Med Residanat-2013 25-Chirurgie
Med Residanat-2013 25-Chirurgie
Med Residanat-2013 25-Chirurgie
2. Parmi ces complications, lesquelles sont précoces au cours des accidents électriques ?
A. Troubles du rythme cardiaque.
B. Rhabdomyolyse.
C. Apnée.
D. Convulsions.
E. Paralysies.
3. Chez l’adulte, le pronostic vital est engagé dès que l’Unité de Brûlure Standard est supérieure à :
A. 5 %.
B. 15 %.
C. 30 %.
D. 50 %.
E. 200 %.
4. Un homme de 60 ans pesant 60 kg, sans antécédents, présente des brûlures électriques. Les lésions sont estimées à 60 % de la
surface corporelle selon la formule de Parkland Hospital (Baxter). Quelle quantité liquidienne doit-on administrer pendant les 24
premières heures ?
A. 1440 ml.
B. 14400 ml.
C. 21600 ml.
D. 24400 ml.
E. 72000 ml.
6. Devant un mélæna isolé et sans retentissement hémodynamique, quel examen complémentaire doit être effectué en première
intention pour en préciser l’étiologie ?
A. Artériographie cœlio-mésentérique.
B. Coloscopie totale.
C. Dosage de l’hémoglobine.
D. Fibroscopie œsogastroduodénale.
E. Transit du grêle avec étude particulière de l’iléon terminal.
Page 1 de 13
7. Le pneumopéritoine s’observe dans la perforation de tous ces organes sauf un. Lequel ?
A. L’estomac.
B. L’iléon.
C. Le côlon sigmoïde.
D. L’appendice.
E. Le troisième duodénum.
9. Le traitement d’une ulcération de l’angle de la petite courbure dont les biopsies confirment un adénocarcinome peut être :
A. Médical.
B. Chirurgical par vagotomie tronculaire et pyloroplastie.
C. Chirurgical par gastrectomie des deux tiers.
D. Chirurgical par gastrectomie totale.
E. Par radiothérapie exclusive.
10. Laquelle de ces complications est la plus fréquente au cours du cancer du sigmoïde ?
A. L’abcès péri sigmoïdien.
B. La fistule colo-vésicale.
C. L’occlusion intestinale.
D. La perforation tumorale.
E. La rectorragie.
11. Au cours de l’évolution d’un abcès sous phrénique par perforation couverte d’un ulcère duodénal, tous ces signes peuvent se
voir sauf un. Lequel ?
A. Fièvre.
B. Etat subocclusif.
C. Vomissements.
D. Défense localisée.
E. Douleur au toucher rectal.
14. Parmi ces complications des cancers du tiers inférieur de l’œsophage, quelle est la plus fréquente ?
A. La perforation.
B. L’envahissement trachéal.
C. La sténose.
D. L’hémorragie.
E. La médiastinite.
Page 2 de 13
15. L’examen clinique d’un patient présentant une péritonite aiguë généralisée par perforation d’ulcère gastroduodénal retrouve :
A. Un météorisme abdominal.
B. Une contracture abdominale.
C. Une disparition de la matité pré hépatique.
D. Un silence auscultatoire.
E. Une immobilité abdominale à la respiration.
17. Parmi les signes suivants, lequel est toujours absent dans la péritonite généralisée d’origine appendiculaire ?
A. Les douleurs abdominales.
B. La contracture.
C. La fièvre.
D. Un syndrome occlusif.
E. Un pneumopéritoine.
18. Parmi les propositions suivantes, lesquelles caractérisent une occlusion intestinale aiguë par strangulation ?
A. Présence d’ondulations péristaltiques.
B. Présence d’une cicatrice d’intervention.
C. Silence abdominal à l’auscultation.
D. Toucher rectal douloureux.
E. Présence d’arceau gazeux à l’ASP.
19. Un patient de 75 ans a subi une cholécystectomie il y a un an. On découvre un calcul cholédocien de 6 mm. Quel traitement
proposeriez-vous ?
A. Réintervention pour cholédochotomie et extraction du calcul.
B. Sphinctérotomie endoscopique.
C. Lithotritie extra corporelle.
D. Traitement médical par acide ursodésoxycholique.
E. Abstention thérapeutique.
20. Un patient victime d’un accident de la circulation est conduit aux urgences chirurgicales. Sa tension artérielle est à 130/60 mm
Hg et son pouls à 80 puls/min. Il existe une sensibilité de l’hypochondre droit. L’échographie retrouve une contusion hépatique.
Que proposeriez-vous ?
A. Une TDM abdominale.
B. Une laparotomie exploratrice.
C. Une ponction lavage du péritoine.
D. Un bilan biologique : hématologique, urinaire et hépatique.
E. Une surveillance.
22. Chez un patient de 75 ans anémique ayant présenté successivement une douleur épigastrique, un ictère et une fièvre, quel
diagnostic évoqueriez-vous en premier lieu ?
A. Un cancer de la tête du pancréas.
B. Une lithiase du collet vésiculaire.
C. Un cancer du hile hépatique.
D. Un ampullome vatérien.
E. Une pancréatite chronique.
Page 3 de 13
23. Un traumatisme abdominal suivi d’une hémorragie gastro-intestinale, de douleur abdominale et d’un ictère, évoque en priorité :
A. Un traumatisme pancréatique avec pancréatite.
B. Une perforation du premier duodénum.
C. Un traumatisme du foie.
D. Une rupture de la vésicule biliaire.
E. Une dissection aortique traumatique.
24. Lors d’une hématémèse, l’importance de l’hémorragie sera au mieux appréciée par un des paramètres suivants. Lequel ?
A. La quantité de sang rejetée.
B. Le degré d'agitation du patient.
C. La quantité de sang transfusé pour rétablir un état hémodynamique correct.
D. La présence de signes d’hypovolémie.
E. La présence d’une hypotension orthostatique.
25. Au cours d’une cholécystite aiguë, lequel de ces signes permet de suspecter une lithiase de la voie biliaire principale ?
A. Grosse vésicule.
B. Fièvre.
C. Ictère.
D. Douleur provoquée de l’hypochondre droit.
E. Douleur à irradiation scapulaire.
26. Devant une suspicion de péritonite aiguë généralisée du sujet jeune, l’indication opératoire est formelle en cas de :
A. Météorisme abdominal.
B. Toucher rectal douloureux.
C. Contracture abdominale.
D. Faciès vultueux.
E. Douleur provoquée de la fosse iliaque droite.
27. Les causes les plus fréquentes d’occlusion organique colique sont :
A. Le volvulus du sigmoïde.
B. La colite ischémique.
C. La rectocolite hémorragique.
D. La sigmoïdite diverticulaire.
E. L’invagination colo-colique.
29. Devant un ictère douloureux et fébrile, quel examen demanderiez vous en priorité ?
A. Cholangiographie intra veineuse.
B. Echographie hépato-bilio-pancréatique.
C. Cholangiographie rétrograde par cathétérisme de la papille.
D. Scanner abdominal.
E. Cholangiographie transhépatique.
30. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel permet d’apprécier la nécrose pancréatique au cours d’une pancréatite
aiguë grave ?
A. Cholangiographie rétrograde.
B. Artériographie cœlio mésentérique.
C. Echographie.
D. Tomodensitométrie.
E. Scintigraphie au Technétium 99.
Page 4 de 13
31. Une hernie inguinale étranglée peut évoluer vers :
A. Une péritonite aiguë.
B. Une fistule stercorale.
C. Une orchite.
D. Un kyste du cordon spermatique.
E. Un phlegmon pyostercoral.
33. Chez une patiente de 70 ans, le diagnostic d’une hernie crurale étranglée est retenu devant :
A. La présence d’une tuméfaction impulsive à la toux, en dedans des vaisseaux fémoraux.
B. La présence d’une tuméfaction douloureuse au niveau de la racine de la cuisse.
C. Un arrêt des matières et des gaz.
D. La présence d’une tuméfaction douloureuse au dessus de la ligne de Malgaigne.
E. La présence de niveaux hydro-aériques sur le cliché d’abdomen sans préparation.
35. Dans la prise en charge des hémorragies dites fonctionnelles chez la femme, le moyen thérapeutique de première intention est :
A. L’endométrectomie.
B. L’acide tranexamique.
C. Le dispositif intra utérin au levonorgestrol.
D. Les analogues de la GnRh.
E. Les progestatifs de synthèse.
36. Dans la classification des micro-calcifications mammaires selon l’ACR (American College of Radiology), ACR 3 signifie :
A. Anomalie évocatrice de cancer.
B. Anomalie probablement bénigne pour laquelle une surveillance à court terme est indiquée.
C. Anomalie bénigne ne nécessitant ni surveillance ni examen complémentaire.
D. Investigations complémentaires nécessaires.
E. Anomalies indéterminées ou suspectes qui indiquent une vérification histologique.
37. Quel est l’examen de référence dans le bilan d’extension locorégionale du cancer du col de l’utérus ?
A. L’échographie pelvienne.
B. La TDM.
C. L’urographie intraveineuse.
D. La tomographie d’émission à positons (TEP).
E. L’IRM.
38. Les principales complications des fibromes utérins intra muraux au cours de la grossesse sont :
A. La fièvre.
B. La douleur.
C. L’hémorragie interne.
D. La métrorragie.
E. L’accouchement prématuré.
Page 5 de 13
39. Les salpingites aiguës peuvent être traitées par les antibiotiques suivants :
A. Doxycycline.
B. Imipénem.
C. Métronidazole.
D. Lincomycine.
E. Ofloxacine.
40. Parmi les affections suivantes, lesquelles sont responsables des ménométrorragies chez une adolescente ?
A. La maladie de Willebrand.
B. Le cancer de l’endomètre.
C. Le kyste dermoïde.
D. Le cancer secrétant de l’ovaire.
E. L’insuffisance lutéale.
41. Quels examens demanderiez- vous devant une suspicion de grossesse extra utérine ?
A. Taux de Bêta-HCG plasmatique.
B. Echographie pelvienne.
C. Cœlioscopie.
D. Hystéroscopie.
E. Hystérographie.
45. Parmi ces complications, quelle est la plus habituelle du fibrome sous séreux pédiculé ?
A. Les ménorragies.
B. Les métrorragies.
C. La torsion.
D. L’aménorrhée.
E. La nécrobiose aseptique.
46. Quel est l’examen para-clinique à réaliser en première intention devant des ménométrorragies ?
A. L’hystérosalpingographie.
B. L’hystéroscopie.
C. L’échographie pelvienne.
D. L’IRM.
E. Le scanner.
Page 6 de 13
47. En cas d’hémorragie de la délivrance, le seuil de référence biologique de sa gravité est la diminution de l’hémoglobine de plus de
:
A. 1g / dl.
B. 2g / dl.
C. 3g / dl.
D. 4g / dl.
E. 5g / dl.
49. Le traitement d’une grossesse extra utérine tubaire par le méthotrexate est contre indiqué si :
A. Thrombopénie inférieure à 100.000 / mm3.
B. Leucopénie inférieure à 5000 / mm3.
C. Activité cardiaque embryonnaire.
D. Transaminases hépatiques normales.
E. Hémopéritoine < 100 cc.
50. Les germes les plus fréquemment en cause dans les salpingites aiguës sont :
A. Mycoplasma hominis.
B. Bacille de Doderlein.
C. Chlamydia Trachomatis.
D. L’herpes simplex virus.
E. Le gonocoque.
51. Une jeune fille de 22 ans présente un nodule mammaire du sein gauche de 2 cm, ferme, indolore, régulier, mobile et isolé. Quel
diagnostic évoque t-on en premier ?
A. Lymphangiome.
B. Carcinome.
C. Kyste hydatique.
D. Fibroadénome.
E. Mélanome.
53. La colposcopie :
A. Est recommandée seulement en cas de col suspect.
B. Permet la localisation de la zone suspecte par le test de Schiller.
C. Est utilisée pour faire un frottis cervico-vaginal.
D. Permet de faire des biopsies dirigées.
E. Toutes les réponses sont justes.
54. Les causes des hémorragies utérines à rechercher par hystéroscopie peuvent être :
A. Adénomyose.
B. Maladie de Willebrand.
C. Choriocarcinome.
D. Polype endométrial.
E. Fibrome interstitiel.
Page 7 de 13
55. Les deux principales indications de l’hystérectomie d’hémostase sont :
A. Le placenta accreta.
B. Le placenta bas inséré.
C. L’hématome rétro placentaire.
D. L’atonie utérine réfractaire.
E. La grossesse molaire.
61. Quels sont les critères échographiques prédictifs de bénignité d’un kyste organique de l’ovaire ?
A. L’unilocularité.
B. La multilocularité.
C. L’échogénéicité.
D. L’anéchogénéicité.
E. La taille inférieure à 5 cm.
62. Quels examens sont recommandés actuellement pour identifier un fibrome intra cavitaire ?
A. IRM.
B. Hystérosonographie.
C. Hystérographie.
D. Hystéroscopie.
E. TDM.
Page 8 de 13
63. En cas d’hématome extradural, la tomodensitométrie cérébrale montre :
A. Un aspect de lentille biconcave spontanément hyperdense.
B. Un aspect de lentille biconvexe spontanément hyperdense.
C. Un aspect de lentille biconvexe spontanément hypodense.
D. Une hypodensité en croissant de lune.
E. Une hyperdensité en croissant de lune.
64. Tous ces éléments peuvent être retrouvés en cas de rhinorrhée post traumatique sauf un. Lequel ?
A. Une anosmie.
B. Une fracture de l’étage antérieur de la base du crâne.
C. Un écoulement du liquide céphalorachidien par le nez.
D. Une diplopie.
E. Une pneumatocèle.
65. Quel est le score de Glasgow (GCS) d’un traumatisé crânien hémiplégique, qui après stimulation douloureuse, gémit, ouvre les
yeux et localise la douleur du côté sain ?
A. = 7/15.
B. = 8/15.
C. = 9/15.
D. = 10/15.
E. = 11/15.
66. Dans les traumatismes du rachis cervical inférieur, lesquelles de ces lésions sont instables ?
A. Fractures du corps vertébral.
B. Fracture du fragment antéro-inférieur du corps avec recul du mur postérieur.
C. Fracture des apophyses articulaires.
D. Entorses graves.
E. Fracture des apophyses épineuses.
68. Parmi ces signes radio-cliniques, lesquels sont en faveur du caractère malin d’une tumeur osseuse ?
A. Evolution rapide.
B. Extension aux structures de voisinage.
C. Image en feu d’herbe.
D. Corticales rompues.
E. Présence d’un syndrome para néoplasique.
Page 9 de 13
71. Quels sont les signes radiologiques en faveur du mal de Pott ?
A. Les géodes du corps vertébral.
B. Le pincement discal.
C. Le tassement cunéiforme antérieur.
D. La sclérose osseuse.
E. L’atteinte de l’arc vertébral postérieur.
73. Quels examens parmi les suivants font partie du bilan radiologique d’un traumatisme
vertébromédullaire ?
A. Radiographie de face du rachis.
B. Radiographie de profil du rachis.
C. Echographie.
D. TDM.
E. IRM.
76. Le but du traitement des fractures de l’extrémité supérieure du fémur chez le sujet âgé est :
A. La consolidation.
B. La réduction anatomique.
C. Le lever précoce.
D. La prévention des complications de décubitus.
E. La préservation de la qualité de vie.
Page 10 de 13
79. Les fractures ouvertes de jambe :
A. Sont souvent souillées dans les ouvertures de dehors en dedans.
B. Sont toujours souillées dans les ouvertures de dedans en dehors.
C. "Potentiellement ouvertes" sont initialement fermées.
D. Se compliquent obligatoirement de raideurs articulaires.
E. Du tiers supérieur exposent à des lésions d’ischémie par atteinte vasculaire.
80. Est (sont) considéré (s) comme facteur (s) péjoratif (s) dans la luxation de l’épaule :
A. La fracture du trochiter.
B. La fracture de la glène.
C. La fracture de la tête.
D. Les lésions de la coiffe des rotateurs.
E. La paralysie du nerf circonflexe.
81. Lesquelles de ces fractures du genou sont susceptibles d’entraîner une atteinte vasculaire ?
A. Fracture du plateau tibial interne.
B. Fracture du plateau tibial externe.
C. Fracture sus et intercondylienne distale déplacée du fémur.
D. Fracture supra condylienne du fémur.
E. Fracture de Hoffa.
82. La réduction orthopédique d’une luxation de l’épaule peut être contrainte par l’association à :
A. Une fracture de l’acromion.
B. Une lésion du nerf circonflexe.
C. Une fracture du tubercule majeur.
D. Une fracture du col anatomique.
E. Une fracture incomplète non déplacée de la glène.
84. Concernant les tumeurs osseuses bénignes, quelles sont les propositions justes ?
A. L’évolution est souvent lente.
B. Nécessitent l’exérèse chirurgicale et des bilans d’extension.
C. Les structures de voisinage sont intactes.
D. Les structures de voisinage sont envahies.
E. Peuvent comprimer des structures vasculo-nerveuses.
Page 11 de 13
87. Dans une arthrite de hanche chez un nouveau-né, l’infection :
A. Se propage rapidement à travers le cartilage de croissance de la tête fémorale.
B. Se propage vers la métaphyse directement à partir de la synoviale articulaire.
C. Atteint la métaphyse après rupture de la capsule articulaire.
D. Menace la vitalité de la tête fémorale par l’hyperpression intra-articulaire.
E. Peut être responsable d’une luxation de la hanche.
90. L’étiologie la plus fréquente des fractures de l’extrémité supérieure du fémur du sujet âgé est :
A. L’accident de la voie publique.
B. L’accident de la circulation.
C. La chute d’un lieu élevé.
D. Le choc direct.
E. La chute ménagère de sa propre hauteur.
91. Le traitement des fractures du col du fémur chez le sujet jeune est :
A. Souvent orthopédique.
B. Chirurgical par prothèse totale de hanche.
C. Chirurgical par prothèse cervico-céphalique.
D. Chirurgical par ostéosynthèse du col fémoral.
E. Préférentiellement conservateur.
Page 12 de 13
95. Les signes cliniques les plus évocateurs du mal de Pott sont :
A. La douleur.
B. La température élevée.
C. la fièvre sudoroalgique.
D. La rigidité vertébrale.
E. L’amaigrissement, l’asthénie et l’anorexie.
97. Le traitement des fractures du rachis vise à rétablir ses courbures physiologiques. Lesquelles ?
A. La lordose cervicale.
B. La cyphose cervicale.
C. La cyphose dorsale.
D. La lordose lombaire.
E. La cyphose lombaire.
Page 13 de 13