010 fixant le contenu et les modalités de l’examen professionnel pour l’accès au grade de brigadier-
chef de police.
La session organisée en 2022 concerne uniquement les candidats dont la première inscription aux sessions 2020
et 2021 constitue le point de départ du cycle prévu à l’article 9 de l’arrêté ci-dessus et qui ont obtenu au titre de ces
sessions une des deux unités de valeur requises. Elle concerne également les candidats bénéficiant d’un report de
l’atelier numéro 3 de l’unité de valeur numéro 1 au titre de la session 2021.
Cette session 2022 clôture définitivement l’ensemble des cycles en cours.
Art. 15. – Le présent arrêté entre en vigueur le 1er janvier 2022, à l’exception de l’article 14 qui entre en
vigueur le lendemain de la publication du présent arrêté.
Art. 16. – Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre de l’intérieur,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur du recrutement
et des dispositifs promotionnels,
A. WINTER
La ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
Pour la ministre et par délégation :
Le chef du bureau du recrutement
et des politiques d’égalité et de diversité,
N. ROBLAIN
ANNEXE
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 15 décembre 2021 fixant les règles d’organisation générale, la nature et le programme
des épreuves des examens professionnels pour l’avancement au grade de brigadier de police de
la police nationale
NOR : INTC2136943A
l’accès au grade de brigadier de police de la police nationale sont organisés conformément aux dispositions fixées
par le présent arrêté.
Art. 2. – Les arrêtés d’ouverture, pris par le ministre de l’intérieur, fixent la date de clôture des inscriptions, la
date des épreuves et le nombre d’emplois offerts.
Art. 3. – Peuvent s’inscrire aux examens professionnels pour l’accès au grade de brigadier de police :
– au titre du 1o de l’article 12-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, comptent quatre années de services effectifs dans le grade de gardien de la
paix depuis leur titularisation dans le corps ;
– au titre du 2o de l’article 12-1 du décret précité, les candidats qui, au 1er janvier de l’année au titre de laquelle le
tableau d’avancement est établi, sont affectés depuis au moins une année dans l’un des secteurs ou unités
d’encadrement prioritaire définis à l’article 12-1 du même décret et qui comptent quatre années au moins de
services effectifs dans le grade de gardien de la paix depuis leur titularisation dans le corps.
Art. 4. – Les candidats à l’examen professionnel prévu au 1o de l’article 12-1 du décret du 23 décembre 2004
susvisé choisissent, au moment de l’inscription, un des domaines suivants :
– voie publique ;
– renseignement ;
– ordre public ;
– migration frontières.
Ils ne peuvent en aucun cas en changer postérieurement à la clôture des inscriptions.
Art. 5. – Les épreuves de sélection pour les candidats à l’examen professionnel défini au 1o de l’article 12-1 du
décret précité consistent en :
1. Un questionnaire à choix multiple (QCM) portant sur les connaissances générales policières permettant
d’évaluer les acquis professionnels (durée : 1 heure 30 minutes) ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 203
2. Un questionnaire à réponses courtes (QRC), portant sur le domaine choisi et pouvant contenir des mises en
situation, permettant de vérifier les connaissances du candidat, ses qualités de réflexion ainsi que son aptitude à
exercer les fonctions de brigadier de police. Une question au moins portera sur les techniques et la sécurité en
intervention (durée : 1 heure 30 minutes).
Le programme des épreuves est fixé en annexe du présent arrêté.
Art. 6. – L’épreuve de sélection pour les candidats à l’examen professionnel défini au 2o de l’article 12-1 du
décret précité consiste en :
– un entretien oral du candidat avec le jury visant à apprécier les acquis de son expérience professionnelle, ses
compétences, ses aptitudes sa personnalité et sa motivation à exercer les fonctions de brigadier de police
(durée : 25 minutes, dont 10 minutes de présentation).
Pour conduire cet entretien, le jury dispose du dossier constitué par le candidat en vue de la reconnaissance des
acquis de l’expérience professionnelle.
Au cours de cet entretien, le candidat est interrogé sur des questions relatives à son parcours, son expérience et
ses compétences professionnelles sur la seule base du dossier constitué.
Un modèle de grille d’évaluation de l’épreuve d’entretien est consultable sur le site internet du ministère de
l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.gouv.fr.
Après avoir reçu le visa du supérieur hiérarchique, le candidat remet son dossier de reconnaissance des acquis de
l’expérience professionnelle au service organisateur dans un délai et selon des modalités fixées dans l’arrêté
d’ouverture de l’examen professionnel. Le dossier est transmis au jury par le service organisateur. Ce dossier n’est
pas noté. Seul l’entretien est noté.
Un modèle de dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle est disponible, à l’ouverture
des examens professionnels, sur le site internet du ministère de l’intérieur à l’adresse suivante : www.interieur.
gouv.fr.
Art. 7. – Les candidats sont convoqués individuellement aux épreuves. Le lieu, le jour et l’heure de l’épreuve à
laquelle doivent se présenter les candidats sont mentionnés dans les convocations, qui pourront être transmises par
voie dématérialisée ou voie postale.
Dans le cas de non-réception de l’accusé de réception du dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience
professionnelle ou de la convocation dix jours avant le début des épreuves, il appartient au candidat de se mettre
sans délai en rapport avec le service organisateur territorialement compétent.
Le fait de ne pas participer à une épreuve obligatoire, soit en ne s’y présentant pas, soit en se présentant après
l’ouverture des enveloppes scellées contenant les sujets pour les épreuves écrites, soit en omettant de rendre sa
copie à la fin de l’épreuve entraîne l’élimination du candidat.
Art. 8. – I. – Il est attribué pour chaque épreuve une note comprise entre 0 et 20.
Pour les épreuves définies aux 1o de l’article 12-1 du décret précité, la somme des points forme le total de points
de l’examen.
II. – Seuls les candidats ayant obtenu, à l’issue des épreuves, un nombre de points déterminé par le jury sont
déclarés admis à l’examen professionnel.
Le jury établit la liste d’aptitude des candidats admis par ordre alphabétique.
Les candidats admis sont inscrits au tableau d’avancement par ordre de mérite, dans la limite du nombre de
postes offerts.
Art. 9. – Le candidat admis à un examen professionnel, qui ne serait pas promu au 31 décembre de l’année de
validité du tableau d’avancement, perd le bénéfice de son inscription sur la liste d’aptitude à l’examen.
Art. 10. – Les candidats doivent se prêter aux surveillances et vérifications nécessaires lors du déroulement des
épreuves. Un candidat dont le comportement serait jugé de nature à perturber le bon déroulement des épreuves sera
exclu de la salle d’examen par décision du président du jury qui assure la police des concours.
Lors des épreuves, il est notamment interdit aux candidats :
1o D’introduire dans les lieux des épreuves tout document, note ou objet dont l’usage n’aurait pas été
expressément prévu par le règlement de l’examen ou autorisé par le jury ;
2o De communiquer entre eux ou avec l’extérieur ;
3o D’utiliser des appareils électroniques ou connectés. Les personnes disposant d’un téléphone portable, d’un
smartphone ou d’une tablette doivent le mettre en position « Arrêt » et le ranger dans leurs affaires personnelles.
L’utilisation dans les salles d’examen et lors des déplacements aux toilettes, d’appareils informatiques,
photographiques ou audiovisuels, ainsi que de tout appareil électronique est strictement interdite ;
4o De porter des écouteurs. Les oreilles des candidats ne doivent donc pas être couvertes, pendant toute la durée
des épreuves ;
5o De sortir de la salle sans autorisation des surveillants.
Toute infraction au règlement, toute fraude ou tentative de fraude dûment constatée est susceptible d’entraîner
l’exclusion du candidat, sans préjudice, le cas échéant, de l’application des dispositions pénales prévues par la loi
du 23 décembre 1901.
La même mesure peut être prise à l’encontre des complices de l’auteur principal de la fraude ou de la tentative de
fraude.
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En cas de flagrant délit, le surveillant responsable établit à l’attention du président du jury un rapport
caractérisant les faits. Le candidat continue à composer.
Aucune décision ne peut être prise sans que l’intéressé ait été mis en mesure de présenter sa défense
conformément aux articles L. 121-1, L. 121-2 et L. 122-1 du code des relations entre le public et l’administration.
L’exclusion de l’examen est prononcée par le jury.
La décision motivée est notifiée sans délai à l’intéressé par lettre recommandée avec accusé de réception ou, à
défaut, par tout autre moyen.
Art. 11. – La composition du jury national est fixée comme suit :
– le directeur général de la police nationale ou son représentant, président ;
– le directeur chargé de l’administration générale de la police nationale ou son représentant ;
– le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale ou son représentant, vice-
président ;
– le préfet de police de Paris ou son représentant ;
– un ou plusieurs membres du corps de conception et de direction ou du corps de commandement de la police
nationale issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la direction générale de la
sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris ;
– un ou plusieurs membres du corps d’encadrement et d’application de la police nationale au moins titulaires du
grade de brigadier de police issus des services actifs de la direction générale de la police nationale, de la
direction générale de la sécurité intérieure et de la préfecture de police de Paris, dont au moins un membre
ayant la qualification de formateur aux techniques et à la sécurité en intervention.
Des examinateurs qualifiés, fonctionnaires actifs de la police nationale ayant au moins le grade de brigadier,
peuvent apporter leur concours au jury national, pour élaborer les sujets et les corrigés des épreuves écrites et pour
participer à la notation des épreuves.
Le jury national choisit les sujets et assure la coordination des groupes d’examinateurs ainsi que l’harmonisation
des barèmes et des notations.
Les membres du jury sont nommés chaque année par arrêté du ministre de l’intérieur.
Art. 12. – Pour l’épreuve orale d’entretien prévu au 2o de l’article 12-1 du décret précité, chaque groupe
d’examinateurs comprend :
– quatre membres issus des corps actifs de la police nationale dont l’un d’entre eux est issu du corps de
conception et de direction ou du corps de commandement de la police nationale.
Un membre du jury national au moins participe à l’entretien et procède, conjointement avec les examinateurs
qualifiés, à l’évaluation du candidat.
Le ou les représentants du corps d’encadrement et d’application doivent avoir au minimum le grade de brigadier
de police.
Art. 13. – Le directeur chargé du recrutement et de la formation de la police nationale organise les examens
professionnels définis au présent arrêté.
Il peut en déléguer l’organisation matérielle aux préfets et hauts-commissaires sous l’autorité desquels sont
respectivement placés les secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur et les secrétariats
généraux pour l’administration de la police.
Art. 14. – L’arrêté du 15 janvier 2010 fixant le contenu et les modalités des examens professionnels pour
l’accès au grade de brigadier de police est abrogé.
Art. 15. – Le présent arrêté entre en vigueur le 1er janvier 2022.
Art. 16. – Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre de l’intérieur,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur du recrutement
et des dispositifs promotionnels,
A. WINTER
La ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
Pour la ministre et par délégation :
Le chef du bureau du recrutement
et des politiques d’égalité et de diversité,
N. ROBLAIN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 203
ANNEXE
PROGRAMME DES ÉPREUVES DE L’EXAMEN PROFESSIONNEL POUR L’ACCÈS AU GRADE
DE BRIGADIER DE POLICE DÉFINI AU 1o DE L’ARTICLE 12-1 DU DÉCRET DU 23 DÉCEMBRE 2004 MODIFIÉ
Programme de l’épreuve portant sur les connaissances générales policières
permettant d’évaluer les acquis professionnels (QCM)
1. Les outils juridiques et pratique pénale policière
– le droit pénal
– la procédure pénale
– les libertés publiques
– l’organisation juridictionnelle de la France
2. Les règles statutaires du policier
– les droits et obligations du policier
– le code de déontologie commenté de la police nationale et de la gendarmerie nationale
3. L’organisation de la police
– la préfecture de police de Paris
– la direction générale de la police nationale
– la direction générale de la sécurité intérieure
4. Les règles générales d’organisation des locaux de police
– la tenue des registres du service
– les règles de protection, de sécurité et d’hygiène des locaux de police
– les règles de rétention des personnes dans les locaux de police
– les règles de prise en compte et de conduite d’un véhicule de police
5. Les interventions de police particulières
– l’intervention sur les lieux d’un sinistre
– les plans ORSEC
– le plan VIGIPIRATE
– l’intervention sur une alarme dans un établissement à caractère financier ou commercial
– les bagages abandonnés, les objets et véhicules suspects, les alertes à la bombe
– l’intervention sur un différend familial
6. Les principales infractions de la compétence de l’APJ 20
– les atteintes volontaires à la vie et à l’intégrité physique ou psychique de la personne
– les infractions de résistance aux personnes dépositaires de l’autorité publique
– les discriminations
– la violation de domicile
– les infractions à caractère sexuel
– les appropriations frauduleuses
– les destructions, dégradations et détériorations
– les infractions liées aux stupéfiants
– les infractions liées à l’entrée et au séjour irrégulier
7. Les techniques et la sécurité en intervention
– les risques nucléaires radiologiques, biologiques et chimiques
– l’armement
– les premiers secours en intervention
Programme de l’épreuve consistant en un questionnaire à réponses courtes (QRC), portant sur le domaine
choisi et pouvant contenir des mises en situation, permettant de vérifier les connaissances du candidat, ses
qualités de réflexion ainsi que son aptitude à exercer les fonctions de brigadier de police. Une question au
moins portera sur les techniques et la sécurité en intervention.
2. Le droit pénal
– le vol
– l’extorsion
– les violences volontaires
– les violences intra-familiales
– l’outrage et la rébellion
3. La procédure pénale
– l’enquête de flagrant délit
– l’enquête préliminaire
– les cas de rétention
– la garde à vue et la retenue de mineur
– les contrôles, relevés et vérifications d’identité
– le contrôle de situation des étrangers
4. La réglementation relative à la sécurité, à la tranquillité et à la salubrité publiques
– les débits de boissons
– les personnes itinérantes
– l’intervention dans un squat
– les troubles mentaux
– les diligences immédiates dans le cadre des disparitions inquiétantes
5. La lutte contre l’insécurité routière
– la mise en place d’un contrôle routier
– les principaux délits routiers
– les procédures en matière de circulation routière
– les acteurs du procès pénal en matière de délinquance routière
6. Les techniques et la sécurité en intervention
– les stratégies et techniques d’intervention dans les quartiers sensibles
– les procédés tactiques élémentaires en maintien de l’ordre
– les techniques de défense et d’interpellation
– les pratiques professionnelles en intervention
– l’emploi des armes (LBD/PM HK UMP)
Domaine Renseignement
1. L’environnement professionnel
– la communauté du renseignement
– la sécurité des systèmes d’information
– les atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation
2. Les libertés publiques
– la liberté de réunion
– la liberté d’association
– la laïcité
3. Le rôle des services de renseignement dans la gestion des grands événements
– la distinction manifestation – attroupement
– la protection des hautes personnalités
– les dérives urbaines
– le hooliganisme
– la lutte contre les extrémismes violents
4. L’action face à la menace terroriste
– le terrorisme issu de l’islamisme radical
– le terrorisme séparatiste
– la prévention du terrorisme
– le cadre juridique dérogatoire applicable au terrorisme
– les infractions liées au terrorisme
5. Les autres domaines d’activité des services de renseignement
– les relations sociales au sein du monde du travail
– intelligence et sécurité économique
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3. L’immigration irrégulière
– la lutte contre les filières d’immigration irrégulière
– la lutte contre le travail illégal
4. Le terrorisme et la sûreté aéroportuaire et portuaire
– les formes de terrorisme
– la sûreté aéroportuaire et portuaire
– le plan VIGIPIRATE
– les plans d’intervention spécifique
5. Les techniques et la sécurité en intervention
– les techniques de défense et d’interpellation
– les pratiques professionnelles en intervention
– l’emploi des armes (LBD / PM HK UMP)
– les gestes techniques et professionnels en intervention spécifiques aux escortes par voie aérienne
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
NOR : INTE2137424A
Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre de l’intérieur et le ministre délégué auprès du
ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics,
Vu le code des assurances, notamment ses articles L. 122-7, L. 125-1 à L. 125-6 et A. 125-1 et suivants ;
Vu les avis rendus le 16 décembre 2021 par la commission interministérielle instituée par la circulaire no 84-90
du 27 mars 1984 relative à l’indemnisation des victimes de catastrophe naturelle,
Arrêtent :
Art. 1er. – En application du code des assurances, les demandes de reconnaissance de l’état de catastrophe
naturelle ont été examinées pour les dommages causés par les inondations et coulées de boue.
Les communes faisant l’objet d’une constatation de l’état de catastrophe naturelle sont recensées en annexe ci-
après, pour le risque et aux périodes indiqués.
Art. 2. – L’état de catastrophe naturelle constaté par arrêté peut ouvrir droit à la garantie des assurés contre les
effets des catastrophes naturelles sur les biens faisant l’objet des contrats d’assurance visés au code des assurances,
lorsque les dommages matériels directs qui en résultent ont eu pour cause déterminante l’effet de cet agent naturel
et que les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n’ont pu empêcher leur survenance ou n’ont
pu être prises.
En outre, si l’assuré est couvert par un contrat visé au code des assurances, l’état de catastrophe naturelle
constaté peut ouvrir droit à la garantie précitée, dans les conditions prévues au contrat d’assurance correspondant.
Art. 3. – La franchise applicable est modulée en fonction du nombre de constatations de l’état de catastrophe
naturelle intervenues pour le même risque, au cours des cinq années précédant la date de signature du présent
arrêté, dans les communes qui ne sont pas dotées d’un plan de prévention des risques naturels prévisibles pour le
risque concerné.
Pour ces communes, le nombre de ces constatations figure entre parenthèses, dans l’annexe. Il prend en compte
non seulement les constatations antérieures prises pour un même risque, mais aussi la présente constatation.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
de la 5e sous-direction
de la direction du budget,
P. CHAVY
ANNEXE
COMMUNES RECONNUES EN ÉTAT DE CATASTROPHE NATURELLE
DÉPARTEMENT DES LANDES
Inondations et coulées de boue du 9 décembre 2021 au 12 décembre 2021
Cauneille (4), Hastingues, Oeyregave, Orthevielle (3), Peyrehorade, Port-de-Lanne (3), Saint-Barthélemy,
Sainte-Marie-de-Gosse, Saint-Laurent-de-Gosse, Saint-Martin-de-Seignanx.
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
adjoint de l’administration et du soutien, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur, tous actes, décisions
et pièces comptables ainsi que les ordres de mission en France et à l’étranger dans la limite de ses attributions.
Art. 2. – Délégation est donnée à M. Luc VERBEKE, commissaire divisionnaire de police, sous-directeur
adjoint de l’administration et du soutien, à l’effet de contresigner, au nom de l’autorité déléguée, les rapports
relatifs aux contrôles administratifs prévus à l’article 11. 1 de la convention de délégation, lorsque le contrôle
administratif est effectué par un prestataire.
Art. 3. – Délégation est donnée à M. Luc VERBEKE, commissaire divisionnaire de police, sous-directeur
adjoint de l’administration et du soutien, à l’effet de signer, au nom de l’autorité déléguée, les certificats de service
faits prévus à l’article 11. 1 de la convention de délégation.
Art. 4. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 1er décembre 2021.
S. HATT
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TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du président du centre de gestion de la fonction publique territoriale des Alpes-de-Haute-Provence en
date du 17 novembre 2021 :
L’examen professionnel de bibliothécaire principal par voie d’avancement de grade est ouvert au titre de
l’année 2022, pour l’ensemble du territoire national.
I. – L’épreuve d’admissibilité d’examen du dossier de chaque candidat se déroulera à partir du jeudi 12 mai 2022
dans les locaux du centre de gestion, 582, rue Font-de-Lagier à Volx (04230). En fonction des nécessités
d’organisation et en sa qualité d’autorité organisatrice, le centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence se réserve
la possibilité de prévoir d’autres centres d’examen dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
II. – L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du lundi 26 septembre 2022 dans les locaux du centre de
gestion, 582, rue Font-de-Lagier à Volx (04230). En fonction des nécessités d’organisation et en sa qualité
d’autorité organisatrice, le centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence se réserve la possibilité de prévoir
d’autres centres d’examen dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
III. – Les dossiers d’inscription pourront être :
– soit demandés par courrier, du mardi 11 janvier 2022 au mercredi 16 février 2022 (le cachet de la poste faisant
foi) adressés au centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence, 582, rue Font-de-Lagier, 04130 Volx ; la
demande devra être accompagnée d’une enveloppe format A4 affranchie au tarif en vigueur pour un envoi de
150 g et libellée aux nom et adresse du candidat ;
– soit retirés au siège du centre de gestion du mardi 11 janvier 2022 au mercredi 16 février 2022 (17 heures).
Les dossiers d’inscription sont à retirer uniquement auprès du centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence.
Les demandes d’inscription adressées en dehors des dates mentionnées dans le présent arrêté ou à un autre centre
de gestion que celui des Alpes-de-Haute-Provence seront considérées comme non-conformes et donc refusées.
Aucun dossier ne sera transmis pour les demandes par téléphone, télécopie et courrier électronique.
Le dossier dûment signé devra être déposé ou envoyé au centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence,
582, rue Font-de-Lagier, 04130 Volx au plus tard à la date limite de dépôt des dossiers d’inscriptions, accompagné
des pièces justificatives demandées.
IV. – Pendant la période de retrait de dossiers, du mardi 11 janvier 2022 au mercredi 16 février 2022, les
candidats peuvent également se préinscrire en ligne sur le portail « www.concours-territorial.fr » ou sur le site
internet du centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence « www.cdg04.fr ».
Le dossier de préinscription imprimé dûment signé, devra être déposé ou envoyé au centre de gestion des Alpes-
de-Haute-Provence, 582, rue Font-de-Lagier, 04130 Volx au plus tard à la date limite de dépôt des dossiers
d’inscriptions, accompagné des pièces justificatives demandées
Faute d’envoi dans les délais du dossier imprimé, la pré-inscription en ligne sera annulée.
Les captures d’écran ou leurs impressions ainsi que les photocopies de dossier ne seront pas acceptées.
V. – La date limite de dépôt des dossiers d’inscription complets est fixée au jeudi 24 février 2022 (le cachet de la
poste faisant foi). Au-delà de cette date, tout dossier sera rejeté.
VI. – Conformément aux dispositions de l’article 2 du décret no 2019-847 du 19 août 2019 fixant les modalités
d’organisation de l’examen professionnel d’accès au grade de bibliothécaire principal, le dossier du candidat
comporte :
– une présentation de sa formation initiale, de sa formation statutaire, de sa formation professionnelle tout au
long de la vie et de son niveau de qualification ;
– une présentation de son parcours professionnel ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 203
– une présentation des acquis de son expérience professionnelle, de ses aptitudes et de sa motivation en matière
de conduite de projets culturels et d’encadrement ;
– un rapport présentant une réalisation professionnelle de son choix.
Ce dossier doit être déposé ou envoyé au centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence, 582, rue Font-de-
Lagier, 04130 Volx au plus tard à la date limite de dépôt des dossiers d’inscriptions avant le délai de clôture des
inscriptions (soit avant le 24 février 2022). L’absence de ce dossier entraîne le rejet de l’inscription.
VII. – Les candidats en situation de handicap, demandant un aménagement d’épreuve(s), doivent transmettre au
centre de gestion un certificat médical datant de moins de six mois avant le début des épreuves, délivré par un
médecin agréé, confirmant la compatibilité de leur handicap avec l’emploi auquel l’examen donne accès et
précisant la nature des aides humaines et techniques ainsi que les mesures d’aménagements d’épreuves compte
tenu de la nature et de la durée des épreuves au plus tard trois semaines avant le début des épreuves, soit avant le
jeudi 21 avril 2022.
VIII. – Il est attribué à chaque épreuve une note de 0 à 20. Chaque note est multipliée par un coefficient. Toute
note inférieure à 05 sur 20 à l’une des épreuves obligatoires d’admissibilité ou d’admission entraîne l’élimination
du candidat. Ne sont autorisés à se présenter à l’épreuve d’admission que les candidats déclarés admissibles par le
jury. Un candidat ne peut être admis si la moyenne de ses notes aux épreuves est inférieure à 10 sur 20 après
application des coefficients correspondants.
IX. – Tous renseignements complémentaires et en particulier les conditions de candidature pourront être
communiqués sur simple demande écrite adressée à monsieur le président du centre de gestion des Alpes-de-Haute-
Provence.
X. – A l’issue des épreuves, le jury arrête, par ordre alphabétique, la liste des candidats admis à l’examen
professionnel d’avancement au grade de bibliothécaire principal. Les lauréats pourront être nommés après
inscription sur un tableau annuel d’avancement.
XI. – Le règlement général des concours et examens professionnels consultable sur le site internet www.cdg04.fr
est communicable à toute personne en faisant la demande.
Tous renseignements complémentaires pourront être communiqués sur simple demande écrite adressée au
président du centre de gestion des Alpes-de-Haute-Provence.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Arrêté du 14 décembre 2021 fixant au titre de l’année 2022 pour les huissiers de justice et les
commissaires de justice mentionnés aux articles 39 et 40 du décret no 2019-1185 du
15 novembre 2019 relatif à la formation professionnelle des commissaires de justice et aux
conditions d’accès à cette profession le calendrier, le programme et les modalités de l’examen
d’aptitude et du module de perfectionnement en art prévus à l’article 37 de ce même décret
NOR : JUSC2137467A
ANNEXES
ANNEXE I
PROGRAMME DE L’EXAMEN D’APTITUDE
Réglementation et déontologie des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques
Le droit de la vente volontaire de meubles aux enchères publiques :
– les textes applicables ;
– la fiscalité ;
– le droit de suite ;
– l’intervention de l’Etat : droit de préemption ;
– les importations et exportations des œuvres d’art ;
– le trafic illicite des œuvres d’art ;
– la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.
Réglementation professionnelle :
– le statut des opérateurs de ventes volontaires de meubles aux enchères publiques et des personnes habilitées à
diriger des ventes volontaires ;
– l’organisation et les attributions du Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques ;
– la déontologie et la discipline ;
– la responsabilité civile professionnelle ;
– le recours à l’expert en vente publique et ses incidences.
ANNEXE II
PROGRAMME DU MODULE DE PERFECTIONNEMENT EN ART
Histoire et technique :
– de la peinture, des estampes et des dessins ;
– de la gravure ;
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– de la sculpture ;
– de la céramique ;
– de l’orfèvrerie et de la bijouterie ;
– des meubles et des sièges ;
– des livres, manuscrits et autographes ;
– des tapis et tapisseries ;
– des armes de collection et souvenirs historiques ;
– des monnaies ;
– de l’archéologie ;
– des arts d’Afrique, d’Amériques, d’Asie, d’Europe et d’Océanie.
Marques et poinçons, titres et alliages. Restauration d’art.
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TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA CULTURE
NOR : MICE2129363D
Publics concernés : entreprises de presse en ligne. Cette aide vise exclusivement les services de presse tout en
ligne, d’information politique et générale (IPG).
Objet : aide au pluralisme des services de presse tout en ligne d’information politique et générale au bénéfice
des entreprises de presse tout en ligne.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur à une date fixée par arrêté du ministre de la culture, et au plus
tard 30 jours suivant la notification aux autorités françaises de la décision de la Commission européenne
permettant de considérer l’aide instituée par le décret comme conforme au droit de l’Union européenne en matière
d’aides d’Etat.
Notice : le décret institue une aide au pluralisme des services de presse tout en ligne d’information politique et
générale, quel que soit leur modèle économique (gratuits, payants ou mixtes). Cette aide est basée sur le montant
des dépenses éditoriales du média. Afin d’encourager les titres qui suscitent un engagement financier de leurs
lecteurs, une bonification est accordée selon le nombre d’abonnés payants. Enfin, les entreprises de presse en ligne
dont la création remonte à moins de trois années bénéficient d’un complément financier.
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la culture,
Vu le code du travail ;
Vu la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ;
Vu la loi no 86-867 du 1 août 1986 portant réforme du régime juridique de la presse notamment son article 1er ;
Vu la loi no 87-39 du 27 janvier 1987 portant diverses mesures d’ordre social, notamment son article 10 ;
Vu la loi no 2020-1721 du 29 décembre 2020 de finances pour 2021 ;
Vu l’ordonnance no 45-2646 du 2 novembre 1945 portant réglementation des agences de presse ;
Vu le décret no 55-486 du 30 avril 1955 modifié relatif à diverses dispositions d’ordre financier, et notamment
son article 30 ;
Vu le décret no 86-616 du 12 mars 1986 instituant une aide aux publications nationales d’information politique et
générale à faibles ressources publicitaires ;
Vu le décret no 89-528 du 28 juillet 1989 instituant une aide aux quotidiens régionaux, départementaux et locaux
d’information politique et générale à faibles ressources de petites annonces ;
Vu le décret no 97-1065 du 20 novembre 1997 modifié relatif à la commission paritaire des publications et
agences de presse ;
Vu le décret no 2004-1312 du 26 novembre 2004 relatif au fonds d’aide au pluralisme de la presse périodique
régionale et locale ;
Vu le décret no 2009-1340 du 29 octobre 2009 pris pour application de l’article 1er de la loi no 86-897
du 1er août 1986 portant réforme du régime juridique de la presse ;
Vu le décret no 2016-511 du 26 avril 2016 relatif au fonds de soutien aux médias d’information sociale de
proximité ;
Vu le décret no 2017-1700 du 15 décembre 2017 instituant une aide aux publications nationales d’information
politique et générale à faibles ressources publicitaires ;
Vu le décret no 2020-1754 du 29 décembre 2020 portant répartition des crédits et découverts autorisés par la loi
o
n 2020-1721 du 29 décembre 2020 de finances pour 2021 ;
Vu le décret no 2021-1067 du 10 août 2021 instituant une aide au pluralisme des titres ultramarins,
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 203
Décrète :
CHAPITRE Ier
AIDE AU PLURALISME DES SERVICES DE PRESSE TOUT EN LIGNE
Art. 1 . – Il est institué une aide au pluralisme des services de presse tout en ligne dans la limite des crédits
er
Les crédits disponibles après application des dispositions des précédents alinéas sont répartis de façon
proportionnelle entre les titres restant éligibles.
Art. 7. – Aucune aide ne peut être versée aux services de presse tout en ligne :
1o Dont le contenu a donné lieu à une condamnation du directeur de la publication devenue définitive au cours
des cinq années précédant la demande d’aide, en application des articles 24 ou 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 sur
la liberté de la presse ;
2o Ou qui ne satisfont pas aux conditions posées par le premier alinéa de l’article 30 du décret du 30 avril 1955
susvisé ;
3o Ou qui ont bénéficié la même année de l’attribution d’une aide au titre du fonds de soutien aux médias
d’information sociale de proximité régi par le décret du 26 avril 2016 susvisé ;
4o Ou qui ont bénéficié la même année de l’attribution d’une autre aide au pluralisme telle que :
– l’aide aux quotidiens nationaux d’information politique et générale à faibles ressources publicitaires régie par
le décret du 12 mars 1986 susvisé ;
– l’aide aux quotidiens régionaux, départementaux et locaux d’information politique et générale à faibles
ressources de petites annonces régie par le décret du 28 juillet 1989 susvisé ;
– l’aide au pluralisme de la presse périodique régionale et locale régie par le décret du 26 novembre 2004
susvisé ;
– l’aide aux publications nationales d’information politique et générale à faibles ressources publicitaires régie
par le décret du 15 décembre 2017 susvisé ;
– l’aide au pluralisme des titres ultramarins régie par le décret du 10 août 2021 susvisé.
Art. 8. – Les dossiers de demande de l’aide au pluralisme des services de presse tout en ligne sont présentés à
la direction générale des médias et des industries culturelles au plus tard le 30 mai de l’année d’attribution de
l’aide. A l’appui de leur demande, les services de presse tout en ligne fournissent :
1o Une déclaration sur l’honneur du directeur de la publication faisant apparaître les éventuelles condamnations
du service de presse en ligne devenues définitives au cours des cinq années précédant la demande d’aide, sur le
fondement des articles 24 ou 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 ;
2o Une déclaration faisant apparaître, le cas échéant, le prix de vente d’un abonnement annuel et le nombre
d’abonnés enregistrés pendant l’exercice précédant l’année de l’attribution de l’aide ;
3o Une déclaration faisant apparaître les différentes catégories de dépenses éditoriales réalisées pendant
l’exercice précédant celle de l’attribution de l’aide ;
4o Une déclaration de l’année de création du service de presse en ligne ;
5o Le compte de résultat et le bilan du dernier exercice clos ;
6o Les attestations délivrées par les administrations compétentes permettant de constater la régularité de la
situation de l’entreprise au regard de la législation fiscale et sociale ou, à défaut, une déclaration sur l’honneur du
dirigeant de l’entreprise.
Les entreprises éditrices bénéficiaires de l’aide fournissent à la direction générale des médias et des industries
culturelles, au plus tard le 30 mai suivant l’année d’attribution, le compte de résultat de l’exercice au titre duquel
l’aide a été attribuée.
A défaut de production du justificatif prévu à l’alinéa précédent, les charges d’exploitation seront considérées
comme nulles et le remboursement intégral de l’aide attribuée l’année précédente sera exigé.
Les documents demandés au présent article, à l’exception de ceux mentionnés au 1o et au 6o, sont certifiés par un
commissaire aux comptes ou par un professionnel inscrit au tableau de l’ordre des experts-comptables et exerçant
légalement l’expertise comptable dans les conditions prévues par l’article 114 du décret no 2012-432 du
30 mars 2012 relatif à l’exercice de l’activité d’expertise comptable.
La direction générale des médias et des industries culturelles contrôle les indications fournies par tous moyens
d’investigation. Elle peut notamment faire procéder à des vérifications sur place par des experts désignés à cet
effet. Les services de presse demandeurs habilitent tous organismes privés concourant à leur activité de presse à
fournir les renseignements éventuellement nécessaires à ces contrôles.
CHAPITRE II
DISPOSITIONS RELATIVES À L’OUTRE-MER
Art. 9. – Le présent décret est applicable à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin, à Saint-Pierre-et-Miquelon, dans
les îles Wallis et Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie et dans les conditions suivantes :
1o Le troisième alinéa de l’article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
« Le bénéfice de l’aide est subordonné à la condition que l’entreprise de presse soit à jour de ses obligations à
l’égard des organismes chargés de la gestion des services de sécurité sociale et à l’égard des administrations
chargées du recouvrement des impôts et taxes » ;
2o A l’article 8, les mots : « par l’article 114 du décret no 2012-432 du 30 mars 2012 relatif à l’exercice de
l’activité d’expertise comptable » sont remplacés par les mots : « par la réglementation locale » et les mots :
« législation fiscale et de la sécurité sociale » sont remplacés par les mots : « réglementation fiscale et sociale
applicable localement ayant le même objet ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 203
CHAPITRE III
DISPOSITIONS TRANSITOIRES ET FINALES
Art. 10. – Par dérogation aux dispositions du premier alinéa de l’article 8, la date limite de dépôt des dossiers
de demande de l’aide régie par le présent décret au titre de l’année 2021 est fixée par arrêté du ministre de la culture
dans les 30 jours suivant son entrée en vigueur.
Art. 11. – Le décret entre en vigueur à une date fixée par arrêté du ministre de la culture, et au plus tard 30
jours suivant la décision de la Commission européenne permettant de considérer l’aide instituée par le présent
décret comme conforme au droit de l’Union européenne en matière d’aides d’Etat.
Art. 12. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre des outre-mer, la ministre de la
culture et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes
publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
La ministre de la culture,
ROSELYNE BACHELOT-NARQUIN
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
BRUNO LE MAIRE
Le ministre des outre-mer,
SÉBASTIEN LECORNU
Le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des comptes publics,
OLIVIER DUSSOPT
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
1o Après le septième alinéa de l’article 10, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« La durée du mandat des membres du conseil est celle mentionnée à l’article D. 231-1 du code de la sécurité
sociale. » ;
2o Après l’article 10, il est inséré un article 10-1 ainsi rédigé :
« Art. 10-1. – I. – Le conseil de la caisse de sécurité sociale de Mayotte est composé de vingt-cinq membres,
désignés dans les conditions prévues à l’article 23 de l’ordonnance du 20 décembre 1996 susvisée. Il comprend :
« 1o Huit représentants des assurés sociaux ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : organismes agréés, médecins engagés dans le dispositif d’accréditation, établissements de
santé.
Objet : financement des organismes agréés.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret complète les modalités de financement des organismes agréés par la Haute Autorité de santé
pour l’accréditation des médecins et instaure notamment la possibilité pour ces organismes de bénéficier d’une
aide annuelle. Il rectifie en outre une erreur de codification relative au projet territorial de santé.
Références : le décret ainsi que les dispositions du code de la sécurité sociale et du code de la santé publique
qu’il modifie peuvent être consultés, dans leur rédaction résultant de cette modification, sur le site Légifrance
(https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la relance et du ministre des solidarités et de la santé,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale ;
Vu l’avis de la Caisse nationale de l’assurance maladie en date du 12 octobre 2021 ;
Vu l’avis du conseil central d’administration de la mutualité sociale agricole en date du 15 octobre 2021 ;
Vu l’avis de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 25 novembre 2021,
Décrète :
Art. 1 . – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :
er
1o A l’article D. 185-1 :
a) Au premier alinéa, la référence à l’article L. 162-4-2 est remplacée par la référence à l’article L. 162-14-2 ;
b) Aux onzième, douzième, seizième et dix-septième alinéas, les mots : « au contrat d’accès aux soins » sont
remplacés par les mots : « aux dispositifs de pratique tarifaire maîtrisée prévus par la convention nationale
mentionnée à l’article L. 162-5 ».
2o Le chapitre 5 du titre VIII du livre Ier est complété par un article D. 185-4 ainsi rédigé :
« Art. D. 185-4. – Les organismes agréés mentionnés à l’article D. 4135-5 du code de la santé publique
peuvent bénéficier, sous réserve des dispositions du dix-huitième alinéa de l’article D. 185-1, d’une aide pour
chaque médecin accrédité dont le montant maximal est fixé par arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale.
« A la demande des organismes agréés, une aide annuelle complémentaire, dont le montant maximal est fixé par
arrêté du ministre chargé de la sécurité sociale, peut leur être versée afin d’amorcer leur activité exercée en
application de l’article D. 4135-5 du code de la santé publique.
« Les aides prévues au présent article sont versées aux organismes agréés par la caisse primaire d’assurance
maladie désignée à cet effet par la Caisse nationale de l’assurance maladie. »
Art. 2. – Le chapitre IV du titre III du livre IV du code de la santé publique est ainsi modifié :
1o La section 4, intitulée : « Projet territorial de santé », devient la section 3 bis et comprend l’article D. 1434-41 ;
2o L’article D. 1434-41 devient l’article D. 1434-40-1.
Art. 3. – Le ministre de l’économie, des finances et de la relance, le ministre des solidarités et de la santé et le
ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
cancérologie Lucien-Neuwirth et le centre hospitalier régional de Saint Etienne, avec maintien de la personnalité
morale du centre hospitalier régional de Saint Etienne dont le siège est situé 25, boulevard Pasteur à Saint-Etienne.
Les droits et obligations de l’institut de cancérologie Lucien-Neuwirth ainsi que les biens meubles et immeubles
de son domaine public et privé sont transférés au centre hospitalier régional de Saint-Etienne.
Les autorisations d’activités de soins et d’équipements matériels lourds mentionnées à l’article L. 6122-1 du
code de la santé publique et les autorisations relatives aux pharmacies à usage intérieur mentionnées à
l’article L. 5126-7 du même code, ainsi que les reconnaissances contractuelles, détenues à la date d’entrée en
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 203
vigueur du présent décret par l’institut de cancérologie Lucien-Neuwirth sont transférées au centre hospitalier
régional de Saint-Etienne.
Le directeur général de l’agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes fixe les modalités de ces transferts.
Art. 2. – Pour l’application des dispositions de l’article R. 6145-35 du code de la santé publique, les opérations
de recettes et de dépenses du centre hospitalier régional de Saint-Etienne seront effectuées sur la base du cumul des
états des prévisions de recettes et de dépenses exécutoires du centre hospitalier régional de Saint-Etienne et de
l’institut de cancérologie Lucien-Neuwirth de l’exercice 2021.
Art. 3. – La convention hospitalo-universitaire en vigueur, conclue en application de l’article L. 6142-3 du
code de la santé publique, entre le centre hospitalier régional de Saint-Etienne et l’université Jean-Monnet demeure
applicable jusqu’à la signature d’une nouvelle convention, au plus tard dans un délai d’un an à compter
du 1er janvier 2022.
Art. 4. – Les dispositions du présent décret entrent en vigueur le 1er janvier 2022.
Art. 5. – Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
Le ministre des solidarités
et de la santé,
OLIVIER VÉRAN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2021-1670 du 16 décembre 2021 modifiant le décret no 2020-551 du 12 mai 2020 relatif
aux systèmes d’information mentionnés à l’article 11 de la loi no 2020-546 du 11 mai 2020
prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions et le décret no 2020-1690
du 25 décembre 2020 autorisant la création d’un traitement de données à caractère personnel
relatif aux vaccinations contre la covid-19
NOR : SSAZ2134480D
Publics concernés : personnes testées au virus de la covid-19, personnes vaccinées contre la covid-19,
professionnels et établissements de santé, agences régionales de santé et organismes d’assurance maladie.
Objet : modification des modalités relatives au système d’information national de dépistage du virus de la covid-
19 (SI-DEP) et au traitement de données à caractère relatif aux vaccinations contre la covid-19 (Vaccin Covid).
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret modifie certaines modalités relatives au système d’information national de dépistage du virus
de la covid-19 (SI-DEP) et au traitement de données à caractère relatif aux vaccinations contre la covid-19
(Vaccin Covid). Il précise que les traitements de données à caractère personnel dénommés « SI-DEP » et « Vaccin
Covid » ont également pour finalités de générer et d’envoyer aux personnes concernées un justificatif d’absence de
contamination par la covid-19, un certificat de rétablissement ou un justificatif de statut vaccinal. Il précise qu’en
cas de recours à un dispositif automatique pour renseigner les résultats des examens de dépistage virologique ou
sérologique dans le traitement de données à caractère personnel SI-DEP, les professionnels concernés doivent
s’assurer qu’il figure sur la liste arrêtée par le ministre chargé de la santé. Il permet la transmission de données
recueillies par le système d’information national de dépistage « SI-DEP » à la Caisse nationale de l’assurance
maladie en vue de leur versement dans le dossier médical partagé. Il précise que les professionnels de santé et les
personnes placées sous leur responsabilité sont rendus destinataires de données recueillies par le traitement de
données « Vaccin Covid » afin de leur permettre d’identifier les personnes qui ont été vaccinées et sont éligibles à
un rappel de vaccination, de les inviter à se faire de nouveau vacciner et de leur délivrer un justificatif de statut
vaccinal. Il prévoit les modalités nécessaires pour permettre aux employeurs des personnes exerçant leur activité
dans le secteur de la santé et médico-social et soumises à l’obligation vaccinale prévus au 1o du I de l’article 12 de
la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire d’accéder au statut vaccinal de ces
personnes. Il ajoute à la liste des données traitées dans Vaccin Covid la vaccination contre la grippe concomitante
à la vaccination contre la covid-19. Il précise enfin les durées de conservation des données à caractère personnel
enregistrées dans le traitement Vaccin Covid.
Références : le décret et les dispositions qu’il modifie peuvent être consultés sur le site Légifrance (https://www.
legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé,
Vu le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des
personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces
données, et abrogeant la directive 95/46/CE ;
Vu le code de la santé publique, notamment son article L. 1111-15 ;
Vu la loi no 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ;
Vu la loi no 2020-546 du 11 mai 2020 modifiée prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses
dispositions, notamment son article 11 ;
Vu la loi no 2021-689 du 31 mai 2021 modifiée relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire, notamment son
article 1er ;
Vu la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 modifiée relative à la gestion de la crise sanitaire, notamment ses
articles 12 et 13 ;
Vu la loi no 2021-1465 du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, notamment ses
articles 4 et 8 ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 203
Vu le décret no 2020-551 du 12 mai 2020 modifié relatif aux systèmes d’information mentionnés à l’article 11 de
la loi no 2020-546 du 11 mai 2020 prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions ;
Vu le décret no 2020-650 modifié du 29 mai 2020 relatif au traitement de données dénommé « TousAntiCovid »,
notamment son article 1er ;
Vu le décret no 2020-1690 du 25 décembre 2020 modifié autorisant la création d’un traitement de données à
caractère personnel relatif aux vaccinations contre la covid-19 ;
Vu l’avis du conseil de la Caisse nationale de l’assurance maladie en date du 23 novembre 2021 ;
Vu l’avis du conseil central d’administration de la Mutualité sociale agricole en date du 24 novembre 2021 ;
Vu les délibérations de la Commission nationale de l’informatique et des libertés en date des 2 et
9 décembre 2021 ;
Le Conseil d’Etat (section sociale) entendu,
Décrète :
Art. 1er. – Le décret du 12 mai 2020 susvisé est ainsi modifié :
1o L’article 8 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Il a également pour finalités de générer et d’envoyer aux personnes concernées un justificatif d’absence de
contamination par la covid-19 ou un certificat de rétablissement pouvant être présenté pour satisfaire aux
obligations mentionnées au II de l’article 1er de la loi no 2021-689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie
de crise sanitaire et aux articles 12 et 13 de la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise
sanitaire. » ;
2o A l’article 9 :
a) Au 4o, après les mots : « numéro RPPS », sont insérés les mots : « ou numéro ADELI » ;
b) Le dernier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :
« Un QR-code ne comportant aucune information permettant d’identifier la personne concernée est généré
aléatoirement et apposé sur le résultat positif d’un examen de dépistage virologique au virus de la covid-19. Il est
envoyé à la personne ayant effectué l’examen de dépistage pour lui permettre de signaler ce résultat positif dans
l’application mobile mentionnée à l’article 1er du décret no 2020-650 du 29 mai 2020 relatif au traitement de
données dénommé “TousAntiCovid”, afin d’informer les contacts à risque de contamination mentionnés au 1o et au
5o du II du même article.
« Un QR-code valant justificatif d’absence de contamination par la covid-19 ou certificat de rétablissement,
pouvant être présenté pour satisfaire aux obligations mentionnées au II de l’article 1er de la loi susmentionnée du
31 mai 2021 et aux articles 12 et 13 de la loi susmentionnée du 5 août 2021, et un QR-code permettant l’import de
ce justificatif ou certificat dans l’application mobile susmentionnée, sont apposés sur ce résultat. Ces QR-codes
contiennent les données suivantes : noms, prénoms et date de naissance de la personne concernée, et informations
relatives à l’examen de dépistage. » ;
3o A l’article 10 :
a) Le I est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« En cas de recours à un dispositif automatique pour renseigner les résultats des examens de dépistage
virologique ou sérologique dans le traitement autorisé par l’article 8, les professionnels mentionnés au premier
alinéa s’assurent que ce dispositif figure sur la liste publiée en application du deuxième alinéa du III de l’article 11
de la loi du 11 mai 2020 susvisée. » ;
b) Au II :
– au 1o, après les mots : « Les médecins », sont insérés les mots : « traitants et les professionnels de santé
prescripteurs » ;
– il est ajouté un 5o ainsi rédigé :
« 5o La Caisse nationale de l’assurance maladie, pour les catégories de données mentionnées aux 1o, 5o et 6o de
l’article 9 transmises par les professionnels de santé en vue de leur versement dans le dossier médical partagé de la
personne concernée. » ;
4o Au premier alinéa du II de l’article 11, les mots : « susvisée susvisée » sont remplacés par le mot :
« susvisée ».
Art. 2. – Le décret du 25 décembre 2020 susvisé est ainsi modifié :
1o Au II de l’article 1er :
a) Le 3o est complété par les mots : « , et la délivrance du justificatif de statut vaccinal pouvant être présenté pour
satisfaire aux obligations mentionnées au II de l’article 1er de la loi no 2021-689 du 31 mai 2021 relative à la gestion
de la sortie de crise sanitaire et aux articles 12 et 13 de la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la
crise sanitaire » ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2021-1671 du 16 décembre 2021 modifiant le décret no 2021-699 du 1er juin 2021
prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire
NOR : SSAZ2137921D
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé,
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3131-15 et L. 3131-17 ;
Vu la loi no 2021-689 du 31 mai 2021 modifiée relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire ;
Vu la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 modifiée relative à la gestion de la crise sanitaire ;
Vu le décret no 2021-699 du 1er juin 2021 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la
sortie de crise sanitaire,
Décrète :
Art. 1 . – Le décret du 1er juin 2021 susvisé est ainsi modifié :
er
TEXTES GÉNÉRAUX
liste prévue à l’article L. 5126-6 du code de la santé publique qui figurent en annexe sont prises en charge par
l’assurance maladie conformément à l’article L. 162-17, deuxième alinéa, du code de la sécurité sociale. Cette
annexe précise les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement des
spécialités et à la suppression de la participation de l’assuré en application de l’article R. 160-8 susvisé.
Art. 2. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait le 30 novembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
ANNEXE
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste mentionnée à l’article L. 162-17, deuxième
alinéa, du code de la sécurité sociale.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour les spécialités visées ci-dessous :
– traitement de l’infection par le VIH-1, en association avec le cabotégravir, uniquement chez les adultes
virologiquement contrôlés (charge virale <50 copies/ml) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins
6 mois, ayant plus de 200 CD4/mm3, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent
d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
(INNTI) et des inhibiteurs d’intégrase (INI).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 203
34008 900 097 8 2 REKAMBYS 900MG INJ FL3ML +N VIIV HEALTHCARE SAS
34008 900 098 0 5 VOCABRIA 600MG INJ FL3ML +N VIIV HEALTHCARE SAS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : SSAS2133737A
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux prévue au premier alinéa
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait le 6 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 203
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
ANNEXE
(3 inscriptions)
1. Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux la spécialité suivante, pour
laquelle la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour la spécialité visée ci-dessous :
– traitement de l’infection par le VIH-1, en association avec le cabotégravir, uniquement chez les adultes
virologiquement contrôlés (charge virale <50 copies/mL) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins
6 mois, ayant plus de 200 CD4/mm3, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent
d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
(INNTI) et des inhibiteurs d’intégrase (INI).
Code CIP Présentation
34009 302 198 7 4 REKAMBYS 900 mg (rilpivirine), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (300 mg/ml) en flacon (verre) +
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
2. Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes, pour
lesquelles la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour les spécialités visées ci-dessous :
– traitement de l’infection par le VIH-1, en association avec la rilpivirine, uniquement chez les adultes
virologiquement contrôlés (charge virale <50 copies/mL) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins
6 mois, ayant plus de 200 CD4/mm3, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent
d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
(INNTI) et des inhibiteurs d’intégrase (INI).
Code CIP Présentation
34009 302 198 9 8 VOCABRIA 30 mg (cabotégravir), comprimés pelliculés en flacon (PEHD) (B/30) (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
34009 302 199 0 4 VOCABRIA 600 mg (cabotégravir), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (200 mg/ml) en flacon (verre) +
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(3 inscriptions)
1. La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous :
– traitement de l’infection par le VIH-1, en association avec le cabotégravir, uniquement chez les adultes
virologiquement contrôlés (charge virale <50 copies/mL) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins
6 mois, ayant plus de 200 CD4/mm3, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent
d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
(INNTI) et des inhibiteurs d’intégrase (INI).
Code CIP Présentation
34009 302 198 7 4 REKAMBYS 900 mg (rilpivirine), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (300 mg/ml) en flacon (verre) +
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
2. Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour les
spécialités visées ci-dessous :
– traitement de l’infection par le VIH-1, en association avec la rilpivirine, uniquement chez les adultes
virologiquement contrôlés (charge virale <50 copies/mL) sous traitement antirétroviral stable depuis au moins
6 mois, ayant plus de 200 CD4/mm3, sans preuve de résistance actuelle ou antérieure et sans antécédent
d’échec virologique aux agents de la classe des inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
(INNTI) et des inhibiteurs d’intégrase (INI).
Code CIP Présentation
34009 302 198 9 8 VOCABRIA 30 mg (cabotégravir), comprimés pelliculés en flacon (PEHD) (B/30) (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
34009 302 199 0 4 VOCABRIA 600 mg (cabotégravir), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (200 mg/ml) en flacon (verre) +
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(2 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
L’indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour les spécialités
visées ci-dessous :
– prévention de la dengue due aux sérotypes 1, 2, 3 et 4 du virus de la dengue chez les sujets âgés de 9 à 45 ans
ayant un antécédent d’infection par le virus de la dengue et vivant dans des zones d’endémie uniquement dans
les populations recommandées par la Haute Autorité de santé (HAS) en 2019 et aux posologies de
l’autorisation de mise sur le marché.
Les populations recommandées dans l’avis de la HAS de 2019 sont les sujets vivants dans les territoires français
d’Amérique (Antilles et Guyane) et apportant la preuve documentée d’une infection antérieure par le virus de la
dengue virologiquement confirmée.
Code CIP Présentation
34009 301 986 4 3 DENGVAXIA (vaccin dengue quadrivalent vivant, atténué), poudre et solvant pour suspension injectable en seringue préremplie,
poudre : flacon (verre) ; solvant : seringue préremplie (verre), poudre : 1 dose ; solvant : 0,5 ml, boîte de 1 flacon + 1 seringue
préremplie (laboratoires SANOFI PASTEUR EUROPE)
34009 301 985 9 9 DENGVAXIA (vaccin dengue quadrivalent vivant, atténué), poudre et solvant pour suspension injectable en seringue préremplie,
poudre : flacon (verre) ; solvant : seringue préremplie (verre), poudre : 1 dose ; solvant : 0,5 ml, boîte de 1 flacon + 1 seringue
préremplie + 2 aiguilles (laboratoires SANOFI PASTEUR EUROPE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
de compétence de mandataire judiciaire à la protection des majeurs et de délégué aux prestations familiales est
modifié ainsi qu’il suit :
1o Au premier alinéa de l’article 13, après la phrase : « Une nouvelle demande doit être formulée, au plus tard
trois mois avant la fin de la période de validité, selon les modalités fixées à l’article 11. » sont ajoutées les phrases :
« Les établissements de formation qui, à la date du 31 décembre 2021, bénéficient d’une autorisation de dispenser
et de délivrer le certificat national de compétence de mandataire judiciaire à la protection des majeurs sont
dispensés de déposer une nouvelle demande. Leur agrément est prolongé jusqu’au 31 décembre 2023. »
Art. 2. – Après l’annexe IV de l’arrêté du 2 janvier 2009 susvisé, sont insérés les documents portés en annexe
du présent arrêté.
Art. 3. – La directrice générale de la cohésion sociale est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur des professions sociales,
de l’emploi et des territoires,
J.-R. JOURDAN
ANNEXES
ANNEXE V
RÉFÉRENTIEL D’ACTIVITÉS DU MANDATAIRE JUDICIAIRE À LA PROTECTION DES MAJEURS
FONCTIONS ACTIVITES
Le mandataire judiciaire à la protection des majeurs
Assure l’épanouissement du majeur notamment en favorisant son autonomie : découvre le projet de vie de la personne et
assiste ou supplée celle-ci dans l’accomplissement des actes relatifs à ce projet, favorise son l’intégration familiale, sociale,
FONCTION 2 professionnelle.
Protection de la personne
Assure le respect des droits fondamentaux de la personne : respect du corps humain, de la vie privée, au logement, au travail,
liberté d’aller et venir. En matière de santé, l’action du délégué vise à permettre l’accès aux soins, veiller au suivi médical.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 203
ACTIVITES
FONCTIONS Le mandataire judiciaire à la protection des majeurs
Assure la satisfaction des besoins quotidiens fondamentaux : besoins en nourriture et en vêtements, résout les problèmes
concret liés au maintien à domicile en coordonnant l’action d’intervenants spécialisés
Informe la personne sur sa situation personnelle, les actes concernés, leur utilité, leur degré d’urgence, leurs conséquences et
les conséquences d’un refus.
Rend compte ou alerte le juge des tutelles sur la situation du majeur protégé.
-Sollicite lorsque la situation l’exige l’avis du juge des tutelle, demande les autorisations nécessaires et sollicite les évolutions
de la mesure.
Apporte une aide à la personne en favorisant ses propres ressources et celles de son environnement (famille, milieu de
travail, etc…)
Forme, conseille la personne sur la gestion budgétaire et lui permet progressivement de veiller seule à la conservation de ses
intérêts
Construit avec la personne un budget prévisionnel tenant compte de l’ensemble de ses ressources, de ses projets et des
contraintes budgétaires.
FONCTION 4 Co-construite un plan d’action avec la personne en coordonnant les différentes démarches, en tenant compte de ses
Intervention socio-budgétaire ressources, de son environnement et du mandat judiciaire.
Recherche et mobilise les moyens, coordonne, articule le travail d’accompagnement en lien avec différents acteurs
Rédige des écrits professionnels, organise, classe, transmettre dans le respect du droit et de la réglementation en vigueur,
rend compte au juge des tutelles
Actualise ses connaissances et développe des compétences dans le cadre de la formation continue
Participe à des instances de concertation, de décision et de planification en matière d’hébergement, de logement, d’insertion
sociale et professionnelle, de santé et de lutte contre les exclusions et de toute problématique concernant le champ social
FONCTION 6
Travail en réseau Etablit des relations et met en relation l’ensemble des intervenants de l’environnement des groupes sociaux
Coordonne des travaux avec les institutions et les professionnels et/ou contribue à un diagnostic partagé avec les partenaires
ANNEXE VI
RÉFÉRENTIEL DE COMPÉTENCES DU MANDATAIRE JUDICIAIRE À LA PROTECTION DES MAJEURS
COMPETENCES Critères d’évaluation
connaître et comprendre les termes et les dispositifs juridiques d’une ordonnance et/ou d’un jugement
comprendre les termes d’un certificat médical portant sur l’altération des facultés et repérer les éléments à
l’origine de l’incapacité
savoir identifier les éléments essentiels à l’appréciation d’une situation et dégager les éléments à approfondir
2 Recueillir et analyser les informations
contenues dans le dossier au tribunal
savoir lire et comprendre une expertise médicale, une enquête sociale, un rapport de situation
savoir réaliser une première évaluation de la situation et en dégager les premiers axes du projet d’intervention
savoir utiliser la médiation avec les proches et/ou les professionnels, favorisant la confiance de la personne
3 Etablir une relation avec la personne savoir adapter son attitude et ses pratiques à la personne, tout en encourageant son autonomie et sa
protégée participation
connaître les différentes pathologies, notamment mentales, conduisant les personnes à des situations de
Evaluer les capacités et les limites d’auto protection juridique
4
nomie de la personne
savoir identifier le potentiel de la personne protégée
être capable d’appréhender les différentes composantes d’une situation individuelle : personnelle, familiale,
administrative, financière, fiscale, patrimoniale, juridique
Réaliser une évaluation complète de la savoir où et comment recueillir les informations nécessaires à cette évaluation
5
situation de la personne protégée
savoir identifier et prendre en compte les modes de vie et les souhaits de la personne
savoir réaliser un bilan d’ouverture de la mesure comprenant une évaluation de la situation et du contexte
Etablir un projet d’intervention dans le savoir adapter le projet d’intervention à la situation de la personne, en valorisant son potentiel, et au mandat
cadre du mandat judiciaire, en tenant judiciaire
6 compte des habitudes de vie, du projet et
des choix de la personne savoir identifier les actions à mettre en œuvre en rapport avec l’évaluation de la situation
savoir déterminer les priorités et décider les actions à mener, y compris en urgence
comprendre le langage des différents champs d’action et repérer les procédures qui s’y rapportent
Rechercher l’existence d’actions juridiques savoir identifier et solliciter le bon interlocuteur ou le bon service
ou administratives en cours, d’interven
7 tions médicales ou médico-sociales et savoir rédiger et argumenter des courriers administratifs
conduire les actions correspondantes
avoir des connaissances appropriées aux différents domaines d’intervention du mandataire judiciaire :
administratif, juridique, médical, social, bancaire…
10 conduire l’action et en assurer le suivi savoir s’organiser dans son travail et planifier son temps
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 203
Traiter et organiser les documents et informations recueillis, prendre en compte les nouveaux éléments et les
évolutions de la situation de la personne
mettre en œuvre des procédures de suivi et savoir retranscrire avec rigueur les décisions prises et les actions
menées dans le cadre de la mesure de protection
Informer la personne et lui expliquer les savoir adapter le niveau d’information en fonction de la situation de la personne
11 actions menées, leur utilité, leur degré
d’urgence, leurs résultats ou effets
Respecter la parole et assurer le recueil de connaître les obligations professionnelles du mandataire judiciaire
12 l’expression de la volonté de la personne
protégée
connaître les institutions publiques, l’organisation de l’action sociale, les organismes de sécurité sociale et leurs
prestations, les acteurs sociaux et médico-sociaux
13 Assurer la gestion administrative
savoir vérifier l’ouverture ou le maintien des droits sociaux et de protection sociale
connaître et prendre en compte les éléments liés au lieu de vie : assurances, bail, situation au regard du
règlement du loyer et des charges, conditions d’habitabilité (prévention ou lutte contre habitat indigne ou
Veiller aux conditions de vie et à la insalubre), protection et entretien du domicile, pose des scellés…
14 préservation du logement, dans le respect
du choix du lieu de résidence de la savoir identifier les difficultés liées au maintien à domicile et mobiliser les intervenants extérieurs
personne
connaître les différentes institutions et structures pouvant contribuer au maintien à domicile
disposer de connaissances juridiques relatives aux libertés individuelles et aux régimes de protection : respect
Veiller au respect des droits fondamentaux du corps humain, de la vie privée, liberté d’aller et venir, droit au logement, au travail, droit à l’image,…
15 et à la garantie des libertés individuelles de
la personne connaître la réglementation, les mécanismes et dispositifs en matière de protection de la personne (notamment
les dispositions du CSP et du CASF)
Veiller aux besoins fondamentaux dans la savoir identifier le danger ou le risque et déterminer les dispositions à prendre
16 vie quotidienne et s’assurer de la coordi
nation des intervenants spécialisés connaître les dispositifs d’aide légale et les réseaux de proximité des intervenants spécialisés et savoir les activer
connaître la législation correspondante en matière de protection des personnes (notamment : filiation, autorité
parentale, mariage, PACS, donation, succession, etc.)
Accompagner la personne pour la réalisa connaître la place du mandataire judiciaire dans ces actes
17 tion des actes et démarches à caractère
personnel informer, accompagner, conseiller la personne sur ses droits et devoirs et sur les conséquences de ces actes,
savoir l’orienter sur l’interlocuteur adéquat
Analyser l’évolution de la situation du Connaître et savoir mettre en œuvre les dispositions législatives relatives à l’hospitalisation à la demande d’un
majeur protégé au cours de l’exercice de la tiers (HDT)
19
mesure et saisir ou alerter le juge des
tutelles lorsque cela est connaître les modalités d’information ou d’autorisation préalables à solliciter auprès du juge des tutelles
savoir établir un budget en prenant en compte tous les éléments correspondants à la situation de la personne :
ressources, charges, dettes, pensions alimentaires, EDF, téléphone, etc.
20 Evaluer et actualiser la situation budgétaire
savoir actualiser et réajuster les éléments du budget et les actions correspondantes en fonction de l’évolution de
la situation de la personne
être capable de solliciter un expert financier, patrimonial ou fiscal, de comprendre les offres disponibles et
d’effectuer un choix conforme aux intérêts de la personne
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 203
percevoir les ressources, recouvrer les créances et régler les dettes de la personne
savoir négocier un budget avec la personne, en tenant compte de ses contraintes, de ses moyens, de ses
habitudes de vie et de ses souhaits
Assurer une gestion budgétaire, financière savoir analyser les créances et connaître les voies d’exécution ainsi que les délais de forclusion
22 et fiscale adaptée en veillant aux intérêts
de la personne connaître et respecter les obligations et les échéances financières et fiscales
savoir faire procéder à la liquidation des allocations, pensions, retraites, etc. si nécessaire
Savoir apporter ou rechercher, dans le respect du mandat tutélaire, un appui spécifique auprès des
interlocuteurs notamment dans les champs éducatif, social ou médico-social
établir des relations avec les différents intervenants auprès de la personne protégée et les mettre en relation,
selon les besoins
Participer à la coordination avec les ins savoir identifier les instances de concertation et de décision pertinentes
26 titutions et les professionnels, dans l’inté
rêt de la personne savoir relayer la volonté de la personne pour toute prise de décision la concernant
27 s’inscrire dans une pluridisciplinarité s’inscrire dans une réflexion collective et/ou pluridisciplinaire
interne et/ou externe
savoir situer son action dans le cadre des missions et de l’organisation de l’institution
savoir mettre en place et/ou proposer des conventions ou protocoles avec des partenaires institutionnels
Assurer une veille documentaire et en savoir se tenir informer de l’évolution des textes législatifs relatifs aux droits des personnes, à la fiscalité, etc.
appliquer les répercussions dans la réali
28
sation du mandat judiciaire savoir mettre en œuvre une méthode efficace d’organisation et de classement des informations et des
documents
31 Contribuer à la professionnalisation des savoir transmettre son expérience et son savoir-faire aux jeunes professionnels et aux stagiaires en formation
stagiaires en formation
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 9 décembre 2021 fixant le modèle de présentation du tableau prévisionnel des effectifs
rémunérés des établissements publics de santé et des établissements de santé privés
mentionnés aux b et c de l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale
NOR : SSAH2137157A
ANNEXE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait le 13 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
ANNEXE
(46 inscriptions)
I. – Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes, pour
lesquelles la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date de publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 301 822 1 5 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL ZYDUS 200 mg/245 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/30) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 302 000 0 1 SUNITINIB BIOGARAN 12,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 000 4 9 SUNITINIB BIOGARAN 25 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 203
34009 302 000 7 0 SUNITINIB BIOGARAN 37,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 001 0 0 SUNITINIB BIOGARAN 50 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 342 7 3 SUNITINIB KRKA 12,5 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA
FRANCE)
34009 302 342 8 0 SUNITINIB KRKA 25 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
34009 302 342 9 7 SUNITINIB KRKA 50 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
II. – Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date de publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 346 3 1 ARIPIPRAZOLE ALMUS 10 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 302 346 4 8 ARIPIPRAZOLE ALMUS 15 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 302 346 2 4 ARIPIPRAZOLE ALMUS 5 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 301 008 4 4 BIMATOPROST SANDOZ 0,1 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 252 5 7 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 252 7 1 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 321 8 7 DEFERASIROX ARROW 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 322 1 7 DEFERASIROX ARROW 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 321 6 3 DEFERASIROX ARROW 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 011 2 1 DEFERASIROX EG 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 4 5 DEFERASIROX EG 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 0 7 DEFERASIROX EG 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 265 3 7 DEFERASIROX SANDOZ 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 265 5 1 DEFERASIROX SANDOZ 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 265 1 3 DEFERASIROX SANDOZ 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 086 0 1 DEFERASIROX ZENTIVA 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 086 2 5 DEFERASIROX ZENTIVA 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 085 7 1 DEFERASIROX ZENTIVA 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 392 6 1 MACROGOL 4000 ZENTIVA 4 g, poudre pour solution buvable en sachet (B/20) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 377 8 6 MONTELUKAST ARROW LAB 4 mg, granulés en sachet-dose (B/28) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 366 4 2 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 7 1 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 3 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 6 4 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 6 6 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 9 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 5 9 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 8 8 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 376 2 5 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 2 g/250 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 203
34009 302 376 6 3 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 4 g/500 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 301 864 0 4 PROPAFENONE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculés sécables (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
III. – Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour la spécialité visée ci-dessous :
– réduction de la pression intraoculaire (PIO) élevée chez les patients atteints de glaucome à angle ouvert ou
d’hypertension oculaire chez qui la réponse aux bêta-bloquants topiques, ou aux analogues des
prostaglandines est insuffisante.
Code CIP Présentation
34009 301 076 8 3 BIMATOPROST/TIMOLOL MYLAN 0,3 mg/ml+ 5 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires MYLAN SAS)
IV. – Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous :
– hypercholestérolémie primaire ;
– hypercholestérolémie familiale homozygote ;
– prévention des événements cardiovasculaires uniquement chez les patients présentant une maladie coronaire
avec un antécédent récent (< 10 jours)16 de SCA et qui ne sont pas contrôlés malgré un traitement en cours
par statine à dose maximale tolérée.
Code CIP Présentation
34009 302 389 0 5 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 389 4 3 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
V. – Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous :
– traitement symptomatique de l’incontinence urinaire par impériosité et/ou de la pollakiurie et de l’impériosité
urinaire chez les patients adultes avec hyperactivité vésicale.
Code CIP Présentation
34009 302 275 9 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 4 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 276 2 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 8 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
VI. – Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous :
– chez l’adulte, dans le traitement des douleurs neuropathiques périphériques et centrales ;
– chez l’adulte, en association, dans le traitement des crises épileptiques partielles avec ou sans généralisation
secondaire.
Code CIP Présentation
34009 302 384 7 9 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/56) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 384 8 6 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/84) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(46 inscriptions)
I. – Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 301 822 1 5 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL ZYDUS 200 mg/245 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/30) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 302 000 0 1 SUNITINIB BIOGARAN 12,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 000 4 9 SUNITINIB BIOGARAN 25 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 000 7 0 SUNITINIB BIOGARAN 37,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 203
34009 302 001 0 0 SUNITINIB BIOGARAN 50 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 342 7 3 SUNITINIB KRKA 12,5 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA
FRANCE)
34009 302 342 8 0 SUNITINIB KRKA 25 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
34009 302 342 9 7 SUNITINIB KRKA 50 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Aluminium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
II. – Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 346 3 1 ARIPIPRAZOLE ALMUS 10 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 302 346 4 8 ARIPIPRAZOLE ALMUS 15 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 302 346 2 4 ARIPIPRAZOLE ALMUS 5 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 301 008 4 4 BIMATOPROST SANDOZ 0,1 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 252 5 7 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 252 7 1 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 321 8 7 DEFERASIROX ARROW 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 322 1 7 DEFERASIROX ARROW 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 321 6 3 DEFERASIROX ARROW 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 011 2 1 DEFERASIROX EG 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 4 5 DEFERASIROX EG 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 0 7 DEFERASIROX EG 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 265 3 7 DEFERASIROX SANDOZ 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 265 5 1 DEFERASIROX SANDOZ 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 265 1 3 DEFERASIROX SANDOZ 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 302 086 0 1 DEFERASIROX ZENTIVA 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 086 2 5 DEFERASIROX ZENTIVA 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 085 7 1 DEFERASIROX ZENTIVA 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 392 6 1 MACROGOL 4000 ZENTIVA 4 g, poudre pour solution buvable en sachet (B/20) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 377 8 6 MONTELUKAST ARROW LAB 4 mg, granulés en sachet-dose (B/28) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 366 4 2 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 7 1 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 3 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 6 4 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 6 6 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 9 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 5 9 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 8 8 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 376 2 5 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 2 g/250 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 203
34009 302 376 6 3 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 4 g/500 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 301 864 0 4 PROPAFENONE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculés sécables (B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
III. – La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous :
– réduction de la pression intraoculaire (PIO) élevée chez les patients atteints de glaucome à angle ouvert ou
d’hypertension oculaire chez qui la réponse aux bêta-bloquants topiques, ou aux analogues des
prostaglandines est insuffisante.
Code CIP Présentation
34009 301 076 8 3 BIMATOPROST/TIMOLOL MYLAN 0,3 mg/ml+ 5 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires MYLAN SAS)
IV. – Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
– hypercholestérolémie primaire ;
– hypercholestérolémie familiale homozygote ;
– prévention des événements cardiovasculaires uniquement chez les patients présentant une maladie coronaire
avec un antécédent récent (< 10 jours) 16 de SCA et qui ne sont pas contrôlés malgré un traitement en cours
par statine à dose maximale tolérée.
Code CIP Présentation
34009 302 389 0 5 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 389 4 3 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
V. – Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
– traitement symptomatique de l’incontinence urinaire par impériosité et/ou de la pollakiurie et de l’impériosité
urinaire chez les patients adultes avec hyperactivité vésicale.
Code CIP Présentation
34009 302 275 9 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 4 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 276 2 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 8 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
VI. – Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
– chez l’adulte, dans le traitement des douleurs neuropathiques périphériques et centrales ;
– chez l’adulte, en association, dans le traitement des crises épileptiques partielles avec ou sans généralisation
secondaire.
Code CIP Présentation
34009 302 384 7 9 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/56) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 384 8 6 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/84) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXES
ANNEXE I
FORMULAIRE D’INSCRIPTION
Profession :
Spécialité :
Etat civil
M. Mme Mlle :
Nom de famille :
Nom d’usage :
Prénoms :
Date de naissance :
Ville :
Pays :
Nationalité :
Coordonnées :
Adresse personnelle :
Ville :
Code postal :
Pays :
Téléphone :
Portable :
Mél :
Diplômes de spécialisation
Pays Intitulé Date Université
ANNEXE II
FORMULAIRE D’ENGAGEMENT D’ACCUEIL
Je soussigné(e) M./Mme. .........................................................................................................................................
En qualité de ............................................................................................................................................................
De l’établissement ....................................................................................................................................................
M’engage à accueillir M. /Mme. .............................................................................................................................
Né(e) le __/__/_____ à ............................................................................................................................................
Au sein du service de ..............................................................................................................................................
selon les dispositions des articles 6 et 13 du décret no 2020-762 du 3 juin 2020 portant application de l’article 70 de
la loi no 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé et relatif à
l’exercice des professions de médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme et pharmacien par des personnes ne
remplissant pas les conditions de nationalité ou de diplôme normalement applicables et aux pharmacies à usage
intérieur pour une durée de ........................................................ en qualité de .........................................................
Fait à ................................................................................ , le .................................................................................
Signature :
Signature du candidat :
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 203
ANNEXE
(3 inscriptions)
Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour les
spécialités visées ci-dessous :
Sédation en soins palliatifs :
– sédation proportionnée ;
– sédation profonde et continue.
Il convient de tenir compte des dispositions légales et des recommandations officielles sur l’utilisation
appropriée du midazolam en soins palliatifs.
Code CIP Présentation
34009 302 331 7 7 MIDAZOLAM ACCORD 1mg/ml, solution injectable, 5 ml en ampoule (verre de type I) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE
FRANCE SAS)
34009 302 332 0 7 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable,10 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE
SAS)
34009 302 331 8 4 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 1 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : SSAS2136557A
Arrêtent :
Art. 1 . – La liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics
er
ANNEXE
PREMIÈRE PARTIE
(3 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 203
34009 302 331 7 7 MIDAZOLAM ACCORD 1mg/ml, solution injectable, 5 ml en ampoule (verre de type I) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE
FRANCE SAS)
34009 302 332 0 7 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable,10 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE
SAS)
34009 302 331 8 4 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 1 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
DEUXIÈME PARTIE
(Extension d’indication)
La prise en charge des spécialités ci-dessous est étendue à l’indication suivante :
Sédation en soins palliatifs :
– sédation proportionnée ;
– sédation profonde et continue.
Il convient de tenir compte des dispositions légales et des recommandations officielles sur l’utilisation
appropriée du midazolam en soins palliatifs.
Code CIP Présentation
34009 573 664 5 2 MIDAZOLAM ACCORD 1mg/ml, solution injectable, 5 ml en ampoule (verre de type I), (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE
FRANCE SAS)
34009 573 667 4 2 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 10 ml en ampoule (verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 573 665 1 3 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 1 ml en ampoule (verre) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription des solutions stériles pour
usage ophtalmique OPTIVE et OPTIVE FUSION des Laboratoires ALLERGAN France inscrites au
titre I de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de
la sécurité sociale
NOR : SSAS2136567A
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription des solutions pour usage
ophtalmique topique HYLOVIS et HYLOVIS MULTI de la société TRB CHEMEDICA inscrites au
titre I de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de
la sécurité sociale
NOR : SSAS2136569A
dans la rubrique « Solution stérile pour traitement symptomatique de la sécheresse oculaire avec kératite ou kérato-
conjonctivite sèche », dans la rubrique « Société TRB CHEMEDICA (TRB) », la nomenclature des codes
1146190, 1119750 et 1130124 est remplacée comme suit :
CODE NOMENCLATURE
1146190 Solution hyaluronate sodium 0,18 %, TRB, HYLOVIS, boîte de 20 unidoses 0,3ml.
Solution stérile de hyaluronate de sodium à 0,18 %, HYLOVIS en boîte de 20 unidoses de 0,3 ml de la société TRB CHEMEDICA.
Après ouverture d’une unidose, HYLOVIS doit être jeté (utilisation unique).
L’utilisation de HYLOVIS n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge : 15 mars 2026.
1119750 Solution hyaluronate sodium 0,18 %, TRB, HYLOVIS MULTI, flacon 10 ml, B/1.
Solution stérile (sans conservateur) de hyaluronate de sodium à 0,18%, HYLOVIS, boîte d’un flacon multidoses de 10 ml de la société TRB
CHEMEDICA.
Après ouverture du flacon, HYLOVIS MULTI (flacon de 10 ml) peut être utilisé pendant 3 mois.
L’utilisation de HYLOVIS MULTI n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge : 15 mars 2026.
1130124 Solution hyaluronate sodium 0,18 %, TRB, HYLOVIS MULTI, flacon 15 ml, B/1.
Solution stérile (sans conservateur) de hyaluronate de sodium à 0,18 %, HYLOVIS, boîte d’un flacon multidoses de 15 ml de la société TRB
CHEMEDICA.
Après ouverture du flacon de 15 ml, HYLOVIS MULTI peut être utilisé pendant 6 mois.
L’utilisation de HYLOVIS MULTI n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge : 15 mars 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 203
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription des solutions pour usage
ophtalmique topique VISMED et VISMED MULTI de la société HORUS PHARMA inscrites au
titre I de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de
la sécurité sociale
NOR : SSAS2136570A
dans la rubrique « Solution stérile pour traitement symptomatique de la sécheresse oculaire avec kératite ou kérato-
conjonctivite sèche », dans la rubrique « Société HORUS PHARMA (Horus) », la nomenclature des codes
1163922, 1132471 et 1130160 est remplacée comme suit :
CODE NOMENCLATURE
1163922 Solution hyaluronate sodium 0,18%, Horus, VISMED, boîte de 20 unidoses 0,3ml
Solution stérile de hyaluronate de sodium à 0,18%, VISMED en boîte de 20 unidoses de 0,3 ml de la société Horus Pharma.
Après ouverture d’une unidose, VISMED doit être jeté (utilisation unique).
L’utilisation de VISMED n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge 15 mars 2026.
1132471 Solution hyaluronate sodium 0,18%, Horus, VISMED MULTI, flacon 10 ml, B/1.
Solution stérile (sans conservateur) de hyaluronate de sodium à 0,18%, VISMED, boîte d’un flacon multidoses de 10 ml de la société
Horus Pharma.
Après ouverture du flacon, VISMED MULTI (flacon de 10 mL) peut être utilisé pendant 3 mois.
L’utilisation de VISMED MULTI n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge : 15 mars 2026.
1130160 Solution hyaluronate sodium 0,18%, Horus, VISMED MULTI, flacon 15 ml, B/1.
Solution stérile (sans conservateur) de hyaluronate de sodium à 0,18%, VISMED, boîte d’un flacon multidoses de 15 ml de la société
Horus Pharma.
Après ouverture du flacon de 15 ml, VISMED MULTI peut être utilisé pendant 6 mois.
L’utilisation de VISMED MULTI n’est pas indiquée chez des patients porteurs de lentilles de contact.
Date de fin de prise en charge : 15 mars 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice de la politique Le sous-directeur
des produits de santé et de la qualité du financement
des pratiques et des soins, du système de soins,
H. MONASSE N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 203
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2021 portant modification des conditions d’inscription des prothèses
mammaires externes en silicone inscrites au titre II de la liste des produits et prestations
remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
NOR : SSAS2137627A
mammaires externes », la nomenclature du paragraphe « Prothèse mammaire externe en silicone » est modifiée
comme suit :
CODE NOMENCLATURE
2462673 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, AMOENA, prestation d’appareillage Prestation d’appareillage d’une prothèse mammaire externe en
silicone de la société AMOENA.
La prise en charge est uniquement assurée pour une prestation d’appareillage, c’est-à-dire primo-appareillage et renouvellement d’appareillage,
d’une prothèse mammaire externe en silicone, standard ou technique inscrite à la LPP, et relève des modalités de formation et de délivrance
précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge est liée à la facturation concomitante d’une prothèse mammaire externe de la société AMOENA (codes LPPR : 2464376, 2461679,
2483445, 2486917)
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2464376 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, modèle standard, AMOENA
Modèles standards de prothèse mammaire externe en silicone, de la marque AMOENA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone standards de la marque AMOENA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
Le renouvellement de la prise en charge n’intervient qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription
après l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– ESSENTIAL [modèles 1S (réf. 630), 2S (réf. 440), 2E (réf. 474) et 3S (réf. 363)] : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone
monocomposant, masse volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire
– ESSENTIAL LIGHT [modèles 2S (réf. 442) : 2S Tawny (réf. 442T), 3S (réf. 367), 3E (réf. 556), PME silicone standard, totale, symétrique (modèles 2S
,3S) ou asymétrique (modèle 3E), composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne
silicone lisse, coloris chair claire (modèles 2S, 3S et 3E) ou foncée (modèle 2S Tawny, 442T.
– 1Sn 314 : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée allégée, non
adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair clair et foncé (tawny, 314T)
– AMOENA BALANCE ESSENTIAL :
– réf TO 228 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire
– réf MD 223 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ou coloris foncé (tawny, 223T)
– réf VD 225 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire
– réf SE 232 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire
– réf TD 218 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair clair ;
– AMOENA BALANCE ESSENTIAL LIGHT :
– VD 224 : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumétrique compensée allégée, non
adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ou coloris foncé (tawny,224T)
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
CODE NOMENCLATURE
2461679 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, non adhérente, AMOENA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone non adhérente, de la marque AMOENA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente de la marque AMOENA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge ne peut être renouvelée qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription après
l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– NATURA [modèles 1S (réf. 396), 2S (réf. 398), 2A (réf. 393), 2U (réf. 394), 3S (réf. 395) et 3E (réf. 397)] : PME silicone technique, totale, symétrique
(modèles 1S, 2S, 3S) ou asymétrique (modèles 2A,2U et 3E), composition silicone multicomposant, masse volumique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse (modèles 1S et 3E) ou silicone et gel fluide (2S, 2A, 2U, 3S), coloris chair claire ;
– NATURA COSMETIC [modèles 2S (réf. 320), 2SN (réf. 323), 3S (réf. 321) et 3E (réf. 322)] : PME silicone technique, totale, symétrique (modèle
2S,2Sn,3S) ou asymétrique (modèle 3E), composition silicone multicomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface
interne silicone et gel fluide, coloris chair claire ;
– NATURA LIGHT [modèles 1S (réf. 664), 2S (réf. 390), 2S Tawny (réf. 390T), 2A (réf. 392), 2U (réf. 399) et 3S (réf. 391), et modèle 1SN (réf. 402)] : PME
silicone technique, totale, symétrique (modèles 1S, 2S, 2S Tawny, 2U, 3S, 1SN) ou asymétrique (modèle 2A), composition silicone
multicomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, silicone et gel fluide coloris chair claire ou foncée (modèle 2S
Tawny,390T) ;
– NATURA X-TRA LIGHT [modèle 2SN (réf. 400) et modèle 1SN (réf. 401)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone
multicomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ou foncée (modèle
2Sn Tawny,400T) ;
– ENERGY [modèles 1S (réf. 349) et 2U (réf. 347)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– ENERGY COSMETIC [modèles 2S (réf. 310) et 3S (réf. 311)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant,
masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– ENERGY LIGHT [modèles 2S (réf. 342) et 2U (réf. 341)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– PURFIT (réf. 333) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition mixte rembourré et silicone, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne microfibre, volume de bonnet réglable, coloris chair claire ;
– BALANCE DELTA [modèles A (réf. 282A), B (réf. 282B) et B Tawny (réf. 282BT)] : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition
silicone multicomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire (modèles A et B)
ou foncée (modèle B Tawny, 282BT) ;
– BALANCE OVAL [modèles A (réf. 283A) et B (réf. 283B)] : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant,
masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– BALANCE VARIA (réf. 285) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique compensée
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire.
– BALANCE NATURA [modèles TO (réf. 227), MD (réf. 220), VD (réf. 222), SE (réf. 231), TD (réf 217)] : PME silicone technique, partielle, symétrique,
composition silicone multicomposant, masse volumétrique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone structurée (modèles
MD, VD, TD), surface interne silicone lisse (modèle SE ; TO), coloris chair claire.
– BALANCE NATURA LIGHT [modèle VD (réf. 221)] PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone structurée, coloris chair claire.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2483445 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, adhérente, AMOENA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente, de la marque AMOENA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone adhérentes de la marque AMOENA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge ne peut être renouvelée qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois dans les conditions définies dans les conditions
générales.
Le tarif comprend les éventuels éléments adhésifs nécessaires pour permettre une adhérence de la prothèse pendant cette durée de 18 mois.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– CONTACT [modèles 1S (réf. 384), 2S (réf. 381), 2A (réf. 383), 3S (réf. 382), 3S Tawny (réf. 382T) et 3E (réf. 386)] : PME silicone technique, totale,
symétrique (modèles 1S, 2S, 3S) ou asymétrique (modèles 2A et 3E), composition silicone multicomposant, masse volumique compensée non
allégée, adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire (modèles 1S, 2S, 2A, 3S et 3E) ou foncée (modèle 3S Tawny, 382T) ;
– CONTACT LIGHT [modèles 2S (réf. 380) et 3S (réf. 385)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, adhérente, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– ESSENTIAL + CONTACT MULTI [modèles 2S+CM (réf. 440+ réf. 037) et 3S+CM (réf. 363+ réf. 038)] : PME silicone technique, totale, symétrique,
composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée, adhérente / support, surface interne silicone structuré, coloris
chair claire ;
– ESSENTIAL LIGHT + CONTACT MULTI [modèles 2S+CM (réf. 442+ réf. 037), 2S Tawny+CM (réf. 442T+ réf. 037), 3S+CM (réf. 367+ réf. 038)] et
3E+CM (réf. 556+ réf. 041)] : PME silicone technique, totale, symétrique (modèles 2S + CM, 2Sn + CM, 3S + CM) ou asymétrique (modèle 3E + CM),
composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée, adhérente / support, surface interne silicone structuré, coloris chair
claire (modèles 2S, 3S et 3E) ou foncée (modèle 2S Tawny, 442T + CM) ;
– NATURA + CONTACT MULTI [modèles 2S+CM (réf. 398+ réf. 037), 3S+CM (réf. 395+ réf. 038) et 3E+CM (réf. 397+ réf. 041)] : PME silicone
technique, totale, symétrique, ou asymétrique (modèle 3E + CM), composition silicone multicomposant, masse volumique compensée non
allégée, adhérente / support, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– NATURA COSMETIC + CONTACT MULTI [modèles 2S+CM (réf. 320+ réf. 037), 2SN +CM (réf. 323+ réf. 040) et 3S+CM (réf. 321+ réf. 038)] : PME
silicone technique, totale, symétrique, ou asymétrique (modèle 3E + CM), composition silicone multicomposant, masse volumique compensée
allégée, adhérente / support, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ;
– NATURA LIGHT + CONTACT MULTI [modèles 2S+CM (réf. 390+ réf. 037), 2S Tawny+CM (réf. 390T+ réf. 037) et 3S+CM (réf. 391+ réf. 038)] : PME
silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique compensée allégée, adhérente / support, surface
interne silicone structuré, coloris chair claire [modèles 2S, 3S) ou foncée (modèle 2S Tawny, 390T)
– NATURA X-TRA LIGHT + CONTACT MULTI [modèle 2SN +CM (réf. 400+ réf. 040)] : PME silicone technique, totale, symétrique, composition
silicone multicomposant, masse volumique compensée allégée, adhérente / support, surface interne silicone structuré, coloris chair claire ou
foncée (modèle 2Sn Tawny,400T) ;
– BALANCE CONTACT DELTA (réf. 284B) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– BALANCE CONTACT OVAL (réf. 287B) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– BALANCE CONTACT VARIA (réf. SV 286) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
CODE NOMENCLATURE
– BALANCE CONTACT MD 229 : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumétrique
compensée non allégée, adhérente, surface interne silicone structurée, coloris chair claire ;
– BALANCE CONTACT VD 230 : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumétrique
compensée non allégée, adhérente, surface interne silicone structurée, coloris chair claire.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2486917 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod tech pr stand attendu, AMOENA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente ou non adhérente pour modèle standard attendu, de la marque
AMOENA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente et des prothèses mammaires externes adhérentes de la marque AMOENA.
Leur prise en charge et leur renouvellement relèvent des modalités précisées dans les conditions générales et les codes respectifs (2461679 et
2483445) de la présente nomenclature des prothèses mammaires externes de chacun de ces types de dispositifs médicaux, et de la possibilité de
substituer l’acquisition d’une prothèse technique non adhérente ou adhérente à une prothèse standard attendue selon la prescription.
La prise en charge est effectuée, pour les modèles techniques de prothèse mammaire externe silicone listés aux codes 2461679 et 2483445.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026
2412340 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, ANITA, prestation d’appareillage Prestation d’appareillage d’une prothèse mammaire externe en
silicone de la société ANITA.
La prise en charge est uniquement assurée pour une prestation d’appareillage, c’est-à-dire primo-appareillage et renouvellement d’appareillage,
d’une prothèse mammaire externe en silicone, standard ou technique inscrite à la LPP, et relève des modalités de formation et de délivrance
précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge est liée à la facturation concomitante d’une prothèse mammaire externe de la société ANITA (codes LPPR : 2405244, 2492415,
2401714, 2479403)
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026
2405244 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, modèle standard, ANITA
Modèles standards de prothèse mammaire externe en silicone, de la marque ANITA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone standards de la marque ANITA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
Le renouvellement de la prise en charge n’intervient qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription
après l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
(réf. 1022X) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée, non
adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
SEQUINATURE (réf. 1028X2) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée
non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
TRIVARIA (réf. 1043X) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
SEQUITEX (réf. 1046X) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
VALANCE (réf. 1052X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ou foncée
TRIWING (réf. 1053X) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
BASIC (réf. 1053X2) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
ACTIVE (réf. 1054X et ACTIV ASYMMETRIC (réf. 1084L et 1084R), PME silicone standard, totale, symétrique (réf. 1054X) ou asymétrique (réf. 1084L et
1084R), composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair
claire ;
TRINATURE (réf. 1058X) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
(réf. 1076L et 1076R) : PME silicone standard, totale, asymétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
ACTIV ASYMMETRIC (réf. 1084L/R) : PME silicone standard, totale, asymétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
FASHION (réf. 1151X2) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire.
VOLUME (réf 1046X2) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2492415 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, non adhérente, ANITA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone non adhérente, de la marque ANITA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente de la marque ANITA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
Le renouvellement de la prise en charge n’intervient qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription
après l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
AUTHENTIC (réf. 1020X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne silicone et gel fluide, coloris chair claire ;
SEQUITEX TRAPEZ (réf. 1045X) : PME silicone technique, partielle, symétrique, composition mixte rembourre et silicone, masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne microfibre, volume de bonnet réglable, coloris chair claire ;
SOFTBACK (réf.1050X) : PME silicone technique, totale, symétrique (réf.1050X), composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée (réf.1050X), non adhérente, surface interne silicone et gel fluide, coloris chair claire ;
TRINATURE SOFTLITE (réf. 1051X), TRINATURE SOFTLITE CUP C (réf. 1051XC) et TRINATURE ASYMETRIC SOFTLITE (réf. 1081L et 1081R) : PME
silicone technique, totale, symétrique (réf. 1051X et 1051XC) ou asymétrique (réf. 1081L et 1081R), composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
CODE NOMENCLATURE
VALANCE (réf. 1052X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ou foncée ;
SOFTTOUCH (réf. 1052X2) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
TRITEX (réf. 1055X) et TRITEX ASYMMETRIC (réf. 1085L et 1085R) : PME silicone technique, totale, symétrique (réf. 1055X) et asymétrique (réf.
1085L et 1085R), composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne microfibre,
coloris chair claire ;
TWINFLEX ASYMMETRIC (réf. 1073X) : PME silicone technique, totale, symétrique ou asymétrique, composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
SOFTBACK ASYMMETRIC (réf.1080L et 1080R) : PME silicone technique, totale, asymétrique, composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
TRICUP (réf. 1089X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition mixte rembourre et silicone, masse volumique compensée allégée,
non adhérente, surface interne microfibre, volume de bonnet réglable, coloris chair claire ;
AMICA SUPERSOFT (réf. 1151X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
FASHION (réf.1152X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne microfibre, coloris chair claire ;
FASHION (réf. 1056X2) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne microfibre, coloris chair claire ;
EQUITEX (réf. 1057X) : PME silicone standard, partielle, symétrique, multicomposant (silicone et microfibre), masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne micro-fibre, volume de bonnet réglable, coloris chair claire
EQUITEX VOLUME (réf. 1157X) : PME silicone standard totale, partielle, symétrique, mutlicomposant (silicone et microfibre), masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne microfibre, volume de bonnet réglable, coloris chair claire
VELVETY (réf 1066X) : PME silicone technique, totale, non adhérente, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, surface interne silicone cannelée, coloris chair claire.
VELVETY (réf 1067X) : PME silicone technique, partielle, non adhérente, symétrique, composition
silicone monocomposant, masse volumique compensée allégée, surface interne silicone cannelée, coloris chair claire.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2401714 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, adhérente, ANITA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente, de la marque ANITA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone adhérentes de la marque ANITA.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge ne peut être renouvelée qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois dans les conditions définies dans les conditions
générales.
Le tarif comprend les éventuels éléments adhésifs nécessaires pour permettre une adhérence de la prothèse pendant cette durée de 18 mois.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– SEQUITEX VARIO (réf. 1046XV + réf. 1034X) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée non allégée, adhérente / coussinets, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– VALANCE VARIO (réf. 1052XV + réf 1032X) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique
compensée allégée, adhérente / coussinets, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2479403 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod tech pr stand attendu, ANITA
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente ou non adhérente pour modèle standard attendu, de la marque ANITA.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente et des prothèses mammaires externes adhérentes de la marque ANITA.
Leur prise en charge et leur renouvellement relèvent des modalités précisées dans les conditions générales et les codes respectifs (2492415 et
2401714) de la présente nomenclature des prothèses mammaires externes de chacun de ces types de dispositifs médicaux, et de la possibilité de
substituer l’acquisition d’une prothèse technique non adhérente ou adhérente à une prothèse standard attendue selon la prescription.
La prise en charge est effectuée, pour les modèles techniques de prothèse mammaire externe silicone listés aux codes 2492415 et 2401714.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
Société THUASNE
2482598 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, THUASNE, prestation d’appareillage Prestation d’appareillage d’une prothèse mammaire externe en
silicone de la société THUASNE.
La prise en charge est uniquement assurée pour une prestation d’appareillage, c’est-à-dire primo-appareillage et renouvellement d’appareillage,
d’une prothèse mammaire externe en silicone, standard ou technique inscrite à la LPP, et relève des modalités de formation et de délivrance
précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge est liée à la facturation concomitante d’une prothèse mammaire externe de la société THUASNE (codes LPPR : 2404492, 2490764,
2440051, 2434317)
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2404492 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, modèle standard, THUASNE
Modèles standards de prothèse mammaire externe en silicone, de la marque THUASNE.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone standards de la marque THUASNE.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
Le renouvellement de la prise en charge n’intervient qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription
après l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– SERENA TRIANGULAIRE (réf. 9201) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– SERENA OVALE (réf. 9301 et 9311) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– SERENA CŒUR (réf. 9341) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée non
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– SILIMA CLASSIC SYMÉTRIQUE (réf. T66370) : PME silicone standard, totale, symétrique, composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA CLASSIC ASYMÉTRIQUE (réf. T66360) : PME silicone standard, totale, asymétrique, composition silicone monocomposant, masse
volumique compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
CODE NOMENCLATURE
– SILIMA SHELL (réf. T66380) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée
non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA SHELL OVALE (réf. T66110) : PME silicone standard, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique
compensée non allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2490764 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, non adhérente, THUASNE
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone non adhérente, de la marque THUASNE.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente de la marque THUASNE.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
Le renouvellement de la prise en charge n’intervient qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois, hormis lors de la première prescription
après l’opération (12 mois) dans les conditions définies dans les conditions générales.
La prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– SILIMA CONFORM (réf. T66390) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA LIGHT SYMÉTRIQUE (réf. T66375) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA SOFT & LIGHT SYMÉTRIQUE (réf. T66378) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse et gel fluide, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur
demande ;
– SILIMA SOFT & LIGHT ASYMÉTRIQUE (réf. T66368) : PME silicone technique, totale, asymétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse et gel fluide, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur
demande ;
– SILIMA SOFT & LIGHT CŒUR (réf. T66328) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse et gel fluide, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA SOFT & LIGHT SUPERSOFT (réf. T66379) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse
volumique compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse et gel fluide, coloris chair claire ;
– SILIMA ULTRA LIGHT (réf. T66374) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, non adhérente, surface interne silicone perlé, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA ELITE (réf. T66398) : PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique compensée
allégée, non adhérente, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2440051 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod techniq, adhérente, THUASNE
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente, de la marque THUASNE.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses mammaires externes en silicone adhérentes de la marque THUASNE.
Leur prise en charge relève des modalités précisées dans les conditions générales de nomenclature pour ce type de prothèse mammaire externe.
La prise en charge ne peut être renouvelée qu’après une durée d’utilisation minimale de 18 mois dans les conditions définies dans les conditions
générales.
Le tarif comprend les éventuels éléments adhésifs nécessaires pour permettre une adhérence de la prothèse pendant cette durée de 18 mois. La
prise en charge est effectuée pour les modèles suivants :
– SILIMA X-TRA (réf. T66107), PME silicone technique, partielle, symétrique, composition silicone monocomposant, masse volumique compensée
non allégée, adhérente / coussinet, surface interne silicone lisse, coloris chair claire ;
– SILIMA DIRECT (réf. : T66377), PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique compensée
allégée, adhérente / coussinet, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande ;
– SILIMA SHELL DIRECT ONE (réf. T66387), PME silicone technique, totale, symétrique, composition silicone multicomposant, masse volumique
compensée allégée, adhérente / coussinet, surface interne silicone lisse, coloris chair claire / brune claire ou brune foncée sur demande.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
2434317 PME Sil, Prothèse mammaire externe silicone, mod tech pr stand attendu, THUASNE
Modèles techniques de prothèse mammaire externe en silicone adhérente ou non adhérente pour modèle standard attendu, de la marque
THUASNE.
Cette catégorie regroupe différents modèles de prothèses intégrant des spécificités techniques destinées à l’adaptation de certains symptômes
présentés par la patiente et des prothèses mammaires externes adhérentes de la marque THUASNE.
Leur prise en charge et leur renouvellement relèvent des modalités précisées dans les conditions générales et les codes respectifs (2490764 et
2440051) de la présente nomenclature des prothèses mammaires externes de chacun de ces types de dispositifs médicaux, et de la possibilité de
substituer l’acquisition d’une prothèse technique non adhérente ou adhérente à une prothèse standard attendue selon la prescription.
La prise en charge est effectuée, pour les modèles techniques de prothèse mammaire externe silicone listés aux codes 2490764 et 2440051.
Date de fin de prise en charge : 30 avril 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 203
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(1 inscription)
La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des collectivités
et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour la
spécialité visée ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 301 370 7 9 PEMETREXED SUN 1 000 mg, poudre pour solution à diluer pour perfusion, flacon (verre) de 50 ml (B/1) (laboratoires SUN PHARMA
FRANCE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 décembre 2021 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge
en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité
sociale
NOR : SSAS2134095A
Arrêtent :
Art. 1 . – La liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d’hospitalisation visée à
er
l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le directeur de la sécurité sociale et la directrice générale de l’offre de soins sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la
République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice Le sous-directeur
du pilotage de la performance du financement
des acteurs de l’offre de soins, du système de soins,
E. COHN N. LABRUNE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
ANNEXE
(5 inscriptions)
Les spécialités suivantes sont inscrites sur la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des
prestations d’hospitalisation visée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge en sus par l’assurance maladie sont, pour
les spécialités visées ci-dessous :
– Mésothéliome pleural malin : en association avec le cisplatine, est indiqué dans le traitement des patients
atteints de mésothéliome pleural malin non résécable et qui n’ont pas reçu de chimiothérapie antérieure ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 203
PEMETREXED SUN 100 mg, poudre PEMETREXED SUN 100MG SUN PHARMA FRANCE
pemetrexed pour solution à diluer pour perfusion 3400890017251 PERF FL
PEMETREXED SUN 500 mg, poudre PEMETREXED SUN 500MG SUN PHARMA FRANCE
pemetrexed pour solution à diluer pour perfusion 3400890017268 PERF FL
PEMETREXED SUN 1000 mg, poudre PEMETREXED SUN SUN PHARMA FRANCE
pemetrexed pour solution à diluer pour perfusion 3400890018531 1000MG PERF FL
PEMETREXED SUN 1000 mg, poudre 3400890017251 PEMETREXED SUN 100MG SUN PHARMA FRANCE
pemetrexed pour solution à diluer pour perfusion PERF FL
PEMETREXED SUN 1000 mg, poudre 3400890017268 PEMETREXED SUN 500MG SUN PHARMA FRANCE
pemetrexed pour solution à diluer pour perfusion PERF FL
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 décembre 2021 portant radiation de la liste des spécialités pharmaceutiques prises
en charge en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de
la sécurité sociale
NOR : SSAS2137657A
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d’hospitalisation visée à
l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le directeur de la sécurité sociale et la directrice générale de l’offre de soins sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la
République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice Le sous-directeur
du pilotage de la performance du financement
des acteurs de l’offre de soins, du système de soins,
E. COHN N. LABRUNE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 203
ANNEXE
(4 radiations)
Les spécialités ci-dessous sont radiées de la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des
prestations d’hospitalisation visée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale, pour l’ensemble de leurs
indications.
Laboratoire exploitant
Dénomination Libellé ou titulaire
Commune de la spécialité pharmaceutique Code UCD Libellé de l’UCD de l’autorisation
Internationale de mise sur le marché
ADALIMUMAB HUMIRA 40 mg, solution injectable 3400892510927 HUMIRA 40MG INJ SRG0,8ML +T.
en seringue préremplie ABBVIE
ADALIMUMAB HUMIRA 40 mg, solution injectable 3400893075623 HUMIRA 40MG INJ STY0,8ML +T.
en stylo prérempli ABBVIE
ETANERCEPT ENBREL 25 mg/ml, poudre et solvant 3400892958767 ENBREL 25MG/ML PEDIA FL+SRG +N
pour solution injectable pour usage PFIZER
pédiatrique
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1er. – Au titre III de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 4, section 4, paragraphe
« B) Neurostimulateur médullaire non rechargeable », dans la rubrique « Société BOSTON SCIENTIFIC S.A.S.
(BOSTON) », est modifiée la nomenclature du code suivant :
CODE NOMENCLATURE
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au
Journal officiel.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
« Stimulateurs cardiaques implantables avec stimulation atrio-bi-ventriculaire pour resynchronisation, dits « triple
chambre » », dans la rubrique « Société MICROPORT CRM France (MICROPORT) », dans la nomenclature du
code 3408760, la date de fin de prise en charge est portée au 31 janvier 2027.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au
Journal officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
1303783 Panst anatomiq absorp impte, adh, 230cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER, B/5
Pansement adhésif (adh) anatomique hydrocellulaire en silicone à absorption importante, 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER modèle talon
en taille 230 cm2 en boîte de 5 pansements de la société 3M.
DESCRIPTION
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER de formes anatomiques sont des pansements absorbants, perméables et respirants,
répondant aux spécifications techniques minimales des pansements hydrocellulaires anatomiques à absorption importante définies par la LPPR.
Ils sont constitués d’un tampon en mousse de polyuréthane, de couches non tissées absorbantes, d’un support en film imperméable et respirant,
et d’une couche de contact avec la plaie en silicone adhésive.
INDICATION PRISE EN CHARGE
Traitement des plaies aiguës, sans distinction de phase et traitement des plaies chroniques en phase de bourgeonnement en traitement séquentiel,
localisées dans des endroits difficiles à panser (talon ou sacrum en fonction des modèles).
MODALITÉS DE PRESCRIPTION ET D’UTILISATION
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (formes anatomiques) peuvent rester en place jusqu’à 7 jours tout en pouvant être
soulevés quotidiennement. La fréquence de changement du pansement dépend du type de plaie, de la quantité d’exsudat et de la situation
clinique. Lorsque l’exsudat s’étend vers les bords du pansement ou en cas de suintement, il convient de le changer.
RÉFÉRENCE PRISE EN CHARGE
3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (16,5cm × 16,5cm) TALON : ref 90646
Date de fin de prise en charge : 31 décembre 2026.
1307338 Panst anatomiq absorp impte, adh,215cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER, B/10
Pansement adhésif (adh) anatomique hydrocellulaire en silicone à absorption importante, 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER modèle petit
sacrum en taille 215 cm2 en boîte de 10 pansements de la société 3M.
DESCRIPTION
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER de formes anatomiques sont des pansements absorbants, perméables et respirants,
répondant aux spécifications techniques minimales des pansements hydrocellulaires anatomiques à absorption importante définies par la LPPR.
Ils sont constitués d’un tampon en mousse de polyuréthane, de couches non tissées absorbantes, d’un support en film imperméable et respirant,
et d’une couche de contact avec la plaie en silicone adhésive.
INDICATION PRISE EN CHARGE
Traitement des plaies aiguës, sans distinction de phase et traitement des plaies chroniques en phase de bourgeonnement en traitement séquentiel,
localisées dans des endroits difficiles à panser (talon ou sacrum en fonction des modèles).
MODALITÉS DE PRESCRIPTION ET D’UTILISATION
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (formes anatomiques) peuvent rester en place jusqu’à 7 jours tout en pouvant être
soulevés quotidiennement. La fréquence de changement du pansement dépend du type de plaie, de la quantité d’exsudat et de la situation
clinique. Lorsque l’exsudat s’étend vers les bords du pansement ou en cas de suintement, il convient de le changer.
RÉFÉRENCE PRISE EN CHARGE
3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (15cm × 17cm) PETIT SACRUM : ref 90647
Date de fin de prise en charge : 31 décembre 2026.
1300313 Panst anatomiq absorp impte, adh,335cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER, B/5
Pansement adhésif anatomique hydrocellulaire en silicone à absorption importante, 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER modèle grand
sacrum en taille 335 cm2 en boîte de 5 pansements de la société 3M.
DESCRIPTION
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 203
CODE NOMENCLATURE
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER de formes anatomiques sont des pansements absorbants, perméables et respirants,
répondant aux spécifications techniques minimales des pansements hydrocellulaires anatomiques à absorption importante définies par la LPPR.
Ils sont constitués d’un tampon en mousse de polyuréthane, de couches non tissées absorbantes, d’un support en film imperméable et respirant,
et d’une couche de contact avec la plaie en silicone adhésive.
INDICATION PRISE EN CHARGE
Traitement des plaies aiguës, sans distinction de phase et traitement des plaies chroniques en phase de bourgeonnement en traitement séquentiel,
localisées dans des endroits difficiles à panser (talon ou sacrum en fonction des modèles).
MODALITÉS DE PRESCRIPTION ET D’UTILISATION
Les pansements 3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (formes anatomiques) peuvent rester en place jusqu’à 7 jours tout en pouvant être
soulevés quotidiennement. La fréquence de changement du pansement dépend du type de plaie, de la quantité d’exsudat et de la situation
clinique. Lorsque l’exsudat s’étend vers les bords du pansement ou en cas de suintement, il convient de le changer.
RÉFÉRENCE PRISE EN CHARGE
3M TEGADERM SILICONE FOAM BORDER (18,5cm × 22cm) GRAND SACRUM : ref 90648
Date de fin de prise en charge : 31 décembre 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 décembre 2021 portant radiation de produits au titre III de la liste des produits
et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
NOR : SSAS2137788A
la sécurité sociale, au chapitre 1er, section 3, sous-section 1, au paragraphe 7 : « prothèses totales de cheville », dans
la rubrique « Société STRYKER SPINE », les codes suivants sont radiés :
CODE LIBELLÉ
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Titre III, chapitre 1, section 3, sous-section 1, para 3136898, 3130938, 3108436, 3162915, 3133546, Implants articulaires de cheville
graphe 7 3185678
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – La directrice générale de l’offre de soins et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur L’adjointe à la sous-directrice
du financement du pilotage de la performance
du système de soins, des acteurs de l’offre de soins,
N. LABRUNE E. COHN
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
CODE NOMENCLATURE
Cette prestation est exclusive à AQUALEG de la société AQUALEG SAS et ne peut être prise en charge que pendant la durée de garantie de 5
ans de AQUALEG, dans la limite d’une prise en charge par an, et 12 mois à compter de la prestation de première pose (code 2798798).
Date de fin de prise en charge : 15 décembre 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1 . – Au titre I de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 3, section 2, sous-section 1,
er
paragraphe 5 « Système compressif multicouche », dans la rubrique « Société BAUERFEIND FRANCE SARL
(BAUERFEIND) », après le code 1306310 est ajouté le produit suivant :
CODE NOMENCLATURE
Art. 2. – Au titre I de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 3, section 2, sous-section 1,
paragraphe 5 « Système compressif multicouche », dans la rubrique « Société BAUERFEIND FRANCE SARL
(BAUERFEIND) », dans la nomenclature des codes 1306310 et 1367412 la date de fin de prise en charge est portée
au 15 mars 2027.
Art. 3. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 4. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 décembre 2021 portant renouvellement d’inscription des clips de réparation mitrale
bord à bord MITRACLIP XTR, MITRACLIP NTR, MITRACLIP G4-NT, MITRACLIP G4-NTW,
MITRACLIP G4-XT et MITRACLIP G4-XTW de la société ABBOTT MEDICAL France inscrits au
titre III de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code
de la sécurité sociale
NOR : SSAS2137841A
« Implants cardiaques », dans le paragraphe 2 « Systèmes de réparation mitrale », dans la rubrique de la société
« ABBOTT MEDICAL France (ABBOTT) » dans la nomenclature des codes 3151188, 3109341, 3128048,
3191785, 3172820, 3111421 la date de fin de prise en charge est portée au 15 décembre 2026.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
Le ministre des solidarités
et de la santé,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
N. LABRUNE H. MONASSE
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
du financement
du système de soins,
N. LABRUNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 16 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 21 mai 2021 fixant la dotation annuelle de
financement de l’Etablissement public de santé territorial de Saint-Pierre-et-Miquelon pour
l’année 2021
NOR : SSAH2137856A
Le ministre des solidarités et de la santé et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et
de la relance, chargé des comptes publics,
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 174-1 et L. 174-1-1 ;
Vu le code de la santé publique, notamment l’article L. 6147-5 ;
Vu l’arrêté du 24 mars 2021 fixant pour l’année 2021 l’objectif des dépenses d’assurance maladie mentionné à
l’article L. 174-1-1 du code de la sécurité ;
Vu l’arrêté du 21 mai 2021 fixant la dotation annuelle de financement de l’Etablissement public de santé
territorial de Saint-Pierre-et-Miquelon pour l’année 2021,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le montant de la dotation annuelle de financement de l’Etablissement public de santé territorial de
er
TEXTES GÉNÉRAUX
l’alinéa suivant :
« – le Royaume-Uni ; ».
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
OLIVIER VÉRAN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
génériques mentionnés en annexe à la présente décision. Les montants des tarifs applicables à ces groupes
génériques sont ceux figurant à la même annexe.
Art. 2. – Le prix public toutes taxes comprises des spécialités génériques appartenant aux groupes visés à
l’article 1er est fixé, au vu des conventions portant fixation de leurs prix fabricant hors taxes conclues avec leurs
exploitants respectifs.
Art. 3. – La présente décision ainsi que son annexe seront publiées au Journal officiel de la République
française.
Fait le 15 décembre 2021.
Pour le comité économique
des produits de santé :
Le président,
P. BOUYOUX
ANNEXE
TARIFS FORFAITAIRES DE RESPONSABILITÉ
AU 1er FÉVRIER 2022
Groupe Générique Conditionnement Tarif Forfaitaire
de Responsabilité
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA MER
Décret no 2021-1672 du 15 décembre 2021 modifiant le décret no 52-540 du 7 mai 1952 modifiant le
décret no 48-1709 du 5 novembre 1948 relatif au salaire forfaitaire servant de base au calcul des
cotisations des marins et des contributions des armateurs au profit des caisses de
l’établissement national des invalides de la marine
NOR : MERT2120076D
Publics concernés : les ressortissants du régime spécial de sécurité sociale des marins.
Objet : classement catégoriel des marins.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le présent décret a pour objet de modifier le décret no 52-540 du 7 mai 1952, notamment en complétant
la grille des catégories de classement des marins des différents secteurs d’activité, et en précisant les règles de
surclassement catégoriel décennal.
Références : le texte modifié par le présent décret peut être consulté, dans sa rédaction issue de cette
modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la mer,
Vu le code des transports, notamment ses articles L. 5553-1 et L. 5553-5 ;
Vu le décret du 17 juin 1938 modifié relatif à la réorganisation et à l’unification du régime d’assurance des
marins, notamment ses articles 4, 5, 6 et 6-1 ;
Vu le décret no 52-540 du 7 mai 1952 modifiant le décret no 48-1709 du 5 novembre 1948 relatif au salaire
forfaitaire servant de base au calcul des cotisations des marins et des contributions des armateurs au profit des
caisses de l’établissement national des invalides de la marine,
Décrète :
Art. 1 . – Le décret du 7 mai 1952 susvisé est modifié conformément aux articles 2 et 3 du présent décret.
er
2e Matelot de moins de 18 ans Matelot de moins de 18 ans Matelot de moins de 18 ans Matelot-ouvrier de moins de 18 ans exerçant à bord des navires ou embarcations
armés aux cultures marines
17 décembre 2021
Patron sur navire de jauge brute inférieure à 6 tonneaux, armé à la petite pêche.
Patron de navire de jauge brute égale ou supérieure à 6 tonneaux, armé à la petite
Magasinier, deuxième boulan pêche.
17 décembre 2021
ger, deuxième pâtissier, Second pont et machine, sur navire de jauge brute inférieure à 50 tonneaux, armé à la
Patron breveté ou titulaire du deuxième cambusier, chef pêche au large.
certificat de capacité de d’office, chef de salon (toutes Mécanicien titulaire du permis de conduire, sur navire de jauge brute égale ou
navire de moins de 6 ton Mécanicien de remorqueur ou classes). supérieure à 6 tonneaux, armé à la petite pêche, dont l’équipage, mécanicien
neaux armé à la navigation d’engin portuaire ayant une Troisième cuisinier sur les navi compris, se compose d’au moins deux marins.
côtière avec au moins un machine de moins de 100 CV res des classes I, II et III. Mécanicien titulaire du permis de conduire, sur navire de jauge brute égale ou
matelot. (non titulaire d’un certificat Maître d’hôtel, deuxième cuisi Chef de bord sur un navire à supérieure à 6 tonneaux, armé à la pêche côtière (un seul mécanicien par navire).
6e Patron de navire de 6 à 20 d’ouvrier spécialisé). nier, premier boulanger, pre utilisation commerciale armé
en navigation côtière Ouvriers mécanicien, électricien et électricien-frigoriste, sans titre professionnel, sur
tonneaux armé à la naviga Ouvrier mécanicien et électri mier cambusier, premier navire de pêche au large de jauge brute égale ou supérieure à 100 tonneaux ou sur
tion côtière. cien non titulaires d’un certi boucher, sur les navires des navire de grande pêche.
Charpentier non titulaire d’un ficat d’ouvrier spécialisé. classes IV et V. Cuisinier, sur navire de pêche au large de jauge brute égale ou supérieure à 100
certificat d’ouvrier spécialisé. Barman, barmaid. tonneaux.
Second-maître. Chef hôtesse. Frigoriste
Chef boutiquière. Second pont pêche côtière sur navire de jauge brute supérieure ou égale à 25
Chef adjoint de secteur hôtelier. tonneaux
Marin chef d’entreprise exerçant à bord des navires ou embarcations armés aux
cultures marines.
Deuxième cuisinier sur les navi
res des classes II et III. Patron breveté ou titulaire du certificat de capacité sur navire de jauge brute
Cuisinier d’équipage maître inférieure à 25 tonneaux, armé à la pêche côtière.
d’hôtel sur les navires des Second pont et machine sur navire de jauge brute égale ou supérieure à 50 tonneaux
Maître électricien. classes III. et inférieure à 100 tonneaux, armé à la pêche au large.
Pompiste de navire pétrolier. Cuisinier chargé des vivres, Mécanicien, titulaire du certificat de motoriste à la pêche, sur navire de jauge brute
Ouvriers mécanicien et électri intendant, chef de cuisine inférieure à 25 tonneaux armé à la pêche côtière.
cien titulaires d’un certificat sur les navires des classes Lieutenant et chef de quart sur navire de jauge brute égale ou supérieure à 100
adapté à la fonction ou justi IV et V. tonneaux et inférieure à 250 tonneaux armé à la pêche au large.
Maître d’équipage. fiant de 5 ans de navigation Chef écrivain Maître d’équipage sur navire de pêche au large de jauge brute égale ou supérieure à
Charpentier titulaire d’un certi effective accomplie en qua Chef infirmier, chef linger, chef 100 tonneaux ou sur navire de grande pêche.
e
7 ficat d’ouvrier spécialisé et lité d’ouvrier au cours d’em buandier, premier cambu Chef ramendeur sur navire de grande pêche ou de pêche au large.
maître charpentier. barquements consécutifs au sier.
Spécialiste des machines de traitement du poisson.
Chef timonier. service d’une ou plusieurs Chef sommelier, premier bou
entreprises. langer, premier boucher, Chef de fabrication sur navire de grande pêche.
Ouvriers mécanicien et électri chef de partie, chef de bor Ouvriers mécanicien, ouvrier électricien et ouvrier électricien-frigoriste, titulaires d’un
cien, titulaires du certificat dée, chef caviste, sur les titre professionnel sur navire de pêche au large de jauge brute égale ou supérieure
d’aptitude professionnelle navires des classes I, II et III. à 100 tonneaux ou sur navire de grande pêche.
maritime. Maître d’hôtel sur navire de Cuisinier, sur navire de grande pêche.
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
;
Texte 60 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 203
;
o
3 Il est ajouté un V ainsi rédigé :
« V. – Les marins exerçant à bord des navires ou embarcations armés aux cultures marines-petite pêche sont
classés d’après les fonctions remplies par eux selon les modalités fixées pour les marins exerçant à bord de navire
armé à la petite pêche. »
Art. 3. – Le I de l’article 1er bis est remplacé par les dispositions suivantes :
« I. – Les marins en activité, dont les fonctions sont classées dans l’une des treize premières catégories de la
grille de classement du III de l’article 1er et qui ont cotisé pendant 120 mois dans la même catégorie sont, lorsqu’ils
continuent d’exercer des fonctions relevant du même classement, placés dans la catégorie immédiatement
supérieure. Entrent également en compte, pour ce surclassement, les périodes cotisées pendant lesquelles les
marins ont été classés dans des fonctions et des catégories supérieures.
« Les marins ayant cotisé pendant au moins 120 mois pour l’exercice de fonctions classées en application de la
grille de classement du III de l’article 1er dans la 14e catégorie ou une catégorie supérieure sont classés dans la
15e catégorie lorsqu’ils exercent des fonctions relevant de la 14e catégorie.
« Les marins ayant cotisé pendant au moins 120 mois pour l’exercice de fonctions classées en application de la
grille de classement du III de l’article 1er dans la 15e catégorie ou une catégorie supérieure sont classés dans la
16e catégorie lorsqu’ils exercent des fonctions relevant de la 15e catégorie.
« Les marins ayant cotisé pendant au moins 120 mois pour l’exercice de fonctions classées en application de la
grille de classement du III de l’article 1er dans la 16e catégorie ou une catégorie supérieure sont classés dans la
17e catégorie lorsqu’ils exercent des fonctions relevant de la 16e catégorie. »
Art. 4. – La ministre de la transition écologique, le ministre de l’économie, des finances et de la relance, la
ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, la ministre de la mer, le ministre des solidarités et de la santé, le
ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des transports, le ministre délégué auprès
du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics, et le secrétaire d’État auprès
de la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion, chargé des retraites et de la santé au travail, sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République
française.
Fait le 15 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
La ministre de la mer,
ANNICK GIRARDIN
La ministre de la transition écologique,
BARBARA POMPILI
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
BRUNO LE MAIRE
La ministre du travail, de l’emploi
et de l’insertion,
ELISABETH BORNE
Le ministre des solidarités
et de la santé,
OLIVIER VÉRAN
Le ministre délégué
auprès de la ministre de la transition écologique,
chargé des transports,
JEAN-BAPTISTE DJEBBARI
Le ministre délégué
auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la relance, chargé des comptes publics,
OLIVIER DUSSOPT
Le secrétaire d’État
auprès de la ministre du travail, de l’emploi
et de l’insertion, chargé des retraites
et de la santé au travail,
LAURENT PIETRASZEWSKI
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA MER
La ministre de la mer,
Vu le décret no 84-810 du 30 août 1984 modifié relatif à la sauvegarde de la vie humaine en mer, à l’habitabilité
à bord des navires et à la prévention de la pollution ;
Vu l’arrêté du 23 novembre 1987 modifié relatif à la sécurité des navires et à la prévention de la pollution ;
Vu les avis de la Commission centrale de sécurité en date du 3 mars 2021, du 7 avril 2021 et du 7 juillet 2021,
Arrête :
Art. 1 . – Le règlement annexé à l’arrêté du 23 novembre 1987 susvisé est modifié conformément aux
er
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : personnels et usagers de l’université de Paris, de l’Institut de physique du globe de Paris et
de l’Institut Pasteur.
Objet : association de l’Institut Pasteur à l’université de Paris et modification du décret portant création de
l’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel expérimental dénommé « université de
Paris ».
Entrée en vigueur : le décret et les modifications figurant en annexe entrent en vigueur le lendemain de la
publication du présent décret, à l’exception des modifications prévues aux 4o à 6o qui entrent en vigueur lors du
prochain renouvellement du conseil d’administration et du sénat académique de l’université de Paris.
Notice : le décret précise les compétences mises en commun entre l’université de Paris et l’Institut Pasteur,
organisme de recherche partenaire, dans le cadre de la convention d’association qui les lie. Elles concernent
notamment les domaines de la recherche et de la formation, et plus particulièrement le domaine de la santé.
Le décret modifie le décret no 2019-209 du 20 mars 2019 modifié portant création de l’université de Paris et
approbation de ses statuts. Il prévoit que l’Institut Pasteur est un membre-associé de l’université de Paris et
modifie la composition du conseil d’administration et du sénat académique de l’université de Paris.
Références : le décret ainsi que la partie réglementaire du code de l’éducation et le décret qu’il modifie, dans
leur rédaction résultant de cette modification, peuvent être consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.
gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation,
Vu le code de l’éducation, notamment son article L. 718-16 ;
Vu la loi no 2018-727 du 10 août 2018 pour un Etat au service d’une société de confiance, notamment son
article 52 ;
Vu l’ordonnance no 2018-1131 du 12 décembre 2018 modifiée relative à l’expérimentation de nouvelles formes
de rapprochement, de regroupement ou de fusion des établissements d’enseignement supérieur et de recherche ;
Vu le décret no 2019-209 du 20 mars 2019 modifié portant création de l’université de Paris et approbation de ses
statuts ;
Vu la convention d’association entre l’université de Paris et l’Institut Pasteur en date du 22 juillet 2021 ;
Sur la demande de l’Institut Pasteur ;
Sur proposition de l’université de Paris ;
Vu l’avis du comité technique de l’université de Paris en date du 31 mai 2021 ;
Vu l’avis conforme du sénat académique de l’université de Paris en date du 15 juin 2021 ;
Vu la délibération du conseil d’administration de l’université de Paris en date du 25 juin 2021 ;
Vu l’avis du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 14 septembre 2021,
Décrète :
Art. 1 . – L’Institut Pasteur est associé à l’université de Paris, établissement public à caractère scientifique,
er
culturel et professionnel expérimental au sens de l’article 1er de l’ordonnance du 12 décembre 2018 susvisée. A ce
titre, l’Institut Pasteur est un organisme de recherche partenaire de l’université de Paris.
Art. 2. – Les compétences mises en commun entre les deux établissements mentionnés à l’article 1er concernent
les domaines de la recherche et de la formation, et plus particulièrement le domaine de la santé.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 203
L’association a pour objectif de constituer à Paris un pôle de visibilité internationale dans le domaine des
sciences biologiques et médicales, avec une forte dimension interdisciplinaire. Les deux établissements
développent des projets communs et mènent des actions conjointes qu’ils définissent ensemble.
En matière de recherche, les publications scientifiques sont co-signées. Des échanges de personnels et l’accueil
de stagiaires sont prévus. L’Institut Pasteur intègre le périmètre scientifique de l’université de Paris et son
« Initiatives d’excellence » (IDEX). A ce titre, l’Institut Pasteur est éligible à l’ensemble des actions IDEX. Les
laboratoires d’excellence (LABEX) portés par l’Institut Pasteur peuvent, à sa demande, être intégrés à l’IDEX. Les
orientations scientifiques liées à ces projets sont décidées par l’Institut Pasteur après consultation de l’université de
Paris. Cette dernière est également associée à l’évaluation par le Haut Comité de l’évaluation de la recherche et de
l’enseignement supérieur des départements scientifiques de l’Institut Pasteur.
En matière de formation, l’Institut Pasteur est rattaché aux écoles doctorales accréditées par l’université de Paris.
Les équipes de l’Institut Pasteur sont éligibles aux contrats doctoraux de l’université de Paris. Des cours,
programmes (master, diplôme universitaire, programme doctoral…) et enseignements numériques sont co-
organisés. Les étudiants de l’université de Paris participent aux cours mis en place par l’Institut Pasteur qui est lui-
même impliqué dans les formations dispensées par l’université de Paris. L’Institut Pasteur met en place des actions
d’accompagnement des étudiants de master, des doctorants et des post-doctorants de l’université de Paris.
La dimension internationale de l’association entre l’université de Paris et l’Institut Pasteur est renforcée par le
Réseau international des instituts Pasteur et les réseaux universitaires européens auxquels participe l’université de
Paris.
Divers équipements sont mutualisés et des actions communes sont mises en place en matière de développement
des applications de la recherche.
Art. 3. – A l’article D. 718-5 du code de l’éducation, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :
« 92o L’Institut Pasteur, fondation reconnue d’utilité publique, à l’université de Paris par le décret no 2021-1673
du 15 décembre 2021 portant association de l’Institut Pasteur à l’université de Paris et modifiant le décret
no 2019-209 du 20 mars 2019 portant création de l’université de Paris et approbation de ses statuts ; ».
Art. 4. – Sont approuvées les modifications de l’annexe du décret du 20 mars 2019 susvisé figurant à l’annexe
du présent décret.
Art. 5. – Les dispositions du présent décret et les modifications figurant en annexe entrent en vigueur le
lendemain de la publication du présent décret, à l’exception des modifications prévues aux 4o à 6o qui entrent en
vigueur lors du prochain renouvellement du conseil d’administration et du sénat académique de l’université de
Paris. Jusqu’à cette date, les représentants de l’Institut Pasteur au sein du conseil d’administration et du sénat
académique de l’université de Paris participent à ces conseils en tant qu’invités ayant voix consultative.
Art. 6. – La ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation est chargée de l’exécution
du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
La ministre de l’enseignement supérieur,
de la recherche et de l’innovation,
FRÉDÉRIQUE VIDAL
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 203
ANNEXE
Les statuts de l’université de Paris sont modifiés comme suit :
1o Le préambule est ainsi modifié :
a) Le 1er alinéa est complété par la phrase suivante :
« Elle regroupe également, en tant qu’organisme de recherche partenaire, l’Institut Pasteur, fondation reconnue
d’utilité publique. » ;
b) Au 3e alinéa, la deuxième phrase est remplacée par la phrase suivante :
« Elle s’appuie sur les compétences des deux universités fondatrices, de l’Institut de physique du globe de Paris
et de l’Institut Pasteur pour développer et transmettre le savoir au service des femmes et des hommes et de la
société, et offrir une formation tenant compte des enjeux de citoyenneté. » ;
c) Le 3e alinéa est complété par la phrase suivante :
« Elle forme avec l’Institut Pasteur un site remarquable nationalement et internationalement dans le domaine des
sciences biomédicales. » ;
2o A l’article 2, sont ajoutés les alinéas suivants :
« Conformément aux dispositions de l’article 1er de ses statuts, l’Institut Pasteur, organisme de recherche
partenaire de l’université de Paris ayant le statut de fondation reconnue d’utilité publique, a pour but, en France et à
l’international :
« – le développement et la poursuite de travaux de recherche dans tous les domaines des sciences biologiques
susceptibles de contribuer, directement ou indirectement, à des progrès en santé humaine, en particulier dans
le domaine des maladies infectieuses ;
« – l’enseignement et la formation en relation avec les activités de recherche énoncées ci-dessus ;
« – la conduite et le soutien d’actions de santé publique ;
« – le développement de l’innovation et le transfert des connaissances en vue d’applications visant à prévenir ou
combattre les maladies, notamment infectieuses, parasitaires, ou immunitaires ou, plus largement, à améliorer
la santé. » ;
3o Au 1er alinéa de l’article 6, après les mots : « le directeur de l’Institut de physique du globe de Paris », sont
insérés les mots : « , le directeur général de l’Institut Pasteur » ;
4o Le I de l’article 8 est ainsi modifié :
a) Au 8e alinéa, le chiffre : « 4 » est remplacé par le chiffre : « 5 » ;
b) Après le 9e alinéa, il est inséré l’alinéa suivant :
« – le président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur ou son représentant ; » ;
c) Au 13e alinéa, le chiffre : « 8 » est remplacé par le chiffre : « 7 » ;
d) Au 15e alinéa, le chiffre : « 6 » est remplacé par le chiffre : « 5 » ;
5o Le I de l’article 10 est ainsi modifié :
a) Au 1er alinéa, le nombre : « 53 » est remplacé par le nombre : « 56 » ;
b) Le 2e alinéa est remplacé par les disposions suivantes :
« 41 représentants des personnels de l’université de Paris, de l’IPGP et de l’Institut Pasteur et 10 représentants
des usagers de l’université de Paris et de l’IPGP, l’ensemble de ces représentants étant réparti dans les collèges
suivants : » ;
c) Aux troisième et huitième alinéas, le nombre : « 14 » est remplacé par le nombre : « 15 » ;
d) Après les septième et douzième alinéas, il est inséré l’alinéa suivant :
« 1 pour l’Institut Pasteur ; » ;
e) Au treizième alinéa, le nombre : « 10 » est remplacé par le nombre : « 11 » et après les mots : « dont 1 pour
l’IPGP » sont insérés les mots : « et 1 pour l’Institut Pasteur » ;
6o Au II de l’article 10, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :
« Le conseil d’administration de l’Institut Pasteur désigne les représentants de l’institut au sénat académique de
l’université parmi les membres des instances de l’institut. » ;
7o Le 2e alinéa de l’article 18 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Pour l’application, à la constitution de la section disciplinaire compétente à l’égard des enseignants-chercheurs
et des enseignants, des articles R. 712-13, R. 712-15 et R. 712-18 à R. 712-21 du code de l’éducation, et pour
l’application, à la constitution de la section disciplinaire compétente à l’égard des usagers, des articles R. 811-14
à R. 811-19 du même code, les références au conseil académique sont remplacées par les références au conseil
d’administration et aux conseils académiques des facultés. » ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 203
« Les relations entre l’Institut Pasteur et l’université de Paris sont régies par une convention qui précise les droits
et obligations de chacun des partenaires ainsi que les conditions dans lesquelles il peut être mis fin à la participation
de l’Institut Pasteur à l’université de Paris.
« L’Institut Pasteur ne peut appartenir à aucun autre regroupement d’établissements créé sur le territoire
métropolitain en application du code de l’éducation ou de l’ordonnance mentionnée à l’article 1er des présents
statuts. » ;
13o Au I de l’article 37, après le deuxième alinéa, il est inséré l’alinéa suivant :
« – les personnes inscrites dans une formation d’enseignement supérieur d’une durée de 3 années minimum
conduisant à un titre ou diplôme d’Etat d’auxiliaire médical mentionné au livre III de la quatrième partie du
code de la santé publique non délivrée par l’établissement, et pour lequel une convention a été signée par
l’établissement pour que les étudiants concernés bénéficient de ses moyens de formation ou de ses services de
la vie étudiante ; » ;
o
14 A l’article 45, la deuxième phrase du quatrième alinéa est remplacée par la phrase suivante :
« Toutefois, il n’est pas pourvu au remplacement si la vacance intervient moins de six mois avant le terme du
mandat. » ;
15o Le Titre VI est abrogé.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2021 portant désaffectation, déclassement du domaine public de l’Etat
et remise au service local du Domaine d’une parcelle située à Corte (Haute-Corse)
NOR : ESRS2136258A
(*) Le plan peut être consulté au ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, direction générale
de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle, 1, rue Descartes, 75231 Paris Cedex 05.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 10 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er août 2019 relatif au concours commun
d’accès aux formations d’ingénieur d’écoles nationales relevant du ministre chargé de
l’agriculture et du ministre chargé de l’enseignement supérieur
NOR : AGRE2132923A
Arrêtent :
Art. 1er. – Le dernier alinéa de l’article 12 de l’arrêté du 1er août 2019 susvisé est remplacé par la phrase
suivante :
« A chaque nouvelle session de concours, le jury désigne un président parmi ses membres ou parmi les
enseignants-chercheurs des établissements d’enseignement supérieur publics relevant du ministre chargé de
l’agriculture, ainsi qu’un vice-président chargé de suppléer le président en tant que de besoin. »
Art. 2. – A compter de la session du concours 2023, les annexes IV et V de l’arrêté du 1er août 2019 susvisé
relatif au concours commun d’accès aux formations d’ingénieur d’écoles nationales relevant du ministre chargé de
l’agriculture et du ministre chargé de l’enseignement supérieur sont remplacées respectivement par les annexes I et
II du présent arrêté.
Art. 3. – Par dérogation au deuxième alinéa de l’article 10 de l’arrêté susmentionné, les candidats inscrits à la
session 2022 et à la session 2023 de la voie A du concours sont autorisés à se présenter une troisième fois sur la
même voie de concours lors de la session 2024.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 10 décembre 2021.
Le ministre de l’agriculture
et de l’alimentation,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice générale de l’enseignement
et de la recherche,
V. BADUEL
La ministre de l’enseignement supérieur
de la recherche et de l’innovation,
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe de service
de la stratégie des formations et de la vie étudiante,
adjointe à la directrice générale,
I. PRAT
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 203
ANNEXES
ANNEXE I
A compter de la session 2024 du concours, les étudiants en deuxième année d’études supérieures après le
baccalauréat s’inscrivant pour la première fois à la voie A du concours bénéficient de points supplémentaires fixés
par arrêté ministériel.
La voie A du concours comporte les épreuves ci-après, affectées des coefficients suivants :
Physique 3 heures 4
Chimie 3 heures 4
Humanités 3 heures 4
Total 28
ANNEXE II
A compter de la session 2024 du concours, les étudiants en deuxième année d’études supérieures après le
baccalauréat s’inscrivant pour la première fois à la voie A TB du concours bénéficient de points supplémentaires
fixés par arrêté ministériel.
La voie A TB du concours comporte les épreuves ci-après, affectées des coefficients suivants :
Total 15
21 + 2 de l’admissibilité
Total (anglais)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
relatif au concours commun d’accès dans les écoles nationales vétérinaires sont remplacées respectivement par les
annexes I et II du présent arrêté.
Art. 2. – Par dérogation au deuxième alinéa de l’article 9 de l’arrêté susmentionné, les candidats inscrits à la
session 2022 et à la session 2023 de la voie A du concours sont autorisés à se présenter une troisième fois sur la
même voie de concours lors de la session 2024.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 10 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
La directrice générale de l’enseignement
et de la recherche,
V. BADUEL
ANNEXES
ANNEXE I
A compter de la session 2024 du concours, les étudiants en deuxième année d’études supérieures après le
baccalauréat s’inscrivant pour la première fois à la voie A du concours bénéficient de points supplémentaires fixés
par arrêté ministériel.
La voie A du concours comporte les épreuves ci-après, affectées des coefficients suivants :
Physique 3 heures 4
Chimie 3 heures 4
Humanités 3 heures 4
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 203
Total 26
ANNEXE II
A compter de la session 2024 du concours, les étudiants en deuxième année d’études supérieures après le
baccalauréat s’inscrivant pour la première fois à la voie A TB du concours bénéficient de points supplémentaires
fixés par arrêté ministériel.
La voie A TB du concours comporte les épreuves ci-après, affectées des coefficients suivants :
Total 15
DUREE
MATIERES COEFFICIENTS
préparation interrogation
20 + 2 de l’admissibilité
Total (anglais)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 12 août 2021 pris en application du décret
no 2021-1074 du 12 août 2021 relatif à la mise en place d’une aide sous forme d’avance
remboursable à destination des entreprises à l’aval des exploitations agricoles touchées par les
épisodes de gel survenus du 4 au 14 avril 2021
NOR : AGRT2136216A
«
Ouverture du dépôt Date limite de dépôt
Entreprises concernées des dossiers des dossiers
Vague 1 Entreprises et coopératives à l’aval des filières de production de fruits à noyau 14 août 2021 7 septembre 2021
Vague 2 Entreprises et coopératives à l’aval des filières de production de fruits 20 septembre 2021 5 novembre 2021
».
Art. 2. – L’article 3 de l’arrêté du 12 août 2021 susvisé est remplacé par le texte suivant :
« Art. 3. – « Le dossier de demande d’avance remboursable comporte les pièces justificatives suivantes :
« – exemplaire original de la demande d’aide (CERFA) dûment complété, daté et signé par le demandeur ;
« – statuts de l’entreprise et, le cas échéant, un justificatif d’inscription au casier viticole informatisé ou un
justificatif de reconnaissance pour les organisations de producteurs reconnues ;
« – relevé d’identité bancaire (RIB) du demandeur ;
« – liasse fiscale de l’exercice comptable de référence ;
« – tout document certifié par un tiers de confiance (commissaire au compte, expert-comptable ou centre de
gestion agréé) permettant d’établir l’éligibilité de l’entreprise à l’avance remboursable ;
« – attestation sur l’honneur signée par le demandeur déclarant que les plafonds applicables aux aides attribuées
dans le cadre du régime de minimis sont bien respectés. »
Art. 3. – La directrice générale de la performance économique et environnementale des entreprises est chargée
de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général adjoint
de la performance économique
et environnementale des entreprises,
P. DUCLAUD
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
LOGEMENT
Publics concernés : tout public, déclarants concernés par les produits de construction et de décoration ainsi que
par les équipements électriques, électroniques et de génie climatique utilisés pour le calcul de la performance
environnementale des bâtiments ou destinés à la vente aux consommateurs.
Objet : exigences à respecter pour la déclaration environnementale relative aux produits de construction et de
décoration ainsi qu’aux équipements électriques, électroniques et de génie climatique, destinés à la vente aux
consommateurs, ou utilisée pour le calcul de la performance environnementale des bâtiments.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur au 1er janvier 2022.
Notice : ce décret pris en application du L. 171-2 du code de la construction et de l’habitation précise le contenu
des déclarations environnementales nécessaires à l’évaluation de la performance environnementale des bâtiments
neufs au sens du L. 171-1 du code de la construction et de l’habitation.
Il précise qu’une convention est signée entre le ministre chargé de la construction et des personnes morales
chargée de la vérification des déclarations environnementales dont les modalités d’élaboration et le contenu seront
précisés par arrêté.
Il prévoit également l’obligation pour le déclarant de tenir l’ensemble des informations permettant de justifier le
contenu de la déclaration environnementale à la disposition des personnes chargées des contrôles, et de mettre à
la disposition du public la déclaration environnementale sur la ou les bases de données susmentionnées.
Ce décret intègre par ailleurs les dispositions des articles R. 412-49 à R. 412-57 du code de la consommation
dans une nouvelle sous-section 8 de la section 4 du chapitre Ier du livre Ier du code de la construction et de l’habitat.
Références : les textes créés ou modifiés par le décret peuvent être consultés sur le site Légifrance (https://www.
legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la transition écologique,
Vu le règlement (UE) 2017/1369 du Parlement européen et du Conseil du 4 juillet 2017 établissant un cadre pour
l’étiquetage énergétique ;
Vu la directive 2005/36/CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la
reconnaissance des qualifications professionnelles ;
Vu la directive 2006/123/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 décembre 2006 relative aux services
dans le marché intérieur ;
Vu la directive 2009/125/CE du Parlement européen et du Conseil du 21 octobre 2009 établissant un cadre pour
la fixation d’exigences en matière d’écoconception applicables aux produits liés à l’énergie ;
Vu la directive (UE) 2015/1535 du Parlement européen et du Conseil du 9 septembre 2015 prévoyant une
procédure d’information dans le domaine des réglementations techniques et des règles relatives aux services de la
société de l’information et la notification no 2021/255/F adressée à la Commission européenne le 28 avril 2021 ainsi
que la réponse du 29 juillet 2021 de cette dernière ;
Vu le code de la consommation, notamment le 10o de son article L. 412-1 ;
Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment ses articles L. 171-1 et L. 171-2 ;
Vu le code de l’environnement ;
Vu le code des relations entre le public et l’administration, notamment son article L. 231-6 ;
Vu le décret no 2021-1004 du 29 juillet 2021 relatif aux exigences de performance énergétique et
environnementale des constructions de bâtiments en France métropolitaine ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique en date du 13 avril 2021 ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 203
Vu les observations formulées lors de la consultation du public réalisée du 18 mai au 8 juin 2021, en application
de l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement ;
Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Après la section 2 du chapitre Ier du titre VII du livre Ier de la partie réglementaire du code de la
er
« Art. R. 171-18. – I. – Le contenu de la déclaration environnementale fait l’objet d’une vérification par une
tierce partie indépendante qui est une personne physique ou morale différente du ou des déclarants du produit de
construction ou de décoration ou de l’équipement pour lequel la déclaration est établie. La conformité de la
déclaration environnementale prévue à l’article R. 171-17 est formalisée par la délivrance d’une attestation de
vérification remise par la tierce partie indépendante au déclarant.
« La tierce partie indépendante agit avec impartialité et ne présente pas de conflit d’intérêt de nature à porter
atteinte à son indépendance à l’égard du ou des déclarants, notamment par le fait d’avoir participé au processus
d’élaboration de la déclaration environnementale pour le compte du déclarant. L’attestation de vérification
comprend une déclaration sur l’honneur de la tierce partie indépendante de nature à établir son indépendance et son
impartialité vis-à-vis du ou des déclarants, qui comporte notamment la description de tous ses liens d’intérêts au
cours des trois dernières années.
« Un arrêté du ministre chargé de la construction précise les modalités du processus de vérification et le contenu
de l’attestation de vérification.
« II. – Pour l’exercice de sa mission de vérification, la tierce partie indépendante doit disposer d’une attestation
de reconnaissance d’aptitude individuelle délivrée à des personnes physiques par une personne morale chargée de
l’application d’un programme de déclarations environnementales tel que défini à l’article R. 171-15. Cette
personne y atteste que la tierce partie indépendante dispose, pour l’exercice de sa mission, des garanties
d’indépendance et d’impartialité requises ainsi que des connaissances et des compétences suivantes :
« 1o Au moins deux années d’expérience dans le domaine de l’analyse du cycle de vie des produits de
construction ou de décoration, ou des équipements et des déclarations environnementales ;
« 2o Une connaissance générale sur les techniques de construction d’un bâtiment ainsi que sur l’évaluation des
performances des composants le constituant ;
« 3o Une connaissance précise d’un ou plusieurs secteurs d’activité suivants :
« a) Les produits de construction et de décoration ;
« b) Les équipements électriques, électroniques et de génie climatique ;
« 4o Une connaissance des aspects environnementaux liés aux produits de construction ou de décoration ou aux
équipements ;
« 5o Une connaissance du cadre réglementaire portant sur les déclarations environnementales des produits de
construction, de décoration et des équipements ;
« 6o Une connaissance des exigences, des lignes directrices, des principes et modes opératoires méthodologiques
applicables dans le domaine des déclarations environnementales des produits de construction ou de décoration et
des équipements destinés à un usage dans les ouvrages de bâtiment.
« L’attestation de reconnaissance d’aptitude de la tierce partie indépendante est valable trois ans et est
renouvelée à des conditions précisées par un arrêté du ministre chargé de la construction.
« III. – En cas d’erreurs ou de manquements notables et répétés de la part d’une tierce partie indépendante,
identifiés notamment lors des contrôles complémentaires mentionnés à l’article R. 171-19, réalisés par une
personne morale chargée de l’application d’un programme de déclarations environnementales, cette dernière peut,
après avoir recueilli les observations de la tierce partie indépendante, suspendre ou retirer son attestation de
reconnaissance d’aptitude.
« IV. – Une tierce partie indépendante ressortissante d’un Etat membre de l’Union européenne ou d’un autre Etat
partie à l’accord sur l’Espace économique européen qualifiée dans son Etat membre d’origine pour l’activité de
vérification en tant que tierce partie indépendante peut s’établir en France. La tierce partie indépendante
européenne s’enregistre auprès de la personne morale chargée de l’application d’un programme de déclarations
environnementales.
« Une tierce partie indépendante ressortissante d’un Etat membre de l’Union européenne ou d’un autre Etat
partie à l’accord sur l’Espace économique européen souhaitant exercer l’activité de vérification en tant que tierce
partie indépendante peut exercer en France, à titre temporaire et occasionnel, sous réserve d’être légalement établie
dans un de ces Etats pour y exercer la même activité. Lorsque cette activité ou la formation y conduisant ne sont
pas réglementées dans l’Etat d’établissement, elle doit l’avoir exercée dans un ou plusieurs Etats membres de
l’Union européenne ou Etats parties à l’accord sur l’Espace économique européen pendant au moins une année à
temps plein ou pendant une durée équivalente à temps partiel au cours des dix années qui précèdent la prestation
qu’elle entend réaliser en France. La tierce partie indépendante adresse à la personne morale chargée de
l’application d’un programme de déclarations environnementales une déclaration préalable comprenant une
attestation certifiant que le détenteur est légalement établi dans un Etat membre pour y exercer l’activité en
question et une preuve de ses qualifications professionnelles.
« Art. R. 171-19. – Des programmes de déclarations environnementales définis à l’article R. 171-15
notamment destinés à assurer les garanties de compétences ainsi que d’indépendance et d’impartialité des tierces
parties indépendantes réalisant la vérification des déclarations environnementales peuvent être conventionnés par le
ministre chargé de la construction.
« La personne morale qui souhaite mettre en œuvre un programme de déclarations environnementales adresse
une demande de conventionnement au ministre chargé de la construction. Toute demande de complément formulée
par le service instructeur suspend le délai d’instruction jusqu’à réception des éléments complémentaires demandés.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 203
« Le délai à l’expiration duquel naît une décision implicite d’acceptation concernant la demande de
conventionnement est de quatre mois.
« Les conventions signées entre les personnes morales chargées de l’application d’un programme de déclarations
environnementales et le ministre chargé de la construction précisent les moyens mis en œuvre dans le cadre des
programmes pour assurer la qualité des déclarations environnementales et le respect des obligations de
compétences, d’indépendance et d’impartialité des tierces parties indépendantes réalisant la vérification des
déclarations environnementales.
« La personne morale chargée de l’application d’un programme de déclarations environnementales délivre
l’attestation de reconnaissance d’aptitude mentionnée à l’article R. 171-18. Elle réalise des contrôles
complémentaires des déclarations environnementales pour identifier les éventuelles non-conformités avec
l’article R. 171-17 qui n’auraient pas été identifiées par la tierce partie indépendante. Elle informe le ministre
chargé de la construction des non-conformités constatées. Ces contrôles complémentaires peuvent conduire à la
suspension ou au retrait de la reconnaissance d’aptitude de la tierce partie indépendante dans les conditions définies
à l’article R. 171-18 ainsi que, le cas échéant, à la suspension ou au retrait de la déclaration environnementale dans
les conditions définies à l’article R. 171-22.
« Un arrêté du ministre chargé de la construction précise les modalités d’élaboration de ces conventions et leur
contenu ainsi que les modalités des contrôles réalisés par les personnes morales chargées de l’application d’un
programme de déclarations environnementales.
« Art. R. 171-20. – Le déclarant demande à la personne morale chargée de l’application d’un programme de
déclarations environnementales l’enregistrement de la déclaration environnementale bénéficiant de l’attestation de
vérification mentionnée à l’article R. 171-18 dans la ou les bases de données indiquées dans la convention
mentionnée à l’article R. 171-19.
« Un arrêté du ministre chargé de la construction fixe les caractéristiques et les fonctionnalités de ces bases de
données.
« Art. R. 171-21. – Le déclarant tient à disposition des autorités chargées des contrôles et de la personne
morale chargée de l’application d’un programme de déclarations environnementales l’ensemble des éléments
permettant de justifier les informations contenues dans la déclaration environnementale.
« Un arrêté du ministre chargé de la construction précise ces éléments.
« Art. R. 171-22. – Des contrôles, portant sur le contenu de la déclaration environnementale précisé à
l’article R. 171-17 et sur la vérification effectuée par la tierce partie indépendante sont mis en œuvre par le ministre
chargé de la construction.
« Dans le cadre de ces contrôles, le ministre peut confier au Centre scientifique et technique du bâtiment ou à une
tierce partie indépendante disposant d’une attestation de reconnaissance d’aptitude mentionnée à l’article R. 171-18,
la réalisation d’une vérification approfondie du contenu d’une déclaration environnementale. Dans ce cas, le
déclarant tient à disposition du Centre scientifique et technique du bâtiment ou de la tierce partie indépendante
missionné par le ministre chargé de la construction, l’ensemble des éléments permettant de justifier les
informations contenues dans la déclaration environnementale.
« Lorsqu’une déclaration environnementale bénéficiant d’une attestation de vérification mentionnée à
l’article R. 171-18 ne respecte pas les exigences fixées à l’article R. 171-17, le ministre chargé de la construction,
après mise en demeure du déclarant et de la tierce partie indépendante concernés, demande au déclarant de
régulariser la déclaration environnementale dans un délai qui ne peut excéder une durée d’un an. Il peut, par le
même acte ou par un acte distinct, suspendre la déclaration environnementale de la ou des bases de données
indiquées dans la convention signée avec la personne morale représentant le programme de déclarations
environnementales. S’il n’a pas été déféré à la mise en demeure à l’expiration du délai imparti, le ministre ordonne
le retrait de la déclaration environnementale de la ou des bases de données.
« Sous-section 2
« Déclaration environnementale des produits de construction et de décoration
et des équipements électriques, électroniques et de génie climatique destinés à la vente aux consommateurs
« Art. R. 171-23. – Les dispositions de la présente sous-section s’appliquent aux produits de construction et de
décoration et aux équipements électriques, électroniques et de génie climatique destinés à un usage dans les
ouvrages de bâtiment dès lors qu’ils sont destinés à la vente au consommateur et lorsqu’ils présentent des
allégations à caractère environnemental ou utilisant les termes de développement durable ou leurs synonymes, ou
que leur commercialisation est accompagnée de telles allégations, dans les conditions définies au 10o de
l’article L. 412-1 du code de la consommation.
« Art. R. 171-24. – Au sens de la présente sous-section, on entend par :
« “Règles de définition des catégories de produits” : ensemble de règles, d’exigences et de lignes directrices
spécifiques prévues pour le développement de déclarations environnementales pour une ou plusieurs catégories de
produits ;
« “Mise sur le marché” : première mise à disposition d’un produit de construction ou de décoration, ou d’un
équipement électrique, électronique ou de génie climatique, sur le marché français ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 203
« “Mise à disposition sur le marché” : fourniture d’un produit de construction ou de décoration, ou d’un
équipement destiné à être distribué, consommé ou utilisé sur le marché dans le cadre d’une activité commerciale à
titre onéreux ou gratuit ;
« “Fabricant” : toute personne physique ou morale qui fabrique un produit de construction ou de décoration, ou
un équipement, ou fait concevoir et fabriquer un produit de construction ou de décoration, ou un équipement et le
commercialise sur le marché national sous sa propre marque ;
« “Mandataire” : toute personne physique ou morale ayant reçu mandat écrit du fabricant pour agir en son nom
aux fins de l’accomplissement de tâches déterminées ;
« “Distributeur” : toute personne physique ou morale faisant partie de la chaîne d’approvisionnement, autre que
le fabricant ou l’importateur, qui met un produit de construction ou de décoration, ou un équipement à disposition
sur le marché ;
« “Importateur” : toute personne physique ou morale qui met un produit de construction ou de décoration, ou un
équipement provenant d’un pays tiers sur le marché national ;
« “Responsable de la mise sur le marché” : le fabricant, le mandataire, le distributeur ou l’importateur.
« Les termes : “produits de construction”, “produits de décoration”, “équipements électriques, électroniques et
de génie climatique”, “déclaration environnementale”, “cycle de vie”, “programme de déclarations environne
mentales”, “personne morale chargée d’un programme de déclarations environnementales”, “aspect environne
mental” et “impact environnemental” sont entendus au sens de l’article R. 171-15.
« Le terme “déclarant” mentionné à l’article R. 171-15 est entendu au sens de “responsable de la mise sur le
marché” dans la présente sous-section.
« Art. R. 171-25. – Le responsable de la mise sur le marché de produits de construction ou de décoration, ou
d’équipements présentant des allégations à caractère environnemental ou utilisant les termes de développement
durable ou leurs synonymes, ou dont la commercialisation s’accompagne de telles allégations dans les conditions
définies au 10o de l’article L. 412-1 du code de la consommation, établit une déclaration environnementale de
l’ensemble des aspects environnementaux du produit de construction ou de décoration ou de l’équipement
conforme au programme de déclarations environnementales défini à l’article R. 171-19.
« La déclaration environnementale contient les informations mentionnées à l’article R. 171-17.
« Cette déclaration environnementale est représentative de la production mise sur le marché français du produit
de construction ou de décoration, ou de l’équipement, portant des allégations à caractère environnemental ou
utilisant les termes de développement durable ou ses synonymes.
« Elle est mise à jour à chaque changement significatif du produit de construction ou de décoration, ou de
l’équipement, notamment lorsque des évolutions technologiques ou d’autres circonstances sont susceptibles d’en
modifier le contenu ou l’exactitude, et au moins tous les cinq ans.
« Art. R. 171-26. – Le responsable de la mise sur le marché tient à disposition des autorités chargées des
contrôles l’ensemble des éléments permettant de justifier les informations contenues dans la déclaration
environnementale.
« Art. R. 171-27. – Par exception aux dispositions de l’article R. 171-25, le responsable de la mise sur le
marché n’est pas tenu d’établir une déclaration environnementale dans les cas suivants :
« 1o Le produit mentionné à l’article R. 171-25 fait l’objet d’une certification relative à des caractéristiques
environnementales respectant les exigences définies par arrêté du ministre chargé de la construction, et les
allégations environnementales sur ou accompagnant le produit sont celles prévues par la certification ;
« 2o Le produit mentionné à l’article R. 171-25 satisfait aux exigences d’une réglementation concernant un ou
plusieurs aspects environnementaux mentionnés au même article, et les allégations environnementales sur ou
accompagnant le produit sont prévues par la réglementation.
« Art. R. 171-28. – Lorsqu’un produit entre dans le champ d’application des mesures d’exécution prises par la
Commission européenne en application de l’article 15 de la directive 2009/125/CE du Parlement européen et du
Conseil du 21 octobre 2009 établissant un cadre pour la fixation d’exigences en matière d’éco-conception
applicables aux produits liés à l’énergie ou est réglementé par des actes délégués adoptés par la Commission
européenne en application des articles 16 et 20 du règlement (UE) 2017/1369 du Parlement européen et du Conseil
du 4 juillet 2017 établissant un cadre pour l’étiquetage énergétique, les règles de définition des catégories de
produits utilisées pour l’élaboration de la déclaration environnementale de ce produit respectent ces mesures
d’exécution ou ces actes délégués.
« Art. R. 171-29. – La déclaration environnementale respecte l’exigence de vérification par une tierce partie
indépendante dans les conditions mentionnées à l’article R. 171-18.
« Art. R. 171-30. – Lorsqu’il communique dans les conditions mentionnées à l’article R. 171-25, le
responsable de la mise sur le marché indique sur le support de communication utilisé que la déclaration
environnementale a été déposée à l’adresse de la ou des bases mentionnées à l’article R. 171-20 en précisant la
référence de celle-ci.
« Art. R. 171-31. – Un arrêté du ministre chargé de la construction précise les conditions d’application de la
présente sous-section. »
Art. 2. – La section 6 du chapitre II du titre Ier du livre IV de la partie réglementaire du code de la
consommation est abrogée.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
LOGEMENT
Publics concernés : la société de gestion des financements et de la garantie de l’accession sociale à la propriété
(SGFGAS) et ses actionnaires.
Objet : approbation des statuts de la SGFGAS.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : la SGFGAS est une société anonyme agissant pour le compte de l’Etat. Ce décret, pris en application de
l’article L. 312-1 du code de la construction et de l’habitation (CCH), approuve les nouveaux statuts de la
SGFGAS. Ces statuts ouvrent la possibilité d’organiser des CA en visio-conférence et de délibérer par voie
électronique. Ils réduisent le capital social de la société suite au départ d’un établissement de crédit. Enfin ils
modifient la date et la durée de l’exercice social.
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de la transition écologique,
Vu le code de la construction et de l’habitation, notamment ses articles L. 312-1 et D. 312-3-1 ;
Vu les modifications statutaires adoptées le 25 septembre 2017 par l’assemblée générale mixte de la SGFGAS ;
Vu les modifications statutaires adoptées le 30 septembre 2019 par l’assemblée générale mixte de la SGFGAS ;
Vu les modifications statutaires adoptées le 30 juin 2020 par l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires
de la SGFGAS ;
Vu les modifications statutaires adoptées le 24 juin 2021 par l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires
de la SGFGAS,
Décrète :
Art. 1 . – Les statuts modifiés de la société mentionnée au dernier alinéa de l’article L. 312-1 du code de la
er
construction et de l’habitation, tels qu’ils ont été adoptés par les assemblées générales extraordinaires de ses
actionnaires le 25 septembre 2017, le 30 septembre 2019, le 30 juin 2020 et le 24 juin 2021, sont approuvés.
Art. 2. – Les statuts de la société mentionnée au dernier alinéa de l’article L. 312-1 du code de la construction
et de l’habitation sont annexés au présent décret.
Art. 3. – Le décret du 15 janvier 2015 portant approbation des statuts de la société de gestion du fonds de
garantie de l’accession sociale à la propriété est abrogé.
Art. 4. – La ministre de la transition écologique, le ministre de l’économie, des finances et de la relance et la
ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du logement, sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
JEAN CASTEX
Par le Premier ministre :
La ministre déléguée
auprès de la ministre de la transition écologique,
chargée du logement,
EMMANUELLE WARGON
La ministre de la transition écologique,
BARBARA POMPILI
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Le ministre de l’économie,
des finances et de la relance,
BRUNO LE MAIRE
ANNEXE
Article 1er
Forme
La société est de forme anonyme.
Article 2
Objet
Cette société a pour objet :
1. La gestion de la garantie de l’Etat octroyée aux prêts à l’habitat en application de l’article L. 312-1 du code de
la construction et de l’habitation.
2. La gestion des aides de l’Etat afférentes aux avances sans intérêt consenties pour l’acquisition, la construction
ou la rénovation d’une résidence principale en application des articles 244 quater J, 244 quater U et 244 quater V
du code général des impôts, L. 31-10-1 et suivants et R. 317-1 et suivants du code de la construction et de
l’habitation.
3. Le suivi règlementaire et statistique et le contrôle des opérations relatives au régime de l’épargne-logement
mentionné à l’article L. 315-1 du code de la construction et de l’habitation.
4. Et plus généralement, toutes opérations de quelque nature qu’elles soient, économiques ou juridiques,
financières, civiles ou commerciales, pouvant se rattacher, directement ou indirectement, à cet objet social ou à
tous objets similaires, connexes ou complémentaires ; la participation directe ou indirecte de la société à toutes
activités pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet social.
Article 3
Dénomination
La société a pour dénomination sociale « Société de Gestion des Financements et de la Garantie de l’Accession
Sociale à la Propriété », utilisée sous le sigle « S.G.F.G.A.S. ».
Article 4
Siège
Le siège social est fixé à : 13, rue Auber, 75009 Paris. Il peut être transféré à tout autre endroit du même
département ou des départements limitrophes par décision du conseil d’administration sous réserve de ratification
de cette décision par la plus prochaine assemblée générale ordinaire des actionnaires et partout ailleurs en vertu
d’une décision de l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires, sous réserve des dispositions légales en
vigueur.
Article 5
Durée de la société
La durée de la société est fixée à 99 années à compter du jour de son immatriculation au registre du commerce et
des sociétés sauf les cas de dissolution anticipée ou de prorogation prévue par la loi ou décidée par l’assemblée
générale extraordinaire des actionnaires.
Article 6
Apports
Lors de la constitution de la société, il n’a été procédé qu’à des apports en numéraire.
Article 7
Capital social
Le capital social est fixé à la somme de huit cent vingt-cinq mille quinze euros (825 015 euros), divisé en
cinquante-cinq mille une (55 001) actions de quinze euros chacune, entièrement libérées et de même catégorie.
Article 8
Libération des actions
Toute souscription d’actions en numéraire est obligatoirement accompagnée du versement de la totalité du
montant nominal des actions souscrites et, le cas échéant, de la totalité de la prime d’émission.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Article 9
Actionnariat
Outre le président du conseil d’administration nommé dans les conditions prévues à l’article 12 des présents
statuts et les actionnaires déjà présents au 18 décembre 2014, seuls peuvent devenir actionnaires de la société, sous
condition de la conclusion avec la société d’une convention relative aux dispositifs de garantie de l’accession
sociale à la propriété ou à la distribution des avances remboursables mentionnées à l’article 2 des présents statuts :
– les établissements de crédit et les sociétés de financement au sens de l’article L. 511-1 du code monétaire et
financier ;
– les organes centraux, au sens des articles L. 511-30 et suivants du code monétaire et financier.
Les actions doivent obligatoirement revêtir la forme nominative. Elles sont inscrites au nom de leur titulaire dans
des comptes tenus par la société.
Chaque établissement de crédit isolé, chaque société de financement isolée ou chaque « groupe d’actionnaires »
au sens décrit ci-après doit respecter un principe de répartition égalitaire des parts dans le capital de la société. Un
groupe d’actionnaires s’entend, parmi les actionnaires présents, soit d’un organe central et les établissements de
crédit et les sociétés de financement qui lui sont affiliés soit d’établissements de crédit et/ou de sociétés de
financement qui appartiennent à un même groupe.
Les attestations d’inscription en compte sont valablement signées par le président du conseil d’administration ou
toute autre personne ayant reçu délégation à cet effet.
Article 10
Transmission des actions
A. – Indivisibilité des actions
Les actions sont indivisibles à l’égard de la société.
3.2. Souscription au capital par cession de titres de la part de tous les actionnaires existant
En cas de souscription au capital par cession de titres de la part de tous les actionnaires existant, le nombre total
d’actions de la société est divisé par le nombre d’actionnaires, y compris le nouvel actionnaire, en un nombre entier
d’actions. Le nouvel actionnaire acquiert des autres actionnaires la totalité des actions lui revenant. Les actions
restantes sont acquises par l’actionnaire qui s’est proposé et a été agréé, à cette fin, par l’ensemble des autres
actionnaires, ou sont cédées à titre onéreux au président du conseil d’administration de la SGFGAS.
3.3. Cession de titres de capital ou de valeurs mobilières à l’initiative d’un actionnaire existant
L’actionnaire qui souhaite céder ses actions à un tiers doit demander, sous peine de nullité de la cession,
l’agrément du cessionnaire dans les conditions détaillées au point B.2 du présent article.
La réponse à la cession, prise par l’assemblée générale des actionnaires, est notifiée au cédant qui informera le
cessionnaire.
A défaut de réponse dans un délai de trois mois à compter de la notification de la demande, l’agrément est réputé
acquis.
En cas de refus d’agrément du ou des cessionnaires proposés, l’actionnaire cédant peut, à tout moment, faire
connaître au conseil d’administration qu’il renonce à son projet de cession.
Si l’actionnaire cédant n’a pas renoncé à son projet, le conseil d’administration est tenu dans le délai de trois
mois à compter de la notification du refus, de faire acquérir ses titres soit par un tiers (a) soit par les actionnaires
(b), soit, avec le consentement du cédant, par la société en vue d’une réduction du capital (c). Si à l’expiration du
délai de 3 mois, l’achat n’est pas réalisé, l’agrément est réputé donné. L’actionnaire cédant est alors autorisé à
procéder à la cession au profit du cessionnaire initial.
a) Le rachat de titres par un tiers :
Si un tiers, autre que le cessionnaire initialement proposé, souhaite acheter les titres de la société, il doit être
désigné par l’assemblée générale des actionnaires, dans les conditions visées au B.2 du présent article.
b) Rachat d’actions par les autres actionnaires :
Le nombre total d’actions de la société pourra être divisé par le nombre d’actionnaires, établissements de crédit,
société de financement ou organes centraux, en un nombre entier d’actions. Chaque actionnaire devant acquérir de
l’actionnaire sortant les titres lui revenant. Les actions restantes sont cédées à titre onéreux au président du conseil
d’administration de la SGFGAS
c) Rachat d’actions par la société et réduction du capital :
La société peut également, avec le consentement de l’actionnaire cédant, racheter les actions d’un actionnaire
souhaitant se retirer, en procédant corrélativement à une réduction de capital. A défaut d’accord entre les parties, le
prix d’achat des actions sera déterminé dans les conditions prévues à l’article 1843-4 du code civil.
La réduction du capital est autorisée ou décidée par l’assemblée générale extraordinaire qui peut déléguer cette
compétence au conseil d’administration dans les conditions prévues par la loi.
Article 11
Conseil d’administration
1. La société est administrée par un conseil d’administration de douze membres au plus.
Le conseil d’administration est composé :
– du président du conseil d’administration ;
– d’au plus quatre (4) membres désignés parmi les candidats proposés par les actionnaires ayant la qualité
d’organe central représentant les établissements de crédit agréés en qualité de banque mutualiste ou
coopérative au sens du code monétaire et financier ;
– d’au plus cinq (5) membres désignés parmi les candidats proposés par les actionnaires ayant la qualité
d’établissement de crédit agréé en tant que banque ou établissement de crédit spécialisé au sens du code
monétaire et financier ;
– d’au plus un (1) membre désigné parmi les candidats proposés par les actionnaires ayant la qualité de société
de financement au sens du même code ;
– d’au plus une (1) personne qualifiée, pouvant ne pas relever des catégories précédentes.
Lors de leur nomination, les personnes morales doivent désigner un représentant permanent qui est soumis aux
mêmes conditions et obligations et qui encourt les mêmes responsabilités que s’il était administrateur en son nom
propre, sans préjudice de la responsabilité solidaire de la personne morale qu’il représente.
Lorsque la personne morale administrateur met fin au mandat de son représentant permanent, elle doit notifier
sans délai à la Société par lettre recommandée sa décision ainsi que l’identité de son nouveau représentant
permanent. Il en est de même en cas de décès ou de démission du représentant permanent.
2. La durée des fonctions des administrateurs est de six années.
Les administrateurs élus par l’assemblée générale ordinaire des actionnaires sont toujours rééligibles ; ils
peuvent être révoqués à tout moment.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Nul ne peut être nommé représentant d’un administrateur si, ayant dépassé l’âge de 70 ans, sa nomination a pour
effet de porter à plus d’un tiers des membres du conseil le nombre d’administrateurs ayant dépassé cet âge. Si, du
fait qu’un administrateur en fonction vient à dépasser l’âge de 70 ans, la proportion du tiers susvisé est dépassée, le
représentant des administrateurs le plus âgé est réputé démissionnaire d’office à l’issue de la plus prochaine
assemblée générale ordinaire des actionnaires.
3. Si un ou plusieurs sièges d’administrateurs deviennent vacants entre deux assemblées générales, le conseil
d’administration peut procéder à une ou à des nominations à titre provisoire. La plus proche assemblée générale
procède au remplacement définitif pendant le temps restant à courir du mandat de l’administrateur devant être
remplacé.
Article 12
Présidence du conseil d’administration
Conformément à l’article L. 312-1 du code de la construction et de l’habitation, le président du conseil
d’administration est nommé par arrêté conjoint du ministre chargé de l’économie et des finances et du ministre
chargé du logement.
Le conseil d’administration est consulté préalablement à cette nomination.
Nul ne peut être nommé président du conseil d’administration s’il est âgé de plus de 70 ans. Si le président du
conseil d’administration en fonction vient à dépasser cet âge, il est réputé démissionnaire à l’issue de la plus
prochaine réunion du conseil d’administration.
En cas d’absence ou d’empêchement du président, la séance du conseil est présidée par l’administrateur
spécialement élu à cet effet par les membres du conseil présents.
Article 13
Délibérations du conseil
1. Le conseil d’administration se réunit sur la convocation de son président, ou celle du tiers au moins de ses
membres, au siège social ou en tout autre endroit indiqué dans la convocation.
La convocation est faite trois jours au moins à l’avance par lettre, télécopie ou par messagerie électronique. A
titre exceptionnel, elle peut être verbale et sans délai si tous les administrateurs y consentent, ce consentement
devant être confirmé par lettre, télécopie ou messagerie le jour du conseil.
Lorsque les fonctions de président et de directeur général sont dissociées, le directeur général peut demander au
président de convoquer le conseil sur un ordre du jour déterminé.
Les décisions relevant des attributions propres du conseil d’administration mentionnées à l’article L. 225-37 du
code de commerce peuvent être prises par consultation écrite des administrateurs. Cette consultation est adressée
par messagerie électronique aux administrateurs et laisse un délai minimum de trois jours pour répondre.
2. Les décisions sont prises aux conditions de quorum et de majorité prévues par la loi.
3. Il est tenu un registre de présence qui est signé par les administrateurs participant à la séance du conseil
d’administration.
Sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité, les administrateurs qui participent à la réunion
du conseil par des moyens de visioconférence ou d’autres moyens de télécommunication conformes à la
réglementation en vigueur.
Le registre de présence mentionne, le cas échéant, la participation de ses membres par l’un de ces moyens.
4. Les délibérations du conseil d’administration sont constatées par des procès-verbaux établis et signés
conformément aux dispositions légales en vigueur. Les copies ou extraits de ces procès-verbaux sont certifiés par le
président du conseil d’administration, le directeur général, l’administrateur délégué temporairement dans les
fonctions du président ou un fondé de pouvoirs habilité à cet effet.
Article 14
Pouvoir du conseil d’administration
Le conseil d’administration détermine les orientations de l’activité de la société et veille à leur mise en œuvre.
Sous réserve des pouvoirs expressément attribués aux assemblées d’actionnaires et dans la limite de l’objet social,
il se saisit de toute question intéressant la bonne marche de la société et règle par ses délibérations les affaires qui la
concernent. Le conseil d’administration procède aux contrôles et vérifications qu’il juge opportuns.
Article 15
Direction de la société
1. Le président du conseil organise et dirige les travaux de celui-ci, dont il rend compte à l’assemblée générale et
exécute ses décisions.
2. Conformément aux dispositions de l’article L. 225-51-1 du code de commerce, la direction générale de la
société est assumée soit par le président du conseil d’administration, soit par une autre personne physique nommée
par le conseil d’administration et portant le titre de directeur général. Le choix entre ces deux modalités d’exercice
de la direction générale est effectué par le conseil d’administration. Les actionnaires et les tiers en sont informés
dans les conditions réglementaires.
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Article 16
Rémuneration des administrateurs, du président,
du directeur général et des directeurs généraux délegués
1. L’assemblée générale ordinaire peut allouer aux administrateurs des jetons de présence, dont le montant reste
maintenu jusqu’à décision contraire de l’assemblée générale. Le conseil d’administration répartit cette
rémunération entre ses membres comme il l’entend.
2. La rémunération du président du conseil d’administration et celle du directeur général et, le cas échéant, des
directeurs généraux délégués, sont fixées par le conseil d’administration.
Article 17
Conventions reglementées
Toute convention intervenant directement ou indirectement ou par personne interposée entre la société et son
directeur général, l’un de ses directeurs généraux délégués, l’un de ses administrateurs, l’un de ses actionnaires
disposant d’une fraction des droits de vote supérieure à 10 % ou, s’il s’agit d’une société actionnaire, la société la
contrôlant au sens de l’article L. 233-3 du code de commerce, doit être soumise à l’autorisation préalable du conseil
d’administration dans les conditions légales.
A peine de nullité du contrat, il est interdit aux administrateurs autres que les personnes morales, au directeur
général et aux directeurs généraux délégués, ainsi qu’aux représentants permanents des personnes morales
administrateurs de contracter, sous quelque forme que ce soit, des emprunts auprès de la société, de se faire
consentir par elle un découvert en compte courant ou autrement, ainsi que de faire cautionner par elle leurs
engagements envers les tiers. La même interdiction s’applique aux conjoints, ascendants et descendants des
personnes ci-dessus ainsi qu’à toute personne interposée.
Les conventions portant sur les opérations courantes et conclues à des conditions normales ne sont pas soumises
à la procédure légale d’autorisation et d’approbation. Cependant, ces conventions, sauf lorsqu’en raison de leur
objet ou de leurs implications financières, elles ne sont significatives pour aucune des parties, sont communiquées
par l’intéressé au président du conseil d’administration. La liste et l’objet desdites conventions sont communiqués
par le président aux membres du conseil d’administration et aux commissaires aux comptes.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Article 18
Détachement de personnel
Pour l’exercice de ses missions définies par la loi et le règlement, la société peut faire appel à des membres de la
fonction publique d’Etat de catégorie A ou B, détachés par l’administration.
Le nombre de ces fonctionnaires détachés ne peut excéder cinq.
Article 19
Censeurs
Le conseil d’administration peut décider de la création de censeurs, dont le nombre est au plus de quatre.
En ce cas, deux d’entre eux au plus sont nommés par l’assemblée générale ordinaire des actionnaires. La durée
de leurs fonctions est de quatre années. Ils sont rééligibles. En cas de décès ou de démission de l’un d’entre eux, le
conseil d’administration a, entre deux assemblées générales, la faculté de procéder à la nomination à titre
provisoire d’un nouveau censeur en remplacement du censeur démissionnaire ou décédé. La plus proche assemblée
générale procède au remplacement définitif pendant le temps restant à courir du mandat du censeur devant être
remplacé.
Deux autres censeurs au plus sont nommés par arrêté conjoint du ministre chargé de l’économie et des finances
et du ministre chargé du logement. Ils peuvent être remplacés dans les mêmes conditions.
Les censeurs sont chargés de veiller à la stricte exécution des statuts.
Ils assistent aux séances du conseil d’administration avec voix consultative. Ils examinent les inventaires et les
comptes annuels. Ils présentent à ce sujet leurs observations au conseil d’administration et, s’ils le jugent à propos,
à l’assemblée générale.
Les livres, la comptabilité, et généralement toutes les écritures, doivent leur être communiqués à toute
réquisition. Ils peuvent, à quelque époque que ce soit, vérifier l’état de la caisse et du portefeuille.
Article 20
Commissaires du Gouvernement
Des commissaires du Gouvernement sont nommés par arrêté conjoint du ministre chargé de l’économie et des
finances et du ministre chargé du logement. Ils veillent à ce que la société exerce son activité en conformité avec
les textes légaux et réglementaires qui lui sont propres et avec les missions qui lui ont été confiées.
Les commissaires du Gouvernement rendent compte au ministre chargé de l’économie et des finances et au
ministre chargé du logement de l’activité de la société.
Ils assistent aux réunions du conseil d’administration et ont, en application de l’article L. 312-1 du code de la
construction et de l’habitation, un droit de veto sur toute décision de nature à affecter l’engagement financier de
l’Etat, notamment au titre des prêts aidés et des garanties visés à l’article 2 des présents statuts.
Le recours hiérarchique de la décision d’un commissaire du Gouvernement devant le ministre chargé de
l’économie et des finances ou devant le ministre chargé du logement n’est pas suspensif de la décision de veto.
Les commissaires du Gouvernement sont invités aux réunions chargées de préparer les décisions susceptibles
d’avoir un effet sur les engagements financiers de l’Etat, notamment au titre des prêts aidés et des garanties visées à
l’article 2 des présents statuts.
Les commissaires du Gouvernement peuvent se faire remettre par la société tout document et communiquer tout
renseignement nécessaire à l’exercice de leur mission.
Article 21
Commissaires aux comptes
L’assemblée générale ordinaire des actionnaires désigne, dans les conditions et avec la mission fixée par la loi,
un ou plusieurs commissaires aux comptes.
La rémunération des commissaires aux comptes est déterminée conformément à la réglementation en vigueur.
Ils exercent leurs fonctions pour une durée de six exercices qui s’achève à l’issue de l’assemblée générale qui
statue sur les comptes de l’exercice.
Article 22
Assemblées générales
1. Les assemblées générales sont convoquées et délibèrent dans les conditions prévues par les textes. Elles sont
réunies au siège social ou en tout autre lieu précisé dans l’avis de convocation. Les convocations sont adressées aux
actionnaires par envoi postal ou électronique.
2. L’assemblée générale se compose de tous les actionnaires quel que soit le nombre d’actions qu’ils détiennent
respectivement pourvu qu’elles aient été libérées des versements exigibles.
Les personnes morales actionnaires sont représentées aux assemblées générales soit par un représentant légal soit
par un fondé de pouvoir désigné à cet effet.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
3. Les assemblées sont présidées par le président du conseil d’administration ou, en son absence, par le membre
du conseil d’administration le plus ancien présent à cette assemblée. A défaut, l’assemblée élit elle-même son
président.
Article 23
Exercice social
A compter de l’assemblée générale qui s’est prononcée sur les comptes arrêtés au 31 mars 2019, l’exercice social
commence le 1er janvier de chaque année pour se terminer le 31 décembre de la même année. Pour la clôture des
comptes au 31 décembre 2019, l’exercice débute le 1er avril 2019 et dure donc 9 mois.
Article 24
Répartition des bénéfices
Il est fait sur les bénéfices de l’exercice, diminués, le cas échéant, des pertes antérieures, un prélèvement de cinq
pour cent au moins, pour constituer le fonds de réserve légale. Sur le bénéfice distribuable, il est prélevé tout
d’abord toute somme que l’assemblée générale décidera de reporter à nouveau sur l’exercice suivant ou d’affecter à
la création de tout fonds de réserve extraordinaire, de prévoyance ou autre, avec une affectation spéciale ou non. Le
surplus éventuel est réparti entre tous les actionnaires au prorata de leurs droits dans le capital.
Article 25
Liquidation
1. Sous réserve du respect des prescriptions légales impératives en vigueur, la liquidation de la société obéira aux
règles ci-après, observation faite que les articles 402 à 418 de la loi du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales
ne sont pas applicables.
2. Les actionnaires réunis en assemblée générale ordinaire nomment, parmi les administrateurs, un ou plusieurs
liquidateurs dont ils déterminent les fonctions et la rémunération.
Le ou les liquidateurs exercent leur mission sous le contrôle des commissaires du Gouvernement. Leur
nomination met fin aux fonctions des membres du conseil d’administration et, sauf décision contraire de
l’assemblée, à celles des commissaires aux comptes.
L’assemblée générale ordinaire peut toujours révoquer ou remplacer les liquidateurs et étendre ou restreindre
leurs pouvoirs.
Le mandat des liquidateurs est, sauf stipulation contraire, donné pour toute la durée de la liquidation.
3. Les liquidateurs ont, conjointement ou séparément, les pouvoirs les plus étendus à l’effet de réaliser, aux prix,
charges et conditions qu’ils aviseront, tout l’actif de la société et d’éteindre son passif.
Le ou les liquidateurs ont, même séparément, qualité pour représenter la société à l’égard des tiers, ainsi que
pour agir en justice devant toutes les juridictions tant en demande qu’en défense.
4. Au cours de la liquidation, l’assemblée générale des actionnaires est réunie aussi souvent que l’intérêt de la
société l’exige.
L’assemblée générale est valablement convoquée par les liquidateurs ou par des actionnaires représentant au
moins le dixième du capital social.
L’assemblée générale des actionnaires est présidée par l’un des liquidateurs ou, en son absence, par l’actionnaire
disposant du plus grand nombre de voix. Elle délibère aux mêmes conditions de quorum et de majorité qu’avant la
dissolution.
5. En fin de liquidation, les actionnaires réunis en assemblée générale ordinaire statuent sur le compte définitif de
la liquidation, le quitus de la gestion du ou des liquidateurs et la décharge de leur mandat. Ils constatent, dans les
mêmes conditions, la clôture de la liquidation.
Si les liquidateurs négligent de convoquer l’assemblée générale des actionnaires, le président du tribunal de
commerce, statuant par ordonnance de référé, peut, à la demande de tout actionnaire, désigner un mandataire pour
procéder à cette convocation.
Si l’assemblée générale des actionnaires de clôture ne peut délibérer, ou si elle refuse d’approuver les comptes
de la liquidation, il est statué par décision du tribunal de commerce, à la demande du liquidateur ou de tout
intéressé.
6. L’actif net, après remboursement du nominal des actions, est partagé également entre les actionnaires dans les
mêmes proportions que leur participation au capital.
Lors du remboursement du capital social, la charge de tous impôts que la société aurait l’obligation de retenir à
la source sera répartie entre toutes les actions indistinctement en proportion uniformément du capital remboursé à
chacune d’entre elles sans qu’il y ait lieu de tenir compte des différentes dates d’émission ni de l’origine des
diverses actions.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Article 26
Nomination des premiers membres du conseil d’administration
Sont nommés en qualité de premiers administrateurs devant composer le conseil d’administration de la société
pour une durée qui s’achèvera à l’issue de l’assemblée générale des actionnaires appelée à statuer sur les comptes
du deuxième exercice social et tenue au cours de l’année 1995 :
– la Banque Nationale de Paris, société anonyme au capital de 3.536.972.150 Francs, dont le siège social est à
Paris, neuvième arrondissement, 16, boulevard des Italiens, immatriculée au registre du commerce et des
sociétés de Paris sous le no B 662 042 449, représentée par M. Christian REYNAUD ;
– le Crédit Lyonnais Développement Economique, société anonyme au capital de 60.000.000 Francs, dont le
siège social est à Paris, deuxième arrondissement, immatriculé au registre du commerce et des sociétés de
Paris sous le no B 353 255 656, représenté par M. Jean-Claude VANNIER ;
– la Banque la Hénin, société anonyme au capital de 1.010.000.000 Francs, dont le siège social est à Paris,
huitième arrondissement, 16, rue de la Ville-l’Evèque, immatriculée au registre du commerce et des sociétés
de Paris sous le no B 542 095 948, représentée par M. Jérôme MEYSONNIER ;
– l’Union de Crédit pour le Bâtiment, société anonyme au capital de 1.674.929.200 Francs, dont le siège social
est à Paris, seizième arrondissement, 5, avenue Kléber, immatriculée au registre du commerce et des sociétés
de Paris sous le no B 552 004 624, représenté par M. Didier BROWNE ;
– la Caisse Nationale du Crédit Agricole, société anonyme au capital de 5.738.898.000 Francs, dont le siège
social est à Paris, quinzième arrondissement, 91-93, boulevard Pasteur, immatriculée au registre du commerce
et des sociétés de Paris sous le no B 784 608 416, représentée par M. Jean BOUYSSET ;
– la Fédération Nationale du Crédit Agricole, association régie par la loi du 1er juillet 1901, dont le siège social
est à Paris, huitième arrondissement, 48, rue La Boëtie, représentée par M. Jean-Yves HOCHER ;
– le Centre National des Caisses d’Epargne et de Prévoyance, groupement d’intérêt économique au capital de
136.000.000 Francs, dont le siège social est à Paris, septième arrondissement, 5, rue Masseran, immatriculé au
registre du commerce et des sociétés de Paris sous le no C 328 000 047, représenté par M. Hervé VOGEL ;
– la Caisse Centrale du Crédit Mutuel, société anonyme coopérative à capital variable au capital minimum de
1.000.000 Francs, dont le siège social est à Paris, dix-septième arrondissement, 88-90, rue Cardinet,
immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Paris sous le no B 632 049 052, représentée par
M. Gérard CAMILLE ;
– la Chambre Syndicale des Banques Populaires, association régie par la loi du 1er juillet 1901, dont le siège
social est à Paris, quinzième arrondissement, 5, rue Leblanc, représentée par M. Michel FARRUGIA ;
– la Chambre Syndicale des Sociétés Anonymes de Crédit Immobilier, association régie par la loi du
1er juillet 1901, dont le siège social est à Paris, huitième arrondissement, 2, rue Lord-Byron, représentée par
M. Jacques MIMIN ;
– le Crédit Foncier de France, société anonyme au capital de 3.033.602.700 Francs, dont le siège social est à
Paris, premier arrondissement, 19, rue des Capucines, immatriculé au registre du commerce et des sociétés de
Paris sous le no B 542 029 848, représenté par M. Robert FAGES,
qui acceptent et qui déclarent par eux-mêmes ou par leurs mandataires, chacun en ce qui les concerne, qu’aucune
disposition légale ou réglementaire ne leur interdit d’exercer les fonctions de membre du conseil d’administration
de la société.
Article 27
Nomination des premiers commissaires aux comptes
Les premiers commissaires aux comptes titulaires et suppléants seront :
– commissaire aux comptes titulaire : Cabinet Robert MAZARS, société anonyme à directoire et conseil de
surveillance, dont le siège social est à Paris, VIIIe arrondissement, 135, boulevard Haussmann, immatriculé au
registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro B 650 500 390 ;
– commissaire aux comptes suppléant : M. Bernard ESPADA, demeurant à Boulogne-Billancourt (92100),
97, rue de Sèvres.
Lesquels préalablement aux présentes ont déclaré accepter lesdites fonctions, chacun d’eux précisant que les
dispositions légales instituant des incompatibilités ou des interdictions de fonctions ne peuvent lui être appliquées.
Article 28
Engagement pour le compte de la société en formation
Un état des actes accomplis à ce jour pour le compte de la société en formation avec l’indication, pour chacun
d’eux, de l’engagement qui en résulte pour la société est annexé aux présents statuts.
Cet état a été tenu à la disposition des actionnaires qui ont pu en prendre copie trois jours au moins avant la
signature des présents statuts.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 203
Article 29
Publicité
Conformément aux dispositions de l’article L. 312-1 du code de la construction et de l’habitation, les présents
statuts seront approuvés par décret.
Pour faire publier la présente société, conformément à la loi et aux dispositions réglementaires en vigueur, tous
pouvoirs sont donnés au porteur d’un original ou d’une copie des présents statuts, comme de toutes autres pièces
qui pourraient être exigées.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
LOGEMENT
Par arrêté de la ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du logement, en date
du 8 décembre 2021, l’agence d’urbanisme de l’agglomération de Tours est agréée en tant qu’observatoire local
des loyers pour le périmètre géographique d’observation comprenant les 22 communes suivantes : Ballan-Miré,
Berthenay, Chambray-lès-Tours, Chanceaux-sur-Choisille, Druye, Fondettes, Joué-lès-Tours, Luynes, La Mem
brolle-sur-Choisille, Mettray, Notre-Dame-d’Oé, Parçay-Meslay, La Riche, Rochecorbon, Saint-Avertin, Saint-
Cyr-sur-Loire, Saint-Étienne-de-Chigny, Saint-Genouph, Saint-Pierre-des-Corps, Savonnières, Tours, Villandry.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
TRANSPORTS
TEXTES GÉNÉRAUX
TRANSPORTS
aérien par la société DreamJet sont remplacés par les alinéas suivants :
« Art. 3. – En outre, la société DreamJet est autorisée à exploiter des services aériens réguliers de passagers, de
courrier et de fret sur les liaisons suivantes :
Jusqu’au 31 mars 2022 et uniquement dans le cadre d’un partage de codes avec une compagnie gabonaise
disposant des autorisations nécessaires :
Paris-Libreville (Gabon).
Jusqu’au 31 octobre 2022 :
Paris-Tel Aviv (Israël).
Jusqu’au 30 juin 2024 :
Paris-New York (Etats-Unis) ;
Nice-New York (Etats-Unis). »
Art. 2. – Le directeur général de l’aviation civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 7 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
L’ingénieur des ponts, des eaux et des forêts,
J-C. BRAUN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
TRANSPORTS
La ministre des armées et le ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des
transports,
Vu le code des transports, notamment son article L. 6312-2 ;
Vu le code de l’aviation civile, notamment ses articles D. 211-2, D. 211-3, D. 222-1 et D. 231-1 ;
Vu l’arrêté du 23 novembre 1962 modifié relatif au classement des aérodromes suivant leur usage aéronautique
et les conditions de leur utilisation ;
Vu la demande du directeur central du service d’infrastructure de la défense en date du 4 octobre 2021,
Arrêtent :
Art. 1er. – L’aérodrome de Saint-Christol (Vaucluse) est fermé à toute circulation aérienne et est supprimé de la
liste no 2 visée à l’article 2 de l’arrêté du 23 novembre 1962 susvisé.
Art. 2. – L’arrêté du 31 octobre 1972 autorisant la création d’un aérodrome de catégorie C-AMV à Saint-
Christol (Vaucluse), destiné à être réservé exclusivement aux activités de l’armée de l’air, l’arrêté du 18 mai 1974
portant affectation de l’aérodrome de Saint-Christol (Vaucluse) à titre principal, au ministère des armées pour les
besoins de l’armée de l’air, à l’exclusion de toute affectation secondaire, l’arrêté du 8 aout 1979 réservant
l’aérodrome de Saint-Christol (Vaucluse) à l’usage exclusif des administrations de l’Etat (ministère de la défense)
et l’arrêté du 3 août 1999 portant affectation de l’aérodrome de Saint-Christol (Vaucluse) à titre principal, au
ministère de la défense, pour les besoins de l’armée de terre, à l’exclusion de toute affectation secondaire, sont
abrogés.
Art. 3. – Le directeur général de l’aviation civile et le directeur des patrimoines, de la mémoire et des archives
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait le 8 décembre 2021.
Le ministre délégué
auprès de la ministre de la transition écologique,
chargé des transports,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjoint à la sous-directrice des aéroports,
R. CRINIER
La ministre des armées,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur de l’action immobilière,
de l’environnement et du développement durable
P. DRESS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
TRANSPORTS
La ministre des armées et le ministre délégué auprès de la ministre de la transition écologique, chargé des
transports,
Vu le code des transports, notamment son article L. 6312-2 ;
Vu le code de l’aviation civile, notamment ses articles D. 211-2, D. 211-3, D. 222-1 et D. 231-1 ;
Vu l’arrêté du 23 novembre 1962 modifié relatif au classement des aérodromes suivant leur usage aéronautique
et les conditions de leur utilisation ;
Vu la demande du directeur central du service d’infrastructure de la défense en date du 4 octobre 2021,
Arrêtent :
Art. 1er. – L’hélistation de Toulon-Saint-Mandrier (Var) est fermée à toute circulation aérienne et est
supprimée de la liste no 2 visée à l’article 2 de l’arrêté du 23 novembre 1962 susvisé.
Art. 2. – Le directeur général de l’aviation civile et le directeur des patrimoines, de la mémoire et des archives
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait le 8 décembre 2021.
Le ministre délégué
auprès de la ministre de la transition écologique,
chargé des transports,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjoint à la sous-directrice des aéroports,
R. CRINIER
La ministre des armées,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur de l’action immobilière,
de l’environnement et du développement durable,
P. DRESS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
COMPTES PUBLICS
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics,
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique,
notamment ses articles 14 et 132 ;
Vu l’arrêté du 23 avril 2015 modifié organisant l’exercice des attributions de l’ordonnateur principal du
ministère de la défense ;
Vu l’arrêté du 21 novembre 2016 modifié fixant l’assignation des dépenses et des recettes des ordonnateurs
principaux délégués du ministère de la défense ;
Vu l’arrêté du 25 novembre 2021 modifiant divers arrêtés relatifs aux ordonnateurs du ministère de la défense,
Arrête :
Art. 1 . – Au 5o de l’article 1er de l’arrêté du 21 novembre 2016 susvisé, après les mots : « Le directeur », sont
er
TEXTES GÉNÉRAUX
COMPTES PUBLICS
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics,
Vu l’arrêté du 6 juillet 2016 relatif à la solde de réserve des officiers généraux en deuxième section ;
Vu l’arrêté du 29 juillet 2021 modifiant les arrêtés du 29 juin 2020 relatif aux missions et à l’organisation du
service des ressources humaines civiles et portant organisation de la direction des ressources humaines du ministère
de la défense,
Arrête :
Art. 1 . – A l’article 2 de l’arrêté du 6 juillet 2016 susvisé, les mots : « service parisien de soutien de
er
l’administration centrale du ministère de la défense » sont remplacés par les mots : « centre ministériel d’Arcueil ».
Art. 2. – Le directeur général des finances publiques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur, adjoint au chef du service
de la fonction financière et comptable de l’Etat,
B. LLORCA
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
COMPTES PUBLICS
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des comptes publics,
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique,
notamment ses articles 14 et 133 ;
Vu le décret no 2016-49 du 27 janvier 2016 modifié relatif aux missions des comptables publics et des régisseurs
chargés d’exécuter les opérations de l’Etat à l’étranger ;
Vu le décret no 2021-1158 du 6 septembre 2021 portant création d’un poste comptable spécialisé chargé des
opérations de l’attaché de défense à Washington (Etats-Unis) ;
Vu l’arrêté du 23 avril 2015 modifié portant délégation des pouvoirs d’ordonnateur du ministre de la défense ;
Vu l’arrêté du 21 décembre 2018 modifié fixant l’assignation des dépenses et des recettes des ordonnateurs
secondaires du ministère de la défense ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2020 modifié portant organisation du service de l’énergie opérationnelle ;
Vu l’arrêté du 25 novembre 2021 modifiant divers arrêtés relatifs aux ordonnateurs du ministère de la défense,
Arrête :
Art. 1 . – L’article 3 de l’arrêté du 21 décembre 2018 susvisé est ainsi modifié :
er
»;
o
2 Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Santé » sont remplacés par les mots : « Directeur de la
plate-forme achats-finances-santé ».
Art. 3. – Le tableau de l’annexe B de l’arrêté du 21 décembre 2018 susvisé est ainsi modifié :
1o Les mots : « Directeur du centre d’administration ministériel des indemnités de déplacement » sont remplacés
par les mots : « Directeur du centre interarmées du soutien à la mobilité » ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 203
2o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Ouest » sont remplacés par les mots : « Directeur de la
plate-forme commissariat Brest » ;
3o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Centre-Ouest » sont remplacés par les mots :
« Directeur de la plate-forme commissariat Ouest (stationnée à Rennes ) ;
4o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Centre-Est » sont remplacés par les mots : « Directeur
de la plate-forme commissariat Sud-Est (stationnée à Lyon ) ;
5o Les mots : « Directeur de l’exploitation et de la logistique pétrolière interarmées » sont remplacés par les
mots : « Commandant du centre de soutien technique et administratif » ;
6o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Nord-Est » sont remplacés par les mots : « Directeur de
la plate-forme commissariat Est (stationnée à Metz) ;
7o Les mots : « Directeur du service spécialisé de la logistique et du transport » sont remplacés par les mots :
« Directeur de la plate-forme affrètement et transport » ;
8o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Ile-de-France » sont remplacés par les mots :
« Directeur de la plate-forme commissariat Paris (stationnée à Saint-Germain-en-Laye » ;
9o Les mots : « Directeur de la plate-forme commissariat Sud-Est » sont remplacés par les mots : « Directeur de
la plate-forme commissariat Sud (stationnée à Toulon) » ;
10o Les mots : « Directeur du centre interarmées d’administration des opérations » sont remplacés par les mots :
« Directeur du centre interarmées du soutien administration des opérations » ;
11o Les mots : « Directeur spécialisé des finances publiques pour l’étrange » sont remplacés par les mots
« Directeur spécialisé des finances publiques pour l’étranger » ;
12o Les mots : « Trésorier auprès de l’ambassade de France aux Etats-Unis » sont remplacés par les mots :
« Comptable spécial chargé des opérations de l’attaché de défense à Washington ».
Art. 4. – L’annexe C de l’arrêté du 21 décembre 2018 susvisé est abrogée.
Art. 5. – Les dispositions du présent arrêté entrent en vigueur au lendemain de sa publication, à l’exception de
celles du 3o de l’article 1er, du 12o de l’article 3 et de l’article 4 qui entrent en vigueur le 1er janvier 2022.
Art. 6. – Le directeur général des finances publiques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur, adjoint au chef du service
de la fonction financière et comptable de l’Etat,
B. LLORCA
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
INDUSTRIE
La ministre déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargée de l’industrie,
Vu la loi no 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020, notamment son article 23 ;
Vu le décret no 2020-712 du 12 juin 2020 modifié relatif à la création d’un dispositif d’aides ad hoc au soutien de
la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise de covid-19 ;
Vu l’arrêté du 19 juin 2020 fixant le barème des taux d’emprunt des aides de soutien en trésorerie des petites et
moyennes entreprises fragilisées par la crise de covid-19,
Arrête :
Art. 1 . – L’Etat versera un million huit cent mille (1 800 000 €) euros, au titre du dispositif d’aides ad hoc au
er
soutien de la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 par l’entremise de Bpifrance
Financement SA, sous la forme d’un prêt au profit de la société SETIC (342 635 570).
Le prêt sera versé par Bpifrance Financement SA au nom de l’Etat selon les modalités décrites dans le contrat de
prêt entre la société SETIC et Bpifrance Financement SA.
Bpifrance Financement SA agissant au nom et pour le compte de l’Etat procédera à la régularisation de l’acte de
prêt et des sûretés prévues.
Art. 2. – Le directeur général des entreprises est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 13 décembre 2021.
Pour la ministre et par délégation :
Le chef de la mission
restructuration des entreprises,
O. REMY
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
INDUSTRIE
La ministre déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargée de l’industrie,
Vu la loi no 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020, notamment son article 23 ;
Vu le décret no 2020-712 du 12 juin 2020 modifié relatif à la création d’un dispositif d’aides ad hoc au soutien de
la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise de covid-19 ;
Vu l’arrêté du 19 juin 2020 fixant le barème des taux d’emprunt des aides de soutien en trésorerie des petites et
moyennes entreprises fragilisées par la crise de covid-19,
Arrête :
Art. 1 . – L’Etat versera trois cent cinquante mille (350 000 €) euros, au titre du dispositif d’aides ad hoc au
er
soutien de la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 par l’entremise de Bpifrance
Financement SA, sous la forme d’un prêt au profit de la société SWISSPOLYMERA (521 718 882).
Le prêt sera versé par Bpifrance Financement SA au nom de l’Etat selon les modalités décrites dans le contrat de
prêt entre la société SWISSPOLYMERA et Bpifrance Financement SA.
Bpifrance Financement SA agissant au nom et pour le compte de l’Etat procédera à la régularisation de l’acte de
prêt et des sûretés prévues.
Art. 2. – Le directeur général des entreprises est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 13 décembre 2021.
Pour la ministre et par délégation :
Le chef de la mission
restructuration des entreprises,
O. REMY
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
INDUSTRIE
La ministre déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargée de l’industrie,
Vu la loi no 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020, notamment son article 23 ;
Vu le décret no 2020-712 du 12 juin 2020 modifié relatif à la création d’un dispositif d’aides ad hoc au soutien de
la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise de covid-19 ;
Vu l’arrêté du 19 juin 2020 fixant le barème des taux d’emprunt des aides de soutien en trésorerie des petites et
moyennes entreprises fragilisées par la crise de covid-19,
Arrête :
Art. 1 . – L’Etat versera huit cent mille (800 000 €) euros, au titre du dispositif d’aides ad hoc au soutien de la
er
trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 par l’entremise de Bpifrance Financement SA, sous la
forme d’un prêt au profit de la société UP INDUSTRY (823 155 700).
Le prêt sera versé par Bpifrance Financement SA au nom de l’Etat selon les modalités décrites dans le contrat de
prêt entre la société UP INDUSTRY et Bpifrance Financement SA.
Bpifrance Financement SA agissant au nom et pour le compte de l’Etat procédera à la régularisation de l’acte de
prêt et des sûretés prévues.
Art. 2. – Le directeur général des entreprises est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 13 décembre 2021.
Pour la ministre et par délégation :
Le chef de la mission
restructuration des entreprises,
O. REMY
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 203
TEXTES GÉNÉRAUX
INDUSTRIE
La ministre déléguée auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargée de l’industrie,
Vu la loi no 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificative pour 2020, notamment son article 23 ;
Vu le décret no 2020-712 du 12 juin 2020 modifié relatif à la création d’un dispositif d’aides ad hoc au soutien de
la trésorerie des entreprises fragilisées par la crise de covid-19 ;
Vu l’arrêté du 19 juin 2020 fixant le barème des taux d’emprunt des aides de soutien en trésorerie des petites et
moyennes entreprises fragilisées par la crise de covid-19,
Arrête :
Art. 1 . – L’Etat versera huit cent mille (800 000 €) euros, au titre du dispositif d’aides ad hoc au soutien de la
er
trésorerie des entreprises fragilisées par la crise du covid-19 par l’entremise de Bpifrance Financement SA, sous la
forme d’un prêt au profit de la société LA MANUFACTURE DES LUMIERES (892 462 987).
Le prêt sera versé par Bpifrance Financement SA au nom de l’Etat selon les modalités décrites dans le contrat de
prêt entre la société LA MANUFACTURE DES LUMIERES et Bpifrance Financement SA.
Bpifrance Financement SA agissant au nom et pour le compte de l’Etat procédera à la régularisation de l’acte de
prêt et des sûretés prévues.
Art. 2. – Le directeur général des entreprises est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
Pour la ministre et par délégation :
Le chef de la mission
restructuration des entreprises,
O. REMY
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 203
MESURES NOMINATIVES
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu la Constitution ;
Vu le code électoral, notamment son article LO 144,
Décrète :
Art. 1 . – M. Belkhir BELHADDAD, député, est, en application de l’article LO 144 du code électoral susvisé,
er
chargé d’une mission temporaire ayant pour objet le rôle des collectivités territoriales en matière de financement et
de développement de la pratique et des équipements sportifs.
Art. 2. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 16 décembre 2021.
JEAN CASTEX
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 16 décembre 2021, il est mis fin aux fonctions de consul
général de France à Wuhan exercé par M. Vincent PERRIN.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 17 novembre 2021, sont nommés membres du
Conseil national de la transition écologique :
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 9 décembre 2021, sont nommés membres du
Conseil supérieur de la prévention des risques technologiques pour l’examen des affaires relatives aux transports de
matières dangereuses, dans la catégorie des représentants des intérêts des exploitants des installations mentionnées
à l’article D. 510-1 :
Mme Catherine Royer, en tant que suppléante de Mme Bénédicte Oudart ;
M. Jean-Baptiste Jarry, en tant que suppléant de M. Franck Chevallier.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique en date du 9 décembre 2021, sont nommés membres du
Conseil national de la transition écologique :
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 8 décembre 2021, Mme Annie
Briand, attachée principale d’administration de l’Etat, est admise, d’office par limite d’âge, à faire valoir ses droits
à la retraite, à compter du 30 avril 2022.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 13 décembre 2021, M. Didier
Darguesse, ingénieur divisionnaire de l’industrie et des mines, est admis, sur sa demande, à faire valoir ses droits à
la retraite, à compter du 1er avril 2022.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la relance en date du 13 décembre 2021, M. Henri Jacky,
attaché d’administration de l’Etat, est admis, d’office par limite d’âge, à faire valoir ses droits à la retraite, à
compter du 29 avril 2022.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la directrice du centre expert pour les ressources humaines du personnel civil du ministère de la
défense en date du 13 décembre 2021, les fonctionnaires dont les noms suivent sont nommés et titularisés dans le
corps des attachés d’administration de l’Etat, au titre de l’année 2021 :
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 14 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 27 juillet 2021 modifié portant nomination d’un
régisseur intérimaire et de ses suppléants auprès de la régie d’avances et de recettes du cabinet
de la direction générale de la police nationale
NOR : INTF2137725A
Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 14 décembre 2021, l’arrêté du 27 juillet 2021 modifié portant
nomination d’un régisseur intérimaire et de ses suppléants auprès de la régie d’avances et de recettes du cabinet de
la direction générale de la police nationale (NOR : INTF2123478A) est ainsi modifié :
Le premier alinéa de l’arrêté du 27 juillet 2021 modifié susmentionné est complété par une phrase ainsi rédigée :
« Mme Françoise FREDERICO est reconduite dans ses fonctions de régisseuse d’avances et de recettes
intérimaire auprès de la régie du cabinet de la direction générale de la police nationale, à compter du
29 janvier 2022, pour une durée de 6 mois. »
Le troisième alinéa de l’arrêté du 27 juillet 2021 modifié susmentionné est complété par une phrase ainsi
rédigée :
« Mme Angèle MYRTIL et Mme Anne-Lise ROBERT sont reconduites dans leurs fonctions de mandataires
suppléantes auprès de la régisseuse intérimaire Mme Françoise FREDERICO, à compter du 29 janvier 2022, pour
une durée de 6 mois. »
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Par arrêté du Premier ministre, du ministre de l’intérieur et du ministre des outre-mer en date
du 16 décembre 2021, Mme Emilie NAHON, ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts, est nommée
directrice de projet (groupe II), chargée d’accompagner les acteurs locaux dans la définition et la mise en œuvre
d’un projet d’aménagement durable et résilient de Saint-Martin, auprès du préfet délégué représentant de l’Etat
dans les collectivités de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin, à compter du 1er janvier 2022, pour une durée de trois
ans, avec une période probatoire de six mois.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Premier ministre en date du 15 décembre 2021, M. Antoine SAINT-DENIS, délégué aux affaires
européennes et internationales, est nommé délégué suppléant du Gouvernement français au conseil
d’administration du Bureau international du travail, pour une période de trois ans.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion en date du 9 décembre 2021, sont nommés
membres du conseil d’administration du Centre pour le développement de l’information sur la formation
permanente :
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 7 décembre 2021, Mme MARTIN (Sophie,
Elodie) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire Mme CHAUTARD
(Amandine, Pascale) à la résidence de Saint-Martin-de-Crau (Bouches-du-Rhône).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021 :
L’arrêté en date du 2 décembre 2021 (NOR : JUSC2136106A) nommant Mme GAZAGNES (Anne-France) et
Mme SANCHEZ (Elodie, Carmen) notaires associées à la résidence d’Aimargues (Gard), est modifié comme suit :
Au lieu de : « Mme GAZAGNES (Anne-France) » lire : « Mme GAZAGNE (Anne-France) ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021 :
Il est mis fin aux fonctions de M. BESANCENOT (Thibaut, Jean, Jacques) en qualité de notaire salarié au sein
de l’office de notaire dont est titulaire la société par actions simplifiée « Michel BESANCENOT, Frédéric
DUPUY, Laurent THIEBAUT, Notaires associés », à la résidence de Carcassonne (Aude).
M. BESANCENOT (Thibaut, Jean, Jacques) est nommé notaire associé, membre de la société par actions
simplifiée « Michel BESANCENOT, Frédéric DUPUY, Laurent THIEBAUT, Notaires associés ».
La dénomination sociale de la société par actions simplifiée « Michel BESANCENOT, Frédéric DUPUY,
Laurent THIEBAUT, Notaires associés » est ainsi modifiée : Michel BESANCENOT, Frédéric DUPUY, Laurent
THIEBAUT, Thibaut BESANCENOT Notaires associés ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021, Mme HUYNH (Emilie,
Thien-Nga) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société civile
professionnelle « Bruno BELLOC, Jean-Pierre ESCOBAR, Jean-Philippe HUC, notaires associés d’une société
civile professionnelle titulaire d’offices notariaux » à la résidence de Toulouse (Haute-Garonne).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021, Mme MELOT (Pauline,
Lucie, Marie) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société
d’exercice libéral à responsabilité limitée « L’OFFICE » à la résidence du Mans (Sarthe), suivant arrêté
du 6 octobre 2020.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021, Mme LAURET (Julie, Anne),
épouse VINCENT, est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la
société par actions simplifiée « NOT’AVENIR » à la résidence de Saint-Paul (La Réunion) suivant arrêté
du 10 février 1975.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 9 décembre 2021, le retrait de M. THOMAS
(Hervé), huissier de justice associé, membre la société civile professionnelle « Hervé THOMAS et Alain PAULET,
huissiers de justice associés » titulaire d’un office d’huissier de justice à la résidence de Molsheim (Bas-Rhin), est
accepté.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 décembre 2021 :
Il est mis fin aux fonctions de M. COLLIN (Gilles, Michel, Robert) en qualité de notaire salarié au sein de
l’office de notaire dont est titulaire Mme JURIO Y BURGUI (Sophie, Marie, Uxua) à la résidence de Bayonne
(Pyrénées-Atlantiques).
La démission de Mme JURIO Y BURGUI (Sophie, Marie, Uxua), notaire à la résidence de Bayonne (Pyrénées-
Atlantiques), est acceptée.
La société d’exercice libéral à responsabilité limitée « NOTAIRES 22 REPUBLIQUE », constituée pour
l’exercice de la profession de notaire, est nommée notaire à la résidence de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), en
remplacement de Mme JURIO Y BURGUI (Sophie, Marie, Uxua).
Mme JURIO Y BURGUI (Sophie, Marie, Uxua) et M. COLLIN (Gilles, Michel, Robert) sont nommés notaires
associés.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 décembre 2021, M. BOURGERY (Frédéric,
Marie, Georges) est nommé en qualité de notaire salarié au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société
civile professionnelle « Jean-Noël MILCENT, notaire, associé d’une société civile professionnelle titulaire d’un
office notarial » à la résidence de Saint-Ay (Loiret).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 décembre 2021, M. LOUVEL (Théo,
Rodrigue, Inès) est nommé en qualité d’huissier de justice salarié au sein de l’office d’huissier de justice dont est
titulaire la société civile professionnelle « Thierry ROY, Nicolas LEMOINE et Jean-Noël GALY Huissiers de
Justice associés, Société Civile Professionnelle titulaire d’un Office d’Huissiers de Justice » à la résidence de
Villeneuve-d’Ascq (Nord).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 décembre 2021, Mme BEAL (Eve-Marie,
Grégorine, Christel) est nommée en qualité d’huissière de justice salariée au sein de l’office d’huissier de justice
dont est titulaire la société par actions simplifiée « ID FACTO » à la résidence de Montlhéry (Essonne).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 décembre 2021 :
Il est mis fin aux fonctions de M. BOCKTAELS (Quentin, Christophe, Pierre, Fabrice) en qualité de notaire
salarié au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société civile professionnelle « Luc VILLET et Thomas
CAMUS, notaires associés d’une SCP titulaire d’un office notarial » à la résidence de Meung-sur-Loire (Loiret).
La démission de M. NABON (Julien, James, Francis), notaire à la résidence de Fay-aux-Loges (Loiret), est
acceptée.
La société à responsabilité limitée « NOTAIRE DES LOGES », constituée pour l’exercice de la profession de
notaire, est nommée notaire à la résidence de Fay-aux-Loges (Loiret), en remplacement de M. NABON (Julien,
James, Francis).
M. BOCKTAELS (Quentin, Christophe, Pierre, Fabrice) est nommé notaire associé, membre de la société à
responsabilité limitée « NOTAIRE DES LOGES ».
M. NABON (Julien, James, Francis), notaire associé, membre de la société à responsabilité limitée « 1512
NOTAIRES », est nommé pour exercer dans l’office dont cette dernière est titulaire à la résidence d’Orléans
(Loiret).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 13 décembre 2021, Mme Emilie DELONCLE,
attachée d’administration de l’Etat stagiaire, issue de l’institut régional d’administration de Lyon, est à compter
du 1er septembre 2021, titularisée dans le corps interministériel des attachés d’administration de l’Etat en qualité
d’attachée d’administration de l’Etat.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du Premier ministre en date du 15 décembre 2021, M. Patrick FRYDMAN, conseiller d’Etat, est placé
dans la position de détachement auprès du tribunal administratif de l’Organisation internationale du travail, pour
une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2022, afin d’exercer les fonctions de juge résident.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Par arrêté du ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de la ministre de la culture en date
du 15 décembre 2021, sont nommés membres du Haut Conseil de l’éducation artistique et culturelle :
1. Au titre des représentants du ministre chargé de la culture :
a) Membres titulaires :
M. Corbin (Noël), délégué général à la transmission, aux territoires et à la démocratie culturelle ;
Mme Rogé (Aymée), directrice régionale des affaires culturelles Bourgogne-Franche-Comté ;
b) Membres suppléants :
Mme Jacquot-Marchand (Isabelle), cheffe du bureau des temps de la vie ;
M. Drouet (Marc), directeur régional des affaires culturelles Auvergne-Rhône-Alpes, en renouvellement de son
mandat.
2. Au titre des représentants du ministre chargé de l’éducation nationale :
a) Membres titulaires :
M. Geffray (Edouard), directeur général de l’enseignement scolaire, en renouvellement de son mandat ;
Mme Béguin (Katia), rectrice de l’académie d’Orléans-Tours ;
b) Membres suppléants :
M. Brossé (Manuel), chef de la mission éducation artistique et culturelle ;
Mme Manès-Bonnisseau (Chantal), rectrice de l’académie de La Réunion.
3. Au titre du représentant du ministre chargé de la jeunesse :
a) Membre titulaire :
Mme Pérès (Emmanuelle), directrice de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative ;
b) Membre suppléant :
Mme Hess (Hélène), cheffe du bureau du partenariat associatif jeunesse et éducation populaire.
4. Au titre du représentant du ministre chargé de l’agriculture :
a) Membre titulaire :
Mme Baduel (Valérie), directrice générale de l’enseignement et de la recherche ;
b) Membre suppléant :
Mme Croyère (Adeline), sous-directrice des politiques de formation et d’éducation, en renouvellement de son
mandat.
5. Au titre du représentant du ministre chargé de l’enseignement supérieur :
a) Membre titulaire :
Mme Prat (Isabelle), cheffe du service de la stratégie des formations et de la vie étudiante à la direction générale
de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle ;
b) Membre suppléant :
Mme Poulot (Monique), conseillère scientifique et pédagogique à la direction générale de l’enseignement
supérieur et de l’insertion professionnelle.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 7 octobre 2021 portant inscription sur la liste d’aptitude au titre de l’année 2022
(corps des directeurs d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux)
NOR : SSAN2137093A
Par arrêté de la directrice générale du Centre national de gestion en date du 7 octobre 2021, les personnes
ci-après énumérées sont inscrites, au titre de l’année 2022, sur la liste d’aptitude prévue par le décret no 2007-1930
du 26 décembre 2007 modifié portant statut particulier du corps des directeurs d’établissements sanitaires, sociaux
et médico-sociaux de la fonction publique hospitalière aux grades de hors classe et de classe normale des
personnels de direction des établissements mentionnés à l’article 2 (3o à 6o) de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986
modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière, des établissements mentionnés
au 1o de l’article 2 de la même loi et figurant sur une liste arrêtée par le ministre chargé de la santé, et aux emplois,
en qualité directeur adjoint, dans les établissements mentionnés aux 1o et 2o :
I. – Au titre du I (1o) de l’article 11 du décret no 2007-1930 du 26 décembre 2007 susmentionné :
CURTILLET Hervé ;
GOBBO Marie-Laure ;
KASSOU Safia ;
RAPIN Anastasie ;
SANDMANN Pascal.
II. – Au titre du II (1o) de l’article 11 du décret no 2007-1930 du 26 décembre 2007 susmentionné :
BARRY Géraldine ;
CANTONNET-PALOQUE Isabelle ;
PALLENCHIER Catherine ;
PETIT Bruno ;
PORTRON Pierre-Luc ;
RICHER Fabrice ;
SIGAUD Jérôme ;
TRAVERS Isabelle ;
TURI Carine.
Le présent arrêté prendra effet à compter du 1er janvier 2022.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre des solidarités et de la santé en date du 30 novembre 2021, en vue de l’accomplissement
d’un parcours de consolidation des compétences sous statut de praticien associé, les personnes dont les noms
suivent sont affectées comme suit :
1. M. LAMRI (Mohamed Amine) est affecté à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris pour 3 mois de stage
(équivalent temps plein) en microbiologie ;
2. Mme OUSSEDIK épouse DJEBRANI (Nouzha) est affectée à l’Assistance publique-hôpitaux de Paris pour
trois mois de stage (équivalent temps plein) répartis de la manière suivante : un mois en biochimie et
deux mois en microbiologie.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 203
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la directrice générale du Centre national de gestion en date du 1er décembre 2021, les personnes
ci-après énumérées sont inscrites, au titre de l’année 2022, sur la liste d’aptitude prévue par le décret no 2005-921
du 2 août 2005 modifié portant statut particulier du corps des directeurs d’hôpital aux grades de hors classe et de
classe normale des personnels de direction des établissements mentionnés à l’article 2 (1o et 2o) de la loi no 86-33
du 9 janvier 1986 modifiée :
I. – Au titre du I (1o) de l’article 10 du décret no 2005-921 du 2 août 2005 modifié, susvisé :
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 16 décembre 2021 portant modification de l’arrêté du 30 novembre 2021 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité de
« endocrinologie, diabète et maladies métaboliques » en application des dispositions du I de
l’article L. 4111-2 du code de la santé publique et des dispositions du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SSAN2137918A
Par arrêté du ministre des solidarités et de la santé en date du 16 décembre 2021, l’arrêté du 30 novembre 2021
fixant la liste de la personne autorisée à exercer en France la profession médecin dans la spécialité
« endocrinologie, diabète et maladies métaboliques » en application des dispositions du I de l’article L. 4111-2
du code de la santé publique est modifié comme suit :
Au lieu de lire : « Mme HAGE (Mirella), épouse DECONNICK, née le 30 juin 1982 à Sin El Fil (Liban) », lire :
« Mme HAGE (Mirella), épouse DECONINCK, née le 30 juin 1982 à Sin El Fil (Liban) ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 203
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA MER
La ministre de la mer,
Vu le décret no 2017-1063 du 18 mai 2017 modifié relatif aux cabinets ministériels ;
Vu le décret no 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des
membres du Gouvernement ;
Vu le décret du 3 juillet 2020 portant nomination du Premier ministre ;
Vu le décret du 6 juillet 2020 relatif à la composition du Gouvernement,
Arrête :
Art. 1 . – Il est mis fin, à compter du 1er janvier 2022, aux fonctions exercées par M. Loïc Millois en qualité de
er
conseiller ports et transports maritimes au cabinet de la ministre de la mer, appelé à d’autres fonctions.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 décembre 2021.
ANNICK GIRARDIN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 203
MESURES NOMINATIVES
La composition des membres du comité plénier du comité technique permanent de la sélection des plantes
cultivées nommés au titre des représentants des obtenteurs de variétés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. LESPRIT (Emmanuel) » sont remplacés par les mots : « Mme BLUMEL (Rachel) ».
Art. 2. – L’article 3 de l’arrêté du 13 novembre 2019 susvisé est ainsi modifié :
a) La composition des membres de la section « Arbres Forestiers » nommés au titre des experts scientifiques est
ainsi modifiée :
Les mots : « M. PICARD (Olivier) » sont remplacés par les mots : « M. SEVRIN (Eric) ».
b) La composition des membres de la section « Céréales à paille » nommés au titre des représentants des
obtenteurs de variétés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. FORET (Louis) » sont remplacés par les mots : « M. BEGUIER (Vincent) ».
c) La composition des membres de la section « Céréales à paille » nommés au titre des représentants des
utilisateurs de produits des récoltes obtenues à partir des semences ou plants est ainsi modifiée :
Les mots : « Mme LEROUX (Marie-Cécile) » sont remplacés par les mots : « Mme CONTAMINE (Anne-
Céline) ».
d) La composition des membres de la section « Colza et autres crucifères » nommés au titre de président de la
section est ainsi modifiée :
Les mots : « Mme DELOURME (Régine) sont remplacés par les mots : « M. THOMAS (Grégoire) ».
e) La composition des membres de la section « Colza et autres crucifères » nommés au titre des représentants des
agriculteurs multiplicateurs de semences ou de plants est ainsi modifiée :
Les mots : « M. CAZELLES (Christophe) » sont remplacés par les mots : « Mme BARNAUD (Sophie) ».
f) La composition des membres de la section « Espèces Fruitières » nommés au titre des représentants des
professionnels et des utilisateurs est ainsi complétée :
Représentants de l’interprofession :
Mme LEPINE (Aurélia), INTERFEL ;
M. SAUVAITRE (Daniel), INTERFEL.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 203
g) La composition des membres de la section « Espèces Légumières » nommés au titre des représentants de
l’interprofession est ainsi modifiée :
Les mots : « M. DAVIOT (Dominique) » sont remplacés par les mots : « Mme TEISSIER (Emeline) ».
h) La composition des membres de la section « Lin et Chanvre » nommés au titre de l’interprofession est ainsi
modifiée :
Les mots : « M. BOUFFARTIGUE (Julien) » sont remplacés par les mots : « Mme LECLERCQ (Elise) ».
i) La composition des membres de la section « Maïs et sorgho » nommés au titre des représentants des
obtenteurs de variétés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. ROUSSEAU (Thibault) » sont remplacés par les mots : « M. LAURENT (Patrice) ».
Les mots : « M. FRANTZ (Pierre) » sont remplacés par les mots : « M. CHEVALIER (Fabrice) ».
j) La composition des membres de la section « Plantes fourragères et à gazon » nommés au titre des
représentants des obtenteurs de variétés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. FORET (Louis) » sont remplacés par les mots : « M. DAVID (Denis) ».
k) La composition des membres de la section « Plantes protéagineuses » nommés au titre des représentants des
obtenteurs de variétés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. FORET (Louis) » sont remplacés par les mots : « M. BEGUIER (Vincent) ».
l) La composition des membres de la section « Plantes ornementales, à parfum, médicinales et aromatiques »
nommés au titre des représentants de l’interprofession est ainsi modifiée :
Les mots : « M. DAVIOT (Dominique) » sont remplacés par les mots : « Mme TEISSIER (Emeline) ».
m) La composition des membres de la section « Pomme de terre » nommés au titre des représentants des
utilisateurs de produits des récoltes obtenues à partir des semences ou plants est ainsi modifiée :
Les mots : « M. TORDEUR (Alexis) » sont remplacés par les mots : « M. BENARD (Henri) ».
n) La composition des membres de la section « Vigne » nommés au titre des représentants des instituts
techniques spécialisés ou assimilés est ainsi modifiée :
Les mots : « M. BLOY (Pascal) » sont remplacés par les mots : « Mme ROCQUE (Anastasia) ».
Les mots : « M. VAN RUYSKENSVELDE (Jean-Pierre) » sont remplacés par les mots : « M. RIOU
(Christophe) ».
Art. 3. – Le directeur général de l’alimentation est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 9 décembre 2021.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général de l’alimentation,
B. FERREIRA
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 203
MESURES NOMINATIVES
COMPTES PUBLICS
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la relance, chargé des
comptes publics, en date du 14 décembre 2021, Mme Véronique LE GOFF, inspectrice des Finances publiques, est
nommée agent comptable du Groupement de coopération sociale et médico-sociale de santé mentale du Golfe du
Morbihan en remplacement de Mme Valérie LE LOIRE.
Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressée.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 203
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 26 novembre 2021 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
des conseils d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (no 2666)
NOR : MTRT2134237A
presse délègue à son président le pouvoir d’adopter les décisions à caractère individuel relatives à :
– l’attribution, en application de l’article L. 42-1 du code des postes et des communications électroniques, des
autorisations suivantes :
– les autorisations d’utilisation de fréquences portant sur les liaisons point-à-point du service fixe ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences portant sur les stations terriennes du service fixe par satellite ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences attribuées pour une durée inférieure à 2 mois ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences en dessous de 470 MHz ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences délivrées à des fins expérimentales.
– la modification et l’abrogation, à la demande du titulaire, de ces mêmes autorisations d’utilisation de
fréquences radioélectriques.
Sont exclues de la présente délégation de pouvoir les décisions suivantes :
– les décisions non expressément mentionnées aux alinéas précédents ;
– parmi les décisions mentionnées aux alinéas précédents, les décisions à caractère individuel relatives à
l’attribution, la modification et l’abrogation, à la demande du titulaire, des autorisations suivantes :
– les autorisations d’utilisation de fréquences attribuées selon la procédure prévue à l’article L. 42-2 du code
des postes et des communications électroniques ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences attribuées en application de l’article L. 42-3 du code des postes
et des communications électroniques, à la suite de cessions soumises à approbation préalable de l’Autorité
de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences ayant pour objet l’établissement de la boucle locale d’un réseau
radioélectrique ouvert au public ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences ayant pour objet de réaliser des expérimentations portant sur
des technologies pouvant être utilisées pour établir et exploiter la boucle locale d’un réseau radioélectrique
ouvert au public ;
– les autorisations d’utilisation de fréquences à des fins expérimentales attribuées sur le fondement du VI de
l’article L. 42-1 du code des postes et des communications électroniques.
Les décisions de refus sont prises après avis conforme de l’Autorité de régulation des communications
électroniques, des postes et de la distribution de la presse.
Art. 2. – L’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la
presse délègue à son président le pouvoir d’adopter les décisions à caractère individuel relatives à :
– l’attribution, en application de l’article L. 44 du code des postes et des communications électroniques, sauf
dans le cadre de la procédure prévue au III de cet article, aux opérateurs qui le demandent, des préfixes,
numéros, blocs de numéros ainsi que des codes utilisés pour l’acheminement des communications
électroniques qui ne relèvent pas du système d’adressage de l’internet, y compris ceux attribués à l’issue d’un
tirage au sort ou d’une procédure d’attribution exceptionnelle, tels que prévus dans la décision no 2018-0881
modifiée susvisée, et ce conformément aux modalités d’attribution qui seraient, le cas échéant, déterminées
par l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse ;
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 119 sur 203
Délégation est donnée à M. David Epelbaum, chef de l’unité « Opérateurs et obligations légales », à l’effet de
signer, au nom de la présidente, tous actes relatifs à l’exercice des compétences mentionnées à l’article D. 98-1 du
code des postes et des communications électroniques.
Art. 7. – Délégation est donnée à Mme Anne-Lise Thouroude, chef de l’unité « Fréquences et technologies », à
l’effet de signer, au nom de la présidente, tous actes se rapportant aux questions liées aux bandes de fréquences
dont la gestion et le suivi de l’utilisation lui ont été confiés, à l’exception des délibérations de l’Autorité, dans la
limite des attributions de la direction « Mobile et innovation ».
Délégation est donnée à M. Patrick Lagrange, chef de l’unité « Attribution des fréquences mobiles », à l’effet de
signer, au nom de la présidente, tous actes se rapportant aux questions liées aux bandes de fréquences dont la
gestion et le suivi de l’utilisation lui ont été confiés, à l’exception des délibérations de l’Autorité, dans la limite des
attributions de la direction « Mobile et innovation ».
Art. 8. – Délégation est donnée à M. Hubert Virlet, adjoint à la directrice « Economie, marchés et numérique »,
à l’effet de signer, au nom de la présidente, tous actes se rapportant au fonctionnement de l’Autorité de régulation
des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse ou à l’exécution de ses décisions, à
l’exception des délibérations de l’Autorité, dans la limite des attributions de la direction « Economie, marchés et
numérique ».
Art. 9. – Délégation est donnée à M. Ghislain Heude, adjoint au directeur « Fibre, infrastructures et
territoires », à l’effet de signer, au nom de la présidente, tous actes se rapportant au fonctionnement de l’Autorité de
régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse ou à l’exécution de ses
décisions, à l’exception des délibérations de l’Autorité, dans la limite des attributions de la direction « Fibre,
infrastructures et territoires ».
Art. 10. – La décision de la présidente de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des
postes et de la distribution de la presse en date du 1er octobre 2021 portant délégation de signature pour les actes se
rapportant au fonctionnement de l’Autorité ou à l’exécution de ses décisions est abrogée.
Art. 11. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et sur le site internet
de l’Autorité.
Fait à Paris, le 9 décembre 2021.
La présidente,
L. DE LA RAUDIÈRE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 121 sur 203
présidente, les décisions prises en vertu des articles 1er et 2 de la décision no 2021-2670 susvisée.
Art. 2. – Délégation est donnée à M. Olivier Corolleur, directeur général adjoint, à l’effet de signer, au nom de
la présidente, les décisions prises en vertu des articles 1er et 2 de la décision no 2021-2670 susvisée.
Art. 3. – Délégation est donnée à M. Franck Tarrier, directeur « Mobile et innovation », à l’effet de signer, au
nom de la présidente, les décisions prises en vertu de l’article 1er de la décision no 2021-2670 susvisée ainsi que les
décisions d’attribution des ressources en numérotation définies par la recommandation E.218 de l’Union
internationale des télécommunications.
Délégation est donnée à M. Jean-Luc Stevanin, chef de l’unité « Gestion des fréquences », à l’effet de signer, au
nom de la présidente, les décisions prises en vertu de l’article 1er de la décision no 2021-2670 susvisée ainsi que les
décisions d’attribution des ressources en numérotation définies par la recommandation E.218 de l’Union
internationale des télécommunications.
Art. 4. – Délégation est donnée à M. Loïc Duflot, directeur « Internet, presse, postes et utilisateurs », à l’effet
de signer, au nom de la présidente, les décisions prises en vertu de l’article 2 de la décision no 2021-2670 susvisée,
à l’exclusion des décisions d’attribution des ressources en numérotation définies par la recommandation E.218 de
l’Union internationale des télécommunications.
Délégation est donnée à M. Olivier Delclos, adjoint au directeur « Internet, presse, postes et utilisateurs », à
l’effet de signer, au nom de la présidente, les décisions prises en vertu de l’article 2 de la décision no 2021-2670
susvisée, à l’exclusion des décisions d’attribution des ressources en numérotation définies par la recommandation
E.218 de l’Union internationale des télécommunications.
Délégation est donnée à M. David Epelbaum, chef de l’unité « Opérateurs et obligations légales », à l’effet de
signer, au nom de la présidente, les décisions prises en vertu de l’article 2 de la décision no 2021-2670 susvisée, à
l’exclusion des décisions d’attribution des ressources en numérotation définies par la recommandation E.218 de
l’Union internationale des télécommunications.
Art. 5. – La décision de la présidente de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes
et de la distribution de la presse en date du 28 janvier 2021 portant délégation de signature pour les décisions prises
en vertu des articles 1er et 2 de la décision no 2015-1160 du 29 septembre 2015 modifiée de l’Arcep portant
délégation de pouvoirs est abrogée.
Art. 6. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et sur le site internet
de l’Autorité.
Fait à Paris, le 9 décembre 2021.
La présidente,
L. DE LA RAUDIÈRE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 203
NOR : CNIX2137903X
Saisie par le ministre des solidarités et de la santé d’une demande d’avis concernant un décret modifiant le
décret no 2020-551 du 12 mai 2020 relatif aux systèmes d’information mentionnés à l’article 11 de la loi
no 2020-546 du 11 mai 2020 prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions, et le décret
no 2020-1690 du 25 décembre 2020 autorisant la création d’un traitement de données à caractère personnel relatif
aux vaccinations contre la covid-19,
Vu le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des
personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces
données, et abrogeant la directive 95/46/CE (règlement général sur la protection des données) ;
Vu la loi no 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ;
Après avoir entendu le rapport de Mme Valérie PEUGEOT, commissaire, et les observations de M. Benjamin
TOUZANNE, commissaire du Gouvernement,
L’article 9 du décret actuellement en vigueur permet, en cas d’examen de dépistage positif, de faire parvenir à la
personne concernée un code QR aléatoire ne concernant aucune information permettant de l’identifier apposé sur
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 203
les résultats des examens de dépistage. Après modification par le projet de décret, le traitement « SI-DEP »
permettrait :
– en cas de résultat négatif d’un examen de dépistage virologique au virus SARS-CoV-2, d’apposer sur tout
résultat négatif d’examen de dépistage, les codes QR suivants, contenant des données identifiantes (noms,
prénoms et date de naissance de la personne concernée, informations relatives à l’examen de dépistage) :
– un code QR valant justificatif d’absence de contamination par la covid-19 ou certificat de rétablissement,
pouvant être présenté pour satisfaire aux obligations mentionnées au II de l’article 1er de la loi no 2021-689
du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire et au chapitre II de la loi no 2021-1040 du
5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire ;
– ainsi qu’un code QR permettant l’import de ce justificatif ou certificat dans l’application mobile mentionnée
à l’article 1er du décret du 29 mai 2020 susmentionné ;
– en cas de résultat positif d’un examen de dépistage virologique au virus SARS-CoV-2, d’apposer sur tout
résultat positif d’un examen de dépistage un code QR ne comportant aucune information permettant
d’identifier la personne concernée généré aléatoirement. Ce code QR sera envoyé à la personne concernée afin
qu’elle puisse l’ajouter dans l’application « Tous Anti Covid » (TAC) afin d’informer les autres personnes
utilisatrices de TAC qu’il existe un risque qu’elles aient été contaminées par le virus SARS-CoV-2 en raison
du fait qu’elles se sont trouvées à proximité d’un utilisateur de cette application ayant été diagnostiqué ou
dépisté positif à cette pathologie.
Le projet modifie l’article 1er du décret du 25 décembre 2020 afin que le traitement « Vaccin COVID » permette
la délivrance d’un justificatif de statut vaccinal pouvant être présenté pour satisfaire aux obligations vaccinales ou
la présentation du passe sanitaire.
La Commission estime que ces ajouts sont légitimes et permettent de générer au bénéfice des personnes
concernées toutes les attestations découlant des informations conservées dans le fichier dont elles auraient besoin
au regard de la législation en vigueur.
Sur les autres modifications du traitement « SI-DEP » :
Sur les destinataires :
Le projet de décret modifie l’article 10 du décret du 12 mai 2020 afin de compléter la liste des destinataires de
certaines données contenues dans le traitement « SI-DEP ».
D’une part, selon le projet de décret, « les médecins traitants et les professionnels de santé prescripteurs »
pourront accéder à certaines informations de SI-DEP. La Commission invite le ministère à préciser que les
professionnels de santé prescripteurs visés sont ceux prescrivant les examens de dépistage virologique ou
sérologique.
D’autre part, le projet prévoit que la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) puisse être destinataire de
données contenues dans le traitement « SI-DEP » (données d’identification, caractéristiques techniques du
prélèvement, informations relatives au résultat des examens de dépistage virologique ou sérologique) afin
d’alimenter le dossier médical partagé (DMP) des personnes concernées.
Selon les précisions du ministère, une telle alimentation permettra de conserver l’historique daté des résultats de
tests de dépistage afférents. Le ministère indique que, bien que l’article R. 1111-30 du code de la santé publique
(CSP) prévoie que les comptes rendus de biologie médicale sont versés dans le DMP, moins de 5 % environ des
comptes rendus émanant de laboratoires de biologie médicale prenant directement en charge le patient y sont
effectivement versés. Le projet vise donc à assurer la complétude des DMP, par un versement centralisé effectué
par la CNAM.
Si ce mode d’alimentation semble acceptable compte tenu des circonstances, la Commission considère, au vu
des risques qu’entraînerait cette alimentation dérogatoire du mode de fonctionnement nominal du DMP, qu’elle ne
saurait ni être généralisée, ni perdurer au-delà de l’utilisation de SI-DEP, ni être étendue à d’autres flux de
données ; elle juge essentiel que le DMP reste alimenté nominalement par les professionnels de santé,
conformément aux dispositions du CSP applicables. La Commission invite également le ministère à déterminer une
durée de conservation propre aux données de SI-DEP remontées dans le DMP.
Conformément à l’article L. 1111-14 du CSP, le DMP est ouvert automatiquement, sauf opposition de la
personne concernée ou de son représentant légal, depuis le 1er juillet 2021. Selon les précisions du ministère, seules
les données relatives à des personnes ne s’étant pas opposées à la création de leur DMP pourront y être versées. La
Commission invite la CNAM à prendre les mesures nécessaires afin que les données de personnes ne disposant pas
d’un DMP soient immédiatement effacées à réception selon une procédure adaptée.
Sur les données d’identification des professionnels de santé :
Le projet modifie l’article 9 du décret du décret afin d’ajouter le numéro ADELI aux données d’identification
traitées concernant les professionnels de santé. Le répertoire ADELI recensant les professionnels qui ne sont pas
dans le répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé (RPPS), cette évolution n’appelle
pas d’observations de la part de la Commission.
Sur l’utilisation d’un dispositif automatique connecté à « SI-DEP » par les professionnels :
Le projet modifie l’article 10 du décret afin d’imposer aux professionnels recourant à un dispositif automatique
pour renseigner les résultats des examens de dépistage virologique ou sérologique dans le traitement « SI-DEP »,
que celui-ci figure sur une liste publiée des dispositifs respectant les conditions de sécurité fixées par arrêté du
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 203
ministre chargé de la santé pris en application du III de l’article 11 de la loi no 2020-546 du 11 mai 2020. La
Commission relève qu’à la date de son avis, l’arrêté n’est pas publié et invite le ministère à le publier dans les
meilleurs délais.
La Commission accueille favorablement cette modification, mais relève que la rédaction retenue pourrait laisser
entendre que la conformité du dispositif retenu pèse intégralement sur les professionnels utilisateurs. Si, en leur
qualité de responsable de traitement, le choix du dispositif leur revient en effet, la Commission suggère néanmoins
au ministère de faire apparaître plus clairement que la charge du référencement repose sur les prestataires proposant
ces dispositifs, en leur qualité de sous-traitant.
Elle invite donc le ministère à modifier le projet de décret afin qu’il impose aux éditeurs de ces dispositifs
automatiques d’obtenir leur référencement sur la liste, préalablement à leur commercialisation.
Sur les modifications du traitement « Vaccin COVID » :
Le projet modifie l’article 3 du décret du 25 décembre 2020 afin de préciser que les professionnels de santé, ainsi
que les personnes placées sous leur responsabilité, peuvent accéder à certaines informations du traitement « Vaccin
COVID » afin de réaliser le rappel des personnes pour lesquelles l’injection d’une dose complémentaire de vaccin
est recommandée et de délivrer les justificatifs de statut vaccinal. La Commission en prend acte.
Le projet de décret modifie également l’article 1er du même décret afin d’élargir l’usage du traitement dans le
cadre du contrôle de l’obligation vaccinale des personnes y étant soumises. Le décret, dans sa version en vigueur,
prévoit en effet que le traitement « Vaccin COVID » a pour finalité « la mise à disposition de données permettant
le contrôle de l’obligation vaccinale des personnes mentionnées au deuxième alinéa du II de l’article 13 de la
loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire ». Les modifications envisagées, afin de
prévoir que « Vaccin COVID » puisse être utilisé à des fins de « contrôle de l’obligation vaccinale des personnes
mentionnées au I de l’article 12 de la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire, tel
que prévu au II de l’article 13 de la même loi », permettraient une consultation directe de ce traitement par les
personnes responsables de la vérification du respect de l’obligation vaccinale.
Par ailleurs, le projet de décret modifie l’article 3 du décret afin d’ajouter parmi les destinataires des données
traitées dans « Vaccin COVID » les responsables de structures dans le domaine de la santé mentionnées au 1o du I
de l’article 12 de la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 modifiée dont les personnels sont soumis à l’obligation
vaccinale, et les agents qu’ils habilitent à accéder à certaines données de ces personnels (identification,
coordonnées et données relatives à la réalisation de la vaccination).
La Commission comprend que ces modifications du décret visent à permettre, dans le cadre du contrôle de
l’obligation vaccinale, deux types d’accès : l’un direct, pour les employeurs de structures dans le domaine de la
santé, et l’un indirect via les agences régionales de santé pour les autres employeurs.
Si la Commission relève que l’article 13 de la loi no 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise
sanitaire, modifiée par la loi du 10 novembre 2021, a prévu que les employeurs, et ainsi, les responsables des
structures dont les personnels sont soumis à l’obligation vaccinale, pouvaient contrôler le respect de cette
obligation, elle souligne que le législateur prévoit qu’il appartient également aux personnes concernées de justifier
qu’elles se sont effectivement soumises à leurs obligations.
La Commission rappelle que le dispositif « Vaccin COVID » contient des informations couvertes par le secret
médical prévu à l’article L. 1110-4 du CSP. Le législateur a expressément prévu, au II de l’article 13 de la loi
précitée, que les dispositions de l’article L. 1110-4 du CSP ne font pas obstacle au contrôle du respect de
l’obligation par l’employeur.
La Commission déduit de la combinaison de ces dispositions que le contrôle par la consultation directe du
dispositif « Vaccin COVID », qui ne serait en pratique ouvert qu’à certaines catégories d’employeurs particuliers
qui ont accès à ce fichier pour d’autres missions, devrait présenter un caractère subsidiaire, notamment
lorsqu’aucun justificatif n’a été produit par le salarié, par exemple en cas d’urgence ou de suspicion de faux passe
sanitaire.
Elle invite, en tout état de cause, le ministère à prévoir les mesures associées de limitation des accès dans le
« Vaccin COVID », et les structures bénéficiant d’un accès direct à « Vaccin COVID » à n’habiliter que des
personnes dont les missions sont liées à la gestion des activités du personnel.
Sur l’information des personnes concernées :
Le projet de décret, prévoit dans son article 3, que les personnes dont les données ont été collectées
préalablement à son entrée en vigueur sont informées sans délai des modifications intervenues sur les dispositifs
concernés par les responsables de traitement qui assurent cette information sur leurs sites web respectifs, ou par
tout autre moyen permettant de porter cette information à la connaissance des personnes concernées. La
Commission accueille favorablement cette modification.
Sur la sécurité des dispositifs « Vaccin COVID » et « SI-DEP » :
Ces systèmes, mis en place en urgence et n’ayant pas vocation à être mis en œuvre de manière pérenne, ont vu
leur existence régulièrement prolongée du fait de la crise sanitaire.
La Commission invite en conséquence les responsables des traitements concernés à relever le niveau de sécurité
de ces systèmes afin que les mesures appliquées soient en adéquation avec les menaces actuelles et à venir. La
Commission invite également les responsables des traitements concernés à mettre à jour leurs analyses d’impact
sur la protection des données.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 203
Enfin, plus spécifiquement, la Commission invite les responsables de traitement à renforcer les mesures de
sécurité encadrant les échanges de données et, notamment, à déployer des mécanismes de défense en profondeur en
cas de défaillance d’une mesure de sécurité.
La présidente,
M.-L. DENIS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 123 sur 203
Du fait du caractère très limité de cette information, dans l’hypothèse d’une enquête de pharmacovigilance, la
Commission comprend que d’autres bases de données devront être consultées, notamment celles détenues par des
pharmaciens ayant dispensé le produit ou encore le dossier médical du patient afin de disposer des informations
nécessaires concernant les injections réalisées.
Au surplus, la direction du numérique des ministères chargés des affaires sociales, chargée de conserver
certaines informations du système d’information « Vaccin Covid » afin d’en permettre l’accès aux professionnels
de santé prenant en charge l’information de la personne vaccinée en cas d’identification de risques nouveaux, n’est
pas destinataire de l’information relative à la double vaccination.
Enfin, la Commission rappelle qu’en l’état des systèmes d’information mis en œuvre pour les politiques de santé
publique, il n’existe pas, par principe, de fichier centralisé pour chaque vaccination. La Commission souligne que
la constitution d’une base centralisée concernant la vaccination contre la covid-19 est intervenue dans un contexte
de crise sanitaire lié à une épidémie particulièrement grave nécessitant l’organisation d’une campagne massive de
vaccination. L’ajout d’une donnée relative à l’administration d’un vaccin contre la grippe simultanément au vaccin
contre la covid-19 constitue donc une extension significative des données enregistrées dans le système
d’information « Vaccin covid », qui ne saurait être autorisée que si son utilité est suffisamment établie.
Or, en l’état des éléments qui lui ont été communiqués, la Commission s’interroge sur l’utilité réelle de l’ajout de
cette donnée au regard de la finalité de pharmacovigilance, eu égard au caractère très limité de l’information qu’elle
permet de fournir. En outre, elle relève que, mis à part l’avis de la Haute Autorité de santé, elle n’a reçu aucune
précision sur les éventuelles études en cours sur l’interaction possible entre les deux vaccins lorsqu’ils sont
administrés simultanément, ou sur les premiers résultats qui confirmeraient l’intérêt d’un enregistrement
systématique et centralisé.
Sur la finalité liée à la production de statistiques :
Au vu des éléments précédemment exposés concernant la pertinence de la donnée dont la collecte est envisagée,
la Commission relève que la production de statistiques liées à la double vaccination pourrait être réalisée par des
moyens autres que la constitution d’un fichier centralisé et général contenant à la fois des données de santé et des
données identifiantes. Dans ces conditions, si l’information concernant une vaccination concomitante n’était pas
retenue comme pertinente pour les finalités de pharmacovigilance, elle ne devra pas non plus être collectée pour
des finalités purement statistiques.
La présidente,
M.-L. DENIS
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Millenium et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : Millenium.
Zone d’implantation de l’émetteur : Perros-Guirec.
Fréquence : 102,5 MHz.
Adresse du site : château d’eau du Kerabram, Perros-Guirec (22).
Altitude du site (NGF) : 70 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 5 180 0 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 203
de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio Bro Gwened est reconduite pour
une durée de cinq ans, à compter du 13 mai 2022.
Art. 2. – L’Association d’information et de communication en pays vannetais bretonnant est autorisée à utiliser
la fréquence mentionnée en annexe, conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – 1o Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation
est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes,
dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
2o Si le conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 203
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’Association d’information et de communication en pays
vannetais bretonnant et publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio Bro Gwened.
Zone d’implantation de l’émetteur : LORIENT.
Fréquence : 97,3 MHz.
Adresse du site : château d’eau de Kermiriette, Languidic (56).
Altitude du site (NGF) : 123 mètres.
Hauteur d’antenne : 40 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB )(1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 2 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 203
service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio Kreiz Breizh est
reconduite pour une durée de cinq ans, à compter du 13 mai 2022.
Art. 2. – L’association de soutien à la radio du centre Bretagne est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée
en annexe, conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – 1o Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation
est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes,
dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
2o Si le conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 203
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association de soutien à la radio du centre Bretagne et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio Kreiz Breizh.
Zone d’implantation de l’émetteur : HUELGOAT-BERRIEN.
Fréquence : 99,4 MHz.
Adresse du site : château d’eau Le Réuniou, Berrien (29).
Altitude du site (NGF) : 267 mètres.
Hauteur d’antenne : 41 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 2 180 0 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 203
de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RCF Côtes d’Armor est reconduite
pour une durée de cinq ans, à compter du 13 mai 2022.
Art. 2. – L’association RCF Côtes d’Armor est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – 1o Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation
est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes,
dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
o
2 Si le conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association RCF Côtes d’Armor et publiée au Journal officiel de
la République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : RCF Côtes d’Armor.
Zone d’implantation de l’émetteur : GUINGAMP.
Fréquence : 98,8 MHz.
Adresse du site : château d’eau de Cozen, avenue Pierre-Loti, Pabu (22).
Altitude du site (NGF) : 136 mètres.
Hauteur d’antenne : 30 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 2 180 0 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 203
de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RCF Vendée est reconduite pour une
durée de cinq ans, à compter du 13 mai 2022.
Art. 2. – L’association radio chrétienne en France RCF Vendée est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée
en annexe, conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – 1o Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation
est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes,
dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
o
2 Si le conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association radio chrétienne en France RCF Vendée et publiée
au Journal officiel de la République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : RCF Vendée.
Zone d’implantation de l’émetteur : LES SABLES-D’OLONNE.
Fréquence : 93,9 MHz.
Adresse du site : lieu-dit Les Taffeneaux, Château-d’Olonne (85).
Altitude du site (NGF) : 50 mètres.
Hauteur d’antenne : 45 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 9 180 0 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 129 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Ouest FM et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE I (*)
Nom du service : Forum Maine-et-Loire.
Zone d’implantation de l’émetteur : ANGERS.
Fréquence : 98,7 MHz.
Adresse du site : château d’eau Montplaisir, boulevard Henri-Dunant, Angers (49).
Altitude du site (NGF) : 44 mètres.
Hauteur d’antenne : 72 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1)
0 2 90 24 180 22 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Forum Maine-et-Loire.
Zone d’implantation de l’émetteur : CHOLET.
Fréquence : 96,2 MHz.
Adresse du site : château d’ eau de la Blanchardière, Cholet (49).
Altitude du site (NGF) : 139 mètres.
Hauteur d’antenne : 43 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1)
0 2 90 24 180 22 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 130 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’EURL Réseau Ouest et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio Caroline.
Zone d’implantation de l’émetteur : FOUGÈRES.
Fréquence : 97,9 MHz.
Adresse du site : lieu-dit Le Haut Montbelleux, Luitré (35).
Altitude du site (NGF) : 160 mètres.
Hauteur d’antenne : 20 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 0 180 3 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 131 sur 203
de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Oxygène Radio est reconduite pour
une durée de cinq ans, à compter du 5 juin 2022.
Art. 2. – La SARL Anjou Communication est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexe,
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision.
Art. 3. – 1o Sur demande expresse du Conseil supérieur de l’audiovisuel, le titulaire de la présente autorisation
est tenu de lui communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes,
dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
o
2 Si le conseil constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente autorisation
est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de
son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet au conseil les
résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 131 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SARL Anjou Communication et publiée au Journal officiel de
la République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE I (*)
Nom du service : Oxygène Radio.
Zone d’implantation de l’émetteur : SEGRÉ.
Fréquence : 103,3 MHz.
Adresse du site : lieu-dit Le Bois 2, Nyoiseau (49).
Altitude du site (NGF) : 92 mètres.
Hauteur d’antenne : 65 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 000 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 0 180 2 270 7
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II(*)
Nom du service : Oxygène Radio.
Zone d’implantation de l’emetteur : POUANCE.
Fréquence : 106,3 MHz.
Adresse du site : lieu-dit Les Hommeaux, Pouancé (49).
Altitude du site (NGF) : 76 mètres.
Hauteur d’antenne : 20 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 100 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 0 180 0 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 132 sur 203
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Info Son Trégor et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
ANNEXE (*)
Nom du service : Océane Bretagne Nord.
Zone d’implantation de l’émetteur : PAIMPOL.
Fréquence : 106,0 MHz.
Adresse du site : lieu-dit Kervren, Ploubazlanec (22).
Altitude du site (NGF) : 68 mètres.
Hauteur d’antenne : 42 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1) (degrés) (dB)(1)
0 6 90 1 180 0 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 133 sur 203
SARL 100 % Paris (100 %) est remplacé par le numéro de dossier no 2021-PMNL-D021 SARL 100 % Paris
(100 %).
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 24 novembre 2021.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
R.-O. MAISTRE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 134 sur 203
Par délibération en date du 22 novembre 2021, le comité territorial de l’audiovisuel de Rennes a décidé, en
application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication,
d’autoriser l’association ABV Les Herbiers à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé
Radio Nations, pour la période du 17 au 19 décembre 2021.
Site : La Choletière, 85500 LES HERBIERS.
Puissance : 100 W.
Fréquence : 107,4 MHz.
Fait à Rennes, le 22 novembre 2021.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Rennes :
Le président,
M. HOFFMANN
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 135 sur 203
Par une délibération du 1er décembre 2021, le Conseil supérieur de l’audiovisuel, sur le fondement de
l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, a statué
favorablement sur la possibilité de nouvelle reconduction pour cinq ans, hors appel aux candidatures, de
l’autorisation délivrée à la SAS Radio Vinci Autoroutes pour l’exploitation du service Radio Vinci Autoroutes, sur
la fréquence 107,7 MHz, sur la section Balbigny/Pontcharra/Tour de Salvagny de l’autoroute A89, et dont le terme
est fixé au 21 décembre 2022.
Cette délibération est fondée sur les motifs suivants :
1o l’Etat n’a pas modifié la destination de la fréquence concernée par cette autorisation ;
2o le titulaire de l’autorisation n’a pas fait l’objet de sanction du Conseil et celui-ci n’a eu connaissance d’aucune
condamnation prononcée à son encontre, sur le fondement des articles 23, 24, 24 bis de la loi du 29 juillet 1881, sur
la liberté de la presse ou des articles 227-23 ou 227-24 du Code pénal, de nature à justifier que son autorisation ne
soit pas reconduite hors appel aux candidatures ;
3o la reconduction de l’autorisation, hors appel aux candidatures, de ce service de radio n’est pas de nature à
porter atteinte à l’impératif de pluralisme sur le plan national ou sur les plans régional et local ;
4o la situation financière du titulaire lui permet de poursuivre l’exploitation du service dans des conditions
satisfaisantes ;
5o ce service de radio remplit les critères propres à la catégorie pour laquelle l’autorisation lui a été accordée ;
6o le Conseil supérieur de l’audiovisuel n’a pas constaté, dans le rapport public prévu à l’article 18 de la loi
du 30 septembre 1986 susvisée, le non-respect, sur plusieurs exercices, des principes mentionnés au troisième
alinéa de l’article 3-1 de cette même loi.
Six mois au moins avant la date d’expiration de cette autorisation, l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique se prononcera définitivement sur sa reconduction.
La présente délibération sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2021.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
R.-O. MAISTRE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 136 sur 203
susvisé au 6 décembre 2021, sur les fonctions de contrôleure en charge des enquêtes et saisines.
Art. 2. – M. François GOETZ, directeur de services pénitentiaires est nommé au titre de l’article 2 du décret
no 2008-246 du 12 mars 2008 susvisé au 13 décembre 2021, sur les fonctions de contrôleur.
Art. 3. – Mme Marie CRETENOT, est nommé au titre de l’article 3 du décret no 2008-246 du 12 mars 2008
susvisé au 6 décembre 2021, sur les fonctions de contrôleure.
Art. 4. – Il est mis fin à la demande des intéressés aux fonctions exercées par Mme Betty BRAHMY
et M. Cedric VILLEDIEU de TORCY au titre de l’article 3 du décret no 2008-246 du 12 mars 2008 susvisé
au 31 décembre 2021.
Art. 5. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 3 décembre 2021.
La Contrôleure générale
des lieux de privation de liberté,
D. SIMONNOT
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 137 sur 203
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2021-2022
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2137953X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2021-2022
NOR : INPA2137951X
1. Réunions
Jeudi 16 décembre 2021
Commission d’enquête chargée de rechercher d’éventuels dysfonctionnements de la justice et de la police
dans l’affaire dite Sarah Halimi et de formuler des propositions pour éviter le cas échéant leur
renouvellement,
A 9 h 30 (Salle Lamartine – 101, rue de l’Université, 1er sous-sol) :
- audition, à confirmer, d’un policier du centre d’information et de commandement de la DSPAP, en fonction le
4 avril 2017.
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2021-2022
ORGANISMES EXTRAPARLEMENTAIRES
NOR : INPA2137954X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2021-2022
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2137955X
Documents parlementaires
Dépôt du jeudi 16 décembre 2021
Dépôt d’un projet de loi autorisant la ratification d’une convention
M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2021, transmis par M. le Premier ministre, un
projet de loi, adopté par le Sénat, autorisant l’approbation de l’accord entre le Gouvernement de la République
française et le Gouvernement de la République du Tadjikistan sur les services aériens.
Ce projet de loi, no 4821, est renvoyé à la commission des affaires étrangères, en application de l’article 83 du
règlement.
Distribution de documents
en date du vendredi 17 décembre 2021
Rapport
o
N 4813. – Rapport de MM. Laurent Saint-Martin et Laurent Saint-Martin au nom de la commission des finances,
de l’économie générale et du contrôle budgétaire sur le projet de loi de finances, adopté par l’Assemblée
nationale en nouvelle lecture, pour 2022, en vue de la lecture définitive (no 4808).
Rapport d’information
o
N 4817. – Rapport d’information de MM. David Corceiro et Richard Lioger déposé en application de l’article 145
du règlement, par la commission des affaires économiques, en conclusion des travaux d’une mission
d’information sur le logement et la précarité des étudiants et des jeunes actifs.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 140 sur 203
ERRATUM
au Journal officiel (Lois et décrets) no 0275 du vendredi 26 novembre 2021
- Texte no 96, Documents et publications, Documents parlementaires, Dépôts du jeudi 25 novembre 2021, Dépôt
d’un rapport d’information, lire :
M. le Président de l’Assemblée nationale a reçu, le 25 novembre 2021, de Mmes Séverine Gipson et Isabelle
Santiago, un rapport d’information no 4724 rectifié, déposé en application de l’article 145 du règlement, par la
commission de la défense nationale et des forces armées, en conclusion des travaux d’une mission d’information
sur le plan Famille, quel bilan ?
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 141 sur 203
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2021-2022
NOR : INPS2137940X
l’aménagement du territoire et du développement durable), Sylviane Noël (commission des affaires économiques),
Évelyne Perrot (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Sebastien Pla
(commission des affaires économiques), Kristina Pluchet (commission de l’aménagement du territoire et du
développement durable), Rémy Pointereau (commission de l’aménagement du territoire et du développement
durable), Angèle Préville (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable),
Sophie Primas (commission des affaires économiques), Frédérique Puissat (commission des affaires sociales),
Didier Rambaud (commission des finances), Claude Raynal (commission des finances), Christian Redon-Sarrazy
(commission des affaires économiques), Marie-Pierre Richer (commission des affaires sociales), Olivier Rietmann
(commission des affaires économiques), Stéphane Sautarel (commission des finances), René-Paul Savary
(commission des affaires sociales), Patricia Schillinger (commission des affaires économiques), Jean Sol
(commission des affaires sociales), Laurent Somon (commission des affaires économiques), Marie-Claude Varaillas
(commission de l’aménagement du territoire et du développement durable), Sylvie Vermeillet (commission des
finances), Jean Pierre Vogel (commission des finances).
3ème séance du mercredi 15 décembre 2021
Présents : Nadine Bellurot, Philippe Bonnecarrère, Hussein Bourgi, François-Noël Buffet, Cécile Cukierman,
Catherine Di Folco, Jérôme Durain, Françoise Gatel, Loïc Hervé, Muriel Jourda, Patrick Kanner, Marie-Pierre de
La Gontrie, Jean-Yves Leconte, Brigitte Lherbier, Marie Mercier, Thani Mohamed Soilihi, Alain Richard, Jean-
Pierre Sueur, Dominique Vérien, Dany Wattebled.
Excusés : Valérie Boyer, Henri Leroy, Jean-Yves Roux.
Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l’évaluation interne
Séance du mercredi 15 décembre 2021
Présents : Christian Bilhac, Pierre Charon, Guillaume Gontard, Charles Guené, Éric Jeansannetas,
Rémy Pointereau.
Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques
Séance du mercredi 15 décembre 2021
Présents : Éliane Assassi, Jérôme Bascher, Arnaud Bazin, Valérie Boyer, Laurent Burgoa, Nicole Duranton,
Nathalie Goulet, Patrice Joly, Sébastien Meurant, Franck Montaugé, Stéphane Sautarel, Mickaël Vallet.
Commission d’enquête "afin de mettre en lumière les processus ayant permis ou pouvant aboutir à une
concentration dans les médias en France, et d’évaluer l’impact de cette concentration sur la démocratie"
Séance du mercredi 15 décembre 2021
Présents : David Assouline, Julien Bargeton, Jean-Baptiste Blanc, Bernard Fialaire, Jean-Raymond Hugonet,
Laurent Lafon, Michel Laugier, Monique de Marco, Sylvie Robert, Anne Ventalon.
Commission d’enquête sur la situation de l’hôpital et le système de santé en France
Séance du jeudi 16 décembre 2021
Présents : Marie-Christine Chauvin, Laurence Cohen, Catherine Deroche, Jocelyne Guidez, Véronique Guillotin,
Bernard Jomier, Marie Mercier, Nadia Sollogoub, Dominique Théophile.
Excusés : Alain Milon, Raymonde Poncet Monge, Jean Sol.
Convocations
Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées
Mercredi 5 janvier 2022 à 10 heures (Salle René Monory)
1° Examen du rapport et du texte proposé par la commission sur la proposition de loi no 234 (2021-2022) visant à
faire évoluer la gouvernance de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) et à créer les instituts
régionaux de formation (M. Bruno Sido, rapporteur).
Le délai limite pour le dépôt des amendements de commission (Ameli commission), est fixé au lundi
3 janvier 2022 à 12 heures
2° Communication de MM. Cédric Perrin, Édouard Courtial, Joël Guerriau, Alain Joyandet, et de Mme Michelle
Gréaume, suite à leur déplacement en Espagne, du 17 au 20 novembre 2021.
3° Communication de MM. Christian Cambon, Joël Guerriau, Jacques Le Nay et André Vallini, et de
Mmes Vivette Lopez et Isabelle Raimond-Pavero, suite à leur déplacement en Italie, du 1er au 4 décembre 2021.
4° Questions diverses.
Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques
Ouverte au public et à la presse. Captation vidéo.
Mercredi 5 janvier 2022
À 16 h 30
(Salle Médicis)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 141 sur 203
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2021-2022
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2137938X
Documents parlementaires
Document enregistré à la Présidence du Sénat
le jeudi 16 décembre 2021
Dépôt d’une proposition de loi
o
N 308 (2021-2022) Proposition de loi présentée par Mmes Élisabeth DOINEAU, Annick BILLON et M. Yves
DÉTRAIGNE, relative aux droits de l’enfant à entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses
parents en cas de séparation de ces derniers, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de
législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution
éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 143 sur 203
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2021-2022
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2137931X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2021-2022
RAPPORTS AU PARLEMENT
NOR : INPS2137936X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2021-2022
NOMINATIONS ET AVIS
NOR : INPS2137932X
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2137950X
Députés
Présents. - Mme Émilie Cariou, M. Gérard Leseul
Excusés. - M. Philippe Bolo, M. Jean-François Eliaou, M. Cédric Villani
Sénateurs
Présents. - Mme Laure Darcos, M. André Guiol, M. Ludovic Haye, Mme Sonia de la Provôté, Mme Florence
Lassarade, Mme Angèle Préville, M. Bruno Sido
Excusés. - M. Gérard Longuet, Mme Michelle Meunier
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 147 sur 203
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2137949X
Députés
Présent : M. Claude de Ganay
Excusé : M. Loïc Kervran
Sénateurs
Excusés : Mme Agnès Canayer, M. Yannick Vaugrenard
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 148 sur 203
Avis et communications
Est créé à l’administration centrale du ministère de la transition écologique et du ministère de la cohésion des
territoires et des relations avec les collectivités territoriales, un emploi de directeur de projet.
Le ou la titulaire de l’emploi exercera les fonctions de responsable de la mission Performance au sein de la
direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN).
L’emploi est localisé sur le site de la Défense (Tour Sequoia).
Mission principales
La DGALN a pour ambition d’offrir aux générations actuelles et futures un cadre de vie de qualité en harmonie
avec les dynamiques des territoires et de la nature, en limitant les pressions sur les écosystèmes ; en favorisant
l’accès à un logement adapté, sain et sûr ; en développant une gestion durable des ressources. Ces politiques sont
portées par les ministres de la transition écologique, de la cohésion des territoires et des relations avec les
collectivités territoriales, de l’économie, des finances et de la relance et de la mer.
La DGALN a conduit une démarche de transformation « DGALN demain » afin de gagner en impact dans la
mise en œuvre des politiques publiques qui lui sont confiées, de dégager des marges de manœuvre pour anticiper et
innover et de donner du sens au travail quotidien dans un cadre de travail serein et solidaire.
Dans le cadre de cette démarche, la création d’une mission performance a été décidée. Le ou la responsable de
cette mission assiste la directrice générale dans l’exercice de l’ensemble de ses fonctions pour ce qui concerne les
programmes budgétaires 135 (528 M€), 109 (13 Mds€) et 113 (244 M€). A ce titre, il ou elle élabore la stratégie
budgétaire et fiscale des programmes relevant de la responsabilité de la directrice générale et pilote la
programmation budgétaire, en lien avec la direction de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages et la direction de
l’eau et de la biodiversité.
Il ou elle prépare et conclue les actes de la commande publique relatifs aux domaines de compétences de
la DGALN, en lien avec le service du secrétariat général gérant les prestations communes.
En outre, il ou elle assure la gestion et le suivi des budgets mis en œuvre par les structures transverses de la
direction générale et exécute les dépenses relatives aux domaines de compétences de la DGALN.
Enfin, il ou elle veille à la bonne maîtrise des risques, dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif de
conformité ministérielle.
Enjeux, responsabilités
L’offre de services « Performance » est l’une des composantes essentielles de la démarche de transformation
pour répondre aux enjeux suivants :
– apporter une expertise de la pratique budgétaire pour appuyer les équipes et le collectif de direction dans la
stratégie budgétaire et fiscale, l’exercice de programmation, et les différentes contributions demandées au
cours des étapes budgétaires ;
– améliorer l’organisation de la fonction support financière pour la rendre plus lisible et en repositionnant le rôle
de chaque acteur ;
– faciliter le processus achat ;
– mettre en place un dispositif d’identification des risques.
Le ou la titulaire proposera une organisation interne et les modes de fonctionnement avec les autres entités de
la DGALN. Il ou elle organisera le déploiement progressif de cette offre de services dans une logique itérative et
agile, au plus près des besoins des équipes métier et des territoires, avec un objectif d’impact sur le dernier
kilomètre.
Le ou la titulaire encadrera une équipe d’une quinzaine d’agents (dont un adjoint).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 148 sur 203
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– l’autorité de recrutement est la secrétaire générale du ministère représentée par la délégation aux cadres
dirigeants ;
– l’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est la directrice générale de l’aménagement, du logement et de la
nature, Mme Stéphanie DUPUY-LYON.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
– Mme Stéphanie DUPUY-LYON, directrice générale de l’aménagement, du logement et de la nature (tél. : 01-
40-81-30-84) ;
– M. Brice HUET, adjoint à la directrice générale (tél. : 01-40-81-91-33) ;
– M. Jacques SALHI, délégué aux cadres dirigeants (tél. : 01-40-81-18-61).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 149 sur 203
Avis et communications
Deux concours, interne et externe, sont organisés, au titre de l’année 2022, par le service commun des
laboratoires avec l’appui de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des
fraudes pour le recrutement d’ingénieurs de laboratoire relevant du ministère chargé de l’économie, des finances et
de la relance dans la spécialité chimie analytique.
V. – Procédures d’inscription
Une téléprocédure d’inscription dénommée « TRIPTIC » est mise à la disposition des candidats :
– soit à partir du portail ministériel des concours : http://www.economie.gouv.fr/recrutement/
Rubriques « recrutement par concours » ; « Je souhaite devenir agent public » (concours externe) ou « Je suis
agent public » (concours interne) ; « J’ai le niveau licence ou équivalent » (concours externe) ou « je souhaite
passer un concours de catégorie A » (concours interne) ; « inscription » ; « SCL (service commun des
laboratoires) » ; « Inscription aux concours de la DGCCRF » ; « Accéder à la télé procédure » ;
– soit à l’adresse directe suivante : http://concours.dgccrf.finances.gouv.fr ;
– soit à partir de l’intranet DGCCRF « GECI » : http://geci.dgccrf/portail/accueil.php - Rubriques « Ressources
humaines » ; « Concours » ; « Téléprocédures : inscription et résultats ».
Un numéro d’enregistrement est attribué au candidat qui lui est confirmé par voie postale.
Les candidats peuvent modifier les données de leur dossier jusqu’à la date de clôture des inscriptions.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par téléprocédure, les candidats conservent la possibilité de s’inscrire par le
dépôt d’un dossier écrit pour les concours externe et interne.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au lundi 10 janvier 2022.
La date limite de retrait ou de demande de dossiers d’inscription (cachet de la poste faisant foi) ou la date de fin
de saisie des inscriptions par téléprocédure est fixée au vendredi 4 mars 2022 à minuit, heure de métropole.
La date limite de dépôt ou d’envoi des dossiers (cachet de la poste faisant foi) ou de modification des données
des inscriptions par téléprocédure est fixée au lundi 7 mars 2022 à minuit, heure de métropole.
Avis et communications
Grâce à l’observation, l’analyse et l’évaluation des politiques publiques susmentionnées qu’elle conduit, la
DEETS apporte des éléments tant au préfet pour éclairer la situation économique, outre un appui grâce à son
expertise métier, notamment en matière de contrôle et d’inspection des établissements et services sociaux.
Elle assure le pilotage, l’animation et la coordination des politiques publiques qui lui sont confiées.
Outre leurs liens avec les différents services déconcentrés de l’Etat et les opérateurs, elle est appelée à travailler
avec de nombreux acteurs sur le terrain.
Environnement professionnel
Le directeur des entreprises, de l’emploi, du travail et des solidarités est chargé, d’une part, et des pouvoirs
d’enquête et d’investigation exercés sous le contrôle de l’autorité judiciaire, d’autre part - du pilotage et de la mise
en œuvre des politiques susmentionnées. Il lui appartient de veiller à la bonne mise en œuvre des priorités
gouvernementales de chacune de ces politiques notamment en terme d’inclusion sociale des personnes les plus
éloignées de l’emploi.
Il veille à la bonne intégration et à la transversalité des différentes fonctions exercées au sein de la DEETS entre
les pôles. Il veille à la qualité de l’expertise appuyant la mise en œuvre des politiques publiques.
Il a autorité sur l’ensemble des agents affectés au sein de la direction ainsi que sur tous les agents affectés au
système d’inspection du travail.
Le directeur dispose de pouvoirs propres qui lui sont conférés par des textes règlementaires.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 150 sur 203
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article 25 ter de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant
droits et obligations des fonctionnaires, l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts
préalablement à la nomination et à une déclaration de situation patrimoniale à déposer auprès de la Haute autorité
pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf. Ce formulaire sera demandé par
l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application du IV de l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983.
Personne à contacter
Mme Corinne CREVOT, chargée de mission « RH » au pôle travail et solidarités du secrétariat général des
ministères chargés des affaires sociales ([email protected] ; 01-44-38-37-23).
La DEETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère du travail,
de l’emploi et de l’insertion.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 151 sur 203
Avis et communications
Profil recherché
Le candidat ou la candidate devra être expérimenté dans le management d’équipes pluridisciplinaires et dans
la conduite de grands projets SI, permettant de déployer des processus métier RH simplifiés, convergents
et totalement dématérialisés.
Les principales compétences requises pour cet emploi sont :
– une grande capacité de management et de pilotage de projet, au regard de la transversalité du sujet traité et de
l’indispensable coordination à organiser entre les armées, directions et services du ministère des armées, les
services de la direction des ressources humaines du ministère de la défense et les correspondants ministériels
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 151 sur 203
et/ou interministériels, et en étroite coordination avec la direction de programme exercée par l’agence
du numérique de défense ;
– une très bonne connaissance de l’organisation et des missions du ministère des armées ainsi que des
conditions d’emploi du personnel civil et militaire (statuts, rémunération et modalités de gestion) et de
la fonction publique d’Etat, en matière de politique des ressources humaines ;
– une capacité d’analyse et de restitution d’éléments complexes et une facilité à communiquer à l’oral et
à l’écrit, au profit de différents publics et autorités.
Une connaissance des univers interministériels et privés (entreprises, autres ministères, établissements, ) et celle
de pratiques RH rénovées, des nouveaux modes de travail et/ou d’organisation sont également souhaitées.
Conditions d’emploi
Le ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois maximum.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
comprise entre 83 781 € et 111 760 € bruts par an. Un complément indemnitaire annuel sera également versé sous
réserve de la manière de servir au cours de l’année N – 1 et des résultats de l’exercice ministériel d’harmonisation.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat et de l’arrêté du 6 février 2020 fixant
les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère des armées.
L’autorité de recrutement est la secrétaire générale pour l’administration du ministère des armées.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité du directeur des ressources humaines (DRH-MD).
Envoi des candidatures :
Les dossiers de candidature doivent être transmis dans un délai de quinze jours à compter de la date de
publication du présent avis au Journal officiel de la République Française, au ministère des armées, par courriel aux
adresses suivantes :
– [email protected] ;
– [email protected] ;
– [email protected].
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé le cas échéant.
Pour les agents du secteur privé, les candidatures seront accompagnées des documents attestant de l’occupation
effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Recevabilité et examen des candidatures :
Après la vérification de la recevabilité des candidatures en fonction des conditions générales d’accès
à la fonction publique prévues aux articles 5 et 5 bis de la loi du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et
obligations des fonctionnaires et des critères définis par le présent avis de vacance, la secrétaire générale pour
l’administration établit une liste des candidats ou candidates à auditionner.
Audition des candidats ou candidates :
L’audition des candidats ou candidates présélectionnés est confiée à une instance collégiale conformément
à l’arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère des armées.
A l’issue d’une phase d’étude collégiale des candidatures entre l’autorité dont relève l’emploi à pourvoir (la DRH-
MD), un inspecteur civil de la défense et une personne occupant ou ayant occupé un emploi de direction au sein
du ministère des armées, la secrétaire générale pour l’administration désigne la personne qui procède à l’audition
des candidats ou candidates présélectionnés.
Information :
Les candidats ou candidates non retenus en sont informés à l’issue de la procédure.
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration d’intérêts préalable à la prise de fonctions ni
à une déclaration de situation patrimoniale.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 151 sur 203
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 précitée.
Personne à contacter
Les renseignements concernant ce poste peuvent être obtenus auprès du contrôleur général des armées Thibaut
de Vanssay de Blavous, directeur des ressources humaines du ministère (téléphone : 09-88-68-62-80).
Textes de référence
o
Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 modifié fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois
communs aux administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de
fonctionnaires de l’Etat et de ses établissements publics, notamment son article 12.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de directions de l’Etat.
Arrêté du 29 juin 2016 modifié pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures
des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte
des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère des armées.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 152 sur 203
Avis et communications
Grâce à l’observation, l’analyse et l’évaluation des politiques publiques susmentionnées qu’elle conduit, la
DEETS apporte des éléments tant au préfet pour éclairer la situation économique, outre un appui grâce à son
expertise métier, notamment en matière de contrôle et d’inspection des établissements et services sociaux.
Elle assure le pilotage, l’animation et la coordination des politiques publiques qui lui sont confiées.
Outre leurs liens avec les différents services déconcentrés de l’Etat et les opérateurs, elle est appelée à travailler
avec de nombreux acteurs sur le terrain.
Environnement professionnel
Le directeur des entreprises, de l’emploi, du travail et des solidarités est chargé, d’une part, et des pouvoirs
d’enquête et d’investigation exercés sous le contrôle de l’autorité judiciaire, d’autre part - du pilotage et de la mise
en œuvre des politiques susmentionnées. Il lui appartient de veiller à la bonne mise en œuvre des priorités
gouvernementales de chacune de ces politiques notamment en terme d’inclusion sociale des personnes les plus
éloignées de l’emploi.
Il veille à la bonne intégration et à la transversalité des différentes fonctions exercées au sein de la DEETS entre
les pôles. Il veille à la qualité de l’expertise appuyant la mise en œuvre des politiques publiques.
Il a autorité sur l’ensemble des agents affectés au sein de la direction ainsi que sur tous les agents affectés au
système d’inspection du travail.
Le directeur dispose de pouvoirs propres qui lui sont conférés par des textes règlementaires.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 152 sur 203
Déontologie
Conformément à l’article 2 du décret no 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article 25 ter de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant
droits et obligations des fonctionnaires, l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts
préalablement à la nomination et à une déclaration de situation patrimoniale à déposer auprès de la Haute autorité
pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf. Ce formulaire sera demandé par
l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application du IV de l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983.
Personne à contacter
Mme Corinne CREVOT, chargée de mission « RH » au pôle travail et solidarités du secrétariat général des
ministères chargés des affaires sociales ([email protected] ; 01-44-38-37-23).
La DEETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère de
l’économie, des finances et de la relance.
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 153 sur 203
Avis et communications
Avis du 16 décembre 2021 relatif à la liste des candidats admis au titre de l’année 2021
au concours interne pour l’accès au cycle de formation des élèves directeurs des soins
NOR : SSAN2137887V
Au titre de l’année 2021, sont déclarés admis aux concours externe et interne pour l’accès au cycle de formation
des élèves directeurs des soins, les candidats dont les noms suivent :
Concours externe
HORLAVILLE Stéphane
Concours interne
1er RIBEIRO Luis
2e STOLL Aurélie
4e ROUCOUT Martial
5e
MAIRE Nathalie
6e DOOGHE Anne
7e MOUSSIER Cidàlia
8e WICK Sandrine
9e OLIVIER Danièle
12 e
RAINVILLE Elisabeth
17 e
DAME Sandrine
29e
HERNANDEZ Christine
31e
GENEST Nicolas
38e
DE GASPERI Patrice
40 ex-aequo
e
GUERIN Rodolphe
Avis et communications
AVIS DIVERS
01 AIN 1831 58 2 029 3 918 411 731 1 142 2 300 2 760 5 060
02 AISNE 8109 0 5 885 13 994 194 106 300 8 303 5 991 14 294
04 ALPES-DE-HTE-PR 836 1001 3 960 5 797 399 433 832 2 236 4 393 6 629
05 ALPES (HAUTES-) 0 270 790 1 060 252 4 256 522 794 1 316
07 ARDECHE 9746 41176 59 221 110 143 4211 2 647 6 858 55 133 61 868 117 001
08 ARDENNES 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
11 AUDE 64272 246615 324 618 635 505 48146 52 222 100 368 359 033 376 840 735 873
12 AVEYRON 1227 147 1 544 2 918 142 142 284 1 516 1 686 3 202
13 BOUCHES-DU-RHONE 12067 20850 37 823 70 740 421 879 1 300 33 338 38 702 72 040
14 CALVADOS 0 10 19 29 0 0 0 10 19 29
15 CANTAL 6 11 27 44 2 7 9 19 34 53
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
16 CHARENTE 7015 3707 12 727 23 449 1811 939 2 750 12 533 13 666 26 199
17 CHARENTE-MARITIME 9071 3569 6 478 19 118 19230 14 534 33 764 31 870 21 012 52 882
18 CHER 29225 1235 25 886 56 346 1989 3 608 5 597 32 449 29 494 61 943
2B CORSE (HAUTE-) 7213 0 14 876 22 089 2342 1 304 3 646 9 555 16 180 25 735
21 COTE-D’OR 139339 8596 100 294 248 229 70337 44 802 115 139 218 272 145 096 363 368
Texte 154 sur 203
QUANTITÉS DE VINS SORTIES DES CHAIS DES RÉCOLTANTS ET DES NÉGOCIANTS VINIFICATEURS
22 COTES-D’ARMOR 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
23 CREUSE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
24 DORDOGNE 43751 2067 39 473 85 291 3041 2 075 5 116 48 859 41 548 90 407
25 DOUBS 2 17 8 27 6 7 13 25 15 40
26 DROME 54178 7818 55 111 117 107 3190 1 497 4 687 65 186 56 608 121 794
27 EURE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
28 EURE-ET-LOIR 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
29 FINISTERE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
30 GARD 57724 128764 193 709 380 197 28951 27 158 56 109 215 439 220 867 436 306
31 GARONNE (HAUTE-) 1518 455 1 109 3 082 4191 4 088 8 279 6 164 5 197 11 361
32 GERS 8082 73409 106 811 188 302 28576 32 516 61 092 110 067 139 327 249 394
33 GIRONDE 474798 8024 397 761 880 583 24548 24 703 49 251 507 370 422 464 929 834
34 HERAULT 40891 247080 318 616 28 606 296 50438 51 716 102 154 28 338 118 370 332 28 708 450
36 INDRE 1731 219 1 565 3 515 108 259 367 2 058 1 824 3 882
37 INDRE-ET-LOIRE 46538 986 42 576 90 100 11652 6 205 17 857 59 176 48 781 107 957
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38 ISERE 326 159 601 1 086 120 178 298 605 779 1 384
39 JURA 5626 39 6 685 12 350 7819 6 131 13 950 13 484 12 816 26 300
40 LANDES 813 2470 3 405 6 688 219 228 447 3 502 3 633 7 135
41 LOIR-ET-CHER 23657 4517 19 573 47 747 16587 6 513 23 100 44 761 26 086 70 847
42 LOIRE 3164 1091 2 516 6 771 888 795 1 683 5 143 3 311 8 454
43 LOIRE (HAUTE-) 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
44 LOIRE-ATLANTIQUE 55053 46602 83 665 185 320 48989 42 475 91 464 150 644 126 140 276 784
Texte 154 sur 203
QUANTITÉS DE VINS SORTIES DES CHAIS DES RÉCOLTANTS ET DES NÉGOCIANTS VINIFICATEURS
46 LOT 20788 7983 19 540 48 311 3857 1 817 5 674 32 628 21 357 53 985
47 LOT-ET-GARONNE 11416 3336 18 781 33 533 5380 3 041 8 421 20 132 21 822 41 954
48 LOZERE 0 24 65 89 1 2 3 25 67 92
49 MAINE-ET-LOIRE 130551 8757 136 500 275 808 27096 24 508 51 604 166 404 161 008 327 412
50 MANCHE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
51 MARNE 190967 0 184 993 375 960 2160 256 2 416 193 127 185 249 378 376
53 MAYENNE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
54 MEURTHE-ET-MOSELLE 125 0 145 270 104 140 244 229 285 514
56 MORBIHAN 0 0 0 0 2 3 5 2 3 5
58 NIEVRE 9621 664 7 840 18 125 1407 1 217 2 624 11 692 9 057 20 749
59 NORD 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
60 OISE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
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61 ORNE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
62 PAS-DE-CALAIS 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
64 PYRENEES-ATLANT. 10426 44 10 000 20 470 1377 1 531 2 908 11 847 11 531 23 378
66 PYRENEES-ORIENT. 12100 15552 37 429 65 081 3056 4 249 7 305 30 708 41 678 72 386
67 RHIN (BAS-) 33252 2 38 956 72 210 3651 3 120 6 771 36 905 42 076 78 981
Texte 154 sur 203
QUANTITÉS DE VINS SORTIES DES CHAIS DES RÉCOLTANTS ET DES NÉGOCIANTS VINIFICATEURS
68 RHIN (HAUT-) 79570 518 75 820 155 908 2325 1 792 4 117 82 413 77 612 160 025
69 RHONE 52556 3648 45 693 101 897 5210 1 580 6 790 61 414 47 273 108 687
71 SAONE-ET-LOIRE 72296 1836 52 967 127 099 5284 3 964 9 248 79 416 56 931 136 347
73 SAVOIE 14972 390 10 522 25 884 840 720 1 560 16 202 11 242 27 444
75 PARIS 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
76 SEINE-MARITIME 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
77 SEINE-ET-MARNE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
78 YVELINES 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
80 SOMME 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
81 TARN 10347 10287 26 374 47 008 14628 10 213 24 841 35 262 36 587 71 849
82 TARN-ET-GARONNE 2394 2914 3 063 8 371 1817 1 623 3 440 7 125 4 686 11 811
83 VAR 46182 20817 104 691 171 690 3103 5 501 8 604 70 102 110 192 180 294
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84 VAUCLUSE 143380 50462 164 952 358 794 30639 24 720 55 359 224 481 189 672 414 153
85 VENDEE 3036 1211 3 573 7 820 960 590 1 550 5 207 4 163 9 370
86 VIENNE 271 477 1 419 2 167 1895 503 2 398 2 643 1 922 4 565
87 VIENNE (HAUTE-) 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
88 VOSGES 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
89 YONNE 38664 216 28 494 67 374 1030 641 1 671 39 910 29 135 69 045
90 TERRIT. DE BELFORT 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
Texte 154 sur 203
QUANTITÉS DE VINS SORTIES DES CHAIS DES RÉCOLTANTS ET DES NÉGOCIANTS VINIFICATEURS
91 ESSONNE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
92 HAUTS-DE-SEINE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
93 SEINE-SAINT-DENIS 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
94 VAL-DE-MARNE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
95 VAL-D’OISE 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
TOTAUX 2 017 078 981 310 2 862 686 5 861 074 496 068 421 379 917 447 3 494 456 3 284 065 6 778 521
*En application des dispositions de l’article 6 du règlement UE no 1308/2013 du 17 décembre 2013, la campagne commence le 1er août de chaque année et se termine le 31 juillet de l’année suivante.
Toute reproduction des présentes données ou d’extrait de celles-ci devra indiquer la source « DGDDI ».
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Texte 154 sur 203
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 155 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application des dispositions de l’annexe 1.1 du règlement (CE) no 479/2008 du Conseil du 29 avril 2008, la campagne
commence le 1er août de chaque année et se termine le 31 juillet de l’année suivante. Toute reproduction des présentes données
ou d’extrait de celles-ci devra indiquer la source « DGDDI ».
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 156 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
L’indice mensuel des prix à la consommation de l’ensemble des ménages s’établit à 107,64 en novembre 2021
(104,73 en novembre 2020 sur la base 100 en 2015).
L’indice mensuel des prix à la consommation, hors tabac, de l’ensemble des ménages s’établit à 106,82
en novembre 2021 (103,86 en novembre 2020 sur la base 100 en 2015).
L’indice mensuel des prix à la consommation, hors tabac, des ménages urbains dont le chef est ouvrier
ou employé s’établit à 106,45 en novembre 2021 (103,62 en novembre 2020 sur la base 100 en 2015).
L’indice mensuel des prix à la consommation, hors tabac, des ménages du premier quintile de la distribution
des niveaux de vie s’établit à 106,56 en novembre 2021 (103,33 en novembre 2020 sur la base 100 en 2015).
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 157 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société VIIV
HEALTHCARE SAS et en application du premier alinéa de l’article L. 162-16-5 du code de la sécurité sociale, les
prix de cession hors taxes aux établissements de santé pour les spécialités ci-après sont :
Prix de vente HT par UCD
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant aux établissements de santé
(en €)
34008 900 097 8 2 REKAMBYS 900MG INJ FL3ML +N VIIV HEALTHCARE SAS 331,800
34008 900 097 9 9 VOCABRIA 30MG CPR VIIV HEALTHCARE SAS 13,470
34008 900 098 0 5 VOCABRIA 600MG INJ FL3ML +N VIIV HEALTHCARE SAS 808,200
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 158 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société VIIV
HEALTHCARE SAS, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont ceux figurant dans le tableau
ci-après. Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la
République française.
No CIP Présentation PFHT PPTTC
34009 302 198 7 4 REKAMBYS 900 mg (rilpivirine), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (300 mg/ml) en flacon (verre) + 331,80 € 380,36 €
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
34009 302 198 9 8 VOCABRIA 30 mg (cabotégravir), comprimés pelliculés en flacon (PEHD) (B/30) (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS) 404,10 € 462,98 €
34009 302 199 0 4 VOCABRIA 600 mg (cabotégravir), suspension injectable à libération prolongée, 3 ml (200 mg/ml) en flacon (verre) + 808,20 € 900,79 €
1 seringue + 1 adaptateur pour flacon + 1 aiguille (laboratoires VIIV HEALTHCARE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 159 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application des conventions entre le comité économique des produits de santé et les sociétés ALMUS
FRANCE, ARROW GENERIQUES, EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS, KRKA FRANCE,
MYLAN, LES LABORATOIRES SERVIER, REDDY PHARMA SAS, SANDOZ, ZENTIVA FRANCE, ZYDUS
FRANCE, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont ceux figurant dans le tableau ci-après.
Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la
République française.
No CIP Présentation PFHT PPTTC TFR
34009 302 346 3 1 ARIPIPRAZOLE ALMUS 10 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 14,56 € 17,42 €
34009 302 346 4 8 ARIPIPRAZOLE ALMUS 15 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 14,56 € 17,42 €
34009 302 346 2 4 ARIPIPRAZOLE ALMUS 5 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 14,56 € 17,42 €
34009 301 008 4 4 BIMATOPROST SANDOZ 0,1 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) 4,73 € 5,79 €
(laboratoires SANDOZ)
34009 301 076 8 3 BIMATOPROST/TIMOLOL MYLAN 0,3 mg/ml+ 5 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en 5,64 € 6,86 €
flacon (B/1) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 252 5 7 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PV 3,45 € 4,13 € 4,13 €
C/Aluminium) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 252 7 1 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PV 9,83 € 11,49 € 11,49 €
C/Aluminium) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 321 8 7 DEFERASIROX ARROW 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW 119,97 € 147,46 €
GENERIQUES)
34009 302 322 1 7 DEFERASIROX ARROW 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW 239,94 € 293,75 €
GENERIQUES)
34009 302 321 6 3 DEFERASIROX ARROW 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW 59,99 € 74,33 €
GENERIQUES)
34009 302 011 2 1 DEFERASIROX EG 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO 119,97 € 147,46 €
LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 4 5 DEFERASIROX EG 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO 239,94 € 293,75 €
LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 011 0 7 DEFERASIROX EG 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO 59,99 € 74,33 €
LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 265 3 7 DEFERASIROX SANDOZ 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 119,97 € 147,46 €
34009 302 265 5 1 DEFERASIROX SANDOZ 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 239,94 € 293,75 €
34009 302 265 1 3 DEFERASIROX SANDOZ 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 59,99 € 74,33 €
34009 302 086 0 1 DEFERASIROX ZENTIVA 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA 119,97 € 147,46 €
FRANCE)
34009 302 086 2 5 DEFERASIROX ZENTIVA 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA 239,94 € 293,75 €
FRANCE)
34009 302 085 7 1 DEFERASIROX ZENTIVA 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA 59,99 € 74,33 €
FRANCE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 159 sur 203
34009 301 822 1 5 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL ZYDUS 200 mg/245 mg, comprimés pelli 129,20 € 155,42 €
culés en flacon (B/30) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 302 389 0 5 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/30) 12,18 € 14,23 €
(laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 389 4 3 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/90) 34,71 € 40,25 €
(laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 275 9 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 4 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) 5,71 € 7,31 €
(laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 276 2 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 8 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) 5,71 € 7,31 €
(laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 392 6 1 MACROGOL 4000 ZENTIVA 4 g, poudre pour solution buvable en sachet (B/20) 1,40 € 1,88 €
(laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 377 8 6 MONTELUKAST ARROW LAB 4 mg, granulés en sachet-dose (B/28) (laboratoires 7,96 € 9,32 €
ARROW GENERIQUES)
34009 302 366 4 2 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés 5,44 € 6,39 € 6,39 €
(B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 7 1 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés 15,50 € 18,09 € 18,09 €
(B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 3 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/30) 5,44 € 6,39 € 6,39 €
(laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 6 4 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/90) 15,50 € 18,09 € 18,09 €
(laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 6 6 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés 7,40 € 8,67 € 8,67 €
(B/30) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 9 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés 21,09 € 24,59 € 24,59 €
(B/90) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 366 5 9 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/30) 7,40 € 8,67 € 8,67 €
(laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 382 8 8 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/90) 21,09 € 24,59 € 24,59 €
(laboratoires MYLAN SAS)
34009 302 376 2 5 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 2 g/250 mg, poudre pour solution pour 4,35 € 5,15 €
perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 376 6 3 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 4 g/500 mg, poudre pour solution pour 7,50 € 8,84 €
perfusion en flacon (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 384 7 9 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées 3,49 € 4,55 €
(PVC/PVDC/alu) (B/56) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 302 384 8 6 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées 5,23 € 6,70 €
(PVC/PVDC/alu) (B/84) (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 301 864 0 4 PROPAFENONE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculés sécables (B/30) (laboratoires 3,28 € 4,18 €
MYLAN SAS)
34009 302 000 0 1 SUNITINIB BIOGARAN 12,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN) 417,08 € 501,77 €
34009 302 000 4 9 SUNITINIB BIOGARAN 25 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN) 834,16 € 976,53 €
34009 302 000 7 0 SUNITINIB BIOGARAN 37,5 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN) 1251,24 € 1375,75 €
34009 302 001 0 0 SUNITINIB BIOGARAN 50 mg, gélules (B/28) (laboratoires BIOGARAN) 1668,31 € 1836,23 €
34009 302 342 7 3 SUNITINIB KRKA 12,5 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Alu 446,87 € 537,52 €
minium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
34009 302 342 8 0 SUNITINIB KRKA 25 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Alumi 893,74 € 1043,82 €
nium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
34009 302 342 9 7 SUNITINIB KRKA 50 mg, gélules sous plaquettes unitaires (OPA/Aluminium/PE/Alumi 1787,48 € 1957,90 €
nium) avec dessiccant (B/30) (laboratoires KRKA FRANCE)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 160 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis relatif aux décisions de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie portant fixation
du taux de participation de l’assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques
NOR : SSAS2134184V
Par décisions du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 7 octobre,
15 octobre, 22 octobre et 26 novembre 2021, les taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités citées
ci-dessous sont fixés comme suit :
Code CIP Présentation Taux
de participation
34009 302 346 3 1 ARIPIPRAZOLE ALMUS 10 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 35%
34009 302 346 4 8 ARIPIPRAZOLE ALMUS 15 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 35%
34009 302 346 2 4 ARIPIPRAZOLE ALMUS 5 mg, comprimés (B/28) (laboratoires ALMUS FRANCE) 35%
34009 301 008 4 4 BIMATOPROST SANDOZ 0,1 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires SANDOZ) 35%
34009 301 076 8 3 BIMATOPROST/TIMOLOL MYLAN 0,3 mg/ml+ 5 mg/ml, collyre en solution, 3 ml en flacon (B/1) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 252 5 7 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/30) (laboratoires 35%
ZENTIVA FRANCE)
34009 302 252 7 1 BISOPROLOL ZENTIVA K.S 1,25 mg, comprimés sous plaquettes (OPA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires 35%
ZENTIVA FRANCE)
34009 302 321 8 7 DEFERASIROX ARROW 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 322 1 7 DEFERASIROX ARROW 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 321 6 3 DEFERASIROX ARROW 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 011 2 1 DEFERASIROX EG 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 35%
34009 302 011 4 5 DEFERASIROX EG 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 35%
34009 302 011 0 7 DEFERASIROX EG 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 35%
34009 302 265 3 7 DEFERASIROX SANDOZ 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 35%
34009 302 265 5 1 DEFERASIROX SANDOZ 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 35%
34009 302 265 1 3 DEFERASIROX SANDOZ 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 35%
34009 302 086 0 1 DEFERASIROX ZENTIVA 180 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 086 2 5 DEFERASIROX ZENTIVA 360 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 085 7 1 DEFERASIROX ZENTIVA 90 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 389 0 5 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 389 4 3 EZETIMIBE ZENTIVA 10 mg, comprimés sous plaquettes (PVC/PE/PVDC-Alu) (B/90) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 392 6 1 MACROGOL 4000 ZENTIVA 4 g, poudre pour solution buvable en sachet (B/20) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 35%
34009 302 377 8 6 MONTELUKAST ARROW LAB 4 mg, granulés en sachet-dose (B/28) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 366 4 2 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 160 sur 203
34009 302 382 7 1 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 366 3 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 382 6 4 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 4 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 366 6 6 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 382 9 5 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/10 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 366 5 9 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 382 8 8 PERINDOPRIL TERT-BUTYLAMINE/AMLODIPINE MYLAN 8 mg/5 mg, comprimés (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 35%
34009 302 376 2 5 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 2 g/250 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires 35%
ARROW GENERIQUES)
34009 302 376 6 3 PIPERACILLINE/TAZOBACTAM ARROW 4 g/500 mg, poudre pour solution pour perfusion en flacon (B/1) (laboratoires 35%
ARROW GENERIQUES)
34009 302 384 7 9 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/56) (laboratoires ZENTIVA 35%
FRANCE)
34009 302 384 8 6 PREGABALINE ZENTIVA 25 mg, gélules sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC/alu) (B/84) (laboratoires ZENTIVA 35%
FRANCE)
34009 302 275 9 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 4 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 70%
34009 302 276 2 6 FESOTERODINE ZENTIVA LP 8 mg, comprimés à libération prolongée (B/30) (laboratoires ZENTIVA FRANCE) 70%
34009 301 864 0 4 PROPAFENONE MYLAN 300 mg, comprimé pelliculés sécables (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 70%
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 161 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société SUN PHARMA
FRANCE et du I de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, les tarifs de responsabilité et les prix limite
de vente des spécialités ci-après sont :
Prix limite de vente HT par UCD
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant Tarif de responsabilité aux établissements de santé
HT par UCD (en €) (en €)
34008 900 185 3 1 PEMETREXED SUN 1000MG PERF FL SUN PHARMA FRANCE 1179,900 1179,900
34008 900 172 5 1 PEMETREXED SUN 100MG PERF FL SUN PHARMA FRANCE 124,017 124,017
34008 900 172 6 8 PEMETREXED SUN 500MG PERF FL SUN PHARMA FRANCE 589,950 589,950
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 162 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
Dans l’avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques (NOR : SSAS2134225V, texte 58), publié au Journal
officiel de la République française du 14 décembre 2021, les spécialités pharmaceutiques ci-dessous sont retirés du
tableau, les prix publiés sont ceux en vigueur :
No CIP Présentation
34009 301 635 2 8 BACLOCUR 10 mg (baclofène), comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires ETHYPHARM)
34009 301 635 9 7 BACLOCUR 20 mg (baclofène), comprimés pelliculés sécables(B/30) (laboratoires ETHYPHARM)
34009 301 868 8 6 BACLOCUR 30 mg (baclofène), comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires ETHYPHARM)
34009 301 636 6 5 BACLOCUR 40 mg (baclofène), comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires ETHYPHARM)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 163 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application des conventions entre le comité économique des produits de santé et les sociétés ACCORD
HEALTHCARE FRANCE SAS, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont ceux figurant dans
le tableau ci-après. Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal
officiel de la République française.
No CIP Présentation PFHT PPTTC
34009 302 331 7 7 MIDAZOLAM ACCORD 1mg/ml, solution injectable, 5 ml en ampoule (verre de 4,46 € 5,25 €
type I) (B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 332 0 7 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable,10 ml en ampoule (Verre) 9,05 € 10,59 €
(B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 331 8 4 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 1 ml en ampoule (Verre) 4,46 € 5,25 €
(B/10) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 164 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis relatif à la décision de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie portant fixation
du taux de participation de l’assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques
NOR : SSAS2136561V
Par décision du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date
du 1er décembre 2021, le taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités citées ci-dessous est fixé
comme suit :
Taux
Code CIP Présentation de participation
34009 302 331 7 7 MIDAZOLAM ACCORD 1mg/ml, solution injectable, 5 ml en ampoule (verre de type I) (B/10) (laboratoires 35 %
ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 332 0 7 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable,10 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD 35 %
HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 331 8 4 MIDAZOLAM ACCORD 5 mg/ml, solution injectable, 1 ml en ampoule (Verre) (B/10) (laboratoires ACCORD 35 %
HEALTHCARE FRANCE SAS)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 165 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, des conventions et avenants entre le comité économique des produits de santé et :
– les Laboratoires ALCON ;
– les Laboratoires ALLERGAN France ;
– la société HORUS PHARMA ;
– la société THEA PHARMA ;
– la société TRB CHEMEDICA,
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP) ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– l’Union des syndicats des pharmaciens d’officine (USPO),
a) Les tarifs et les prix limites de vente (PLV) au public en euros TTC des produits visés dans le tableau ci-
dessous sont fixés comme suit :
Tarif PLV NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU
actuel actuel Tarif en € TTC PLV en € TTC Tarif en € TTC PLV en € TTC Tarif en € TTC PLV en € TTC
CODE DESIGNATION en € en € au au au au au au
TTC TTC 1er janvier 2022 1er janvier 2022 1er juillet 2022 1er juillet 2022 1er janvier 2023 1er janvier 2023
1130160 Solution hyaluronate 11,35 14,20 10,90 13,63 10,56 13,21 10,22 12,78
sodium 0,18%,
Horus, VISMED
MULTI, flacon
15 ml, B/1.
1100650 Émulsion hyaluro 11,35 14,20 10,90 13,63 10,56 13,21 10,22 12,78
nate sodium
0,18 % HORUS,
NEOVIS TOTAL
MULTI, flacon
15 ml.
1135498 Solution stérile à 11,35 14,20 10,90 13,63 10,56 13,21 10,22 12,78
usage ophtal
mique THEA
PHARMA, THEA
LOSE, flacon
15 ml B/1
1130124 Solution hyaluronate 11,35 14,20 10,90 13,63 10,56 13,21 10,22 12,78
sodium 0,18%,
TRB, HYLOVIS
MULTI, flacon
15 ml, B/1.
1129003 Émulsion hyaluro 11,35 14,20 10,90 13,63 10,56 13,21 10,22 12,78
nate sodium
0,18 % TRB,
HYLOVIS LIPO
MULTI, flacon
15 ml.
1152893 Solution à usage 10,04 12,74 9,54 12,10 9,04 11,47 8,54 10,84
ophtalmique,
ALCON, SYSTANE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 165 sur 203
BALANCE, flacon
multidose 10ml
b) Les tarifs et les prix limites de vente (PLV) au public en euros TTC des produits visés dans le tableau ci-
dessous sont fixés comme suit :
Nouveau Nouveau Nouveau Nouveau
Tarif actuel PLV actuel Tarif en € TTC PLV en € TTC Tarif en € TTC PLV en € TTC
CODE DÉSIGNATION en € TTC en € TTC au au au au
1er janvier 2022 1er janvier2022 12 août 2022 12 août 2022
1165507 Solution à usage ophtalmique, ALCON, 8,54 10,84 8,11 10,30 7,69 9,76
SYSTANE ULTRA, flacon multidose
10 ml
1168581 Solution à usage ophtalmique, ALLER 8,54 10,84 8,11 10,30 7,69 9,76
GAN, OPTIVE FUSION, flacon multi
dose 10mL
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 166 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société TAKEDA et du
premier alinéa de l’article L. 162-16-5 du code de la sécurité sociale, le prix de cession hors taxes aux
établissements de santé de la spécialité ci-après est :
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société TAKEDA et du I
de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, le tarif de responsabilité et le prix limite de vente de la
spécialité ci-après sont :
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de l’avenant à la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– la société AMOENA France ;
– la société ANITA France ;
– la société THUASNE ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– le syndicat national de l’orthopédie française (SNOF),
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence d’avenant à la convention
entre le comité économique des produits de santé et :
– l’Union des syndicats des pharmaciens d’officine (USPO),
les prix de vente maximum hors taxes au distributeur revendant directement aux assurés sociaux (dénommés ci-
après prix de cession) en € HT et les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés
ci-dessous sont fixés comme suit :
Prix de ces TARIF PLV actuel Nouveau prix de Nouveau TARIF Nouveau PLV
CODE DESIGNATION sion actuel actuel en € en € TTC cession en € HT en € TTC au en € TTC au
en € HT TTC au 1er janvier 2022 1er janvier 2022 1er janvier 2022
2464376 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 180,00 67,80 85,70 85,70
silicone, modèle standard,
AMOENA
2461679 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 233,34 233,34 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, non adhé
rente, AMOENA
2483445 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 233,34 233,34 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, adhérente,
AMOENA
2486917 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 233,34 93,90 85,70 118,69
silicone, mod tech pr stand
attendu, AMOENA
2405244 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 180,00 67,80 85,70 85,70
silicone, modèle standard, ANITA
2492415 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 240,00 240,00 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, non adhé
rente, ANITA
2401714 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 240,00 240,00 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, adhérente,
ANITA
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 167 sur 203
2479403 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 240,00 93,90 85,70 118,69
silicone, mod tech pr stand
attendu, ANITA
2404492 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 180,00 67,80 85,70 85,70
silicone, modèle standard,
THUASNE
2490764 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 240,00 240,00 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, non adhé
rente, THUASNE
2440051 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 240,00 240,00 93,90 118,69 118,69
silicone, mod techniq, adhérente,
THUASNE
2434317 PME Sil, Prothèse mammaire externe - 180,00 240,00 93,90 85,70 118,69
silicone, mod tech pr stand
attendu, THUASNE
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 168 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
Les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont les suivants :
34009 300 638 2 8 ATENOLOL/NIFEDIPINE BIOGARAN 50 mg/20 mg, gélules (B/30) (laboratoires BIOGARAN) 5,60 € 6,57 €
34009 300 638 5 9 ATENOLOL/NIFEDIPINE BIOGARAN 50 mg/20 mg, gélules (B/90) (laboratoires BIOGARAN) 15,96 € 18,62 €
34009 300 636 7 5 ATENOLOL/NIFEDIPINE MYLAN 50 mg/20 mg, gélules (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 5,60 € 6,57 €
34009 300 637 1 2 ATENOLOL/NIFEDIPINE MYLAN 50 mg/20 mg, gélules (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 15,96 € 18,62 €
34009 300 846 0 1 ATENOLOL/NIFEDIPINE SANDOZ 50 mg/20 mg, gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium) 5,60 € 6,57 €
(B/30) (laboratoires SANDOZ)
34009 300 846 4 9 ATENOLOL/NIFEDIPINE SANDOZ 50 mg/20 mg, gélules sous plaquettes (PVC/PVDC/Aluminium) 15,96 € 18,62 €
(B/90) (laboratoires SANDOZ)
34009 372 428 2 0 NITRENDIPINE MYLAN 20 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 7,66 € 8,97 €
34009 372 430 7 0 NITRENDIPINE MYLAN 20 mg, comprimés sécables (B/90) (laboratoires MYLAN SAS) 21,84 € 25,81 €
34009 354 152 9 5 NITRENDIPINE ZYDUS 20 mg, comprimés sécables (B/28) (laboratoires ZYDUS FRANCE) 7,15 € 8,51 €
34009 279 836 7 2 CLOPIDOGREL ACCORD 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE 6,61 € 7,75 €
FRANCE SAS)
34009 397 418 0 2 CLOPIDOGREL ALMUS 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ALMUS FRANCE) 6,61 € 7,75 €
34009 302 053 0 3 CLOPIDOGREL ALMUS PHARMA 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ALMUS FRANCE) 6,61 € 7,75 €
34009 397 167 8 7 CLOPIDOGREL ALTER 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (PA/alu/PVC/alu) 6,61 € 7,75 €
B/30 (laboratoires ALTER)
34009 397 158 9 6 CLOPIDOGREL ALTER 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (PVC/PE/PVD 6,61 € 7,75 €
C/alu) B/30 (laboratoires ALTER)
34009 273 960 8 3 CLOPIDOGREL ARROW 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 6,61 € 7,75 €
34009 273 972 6 4 CLOPIDOGREL ARROW 75 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/30) (laboratoires ARROW 6,61 € 7,75 €
GENERIQUES)
34009 396 899 5 1 CLOPIDOGREL ARROW GENERIQUES 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW 6,61 € 7,75 €
GENERIQUES)
34009 396 984 2 7 CLOPIDOGREL ARROW LAB 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 6,61 € 7,75 €
34009 396 989 4 6 CLOPIDOGREL ARROW LAB 75 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/30) (laboratoires ARROW 6,61 € 7,75 €
GENERIQUES)
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 168 sur 203
34009 266 438 8 1 CLOPIDOGREL BGR 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires BIOGARAN) 6,61 € 7,75 €
34009 300 650 6 8 CLOPIDOGREL BGR 75 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/30) (laboratoires BIOGARAN) 6,61 € 7,75 €
34009 302 248 1 6 CLOPIDOGREL BIOGARAN 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires BIOGARAN) 6,61 € 7,75 €
34009 397 087 4 4 CLOPIDOGREL BOUCHARA-RECORDATI 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires BOU 6,61 € 7,75 €
CHARA RECORDATI)
34009 397 134 2 7 CLOPIDOGREL CRISTERS 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes formées à froid (B/30) 6,61 € 7,75 €
(laboratoires CRISTERS)
34009 397 124 7 5 CLOPIDOGREL CRISTERS 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (B/30) 6,61 € 7,75 €
(laboratoires CRISTERS)
34009 396 787 2 6 CLOPIDOGREL EG 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES 6,61 € 7,75 €
EUROGENERICS)
34009 301 271 1 7 CLOPIDOGREL EG LABO 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES 6,61 € 7,75 €
EUROGENERICS)
34009 397 113 5 5 CLOPIDOGREL EVOLUGEN 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (PA/a 6,61 € 7,75 €
lu/PVC/alu) B/30 (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 397 105 2 5 CLOPIDOGREL EVOLUGEN 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées 6,61 € 7,75 €
(PVC/PE/PVDC/alu) B/30 (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 224 157 0 3 CLOPIDOGREL KRKA 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires KRKA D.D) 6,61 € 7,75 €
34009 224 158 7 1 CLOPIDOGREL KRKA d.d. 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires KRKA D.D) 6,61 € 7,75 €
34009 399 839 3 6 CLOPIDOGREL MYLAN 75 mg, comprimés pelliculés (B/30 x 1) (laboratoires MYLAN SAS) 6,61 € 7,75 €
34009 396 283 4 9 CLOPIDOGREL MYLAN 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires MYLAN SAS) 6,61 € 7,75 €
34009 369 006 3 9 CLOPIDOGREL PHR LAB 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires PHR LAB) 6,61 € 7,75 €
34009 217 587 3 3 CLOPIDOGREL RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (labora 6,61 € 7,75 €
toires RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES)
34009 395 978 9 8 CLOPIDOGREL RATIOPHARM GmbH 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires TEVA SANTE) 6,61 € 7,75 €
34009 396 850 6 9 CLOPIDOGREL RPG 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires RANBAXY PHARMACIE 6,61 € 7,75 €
GENERIQUES)
34009 397 922 0 0 CLOPIDOGREL SANDOZ 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 6,61 € 7,75 €
34009 399 842 4 7 CLOPIDOGREL SANDOZ 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires SANDOZ) 6,61 € 7,75 €
34009 277 393 0 9 CLOPIDOGREL TEVA 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires TEVA SANTE) 6,61 € 7,75 €
34009 388 063 9 7 CLOPIDOGREL ZENTIVA 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (aluminiu 6,61 € 7,75 €
m/aluminium) B/30 (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 388 062 2 9 CLOPIDOGREL ZENTIVA 75 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées 6,61 € 7,75 €
(PVC/PVDC/aluminium) B/30 (laboratoires ZENTIVA FRANCE)
34009 224 571 1 6 CLOPIDOGREL ZF 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZYDUS FRANCE) 6,61 € 7,75 €
34009 396 975 3 6 CLOPIDOGREL ZYDUS 75 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires ZYDUS FRANCE) 6,61 € 7,75 €
34009 397 348 2 8 GREPID 75 mg (clopidogrel), comprimés pelliculés Gé sous plaquette thermoformée (alu/alu) (B/30) 6,61 € 7,75 €
(laboratoires PHARMATHEN SA)
34009 397 344 7 7 GREPID 75 mg (clopidogrel), comprimés pelliculés Gé sous plaquette thermoformée (PVC/PE/PVD 6,61 € 7,75 €
C/alu) (B/30) (laboratoires PHARMATHEN SA)
34009 266 439 4 2 ZYLLT (clopidogrel) 75 mg, comprimés pelliculés Gé (B/30) (laboratoires KRKA D.D) 6,61 € 7,75 €
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 169 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– la société 3M France ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– l’Union des syndicats des pharmaciens d’officine (USPO),
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP),
les prix de vente maximum hors taxes au distributeur revendant directement aux assurés sociaux (dénommés ci-
après prix de cession) en € HT et les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés
ci-dessous sont fixés comme suit :
Prix de cession TARIF/PLV
CODE DÉSIGNATION en € HT en € TTC
1303783 Panst anatomiq absorp impte, adh, 230cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE 26,77 36,92
FOAM BORDER, B/5
1307338 Panst anatomiq absorp impte, adh, 215cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE 35,74 47,69
FOAM BORDER, B/10
1300313 Panst anatomique absorp impte, adh, 335cm2,3M,3M TEGADERM SILICONE 37,82 50,18
FOAM BORDER, B/5
17 décembre 2021 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 170 sur 203
Avis et communications
AVIS DIVERS
a) En application d’une part, de l’avenant à la convention entre le comité économique des produits de santé et la
société AQUALEG SAS et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de
convention entre le comité économique des produits de santé et l’Union française des orthoprothésistes (UFOP),
les nouveaux tarif et prix limite de vente (PLV) au public en euros TTC et prix de cession en euros HT du produit
visé dans le tableau ci-dessous sont fixés comme suit :
Nouveau
Prix TARIF PLV PRIX Nouveau Nouveau
CODE DÉSIGNATION de cession actuel actuel de cession TARIF PLV
en € HT en € TTC en € TTC en € HT en € TTC en € TTC
2744176 Revêtement de protection pour pro - 3 200,00 3 200,00 2 000,00 2 110,00 2 110,00
thèse tibiale, AQUALEG SAS, AQUA
LEG
b) En l’absence de convention entre le comité économique des produits de santé et l’Union française des
orthoprothésistes (UFOP), le tarif et le prix limite de vente (PLV) au public en euros TTC des prestations visées
dans le tableau ci-dessous sont fixés comme suit :
TARIF PLV
CODE DÉSIGNATION en € TTC en € TTC
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– la société BAUERFEIND France,
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP) ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– l’Union syndicale des pharmaciens d’officine (USPO).
I. – Les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) de produit visé ci-dessous sont fixés comme
suit :
NOUVEAUX TARIF/PLV
CODE DÉSIGNATION TARIF/PLV en € TTC
en € TTC au 1er juillet 2022
1370638 Système compression veineuse, BAUERFEIND, VENOTRAIN ULCERTEC 39 AG. 78,00 76,00
II. – Les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés ci-dessous sont fixés
comme suit :
NOUVEAUX NOUVEAUX
TARIF/PLV TARIF/PLV TARIF/PLV
CODE DÉSIGNATION actuels en € TTC en € TTC
en € TTC au 1er mars 2022 au 1er juillet 2022
Avis et communications
AVIS DIVERS
MINISTÈRE DE LA MER
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche