Ementas Domuni
Ementas Domuni
Ementas Domuni
EQUIVALENCES ET FLEXIBILITÉ
La formation théologique que propose l’université Domuni est accessible à ceux qui ont
terminé leurs études secondaires et qui souhaitent devenir théologiens. Elle convient
également à tous ceux que ces études auraient intéressé mais qui ont privilégié une
carrière professionnelle plus rémunératrice. La flexibilité des études, par l'enseignement
à distance et la possibilité d'étaler les validations, rend celles-ci tout à
fait compatibles avec des responsabilités familiales et professionnelles.
Conformément aux accords passés à Bologne entre les universités européennes, des
équivalences sont accordées, prenant compte les diplômes obtenus et la validation
des acquis de l’expérience professionnelle.
TRANS-DISCIPLINARITÉ ET TRANS-
CULTURALITÉ
L’université Domuni privilégie cette
trans-disciplinarité au sein de ses
différentes facultés. L’université
Domuni souhaite aussi que s’établissse
une trans-culturalité, le dialogue entre
les cultures. Les facultés
sont multilingues et les étudiants
peuvent dialoguer, par voie de forum,
en des langues vivantes différentes. A
la mondialisation de l’économie doit
correspondre une mondialisation de
la morale et de la pensée.
L’enseignement à distance, par le biais d’Internet, est une voie privilégiée pour y
parvenir, avec de grands résultats tout en utilisant des moyens économiquement limités.
La faculté de théologie permet cet échange entre étudiants et entre professeurs, entre les
disciplines et aussi entre les cultures linguistiques. Les forums sont accessibles à tous,
en différentes langues, les bibliographies sont mises en commun, les publications aussi.
UN EXPÉRIENCE INTELLECTUELLE ET
SPIRITUELLE
La question du dialogue interreligieux est d’actualité. Elle suppose une bonne
connaissance de l’histoire des religions mais aussi un approfondissement
philosophique sur le fait religieux. Une introduction au judaïsme est proposée ainsi qu’à
l’hindouisme, au bouddhisme, au Coran et à l’Islam. Plusieurs thèmes sont abordés
dans une perspective œcuménique où la parole est donnée à des pasteurs protestants
et à des théologiens orthodoxes pour que soient présentés conjointement le point de vue
doctrinal-ecclésial de l’Eglise catholique romaine, celui de l’orthodoxie et celui du
protestantisme. Entrer en théologie n’est pas seulement s’imprégner d’une tradition
intellectuelle, ni même seulement se préparer à la vie pastorale, c’est aussi un
engagement existentiel qui va bien au-delà de la simple piété : une participation au
souffle prophétique de Jésus de Nazareth et à sa résurrection. Quatre cours
sur l’expérience de Dieu, et bien d’autres de spiritualité, permettent d’illustrer les
différentes manières d’être croyant, de situer les différentes vocations, les ordres
(bénédictins, dominicains, franciscains, carmes…), les jésuites, les instituts religieux et
les congrégations, la vie contemplative et la vie apostolique, bref la vie mystique en ses
charismes multiples et variés. Des journées d’études sont organisées à Paris, Bruxelles
et Genève afin qu’étudiants et professeurs puissent régulièrement se rencontrer.
ADMISSION
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DIPLÔMES
Licence de théologie
Master de théologie
Master de théologie 2 (spécialité dogmatique)
Master de théologie 2 (spécialité bible)
Master de théologie 2 (spécialité œcuménisme et religion)
Master de théologie 2 (spécialité éthique)
Master de théologie 2 (spécialité histoire du christianisme)
Master de théologie 2 (spécialité pastorale)
Doctorat de théologie 1
Doctorat de théologie 2
Doctorat de théologie 3
COÛT DE LA FORMATION
Cursus LMD : 4500 €
Droits universitaires
DESCRIPTION :
Combien de personnes tentent de lire la Bible, commencent par les premiers
chapitres de la Genèse et abandonnent plus ou moins rapidement sans être
parvenus à entrer vraiment dans « Le » livre ? Combien de groupes de
chrétiens bien intentionnés qui se réunissent pour un « partage d’évangile » et
qui se trouvent plus ou moins déçus parce que le passage qu’ils ont choisi ne
rejoint pas vraiment leurs préoccupations immédiates et ne répond pas
directement à leurs questions ? Combien d’étudiants en théologie sont rebutés
par l’exégèse scientifiques parce qu’ils n’ont pas accès à la saveur du message
spirituel de la Bible ? Combien d’auditeurs d’homélies moralisatrices s’ennuient
parce que le sens spirituel ou théologique n’est pas présenté ?
OBJECTIFS :
Faire découvrir non seulement la Bible, mais surtout le message humain
et spirituel biblique.
Montrer comment le Nouveau Testament utilise l’Ancien Testament pour
exprimer la foi chrétienne.
Présenter les quatre sens traditionnels de certains passages de la Bible
(littéral, spirituel, moral, anagogique)
Expliquer comment on peut voir les figures du Christ présentes dans
certains personnages de l'Ancien Testament.
Aborder l'exégèse scientifique sans craindre sa technicité car l'on a
perçu l'essentiel du message.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :
Disposer des outils nécessaires pour entrer dans une culture biblique
développée
Pouvoir montrer comment le Nouveau Testament est une relecture de
l’Ancien.
Une bonne connaissance d’une lecture savoureuse de la Bible
D’excellentes bases pour poursuivre leur cursus
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse
Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux
proposés.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
PLAN DÉTAILLÉ
Etape 1. Emmaüs, Jésus interprète les Ecritures - quelles furent les explications
de Jésus ?
Etape 2. Couper les cheveux en quatre : lecture juive des Ecritures juives
Etape 3. Lecture chrétienne des Ecritures juives
Etape 4. Illustration, homélie d’Origène sur la prise de Jéricho
Etape 5. Lecture polyphonique du Nouveau Testament
Etape 6. David, le plus petit - David, figure du Christ
Etape 7. David menacé
Etape 8. David, roi
Etape 9. Salomon Figure de Jésus-Christ
Etape 10. Salomon et le salut
Etape 11. "N'ayez pas peur !" Méditation des récits de la tempête apaisée et de
la marche sur les eaux.
BIBLIOGRAPHIE
OBJECTIFS :
Montrer comment le caractère théologique du cours se distingue de ce
que l’on appelle « exégèse », étude rigoureuse du texte et des traditions
ou cultures présentes dans la Bible.
Présenter les notions d’inspiration, d’histoire du salut,
Présenter le statut des prophètes et des sages,
Expliquer le rapport entre l’Ancien et le Nouveau Testament.
Répondre à la question fondamentale qui se pose avec celle de la
révélation : quel visage de Dieu paraît dans la Bible et quelle
conséquence cette reconnaissance a-t-elle sur la lecture du texte.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Avoir compris les raisons et les motivations d’une lecture qui nourrit
l’esprit et le cœur.
Pouvoir distinguer un prophète d’un sage, dans la Bible.
Pouvoir expliquer la théorie de l’inspiration
Pouvoir montrer le rapport du Nouveau Testament à l’Ancien.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse
Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux
proposés.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
PLAN DU COURS
INTRODUCTION AU COURS
1. Ouvrir le Livre
2. Le malheur d’une ignorance
1. La singularité de la Bible
2. Unité du livre
3. Inscription dans l’histoire
4. La Bible et la vérité
Conclusion
CONCLUSION
POUR FINIR
1. Pourquoi ?
2. Comment ?
BIBLIOGRAPHIE
1 – UNE BIBLE COMPLÈTE, AVEC DES INTRODUCTIONS AUX
DIFFÉRENTS LIVRES BIBLIQUES, ET DES NOTES DE LECTURE
(ATTENTION AUX ÉDITIONS MINEURES OU DE POCHE, PRATIQUES MAIS
SANS NOTES).
“LA BIBLE DE JÉRUSALEM” (BJ; EDITIONS DU CERF).
CERTAINEMENT LA MEILLEURE EN CE QUI CONCERNE LES
NOTES DE LECTURE ET LES MULTIPLES RÉFÉRENCES QU’ELLE
PROPOSE POUR AIDER LA COMPRÉHENSION DE TEL TEXTE
BIBLIQUE PAR D’AUTRES TEXTES BIBLIQUES
“LA TRADUCTION OEUCUMÉNIQUE DE LA BIBLE” (TOB ;
EDITIONS DU CERF ET SOCIÉTÉ BIBLIQUE FRANÇAISE),
RÉALISÉE PAR DES SPÉCIALISTES PROTESTANTS ET
CATHOLIQUES.
“LA BIBLE DES PEUPLES” (HACHETTE), UNE TRADUCTION ET
DES NOTES VOLONTAIREMENT SIMPLIFIÉES POUR PERMETTRE
LE MEILLEUR ACCÈS POSSIBLE AUX TEXTES BIBLIQUES.
2 – QUELQUES OUTILS :
LE “VOCABULAIRE DE THÉOLOGIE BIBLIQUE” (CERF) : DE
NOMBREUX ARTICLES SUR DES NOTIONS BIBLIQUES
IMPORTANTES, AVEC À CHAQUE FOIS UNE PARTIE CONSACRÉE
À L’AT, UNE AUTRE AU NT. DE NOMBREUSES RÉFÉRENCES
SONT DONNÉES.
“LA BIBLE”, PAR ANDRÉ PAUL (COLLECTION REPÈRES
PRATIQUES ; NATHAN). CLAIR ET TRÈS BIEN PRÉSENTÉ AVEC 5
PARTIES: BIBLE ET BIBLES ; HISTOIRE ; AT ; NT ; TEXTES ;
INTERPRÉTATIONS.
“POUR LIRE LA BIBLE”, J.-P. BAGOT; J.-CL. DUBS.
“POUR LIRE L’ANCIEN TESTAMENT”; “POUR LIRE LE NT”,
D’ETIENNE CHARPENTIER (CERF).
« LES EVANGILES, TEXTES ET COMMENTAIRES » (BAYARD
COMPACT) : QUATRE COMMENTAIRES PARTICULIÈREMENT
CLAIRS ET ACCESSIBLES RÉUNIS EN UN SEUL VOLUME
(L’EVANGILE DE MATTHIEU, PAR CLAUDE TASSIN ; L’EVANGILE
DE MARC, PAR JACQUES HERVIEUX ; L’EVANGILE DE LUC, PAR
HUGUES COUSIN ; L’EVANGILE DE JEAN, PAR ALAIN
MARCHADOUR).
A NOTER ÉGALEMENT LA COLLECTION “TOUT SIMPLEMENT”
(EDITIONS DE L’ATELIER) OÙ CHAQUE VOLUME EST CONSACRÉ
À UN THÈME : “SAINT PAUL” PAR PAUL BONY, “JÉSUS-CHRIST”,
PAR Y. CHABERT ET R. PHILIBERT ; “L’EGLISE” PAR H. DANET ET
C. ROYON ; “LA MESSE” PAR R. CABIÉ ; “LE PEUPLE DE LA
BIBLE”, PAR G. SINDT ; “LES MIRACLES” PAR C. PERROT…
LES “CAHIERS EVANGILES” (EDITIONS DU CERF), 60-70 PAGES
CONSACRÉES À UN THÈME, UN LIVRE BIBLIQUE… PLUS DE 160
NUMÉROS SONT DÉJÀ PARUS…
“LECTURES BIBLIQUES, AUX SOURCES DE LA CULTURE
OCCIDENTALE” D’ANNE-MARIE PELLETIER (CERF) : DE TRÈS
BONNES ÉTUDES DE TEXTES BIBLIQUES IMPORTANTS.
DESCRIPTION :
Une Parole à aimer et à prêcher… mais aussi à scruter pour la comprendre !
Si aujourd’hui nous ne pouvons plus exercer une lecture du Nouveau Testament
au premier degré, encore faut-il prendre les moyens de ne pas en rester là. Ce
cours introduit au Nouveau Testament grâce à l’exégèse.
OBJECTIFS :
Présenter l’ensemble du Nouveau Testament dans son contexte
historique et un aperçu des livres qu’il rassemble.
Introduire à la démarche exégétique en présentant le Nouveau Testament.
Faire comprendre les enjeux d’une science humaine et théologique telle
qu’est l’exégèse.
Initier à la critique textuelle, à l’étude des textes grâce aux différentes
approches littéraires, historiques, linguistiques ou encore culturelles.
Donner des clés de lecture dans une approche croyante la mieux informée
possible.
Permettre, face au flot continu de livres de vulgarisation, de se repérer par
une information de qualité sur Jésus et la foi de la première Eglise.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Être initié à l’exégèse biblique et en comprendre les enjeux.
Pouvoir interpréter un texte par différentes approches exégétiques.
Avoir acquis les clés de lecture essentielles pour le Nouveau Testament.
Pouvoir expliquer ce qu’est « le canon des Ecritures », son origine, son
intérêt.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de vingt questions sur le contenu du cours
Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi une liste
proposée
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
AUNEAU J. e. a., Evangiles synoptiques et Actes des Apôtres (Petite
Bibl. des Sciences Bibliques,NT 4), Paris, DDB, 1981.
BROWN R.E., Que sait-on du Nouveau Testament ?, Paris, Bayard, 2000.
CHARPENTIER E., BRUNET Régis, Pour lire le Nouveau Testament,
Paris, Cerf, 2006.
MARGUERAT D.(Ed.), Introduction au Nouveau Testament. Son histoire,
son écriture, sa théologie, Labor et Fides, 2000.
ROBERT A., FEUILLET A., Introduction à la Bible, t. III, Nouveau
Testament, Paris, Cerf.
Niveau du cours
Premier cycle universitaire, licence de théologie
SOMMAIRE
INTRODUCTION : POURQUOI L’EXEGESE DU NT ?
5.1.1. Matières
5.1.2. Ordonnance
5.1.3. Concordance littéraire
6.3. Bilans
INTRODUCTION À LA PHILOSOPHIE
PHIL020 Le cours ici présenté est un cours d’initiation. On n’entre pas en philosophie
comme dans un musée, mais comme dans un chantier...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
Augustin Wiliwoli, O.P.
DESCRIPTION :
Le cours ici présenté est un cours d’initiation à la philosophie comme pratique, à travers
un apprentissage participatif. Au-delà de la lecture simple du cours, une série
d’exercices visant le développement d’une réflexion personnelle sont proposés. En
particulier, la philosophie suppose un entraînement qui passe par le travail de rédaction.
OBJECTIFS DU COURS
1° PROPOSER DES EXERCICES POUR ENTRER EN PHILOSOPHIE
Le cours ici présenté est un cours d'initiation. On n'entre pas en philosophie comme
dans un musée, mais comme dans un chantier. Dans un musée, on vous demande de
regarder une oeuvre achevée et de vous laisser porter. Dans un chantier on vous
demande aussi de regarder de vous laisser porter par ce qui a été fait, mais on vous
demande encore de prendre part et de porter votre contribution à l'édifice qui se bâtit.
Puisqu’il s’agit d’un chantier, il est proposé aux étudiants de participer. Il ne suffit pas
de lire les pages du cours, il faut faire les exercices proposés. Ils permettent une
réflexion personnelle. Ils doivent être faits au fur et à mesure du déroulement du cours.
En particulier, il ne faut pas lire le cours en ayant omis de faire le travail écrit demandé.
ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
1° Etre doté d’instruments de travail
Constitution d’un fichier : fichier des noms, des notions et des auteurs.
2° Avoir acquis des méthodes de travail
Même si la philosophie suppose une vision globale des choses et donc n’impose pas une
entrée unique et exclusive, il faut suivre un ordre qui permet d’enrichir peu à peu les
connaissances et les méthodes de travail.
3° Connaître un certain nombre de notions philosophiques fondamentales, savoir
réfléchir sur la connaissance et les éléments qui sont nécessaires à une bonne
connaissance dépourvue d’erreurs.
4° Pouvoir parler de l’homme, de sa pensée et des questions liées à l’activité humaine :
la pensée et l’action.
5° Savoir présenter l’homme et sa place dans le monde. A partir de quelques
connaissances scientifiques, parler de l’homme et de sa position particulière dans le
monde et parmi les vivants.
6° Pouvoir aborder des questions difficiles comme celle de Dieu et celle du mal.
Présenter le concept de Dieu, tel que les philosophes le présentent et y opposer la
question du mal.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz en temps limité à la fin des séquences
Un devoir : un commentaire critique de texte philosophique
Un examen en présentiel à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
L’étudiant.e est invité à utiliser un dictionnaire ou un livre scolaire de philosophie, voire
une encyclopédie, pour prolonger ses références.
PLAN DU COURS
EN AUTO-FORMATION
Frais d'inscription :
50,00 €
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OBJECTIFS :
Entrer dans la culture philosophique à partir des premiers pas
historiques, en suivant l'éclosion de la pensée rationnelle.
Entrer dans la démarche philosophique et, comme un nageur qui
reprendrait pied, s'appuyer sur le contact direct avec les textes
fondateurs, pour l'expression de sa propre réflexion
Mettre ses pas dans les pas des premiers philosophes.
Passer progressivement d'une représentation mythique et poétique du
monde et de la vie, à une recherche de la vérité qui s'appuie
essentiellement sur la raison humaine.
ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse,
Une rédaction philosophique (5 pages) en traitant un sujet au choix
parmi ceux proposés.
Un examen à la fin du trimestre.
BIBLIOGRAPHIE
Les présocratiques Bibliothèque de la Pléiade, n° 345. Trad. du grec
ancien par Daniel Delattre, Jean-Paul Dumont et Jean-Louis Poirier.
Édition de Jean-Paul Dumont avec la collaboration de Daniel Delattre et
Jean-Louis Poirier.
Jacques Maritain Eléments de philosophie, tomes 1 et 2,
Gardeil La philosophie de saint Thomas d'Aquin.
L’œuvre de Platon, coll. La Pleïade, traduction et notes par Léon Robin,
Gallimard,1959
SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :
Présentation
1. Sensibilisation
2. Les présocratiques
3. Les présocratiques (suite)
4. Socrate (469-399)
5. Platon (427- 347)
6. La pensée de Platon
7. Les articulations de la philosophie platonicienne
8. Questions de vie
9. Le Banquet discours sur l’amour !
10. Le Banquet (suite)
PLAN DÉTAILLÉ
1er cours : SENSIBILISATION
1. Etat de la question. (Status quaestionis)
2. Quelle idée vous faites-vous de ce qu’est la philosophie ?
3. Que veut dire le mot philo-sophie ?
4. A quoi s’intéresse plus particulièrement la philosophie grecque ?
5. Pourquoi les frères prêcheurs s’intéressent-ils à la philosophie ?
6. Entrons dans la démarche philosophique (au sens grec du mot) :
7. Une boussole pour naviguer sur l’océan
2ème cours : LES PRESOCRATIQUES
Introduction : « Préhistoriens » de la philosophie
1. Une œuvre faite de fragments disparates
2. Un mode de pensée nouveau
3. Les principaux courants
3ème cours : LES PRESOCRATIQUES (suite)
1. Les principaux courants : Les « physiciens » d’Ionie (suite)
2. Les principaux courants : Les pythagoriciens d’Italie
3. Les principaux courants : L’école italienne d’Élée
4. Les principaux courants : Les sophistes
4ème cours : SOCRATE (469-399)
Travail préalable :
La passion de Socrate :
1. Un point de vue latino américain
2. La vie de Socrate 469-399
3. Qui est le père et qui est le fils : Socrate ou Platon ?
5ème cours : PLATON (427- 347)
1. Sa vie
2. Portrait de Platon par Jean Guitton
3. Platon et Dieu
4. L’œuvre
6ème cours La pensée de Platon
1. Une pensée qui mûrit progressivement
2. Deux questions fondamentales
3. Un système toujours d’actualité, en dépit des apparences
4. La première théorie de la connaissance
7ème cours Les articulations de la philosophie platonicienne
1. La Métaphysique et la théorie de la connaissance chez Platon
2. La cosmologie et la psychologie
3. La philosophie morale
8ème cours Questions de vie
1. Le but de la vie humaine
2. L’immortalité, le mal dans le monde, l’amour d’autrui et de soi
9ème cours LE BANQUET discours sur l’amour !
1. Présentation du dialogue
2. Le texte
10ème cours LE BANQUET (suite)
Discours de Socrate
Conclusion
Objectifs
Acquis de l’apprentissage
CONNAISSANCES
Modalités d’évaluation :
Bibliographie :
Les œuvres de Platon, en priorité les dialogues accessibles dans le cours.
IN064 La première partie (La foi des apôtres, étapes 1 à 4) de ce cours de sur
la Trinité est consacrée à l’étude de la foi des apôtres, à partir des textes
fondateurs.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Nicole Awaïs-Giroud
Jean Michel Maldamé O.P
PRÉSENTATION
Ce cours de Théologie de la Trinité est introduit par une présentation de ce
qu’est la théologie.
La théologie se veut l’explicitation de la richesse de la foi. Elle répond à une
révélation. Or celle-ci ne se crée pas à l’initiative du croyant, elle commence
donc par l’accueil de ce que Dieu dit. Ainsi tout propos spécifique sur le Dieu
des chrétiens ne peut s’enraciner ailleurs que dans la foi des apôtres. Certes,
on trouve dans l’humanité une multitude de discours sur Dieu. Ils se
développent dans les religions non-chrétiennes et dans les diverses
philosophies. Les familles d’esprit ne sont pas les mêmes, mais toutes ces
démarches ont ceci de commun qu’elles partent de l’expérience humaine et
réfléchissent sur l’expérience du sacré ou l’exigence de la raison. Il s’agit de ce
qui relève de l’ordre naturel.
La foi chrétienne ne procède pas de la même manière : elle accueille ce que
Dieu dit, comme une révélation, un dévoilement de ce qui, sans cet acte, ne
pourrait pas être connu.
A cause de la nature de la révélation, la théologie ne peut pas commencer hors
d’une étude des Écritures par lesquelles la connaissance de Dieu est donnée.
La première partie (La foi des apôtres, étapes 1 à 4) de ce cours de sur la
Trinitésera donc consacrée à l’étude de la foi des apôtres, à partir des textes
fondateurs. Cette partie montrera les richesses et les particularités de cet
enracinement. La première étape examinera le témoignage des Actes des
apôtres ; puis la réflexion s’appuiera sur l’Ancien Testament pour expliciter
quelle était la foi des apôtres.
La seconde partie (L’étude de la Tradition, étapes 5 à 10) de ce cours sur la
Théologie de la Trinité prend une démarche spécifiquement théologique pour
montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau Testament,
a été explicitée et développée. Des questions sont apparues : Le Christ est-il un
autre Dieu ? Le Père et le Fils sont-ils un seul et même Dieu ? De même pour
l’Esprit saint ; s’il y a en Dieu des distinctions, cela n’entraîne-t-il pas une
division ? si on donne des explications sur la divinité et la position du Père, du
Fils et du Saint Esprit les uns par rapport aux autres, quelle est le principe
d’intelligibilité ? Où est le mystère ? Ces questions ont obligé à recourir à des
catégories nouvelles.
À ces questions, et à d’autres, qui seront précisées au fur et à mesure, l’Église
répondra, grâce à ceux que l’on appelle les Pères, parce que leur influence a
marqué durablement la manière de croire et de formuler la foi chrétienne.
L’Église a aussi explicité sa foi par des formules de foi, des dogmes, dont il faut
comprendre l’élaboration. L’Église présente aussi, dans l’unité de la foi, une
diversité de sensibilité et d’approches.
C’est à cet ensemble que veut introduire la deuxième partie du cours consacrée
aux Pères, et aux grands docteurs de la foi.
OBJECTIFS :
Examiner le témoignage des Actes des apôtres ;
Relire l’Ancien Testament pour expliciter quelle était la foi des apôtres.
Montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau
Testament, a été explicitée et développée.
Initier aux Questions actuelles en Christologie.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Avoir été initié à la théologie de la Trinité
Examiner la foi des apôtres
Étudier la Tradition
Etre informé des questions actuelles en Christologie
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit avec un choix de l’un des sujets proposés dans la liste se
trouvant dans la section « validation ».
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Mysterium Salutis, Dogmatique de l'Histoire du salut, t. II, vol. 5 : Dieu et
la révélation de la Trinité, 1970 et vol. 6 : La Trinité et la création, 1971,
Paris, éditions du Cerf.
Lumière et Vie, Le mystère de la Sainte Trinité, n_ 29, 1956.
LEBRETON J, Histoire du dogme de la Trinité, 2 vol. Paris, Beauchesne,
1928.
RAHNER K., «Dieu dans le Nouveau Testament. La signification du mot
Theos», Écrits théologiques, t. I, Desclée de Brouwer, 1959.
CHEVALLIER M.A., Souffle de Dieu. Le Saint-Esprit dans le Nouveau
Testament, Beauchesne, 1978.
REY B., Le cheminement des premières communautés chrétiennes à la
découverte de Dieu, Paris, édit. du Cerf, 1972.
BOUYER L., Le Père invisible. Approche du mystère de la divinité, Paris,
édit. le Cerf, 1976.
Plan détaillé
PRÉSENTATION
OBJECTIFS :
Examiner le témoignage des Actes des apô tres ;
Relire l’Ancien Testament pour expliciter quelle était la foi des apô tres.
Montrer comment l’affirmation de la foi, contenue dans le Nouveau Testament,
a été explicitée et développée.
Initier aux Questions actuelles en Christologie.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Avoir été initié à la thé ologie de la Trinité
Examiner la foi des apô tres
Étudier la Tradition
Etre informé des questions actuelles en Christologie
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit avec un choix de l’un des sujets proposés dans la liste se trouvant
dans la section « validation ».
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Mysterium Salutis, Dogmatique de l'Histoire du salut, t. II, vol. 5 : Dieu et la révélation
de la Trinité, 1970 et vol. 6 : La Trinité et la création, 1971, Paris, éditions du Cerf.
Lumière et Vie, Le mystère de la Sainte Trinité, n_ 29, 1956.
LEBRETON J, Histoire du dogme de la Trinité, 2 vol. Paris, Beauchesne, 1928.
RAHNER K., «Dieu dans le Nouveau Testament. La signification du mot Theos», É crits
théologiques, t. I, Desclée de Brouwer, 1959.
CHEVALLIER M.A., Souffle de Dieu. Le Saint-Esprit dans le Nouveau
Testament, Beauchesne, 1978.
REY B., Le cheminement des premières communautés chrétiennes à la découverte de
Dieu, Paris, édit. du Cerf, 1972.
BOUYER L., Le Père invisible. Approche du mystère de la divinité, Paris, édit. le Cerf,
1976.
Bibliographie
Plan détaillé ci-dessous
Plan détaillé
Mots clés : théologie, foi, apôtres, Ecritures, Dieu, Jésus-Christ, Esprit, Esprit-Saint,
Trinité, vie spirituelle, expérience mystique, Filioque, oecuménisme, personne, Hegel,
Luther, Kasper, Moltmann, liturgie, baptême, eucharistie, Création,
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Brevet "La vie chrétienne dans le mystère de Dieu"
Certificat d’études théologiques n° 2 - Trinité et vie chrétienne
Licence en Théologie première année
FiX 1
1ère année du 1er cycle de Droit Canonique
TH027 Ce cours présente les principales données pour faire de la théologie thomiste.
Il s’oriente vers trois notions essentielles : révélation ; tradition ; science théologique.
En même temps, il s’attache à donner quelques aspects de la situation actuelle de la foi
et de la théologie.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Gilbert Narcisse O.P.
PRÉSENTATION :
Ce cours vise à familiariser l’étudiant avec le "monde théologique thomiste"
dans ses méthodes, ses notions et ses contextes.
Attention : prérequis : il serait utile de lire avant ou en même temps une
introduction à la philosophie (histoire et principales notions).
OBJECTIFS :
Présenter les principales données pour faire de la théologie thomiste.
Introduire trois notions essentielles : révélation ; tradition ; science
théologique.
Présenter quelques aspects de la situation actuelle de la foi et de la théologie.
Initier à la méthode, aux principes, aux notions essentielles de la théologie
thomiste.
Montrer comment, pour faire de la christologie, par exemple, il faut savoir
comment utiliser l’Écriture Sainte.
Manifester quelle est l’importance de l’enseignement d’un concile
œcuménique ou de la réflexion d’un théologien ancien ou contemporain,
comment mener une argumentation vraiment théologique.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Acquérir une méthode en théologie ; par exemple, utiliser l’Écriture Sainte, les
références à un Concile ou citer un théologien.
Etre familiarisé avec les notions de la théologie thomiste.
Connaître des exemples de contexte de la théologie thomiste
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s auront le choix d’une question à traiter parmi
une liste proposée.
Un examen en présentiel, à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
L’Ecriture, la Tradition, le Magistère,
Vatican II, Dei Verbum
Vatican II, Gaudium et Spes
Saint Thomas d’Aquin, La Somme de théologie
Hans Urs von Balthasar, La Théologique, III. L’Esprit de vérité, Namur, 1995
-D. GARDEIL, Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, Cerf, 1968
J. CONGAR, art. "Théologie", DTC, 15, col. 341-502, Paris, 1946, col. 385
-D. Chenu, La théologie comme science au XIII°s, Paris, 1943
-M. LABOURDETTE, "La théologie, intelligence de la foi", RT, (1946)
-P. TORRELL, "Thomas d'Aquin", DS, Paris, 1991
NIVEAU DU COURS
Un débutant peut suivre ce cours (1er cycle d’Université, licence de théologie). Des
connaissances philosophiques faciliteront son étude. Dans tous les cas, ce cours
demande un travail personnel et des lectures complémentaires. Une lecture rapide ne
sera pas profitable.
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Licence en Théologie première année
1ère année du 1er cycle de Droit Canonique
DESCRIPTION :
Les origines du christianisme en tant que religion distincte du judaïsme font
actuellement l'objet d'une perception et d'une attention renouvelées.
L'insistance à relever la continuité des mouvements, à raconter l'histoire d'un
« judéo-christianisme », conduit à discuter des termes à employer : « croisée
des chemins », « séparation », « distinction » ou encore « partition » ? Sans
trancher définitivement sur l'emploi d'un de ces vocables, le cours s'applique à
les redéfinir, à la lumière de l'actualité de la recherche, et à présenter les enjeux
politiques et religieux, voire culturels, qui ont accompagné la naissance du
« mouvement de Jésus ».
OBJECTIFS :
Présenter le cadre historique de la naissance du christianisme.
Resituer le mouvement de Jésus dans le judaïsme antique du Ier siècle.
Présenter l'actualité de la recherche : diversité des thèses consacrées au
« Jésus de l'histoire ».
Comprendre les enjeux de la naissance du christianisme dans une
Palestine traversée par des crises politiques et religieuses.
Etudier la constitution des institutions centrales de l'Église et la
construction de l'identité chrétienne.
Montrer comment le christianisme a commencé dès les premiers siècles
à interroger la culture romaine.
Donner accès aux sources historiques.
ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES
COMPETENCES
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir : une question transversale portant sur l'histoire de la Palestine
et des mouvances juives et chrétiennes aux premiers siècles.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
(chaque chapitre du cours présente une bibliographie indicative; en voici
quelques titres)
Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le christianisme. Des origines
à Constantin, Paris, PUF, 2006.
Jacques Cazeaux, Les Actes des apôtres – l'Église entre le martyre
d'Étienne et la mission de Paul, Paris, Cerf, octobre 2008.
Daniel Marguerat (dir.), Le Déchirement. Juifs et chrétiens au premier
siècle, Genève, Labor et Fides, 1996.
Simon Claude Mimouni et Bernard Pouderon (dir.), La croisée des
chemins revisitée. Quand l'Église et la Synagogue se sont-elles
distinguées ?, Actes du colloque de Tours, 18-19 juin 2010, Paris, Cerf,
2012.
C. Mimouni, Claire Clivaz et Bernard Pouderon (dir.), Les judaï smes
dans tous leurs états aux Ier-IIIe siècles. Les Judéens des synagogues,
les chrétiens et les rabbins, Actes du colloque de Lausanne 12-14
décembre 2012, Turnhout, Brepols, 2015.
Daniel Boyarin, Border Lines. The Partition of Judaeo-
Christianity, University of Pennsylvania Press, 2006 (trad. franç aise : La
partition du judaï sme et du christianisme, Paris, Cerf, 2011) ; A Radical
Jew : Paul and the Politics of Identity, University of California Press,
1994.
C. Mimouni, « Les origines de Jésus dans la littérature chrétienne
apocryphe », in P. Geoltrain, Aux origines du christianisme, Gallimard /
Le Monde de la Bible, 2000
Collectif, Les Apocryphes chrétiens des premiers siècles, mémoire et
traditions, Paris, Desclée de Brouwer, 2010.
Christian Grappe, « La séparation entre juifs et chrétiens à la fin du
premier siècle : circonstances historiques et raisons théologiques
», Études théologiques et religieuses, tome 80 (2005/3), p. 327- 345. G.
Dunn, The Parting of the Ways. Between Christianity and Judaism and
Their Significance for the Character of Christianity, London, 1992, réédité
en 2006.
Marcel Simon, Verus Israel, les relations entre Juifs et chrétiens dans
l'Empire romain (35-425), Paris, 1948. Steeve Bélanger, « À la croisée
des chemins : les premiers chrétiens et leur quête identitaire », Cahiers
des études anciennes, XLIV (2007), p. 137-169.
Dan Jaffé, Le judaï sme et l'avènement du christianisme. Orthodoxie et
hétérodoxie dans la littérature talmudique Ier et IIe siècle, Paris, Cerf,
2005.
Olivier Rota (dir.), Histoire et Théologie des relations judéo-chrétiennes,
Paris, Parole et Silence, 2015.
2ÈME PARTIE :
CHAP. III LES DIFFÉRENTES CONJECTURES SUR LE « JÉSUS
HISTORIQUE »
1) Qui est Jésus le Nazaréen ?
2) Trouver le Christ kérygmatique dans les textes
DESCRIPTION :
Les origines du christianisme en tant que religion distincte du judaïsme font
actuellement l'objet d'une perception et d'une attention renouvelées.
L'insistance à relever la continuité des mouvements, à raconter l'histoire d'un
« judéo-christianisme », conduit à discuter des termes à employer : « croisée
des chemins », « séparation », « distinction » ou encore « partition » ? Sans
trancher définitivement sur l'emploi d'un de ces vocables, le cours s'applique à
les redéfinir, à la lumière de l'actualité de la recherche, et à présenter les enjeux
politiques et religieux, voire culturels, qui ont accompagné la naissance du
« mouvement de Jésus ».
OBJECTIFS :
Présenter le cadre historique de la naissance du christianisme.
Resituer le mouvement de Jésus dans le judaïsme antique du Ier siècle.
Présenter l'actualité de la recherche : diversité des thèses consacrées au
« Jésus de l'histoire ».
Comprendre les enjeux de la naissance du christianisme dans une
Palestine traversée par des crises politiques et religieuses.
Etudier la constitution des institutions centrales de l'Église et la
construction de l'identité chrétienne.
Montrer comment le christianisme a commencé dès les premiers siècles
à interroger la culture romaine.
Donner accès aux sources historiques.
ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES
Connaître l'environnement historique et religieux qui a vu naître le
christianisme.
Connaître les principaux acteurs de cette histoire.
Comprendre la complexité des mouvances chrétiennes.
COMPETENCES
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir : une question transversale portant sur l'histoire de la Palestine
et des mouvances juives et chrétiennes aux premiers siècles.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
(chaque chapitre du cours présente une bibliographie indicative ; en voici
quelques titres)
Crédits ECTS: 3
Professeur : Thérèse M Andrevon
DESCRIPTION :
Le Judaïsme (et le peuple juif) présente cette particularité pour le chrétien, d’être à la
fois très proche et pourtant très « autre ». Ainsi une posture d’écoute se révèle être
encore plus nécessaire pour le chrétien qui part à la rencontre du juif.
OBJECTIFS :
Tracer les grandes lignes d’une réalité qui, pour être exactes, ne peuvent
pourtant rendre compte de la complexité et de la variété de cette réalité
décrite.
Montrer comment la permanence d’Israël durant l’histoire, alors que tant de
peuples ont disparu sans laisser de traces, lui confère un caractère unique, où
se joignent des éléments religieux, familiaux, culturels, politiques, etc.
Donne quelques clefs utiles, à garder en tête, pour comprendre la cohérence
interne du Judaïsme et les ressorts qui le font vivre.
Se libérer de quelques clichés communément véhiculés sur le Judaïsme et les
juifs, comme par exemple « le Judaïsme est la religion de l’Ancien Testament ».
Exposer ce qui charpente le Judaïsme, c'est à dire la Torah écrite et orale, ce
qui constitue son cœur, c'est à dire le shabbat,
Présenter les étapes de la vie, les rites et les fêtes.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Avoir connaissance des grandes lignes du contexte complexe du judaïsme et du
peuple juif
Pouvoir exposer les clés essentielles de l’histoire du peuple juif
Pouvoir disserter sur la Torah ainsi que sur les principales fêtes juives
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fera en trois temps, correspondant aux deux parties du cours :
BIBLIOGRAPHIE :
OUAKNIN Marc Alain, Les Dix commandements, Seuil
Haïm Korsia, Être Juif et Français : Jacob Kaplan, le rabbin de la République, Éditions
Privé, 2006
MARITAIN, L’impossible antisémitisme, précédé de « Jacques Maritain et les Juifs »
par VIDAL-NIQUET Pierre, Paris, Desclée de Bouwer, 2003
BOYARIN Daniel, Le Christ juif, Paris, Cerf, 2013
M1 Sciences Religieuses
M1 Théologie
M2 Théologie- Spécialité Religions
Licence en Théologie première année
Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Œcuménisme et Religion)
Master 2 de Sciences religieuses (spécialité spiritualité)
Brevets "Introduction aux religions"
L1 Bachelor en Histoire
Certificat en Science des Religions
Master 1 en Science des Religions
Crédits ECTS: 3
Professeur : Thérèse M Andrevon
DESCRIPTION :
Le Judaïsme (et le peuple juif) présente cette particularité pour le chrétien,
d’être à la fois très proche et pourtant très « autre ». Ainsi une posture d’écoute
se révèle être encore plus nécessaire pour le chrétien qui part à la rencontre du
juif.
OBJECTIFS :
Tracer les grandes lignes d’une réalité qui, pour être exactes, ne peuvent
pourtant rendre compte de la complexité et de la variété de cette réalité
décrite.
Montrer comment la permanence d’Israël durant l’histoire, alors que tant
de peuples ont disparu sans laisser de traces, lui confère un caractère
unique, où se joignent des éléments religieux, familiaux, culturels,
politiques, etc.
Donne quelques clefs utiles, à garder en tête, pour comprendre la
cohérence interne du Judaïsme et les ressorts qui le font vivre.
Se libérer de quelques clichés communément véhiculés sur le Judaïsme
et les juifs, comme par exemple « le Judaïsme est la religion de l’Ancien
Testament ».
Exposer ce qui charpente le Judaïsme, c'est à dire la Torah écrite et
orale, ce qui constitue son cœur, c'est à dire le shabbat,
Présenter les étapes de la vie, les rites et les fêtes.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Avoir connaissance des grandes lignes du contexte complexe du
judaïsme et du peuple juif
Pouvoir exposer les clés essentielles de l’histoire du peuple juif
Pouvoir disserter sur la Torah ainsi que sur les principales fêtes juives
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fera en trois temps, correspondant aux deux parties du
cours :
BIBLIOGRAPHIE :
OUAKNIN Marc Alain, Les Dix commandements, Seuil
Haïm Korsia, Être Juif et Français : Jacob Kaplan, le rabbin de la République,
Éditions Privé, 2006
MARITAIN, L’impossible antisémitisme, précédé de « Jacques Maritain et les
Juifs » par VIDAL-NIQUET Pierre, Paris, Desclée de Bouwer, 2003
BOYARIN Daniel, Le Christ juif, Paris, Cerf, 2013
IN146 Le terme « prophète » est mal compris. La particule « pro » qui entre dans la
composition du mot grec (prophète) transcrit en français n’est pas un « pro » temporel
(dire à l’avance)...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
Fr Hervé Tremblay op
DESCRIPTION :
Le terme « prophète » est mal compris. La particule « pro » qui entre dans la
composition du mot grec (prophète) transcrit en français n’est pas un « pro »
temporel (dire à l’avance). Il peut s’entendre de deux manières. D’abord comme
un « pro » substitutif (dire à la place de) de celui qui parle au nom d’un autre.
Ainsi le prophète serait le porte-parole ou le héraut de quelqu’un. Le terme grec
désigne plutôt un prédicateur qu’un prédicteur. Mais aussi comme un « pro »
local (celui qui est devant), le prophète serait celui qui s’adresse à une assemblée
ou une foule, celui qui proclame, l’annonceur. Ce sens est à privilégier eu égard
à la fonction du prophète dans la Bible.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Durant ce cours, les étudiant.e.s :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fait par la remise d’un devoir écrit.
Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste imposée.
Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
Livre de Samuel Bible
Livres des prophètes Bible
André Néher, L’essence du prophétisme,1955 Persée.
PLAN DU COURS
ÉTAPE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE QUELLE MÉTHODE POUR L’ÉTUDE
DES PROPHÈTES ?
1. Le prophète Amos.
2. Le prophète Osée.
3. Le prophète Michée.
1. La question psychologique.
2. La conscience prophétique.
3. Le genre littéraire.
1. Dieu.
2. L’alliance.
3. La morale prophétique.
4. L’eschatologie.
1. Le prophète Sophonie.
2. Nahum..
3. Habaquq.
ÉTAPE 8.JÉRÉMIE
1. Le livre de Jérémie.
2. Vie et activité de Jérémie.
3. Un nouvel Israël
1. Un livre original
2. Le Règne de Dieu.
3. Le serviteur
1. L’apocalypse.
2. Joël, Abdias et Zacharie.
3. Le livre de Daniel
IN150 Les évangiles sont des documents tout autres que des lettres. Leur origine est
sans aucun doute la prédication apostolique qui s’est appuyé sur les enseignements et
les actes de Jésus avant Pâque...
Crédits ECTS: 6
Professeur : Dominique Charles O.P.
DESCRIPTION :
Les évangiles sont des documents tout autres que des lettres. Leur origine est sans
aucun doute la prédication apostolique qui s’est appuyé sur les enseignements et les
actes de Jésus avant Pâque. Les trois premiers évangiles du Nouveau Testament sont
qualifiés habituellement de « synoptiques » car ils ont beaucoup de ressemblances dans
leur organisation qui est très différente de celle du quatrième évangile. La comparaison
des évangiles dits « synoptiques » conduit à penser qu’ils ont existé sous des formes
diverses avant d’acquérir l’état définitif tel qu’il nous a été transmis. …
OBJECTIFS :
Présenter l’origine des évangiles synoptique, en rapport avec la prédication
apostolique s’appuyant sur les enseignements et les actes de Jésus avant
Pâque.
Montrer pourquoi les trois premiers évangiles du Nouveau Testament sont
qualifiés habituellement de « synoptiques», leurs ressemblances dans leur
organisation qui est très différente de celle du quatrième évangile.
Comparer entre eux les évangiles dits « synoptiques » et montrer comment ils
ont existé sous des formes diverses avant d’acquérir l’état définitif tel qu’il
nous a été transmis.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Savoir différencier les évangiles
Pouvoir identifier les caractéristiques de chacun des évangiles synoptiques
Etre capable de mettre en évidence les péricopes communes
Comprendre la logique propre, la théologie particulière à chaque évangile
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse du cours
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Amsleu F., L’Évangile inconnu. La Source des paroles de Jésus (Q), Genève,
Labor et Fides, « Essais Bibliquesé n°30, 2001.
Baudoz J.F., « Lire les évangiles en synopse. Cinq exercices de lecture », Cahier
Évangile, 103, Cerf, 1998.
Benoît P., Boismard M-É., Synopse des quatre évangiles en français, tomes I et
II, cerf (1997) 6è ed.
PLAN DU COURS
INTRODUCTION
Le mot « évangile ».
A. Le mot « Synoptique ».
B. Origines des évangiles synoptiques.
BIBLIOGRAPHIE
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la
nourriture qui demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui
« deviendra en lui source d’eau jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons
sont offerts par le bon et l’unique pasteur, Jésus qui déclare ainsi son but :
« Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait surabondante » (10,10b).
OBJECTIFS :
Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de
« l’Évangile selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions
d’auteur et de lecteur.
Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse du cours
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une
liste imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français,
l’Évangile de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.
PLAN DU COURS
1ÈRE PARTIE : LES MÉTHODES
A. DIACHRONIE ET SYNCHRONIE
I. L’origine des termes « diachronie » et « synchronie »
1. La théorie de Ferdinand de Saussure
2. L’application à l’étude biblique
II. La diachronie et la synchronie dans l’étude biblique
1. Deux perspectives différentes
2. Le conflit et la querelle
III. Les propositions
1. La différence et l’indépendance
2. La complémentarité entre les deux approches
3. Les excès dans l’application
4. Les limites de chaque approche
IV. Le « texte final » du Nouveau Testament
V. CONCLUSION
B. L’ÉTUDE HISTORICO-CRITIQUE ET SES LIMITES
I. Les démarches de l’étude historico-critique
1. Une discipline multiple
2. Les champs d’étude
II. Les difficultés
1. La recherche du hors-texte
2. La problématique du sens historique du texte
III. Conclusion
En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons ici certains
thèmes de cet Évangile : le dualisme johannique, la lumière et les ténèbres, Egô Eimi
etc.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Joseph Le Minh Thong O.P
DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la nourriture qui
demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui « deviendra en lui source d’eau
jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons sont offerts par le bon et l’unique pasteur,
Jésus qui déclare ainsi son but : « Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait
surabondante » (10,10b).
OBJECTIFS :
Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de « l’Évangile
selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions d’auteur et de lecteur.
Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse du cours
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français, l’Évangile
de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.
PLAN DU COURS
A. LE DUALISME JOHANNIQUE
I. Le dualisme naturel : le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres
II. Le dualisme spatial : le monde d’en haut et le monde d’en bas
III. Le dualisme de l’appartenance
IV. Le dualisme dans la vie humaine
V. Le dualisme dans la vie des disciples
VI. L’origine du dualisme et son sens théologique
VII. Conclusion
BIBLIOGRAPHIE
Abréviation
Texte de l’Évangile selon Jean et traduction
Commentaire
Autre
AVEC SUIVI ET VALIDATION
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CE COURS FAIT PARTIE DE
DESCRIPTION :
Puisque la lecture de l’Évangile selon Jean fait vivre le lecteur par « la nourriture qui
demeure en vie éternelle » (Jn 6,27) et « l’eau vive » qui « deviendra en lui source d’eau
jaillissant en vie éternelle » (4,14b), ces dons sont offerts par le bon et l’unique pasteur,
Jésus qui déclare ainsi son but : « Moi, je suis venu pour qu’on ait la vie et qu’on l’ait
surabondante » (10,10b).
OBJECTIFS :
Présenter les méthodes de lecture (les approches diachronique et
synchronique).
Fournit une vue générale sur plusieurs sujets : la suscription de « l’Évangile
selon Jean », la formation de cet l’Évangile et les notions d’auteur et de lecteur.
Manifester la structure générale et détaillée de l’Évangile ainsi que ses
caractéristiques littéraires.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Les étudiant.e.s seront capables de présenter les thèmes suivants :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse du cours
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Martin et Kasser, Papyrus Bodmer XIV-XV (P75)
; http://en.wikipedia.org/wiki/Papyrus_75.
Delebecque, Évangile de Jean, 1987.
M.-A. Boismard ; A. Lamouille, Synopse des quatre Évangiles en français, l’Évangile
de Jean, t. III, 1977.
C.S. Keener, The Gospel of John. A Commentary, 2 vol., 2003.
J.R. Michaels, The Gospel of John, 2010.
F.J. MOLONEY, The Gospel of John, 1998.
U.C. Von Wahlde, The Gospel of John and Letters of John, 3 vol., 2010.
C. L’AMOUR ET L’AMITIÉ
I. Terminologie
II. Le sens des verbes « agapaô » (aimer) et « phileô » (aimer d’amitié)
III. L’amour produit la vie
IV. L’amour conduit à la perte
V. Ne pas aimer, ne pas avoir de l’amour
VI. Les amis
VII. Conclusion
E. LE TÉMOIGNAGE ET TÉMOIGNER
I. Terminologie
II. Le témoignage de Jean Baptiste
III. Le témoignage de Jésus et du Père
IV. Le témoignage du disciple que Jésus aimait (19,35 ; 21,24)
V. Conclusion
BIBLIOGRAPHIE
Abréviation des revues, collections, Bible, dictionnaires
Texte de l’Évangile selon Jean et traduction
Commentaire
Autre
Paul s'est converti au Christ non pas à partir de l'incroyance ou de l'immoralité, mais à
partir d'une profonde expérience religieuse à l'intérieur du judaïsme...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Michel Poffet O.P
I. LA CONVERSION
« Je suis celui que tu persécutes »
Qui était Saul ?
Il ne renie pas ses origines
Il est aussi citoyen romain
Tout en venant de Tarse
Juif de la diaspora, il a reçu une excellente formation
A Jérusalem, il ne rencontre pas Jésus
Pharisien
Persécuteur de l’Eglise
Un fanatique violent
Un passionné
Un farouche opposant de l’Evangile
L’initiative du Christ
La vocation d’un prophète
Une révélation personnelle
Une effusion intérieure
Mis à part
V. UN FONDATEUR DE COMMUNAUTÉS
Proche de chacun
La Loi, la Foi
Ni hommes ni femmes
Dans la pratique, Paul collabore avec beaucoup de femmes
Divisions dans l’Eglise
La chair et l’Esprit
La recherche de l’unité
Paul est affectueux
Réciprocité dans l’affection
Les Corinthiens sont « sa fierté », tendresse et proximité
VI LE TEMPS PRESSE
L’horizon…
…de la résurrection de tous…
…pour rencontrer le Christ
Cela se joue ici-bas…
…avec le corps
Responsabilité à l’égard des faibles
…et des esclaves chrétiens
Ne pas confondre l’Esprit et le paranormal
Etat d’urgence
CONCLUSION
Paul, homme de communion
Le regard de Jean Chrysostome
Paul cherche à sauver le monde entier pas seulement, comme Noé, sa famille
Paul, comme un bon général, est partout
Crédits ECTS: 3
Professeur : Matthieu Dubost
OBJECTIFS :
Expliciter le projet métaphysique
Présenter une introduction assez ample visant à poser les problématiques
fondamentales.
Les déployer ensuite avec Parménide, Platon et Aristote en observant comment
le projet ontologique se précise pour aboutir à une théorie de la substance.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A la fin de ce cours, les étudiant.e.s auront :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit (5 pages) en traitant un sujet au choix parmi ceux proposés
Un examen en présentiel, à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Parménide (Le Poème), Platon (le Sophiste et le Parménide), Aristote (La Physique et
la Métaphysique).
INTRODUCTION
COURS 1
1. Vers une définition consensuelle : la métaphysique est d’abord un projet de
questionnement rationnel sur la nature ultime de l’être.
1.1. On ne peut échapper à la métaphysique
1.2. La métaphysique est une science très « grecque »
1.3. La métaphysique est une discipline rationnelle en concurrence et en conflit avec les
prétentions doxiques, mythologiques ou sophistiques
1.4. La métaphysique poursuit le travail des sciences sans se confondre avec elles.
1.4.1. La question du commencement
1.4.2. La question de l’élémentaire
1.4.3. La question du visible
1.4.4. La question de l’unicité de l’univers
1.5. La métaphysique se définit enfin par ses résonances existentielles et esthétiques.
COURS 2
1.6. La métaphysique comme interrogation radicalisée
2. La métaphysique est aussi fondamentalement un « champ de bataille » (Kant)
2.1. La métaphysique constitue-t-elle une discipline ? (I)
2.1.1. Le paradoxe historique de sa définition
2.1.2. le paradoxe logique de son objet
2.1.3. le paradoxe de sa méthode
2.1.4. le paradoxe de sa primauté
2.2. Faut-il renoncer à la métaphysique ? (II)
2.2.1. le paradoxe de l’abstraction
2.2.2. le paradoxe de l’épreuve de la raison
2.2.3. le paradoxe de son échec
3. Méthode de ce cours
COURS 3
I. La naissance d’un projet
1. Le Poème de Parménide comme moment inaugural de la « métaphysique » (ou l’être
défini comme identité immobile à soi).
1.1. De la cosmogonie à la « physique » ou comment penser l’unité logique du monde
avec Héraclite.
1.2. Originalité du moment parménidien
1.2.1. Parménide, « père » de la philosophie et garant de la science
COURS 4
1.3. Constituer la métaphysique ? (« le Parménide de la complexité »)
1.3.1. Un nouveau concept : « l’être en tant qu’être »
1.3.2. Aristote lecteur de Parménide : une multiplicité (causale) mal assumée
1.3.3. Parménide penseur du non-être ?
1.3.4. Une interrogation radicalisée, voire énigmatique.
1. 4. Le rationalisme philosophique, nouvelle méthode pour un nouvel « objet »
1.4.1. La décision du sens
1.4.2. Le raisonnement par l’absurde
1.4.3. Réformer la langue
COURS 5
2. La dialectique d’Aristote comme projet explicité (ou l’être défini comme forme
immobile d’une nature en mouvement).
2.1. « L’être se dit en plusieurs sens. »
2.1.1. L’aporie
2.1.2. La solution de l’analogie ?
2.1.3. Implications méthodologiques : la métaphysique comme dialectique (Aubenque)
2.2. Définir la substance.
2.2.1. La substance comme matière ?
COURS 6
2.2.2. La substance comme forme ?
2.2.3. Substances immatérielles et substances composées (synolons)
2.3. Evaluation de la solution aristotélicienne.
Bilan du premier chapitre et transition
COURS 7
II. La métaphysique subordonnée (ou l’être défini par la différence de l’essence et de
l’existence).
1. Dieu : de l’« Ineffable » (Damascius) à la « question » première
1.1. Vers une nouvelle définition de la métaphysique.
COURS 8
1.2. Les preuves de l’existence de Dieu ou les « voies » vers Dieu
2. Equivocité de l’être
2.1. L’interprétation de la thèse aristotélicienne de l’équivocité de l’être en analogie
mixte
2.2. Essence et existence, ou la redéfinition thomiste de la substance
2.3. Dieu, Être exceptionnel
2.4. L’être est d’abord existence
COURS 9
3. Une métaphysique subordonnée par la raison naturelle elle-même.
3.1. La notion de philosophie chrétienne est ambiguë mais défend la distinction entre
théologie et métaphysique.
3.2. La critique idéaliste des voies vers Dieu et la mise en cause du projet métaphysique.
Bilan du deuxième chapitre et transition
COURS 10
III. Destructions et reconstructions de la métaphysique
1. La critique kantienne du projet métaphysique (ou l’être défini comme noumène
inaccessible à l’esprit humain)
1.1. La critique logico-historique (Kant)
COURS 11
2. Le « dépassement de la métaphysique » ? (ou l’être comme abstraction pure)
2.1. Le Cercle de Vienne et la critique de la science
2. 2. Il faut analyser le discours jusqu’à le réduire aux faits bruts afin de parvenir à des
certitudes (Carnap)
2.3. Le programme de destruction de la métaphysique
2.4. Limites du réductionnisme logique
3. La réaffirmation hegelienne du projet grec de métaphysique par le « dépassement »
de l’entendement (ou l’être défini dialectiquement)
3.1. « Le phénomène, c’est le noumène »
3.2. La logique, science du concret, ou système véritable de l’être se déployant
(exemple de la Doctrine de l’être).
COURS 12
Bilan du troisième chapitre
Conclusions
M1 Philosophie
Licence en Théologie deuxième année
Dans cette seconde partie, nous reprendrons nos deux questions principales : la
métaphysique constitue-t-elle une discipline ? Doit-on s’en passer ? Mais nous nous
attacherons à explorer la suite et la reprise des motifs issus de la naissance de la
métaphysique. En nous concentrant sur la question de l’existence et de la nature de Dieu
au Moyen-Âge, puis sur le « champ de bataille » qui va de Kant à Carnap, nous voulons
montrer la persistance d’une interrogation et l’enrichissement progressif de celle-ci.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Matthieu Dubost
La deuxième partie du cours "Initiation à la métaphysique" commence avec l'étape 7
(cours 7). Elle est en pleine continuité avec la première partie.
OBJECTIFS :
Présenter quelques aspects de la métaphysique médiévale, de Damascius à St
Thomas d’Aquin, en passant par Denys l’Aréopagiste et St Anselme.
Montrer comment la spécificité de la substance divine se précise au point de
séparer l’essence de son existence.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter la relation entre métaphysique et foi à travers les trois
grands moments du Moyen-Âge
Pouvoir expliquer la distinction entre essence et existence
Avoir acquis de l’expérience et de la confiance dans la lecture, la
compréhension et l’analyse de textes. Les étudiant.e.s pourront s’en servir dans
le cadre d’autres cours ou projets.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit (5 p) en traitant un sujet au choix parmi ceux proposés, un
examen en présentiel à la fin du semestre.
Un examen en présentiel à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
Denys l’Aréopagite (Théologie symbolique, Théologie mystique, Les noms divins), Saint
Anselme (Monologion, Proslogion), Saint Thomas d’Aquin (De l’être de l’essence, La
somme théologique, La somme théologique, Summa contra Gentiles).
2ÈME PARTIE :
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 7
II. La métaphysique subordonnée (ou l’être défini par la différence de l’essence et de
l’existence).
1. Dieu : de l’« Ineffable » (Damascius) à la « question » première
1.1. Vers une nouvelle définition de la métaphysique.
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 8
1.2. Les preuves de l’existence de Dieu ou les « voies » vers Dieu
2. Equivocité de l’être
2.1. L’interprétation de la thèse aristotélicienne de l’équivocité de l’être en analogie
mixte
2.2. Essence et existence, ou la redéfinition thomiste de la substance
2.3. Dieu, Être exceptionnel
2.4. L’être est d’abord existence
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 9
3. Une métaphysique subordonnée par la raison naturelle elle-même.
3.1. La notion de philosophie chrétienne est ambiguë mais défend la distinction entre
théologie et métaphysique.
3.2. La critique idéaliste des voies vers Dieu et la mise en cause du projet métaphysique
Bilan du deuxième chapitre et transition
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 10
III. Destructions et reconstructions de la métaphysique
1. La critique kantienne du projet métaphysique (ou l’être défini comme noumène
inaccessible à l’esprit humain)
1.1. La critique logico-historique (Kant)
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 11
2. Le « dépassement de la métaphysique » ? (ou l’être comme abstraction pure)
2.1. Le Cercle de Vienne et la critique de la science
2. 2. Il faut analyser le discours jusqu’à le réduire aux faits bruts afin de parvenir à des
certitudes (Carnap)
2.3. Le programme de destruction de la métaphysique
2.4. Limites du réductionnisme logique
3. La réaffirmation hegelienne du projet grec de métaphysique par le « dépassement »
de l’entendement (ou l’être défini dialectiquement)
3.1. « Le phénomène, c’est le noumène »
3.2. La logique, science du concret, ou système véritable de l’être se déployant
(exemple de la Doctrine de l’être).
INITIATION À LA MÉTAPHYSIQUE COURS 12
Bilan du troisième chapitre
Conclusions
TH028 Ce cours s'articule en deux parties : l’une centrée sur l’acte créateur, l’autre
sur l’acte rédempteur. Il question de manière plus précise de l’humanité.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Michel Maldamé O.P
DESCRIPTION :
Dans la prière eucharistique la plus ancienne, il est écrit « Père, il est juste et bon de te
rendre grâce par ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ : car il est ta parole vivante, par qui tu
as créé toutes choses. C’est lui que tu nous as envoyé comme Rédempteur et sauveur ».
Cette phrase de la préface - en application de l’adage lex orandi lex credendi - donne
l’articulation du cours.
OBJECTIFS :
Présenter l’humanité dans l’intention de l’acte créateur.
Présenter l’humanité dans l’intention de l’acte rédempteur.
Développer l’anthropologie biblique Il question de manière plus précise de
l’humanité. La théologie s’enracine dans les Écritures, reçues, lues et comprises
comme une révélation de Dieu. Aussi notre théologie sera enracinée sur les
Écritures. L’anthropologie chrétienne est donnée par la Bible - c’est donc sur
elle que reposera le cours.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
A travers ce cours, les étudiant.e.s :
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fait en deux temps, par un quizz de synthèse du cours
d’abord et, ensuite, par la remise d’un devoir écrit avec un sujet à traiter au
choix parmi une liste imposée.
Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
S. AUGUSTIN, La Genèse au sens littéral, trad. fr., P. AGAËSSE et A.SOLIGNAC,
«Bibliothèque augustinienne 48 et 49 », Paris, Desclée de Brouwer, 1972 ;
La Trinité, trad. fr. M. MELLE et Th. CAMELOT, « Bibliothèque augustinienne 15 et
16 », Paris, Desclée de Brouwer, 1965.
CLÉMENT d'ALEXANDRIE, Le Protreptique, trad. fr. Claude MONDÉSERT, «
Sources chrétiennes 2 » ;
Le Pédagogue, trad. fr Chantal MATRAY, « Sources chrétiennes 158 » ;
Les Stromates, trad. fr. Claude MONDÉSERT, « Sources chrétiennes 30 et 38 », Paris,
édit. du Cerf.
GRÉGOIRE DE NYSSE, La Création de l'homme, trad. fr. Jean LAPLACE et Jean
DANIÉLOU, « Sources Chrétiennes 6 », Paris, édit. du Cerf, 1963.
GUILLAUME de SAINT THIERRY, Lettre au frères du Mont-Dieu (Lettre d'or), trad.
fr.
S. IRÉNÉE DE LYON, Contre les hérésies, Dénonciation et réfutation de la gnose au
nom menteur, trad. fr. Adelin ROUSSEAU, 1 vol., Paris, édit. du Cerf, 1984.
ORIGÈNE, Traité des Principes (Peri Archon), trad. fr. Marguerite HARL, « Études
augustiniennes », Paris, 1976 ;
Homélies sur la Genèse, trad. fr. Louis DOUTREALEAU et Henri de LUBAC, «
Sources chrétiennes 7bis », Paris, édit. du Cerf, 1976.
PHILON d'ALEXANDRIE, OEuvres, trad. fr., t. I, De Opificio mundi, trad. fr. R.
ARNALDEZ, Paris, éditions du Cerf, 1949.
TERTULLIEN, Contre Marcion, trad. fr. René BRAUN, « Sources chrétiennes 399 »,
Paris, édit. du Cerf, 1994 ; La chair de Jésus-Christ, trad. fr. Jean-Pierre MAHÉ ? «
Sources chrétiennes 216 et 217 », Paris, édit. Cerf, 1975.
S. THOMAS d'AQUIN, Somme théologique. Les origines de l'homme, Ia q. 90-102,
trad. et notes par Henri-D. Gardeil, « Revue des jeunes », Paris, édit. du Cerf, 1963.
DÉCHANET Jean, « Sources chrétiennes 223 », Paris, édit. du Cerf, 1985.
LARCHET, Jean-Claude, Théologie du corps, Paris, Cerf, 2009 Coll. Théologies
NEUSCH Marcel, Les rivages de l’homme, Paris, Bayard-Centurion, 1995
PLAN DU COURS
INTRODUCTION : AU PRINCIPE DE L’ANTHROPOLOGIE CHRÉTIENNE :
QUESTIONS DE MÉTHODE
PRÉSENTATION
Dix étapes pour une initiation à la Christologie
L’emploi du terme « christologie » est récent. Il désigne l’étude croyante de la
confession de foi chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ». Si
personne aujourd’hui ne remet en cause le fait que Jésus soit un personnage historique,
la difficulté est toujours celle de la confession de sa divinité. C’est donc sur ce point que
porte l’essentiel des débats aujourd’hui.
La démarche suivie dans ce cours n’est pas apologétique. Elle se veut plus sereine et
plus objective. Elle prend du recul pour inviter à une réflexion personnelle après avoir
retracé le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi et du renouvellement
des problématiques avec l’âge moderne.
La première étape consistera à présenter les titres employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté
chrétienne du premier siècle de notre ère.
Ensuite viennent plusieurs étapes selon une thématique : vérité de l’humanité de Jésus,
vérité de sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus... Les débats paraissent en effet étranges ou arbitraires si on se
contente de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le politique aussi bien
que le culturel et le philosophique. En les replaçant dans une thématique, ils
apparaîtront dans leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire
intelligemment.
OBJECTIFS :
Prendre du recul, sans aucun but apologétique, pour inviter à une réflexion
personnelle.
Retracer le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi.
Présenter le renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.
Présenter les titres employés dans cette confession de foi unifiée qu’est
l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté chrétienne
du premier siècle de notre ère.
Présenter les thématiques suivantes : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus...
Ne pas se contenter de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le
politique aussi bien que le culturel et le philosophique, afin que les débats ne
paraissent étranges ou arbitraires.
Replacer les débats dans une thématique de fond afin qu’ils apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
Se confronter aux questions modernes (cours de Christologie n°2).
Ouvrir ainsi à des perspectives diverses en les laissant ouvertes, loin de tout
souci de synthèse dogmatique ou de simplification catéchétique – les
catéchismes sont rédigés dans cet esprit.
Suivre vraiment une démarche théologique qui procède par la mise en question
et sait prendre le temps pour une réflexion ouverte sur les grandes
interrogations de la condition humaine.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir exposer les titres christologiques employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la
communauté chrétienne du premier siècle de notre ère.
Pouvoir suivre plusieurs thématiques : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus, etc.
Ne pas se contenter dans ses exposer de l’histoire évènementielle où
interfèrent le religieux et le politique aussi bien que le culturel et le
philosophique, mais présenter une thématique où les débats apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
Pouvoir exposer les questions modernes de la christologie en les laissant
ouvertes, sans souci d’apologétique, de synthèse dogmatique et moins encore
de simplification catéchétique.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Deux quizz de synthèse du cours.
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée, soit une dissertation, soit un extrait de texte à commenter.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
BOULARAND Ephrem, L’Hérésie d’Arius et la foi de Nicée, Paris, Letouzey et
Ané, 1972.
MOINGT Joseph, L’Homme qui venait de Dieu, « Cogitatio Fidei 176 », Paris,
édit.du Cerf, 1993.
MOINGT Joseph, Dieu qui vient à l’homme : t. I : Du deuil au dévoilement de
Dieu, «Cogitatio Fidei 222», Paris édit. du Cerf, 2002, t. II: De l’apparition à la
naissance de Dieu, 2 vol. « Cogitatio Fidei 245 et 257 », Paris, édit. du Cerf,
2005 et 2007.
SESBOÜE Bernard, Jésus-Christ dans la tradition de l’Eglise. Pour une
actualisation de la christologie de Chalcédoine, Paris, Desclée, 2000.
SESBOÜE Bernard et Joseph WOLINSKI, Le Dieu du salut, Paris, Desclée, 1994.
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Licence en Théologie deuxième année
FiX 2
PRÉSENTATION
L’emploi du terme « christologie » est récent. Il désigne l’étude croyante de la
confession de foi chrétienne qui dit de Jésus qu’il est « vrai Dieu et vrai homme ». Si
personne aujourd’hui ne remet en cause le fait que Jésus soit un personnage historique,
la difficulté est toujours celle de la confession de sa divinité. C’est donc sur ce point que
porte l’essentiel des débats aujourd’hui.
OBJECTIFS :
Prendre du recul, sans aucun but apologétique, pour inviter à une réflexion
personnelle.
Retracer le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi.
Présenter le renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.
Présenter les titres employés dans cette confession de foi unifiée qu’est
l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la communauté chrétienne
du premier siècle de notre ère.
Présenter les thématiques suivantes : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus...
Ne pas se contenter de l’histoire évènementielle où interfèrent le religieux et le
politique aussi bien que le culturel et le philosophique, afin que les débats ne
paraissent étranges ou arbitraires.
Replacer les débats dans une thématique de fond afin qu’ils apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
Se confronter aux questions modernes (cours de Christologie n°2).
Ouvrir ainsi à des perspectives diverses en les laissant ouvertes, loin de tout
souci de synthèse dogmatique ou de simplification catéchétique – les
catéchismes sont rédigés dans cet esprit.
Suivre vraiment une démarche théologique qui procède par la mise en question
et sait prendre le temps pour une réflexion ouverte sur les grandes
interrogations de la condition humaine.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir exposer les titres christologiques employés dans cette confession de foi
unifiée qu’est l’écriture et la réception du Nouveau Testament par la
communauté chrétienne du premier siècle de notre ère.
Pouvoir suivre plusieurs thématiques : vérité de l’humanité de Jésus, vérité de
sa divinité, vérité de l’économie de l’incarnation, vérité de l’unité de la
personne de Jésus, etc.
Ne pas se contenter dans ses exposer de l’histoire évènementielle où
interfèrent le religieux et le politique aussi bien que le culturel et le
philosophique, mais présenter une thématique où les débats apparaîtront dans
leur actualité comme le fondement de nos difficultés de croire intelligemment.
Pouvoir exposer les questions modernes de la christologie en les laissant
ouvertes, sans souci d’apologétique, de synthèse dogmatique et moins encore
de simplification catéchétique.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Deux quizz de synthèse du cours.
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée, soit une dissertation, soit un extrait de texte à commenter.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
BOULARAND Ephrem, L’Hérésie d’Arius et la foi de Nicée, Paris, Letouzey et
Ané, 1972.
MOINGT Joseph, L’Homme qui venait de Dieu, « Cogitatio Fidei 176 », Paris,
édit.du Cerf, 1993.
MOINGT Joseph, Dieu qui vient à l’homme : t. I : Du deuil au dévoilement de
Dieu, «Cogitatio Fidei 222», Paris édit. du Cerf, 2002, t. II: De l’apparition à la
naissance de Dieu, 2 vol. « Cogitatio Fidei 245 et 257 », Paris, édit. du Cerf,
2005 et 2007.
SESBOÜE Bernard, Jésus-Christ dans la tradition de l’Eglise. Pour une
actualisation de la christologie de Chalcédoine, Paris, Desclée, 2000.
SESBOÜE Bernard et Joseph WOLINSKI, Le Dieu du salut, Paris, Desclée, 1994.
La démarche suivie dans les chapitres de cette étude n’est pas apologétique. Elle se
veut plus sereine et plus objective. Elle invite à une réflexion personnelle après avoir
retracé le subtil chemin de l’élaboration de la confession de foi et fait le point sur le
renouvellement des problématiques avec l’âge moderne.
A. La perspective classique
B. Perspective sotériologique
C. Perspective historique
D. La perspective narrative
Conclusion de la septième étape
A. La rencontre de l’incroyance
B. Vie spirituelle et psychanalyse
C. Le Christ et le politique
Conclusion de la huitième étape
A. Le Christ en philosophie
B. Le Christ de Charles Péguy
Conclusion de la dixième étape
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Licence en Théologie deuxième année
FiX 2
IN027 Après les apôtres, les Pères de l'Eglise sont notre mémoire. A ce titre, ces cours
d’initiation patristique, dont celui-ci est le premier, s’adressent à tous ceux qui veulent
se former au contact de la grande Tradition de l’Eglise et recevoir d’elle, lumière
doctrinale et élan spirituel.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.
PRÉSENTATION
OBJECTIFS :
Former au contact de la grande Tradition de l’Église, par une .
Communiquer, par la lecture des pères de l’Eglise, lumière doctrinale et élan
spirituel.
Redécouvrir les balbutiements de la foi et les intuitions lumineuses qui ont
éclairé ces Pères.
S’abreuver à la source des Pères de l’Eglise dont le concile Vatican II a demandé
de rapprocher.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Savoir ce que signifie un « père de l’Eglise »
Acquérir une bonne introduction à la doctrine des Pères de l’Église.
Étudier une partie de l’histoire de cette doctrine depuis la toute première
littérature chrétienne jusqu’à saint Justin.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel, à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Sur Internet, vous trouverez beaucoup de textes des Pères de l'Eglise, des liens vers
d'autres sites, des bibliographies.
Un livre indispensable : Livre des Jours, Le Cerf - Desclée de Brouwer – Desclée-Mame,
1976.
Conseillé : A.-G. Hamman, Dictionnaire des Pères de l'Église, DDB, Paris, 1985.
(Ce livre donne un aperçu général simple qui permet de se mettre dans le bain !)
Compléments qui peuvent être utiles : Polycopiés du cours Nos racines : Association
Jean-Paul Migne, 17, Rue d'Alembert, 75014 Paris : Introduction à l'étude des pères de
l'Église. (Donne une longue bibliographie fouillée).
Les Pères de l'Église du Ier au IIIe siècle
Les Pères de l'âge d'or des IVe et Ve siècle
Pour chaque auteur une bibliographie sera donnée, ainsi que pour chaque devoir.
Ont été utilisées pour la rédaction de ce cours : Les Revues « Connaissance des Pères de
l'Eglise », n : 2, 3, 8, 9, 13, 14,
Lectures
Il est bon de lire une oeuvre de chaque auteur étudié.
http ://www.jesusmarie.com/irenee_de_lyon.html
pour Tertullien.
Pour Origène : « Origène, la prière », DDB, Coll. « Les Pères dans la foi » 1977.
Hippolyte : Tradition apostolique, SC 11.
Athanase : Sur l'Incarnation du Verbe, dans SC 11 ou 199,
Hilaire : Traité du Saint Esprit, SC 17 bis.
IN058 Saint Augustin est le plus grand des Pères latins et un des plus grands génies de
l'humanité. Il avait de l'ordre et de bons secrétaires, ses archives étaient bien tenues.
Auteur le mieux conservé et le plus divulgué, son influence sur la postérité est profonde
et continue.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Anselme Baudelet O.S.B.
Auteurs : frère Lin Donnat* osb, père A. Solignac sj, frère M.-F. Berrouard op, soeur
Edith Neyrand osb, et la Revue "Connaissance des Pères de l’Eglise" Soeur Marie-
Ancilla op
Adaptation : Françoise Dubost
PRÉSENTATION
Saint Augustin a été présenté brièvement dans le cours sur les Pères de l’Eglise au Vè
siècle. Ce cours qui lui est entièrement dédié va nous permettre de l’étudier plus en
profondeur. L’Etape 1, retrace volontairement l’ambiance de l’époque et le contexte dans
lequel Augustin sera appelé à grandir. Pendant les 9 premières étapes, Sr Marie Ancilla
et la revue "Connaissance des Pères de l’Eglise" nous brossent un portrait d’Augustin, de
sa vie, de sa conversion, et ses œuvres. Dans l’étape 10 le fr. Berrouard nous emmène
avec Augustin pour prier les psaumes.
Ce cours, le n° 4 de la série "Les Pères de l’Eglise", nous permet de poursuivre
l’approfondissement de l’étude de cette période de la vie de l’Eglise. Nous y redécouvrons
avec joie ces Pères, et tout particulièrement ici saint Augustin qui a marqué profondément
l’enseignement spirituel et le visage de l’Eglise.
OBJECTIFS :
Former au contact de la grande Tradition de l’Église, par une .
Communiquer, par la lecture des pères de l’Eglise, lumière doctrinale et élan
spirituel.
Redécouvrir les balbutiements de la foi et les intuitions lumineuses qui ont
éclairé ces Pères.
S’abreuver à la source des Pères de l’Eglise dont le concile Vatican II a demandé
de rapprocher.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Savoir ce que signifie un « père de l’Eglise »
Acquérir une bonne introduction à la doctrine des Pères de l’Église.
Étudier une partie de l’histoire de cette doctrine depuis la toute première
littérature chrétienne jusqu’à saint Justin.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel, à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Sur Internet, vous trouverez beaucoup de textes des Pères de l'Eglise, des liens vers
d'autres sites, des bibliographies.
Un livre indispensable : Livre des Jours, Le Cerf - Desclée de Brouwer – Desclée-
Mame, 1976.
Conseillé : A.-G. Hamman, Dictionnaire des Pères de l'Église, DDB, Paris, 1985.
(Ce livre donne un aperçu général simple qui permet de se mettre dans le bain !)
Compléments qui peuvent être utiles : Polycopiés du cours Nos racines : Association
Jean-Paul Migne, 17, Rue d'Alembert, 75014 Paris : Introduction à l'étude des pères de
l'Église. (Donne une longue bibliographie fouillée).
Les Pères de l'Église du Ier au IIIe siècle
Les Pères de l'âge d'or des IVe et Ve siècle
Pour chaque auteur une bibliographie sera donnée, ainsi que pour chaque devoir.
Ont été utilisées pour la rédaction de ce cours : Les Revues « Connaissance des Pères de
l'Eglise », n : 2, 3, 8, 9, 13, 14,
Lectures
Il est bon de lire une oeuvre de chaque auteur étudié.
http ://www.jesusmarie.com/irenee_de_lyon.html
pour Tertullien.
Pour Origène : « Origène, la prière », DDB, Coll. « Les Pères dans la foi » 1977.
Hippolyte : Tradition apostolique, SC 11.
Athanase : Sur l'Incarnation du Verbe, dans SC 11 ou 199,
Hilaire : Traité du Saint Esprit, SC 17 bis.
-* Nous vous proposons 10 étapes, à étudier par exemple en 10 soirées, à votre propre
rythme
________________________________________
LES ÉTAPES :
IN145 Parfois, les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se réduit à
des arguments du type « pour » ou « contre ». S’autoriser à simplifier les questions
éthiques de manière si catégorique est d’une certaine manière faire fi de la complexité
des situations et de la réalité des personnes qui les vivent...
Crédits ECTS: 3
Professeur : Philippe Cochinaux O.P.
DESCRIPTION :
De tout temps – depuis l’instant de son apparition sur la terre – l’être humain a cherché
à utiliser son intelligence en vue d’améliorer sa condition ainsi que le milieu dans lequel
il vit. Ces dernières décennies, ce processus s’est sérieusement accéléré. Grâce aux
récentes découvertes scientifiques, aux évolutions des mentalités, aux transformations
technologiques, de nouvelles possibilités s’offrent à tout individu. Celui-ci se trouve
confronté à de nouveaux enjeux éthiques vraisemblablement plus complexes
qu’auparavant. En conséquence, face à certaines questions, les débats sont non
seulement passionnants mais passionnés. Parfois d’ailleurs, les émotions prenant le
dessus sur la raison, la discussion se réduit à des arguments du type « pour » ou
« contre ». S’autoriser à simplifier ainsi les questions éthiques de manière si catégorique
est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la réalité des
personnes qui les vivent...
OBJECTIFS :
Montrer comment, grâce aux récentes découvertes scientifiques, aux
évolutions des mentalités, aux transformations technologiques, de nouvelles
possibilités s’offrent à tout individu. Celui-ci se trouve confronté à de nouveaux
enjeux éthiques vraisemblablement plus complexes qu’auparavant.
Introduire à certains débats, non seulement passionnants mais aussi
passionnés qui surgissent face à certaines questions.
Montrer comment les émotions prenant le dessus sur la raison, la discussion se
réduit souvent à des arguments du type « pour » ou « contre ». et pourquoi
s’autoriser à simplifier ainsi les questions éthiques de manière si catégorique
est d’une certaine manière faire fi de la complexité des situations et de la
réalité des personnes qui les vivent...
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter les huit étapes qui correspondent à des questions
fondamentales en éthique
Avoir réfléchi à des questions à travers une vision éthique et savoir argumenter
du point de vue éthique.
Avoir acquit les connaissances nécessaires pour poursuivre des cours d’éthique
spécialisés.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
L’évaluation du cours se fait en trois temps, tout d’abord par un quizz de
synthèse du cours, ensuite, par la remise d’un devoir écrit
Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste imposée, soit une
dissertation, soit un extrait de texte à commenter
Un examen en présentiel, à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Gesché, La destinée, Coll. Dieu pour penser, V, Paris, Cerf, 1995.
Girard, Celui par qui le scandale arrive, Desclée De Brouwer, Paris, 2001.
Thevenot, Morale fondamentale, Éditions Don Bosco, Paris, 2007.
Thevenot, Éthique pour un monde nouveau, Salvator, Paris, 2005.
PLAN DU COURS
Introduction
Etape 1. Le choix du plus d’amour
Morale ou éthique
L’amour
L’éthique de l’être
Texte
La capacité réflexive
Un sujet incarné
La relation
L’historicité
L’unicité
L’humour
L’amour
L’image divine
Texte
Etape 3. La liberté
La capacité de choisir
L’exercice d’une liberté limitée
Le paradoxe de la liberté
La finalité de la liberté
Les entraves
La liberté des enfants de Dieu
Texte
Etape 4. La conscience
La complexité du concept
Vers une socialisation éclatée
Le sur-moi
Les trois dimensions de la conscience
La formation de la conscience
La foi
Texte
Etape 6. La violence
La mimesis d’appropriation
Le bouc émissaire
Le groupe humain
La société
L’individu
Texte
Etape 7. Le pardon
Un acte de souvenir
Un acte humain nécessaire
Un acte de foi
Le pardon altruiste
Le pardon personnel
L’apogée du pardon
Texte
La dimension universelle
La dimension particulière
La dimension singulière
Conclusion
Texte
Bibliographie
AVEC SUIVI ET VALIDATION
Frais d'inscription :
150,00 €
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L2 Philosophie
M1 Philosophie
M2 Philosophie - Spécialité Ethique et Politique
M1 Théologie
M2 Théologie -Spécialité Ethique
Brevet "Théologie morale"
Certificat d’études théologiques n° 2 - Trinité et vie chrétienne
Licence en Théologie deuxième année
Master complémentaire en Ethique
FiX 2
Master 2 en Ethique Economique
INTRODUCTION À LA LITURGIE, 2 :
PHÉNOMÉNOLOGIE ET THÉOLOGIE DE LA LITURGIE
PRÉSENTATION
Avec cette "Introduction à la Liturgie", le Père Baudelet introduit dans un domaine
souvent méconnu. Il permet de comprendre ce qu’est la liturgie chrétienne, ses origines
et son évolution, puis sa théologie, c’est-à-dire, ce qu’elle peut dire de Dieu.
Cette étude se présente en deux cours, tous deux accessibles à un large public
Ce second cours, Phénoménologie et Théologie de la liturgie, aborde la Liturgie en
tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action commune du Grand Prêtre Jésus-
Christ et de son Eglise, pour la glorification de Dieu et la sanctification de l’homme".
Il permet de comprendre la réciprocité de la Parole entre Dieu et l’homme. Dieu parle,
l’homme écoute et répond. C’est un cours concret, et très intéressant. Il éclaire ce sujet
qui paraît parfois d’un abord difficile.
OBJECTIFS :
Dans le tome 1
Dans le tome 2
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter l’histoire de la liturgie chrétienne dans ses origines
Savoir expliquer que, dès le début, la liturgie n’a cessé d’évoluer.
Savoir montrer comment la liturgie est un lieu théologique.
Savoir présenter la liturgie en tant qu’acte sacré, symbolique et rituel.
Pouvoir expliquer la réciprocité qui s’établit dans la liturgie entre la Parole
entre Dieu et l’homme.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse pour chacun des tomes.
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
1. H. Dalmais, Initiation à la liturgie, Paris, 1958, DDB.
SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :
Conclusion
PLAN DÉTAILLÉ
1ere Etape : La liturgie, action sacrée
1. Le sacré pré-chrétien et son expérience humaine selon Mircea Eliade
2. Sacré et liturgie
2è étape : La liturgie, action symbolique
1. Du signe au symbole
2. Symbole, Parole et Sacrement
3è étape : La Ritualité
1. Mythe et Rite
2. Ce qu’est le rite
3. Le rite et la fête
4. Le rite liturgique, un rite vivant
5. Rite, Symbole et Sacrement
4è étape : L’Assemblée
1. L’enracinement biblique de l’Assemblée liturgique
2. Le mystère de l’Assemblée
3. Assemblée et Communauté
4. L ’Assemblée et ses services
5è étape : Temps et Lieux
1. La liturgie et le temps
2. La liturgie et ses lieux
6è étape : Objets et gestes
1. Éléments et objets
2. Linges, Vêtements, Couleurs
3. La liturgie et ses gestes
7è étape : Parole de Dieu
1. Structure dialogale de la célébration liturgique
2. L’assemblée écoute la Parole de Dieu
8è étape : Parole de l’homme
1. L’assemblée répond à la Parole de Dieu
9è étape : Théologie de la Liturgie
1. La célébration liturgique, oeuvre du Christ prêtre...
2 . ... et de son Corps qui est l’Église
10è étape : Les lois de la Liturgie
1. Brève histoire du droit liturgique
2. Lois de la célébration liturgique
Conclusion
1. La liturgie est l’action commune du grand prêtre Jésus-Christ et de son Eglise.
2. La liturgie chrétienne s’enracine dans la liturgie juive et s’abreuve à la Parole de
Dieu
contenue dans la Bible.
3. Etapes historiques
4. La liturgie est une action sacrée :
5. La liturgie est une action symbolique.
6. La liturgie est une action rituelle.
7. Le premier « symbole » de la liturgie est l’assemblée liturgique elle-même,
8. Le temps humain est sanctifié et sanctifiant depuis l’incarnation du Verbe et son
Mystère
Pascal.
9. Le lieu liturgique ordinaire est l’église.
10. La structure de la liturgie biblique se retrouve dans la liturgie chrétienne :
11. Dans la célébration l’assemblée est invitée à la prière
12. La liturgie est l’exercice de la fonction sacerdotale du Christ.
13. L’Église étant le « lieu » où s’actualise la fonction sacerdotale du Christ,
14. C’est donc dans la célébration elle-même que la liturgie de l’Église s’actualise
Ont collaboré
Auteurs : fr. Anselme BAUDELET, moine bénédictin
du Mòn Sen-Benwa, Haïti ;
Adaptation : Françoise DUBOST
M1 Sciences Religieuses
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Brevet " Le catéchisme"
Licence en Théologie troisième année
Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Histoire du Christianisme)
M1 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
Master complémentaire en Liturgie
M2 Histoire de l'art
M1 Histoire de l'Art
INTRODUCTION À LA LITURGIE, 1 : HISTOIRE DE LA
LITURGIE
PRÉSENTATION
Avec cette "Introduction à la Liturgie", le Père Baudelet introduit dans un domaine
souvent méconnu.
OBJECTIFS :
Dans le tome 1
Dans le tome 2
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse pour chacun des tomes.
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
1. H. Dalmais, Initiation à la liturgie, Paris, 1958, DDB.
SOMMAIRE GÉNÉRAL
10 étapes :
Préliminaires.
PLAN DÉTAILLÉ
Préliminaires.
1. Le nom de « liturgie »
Ont collaboré
Auteurs : fr. Anselme BAUDELET, moine bénédictin du Mòn Sen-Benwa, Haïti ;
Adaptation : Françoise
DUBOST
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
Brevet " Le catéchisme"
Licence en Théologie troisième année
M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
Master complémentaire en Liturgie
M2 Histoire de l'art
M1 Histoire
M2 Histoire
M1 Histoire de l'Art
PRÉSENTATION
L’histoire de l’Église dans la France contemporaine met en évidence la fracture qui a
détruit l’unité profonde de la société chrétienne d’Ancien Régime. La société française
du début du XXIe siècle n’est pas sortie des débats qui ont pris naissance avec cette
déchirure. Le cours comprend six leçons qui balayent un champ chronologique partant du
XVIIIe siècle pour aboutir aux années de la Première guerre mondiale. On étudiera les
mouvements de flux et de reflux du religieux dans la société française en donnant une
large place aux résultats acquis par les historiens des mentalités mais sans sacrifier une
compréhension de l’histoire en sa vérité spirituelle profonde.
OBJECTIFS :
Montrer comment l’histoire de l’Église dans la France contemporaine est celle
d’une fracture qui a détruit l’unité profonde de la société chrétienne d’Ancien
Régime.
Manifester comment la société française du début du XXIe siècle n’est pas
sortie des débats qui ont pris naissance avec cette déchirure.
Balayent un champ chronologique partant du XVIIIe siècle pour aboutir aux
années de la Première guerre mondiale.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter les mouvements de flux et de reflux religieux dans la société
française.
Etre capable de donner une large place aux résultats acquis par les historiens
des mentalités.
Ne pas sacrifier une compréhension de l’histoire en sa vérité spirituelle
profonde, dans l’exposé de l’histoire de l’Eglise contemporaine .
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un quizz de synthèse du cours.
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
André Latreille, L’Église catholique et la révolution française (1775-1799) , « Foi
Vivante 131 », Paris, Ed. du Cerf, 1970
Jean de Viguerie, Christianisme et Révolution. Cinq leçons d’histoire de la Révolution
française, Paris, N.E.L.,
1986
Gérard Cholvy, La religion en France de la fin du XVIIIe siècle à nos jours , Paris,
Hachette, 1998
Michel Vovelle, La Révolution contre l’Église. De la Raison à l’Être suprême, Paris,
Complexe, 1988,
Léon Dériès, Les Congrégations religieuses au temps de Napoléon, Paris, Félix Alcan,
1929,
Jacques-Olivier Boudon, L’Épiscopat français à l’époque concordataire , « Histoire
religieuse de la France 9 », paris, Ed. du Cerf, 1996,
Pierre Pierrard, La Vie quotidienne du prêtre français au XIXe siècle, « Vie quotidienne
», Paris, Hachette, 1986,
M1 Théologie
M2 Théologie -Spécialité Pastorale
M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
Licence en Théologie troisième année
M1 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
M2 Histoire - Spécialité Histoire du christianisme
Master complémentaire en Histoire du Christianisme
L3 Bachelor en Histoire
M1 Histoire
M2 Histoire
OBJECTIFS DU COURS
Présenter en introduction les grandes étapes de l’histoire du droit canonique et
de sa théologie.
Présenter les principales institutions de l’Eglise en procédant la plupart du
temps par un commentaire du Code de Droit canonique de 1983.
Montrer que le droit canonique est un élément historiquement essentiel à la
vie de l’Église.
Présenter son histoire, ses fondements théologiques pour aboutir au nouveau
Code de 1983, en filiation directe du Concile Vatican II.
Suivre le plan général du Code de droit canonique de 1983 en étudiant
l’autorité suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du
Pontife romain - Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les
Eglises particulières (structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses,
curés), pour finir par les Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts
séculiers) et les Sociétés de vie apostolique (normes et différents types).
ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE
VALIDATION
SOMMAIRE
Introduction : Histoire du droit institutionnel
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Licence en Théologie troisième année
Certificat de Droit Canonique
LES SACREMENTS EN GÉNÉRAL.
IN135 Ce cours propose une théorie générale des sacrements puis aborde les deux
premiers sacrements de l'initiation: le baptême et la confirmation.
Crédits ECTS: 6
Professeur : Jean Christophe de Nadaï O.P.
PRÉSENTATION
D’après le « De baptismo » de Tertullien (entre 200 et 206)
Dans ce traité, Tertullien combat les sectes gnostiques qui, dans le dualisme absolu
qu’elles professaient, rejetaient toute médiation d’ordre charnel (toute matière créée
étant mauvaise), dont les rites du baptême, tenant pour une justification par la foi seule.
« Le sacrement de l’Esprit »
OBJECTIFS :
Présenter la catéchèse de Tertullien dans le De baptismo
Introduire à la théologie de saint Augustin sur les sacrements dans
le De baptismo et dans De doctrina christiana.
Introduire à la théologie de la grâce.
Présenter la théologie sacramentelle du Concile Vatican II, présente dans Lumen
Gentium
Introduire à la théologie de la confirmation comme sacrement de l’Esprit
ACQUIS DE L’APPRENTISSAGE :
CONNAISSANCES
Connaître la pensée de Tertullien sur les sacrements, en particulier celui du
baptême
Connaître des œuvres de référence comme le de baptismo de Tertullien et
Augustin, le de doctrina christiana d’Augustin, la Somme de Théologie de Th
d’Aquin, Lumen Gentium, etc.
Avoir compris la nécessité des sacrements, selon Th. d’Aquin.
COMPETENCES
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Auto évaluation : après chaque chapitre des questions sont posées qui appellent l’étudiant
à réfléchir et à créer sa propre synthèse en fonction de ce qu’il a lu.
BIBLIOGRAPHIE :
Tertullien De baptismo
Augustin de baptismo, De doctrina christiana, La cité de Dieu
d’Aquin Somme de théologie
Concile Vatican II Lumen Gentium
Guillet, J., Entre Jésus et l’Eglise, Seuil, Paris, 1985
Perrot, Ch., Jésus et l’histoire, Desclée, Paris, 1979 (ch. III, IV et IX)
CONGAR, Y., « L’idée de sacrements majeurs ou principaux », Concilium 31
(1988), p. 25-34
CONGAR, Y., Un peuple messianique, 1ère partie : « L’Eglise, sacrement du salut
», Cogitatio fidei 85, Cerf, Paris, 1975.
DORE dir Sacrements de Jésus-Christ, coll. « Jésus et Jésus-Christ » n°18, Desclée,
Paris, 1983
CHAUVET, L.-M., Symbole et sacrement. Une relecture sacramentelle de
l’existence chrétienne, Cogitatio fidei n°144, Cerf, 1987 [Ouvrage important,
mais d’accès difficile. Lire la fin de son article cité, dans Catholicisme, plus facile
à lire]
GANOCZY, La doctrine catholique des sacrements, Desclée, Paris, 1988
PLAN DU COURS
ETAPE 1. CHRIST, EGLISE, INDIVIDU ET SACREMENT, I,
D’après le livre IV, ch. XV et XVI du De Baptismo de saint Augustin (400 ou 401)
Le sacrement de l’Esprit
Bibliographie
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
Brevet "Les sacrements"
Licence en Théologie troisième année
DC001-2 Le cours suit le plan général du Code de droit canonique de 1983 : l’autorité
suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du Pontife romain -
Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les Eglises particulières
(structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses, curés), pour finir par les
Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts séculiers) et les Sociétés de vie
apostolique (normes et différents types).
Crédits ECTS: 3
Professeur : Loïc-Marie Le Bot O.P.
OBJECTIFS DU COURS
Présenter en introduction les grandes étapes de l’histoire du droit canonique et
de sa théologie.
Présenter les principales institutions de l’Eglise en procédant la plupart du
temps par un commentaire du Code de Droit canonique de 1983.
Montrer que le droit canonique est un élément historiquement essentiel à la
vie de l’Église.
Présenter son histoire, ses fondements théologiques pour aboutir au nouveau
Code de 1983, en filiation directe du Concile Vatican II.
Suivre le plan général du Code de droit canonique de 1983 en étudiant
l’autorité suprême de l’Eglise (Le Pape, le Collège des Evêques, les aides du
Pontife romain - Synode des Evêques, Cardinaux, la Curie et les Légats) puis les
Eglises particulières (structures, évêques, regroupements, diocèses, paroisses,
curés), pour finir par les Instituts de vie consacrée (Institut religieux et Instituts
séculiers) et les Sociétés de vie apostolique (normes et différents types).
ACQUIS DE L'APPRENTISSAGE
VALIDATION
SOMMAIRE
Les Sources
OBJECTIFS :
Présenter les textes fondamentaux pour l’étude de l’ecclésiologie : la
constitution apostolique Lumen Gentium, le Catéchisme de l’Église Catholique,
des textes de la Commission Internationale de Théologie ou ceux de la
Congrégation de la Doctrine de la Foi.
Aborder quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église
Corps du Christ, Peuple de Dieu, Sacrement,
Présenter les trois « notes » de l’Église : Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Se familiariser davantage à plusieurs textes fondamentaux
Pouvoir présenter les notions de corps du Christ, de Peuple de Dieu, de
sacrement.
Pouvoir expliquer les qualificatifs essentiels de l’Eglise : Une, Sainte, Catholique
et Apostolique.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Diverses questions correspondent aux différents chapitres du cours. Les
réponses doivent être concises et précises.
Un devoir de rédaction sur une question choisie parmi trois proposées.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Const. Lumen gentium
Const. Dei Verbum
Const. Gaudium et spes
Const. Pastor aeternus
Décr. Unitatis redintegratio
Décr. Christus Dominus
COMMISSION BIBLIQUE PONTIFICALE, Unité et diversité dans l'Église, Lib.
Ed. Vaticane 1989
OBJECTIFS :
Présenter les textes fondamentaux pour l’étude de l’ecclésiologie : la
constitution apostolique Lumen Gentium, le Catéchisme de l’Église Catholique,
des textes de la Commission Internationale de Théologie ou ceux de la
Congrégation de la Doctrine de la Foi.
Aborder quelques questions fondamentales en ecclésiologie, telles l’Église
Corps du Christ, Peuple de Dieu, Sacrement,
Présenter les trois « notes » de l’Église : Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Se familiariser davantage à plusieurs textes fondamentaux
Pouvoir présenter les notions de corps du Christ, de Peuple de Dieu, de
sacrement.
Pouvoir expliquer les qualificatifs essentiels de l’Eglise : Une, Sainte, Catholique
et Apostolique.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Diverses questions correspondent aux différents chapitres du cours. Les
réponses doivent être concises et précises.
Un devoir de rédaction sur une question choisie parmi trois proposées.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
Const. Lumen gentium
Const. Dei Verbum
Const. Gaudium et spes
Const. Pastor aeternus
Décr. Unitatis redintegratio
Décr. Christus Dominus
COMMISSION BIBLIQUE PONTIFICALE, Unité et diversité dans l'Église, Lib.
Ed. Vaticane 1989
TABLE DES MATIÈRES DU COURS
D'ECCLÉSIOLOGIE
PREMIÈRE PARTIE DU COURS D'ECCLÉSIOLOGIE
INTRODUCTION
CHAPITRE I: Ekklesia dans le Nouveau Testament
CHAPITRE II : L’Église dans la constitution dogmatique Lumen Gentium
CHAPITRE III : Les quatre notes de l’Église
CHAPITRE IV : L’Église, Corps du Christ
Cette discipline théologique essaie d’intégrer la foi vécue dans le champ de la recherche
d’une meilleure compréhension de Dieu, de son projet de salut pour l’humanité, des
relations qu’il établit avec l’humanité et de ce que cela provoque pour les relations entre
les êtres humains.
Crédits ECTS: 3
Professeur : Arnaud Join-Lambert
OBJECTIFS :
Etudier les pratiques individuelles ou collectives des chrétiens.
Analyser les initiatives prises – ou à prendre – pour proclamer l’Évangile,
célébrer le mystère pascal, édifier la communauté, soutenir les personnes
et/ou agir dans la société.
Analyser théologiquement les pratiques essentielles du christianisme pour
pouvoir les accompagner, les critiquer et les promouvoir.
Montrer comment la foi vécue s’intègre dans le champ de la recherche d’une
meilleure compréhension de Dieu, de son projet de salut pour l’humanité, des
relations qu’il établit avec l’humanité et de ce que cela provoque pour les
relations entre les êtres humains.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Acquérir de solides connaissances en théologie pastorale (pratique)
Pouvoir prendre position et enrichir les débats théologiques en
présentant l’aspect pratique, analytique et critique de la vie des chrétiens.
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Le premier devoir est à remettre sous forme écrite et correspond à répondre à
une question de cours.
Le second devoir est à remettre sous forme écrite et correspond en
l’établissement d’une typologie de propos donnés en vue d’émettre d’une
réflexion sur la question de Dieu.
Enfin, il y a un exercice pratique à remettre également par écrit. Le but de cet
exercice pratique est de « sortir de la salle de classe » et d’aller sur le terrain à
la rencontre de la « théologie ordinaire ».
Un examen écrit en présentiel à la fin du semestre
BIBLIOGRAPHIE :
Alberich Emilio, Les fondamentaux de la catéchèse. Avec la collaboration de
Henri Derroitte et Jérôme Vallabaraj. Montréal – Bruxelles : Novalis – Lumen
vitae, 2006
Bourgeois Henri, Questions fondamentales de théologie pratique. Bruxelles –
Québec, 2010 (Les fondamentaux), au moins chap. 3, L’expérience pratique, p.
25-31, sur moodle (pour ch. 1 du cours)
Dillen Annemie, Le statut de l’expérience en théologie. L’abîme entre l’idéal et
la réalité, in : Arnaud Join-Lambert – Axel Liégeois – Catherine Chevalier
(dir.), Autorité et pouvoir dans l’agir pastoral, Namur, Lumen Vitae, 2016
(Théologies pratiques), p. 33-47 sur moodle (pour ch. 2 du cours)
Routhier Gilles – Viau Marcel (éd.), Précis de théologie pratique. Bruxelles –
Québec 2004, 2e éd. augmentée 2007 (Théologies pratiques).
Théologie pratique et / ou pastorale, in : Revue des Sciences Religieuses 69/3
(1995) [thématique : 10 articles]. [au moins Marc Donzé, Objectifs et tâches de
la théologie pratique, p. 292-302, sur moodle, pour ch. 2 du cours]
BIBLIOGRAPHIE DE BASE
1. Ouvrages et articles de référence (en français)
2. Autres ouvrages et articles importants (en français)
3. Revues et collections
ANNEXES
1. Travail sur des expressions de foi eucharistique
2. Texte dit « Le testament » Blaise Pascal (1623-1662)
3. Jean-Paul II, Pastores dabo vobis, 1992, n° 57
4. Lettre à Diognète, fin 2e siècle (extraits)
5. 16 récits de personnes confrontées à l’épreuve de la souffrance par violence
6. exemples de travaux empiriques effectués pour l’examen de ce cours
7. Schéma de l’histoire de la théologie pratique
M1 Sciences Religieuses
M2 Sciences Religieuses - Spécialité Dogmatique
M2 Théologie - Spécialité Bible
M1 Théologie
M2 Théologie - Spécialité Dogmatique
M2 Théologie -Spécialité Pastorale
M2 Théologie- Spécialité Religions
M2 Théologie - Spécialité Histoire du Christianisme
Licence en Théologie troisième année
Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité pastorale)
TH074 La Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux aspirations des hommes
d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme à la morale naturelle grâce à une
éthique économique actuelle
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Yves Naudet
OBJECTIFS :
Partie 1 : Montrer comment la Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux
aspirations des hommes d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme
à la morale naturelle grâce à une éthique économique actuelle.
Partie 2 : Montrer comment la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer
nos consciences, pour essayer de rendre le monde un peu plus juste, un peu
plus moral et donc un peu plus humain, en poussant chacun à agir.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter un aperçu approfondi de la Doctrine sociale de l’Église.
Savoir expliquer ses notions fondamentales : la personne humaine, le Bien
Commun, la subsidiarité etc.
Etre capable de présenter la doctrine de l’Eglise dans une perspective
historique large
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
CONSEIL PONTIFICAL JUSTICE ET PAIX, Compendium de la Doctrine sociale de
l’Église,
Introduction, Jean-Charles Descubes, Renato Raffaele Martino, Angelo Sodano, Paris,
Cerf, 2005.
Sites internet utiles
Le site francophone de référence : doctrinesocialeeglise.org
Forum de discussion sur la doctrine sociale : cite-catholique.org
Cours IN032 sur Domuni
Ouvrages
Repères dans une économie mondialisée, COMMISSION SOCIALE DES EVEQUES
DE
FRANCE, Préface par Mgr Jean-Charles Descubes, Paris, Bayard/Cerf/Fleurus-Mame,
Février 2005.
Nouveau regard sur la Doctrine Sociale de l’Église, guide d’étude, Père Hervé
CARRIER,
Conseil Pontifical « Justice et Paix » (Édition Vaticane), 1999.
Le développement moderne des activités financières au regard des exigences éthiques
du christianisme, Antoine DE SALINS - François VILLEROY DE GALHAU, 1994.
L’Église « experte en humanité », Les Cahiers d’Edifa, n° 14.
La Doctrine Sociale de l’Église à la lumière de « Centesimus Annus », Tâches
Familiales de Décembre 1991.
PLAN DU COURS
INTRODUCTION
TH075 la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer nos consciences, pour essayer
de rendre le monde un peu plus juste, un peu plus moral et donc un peu plus humain, en
poussant chacun à agir
Crédits ECTS: 3
Professeur : Jean-Yves Naudet
OBJECTIFS :
Partie 1 : Montrer comment la Doctrine sociale de l'Église vise à répondre aux
aspirations des hommes d'aujourd'hui à un monde plus juste et plus conforme
à la morale naturelle grâce à une éthique économique actuelle.
Partie 2 : Montrer comment la Doctrine sociale de l’Église cherche à éclairer
nos consciences, pour essayer de rendre le monde un peu plus juste, un peu
plus moral et donc un peu plus humain, en poussant chacun à agir.
ACQUIS PÉDAGOGIQUES :
Pouvoir présenter un aperçu approfondi de la Doctrine sociale de l’Église.
Savoir expliquer ses notions fondamentales : la personne humaine, le Bien
Commun, la subsidiarité etc.
Etre capable de présenter la doctrine de l’Eglise dans une perspective
historique large
MODALITÉS D’ÉVALUATION :
Un devoir écrit. Les étudiant.e.s sont invités à choisir un sujet parmi une liste
imposée.
Un examen en présentiel à la fin du semestre.
BIBLIOGRAPHIE :
CONSEIL PONTIFICAL JUSTICE ET PAIX, Compendium de la Doctrine sociale de
l’Église,
Introduction, Jean-Charles Descubes, Renato Raffaele Martino, Angelo Sodano, Paris,
Cerf, 2005.
Sites internet utiles
Le site francophone de référence : doctrinesocialeeglise.org
Forum de discussion sur la doctrine sociale : cite-catholique.org
Cours IN032 sur Domuni
Ouvrages
Repères dans une économie mondialisée, COMMISSION SOCIALE DES EVEQUES
DE
FRANCE, Préface par Mgr Jean-Charles Descubes, Paris, Bayard/Cerf/Fleurus-Mame,
Février 2005.
Nouveau regard sur la Doctrine Sociale de l’Église, guide d’étude, Père Hervé
CARRIER,
Conseil Pontifical « Justice et Paix » (Édition Vaticane), 1999.
Le développement moderne des activités financières au regard des exigences éthiques
du christianisme, Antoine DE SALINS - François VILLEROY DE GALHAU, 1994.
L’Église « experte en humanité », Les Cahiers d’Edifa, n° 14.
La Doctrine Sociale de l’Église à la lumière de « Centesimus Annus », Tâches
Familiales de Décembre 1991.
PLAN DU COURS
CHAPITRE 1 : LES ÉCONOMISTES CATHOLIQUES AU XIXE SIÈCLE
Préambule
I. Les économistes catholiques avant l'école d'Angers ou l'ouverture de l'économie sur la
transcendance
II. L'école d'Angers ou la compatibilité du christianisme et du libre marché
M2 Théologie -Spécialité Ethique
Licence en Théologie troisième année
Master 2 de Sciences Religieuses (spécialité Éthique)
Master 2 en Ethique Economique
Certificat "Doctrine sociale de l'Eglise"
Ce cours sur Vatican II est exceptionnel à plusieurs titres, tout d’abord parce
qu’il comporte plusieurs conférences audio qui permettent d’écouter en direct
des témoins privilégiés, ensuite parce qu’il s’agit d’une véritable approche
pluridisciplinaire, enfin différents sujets importants sont traités, avec 40 ans de
recul.
Ce cours est en deux parties
Dans la première partie