Résumé Enseignement Jacqueline Bousquet
Résumé Enseignement Jacqueline Bousquet
Résumé Enseignement Jacqueline Bousquet
Jacqueline s’inspire de la kabbale, des travaux de Bell sur la mécanique quantique, de Raoul
Hatem et de son fils, d’Emile Pinel, de Régis Dutheil sur la Lumière, du docteur Hamer, dit le
guérisseur aux mains,
Jacqueline définit la spiritualité comme science de l’esprit. Il n’y a rien de religieux. C’est
simplement l’étude des champs, c'est-à-dire de l’immatériel.
En physique, un champ est un endroit où l’espace est structuré et une particule s’est une
densification de champ. Ainsi la matière est de l’espace structuré de façon un peu plus dense.
Mais dans la description de l’atome qu’en fait la science officielle, on a pris juste la partie
magnétique et on a oublié la partie électrique.
Revoir les choses dans leur ensemble permet d’’introduire la notion que la pensée influence la
matière. Emile Pinel dit que : "nous sommes le résultat de nos pensées passées non
adaptées au présent". Les choses sont ce qu’on pense d’elles. Et donc pour soi, il en est de
même. Ainsi on devient ce que l’on pense. Et si on ne pense pas, c’est l’inconscient collectif
qui pensera pour nous.
L’information immatérielle est piégée dans les formes et toute forme possède sa propre
information. Or la physique dit qu’à une vibration correspond une forme. Donc si on change
une forme, on change la vibration et inversement, si on change la vibration, on change la
forme. Chaque forme informe son environnement et est également informée. Toute forme est
informée et informante. Toutes les formes se déforment au cours du temps.
A chaque instant on récupère de l’information, par le cerveau qui analyse notre intériorité
et par le ventre qui analyse ce qu’on a mangé. Ce sont les deux cerveaux du corps humain.
Toute information, tout changement d’information doit se manifester dans notre corps. Et
si l’information qu’on reçoit dépasse nos capacités à la gérer, cela peut provoquer un œdème du
cerveau qui va couper le dialogue entre le champ morphogénétique et l’organe qui a été lésé par
le stress. Ainsi, les virus sont des témoins de l’état de notre terrain (et non des agresseurs).
Ainsi, la maladie n’est pas ce qu’on croit. C’est "la mal a dit", IE, une mauvaise gestion des
informations qui nous proviennent. Elle trouve sa naissance lors d’un gros stress. Au départ,
c’est simplement de l’information qui sera interprétée par la personne qui a subit ce stress. Et
en fonction de ce que la personne va interpréter du stress subi, cela va créer une rupture dans
son cerveau en lien avec l’organe qui représente maintenant la source du conflit, puis une
pathologie va se développer. Exemple : si la personne développe un cancer des organes sexuels
après une aventure extra-conjugale de son conjoint, c’est qu’elle si s’est sentie dévalorisée au
niveau sexuel, et le choc psychologique a provoqué une rupture entre son cerveau et les
organes sexuels qui reçoivent maintenant une information incorrecte de la part du cerveau. Le
fusible a sauté car l’information était trop forte. Pour arrêter ce processus, il faut
réconforter la personne ou lui permettre d’en parler ce qui diminue déjà son niveau de stress.
La pathologie se développe lorsqu’on reçoit un choc dans le silence.
La maladie est une souffrance de notre âme qui nous dit qu’on ne fonctionne pas
correctement ; qu’on doit penser différemment. Et c’est ce que nous montre alors le corps
physique. Et si cela ne passe pas par le corps physique, on ne peut pas s’en débarrasser. La
maladie ne prend jamais naissance dans le corps physique. Elle prend toujours naissance
dans le psychique.
Nous avons toujours notre entière liberté. Nous sommes roi dans notre royaume et ainsi
avons le pouvoir d’échapper à toute manipulation et pollution de quelque ordre que ce soit.
On n’est pas figé, ni prisonnier à jamais de ce qu’on est. A chaque instant, au niveau du champ
magnétique qui représente le concept, ce que nous acquiesçons, ce avec quoi on est d’accord, il
suffit de se dire "non, je ne suis pas d’accord". On reste libre. Ça va nous permettre
d’échapper à toute suggestion et à tout essai de contrôle sur nous (que ce soit par
l’émission/réception d’information par les médias, mais aussi par les puces incluses dans les
vaccins, etc.). Si on pense qu’on sait quelque chose, on le sait ; ça devient vrai pour nous !
Donc être très vigilant vis-à-vis de nos croyances.
Notre autonomie totale et entière dépend uniquement de ce à quoi on acquiesce. Si on refuse
d’être esclave, on ne sera pas esclave. Si on refuse d’être dépendant, on ne sera pas
dépendant. Etc. Les choses sont pour nous ce qu’on pense d’elles.
On ne peut pas arrêter un champ magnétique. Toujours se souvenir que nous sommes tous
reliés de façon intime et immédiate. C’est le théorème de Bell qui dit que tout est uni de
façon intime et immédiate.
Nous sommes tous une seule conscience qui s’éprouve subjectivement. Tout est informé et
tout est informant. Nous vivons dans un nombre indéterminé d’univers dans lesquels nous
coexistons.
Au niveau de la cellule, le temps n’existe pas. Il n’est que de l’information. Il est remplacé par
des niveaux d’énergie au niveau de l’ADN. L’ADN est sensible au psychisme. Donc notre état
mental, psychique, sentimental, émotionnel va décider de notre comportement sans cesse
rejoué, car stocké en mémoire dans notre ADN. Et notre travail va consister à effacer
toutes ces mémoires.
Le cerveau ne sait pas faire la différence entre ce qui nous semble réel et ce qui est virtuel,
entre l’action et la pensée. Donc tout ce qui est à l’extérieur, c’est nous qui l’avons rendu réel,
et ainsi, le monde matériel n’existe pas ; ce n’est que notre monde d’illusions duquel il va
falloir se réveiller.
Cependant, tant qu’il existe, il joue son rôle. Ainsi, l’extérieur nous renvoie toujours ce qu’on a
à changer en nous. L’autre est un miroir qui nous montre ce qui ne va pas chez nous.
Ici, dans le monde de la matière, il y a le temps qui est le temps d’évaluation de la conscience
piégé dans les formes.
Les formes sont des excrétions des choses qui sont en nous et qui nous déplaisent. Et comme
nous ne les voulons pas en nous, en créant notre monde, on les met à l’extérieur de nous-même.
Alors on peut les voir dans l’autre. Et comme ces formes sont des créations de notre pensée,
on est venu en faire l’expérience pour les transcender. Ainsi, ne pas chercher à corriger les
autres, mais corriger en soi et alors on ne le verra plus car, si ce qui nous a dérangé est
corrigé il ne sera plus dans notre conscience. Donc corriger et corriger sans cesse ce qui nous
dérange.
Dans cet espace-temps de la matière qui est illusion, il y a des lois que nous subissons, même
dans le rêve. C’est ce qui permet de dire que cette illusion est réelle car prouvée pas les
mathématiques.
Pour l’instant, nous sommes régit par les lois de la matière parce que la conscience est tombée
piégée dans un corps matériel. Mais il suffit de décider que ce n’est pas cela. Il suffit de
changer nos concepts et on changera notre monde. Et plus on va avancer, et moins on aura
de lois pour nous régir. Exemple de la nourriture pranique qui prouve bien qu’on peut se passer
de manger. Or manger nous fait redescendre dans la matière puisqu’on devient ce qu’on mange.
Et ainsi, à chaque fois, on alourdit la tâche de s’extraire de la matière.
"Ne jugez pas et vous ne serez pas jugez". Appliquer Ho’oponopono chaque fois que quelque
chose nous dérange. En le faisant, on guérit l’autre et on guérit en soi ce qui a créé l’autre (car
n’oublions pas que nous sommes créateur de notre monde) et ce que cet autre a révélé chez
nous. Donc on guérit l’autre et on se guérit soi-même. Et ainsi le monde s’améliore, se porte
mieux.
La tentation de contrôler nos pensées pour que le monde soit meilleur, c’est mettre des fleurs
dans une prison. Etre tenté par nos pensées de créer un monde meilleur, c’est la tentation de
l’ego. Or Dieu a dit : "Arrière de moi Satan, car il est écrit : tu ne tenteras pas ton Seigneur
et ton Dieu ». Or nous sommes tous Fils de Dieu, Fils de la Lumière.
Aujourd’hui, notre choix est de savoir si on veut revenir chez Soi, à la Source, ou bien si
on continu dans ce monde. Est-ce que je continue à rêver et à gérer ce qui me gêne puisque
j’ai compris que je peux le faire en agissant avec la pensée ?
Le chemin est de revenir vers la voie du cœur, d’écouter sa petite voix intérieure, de faire
confiance à son intuition, de se souvenir de qui nous sommes, à savoir des êtres divins, que nous
sommes des Filles et des Fils de Dieu qui avons notre propre autorité (et non qui devons subir
celle des autres). Nous devons avoir une conviction profonde que nous sommes des Fils de
Dieu, que nous n’avons rien à craindre et que nous est possible. "Si Dieu est avec nous, qui est
contre nous ?" Se souvenir que nous sommes des êtres divins est la seule façon de revenir
à notre Source.
Si on croit en soi, alors ce en quoi nous croyons deviendra vrai pour nous. Nous n’avons à subir
aucune loi. Nous devons refuser de croire à ce monde qui est une illusion totale.
Aimer, c’est faire sien. Donc être vigilent à ses attitudes, ses comportements, ses pensées.
Exemple : comment peut-on aimer les animaux et aimer les manger ? Respecter, ne pas juger
et aimer sans condition, sans limite.
Jamais de culpabilité. On n’a pas fait d’erreur, car on l’a rêvé. Ce qu’on croit devient vrai pour
nous et donc si on croit qu’on ne dépend que de Dieu en nous, il en sera fait ainsi et on ne
dépendra plus du monde des illusions.
A l’instar de ce que dit Jésus : "Je suis le Tout. Le Tout est sorti de moi. Le Tout est revenu à
moi." C’est le seul être à avoir réalisé l’Unité dans sa vie terrestre.
Bibliographie :
• Site Internet : http://www.arsitra.org
• Film « Et l’Univers fut » de Léon-Raoul Hatem