Livre Prof Spc3 Chap09
Livre Prof Spc3 Chap09
Livre Prof Spc3 Chap09
Présentation
Ce chapitre permet aux élèves de découvrir qu’une relation de proportionnalité existe entre la tension aux bornes d’un dipôle et
l’intensité du courant qui le traverse. La loi découverte ne concerne qu’un dipôle à la fois, mais montre que ces deux grandeurs sont
parfois intrinsèquement liées l’une à l’autre. L’effet Joule est également présenté, bien qu’il ne soit pas explicitement mentionné
par le programme. En effet, le risque que constituent les incendies d’origine électrique, la nécessité et les moyens de s’en prému-
nir, ne peuvent pas être bien compris si la source de ce risque n’est pas abordée. De plus, en insistant sur la conversion d’énergie
électrique en énergie thermique, la présentation de l’effet Joule consolide l’ancrage de ce chapitre dans le thème de l’énergie et de
ses conversions.
5 4 e e
4 3 3 e e e
Lois dans les circuits en
Association de dipôles. Relation tension Puissance
Intensité du courant série ou en dérivation.
Réalisation de courant : la loi électrique
et tension électrique. Relation avec les règles
montages électriques. d’Ohm. P = U × I.
de sécurité.
Le chapitre suivant prolongera et conclura cette progression spiralaire avec l’étude de la relation entre la puissance électrique, la
tension et l’intensité. Les élèves pourront alors découvrir avec quels équipements est organisée la distribution de l’énergie élec-
trique à la maison. Ils verront également que la loi d’additivité des intensités peut aussi être formulée à travers les puissances
électriques.
Sommaire
Activité 1 ..................................................................................... p. 2 Annexes imprimables prêtes à l'emploi :
Activité 2 ..................................................................................... p. 3 Présentation des différentes annexes ............................... p. 22
Activité 3 ..................................................................................... p. 5 Corrigés des protocoles expérimentaux ........................... p. 23
Activité 4 ..................................................................................... p. 7 Puzzles des protocoles ........................................................ p. 25
Exercices ..................................................................................... p. 9 Comptes-rendus à compléter ............................................ p.27
Parcours de compétences ...................................................... p. 15 Aides à la résolution de la mission .................................... p. 29
Accompagnement personnalisé ............................................ p. 18
La Physique-Chimie autrement .............................................. p. 18
›L
’objectif du chapitre est d’amener les élèves à connaitre et exploiter la loi d’Ohm. La première étape de cet apprentissage
consiste à identifier la nouvelle propriété des conducteurs et l’existence de dipôles uniquement basés sur son exploitation.
Cette activité ne présente donc pas directement de notions inscrites au programme mais correspond aux prérequis de la notion
que mentionne le Bulletin officiel et qui est sur le point d’être étudiée.
›L ’activité permet de travailler la compétence suivante du domaine 4 :
■ COMPÉTENCE Concevoir une expérience pour tester l’hypothèse
Autres compétences possibles :
■ Émettre une hypothèse
■ Mettre en œuvre un protocole, effectuer une mesure
Situation déclenchante
Cette situation déclenchante permet aux élèves de réinvestir une expérience déjà réalisée au début du cycle qui leur a permis de
distinguer deux catégories de matériaux (les conducteurs et les isolants). Ils pourront donc proposer, sans grandes difficultés, un
protocole.
Expérimentation
2. Protocole :
1 Brancher en série un fil, la pile, la lampe, puis un autre fil sans refermer le circuit.
2 Refermer le circuit en plaçant le morceau de graphite entre les extrémités libres des fils externes, puis observer la lampe
et noter l’éclat obtenu.
3 Réaliser à nouveau l’étape précédente avec du cuivre.
4 Comparer les éclats des lampes obtenus lors des deux étapes précédentes. Le protocole à distribuer p. 23.
3. b. On observe que l’éclat de la lampe est moins fort lorsqu’on referme le circuit en utilisant le graphite.
Conclusion
6. En plaçant des résistors différents dans le circuit, on constate que l’éclat de la lampe varie.
7. Un résistor est un composant qui permet le passage d’un courant plus ou moins intense.
›A
fin d’amener les élèves à connaitre et exploiter la loi d’Ohm, cette activité aborde un autre prérequis de cette notion : la gran-
deur physique associée aux résistors pour quantifier leur capacité à limiter le courant dans les circuits où ils sont branchés. La
méthode de mesure est donc mise en pratique lors de cette activité expérimentale.
›L ’activité permet de travailler la compétence suivante du domaine 4 :
■ COMPÉTENCE Mettre en œuvre un protocole, effectuer une mesure
Autres compétences possibles :
■ Identifier un problème
■ Présenter un résultat de mesure avec l’unité adaptée
■ Écrire des phrases claires, sans faute, en utilisant le vocabulaire adapté
Situation déclenchante
Cette situation déclenchante contextualise l’intérêt de mesurer la valeur d’une résistance.
En effet, le bricolage et la réparation « maison » est une tendance en forte croissance. Il existe de nombreuses vidéos disponibles
sur internet qui montrent qu’il est souvent envisageable d’intervenir sois-même pour remettre un appareil endommagé en état. Les
élèves pourront ainsi comprendre qu’ils peuvent éventuellement être à même d’effectuer la mesure travaillée dans cette activité.
Synthèse
5. Le résistor est le dipôle qui va permettre de diminuer l’intensité du courant dans un circuit.
La résistance est la grandeur physique exprimée en Ohm (Ω), qui va caractériser cette propriété du résistor : plus la
résistance est élevée, plus le résistor va s’opposer au passage du courant.
Dans le quotidien, l’usage fait que l’on utilise le mot résistance pour désigner à la fois le composant et la grandeur qui le
caractérise.
L’intensité, la tension
3 ACTIVITÉ expérimentale et la résistance sont-elles liées ?
3e p. 194
›L
es prérequis à la découverte de cette loi ayant été acquis dans les activités précédentes, les élèves sont désormais en mesure
de s’atteler à la découverte de la relation tension-courant qui figure explicitement au programme.
›L ’activité permet de travailler la compétence suivante du domaine 1 :
■ COMPÉTENCE Produire et transformer des tableaux ou des documents graphiques
Autres compétences possibles :
■ Mettre en œuvre un protocole, effectuer une mesure
■ Pratiquer le calcul numérique et le calcul littéral
■ Conclure, valider ou non une hypothèse
Situation déclenchante
Cette situation déclenchante rappelle tout d’abord aux élèves que le rôle du résistor est de limiter le courant dans le circuit.
Elle montre ensuite que le résistor possède une tension à ses bornes qui permet de réduire la tension à laquelle la diode est sou-
mise. Pour comprendre cela les élèves doivent mobiliser la loi des tensions dans les circuits en série. La notice proposée en illus-
tration montre alors que le résistor permet d’adapter la pile de 9 V aux paramètres nominaux de la DEL. Des valeurs précises sont
indiquées, sans expliquer la manière dont elles sont liées. Ainsi les élèves peuvent comprendre, si besoin avec l’aide du professeur,
la question que Jade se pose sur la relation entre la valeur de la résistance et celle de sa tension et de son intensité.
Expérimentation
2. a. Nous avons besoin de mesurer la tension aux bornes d’une résistance et l’intensité du courant qui la traverse.
b. Protocole :
1 Brancher un résistor de résistance connue entre les bornes d’un générateur de tension variable.
2 Ajouter un ampèremètre en série dans le circuit déjà réalisé.
3 Brancher un voltmètre en dérivation aux bornes du résistor.
4 Pour 6 tensions de valeurs différentes aux bornes du générateur, noter dans un tableau :
· l’intensité en A du courant dans le résistor ;
· la tension en V aux bornes du résistor.
Le protocole à distribuer p. 24.
− +
I
A
R
U
V
U (V)
16
12
0,9 V
8
I (A)
0
0 0,005 0,1 0,13 A 0,15 0,2
5. Le graphique obtenu est une droite qui passe par l’origine du graphique.
On peut en déduire que la tension et l’intensité du courant sont proportionnelles.
6. Les élèves ayant formulé une hypothèse comparable à celle envisagée à la question 1 pourront répondre que les
résultats et le graphique obtenus valident l’hypothèse envisagée : la tension aux bornes du résistor est proportionnelle à
l’intensité qui le traverse.
Conclusion
7. On relève les coordonnées d’un point appartenant à la droite, par exemple : 0,13 A ; 9 V. On en déduit le coefficient de
proportionnalité moyen suivant :
U = 9 = 69 Ω.
I 0,13
On remarque que cette valeur correspond sensiblement à la valeur de la résistance utilisée lors de l’expérience, soit
68 Ω.
La résistance du résistor correspond donc au coefficient de proportionnalité entre l’intensité et la tension du résistor.
Cela s’écrit : U = R × I.
8. En reprenant la situation de départ :
On détermine que d’après la loi des tensions dans le circuit, UG = UR + UDEL,
et donc que UR = UG − UDEL = 9 − 2, soit finalement UR = 7 V.
La relation U = R × I implique également que I = UR.
7 , qui donne
Sachant que R = 350 Ω, on obtient l’intensité du courant qui traverse le résistor en posant : I = 350
I = 0,02 A ou bien encore I = 20 mA.
L’intensité maximale supportée par la DEL ne sera donc pas dépassée. La résistance de 350 Ω convient.
› proposé de mesurer la tension et › positionné les points › déterminé si ses résultats sont
l’intensité du résistor en imposant correspondant à ses mesures dans conformes ou non à son hypothèse ;
différentes tensions entre ses ce repère.
bornes. › calculé le coefficient de
proportionnalité et compris que sa
valeur est identique à celle de la
résistance du résistor utilisé.
›L
’effet Joule n’est pas explicitement mentionné dans le programme. Cependant, les deux notions rappelées ci-dessus figurent
quant à elles directement dans le Bulletin officiel et incitent à présenter l’effet Joule aux élèves. C’est par ailleurs un effet très
courant, déjà observé par les élèves, probablement à de nombreuses reprises. Ainsi, à travers cette activité on nomme et on
propose d’étudier ce phénomène plus en détail.
›C ette activité permet de travailler la compétence suivante du domaine 1 :
■ COMPÉTENCE Lire et comprendre des documents scientifiques pour en extraire des informations
Autres compétences possibles :
■ Écrire des phrases claires, sans faute, en utilisant le vocabulaire adapté
■ Interpréter des résultats
Situation déclenchante
La situation déclenchante proposée parlera à de nombreux élèves. En effet, les consoles de jeux sont un équipement très répandu.
Énergie
thermique
Environnement
12
J’applique la loi d’Ohm.
■ COMPÉTENCE Pratiquer le calcul numérique et le calcul 1. On nous donne :
littéral R = 100 Ω
Autres compétences possibles :
I = 120 mA
■ Présenter mon résultat avec l’unité adaptée
■ Mettre en œuvre un raisonnement logique simple pour On sait qu’un dipôle ohmique obéit à la loi d’Ohm : U = R × I
résoudre un problème avec U en V, R en Ω et I en A.
Il faut tout d’abord convertir I en A :
13 Puisque 1 mA = 0,001 A, alors I= 120 mA = 0,12 A
J’applique la loi d’Ohm.
On applique la loi d’Ohm :
■ COMPÉTENCE Pratiquer le calcul numérique et le calcul
littéral U=R×I
Autres compétences possibles : U = 100 × 0,12
■ Présenter mon résultat avec l’unité adaptée U = 12 V
■ Mettre en œuvre un raisonnement logique simple pour
La tension aux bornes de ce dipôle ohmique est donc égale
résoudre un problème
à 12 V.
Je m’entraine
14
Une veilleuse maison.
■ COMPÉTENCE Produire et transformer des tableaux ou 2.
documents graphiques + ₋
Autre compétence possible : ■ Mettre en œuvre un G
raisonnement logique simple pour résoudre un problème
1. P our transformer sa lampe torche en veilleuse éclairant plus
faiblement Sonia doit ajouter une résistance dans son circuit
électrique.
16
Qui est le plus fort ?
■ COMPÉTENCE Interpréter des résultats
Autre compétence possible : ■ Pratiquer le calcul
numérique et le calcul littéral
1. P our comparer les valeurs des résistances, il faut les mettre V
V COM
dans la même unité. Si on choisit de convertir toutes les
valeurs en kΩ, on obtient :
R2 = 47 Ω = 0,047 kΩ. 19
Un dipôle ohmique ?
R5 = 1,2 MΩ = 1 200 kΩ. ■ COMPÉTENCE Écrire des phrases simples, sans faute, en
Et on effectue le classement : utilisant le vocabulaire adapté
0,047 < 0,1 < 0,22 < 68 < 1 200. Autre compétence possible : ■ Comprendre et interpréter
des tableaux ou des documents graphiques
Donc : R2 < R4 < R1 < R3 < R5.
1. Pour un dipôle ohmique, la tension aux bornes de ce dipôle
2. O n sait que plus la résistance est élevée, plus le résistor va
est proportionnelle à l’intensité du courant qui le traverse.
s’opposer au passage du courant électrique. Donc le résistor
le plus conducteur est celui dont la résistance est la plus La caractéristique d’un tel dipôle est donc une droite qui
faible, c’est-à-dire R2. passe par l’origine du graphique.
Cela correspond au graphique c.
17
Qui est la plus résistante ? 20
■ COMPÉTENCE Interpréter des résultats Exploitation de la caractéristique d’un dipôle.
Autre compétence possible : ■ Écrire des phrases claires, ■ COMPÉTENCE Comprendre et interpréter des tableaux ou
sans faute, en utilisant le vocabulaire adapté des documents graphiques
1. L es deux lampes sont identiques, mais chacune est Autres compétences possibles : ■ Pratiquer le calcul
branchée en série dans sa branche avec un résistor numérique et le calcul littéral
différent. Donc, les courants qui traversent ces branches ■ Présenter mon résultat avec l’unité adaptée
et leurs lampes, sont différents. Cela explique que les deux 1. Une lecture graphique permet de montrer que lorsque le
lampes identiques ne brillent pas de la même manière. résistor est traversé par un courant d’intensité 60 mA, la
2. L es deux lampes étant identiques, c’est celle qui brille le tension à ses bornes est égale à 1 V.
moins qui est traversée par le courant le moins intense. Il U (V)
6
s’agit la lampe L1. C’est donc le résistor R1 qui lui est associé
qui a la résistance la plus élevée. 5
18 4
Vérifier expérimentalement la loi d’Ohm.
■ COMPÉTENCE Concevoir une expérience pour tester une 3
hypothèse
2
Autre compétence possible : ■ Produire et transformer des
tableaux ou des documents graphiques 1
1. J onathan n’a pas branché correctement les appareils de I (mA)
mesure : 0
60 300
40 80 120 140 200 240 280
S’il a bien branché le voltmètre en dérivation aux bornes du
résistor, il a aussi branché l’ampèremètre de cette manière
1. U ne lecture graphique permet de montrer que lorsque la 1. On nous indique que :
tension aux bornes du résistor est égale à 5 V, celui-ci est R = 20 Ω et U = 230 V
traversé par un courant d’intensité 300 mA.
La partie de la bouilloire que le courant traverse est un
2. L a résistance R est égale au coefficient directeur de la dipôle ohmique.
droite, que l’on peut calculer par exemple avec le point de
On sait qu’un dipôle ohmique obéit à la loi d’Ohm : U = R × I
coordonnées (0,3 A ; 5 V).
avec U en V, R en Ω et I en A.
R = 0,3 5 .
On applique la loi d’Ohm : U = R × I.
R = 17 Ω. Elle se reformule en I = UR.
230
Donc I = 20
21
La bouilloire électrique. I = 11,5 A
■ COMPÉTENCE Pratiquer le calcul numérique et le calcul L’intensité traversant la résistance de cette bouilloire est
littéral donc égale à 11,5 A.
Autre compétence possible : ■ Présenter mon résultat avec
l’unité adaptée
22
Utilisation des lois des circuits électriques.
■ COMPÉTENCE Pratiquer le calcul numérique et le calcul 3. Pour un résistor, la loi d’Ohm s’écrit : UR = R × IR avec UR (en
littéral V), R (en Ω) et IR (en A).
UR
› Une lampe et un résistor en série IR = R
1. L a lampe et le résistor sont branchés en série. IR = 50 9
2. a . D’après la loi d’additivité des tensions : UG = UL + UR
IR = 0,18 A
b. UR = UG − UL
4. Dans un circuit où les dipôles sont branchés en série,
UR = 9 − 6 l’intensité du courant est la même en tous points du circuit
UR = 3 V (loi d’unicité)
3. a. Pour un résistor, la loi d’Ohm s’écrit : UR = R × IR avec UR Donc : IDEL = IR.
(en V) ,R (en Ω) et IR (en A) Donc : IDEL = 0,18 A.
UR
b. IR = R › Un moteur et un résistor en série
3
IR = 100 1. Le moteur et le résistor sont branchés en série.
D’après la loi d’additivité des tensions : UG = UM + UR
IR = 0,03 A
UR = UG – UM
4. a
. Dans un circuit où les dipôles sont branchés en série,
UR = 6 – 1,5
l’intensité du courant est la même en tous points du
circuit (loi d’unicité). UR = 4,5 V
Donc : IL = IR. Pour un résistor, la loi d’Ohm s’écrit : UR = R × IR avec UR (en
V) ,R (en Ω) et IR (en A).
b. D’après la réponse à la question précédente et le résultat
UR
de la question 3. b. : IR = R
IL = 0,03 A.
IR = 4,5
30
› Une diode et un résistor en série
IR = 0,15 A
1. L a DEL et le résistor sont branchés en série.
Dans un circuit où les dipôles sont branchés en série,
2. D’après la loi d’additivité des tensions : UG = UDEL + UR l’intensité du courant est la même en tous points du circuit
UR = UG − UDEL (loi d’unicité).
UR = 12 − 3 Donc : IM = IR.
UR = 9 V Donc : IM = 0,15 A.
J’ approfondis
23 4. Pour calculer la résistance de ce résistor, il suffit de calculer
Le code des résistors. le coefficient directeur de cette droite, par exemple à partir
■ COMPÉTENCE Comprendre et interpréter des tableaux ou des coordonnées du point (0,13 A ; 6,0 V).
des documents graphiques 6,0
R = 0,13 soit R = 46 Ω.
Autre compétence possible : ■ Présenter mon résultat avec
l’unité adaptée 5. Le code des couleurs permet de déterminer la valeur de la
1. R1 = 560 Ω, R2 = 1 000 Ω = 1 kΩ, R3 = 10 000 000 Ω = résistance :
10 MΩ. R = 42 Ω.
2. R4 : Marron / Rouge / Marron L’anneau gris indique une tolérance de plus ou moins 10 %.
R5 : Vert / Bleu / Rouge Ce qui signifie que la résistance est comprise entre 38 Ω et
46 Ω.
R6 : Jaune / Violet / Marron
De plus, les mesures expérimentales présentent des
incertitudes suite à l’utilisation d’appareils de mesures. Cela
24
Théorie vs expérience ! explique que les résultats obtenus pour R ne soient pas
■ COMPÉTENCE Utiliser l’outil informatique pour acquérir et exactement les mêmes.
traiter des données, simuler des phénomènes
Autres compétences possibles : ■ Comprendre et 25
Étrange...
interpréter des tableaux ou des documents graphiques
■ Pratiquer le calcul numérique et le calcul littéral ■ COMPÉTENCE Conclure, valider ou non l’hypothèse
■ Présenter mon résultat avec l’unité adaptée 1. a. La différence d’éclat des lampes dans les deux
1. S chéma qui a permis à Hugo d’obtenir le tableau de expériences peut paraitre étrange car le matériau utilisé
mesures : pour fermer le circuit est le même dans les deux cas. La
+ – mine longue semble, cependant, moins bien conduire le
courant que la mine courte.
b. La différence d’éclat pourrait s’expliquer par la différence
COM
de longueur des mines de critérium utilisées.
A
2. a. L’information trouvée par Léo permet de montrer que
A
la résistance R d’un conducteur dépend de la longueur
L de ce conducteur : plus la longueur augmente, plus la
résistance est élevée.
Cela permet d’expliquer pourquoi dans l’expérience de Léo
la lampe brille moins : la mine de critérium est plus longue
que celle utilisée par Yann. Donc, la résistance de la mine
V utilisée par Léo est supérieure à celle utilisée par Yann.
V COM L’intensité du courant dans la lampe de Léo est de ce fait,
plus faible.
2.
b. Grâce à l’information trouvée par Léo, on voit que la
Tension U en fonction de l’intensité I résistance d’un conducteur dépend également du type de
dans le résistor d’Hugo matériau et de la section du conducteur.
U (V) 26
Une résistance particulière.
■ COMPÉTENCE Interpréter des résultats
10
1. Dans ces expériences, on observe que la résistance de la
photorésistance varie en fonction de la distance entre la
8
lampe et la photorésistance.
6 Plus la lampe est proche, plus la résistance diminue.
2. On constate que la photorésistance a une résistance
4 d’autant plus grande que la lampe est éloignée d’elle. Or,
plus la lampe est éloignée, moins la quantité de lumière
2
reçue par la photorésistance est importante. On en déduit
I (A) que la résistance augmente lorsque l’éclairement de la
0
photorésistance diminue.
0 0,005 0,1 0,15 0,13 A 0,2 0,25
3. Les photorésistances sont utilisées dans les détecteurs de
3. L e graphique obtenu est une droite qui passe par lumière, de présence ou de mouvement.
l’origine, on en déduit que la tension et l’intensité sont
proportionnelles.
27 29
Dégivrage. Tableau des scores.
■ COMPÉTENCE Écrire des phrases claires, sans faute, en ■ COMPÉTENCE Pratiquer le calcul numérique et le calcul
utilisant un vocabulaire adapté littéral
1. J e t’explique, lorsque le courant passe dans les petits fils Autre compétence possible : ■ Produire et transformer des
conducteurs, ceux-ci se mettent à chauffer : c’est ce que les tableaux ou des documents graphiques
scientifiques appellent l’effet Joule. 1. Schéma :
Le givre est de l’eau à l’état solide. Lorsqu’il est chauffé, il + ₋
G
passe de l’état solide à l’état liquide, c’est-à-dire qu’il fond.
Les essuie-glaces peuvent alors supprimer les gouttes d’eau,
ce qui permet au conducteur de voir correctement à travers
la vitre arrière. 2. a. La résistance et la DEL sont branchées en série.
D’après la loi d’additivité des tensions :
28
Un variateur de lumière. UG = UDEL + UR donc : UR = UG – UDEL.
■ COMPÉTENCE Produire et transformer des tableaux ou des UR = 6 – 2
documents graphiques UR = 4 V
Autre compétence possible : ■ Écrire des phrases claires, La tension aux bornes du résistor est égale à 4 V.
sans faute, en utilisant un vocabulaire adapté
b. D’après la loi d’Ohm : UR = R × I avec UR en V, R en Ω et I en
1. U n variateur de lumière pourrait être constitué d’un résistor A.
dont la valeur de la résistance serait réglable.
De plus, l’intensité maximale supportée par la DEL est
2. U n rhéostat est un dipôle dont on peut faire varier la I = 20 mA, ce qui donne en ampères : I = 0,02 A.
résistance.
On souhaite calculer R, donc :
3. S chéma du circuit électrique d’un éclairage avec variateur
UR
de lumière : R= I
+ ₋
G R = 0,024
R = 200 Ω.
Ainsi, pour protéger la DEL, il faudra utiliser une
4. S i à la place d’une lampe, on place un moteur, le rhéostat résistance de valeur R = 200 Ω.
permettra de faire varier la vitesse de rotation du moteur.
Un ventilateur utilise ce genre de dispositif.
Je résous un problEme
■ COMPÉTENCE Mettre en œuvre un raisonnement logique simple pour résoudre un problème
› Correction :
Le fusible de sécurité de l’appareil à raclette laisse passer 4 A au maximum. La résistance que l’on va choisir ne doit donc pas
laisser passer plus de 4 A lorsqu’elle sera sous tension de 230 V.
UR
On peut connaitre l’intensité à travers un résistor qui est déterminée par la relation U = R × I, reformulée en I = R .
230 = 3,6 A.
Avec la résistance A : R = 64,5 Ω on aurait une intensité de IA = 64,5
230 = 6,0 A.
Avec la résistance B : R = 38,1 Ω on aurait une intensité de IA = 38,1
La résistance B laisserait donc circuler un courant dont l’intensité ferait fondre le fusible. Il faut utiliser la résistance A.
› Explication :
Ce problème pourrait également être résolu en utilisant la relation de la puissance P = U × I.
Cependant celle-ci n’est étudiée qu’au chapitre suivant. On pourra donc proposer aux élèves de trouver une deuxième manière de
résoudre ce problème lorsqu’ils disposeront de l’outil théorique correspondant.
■ PARCOURS DE COMPÉTENCES ■
3e p. 204
Présentation
L’objectif de ce parcours est de permettre aux élèves de travailler et de se positionner par rapport à leur maitrise de la
compétence « Produire et transformer des tableaux, ou des documents graphiques » du domaine 1.
Document(s)
Les représentations graphiques peuvent être traitées de manière coordonnée avec les enseignants de mathématiques pour la
compétence « représenter ».
Il est intéressant de faire remarquer aux élèves qu’en Physique-Chimie, les données sont issues de mesures connues avec une
précision limitée (liée au matériel employé, à la qualification de l’expérimentateur, à la méthode utilisée, etc.). Ils auront ainsi la
possibilité de comprendre que même si les points ne sont pas parfaitement alignés, les deux grandeurs peuvent être proportion-
nelles. Cela leur permettra de comprendre pourquoi dans ce cas, on ne relie pas les points à main levée mais en trançant la droite
avec une règle.
Les élèves peuvent également être invités à consulter la page 223 de leur manuel de 3e (accompagnement personnalisé).
Question
U (V)
12
11
10
1
I (mA)
0
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55
Niveau 1
Je complète une représentation qui m’est proposée.
L’élève qui maitrise le niveau 1 a ajouté le voltmètre en dérivation sur le
résistor et l’ampèremètre en série dans le circuit.
− +
COM
A
A
V
COM V
Niveau 2
Je respecte les consignes pour produire ou transformer une représentation.
L’élève qui maitrise le niveau 2 a préparé les axes avec les grandeurs et les unités, puis les a gradués en suivant les indications.
U (V)
12
11
10
1
I (mA)
0
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55
Niveau 3
Je réutilise les règles apprises pour produire ou transformer des représentations.
L’élève qui maitrise le niveau 3 a placé les points correspondant aux mesures du tableau de l’énoncé.
U (V)
12
11
10
1
I (mA)
0
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55
Niveau 4
Je produis ou je transformeTension aux bornes
parfaitement du résistor en fonction
des représentations, de l’intensité
en choisissant celles qui seront les plus adaptées.
du courant qui le traverse
L’élève qui maitrise le niveau 4 a vu que les points étaient alignés et a tracé la droite passant le plus près de tous les
points à la règle.
U (V)
12
11
10
1
I (mA)
0
5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55
Présentation
Si l’aspect expérimental est fondamental en sciences, la nécessité de rendre compte des résultats obtenus et de leur implication
théorique ne l’est pas moins. La validité scientifique d’une expérience se construisant essentiellement sur son caractère
reproductible, le protocole, les résultats obtenus et les déductions qu’ils permettent doivent être clairement établis et
correctement rédigés.
Cette fiche d’accompagnement a donc pour objectif d’amener les élèves à comprendre autant les enjeux que les méthodes qui
structurent l’argumentation et la communication en sciences. L’usage d’un vocabulaire précis et d’une syntaxe correcte sont
soulignés ainsi que l’emploi d’un vocabulaire spécifique au domaine d’étude concerné.
Document(s)
Le document d’appel donne un aperçu schématique des éléments et des actions qui composent l’argumentation ainsi que des
composants qui soutiennent la fluidité de la communication. Les items détaillés dans la fiche sont donc à la fois repris de manière
synthétique et explicités par ce document quand cela est nécessaire.
Utilisation de la fiche AP
Cette fiche est à utiliser plutôt en début d’année afin d’expliquer à l’élève ce qui est attendu et de lui donner rapidement l’habitude
de rédiger clairement ses réponses. Par ailleurs, il faut que le chapitre correspondant à l’exercice proposé ait été étudié, ou qu’il
soit adapté aux connaissances antérieures déjà acquises. Cet apprentissage est à répéter le plus souvent possible tout au long de
la scolarité au collège.
Document(s)
Le modèle de Drude, s’il n’est pas tout à fait exact, permet d’associer la résistance électrique à la résistance du réseau d’atomes
au déplacement des électrons.
t×1
On peut aussi faire le lien avec l’exercice 25 de ce chapitre qui expose la définition de la résistance R = S :
• on conçoit bien que plus le fil est long plus les électrons vont devoir lutter contre le réseau ;
• de même si la section du fil est importante ils auront plus de place pour passer dans le réseau ;
• e nfin, on peut présenter la résistivité t, la caractéristique qui quantifie la capacité des atomes à faire plus ou moins rebondir les
électrons.
Correction
1. L a loi d’Ohm apparait pour la première fois en 1827.
2. Il s’agit de la mécanique quantique.
Objet d'étude
Les supraconducteurs
Document(s)
Le premier document permet d’apporter quelques bases concernant le phénomène de supraconduction et d’en expliquer
l’intérêt. Le deuxième document montre l’une des applications de la supraconductivité les plus spectaculaires : la lévitation
magnétique. Cela permet de montrer aux élèves que la supraconductivité n’est pas une simple curiosité scientifique. Ils peuvent
alors réaliser qu’il y a des enjeux importants car la lévitation est désormais identifiée comme un atout pour les transports sur rail.
Correction
1. L e document 1 explique que la supraconductivité apparait pour des températures proches du zéro absolu. La température est
donc exceptionnellement basse ce qui explique la présence de givre sur la photo.
2. D
ans l’espace, le vide qui règne signifie qu’il n’y a du gaz dans le vaisseau spatial que dans les compartiments où l’on a prévu
qu’il y en ait. Ailleurs dans le vaisseau, aucun gaz, aucune substance matérielle n’est présente pour imposer une température
ambiante aux composants électriques (à condition que ces derniers soient aussi abrités des radiations qui pourraient provenir
d’une étoile proche et réchauffer les matériaux).
Il est donc beaucoup plus facile de maintenir les conducteurs à température très basse dans l’espace que sur une planète
dotée d’une atmosphère. Ainsi, la supraconductivité dans l’espace est tout à fait adaptée à des applications dans l’espace, à
condition de prendre quelques précautions (composant réellement sous vide et abrité des radiations d’étoiles proches).
Conseils :
La première question permet de savoir si l’élève a compris le document scientifique.
La seconde doit l’amener à faire des hypothèses. Les élèves risquent de tomber dans le piège d’une formulation simpliste « la
température dans l’espace est nulle ». Il faut tenter de les faire réfléchir un peu plus longuement à la question.
Esprit
La Physique-Chimie au quotidien scientifique
Document(s)
Comprendre ce qu’est la résistance électrique n’est pas facile. Avec le modèle de Drude présenté dans la partie « Histoire des
sciences », l’élève peut déjà mieux comprendre le fait que cette résistance est bien une capacité du matériau à s’opposer à
l’établissement du courant. L’expérience documentée dans cette partie permet notamment d’illustrer que plus le matériau est
long plus sa résistance est grande.
Détails de l’expérience
1. L a seule difficulté lors de cette expérience à réaliser à la maison est de réunir le matériel nécessaire. Il faut, en particulier,
disposer d’une ampoule d’intensité nominale très petite.
ANNEXES
Sommaire
Présentation des différentes annexes ........................................................................................................................................................ p. 22
Corrigés des protocoles expérimentaux .................................................................................................................................................... p. 23
Puzzles des protocoles ................................................................................................................................................................................. p. 25
Comptes-rendus à compléter ..................................................................................................................................................................... p. 27
Aides à la résolution de la mission ............................................................................................................................................................. p. 29
Les corrigés des protocoles expérimentaux sont destinés à faire gagner du temps aux Une pile de 4,5 V.
élèves pendant la réalisation de leurs activités. Lors de ces activités, ils sont amenés Des fils électriques.
à réfléchir aux actions à réaliser pour atteindre l’objectif fixé par la consigne et à tra- Étapes du protocole
Tous les élèves ne parviendront pas à une formulation complète et satisfaisante mais 3
4
Réaliser à nouveau l’étape précédente
ils en auront besoin pour poursuivre l’activité. Afin d’éviter de perdre du temps lors
de la prise de notes : il peut être précieux de disposer de protocoles prêts à être
distribués aux élèves qui n’ont pas réussi à en rédiger un qui soit suffisamment abouti.
Rédiger un protocole peut s’avérer difficile pour les élèves : ne pas se rappeler du nom
d’un matériel, ne pas trouver le verbe exact qui permet de décrire un geste expérimen-
tal ou ne pas identifier la nécessité d’une étape dans un protocole sont des obstacles PUZZLES DES PROT
OCOLES
souvent rencontrés.
Les matériaux conduc 3e p. 192
teurs se comportent-ils
tous de la même manière
Retrouve l’ordre correct ?
des étapes du protocol
e, puis numérote-les
:
C. Brancher en série un fil, la
Pour éviter de laisser les élèves en échec tout en ne leur donnant pas la solution,
... pile, la lampe, puis un autre A. Comparer
les éclats des
fil sans refermer le circuit. lampes obten
us lors
deux étapes précéd des ...
entes.
B. Réaliser à nouvea
vous pouvez leur proposer un outil : le puzzle de protocole. Les consignes du cor-
u D. Refermer le circuit en plaçant
l’étape précédente le
...
morceau de graphite entre les
avec du cuivre. extrémités
libres des fils externes, puis observer
la ...
lampe et noter l’éclat obtenu.
rigé sont mises à leur disposition dans le désordre. Pour retrouver l’ordre correct, les Les matériaux conduc
élèves doivent étudier celles-ci attentivement. Ils s'imprègnent alors du format des
des étapes du protocol
e, puis numérote-les
:
C. Brancher en série un fil, la
... pile, la lampe, puis un autre A. Comparer
les éclats des
fil sans refermer le circuit.
consignes et se l’approprient peu à peu, tout en gardant leur attention mobilisée sur ce
lampes obten
us lors
deux étapes précéd des ...
entes.
B. Réaliser à nouvea D. Refermer le circuit en plaçant
u le
... l’étape précédente morceau de graphite entre les
qui fait le principal intérêt de la rédaction du protocole : le sens des actions menées.
avec du cuivre. extrémités
libres des fils externes, puis observer
la ...
lampe et noter l’éclat obtenu.
Cet outil ne doit, cependant, pas être donné systématiquement. Il est préférable de
tous de la même manière
Retrouve l’ordre correct ?
des étapes du protocol
e, puis numérote-les
:
C. Brancher en série un fil, la
laisser, au préalable, les élèves chercher par eux-mêmes quelques minutes même s’ils
... pile, la lampe, puis un autre A. Comparer
les éclats des
fil sans refermer le circuit. lampes obten
us lors
deux étapes précéd des ...
entes.
B. Réaliser à nouvea
sont en difficulté.
u D. Refermer le circuit en plaçant
l’étape précédente le
...
morceau de graphite entre les
avec du cuivre. extrémités
libres des fils externes, puis observer
la ...
lampe et noter l’éclat obtenu.
Les puzzles de protocoles à distribuer aux élèves constituent avant tout un moyen Chapitre 9 ● Résistance
et loi d’Ohm 25
de différencier votre proposition pédagogique d’un élève à l’autre lorsque cela s’avère
nécessaire.
3e p. 192
Compte-rendu à compléter
Comptes-rendus à compléter
même manière ?
se comportent-ils tous de la
Les matériaux conducteurs
fonction de l’expérience que tu as menée et de son
Complète chaque partie du compte-rendu en
résultat.
Afin d’habituer les élèves à produire un compte-rendu pertinent, il peut être utile de J'ai fait (protocole)
leur demander, dès le collège, de faire leurs comptes-rendus en suivant un format pré-
déterminé. Vous pourrez leur distribuer un document à compléter à la fin de l’activité.
J'ai observé et/ou mesuré
J'en conclus
d’Ohm 27
Chapitre 9 ● Résistance et loi
Matériel :
U
ne pile de 4,5 V.
Un échantillon de fil de cuivre.
Une ampoule de 1,8 W.
Une mine de crayon porte-mine (HB
; 0,7mm).
Des fils électriques.
Un résistor de 20 Ω (à donner dan
s un second temps).
Une paire de pinces crocodiles.
Étapes du protocole
1 Brancher en série un fil, la pile, la lampe, puis un autre fil sans refermer le circuit.
2 Refermer le circuit en plaçant le morceau de graphite entre les extrémités libres des fils externes,
puis observer la lampe et noter l’éclat obtenu.
4 Comparer les éclats des lampes obtenus lors des deux étapes précédentes.
Matériel :
U
n générateur de tension continue,
Un résistor de résistance R = 68 Ω
réglable (3 V - 4,5 V - 6 V - 7,5 V - 9 Des fils électriques.
étiqueté (valeur apparente).
V- 12 V).
Deux multimètres.
Étapes du protocole
1 Brancher un résistor de résistance connue entre les bornes d’un générateur de tension variable.
4 Pour 6 tensions de valeurs différentes aux bornes du générateur, noter dans un tableau :
• l’intensité en A du courant dans le résistor ;
• la tension en V aux bornes du résistor.
A. Ajouter un ampèremètre en
C. Brancher un résistor de résistance connue entre série dans le circuit déjà réalisé. ...
A. Ajouter un ampèremètre en
C. Brancher un résistor de résistance connue entre série dans le circuit déjà réalisé. ...
A. Ajouter un ampèremètre en
C. Brancher un résistor de résistance connue entre série dans le circuit déjà réalisé. ...
J'en conclus
J'ai mesuré
Tableau de mesure :
I (en A)
U (en V)
Graphique de résultat :
J'en conclus
A id e Quel est le dipôle que l’on retrouve dans tous les appareils donnés en exemples dans les documents 1 et
clé n° 1 2 et qui chauffent lorsqu’on les utilise ?
Transfert
A id e Réservoir Convertisseur d’énergie
clé n° 2a (forme d’énergie)
A id e Sur quelle grandeur physique agissent des appareils tels qu’un fer à repasser, une bouilloire ou un
clé n° 3 chauffe-eau ?
A id e Quel est le dipôle que l’on retrouve dans tous les appareils donnés en exemples dans les documents 1 et
clé n° 1 2 et qui chauffent lorsqu’on les utilise ?
Transfert
A id e Réservoir Convertisseur d’énergie
clé n° 2a (forme d’énergie)
A id e Sur quelle grandeur physique agissent des appareils tels qu’un fer à repasser, une bouilloire ou un
clé n° 3 chauffe-eau ?