Culture Generale
Culture Generale
Culture Generale
CULTURE GENERALE
L’ESSENTIEL DES THEMES
SPECIAL NIVEAU INFA
I. GENERALITE
A. Définition
Le droit de l’homme est le concept selon lequel toute être humain procédé de droit
universel, inalliable, quelque soit le droit positif en viguere ou les autres facteurs
locaux telle que la nationalité.
B. Histoire
Plus tard, le principe directeur de droit de l’homme est consacre dans la déclaration
universel de droit de l’homme adopté l’ensemble général de nation unis le 10 décembre
1948 reconnaisse au individu certain de nombre de droit et de liberté, cette déclaration
comprendre 30 articles.
Le droit de l’homme est général reconnu de les différents pays par loi, par la
constitution ou par convention internationale afin que les respects soit assuré.
Ce droit humain consacre de la déclaration 1948 ont été spécificité par les 2 pactes
du 16 décembre 1966 : relatif au droit civil et politique et l’autre au droit économique,
social, et culturel.
A. Le droit catégoriel
Droit de la femme
Droit de l’enfant
Droit de détenu
Droit de minorité
Droit de handicap
Droit des étrange et droit des peuples
C. Droit politique
Droit de vote
Droit de grève
Droit d’opinion
Droit d’expression
Droit de manifestation
Droit de la presse
Droit d’être candidat à une élection
Droit d’aller venir
Droit au soin
Droit à l’éducation
Droit au travail
Droit au logement
Droit à l’information
Droit à une rémunération suffisante pour vivre et droit à l’eau
potable
Par conséquent, le droit foncier concilié impératif par exemple : nous bénéficions
de la liberté d’expression mais la loi pénale interdite que l’on insulte son voisin. Nous
avons chacun le droit fondamentale de nous marie mais la loi civile interdite le mariage
entre frère et sœur. Dans ce cas la loi ne viole pas pour autant nécessairement le droit
de l’homme mais la question difficile et de savoir quelles sont le limite acceptable que
la loi impose au droit de l’homme dans une société démocratique régie par le droit.
Inversement, un Etat autoritaire viole par définition le droit de l’homme (par le non
respect de liberté et la menace qu’il fait pesé sur les autres droits. Mais il arrive
fréquemment que dans une situation ou le droit de l’homme sont violé par individu ou
de groupe privé ou étrange, les peuple croient préférable alors (raison de faire appelé à
de régime autoritaire pour face à la situation (lorsque des problèmes d’insécurité
persiste).
La loi
L’ordre public
L’exigence de la morale
La liberté d’autris
L’intérêt général (ex : expropriation pour cause d’utilité publique)
Le moyen financier notamment le pays en développé
La méconnaissance de leur droit par le citoyen
A. La forme d’application
Forme légale : toute loi nouvel doit être conforme du droit de l’homme telle que
reconnu par la constitution selon le préambule de la constitution malgache, la
charte internationale de droit de l’homme fait l’intégralité.
Forme individuelle : les actes de tous les hommes doivent être conformes au
principe de liberté individuelle qui s’applique même si n’existe pas de loi car la
loi ne peut pas tout prévenir.
La violentions de droit l’homme est l’abus perpétré par toute personne, toute
institution surtout droit humain fondamentale.
Il se peut que certaine disposition de droit positif soit contraire au texte fondateur
de droit de l’homme et liberté fondamentalement et fasse greffer aux individus.
C. La situation de Madagascar
XI. Suggestion
Bien défendre les intérêts du pays dans ce contrat (par 50% -50% concernant le
bénéficie) en fin de financier l’infrastructure en matière de sante, éducation
c’est-à-dire satisfaire au mieux le droit de l’homme à Madagascar
Eduquer les citoyens pour la défense de leur droit de lors plus jeune âge (ex : le
droit de l’enfant)
Renforcer le rôle du médiateur pour mieux défendre les intérêts des agents de
l’Etats.
Le respect absolu de droit de l’homme reste idéale voir même une utopie dans
le monde car aucun pays même le plus avancé dans ce domaine n’y arrivé pas encore
jusqu'à maintenant, mais l’important ce l’effort entrepris par les dirigeants du pays dans
le sens du respect de droit de l’homme
La démocratie peut être défini comme étant un régime politique dans lequel le
peuple exerce lui-même sa souveraineté contentements à une monarchie ou le pouvoir
est exercé et transmis au sein d’un groupe restreint et souverain le plus souvent
dynastique.
II. HISTOIRE
La démocratie a pris racine dans les reformes engagées dans le cité d’Athènes au
VIème siècle avant Jésus-Christ concernant le droit de vote des citoyens. Mais
officiellement ce sont les USA qui sont surtout considéré comme la 1ère démocratie
libérale dans la mesure où leur engagement constitutionnel (en 1788) se fondait
devant la loi et surtout par opposition aux régimes aristocratiques et à la monarchie.
La règle de la majorité
Le respect et garantie de droit et la liberté fondamentale de la personne
La reconnaissance de droit de la minorité
L’élection libre et transparence
Le respect de l’Etat de droit (l’égalité devant la loi, primauté de droit, séparation
et équilibre de pouvoir ; exécutif, législatif, judiciaire) procédure l’égalité et
régulation lorsqu’il y a arrestation, lorsqu’il y a perquisition, ou procée.
La pluralisation sociale économique et politique
La valeur de tolérance, de compromise et coopération
Le respect de l’opposition
La transparence
L’information pour toutes
10
La loi
L’ordre publique, sante publique, la morale publique
La liberté et les démocraties fondamentales d’autris
Le danger exceptionnelle qui menace l’existence de la nation (ex : guerre ou
agression extérieure)
L’intérêt général
Les moyens financiers surtout pour les pays pauvres. L’Etat peut également
limite les libertés et les droits individuels en vue de favoriser le bien en général.
A. Dans le monde
Par mieux illustre est affirmation, nous prenons par exemple le cas de la France
depuis 1938 au temps ou les femmes ne pourraient pas voter en posant par le temps de
l’esclavage et de la discrimination à l’endroit des musulmans, se considère toujours
comme un Etat démocratique. De même les pays des globes de l’Est se disaient avant
1989 démocratie populaire. La Chine se dit également la démocratie, même si les pays
occidentaux ne la reconnaissent pas comme telle. Les régimes européens qui
pratiquaient la colonisation se considèrent comme des démocraties, de même que les
Etats-Unis qui pratiquaient l’esclavage puis la ségrégation. On note également que tous
ces pays procèdent des organes comme les services secrétaire dont le fonctionnement
échappe à tous le contrôle parlementaire.
11
B. A Madagascar
12
Tout cela résulte des fait que le système politique en général est bien trop
complexe pour pouvoir répondre en détail et à la lettre à tous les règles de base de la
démocratie.
Pour les pays asiatique notamment, c’est la discipline qui puis faire aboutir à un
développement économique et social d’un pays, ainsi la coré dur sud, l’Indonésie,
Singapour, malezie, la chine on applique dans leurs système de développement la
discipline et ils sont devenue de pays émergent à leur actuel si non des pays riche.
13
L’initiative privée
Le développement social et humain
La créativité… Ainsi les Etats-Unis, Allemagne, la France, La Grande Bretagne
en applique la démocratie dans leurs systèmes respectifs (politique, économique,
culturel, et social et sont devenu des pays riches et développés.
IX. CONCLUSION
Ainsi donc d’après toutes analyses qu’on a faites jusqu’ici, aucun pays ne jamais
arrivé à satisfaire le principe de la base et le pilier de la démocratie, même le pays le
plus avancés dans ce domaine. Ce l’effort entrepris par chaque Etat dans de sens la
démocratie qui est apprécie pour si nu Etat pour qualifier un Etat démocratique.
Bon nombre des pays africains a adopté le système démocratique à l’occidentale depuis
plusieurs années pour essayer d’apporter de le développement au bénéfice de leur
peuple respectif, mais jusqu'à présent ce pays se trouve toujours dans la pauvreté, ainsi
pour qu’il ait un véritable développement chaque pays devrait base son épanouissement
dans l’application de sa propre identité culture pour que la nation puis trouve enfin le
chemin de développement.
14
I. Fondement de la démocratie
A. Dans le monde
B. A Madagascar ou En Afrique
15
I. GENERALITE
De tout temps la corruption figure dans le pays en développement parmi les causes
principes de la dégradation de l’Etat de droit
II. DEFINITION
Mais la lutte contre ce phénomène et dans apporte les solutions durables, il nous
conviendra d’abord d’en connaître le cause profonde pour pouvoir réduire en suite le
mal si non essayé l’éradique à jamais.
16
Cette méconnaissance résulte d’ignorance de leur droit par usage étant que citoyen,
le délai pour telle ou telle tâche administrative leur échappe complément, à celle
s’ajoute la peur de l’administration, les agents public profite de la situation pour
s’acquérir d’une supériorité fictif et se faire de l’argent facile.
B. La culture de reconnaissance
C. Le déficit de moralité
D. L’inefficacité de l’administration
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La sanction ses heurtent au faite que la police de la justice sont en général elle-
même corrompus selon amnistie internationale. Mais la cause profonde de la
corruption résulte essentiellement de la pauvreté ainsi que de l’absence de volonté
politique de reforme d’administration publique et juridique.
IV. LA SUGGESTION
Ce renforcement nécessite :
18
V. CAS DE MADAGASCAR
19
20
21
I. PRESENTATION GENERALE
A. Définition
B. L’évolution de la maladie
Apparition du signe pas très grave mais qui rivière sans arrêt : fièvre, ou
diarrhée,
Amaigrissement très important
Maladie opportuniste
Infection comme la tuberculose
Cancer
C. Mode transmission
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L’OMS espère éradique l’épidémie avant 2050 pour y arrivé, elle veut
soumettre annuellement toute volontaire à un teste de texions du virus suivie d’une
mise sous traitement immédiat pour la personne détecté comme séropositif
Mais sur le 20 milliards de dollar qu’il devait récolte les fonds mondial de la
contre du sida n’a récolte que 100 millions
Alors de nouvelle directives ont été rappelé par l’OMS lequel voie une mise en
place des traitements antirétroviraux plus précoce avec de médicament moins toxique
et moins chaire qui devrait faire baisse le nombre de décès de 20% avant 2015 (comme
prévu dans les OMD)
B. A Madagascar
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V. RECOMMANDATION
C. Mobilisé le ressource
25
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I. DEFINITION DE L’INTEGRATION
L’intégration régionale consiste à tirer profit d’un marche plus vaste, à partager
l’héritage et le destin commun de la région ou de sous-région, à permettre la
coopération économique et social, l’objectif étant l’établissement d’une communauté
économique.
A. Organisation sous-région
B. Organisation régionale
UA (Union Africaine)
UE (Union Européen)
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C. Marché commun
Union monétaire
Union économique
Libre circulation des personnes avec de droit d’établissement et droit de
résidence
Abandon de la souveraineté économique et commercial et politique plus tard
communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO)
A. Les enjeux
Vaste marché pour l’exportation du pays membres (ex : pour Madagascar plus
de 700 millions de consommateur : 300 millions pour la SADEC et 400 millions
pour le COMESA)
Tremplir vers l’organisation par chaque pays membres
Produit à bas prix à cause de la concurrence
Rentré de diverse pour l’Etat membre qui s’y est bien préparés
Développement du tourisme
Enrichisse culturelle
Transfert de la technologie
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B. Défît
29
30
1. Définition
2. Historique
L'OMC est née le 1er janvier 19955, mais le système commercial qu'elle représente a presque
un demi-siècle de plus. En 1947, l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce
(GATT : General Agreement on Tariffs and Trade) établissait les règles du système, dont le
cinquantième anniversaire a été commémoré lors de la deuxième réunion ministérielle de l'OMC,
qui s'est tenue à Genève en mai 1998. L'Accord général a rapidement donné naissance à une
organisation internationale officieuse, existant de fait et aussi dénommée officieusement GATT,
qui a évolué au fil des ans à travers plusieurs cycles (ou rounds) de négociation.
Le sommet de Cancún de 2003 a été marqué par une alliance entre certains pays du tiers-
monde contre les projets de libéralisation des services qui étaient sur la table des négociations.
Cette alliance visait à obtenir de la part des pays riches une modification de leurs politiques
agricoles et a abouti, face au refus de ceux-ci, à l'échec des négociations.
3. Champ d’application
L'OMC s'occupe du commerce des marchandises (GATT 1947/ 1995/ dumping/ subventions/
mesures sanitaires/ etc), et des services (AGCS selon quatre modes, télécommunication/ offerts
sur place/ grâce à l'investissement/ grâce au déplacement mais sans investissement), des biens
agricoles (ASA) et industriels, et de la propriété intellectuelle (les aspects des droits de propriété
intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC)).
Il existe des accords dit « plurilatéraux » dans des domaines plus spécifiques et qui ne
concernent qu'un nombre limité de pays. Il s'agit : des aéronefs civils (Boeing, Airbus, Embraer,
Bombardier, etc.) et les marchés publics. Les produits laitiers et la viande bovine sont deux
domaines politiquement sensibles et qui n'ont pas pu encore être réglés par l'OMC.
31
L’OMC est avant tout un cadre de négociation, un lieu où les gouvernements membres se
rendent pour essayer de résoudre les problèmes commerciaux qui existent entre eux. La première
étape consiste à discuter. Ces négociations demandent des moyens importants pour pouvoir être
suivies efficacement par les membres de l'organisation (juristes, experts, etc.). L'OMC
fonctionne sur un mode démocratique au sens où chaque État représente une voix, quel que soit
son poids politique ou économique
32
Il existe plus de cent accords définissant les règles de fonctionnement de l'OMC. Le principal
accord est l'Accord cadre instituant l'OMC.
Trois accords importants définissent les règles du commerce dans le domaine des
marchandises, des services et de la propriété intellectuelle :
Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), toujours en vigueur mais
appelé désormais « GATT 1994 ».
Accord général sur le commerce des services (AGCS, en anglais GATS)
Accord sur les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce
(ADPIC, en anglais TRIPS)
L'OMC s'est dotée d'un « pouvoir judiciaire », l'Organe de règlement des différends (ORD),
auprès duquel les pays qui s'estiment lésés peuvent porter plainte. Une procédure permet de
régler les conflits entre les États membres. Elle est avant tout fondée sur la négociation, mais
l'Organe d'appel présente la particularité d'avoir un fonctionnement proche de celui d'une
juridiction, statuant sur une conciliation par nature non-juridictionnelle
En cas de différend entre deux États membres, la partie plaignante peut demander à entamer
des consultations avec l'autre partie, dans le but de trouver un règlement amiable au conflit. Cette
demande doit être notifiée à l'ORD (Organe de règlement des différends). Les autres États
membres, qui témoignent d'un intérêt commercial substantiel à suivre ces consultations, peuvent
obtenir l'autorisation d'y participer en qualité de tierce partie (près d'un quart des conflits sont
réglés par le mécanisme des consultations).
L'Organe d'appel doit statuer sur le rapport du groupe spécial dans les soixante jours de la
notification de la décision de faire appel, et au plus tard dans les quatre-vingt-dix jours de cette
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Par ailleurs, dans les vingt jours suivant l'expiration du délai raisonnable visé ci-dessus, la
partie plaignante, qui estime que les mesures de conformité mises en œuvre par l'autre partie sont
incompatibles avec les recommandations de l'ORD, peut demander à l'ORD de suspendre les
concessions et autres droits dont bénéficie l'autre partie dans le cadre des accords de l'OMC. Si
l'État membre concerné conteste le niveau de suspension de concession autorisé par l'ORD, il
peut demander un arbitrage pour vérifier l'adéquation du niveau de suspension des concessions
au niveau d'annulation ou de réduction des avantages
L’OMC regroupe 161 pays membres et des observateurs. Les observateurs peuvent être des
États en cours d'adhésion ou des organisations internationales comme le FMI et la Banque
mondiale20.
Membres de l’OMC
L'OMC compte 164 membres. Ceux-ci peuvent être des États, des territoires douaniers
pleinement autonomes (3 membres le sont) et l'Union européenne. Les membres sont les suivants
(entre parenthèses, la date d'entrée dans l'OMC)
34
12. µLes règles à suivre de membre de l’OMC pour atteindre ces objectifs
Des plafonds de droits de douanes pour les marchandises, agricoles et non agricoles qu’ils
ont chacun souscrits. Ces droits dit « consolidés » sont consignés dans des listes de concessions
tarifaires ;
Des plafonds de soutiens interne et à l’exportation de produits agricoles sur lesquels ils se
sont engagés. Ces plafonds sont énumérés dans les listes d’engagements en matière de soutien
interne et de subvention à l’exportation ;
Des engagements pris pays par pays en matière d’accès aux marchés et de traitement national
dans le domaine du commerce des services. Ces engagements sont énumérés dans les listes
d’engagements spécifiques (ces trois listes d’engagement pour les 154 membres de l’OMC
représentent plus de 30 000 pages d’engagements) ;
Avec la crise, la fonction de surveillance des mesures commerciales des membres a pris
une importance croissante et fait l’objet de rapports réguliers.
Par ailleurs, depuis 2005, l’OMC s’est vue confier un rôle de catalyseur et de fédérateur en
matière d’aide pour le commerce, organisant des examens réguliers sur la coordination et la
mise en œuvre des politiques engagées au niveau national, régional ou multilatéral.
35
L’Organe de règlement des différends est chargé de l’administration des litiges entre les
membres de l’OMC. Il se réunit au minimum une fois par mois pour examiner et adopter les
rapports des groupes spéciaux et de l’Organe d’appel et pour prendre toute mesure
d’administration concernant le règlement des différends.
L’Organe d’examen des politiques commerciales examine les politiques commerciales des
Membres à partir d'une déclaration de politique générale présentée par le Membre intéressé et
d'un rapport établi par les économistes du Secrétariat. Les membres de l'OMC font régulièrement
l'objet d'un examen selon une fréquence qui varie en fonction de leur part dans le commerce
mondial.
La mission du GATT
La mission du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade), créé en 1948, était non
seulement de définir les règles du jeu du commerce mondial mais également d’abriter les
négociations commerciales entre pays membres en vue de promouvoir la libéralisation des
échanges. Avant l’actuel cycle de négociation multilatérale (round), dit de Doha, huit se sont
succédés, chaque fois plus longs et englobant davantage de questions. En effet, au lendemain de
la seconde guerre mondiale et jusqu’aux années 1960, la priorité était donnée à la baisse des
tarifs douaniers, laissés aux niveaux particulièrement élevés de l’avant-guerre. Au fur et à
mesure que ces tarifs diminuaient, d’autres questions apparaissaient : les barrières non tarifaires,
les exceptions sectorielles (textile, agriculture) ou géographiques (traitement spécial et
différencié pour les pays en développement), les « codes » (antidumping, subventions),
l’élargissement des règles (normes de travail, commandes publiques, concurrence,
investissement, droit de la propriété intellectuelle), la transposition aux services des règles
applicables aux marchandises. L’Uruguay Round, huitième négociation multilatérale achevée par
les accords de Marrakech (1994), a été marqué par un saut important dans le renforcement
institutionnel du GATT (Tableau 1) ; en devenant l’Organisation Mondiale du Commerce, elle
accède au statut d’organisation internationale.
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Lieu/ Pays
Année Domaines couverts
Appellation participants
1947 Genève Droits de douane 23
1949 Annecy Droits de douane 13
1951 Torquay Droits de douane 38
1956 Genève Droits de douane 26
1960- Genève (Dillon
Droits de douane 26
1961 Round)
Genève
1964-
(Kennedy Droits de douane et mesures antidumping 62
1967
Round)
1973- Genève (Tokyo Droits de douane, mesures non tarifaires et “accords-
102
1979 Round) cadres”
Droits de douane, mesures non tari-faires, règles,
Genève
1986- services, propriété intellectuelle, règlement des
(Uruguay 123
1994 différends, textiles, agriculture, éta-blissement de
Round)
l’OMC, etc.
a. Les acteurs
A première vue, la description des acteurs est aisée. L’OMC est une organisation member
driven et les membres sont les États (avec quelques territoires douaniers autonomes comme
Hong Kong). Les négociations sont donc menées par les représentants des gouvernements
(ministres, ambassadeurs, hauts fonctionnaires).
Directeur général de l’OMC, et ses services, ne se substituent pas aux États membres. Ils
n’ont qu’un rôle d’assistance et de coordination. Cette dernière tâche peut néanmoins se révéler
stratégique en cas de crise. C’est le Directeur Général qui, à l’issue d’un Conseil général, a
décidé de suspendre les négociations de Doha en juillet 2006. Le Directeur général peut
également assumer une fonction de médiateur influent. Aux différentes étapes de la négociation,
il rédige les projets de textes (drafts) qui prennent acte des points qui lui semblent acquis et
laisse en blanc les points qui restent soumis à négociations ; ces drafts donnent d’ailleurs souvent
lieu à plusieurs versions révisées par les États membres avant d’être soumis à discussion pour
être, ou ne pas être, validés.
37
Les premiers sont les organisations socioprofessionnelles. Menacées par l’ouverture de leur
marché aux importations plus compétitives, elles défendent, en général, des positions défensives.
C’est notamment le cas des puissants lobbies agricoles européens ou américains (mais aussi
japonais, coréens, etc.). Ces groupes avaient obtenu, dès les années 1950, que l’agriculture
échappe au mouvement général de libéralisation des échanges. Dans les années 1970, le lobby
textile avait également réussi à faire adopter des règles dérogatoires aux principes même du
GATT en permettant aux pays industriels d’instituer des quotas discriminatoires à l’encontre des
pays exportateurs (accords multifibres).
Les seconds sont les représentants des grandes firmes exportatrices, souvent multinationales,
qui militent en faveur de l’ouverture des marchés aux biens et aux services ainsi que pour une
plus grande sécurité juridique en matière, notamment, de propriété intellectuelle. Lors de
l’Uruguay Round, ces groupes ont ainsi obtenu l’extension des règles du GATT aux services. Ils
ont réussi à faire adopter un accord sur la propriété intellectuelle qui les protège certes des
contrefaçons mais qui entretient parfois des situations monopolistiques contestables quoique
légales (voir Tirole et al., 2003 ; Siroën, 2004b).
Les troisièmes, qui ont affirmé plus récemment leur pouvoir d’influence, sont les
représentants plus ou moins auto-proclamés de la « société civile ». Certains contestent le
principe même de négociations visant à libéraliser les échanges. C’est le cas de syndicats comme
l’AFL-CIO, ou d’associations « altermondialistes » comme ATTAC qui exercent leur pouvoir de
mobilisation pour entraver la négociation, comme à Seattle (1999). D’autres ONG, comme
Oxfam, préfèrent les couloirs et contestent moins la libéralisation des échanges que son iniquité.
Elles sont ainsi intervenues pour préciser l’accord sur la propriété intellectuelle qui
compromettait l’accès aux médicaments des pays en développement. Elles ont également soulevé
la question des subventions aux producteurs de coton qui, en encourageant artificiellement la
production, pèsent sur les cours mondiaux au détriment des pays producteurs les plus pauvres de
l’Afrique sub-saharienne.
Si les États sont donc formellement les seuls négociateurs, ils restent néanmoins soumis à des
pressions internes et externes contradictoires qui exigent des arbitrages au coût politique parfois
élevé.
38
En effet, à l’intérieur de chaque pays, certaines catégories peuvent être désavantagées, mais
la théorie du commerce international (théorème de Stolper et Samuelson) affirme que les
gagnants pourront toujours indemniser les perdants ce qui laisse la porte ouverte à des politiques
de redistribution [3][3] Les subventions au revenu des agriculteurs sont une....
Le premier écart avec ce postulat tient d’abord à la doctrine sous-jacente. Contrairement aux
enseignements de la théorie libérale du commerce international, l’échange est rarement perçu,
par les opinions publiques comme par les dirigeants politiques, comme mutuellement favorable,
par nature, et le thème de la « guerre économique » est assez récurrent. Comme l’écrivait le
mercantiliste Antoine de Montchrestien dans son Traité de l’Économie politique (1615), « Nous
faisons autant de perte que l’étranger fait de gain ». Les fondements doctrinaux de la
négociation commerciale multilatérale se distinguent pourtant du mercantilisme par sa foi
maintenue dans la possibilité d’un jeu gagnant-gagnant : pour tous les pays, les gains espérés du
côté des exportations doivent pouvoir l’emporter sur les pertes attendues du côté des
importations. Mais, pour obtenir ce résultat, la coopération, qui se concrétise par la négociation,
doit se substituer à la main invisible du marché. Le processus de négociation multilatéral est ainsi
construit autour du schéma suivant : l’ouverture du marché national induit des pertes qui doivent
être plus que compensées par les gains attendus de l’ouverture des marchés étrangers. Le terme
de « concession » pour désigner l’« offre » de réduction tarifaire d’un pays illustre bien cette
connotation négative de l’ouverture des marchés.
De plus, la nature positive du gain ne suffit pas à emporter l’adhésion. Les négociations
sont encadrées par des principes qui visent à garantir une certaine équité. Ainsi, le principe de
réciprocité requiert un équilibre entre les concessions des pays alors que la clause de la nation la
plus favorisée empêche la formation d’alliances qui se réaliseraient au détriment des pays tiers.
39
La crise des négociations multilatérales est avérée par l’explosion des négociations
« régionales » ou « bilatérales ». Ces accords visent certes à réduire les tarifs douaniers entre les
partenaires, mais également à aborder des thèmes exclus ou allusivement traités à l’OMC :
normes de travail, investissement, approfondissement de la protection de la propriété
intellectuelle, règles d’origine, etc. Il y a donc bien une crise des négociations multilatérales,
dont l’issue très incertaine du cycle de Doha nous révélera l’ampleur. Cette crise pourrait
toutefois être atténuée par certaines évolutions institutionnelles.
La règle du consensus est souvent mise en cause. On sait quelles furent les conséquences de
l’unanimité à la Société des Nations (SDN) et l’Union européenne a avancé en réduisant toujours
l’étendue de cette règle. Dans l’ancien GATT, elle était justifiée par le caractère contractuel de
l’accord ; toute modification devait avoir l’assentiment de l’ensemble des « parties
contractantes ». En tant qu’organisation internationale, l’OMC aurait pu se doter de règles de
majorité. Pourtant, l’accord instituant l’Organisation Mondiale du commerce stipule dans son
article IX que « L’OMC conservera la pratique de prise de décisions par consensus suivie en
vertu du GATT de 1947. » Mais il stipule également que « Sauf disposition contraire, dans les
cas où il ne sera pas possible d’arriver à une décision par consensus, la décision sur la question à
l’examen sera prise aux voix. […] Les décisions de la Conférence ministérielle et du Conseil
général seront prises à la majorité des votes émis, à moins que le présent accord ou l’Accord
commercial multilatéral correspondant n’en dispose autrement. » Dans les faits, le recours au
vote n’a jamais été envisagé. En renonçant à l’exclusivité du consensus, les petits pays
40
L’abandon de la règle du consensus et une pondération des voix élimineraient certes certains
comportements stratégiques indésirables, notamment le chantage au veto. Il renforcerait encore
les jeux de coalition. En terme de relations internationales, les conséquences seraient loin d’être
anodines car elles signifieraient qu’une majorité puisse imposer à une minorité des règles qui
atteindraient sa souveraineté nationale. L’Union européenne pourrait, par exemple, se voir
imposer une ouverture indésirée des produits culturels ou des services de santé. L’abandon du
consensus signifie donc que les pays perdent le droit de définir leur propre priorité et ne sont plus
assurés d’un « gain net » à l’issue de la négociation.
Conclusion
Les soubresauts du cycle de Doha ont montré les limites des négociations commerciales
multilatérales. Un échec, total ou dissimulé derrière un accord de façade, ne devrait pas être
dramatisé. A condition, toutefois, que les pays membres en tirent les conséquences.
Certes, la souveraineté des États membres doit être préservée. Ils doivent conserver le
droit de choisir leurs concessions. Mais pour que cet arbitrage soit possible, il faut encore que les
thèmes de négociations s’élargissent. La libéralisation des échanges ayant rejeté les thèmes
« douaniers » dans le noyau dur de la souveraineté nationale, les cycles de négociation ne
pourront aboutir que s’ils s’élargissent à de nouveaux sujets. Cette poursuite d’une évolution,
amorcée lors de l’Uruguay Round, exige néanmoins des progrès dans la quantification des
concessions et des avantages. Il ne s’agit pas d’imposer aux pays en développement le respect
des normes fondamentales de travail ou des règles de concurrence mais d’estimer l’équivalent
tarifaire ou l’équivalent-subvention de la violation de ces normes afin de les introduire dans les
listes de concession.
Mais cette souveraineté ne doit pas non plus ignorer la nécessité d’un arbitrage
indépendant. L’OMC est la seule organisation qui dispose d’une procédure de règlement des
différends qui, malgré ses défauts, s’est révélée suffisamment indépendante pour condamner à
plusieurs reprises les États-Unis et l’Union européenne. La Direction générale, ou une autre
instance, doit avoir les moyens de mieux garantir la réciprocité et d’intervenir plus activement
sur les États membres qui s’en affranchiraient. A défaut, les accords plurilatéraux constituent une
porte de sortie, certes peu satisfaisante du point de vue de la logique multilatérale.
41
1. Definition
Le Groupe des vingt (G20) est un groupe composé de dix-neuf pays et de l'Union
européenne dont les ministres, les chefs des banques centrales et les chefs d'États se réunissent
régulièrement. Il a été créé en 1999, après la succession de crises financières dans les années
19901. Il vise à favoriser la concertation internationale, en intégrant le principe d'un dialogue
élargi tenant compte du poids économique croissant pris par un certain nombre de pays.
Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire, les chefs d'État ou de
gouvernement se sont réunis. Actuellement, le G20 se décline sous trois formes : les G20
regroupant des chefs d'État et de gouvernement, les G20 finance regroupant les ministres des
finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis les 20-21 avril 2010, des G20
sociaux, réunissant les ministres de l'emploi.
2. Creation
L'autre facteur d'extension du G8 (G7 + la Russie, admise pour des raisons politiques) est la
baisse relative du poids économique dans le monde de ses membres. En effet, leur importance
dans le PIB mondial est passé de 69 % en 1989 à 55 % en 20093.
Fareed Zakaria avance plusieurs raisons pour expliquer que, selon lui5, « la gouvernance
mondiale ne pourra évoluer qu'à travers le G20 » : d'une part, le Conseil de sécurité des Nations
unies est paralysé par le droit de veto et ses missions pourraient être mieux remplies par le G20
assez représentatif des rapports de force mondiaux; d'autre part, si les États-Unis n'ont plus la
force d'imposer seuls leurs vues, ils peuvent malgré tout par le biais de cette instance jouer un
rôle positif de catalyseur.
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En 2010, le G20 compte 20 membres : dix-neuf pays plus l'Union européenne. L'Espagne et
les Pays-Bas ont participé aux trois dernières réunions sans en être membres6. L'Union
européenne est représentée par le président du Conseil européen et celui de la Commission
européenne, ce qui explique que le G20 rassemble 21 personnes.
Le G20 accueille également les institutions de Bretton Woods : le directeur général du FMI,
le président de la Banque mondiale, celui du comité monétaire et financier international et celui
du comité de développement du FMI et de la Banque mondiale2.
Le G20 regroupe les membres G7, dix pays à économies émergentesNote 1 plus l'Australie et la
Corée du Sud. L'Espagne, et à un degré moindre les Pays-Bas, la Pologne, la Belgique, la Suède
et la Suisse bien que leur PIB soient parmi les vingt premiers mondiaux n'ont pas été retenus.
Parmi les principaux pays émergents non retenus nous pouvons citer l'Iran, la Thaïlande, la
Malaisie, le Chili, le Nigeria, etc. Notons que l'Espagne, en tant que 13e économie mondiale7, est
« invité permanent » du G20.
Si l'on considère les membres en fonction du régime politique, il est possible de compter : 1
union de type supranational, 14 républiques (dont 7 républiques fédérales et 1 république
populaire) et 5 monarchies
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Des reformes rigoureuses qui exige une collaboration entre les ministres et la population
ainsi que de ressource spécifique devrait être mise en œuvre en fin de transformé en réalité le
projet de développement d’un pays :
C’est-à-dire mise en œuvre d’un système fiscal simple, efficace et juste avec le concours de
la société civile et du secteur privé, l’appui du FMI et de la banque mondiale en fin de recouvrer
plus les recettes pour pouvoir financier le projet de développement.
Exemple :
Madagascar devra passe de 11% de pression fiscale et à 15 % pour les années avenir.
Des actions vigoureuses doivent mener en matière de sécurité enfin de mieux sécuriser
l’activité agricole, le tourisme et les investissements.
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En suite, fournir de moustiquaire par exemple à chaque individu pour lutte contre le
paludisme dans la zone à risque.
Enfin, lutte contre le propagation rapide de SIDA (installation de plusieurs centres dépistage,
contrôle à la frontière ……….)
7. Transformation de l’éducation
C’est-à-dire en autre :
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C’est-à-dire :
C’est-à-dire :
C’est-à-dire :
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C’est-à-dire :
C’est-à-dire :
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Introduction
2 lignes
Partie I
1 ligne
Transition 1
1 ligne
DEVELOPPEMENT
Partie II
1 ligne
Transition 2
1 ligne
Partie III
2 lignes
Conclusion
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