WWW - Cours Gratuit - Com Id 10113
WWW - Cours Gratuit - Com Id 10113
WWW - Cours Gratuit - Com Id 10113
Sujet N° 21
Sujet N° 23
Sujet N°24
Sujet N° 25
Sujet N° 27
Sujet N° 28
Téléchargez le dossier.
Fermez le document
Détruisez le document
Fermez le document
Recherchez sur ce site la Demande de carte personnes handicapées (ce formulaire est
référencé : Cerfa n°12689*01)
Téléchargez le formulaire
Fermez le document
Détruisez le document
Téléchargez le dossier
Fermez le document
Détruisez le document
WORD
CDG 45
Sujet N° 46
1. Ouvrez le document « Sujet N°46 Magasin du rêve »
2. Mettez la lettre en forme
3. Réalisez un publipostage (3 lettres avec un fichier de données que vous aurez
créé au préalable)
4. N'oubliez pas de mettre la date dans votre lettre, mais en vous servant de
Word pour le faire
5. Insérez l'objet WordArt au milieu des deux premiers paragraphes
6. Insérez le P.S. en note de bas de page
7. Enregistrez votre document principal dans un dossier à votre prénom
8. Fermez le document
Nous sommes très heureux de vous annoncer l'ouverture prochaine de notre nouvelle
agence dans votre département, sous la raison sociale et à l'adresse suivante :
Nous serons très heureux de vous recevoir dans ces nouveaux locaux plus proches de votre
domicile et de vous proposer de nombreuses ventes promotionnelles.
Dans l'attente de faire votre connaissance, nous vous prions d'agréer, nos meilleures
salutations.
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Fin mars 2008, 1 905 000 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie 1 augmente de 0,4 % (+8 200) au mois de mars en données
corrigées des variations saisonnières (+0,6 % pour les hommes et +0,3 % pour les femmes). Sur un an, le nombre de
demandeurs d’emploi de catégorie 1 décroît de 6,5 % (-6,8 % pour les hommes et -6,1 % pour les femmes).
Le nombre de demandeurs d’emploi de moins de 25 ans inscrits en catégorie 1 augmente de 1,1 % au mois de mars
et celui des demandeurs d’emploi âgés de 25 à 49 ans de 0,2 % (respectivement de -6,2 % et -6,6 % sur un an). Le
nombre de demandeurs d’emploi de 50 ans ou plus croît de 0,6 % au mois de mars (-6,2 % sur un an).
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie 1+6 baisse de 0,8 % au mois de mars (sont inscrits en catégorie 6
les demandeurs d’emploi ayant exercé une activité occasionnelle ou réduite de plus de 78 heures dans le mois).
En mars, le nombre de chômeurs de longue durée de catégorie 1, inscrits depuis au moins un an à l’ANPE, augmente
de 0,7 %. Parmi eux, le nombre de chômeurs inscrits depuis un à deux ans est en hausse de 1,3 % et le nombre de
ceux inscrits depuis deux à trois ans diminue de 0,8 %.
Fin mars, 2 005 900 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégories 1, 2, 3 hors activité réduite
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégories 1, 2, 3 n’ayant pas exercé d’activité réduite au cours du mois reste
stable à 0,0 % (-400) en mars (il s’agit de l’ensemble des demandeurs d’emploi à la recherche d’un emploi,
immédiatement disponibles et n’ayant pas travaillé au cours du mois). Sur un an, ce nombre décroît de 8,1 %.
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégories 1, 2, 3, 6, 7, 8 (y compris ceux qui ont exercé une activité réduite)
diminue de 0,7 % en mars. Sur un an, ce nombre recule de 6,8 %.
Le nombre des inscriptions en catégorie 1 enregistrées à l’ANPE au cours des trois derniers mois augmente de 3,5 %
par rapport aux trois mois précédents. Les entrées faisant suite à un licenciement économique augmentent (+2,5 %),
de même que celles faisant suite à un licenciement pour un motif autre qu’économique (+3,3 %). Les entrées
consécutives à une fin de contrat à durée déterminée, celles concluant une fin de mission d’intérim ainsi que le
nombre de premières entrées sont en hausse (respectivement +3,4 %, +7,6 % et +12,9 %).
Les sorties de l’ANPE au cours des trois derniers mois baissent de 1,6 % par rapport aux trois mois précédents. Les
sorties pour reprises d’emploi déclarées augmentent (+0,3 %), ainsi que celles pour entrées en stage (+3,9 %)
CDG 45
Sujet n° 50
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 50 centenaire
Le 22 mars 1841, après l’enquête du docteur Villermé, la première loi limitant le travail des enfants employés dans les
manufactures est adoptée. Elle est à l’origine en 1892 de la création d’un corps d’inspecteurs du travail pour contrôler
l’application de la réglementation naissante du travail. Institué par un décret, le premier ministère du travail naît le 25 octobre
1906 ; l’inspection du travail lui est rattachée. L’activité du ministère du travail s’amplifie peu à peu avec le développement de la
législation du travail notamment la loi sur les congés payés, la semaine de 40 heures, les conventions collectives…
L’emploi ne devient la responsabilité de la puissance publique qu’à partir de 1945. Par ordonnance du 24 mai 1945, le placement
et le contrôle de l’emploi sont assurés par les services régionaux et départementaux de la Main-d’œuvre. Ainsi à la mission
traditionnelle de contrôle de la réglementation dont sont chargées les sections d’inspection du travail, s’ajoute une nouvelle
mission étendant les champs d’intervention du ministère.
En 1967, un établissement public est créé, chargé du service public de placement, assuré jusqu’alors par les bureaux de la main
d’oeuvre ; il s’agit de l’Agence nationale pour l’emploi. Pour faire face à la montée du chômage, la Direction Générale du Travail
et de l’Emploi fait place, en 1975, à la Direction des Relations du Travail et à la Délégation à l’Emploi.
A compter de 1985, le Ministère du Travail et de l’Emploi se voit rattaché la Délégation à la Formation professionnelle, à l’origine
Délégation interministérielle placée auprès du Premier Ministre.
La création de deux nouvelles directions et d’une nouvelle délégation achèvent la construction progressive du Ministère ; il s’agit
de la Direction de l’administration générale et de la modernisation des services créée en 1990 et de la Direction de l’animation de
la recherche, des études et des statistiques en 1993.
Le décret du 18 mars 1997 donnera lieu à la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle formée à partir de la
Délégation à l’emploi et de la Délégation à la formation professionnelle.
Enfin par décret du 22 août 2006, le ministère s’est doté d’une direction générale du travail. Cette nouvelle organisation constitue
une étape importante pour renforcer la politique du travail
CDG 45
Sujet n° 51
(QRQFp
Mise en forme d’un document
La possibilité de suivre une formation dans le cadre d’une période de professionnalisation s’adresse aux cinq
catégories de salariés suivantes :
les salariés dont la qualification est insuffisante au regard de l’évolution des technologies et de l’organisation du
travail ;
les salariés qui comptent 20 ans d’activité professionnelle ou âgés d’au moins 45 ans et disposant d’une ancienneté
minimum d’un an de présence dans la dernière entreprise qui les emploie ;
les salariés qui envisagent la création ou la reprise d’une entreprise ;
les femmes qui reprennent une activité professionnelle après un congé de maternité ou aux hommes et aux femmes
après un congé parental ;
les bénéficiaires de l’obligation d’emploi prévue à l’article L. 5212-13 du code du travail , notamment les travailleurs
handicapés.
Les périodes de professionnalisation s’adressent aux salariés présents dans l’entreprise et titulaires d’un CDI.
de participer à une action de formation dont l’objectif est défini par la commission paritaire nationale de la branche
professionnelle dont relève l’entreprise.
Afin de « coller » au plus près aux besoins spécifiques des branches professionnelles, la liste des qualifications
accessibles au titre des périodes de professionnalisation sera fixée par les partenaires sociaux, soit dans le cadre
d’une convention ou d’un accord collectif de branche, soit, à défaut, par accord collectif conclu entre les organisations
représentatives d’employeurs et de salariés signataires d’un accord constitutif d’un OPCA interprofessionnel.
Sujet n° 52
(QRQFp
0LVHHQIRUPHG·XQGRFXPHQW
1. Ouvrez le document « Sujet n° 52 créateurs »
2. Justifiez le texte
3. Changez la police et la taille de caractère
4. Mettez le titre en gras et centré
5. Centrez automatiquement le texte dans la page
6. Choisissez une trame de fond pour les titres, gras, taille 12
7. Ajoutez des puces aux énumérations
8. Enregistrez le document dans un dossier à votre prénom
9. Fermez le document
10. Supprimez le dossier à votre prénom
Sujet n° 52 créateurs
Synthèse
L’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE) est l’une des mesures du dispositif d’appui à
l’initiative économique gérée par le ministère en charge de l’Emploi au bénéfice de demandeurs d’emploi, salariés
licenciés, jeunes, personnes en difficulté… Ce dispositif vise à faciliter tant la structuration des projets de création ou
de reprise d’entreprise que le développement des activités ainsi créées, sous forme individuelle ou en société.
L’ACCRE consiste en une exonération de cotisations sociales permettant le maintien, pour une durée déterminée, de
certains minima sociaux. Elle peut s’appuyer sur la mobilisation de deux autres mesures complémentaires :
une aide financière dans le cadre du dispositif EDEN (encouragement au développement d’entreprises nouvelles).,
une aide au conseil sous forme de chèques conseil permettant au créateur l’accès à une offre d’expertise dont une
part du financement est pris en charge par l’Etat.
A savoir
Différentes aides sont prévues, notamment pour les salariés créateurs d’entreprise, pour les femmes, dans le cadre
du Fonds de garantie pour l’initiative des femmes (FGIF) qui consiste à faciliter l’obtention de crédits bancaires, ou
pour les porteurs de petits projets, avec le prêt à la création d’entreprise (PCE)…
Une information sur l’ensemble des aides existantes est disponible sur le site de l’Agence pour la création
d’entreprise : APCE.
Sujet n° 53
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 53 solidarité
Les règles applicables, fixées par l’article L. 3133-8 du Code du travail dans sa rédaction issue de la loi du 16 avril
2008 précitée, sont les suivantes :
Les modalités d’accomplissement de la journée de solidarité seront fixées par accord d’entreprise ou d’établissement
ou, à défaut, par accord de branche.
1° soit le travail d’un jour férié précédemment ch ômé autre que le 1er mai ;
3° soit toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées en application de
dispositions conventionnelles ou des modalités d’organisation des entreprises.
À défaut d’accord collectif, les modalités d’accomplissement de la journée de solidarité seront définies par
l’employeur, après consultation du comité d’entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel s’ils existent (on
rappellera que jusqu’à présent, et sauf cas particuliers, à défaut d’accord collectif, la journée de solidarité était fixée,
par la loi, au lundi de Pentecôte).
Compte tenu des dispositions spécifiques applicables dans ces départements, il est toutefois prévu que, dans les
départements de la Moselle, du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, l’accord ou, à défaut, la décision de l’employeur ne peut
déterminer ni le premier et le second jours de Noël ni, indépendamment de la présence d’un temple protestant ou
d’une église mixte dans les communes, le Vendredi Saint comme la date de la journée de solidarité.
Fonction publique Sont également modifiées les dispositions applicables aux fonctionnaires et agents non titulaires
des trois fonctions publiques (Etat, territoriale, hospitalière)
Sujet n° 54
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 54 dépendance
5è risque - dépendance : Concertation avec les
partenaires sociaux
2 avril 2008
Dans le cadre de la mise en place du 5ème risque Dépendance engagé à la demande du Président de la République,
Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité et Valérie LETARD,
Secrétaire chargée de la Solidarité, débuteront, jeudi 03 avril 2008, la concertation avec les partenaires sociaux.
Sujet n° 55
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Assistante Maternelle
17 juillet 2007
Sachez-le : la « Convention Collective Nationale (CCN) des assistants maternels du particulier
employeur » du 1er juillet 2004 (brochure n°3317) e st consultable gratuitement sur le site :
www.legifrance.gouv.fr
Le contrat doit-il être écrit ?
Un contrat de travail doit être conclu entre l’assistante maternelle et son employeur (en l’occurrence
les parents de l’enfant). Il est obligatoirement écrit et établi pour chaque enfant (l’obligation de signer
un contrat pour chaque enfant est prévu par la CCN mais pas par le statut législatif). Il est rédigé en
deux exemplaires datés, paraphés et signés par l’employeur et le salarié qui en garde un exemplaire
(CCN, art. 4).
Quelle est la valeur de l’engagement réciproque ?
Il s’agit d’un contrat qui engage les parties qui le signent. Le contenu du contrat de travail est libre
sous réserve du respect des dispositions légales, règlementaires et conventionnelles régissant le
statut des assistantes maternelles. Le contrat doit, en tout état de cause, comporter les mentions
obligatoires prévues à l’article 4 de la CCN reprises, pour l’essentiel, par l’article D. 773-7 du Code
du travail.
Peut-on prévoir des clauses particulières dans le contrat de travail concernant les soins de l’enfant ?
Le contrat de travail doit préciser les conditions d’emploi de l’assistante maternelle, mais aussi les
conditions d’accueil de l’enfant. Ainsi, les parents peuvent énoncer une série de consignes
concernant son régime alimentaire, ses modes de déplacement (par exemple : autorisation ou non
pour l’assistante maternelle de le transporter en voiture), les sorties, les soins à lui prodiguer…
Peut-on faire un CDD avec une assistante maternelle ? Et si oui dans quel cas ?
En règle générale, il est conseillé de conclure un contrat de travail à durée indéterminée avec une
assistante maternelle (CDI) même si ce mode de garde est utilisé pour une période limitée. En effet,
le CDD est plus contraignant car les règles spécifiques prévues dans ce cas par le code du travail
s’appliquent. La conclusion d’un CDD pourrait toutefois se justifier dans certaines circonstances
particulières, par exemple en cas de remplacement de l’assistante maternelle absente pour maladie,
maternité, accident…
La mensualisation est-elle obligatoire ?
Oui. Lorsque l’accueil est régulier, le salaire de base de l’assistante maternelle doit être mensualisé,
et ce quel que soit le nombre d’heures d’accueil par semaine et le nombre de semaines d’accueil
dans l’année (CCN, art. 7). Si l’accueil s’effectue sur une année complète (52 semaines y compris
les congés payés du salarié), le salaire mensuel brut de base est égal au salaire horaire brut x
nombre d’heures d’accueil par semaine x 52/12. Ce salaire est ainsi versé tous les mois, y compris
pendant les périodes de congés payés, sous réserve des droits acquis au cours de la période de
référence.
Sujet n°56
Enoncé :
&RQFHUWDWLRQVXUOHVUHWUDLWHVOHVPLQLVWUHV
FRQFHUQpVUHoRLYHQWOHVSDUWHQDLUHVVRFLDX[
'DQVOHFDGUHGXUHQGH]YRXVVXUOHVUHWUDLWHVHQJDJpjODGHPDQGHGX3UpVLGHQWGHOD
5pSXEOLTXH;DYLHU%(575$1'0LQLVWUHGX7UDYDLOGHV5HODWLRQVVRFLDOHVGHOD)DPLOOHHWGHOD
6ROLGDULWpSRXUVXLYUDDYHF/DXUHQW:$848,(=6HFUpWDLUHG·(WDW&KDUJpGHO·(PSORLHW$QGUp
6$17,1,6HFUpWDLUHG·(WDWFKDUJpGHOD)RQFWLRQ3XEOLTXHODFRQFHUWDWLRQDYHFOHVSDUWHQDLUHV
VRFLDX[
3URJUDPPHGXOXQGLDYULO
K 5HQFRQWUHDYHFOD&*30(
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)(&*&
K 5HQFRQWUHDYHF)2
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)7&
K 5HQFRQWUHDYHFOH0('()
K 5HQFRQWUHDYHFOD&*7
K 5HQFRQWUHDYHFO·83$
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)'7
$O·LVVXHGHVUHQFRQWUHV;DYLHU%(575$1'IHUDXQHGpFODUDWLRQjODSUHVVHHQSUpVHQFHGH
/DXUHQW:$848,(=HW$QGUp6$17,1,
Sujet n° 57
Enoncé :
La surcote
Pour qui ?
Le salarié qui remplit les conditions pour partir en retraite à taux plein et qui choisit de
poursuivre son activité après 60 ans améliore sa pension.
Comment ?
De 3% la première année, puis de 4% par an les années suivantes et de 5% par an après 65
ans.
La retraite progressive
Pourquoi ?
La retraite progressive offre la possibilité d’instaurer une période de transition souple entre
activité et départ en retraite. Elle favorise la transmission des savoir-faire.
Pour qui ?
Ce dispositif est ouvert aux salariés de votre entreprise, âgés de plus de 60 ans, justifiant de
150 trimestres validés et qui travaillent à temps partiel.
Comment ?
Les salariés bénéficient alors d’une partie de sa pension (base et complémentaires), qui varie
en fonction de la durée travaillée, tout en continuant à améliorer leurs droits à retraite
définitifs.
Le cumul emploi-retraite
Comment ?
Pour reprendre une activité, un retraité doit respecter un plafond de revenus (salaire et
pensions) égal à la moyenne de ses trois derniers mois de salaires ou à 1,6 SMIC si ce
montant lui est plus favorable (ce dernier plafond sera définitivement fixé par le Parlement
fin 2006). Un délai de six mois doit être respecté avant une reprise d’activité chez son
dernier employeur.
Sujet N° 21
Sujet N° 23
Sujet N°24
Sujet N° 25
Sujet N° 27
Sujet N° 28
Téléchargez le dossier.
Fermez le document
Détruisez le document
Fermez le document
Recherchez sur ce site la Demande de carte personnes handicapées (ce formulaire est
référencé : Cerfa n°12689*01)
Téléchargez le formulaire
Fermez le document
Détruisez le document
Téléchargez le dossier
Fermez le document
Détruisez le document
WORD
CDG 45
Sujet N° 46
1. Ouvrez le document « Sujet N°46 Magasin du rêve »
2. Mettez la lettre en forme
3. Réalisez un publipostage (3 lettres avec un fichier de données que vous aurez
créé au préalable)
4. N'oubliez pas de mettre la date dans votre lettre, mais en vous servant de
Word pour le faire
5. Insérez l'objet WordArt au milieu des deux premiers paragraphes
6. Insérez le P.S. en note de bas de page
7. Enregistrez votre document principal dans un dossier à votre prénom
8. Fermez le document
Nous sommes très heureux de vous annoncer l'ouverture prochaine de notre nouvelle
agence dans votre département, sous la raison sociale et à l'adresse suivante :
Nous serons très heureux de vous recevoir dans ces nouveaux locaux plus proches de votre
domicile et de vous proposer de nombreuses ventes promotionnelles.
Dans l'attente de faire votre connaissance, nous vous prions d'agréer, nos meilleures
salutations.
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Fin mars 2008, 1 905 000 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie 1 augmente de 0,4 % (+8 200) au mois de mars en données
corrigées des variations saisonnières (+0,6 % pour les hommes et +0,3 % pour les femmes). Sur un an, le nombre de
demandeurs d’emploi de catégorie 1 décroît de 6,5 % (-6,8 % pour les hommes et -6,1 % pour les femmes).
Le nombre de demandeurs d’emploi de moins de 25 ans inscrits en catégorie 1 augmente de 1,1 % au mois de mars
et celui des demandeurs d’emploi âgés de 25 à 49 ans de 0,2 % (respectivement de -6,2 % et -6,6 % sur un an). Le
nombre de demandeurs d’emploi de 50 ans ou plus croît de 0,6 % au mois de mars (-6,2 % sur un an).
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie 1+6 baisse de 0,8 % au mois de mars (sont inscrits en catégorie 6
les demandeurs d’emploi ayant exercé une activité occasionnelle ou réduite de plus de 78 heures dans le mois).
En mars, le nombre de chômeurs de longue durée de catégorie 1, inscrits depuis au moins un an à l’ANPE, augmente
de 0,7 %. Parmi eux, le nombre de chômeurs inscrits depuis un à deux ans est en hausse de 1,3 % et le nombre de
ceux inscrits depuis deux à trois ans diminue de 0,8 %.
Fin mars, 2 005 900 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégories 1, 2, 3 hors activité réduite
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégories 1, 2, 3 n’ayant pas exercé d’activité réduite au cours du mois reste
stable à 0,0 % (-400) en mars (il s’agit de l’ensemble des demandeurs d’emploi à la recherche d’un emploi,
immédiatement disponibles et n’ayant pas travaillé au cours du mois). Sur un an, ce nombre décroît de 8,1 %.
Le nombre de demandeurs d’emploi de catégories 1, 2, 3, 6, 7, 8 (y compris ceux qui ont exercé une activité réduite)
diminue de 0,7 % en mars. Sur un an, ce nombre recule de 6,8 %.
Le nombre des inscriptions en catégorie 1 enregistrées à l’ANPE au cours des trois derniers mois augmente de 3,5 %
par rapport aux trois mois précédents. Les entrées faisant suite à un licenciement économique augmentent (+2,5 %),
de même que celles faisant suite à un licenciement pour un motif autre qu’économique (+3,3 %). Les entrées
consécutives à une fin de contrat à durée déterminée, celles concluant une fin de mission d’intérim ainsi que le
nombre de premières entrées sont en hausse (respectivement +3,4 %, +7,6 % et +12,9 %).
Les sorties de l’ANPE au cours des trois derniers mois baissent de 1,6 % par rapport aux trois mois précédents. Les
sorties pour reprises d’emploi déclarées augmentent (+0,3 %), ainsi que celles pour entrées en stage (+3,9 %)
CDG 45
Sujet n° 50
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 50 centenaire
Le 22 mars 1841, après l’enquête du docteur Villermé, la première loi limitant le travail des enfants employés dans les
manufactures est adoptée. Elle est à l’origine en 1892 de la création d’un corps d’inspecteurs du travail pour contrôler
l’application de la réglementation naissante du travail. Institué par un décret, le premier ministère du travail naît le 25 octobre
1906 ; l’inspection du travail lui est rattachée. L’activité du ministère du travail s’amplifie peu à peu avec le développement de la
législation du travail notamment la loi sur les congés payés, la semaine de 40 heures, les conventions collectives…
L’emploi ne devient la responsabilité de la puissance publique qu’à partir de 1945. Par ordonnance du 24 mai 1945, le placement
et le contrôle de l’emploi sont assurés par les services régionaux et départementaux de la Main-d’œuvre. Ainsi à la mission
traditionnelle de contrôle de la réglementation dont sont chargées les sections d’inspection du travail, s’ajoute une nouvelle
mission étendant les champs d’intervention du ministère.
En 1967, un établissement public est créé, chargé du service public de placement, assuré jusqu’alors par les bureaux de la main
d’oeuvre ; il s’agit de l’Agence nationale pour l’emploi. Pour faire face à la montée du chômage, la Direction Générale du Travail
et de l’Emploi fait place, en 1975, à la Direction des Relations du Travail et à la Délégation à l’Emploi.
A compter de 1985, le Ministère du Travail et de l’Emploi se voit rattaché la Délégation à la Formation professionnelle, à l’origine
Délégation interministérielle placée auprès du Premier Ministre.
La création de deux nouvelles directions et d’une nouvelle délégation achèvent la construction progressive du Ministère ; il s’agit
de la Direction de l’administration générale et de la modernisation des services créée en 1990 et de la Direction de l’animation de
la recherche, des études et des statistiques en 1993.
Le décret du 18 mars 1997 donnera lieu à la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle formée à partir de la
Délégation à l’emploi et de la Délégation à la formation professionnelle.
Enfin par décret du 22 août 2006, le ministère s’est doté d’une direction générale du travail. Cette nouvelle organisation constitue
une étape importante pour renforcer la politique du travail
CDG 45
Sujet n° 51
(QRQFp
Mise en forme d’un document
La possibilité de suivre une formation dans le cadre d’une période de professionnalisation s’adresse aux cinq
catégories de salariés suivantes :
les salariés dont la qualification est insuffisante au regard de l’évolution des technologies et de l’organisation du
travail ;
les salariés qui comptent 20 ans d’activité professionnelle ou âgés d’au moins 45 ans et disposant d’une ancienneté
minimum d’un an de présence dans la dernière entreprise qui les emploie ;
les salariés qui envisagent la création ou la reprise d’une entreprise ;
les femmes qui reprennent une activité professionnelle après un congé de maternité ou aux hommes et aux femmes
après un congé parental ;
les bénéficiaires de l’obligation d’emploi prévue à l’article L. 5212-13 du code du travail , notamment les travailleurs
handicapés.
Les périodes de professionnalisation s’adressent aux salariés présents dans l’entreprise et titulaires d’un CDI.
de participer à une action de formation dont l’objectif est défini par la commission paritaire nationale de la branche
professionnelle dont relève l’entreprise.
Afin de « coller » au plus près aux besoins spécifiques des branches professionnelles, la liste des qualifications
accessibles au titre des périodes de professionnalisation sera fixée par les partenaires sociaux, soit dans le cadre
d’une convention ou d’un accord collectif de branche, soit, à défaut, par accord collectif conclu entre les organisations
représentatives d’employeurs et de salariés signataires d’un accord constitutif d’un OPCA interprofessionnel.
Sujet n° 52
(QRQFp
0LVHHQIRUPHG·XQGRFXPHQW
1. Ouvrez le document « Sujet n° 52 créateurs »
2. Justifiez le texte
3. Changez la police et la taille de caractère
4. Mettez le titre en gras et centré
5. Centrez automatiquement le texte dans la page
6. Choisissez une trame de fond pour les titres, gras, taille 12
7. Ajoutez des puces aux énumérations
8. Enregistrez le document dans un dossier à votre prénom
9. Fermez le document
10. Supprimez le dossier à votre prénom
Sujet n° 52 créateurs
Synthèse
L’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE) est l’une des mesures du dispositif d’appui à
l’initiative économique gérée par le ministère en charge de l’Emploi au bénéfice de demandeurs d’emploi, salariés
licenciés, jeunes, personnes en difficulté… Ce dispositif vise à faciliter tant la structuration des projets de création ou
de reprise d’entreprise que le développement des activités ainsi créées, sous forme individuelle ou en société.
L’ACCRE consiste en une exonération de cotisations sociales permettant le maintien, pour une durée déterminée, de
certains minima sociaux. Elle peut s’appuyer sur la mobilisation de deux autres mesures complémentaires :
une aide financière dans le cadre du dispositif EDEN (encouragement au développement d’entreprises nouvelles).,
une aide au conseil sous forme de chèques conseil permettant au créateur l’accès à une offre d’expertise dont une
part du financement est pris en charge par l’Etat.
A savoir
Différentes aides sont prévues, notamment pour les salariés créateurs d’entreprise, pour les femmes, dans le cadre
du Fonds de garantie pour l’initiative des femmes (FGIF) qui consiste à faciliter l’obtention de crédits bancaires, ou
pour les porteurs de petits projets, avec le prêt à la création d’entreprise (PCE)…
Une information sur l’ensemble des aides existantes est disponible sur le site de l’Agence pour la création
d’entreprise : APCE.
Sujet n° 53
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 53 solidarité
Les règles applicables, fixées par l’article L. 3133-8 du Code du travail dans sa rédaction issue de la loi du 16 avril
2008 précitée, sont les suivantes :
Les modalités d’accomplissement de la journée de solidarité seront fixées par accord d’entreprise ou d’établissement
ou, à défaut, par accord de branche.
1° soit le travail d’un jour férié précédemment ch ômé autre que le 1er mai ;
3° soit toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées en application de
dispositions conventionnelles ou des modalités d’organisation des entreprises.
À défaut d’accord collectif, les modalités d’accomplissement de la journée de solidarité seront définies par
l’employeur, après consultation du comité d’entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel s’ils existent (on
rappellera que jusqu’à présent, et sauf cas particuliers, à défaut d’accord collectif, la journée de solidarité était fixée,
par la loi, au lundi de Pentecôte).
Compte tenu des dispositions spécifiques applicables dans ces départements, il est toutefois prévu que, dans les
départements de la Moselle, du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, l’accord ou, à défaut, la décision de l’employeur ne peut
déterminer ni le premier et le second jours de Noël ni, indépendamment de la présence d’un temple protestant ou
d’une église mixte dans les communes, le Vendredi Saint comme la date de la journée de solidarité.
Fonction publique Sont également modifiées les dispositions applicables aux fonctionnaires et agents non titulaires
des trois fonctions publiques (Etat, territoriale, hospitalière)
Sujet n° 54
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Sujet n° 54 dépendance
5è risque - dépendance : Concertation avec les
partenaires sociaux
2 avril 2008
Dans le cadre de la mise en place du 5ème risque Dépendance engagé à la demande du Président de la République,
Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité et Valérie LETARD,
Secrétaire chargée de la Solidarité, débuteront, jeudi 03 avril 2008, la concertation avec les partenaires sociaux.
Sujet n° 55
Enoncé :
Mise en forme d’un document
Assistante Maternelle
17 juillet 2007
Sachez-le : la « Convention Collective Nationale (CCN) des assistants maternels du particulier
employeur » du 1er juillet 2004 (brochure n°3317) e st consultable gratuitement sur le site :
www.legifrance.gouv.fr
Le contrat doit-il être écrit ?
Un contrat de travail doit être conclu entre l’assistante maternelle et son employeur (en l’occurrence
les parents de l’enfant). Il est obligatoirement écrit et établi pour chaque enfant (l’obligation de signer
un contrat pour chaque enfant est prévu par la CCN mais pas par le statut législatif). Il est rédigé en
deux exemplaires datés, paraphés et signés par l’employeur et le salarié qui en garde un exemplaire
(CCN, art. 4).
Quelle est la valeur de l’engagement réciproque ?
Il s’agit d’un contrat qui engage les parties qui le signent. Le contenu du contrat de travail est libre
sous réserve du respect des dispositions légales, règlementaires et conventionnelles régissant le
statut des assistantes maternelles. Le contrat doit, en tout état de cause, comporter les mentions
obligatoires prévues à l’article 4 de la CCN reprises, pour l’essentiel, par l’article D. 773-7 du Code
du travail.
Peut-on prévoir des clauses particulières dans le contrat de travail concernant les soins de l’enfant ?
Le contrat de travail doit préciser les conditions d’emploi de l’assistante maternelle, mais aussi les
conditions d’accueil de l’enfant. Ainsi, les parents peuvent énoncer une série de consignes
concernant son régime alimentaire, ses modes de déplacement (par exemple : autorisation ou non
pour l’assistante maternelle de le transporter en voiture), les sorties, les soins à lui prodiguer…
Peut-on faire un CDD avec une assistante maternelle ? Et si oui dans quel cas ?
En règle générale, il est conseillé de conclure un contrat de travail à durée indéterminée avec une
assistante maternelle (CDI) même si ce mode de garde est utilisé pour une période limitée. En effet,
le CDD est plus contraignant car les règles spécifiques prévues dans ce cas par le code du travail
s’appliquent. La conclusion d’un CDD pourrait toutefois se justifier dans certaines circonstances
particulières, par exemple en cas de remplacement de l’assistante maternelle absente pour maladie,
maternité, accident…
La mensualisation est-elle obligatoire ?
Oui. Lorsque l’accueil est régulier, le salaire de base de l’assistante maternelle doit être mensualisé,
et ce quel que soit le nombre d’heures d’accueil par semaine et le nombre de semaines d’accueil
dans l’année (CCN, art. 7). Si l’accueil s’effectue sur une année complète (52 semaines y compris
les congés payés du salarié), le salaire mensuel brut de base est égal au salaire horaire brut x
nombre d’heures d’accueil par semaine x 52/12. Ce salaire est ainsi versé tous les mois, y compris
pendant les périodes de congés payés, sous réserve des droits acquis au cours de la période de
référence.
Sujet n°56
Enoncé :
&RQFHUWDWLRQVXUOHVUHWUDLWHVOHVPLQLVWUHV
FRQFHUQpVUHoRLYHQWOHVSDUWHQDLUHVVRFLDX[
'DQVOHFDGUHGXUHQGH]YRXVVXUOHVUHWUDLWHVHQJDJpjODGHPDQGHGX3UpVLGHQWGHOD
5pSXEOLTXH;DYLHU%(575$1'0LQLVWUHGX7UDYDLOGHV5HODWLRQVVRFLDOHVGHOD)DPLOOHHWGHOD
6ROLGDULWpSRXUVXLYUDDYHF/DXUHQW:$848,(=6HFUpWDLUHG·(WDW&KDUJpGHO·(PSORLHW$QGUp
6$17,1,6HFUpWDLUHG·(WDWFKDUJpGHOD)RQFWLRQ3XEOLTXHODFRQFHUWDWLRQDYHFOHVSDUWHQDLUHV
VRFLDX[
3URJUDPPHGXOXQGLDYULO
K 5HQFRQWUHDYHFOD&*30(
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)(&*&
K 5HQFRQWUHDYHF)2
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)7&
K 5HQFRQWUHDYHFOH0('()
K 5HQFRQWUHDYHFOD&*7
K 5HQFRQWUHDYHFO·83$
K 5HQFRQWUHDYHFOD&)'7
$O·LVVXHGHVUHQFRQWUHV;DYLHU%(575$1'IHUDXQHGpFODUDWLRQjODSUHVVHHQSUpVHQFHGH
/DXUHQW:$848,(=HW$QGUp6$17,1,
Sujet n° 57
Enoncé :
La surcote
Pour qui ?
Le salarié qui remplit les conditions pour partir en retraite à taux plein et qui choisit de
poursuivre son activité après 60 ans améliore sa pension.
Comment ?
De 3% la première année, puis de 4% par an les années suivantes et de 5% par an après 65
ans.
La retraite progressive
Pourquoi ?
La retraite progressive offre la possibilité d’instaurer une période de transition souple entre
activité et départ en retraite. Elle favorise la transmission des savoir-faire.
Pour qui ?
Ce dispositif est ouvert aux salariés de votre entreprise, âgés de plus de 60 ans, justifiant de
150 trimestres validés et qui travaillent à temps partiel.
Comment ?
Les salariés bénéficient alors d’une partie de sa pension (base et complémentaires), qui varie
en fonction de la durée travaillée, tout en continuant à améliorer leurs droits à retraite
définitifs.
Le cumul emploi-retraite
Comment ?
Pour reprendre une activité, un retraité doit respecter un plafond de revenus (salaire et
pensions) égal à la moyenne de ses trois derniers mois de salaires ou à 1,6 SMIC si ce
montant lui est plus favorable (ce dernier plafond sera définitivement fixé par le Parlement
fin 2006). Un délai de six mois doit être respecté avant une reprise d’activité chez son
dernier employeur.